Nous n’avons pas besoin d’être comme tout le monde. Vous n’avez pas besoin d’être comme nous. Malgré nos singularités, la quête du bonheur est une cause commune à tous. BONJOUR LA VIE, c’est le carnet de bord d’une bande de potes optimistes qui ont décidé de vivre la même vie mais en mieux. Sans changer les personnes, ni le décor mais en portant de l’attention à l’ensemble des détails et petites choses qui embellissent notre quotidien. Profiter de chaque moment et partager des instants de vie, des lieux et rencontres en image. Notre carnet aspire alors à présenter la quête du bonheur d’individualités en réunissant et mêlant des personnes aux influences variées pour dessiner les contours d’un lifestyle idéal. "Dans la vie, chacun d’entre nous recherche le bonheur, mais le bonheur de chacun ne se trouve pas au même endroit pour tous". Bonjour la vie
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DOURONE I Trabajo en construcción
La première fois qu’on rencontre Fabio aka DOURONE, l’histoire derrière son vélo à l’apparence vintage nous met tout de suite des gifles.
C’est dans un marché aux puces qu’il en fait l'acquisition, séduit d’abord par sa selle à l’ancienne de la marque Brooks. Il exploite ensuite le potentiel du cadre en le débarrassant de sa peinture d’origine, puis en l’oxydant totalement et naturellement grâce à la pluie, au vent et au soleil. Eh oui parfois les humeurs changeantes de la météo ont du bon ! Quant à la tige de selle et le guidon, ils sont composés d’une queue de billard qu’il a découpée en plusieurs morceaux et remaniée.
Voilà qui annonce la couleur.
Fraîchement débarqué de Madrid, cet artiste-né, illustrateur autodidacte et polyvalent, a déjà son portfolio bien lourd. En témoigne les certains Levi’s, Pointer, Converse, Vodaphone ou encore Redbull…
Alors que son style est défini comme figuratif et surréaliste, son travail est la réflexion sur les expériences sensorielles et concrètes du monde qui l’entoure : la plupart de ses œuvres représente des moments de la vie réelle qu’il interprète de manière personnelle, qu’il cherche à approfondir et à en faire jaillir la beauté. Aussi à l’aise entre quatre murs que dans la rue, il travaille tantôt l’art urbain, tantôt la décoration d’intérieur ; Et manie aussi bien le digital que la peinture.
Son but : «Voyager et être un artiste, quand il sera plus grand ».
Après avoir conquis la capitale espagnole, c’est donc à Paris qu’il poursuit son chemin. Entre collaborations parisiennes et performances individuelles (L’œuvre de la rue des Récollets dans le 10ème, postée par beaucoup sur Instagram, c’est lui), il s’imprègne de la ville en laissant son empreinte ici et là.
On l’a d’ailleurs accompagné lors de son live painting à l’événement Obey Icon Artist Tour.
Ce jour là, Fabio arrive avec sur le dos sa veste en jean siglée « Dourone », peinte à la main (par ses soins s’il vous plaît), et un sac à dos qui contient ses outils de travail. Il nous apparaît serein et humble. On lui récite les poèmes qu’on a appris en cours d’espagnol au collège pour détendre l’atmosphère, puis on le laisse travailler l’œuvre, dressée sur le mur extérieur de la Rotonde de la Villette. Malgré le froid et parfois la pluie, c’est un gars travailleur et appliqué, un brin perfectionniste. Et souvent, il s’éloigne de son œuvre pour l’observer avec de la distance, mais aussi parce que ce point là n’est pas ombragé : Les rares rayons du soleil suffisent à le recharger d’énergie.
Le retour des beaux jours promet donc d’être fructueux…
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ee12 I LA MODE DANOISE A LE VENT EN POUPE
Un vent du Nord souffle sur la ville.
ee12 est une marque venue de Copenhague créée par Pernille et Amalie, mère et fille dans la vraie vie.
Pour elles, le bonheur passe avant tout par la chance de pouvoir faire ce qu’elles aiment au quotidien : créer / voyager /expérimenter / rencontrer. Ce sont d'ailleurs les différentes cultures et styles vestimentaires qui ont croisé leur route qui font leur source d’inspiration.
Libre comme l’air, ee12 est un souffle léger au concept novateur. Les deux créatrices le définissent comme relational fashion – un style de vie où créateur et client se rencontrent en vue d’une inspiration réciproque.
En fait, elles chamboulent les codes d’achat de la mode. Pas de boutique ni de e-shop, juste des occasions de rencontres, où sont proposées les collections capsules qui rythment la vie de la marque.
ee12 est comme le vent, il change et se déplace. Il ne fait que passer.
Chaque collection, à édition limitée, est présentée lors d’événements organisés pour l’occasion. On y rencontre les deux créatrices, on observe, on touche, on fait des essayages, et on passe commande de notre pièce coup de cœur.
