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L'amiante et le journalisme de données

                                    Après avoir inconsciemment monté un dossier complet de données, tous formats confondus, grâce aux sites de Statistiques Canada et de Données ouvertes du Gouvernement du Québec, il me fallut en venir à la conclusion suivante : rien ne faisait l’affaire. En passant du .csv au .xls, je ne savais plus quel fichier s’adaptait le mieux au travail. Et dans ce méli-mélo de données géolocalisables et d’adresses, j’ai trouvé ce fichier identifiant les bâtiments où l’on a retrouvé de l’amiante depuis 2005, fichier fourni sur le site de La Presse. Qui plus est, en format Excel. Amen.

Dans un premier temps, j’ai testé mes données avec les Tables de fusion Google. J’ai vu qu’il me fallait modifier le fichier Excel pour me donner le plus de chances possibles de traiter mes données avec les sites de Google ou de Carto DB. Par exemple, j’ai utilisé la fonction du « Vlookup » afin de créer une nouvelle catégorie, plus pratique pour me permettre de catégoriser mes données selon les secteurs. Dans cette nouvelle colonne, j’ai divisé en quatre catégories de secteurs différents : celui de l’éducation, celui de la santé et celui municipal. Pour le reste, j’ai résumé par « Autres. » 

J’avais donc sous les yeux un fichier Excel comprenant de multiples informations sur chacun des bâtiments où l’on avait décelé la présence d’amiante, minéraux à l’utilisation controversée.  Ce sujet me paraissait pertinent à cause du Dossier de l’amiante, qui explique sa raison d’être :

« Depuis 2003, l'Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) a produit une quinzaine de publications décrivant l'exposition à l'amiante et les maladies qui y sont reliées dans la population générale et parmi les travailleurs du Québec. L'état des connaissances à ce jour permet de conclure que l'amiante chrysotile est un cancérigène pour l'humain et de ce fait toutes les mesures de prévention et de protection de la santé des travailleurs et de la population doivent être appliquées. Cependant, l'expérience du Québec démontre qu'il existe d'importantes difficultés à appliquer les mesures d'utilisation sécuritaire préconisées.» 

                                       Bref, en téléchargeant la version retouchée du fichier d’origine dans les Tables de fusion Google, j’ai pu aisément utiliser les données pour les rendre visuellement significatives. Le logiciel de Google avait, sans mon consentement, décidé que les noms des institutions étaient des données de types « Location ». Je les ai simplement changés pour « Text ». Les données localisables sont devenue celles de la colonne des adresses de bâtiments, simplement. Sur la carte, je n’ai eu qu’à modifier la couleur des points en fonction du secteur auquel ils étaient associés. Le seul hic, c’est qu’étant donné que j’ai utilisé « Vlookup » en fonction d’une colonne qui associait les secteurs par code et non par nom, je ne peux ajouter de légende dans ma carte. Les « buckets » seraient en fonction de codes allant de 1 à 4, ce qui n’est pas très évocateur. 

Les points rouges représentent donc l’éducation, les points verts la santé, les points bleus le municipal et les points jaunes, tous les « autres » secteurs. Facilement repérables sur la carte, on peut voir les points nous indiquer les bâtiments publics où de l'amiante a été repérée. Pour chaque point, une série d'informations comprenant l'adresse de l'institution, la date, ou le secteur. Il est d'ailleurs préoccupant de constater qu'on en retrouve en majeure partie dans les établissements du secteur de l'éducation.

Avec Google, j’ai également pu créer un diagramme circulaire démontrant les pourcentages associés à chaque secteur. Bien que les points sur la carte illustrent déjà qu’une grande partie des bâtiments affectés sont ceux du secteur de l’éducation, de l’avoir en pourcentage est bien plus concret. Cela permet également de comparer les autres secteurs entre eux, chiffres à l’appui. Autrement, (ci-dessous), j'ai décidé de faire ce que Google appelle un "Network Graph". En fonction des différents secteurs, les détails des travaux, c'est-à-dire plus particulièrement le type d'intervention ou les raisons plus précises de la présence d'amiante, sont expliqués et associés entre eux. Ce qui nous donne une idée plus concrète des problèmes associés à l'amiante et des correctifs apportés.

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Ma grosse face de collaboratrice au magazine Le Culte, édition automne 2013.

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Dans le cadre du Coup de coeur francophone 2013, le Cabaret du Lion d'Or a accueillit les Hay Babies et les Chercheurs d'Or. 

Une p'tite collabo à l'Artichaut, un magazine culturel des étudiants en art de l'UQÀM.

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Oscillant entre démocratie et dictature, l'un des derniers États socialistes du globe connaît des réformes économiques qui l'éloignent de la vision première du régime. 

Une p'tite collabo à l'Esprit Simple, journal étudiant de l'UQÀM à vocation internationale. 

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Le 13 octobre dernier, le Parc ɉmilie-Gamelin se faisait l'hôte de l'évènement Entêtés d'avenir, un spectacle public à  saveur indépendantiste organisé par le réseau Cap sur l'indépendance.

 Un petit clic et mon fabuleux projet de technologies numériques sera sous vos yeux!

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Minds are like parachutes - they only function when open.

Thomas Dewar (via unetouchealafois)

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Ce film. 

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JOUR 1, c'est parti

Après une bonne demi-heure à tenter de "patenter" quelque chose, je crois avoir assez bien saisi le fonctionnement du Tumblr. J'en nomme ainsi sa première qualité: simple et facile à comprendre. Pas besoin de chercher sur Google pour découvrir les différentes options que nous offre Tumblr, parce que tout est clairement indiqué. Ayant déjà créé des blogs avec d'autres plateformes, je me trouve comique de n'avoir jamais considéré celle-ci. Les thèmes sont nombreux, originaux, diversifiés et la mise en page peut être personnalisée. Ça n'a rien de nouveau en soi dans l'univers du blog, mais le choix ne manque pas et l'arrangement des différents éléments permet de donner un aspect classique ou bien dynamique à notre page web. Je ne suis pas familière avec le concept de followers, mais ça ne me semble pas être des plus complexes. Bref, Tumblr est visuellement attrayant et offre décidément bien des possibilités pour arranger notre blog selon nos goûts. (On dirait une pub vantant les mérites de Tumblr, mais bon!)

Pour compl��ter mon entrée dans le monde virtuel, voici les liens vers mes autres comptes:

Soundcloud: frecklesboisclair Twitter: @valeriefreckles Storify: valeriefreckles Flickr: frecklesboisclair