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Un peu de propagande communiste, pour le plaisir des yeux. Démonstration de démocratie avec un seul parti à élire.
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Impressions #5 (Victor)
22 Janvier 2018-15h45 - En partance pour Los Angeles Haneda International Airport - Tokyo
Enfin, « en partance »... Cela fait désormais six putain d'heures que nous sommes coincés au sol tokyoite dans une tempête de neige qui, aussi belle soit-elle, nous empêche de décoller et nous les brise gentillement. Des escarres commencent à nous pousser aux fesses, la faim révèle les instincts anthropophages de certains (mon voisin de siège canadien anglophone est très sympa mais ne capte rien à « je suis une banane » -c'est-à-dire un genre de portrait chinois contre la faim, je pense que c'est très clair et que vous avez tous compris-), et même les Japonais ne contiennent que difficilement leur agacement. C'est dire. (Je crois même en avoir entendu un soupirer).
Après 3 tentatives de-ice (dégel pour les talibans de l'anglicisme) armés de lances à eau à l’aspect préhistorique, plusieurs faux espoirs, un escalier bloqué par la neige, un bus également bloqué par la neige, nous finissons enfin par sortir de l’avion pour passer la nuit à l’aéroport. Joie, bonheur et bières (au moins je ne suis pas chez les fous comme à Taipei).
Bref, après 42 heures de trajet au lieu des 10h30 initialement prévues je foule enfin le sol américain. Et là c’est la teuf !!
Du gros hip-hop west coast et du Marvin Gaye partout, une douceur odeur de weed dans 3 rues sur 4, des palmiers, des rues immenses, des voitures automatiques, Venice Beach, Santa Monica, Sacramento, des sirènes de police comme dans les films, les studios de Charlie Chaplin, Hollywood, des corps sculptés dans le marbre côtoyant une montagne d’obèses, de vraies files d’attente pour aller écouter du jazz, des blacks, des chicanos, des jams sessions de l’espace où Tony Royster fout la zone avec Robert Sput Searight, de l’espagnol mélangé à de l’anglais avec un accent pas possible, des couchers de soleil de carte postale, l’océan pacifique, des tacos, de la salsa caliente... pas de doute je suis bien à Los Angeles ! A mi chemin entre GTA et un blockbuster hollywoodien mon voyage prend une tournure toute nouvelle. Il est trop tôt pour en dire beaucoup plus et en plus il est 4h30 du mat.
Hasta la vista baby !
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