Pour le lancement de la collection printemps/été 2014, c’est la galerie de créativités parisienne la Superette qui accueille ee12. C’est donc dans un décor arty et minimaliste, à l’image de la marque, qu’on retrouve Pernille et Amalie. La collection d’ee12 s’intègre parfaitement dans une exposition déjà en cours, « You’re framed ».
C’est un esprit frais qui flotte dans l’air.
On observe les pièces proposées : lisses, monochrome et sans imperfection.
Alors que la stratégie de l’intemporel est au noir (la valeur sûre!), les modèles possèdent une personnalité forte qui leur est propre.
La ligne aux influences scandinaves propose un style casual chic, presque japonisant. ee12 respire l’élégance, les coupes sont travaillées, l’esthétique est épurée.
Les matières, du noble au fonctionnel, se font agréables à porter.
Le combo idéal, sans fantaisie superficielle, pour une collection qui se veut durable en restant constamment dans l'air du temps.
Et pour équilibrer la balance, au lieu d’une ambiance froide : deux créatrices au top. Disponibles et accueillantes, elles brisent le cliché selon lequel les gens de la mode sont snobs et ne savent pas sourire. Elles instaurent un climat cool qui leur ressemble (Relational fashion, on l’a dit), loin du m’as-tu-vu habituel. MERCI !
Pour recevoir vos invitations à leurs prochains événements et vous tenir informés de l’actualité d’ee12, envoyer un mail à : [email protected].
www.ee12.dk
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La Chambre aux confitures I La, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe calme et volupté
Il y a des soirs où l’on s’endort avec pour objectif de se lever tôt le lendemain pour profiter au maximum de notre journée et faire un tas de trucs sympa… Puis 9 fois sur 10, on finit par faire une grasse mat’ parce que mine de rien, on prend beaucoup de plaisir à ne rien faire en restant cloîtré au fond de notre lit, au chaud sous une couette. Surtout lorsqu’il pleut à Paris !
En fait, l’espèce humaine est assez bizarre puisqu’ensuite on passe notre temps à se plaindre d’avoir des week-ends trop courts !
C’est pourquoi j’ai décidé, le week-end dernier, de rompre définitivement avec mes mauvaises habitudes et tenir mon engagement : me lever tôt pour me consacrer à l’une de mes passions, la pâtisserie !
Au temps maussade de Paris – pour changer - j’ai décidé d’apporter ma touche de soleil en préparant une charlotte mangue-coco-chocolat blanc. Je me suis donc rendue de bonne heure dans le vieux Marais à la recherche du graal, l’élément central de ma recette : la confiture.
C’est dans cette quête que je me retrouve rue Vieille du Temple dans le 3ème arrondissement. La rue porte ce nom parce que c’est l’ancien chemin qui menait vers la maison du Temple et sa tour (merci Lorànt Deutsch). Bon, je n’ai pas trouvé la maison ni la tour, mais je me suis arrêtée à la Chambre aux Confitures.
Si je devais résumer en quelques mots la chambre aux confitures, je dirais que c’est LE TEMPLE de la gourmandise !
Il est soigneusement rangé au n°60 de la rue. La première fois où j’y suis entr��e, je me suis d'abord demandée si Monk y travaillait. Les pots sont parfaitement alignés au millimètre prêt. Ensuite, on est vite pris par un élan de curiosité et de gourmandise, impressionnés par la variété des parfums disponibles et des mélanges les plus étonnants ! A mon avis, il faut une vie entière pour tous les découvrir.
Ce qui est vraiment cool, c’est qu’on peut goûter avant de faire son choix. Je vous vois déjà venir avec vos idées sournoises… Mais calmez-vous, personne ne va s’y rendre pour napper ses tartines, se goinfrer et repartir bredouille… Puis de toute façon, c’est impossible ! Lorsqu’on y entre, on ressort forcément avec un ou deux pots de confitures !
Bon sur ce, les images c’est bien mais ce n’est pas suffisant pour vivre une expérience, alors n’hésitez pas à y faire un tour si vous êtes dans le coin.
Et comme on aime partager les bonnes choses sur Bonjour la vie, je vous laisse découvrir les secrets de ma recette…(Glissez la souris sur les images puis passez la sur les points qui apparaissent pour voir les étapes de la recette ;) - c'est magique et ça marche aussi sur les photos du dessus !)
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Au Cambodge, on est en 2558 | Bienvenue dans le turfu !
Le week-end dernier on a célébré le nouvel an.
Bon j’imagine déjà ce que vous vous dites : Vous avez quatre mois de retard !
Au Cambodge, le nouvel an est célébré durant trois jours à la mi-avril, les festivités coïncidant avec la fin des récoltes au temps de l’Empire Khmer.
Ici en France, fidèle à une habitude en passe de devenir une tradition, la communauté Cambodgienne se rassemble pour l’occasion à la Grande Pagode de Vincennes (Eh non, il n’y a pas que le zoo à Vincennes). Et c’est pour célébrer l’entrée en 2558 que dimanche dernier, de nombreux cambodgiens s’étaient donnés rendez-vous dans une atmosphère festive et conviviale.
L'occasion pour nous de faire un tour dans le futur, pour prendre la température et voir un peu ce que nous réserve l’avenir.
Ceci n’est pas une case géante mais bien la Grande Pagode de Vincennes.
Intriguée par son architecture, je me suis renseignée sur son histoire (Google est mon ami). J’ai alors été très surprise d’apprendre qu’il s’agit en fait de l’ancien pavillon du Cameroun et du Togo durant l’Exposition Coloniale de 1931 (Asiatique et Africaine). C’est en 1977 que l’édifice à été réhabilité en lieu de culte consacré au Bouddhisme.
Naïvement, depuis mon plus jeune âge, j’ai toujours pensé que cet éléphant était une sculpture asiatique, érigée en l'honneur de la pagode. Que nenni ! C’est en réalité l’un des vestiges de l’Exposition Coloniale.
Dès l’arrivée, on croise « le groupe de pèlerins Zen* », qui cherche la vérité à travers le spectacle de la nature. Belle leçon de vie pour nous, épicuriens, qui cherchons le bonheur dans les petits riens du quotidien.
*Du sculpteur japonais Torao Yazaki, achevé en 1971.
La visite se poursuit.
Pour l’occasion, un petit marché cambodgien s’est installé dans la cour de la pagode. Buffets de nourriture traditionnelle se mêlent aux stands de babioles : bijoux, bibelots, vêtements, baume du tigre (chez les asiatiques cette pommade mentholée guérit tout, un peu comme le Doliprane en France),… Une véritable immersion dans la culture khmère tout en restant dans notre douce France !
Après nos petites emplettes, on a tout de même fini par entrer dans la Pagode (par curiosité ou par conviction personnelle, chacun est le bienvenu). Les plus croyants peuvent prier en compagnie des moines de la pagode, ou faire des dons et des offrandes aux défunts pour gagner leur protection.
A l’intérieur, on est immédiatement impressionnés par une statue de Bouddha d’une hauteur de plus de neuf mètres. – Certes bien plus petite que la statue de quarante mètres que vous avez vu en Thaïlande l'été dernier...– Mais il faut savoir qu’il s’agit du plus grand Bouddha d’Europe !
Les "Montagnes de sable" symbolisent l'infini, car il est impossible d'en compter tous les grains. Chacun y dépose des bâtons d’encens ou une pièce de monnaie (la maison n'accepte pas les chèques).
Une fois le parcours spirituel et surtout gustatif terminé, les familles se retrouvent sur les pelouses alentours pour pic-niquer. Alors que certains jouent au pili (jeu de jongle), d'autres se réunissent autour des tables de Klah Klok, un jeu d'argent et de hasard.
Bon nous n'avons pas obtenu beaucoup d’informations sur notre futur et l'année 2558, Cambodgienne, ressemble à notre année 2014...
Moralité : Nous avons tout de même la chance d'avoir 544 ans de moins, profitons donc de notre jeunesse !
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HolyBelly | Le ventre c’est sacré !
On débute notre quête du bonheur par un sujet qui nous tient tous à coeur : La nourriture [dit aussi le « food », la « bouffe », ou encore la « graille », selon la localisation géographique]…parce que #Mangerdestrucsbons est probablement l’un des facteurs qui contribue le plus à notre bien-être, à notre expérience du plaisir.
Alors que le repas est propice à l’échange et à la convivialité, c’est aussi un moment intime où l’on prend le temps de découvrir et d’expérimenter. Bref, manger c’est sacré.
Et on en a fait l’expérience, attablés au fond de la salle de notre spot coup de cœur : le HolyBelly.
C’est lors d’une ballade dans le 10ème qu’on est tombés sur ce chouette coffee-shop. Il est niché dans une ruelle près du métro Jacques Bonsergent, à deux pas du Canal Saint Martin.
Une déco chaleureuse et une ambiance à la cool viennent s’associer à une « cuisine soignée + du café de qualité » (ça c’est eux qui le disent, nous on ne que fait qu’approuver) : le mix parfait pour passer un bon moment et oublier la difficulté de la vie. En plus, l’accueil est génial, il respire la bonne humeur.
La cuisine du HolyBelly est à l’image de ses fondateurs : des produits locaux et des plats aux influences de leurs divers voyages. Ici tout est fait maison et les produits sont frais et de saison. Pour 11,50€ vous pourrez gouter les magnifiques Pancakes, fruits de saison, crème fouettée, amandes et sirop d’érable ou alors boire le meilleur latte de Paname (4€) servi par Nico, le fondateur du HolyBelly en personne. Et même si la carte est courte, elle suffit amplement face à la qualité du moment.
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