Dans le cadre du cours didactique de l'écriture et intégration des pratiques
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Références utilisées
CHOMSKY, N., (2002), Pour une éducation humaniste, Éditions L’Herne : carnets, 86 p.
CHOMSKY, N., (2013), Chomsky, le langage et la créativité ordinaire, À babord: Revue sociale et politique, No 58, (En ligne https://www.ababord.org/Chomsky-le-langage-et-la)
GOVAERTS, S., GREGOIRE, J., Quelle place les émotions positives et négatives occupent-elles dans l’apprentissage scolaire et dans le profile motivationnel des élèves?, Université catholique de Louvain, p.143-145
LOARER, E., (1998), L’éducation cognitive: modèle et méthodes pour apprendre à penser. Revue Française de pédagogie, 122, 121-161
Gouvernement du Québec: Ministères de l’Éducation du Loisir et du Sports, (2007), Les clés de la réussite des élèves, Document en ligne : www.mels.gouv.qc.ca
SCHNEULWY, B., (2008), Vygotski, l’école et l’écriture, Université de Genève, Faculté de psychologie et des sciences de l’éducation, Nu 118, (En ligne http://www.unige.ch/fapse/publications-ssed/files/5714/1572/5502/No118.pdf )
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Commentaire nº 3
Le troisième texte que j’ai lu a comme titre Métacognition et éducabilité cognitive. Ce texte porte d’abord sur une élaboration de la pensée de pédagogues et de didacticiens, spécialistes en ce qui concerne l’enseignement. Un parallèle entre l’éducabilité cognitive et le processus de métacognition est effectué. La limite entre les deux n’est pas évidente. Pour illustrer davantage les propos expliqués dans le texte, l’auteur présente différents programmes éducatifs mis en place qui ont comme but de stimuler ces processus d’apprentissage.
Ce que je comprends sont les informations pertinentes pour construire des outils personnalisés avec les élèves. Ces outils sont bonifiés avec le temps, puisque les élèves ont l’occasion d’exercer des réflexions sur leurs méthodes d’apprentissage. La métacognition est décrite comme l’acte de penser sur ses propres pensées, c’est-à-dire que la métacognition représente l’exercice de l’activité mentale qu’effectue une personne sur ses propres processus mentaux. On se penche sur cette idée que l’intelligence est perfectible et qu’il est possible de l’améliorer. Avec les recherches effectuées en éducations et la mise en place de programmes, le métier d’enseignant a été professionnalisé et donc, remis en question. C’est en quoi consiste la métacognition, une des composantes de l’éducabilité cognitive selon Loarer (1998). Remettre en question ses analyses pour actualiser les opérations intellectuelles permet une meilleure adaptabilité aux contextes d’apprentissages. Plus l’apprenant se connait, plus il se forme des outils cognitifs qui augmentent ses capacités cognitives. Dans tout ça, le rôle de l’enseignant est de relier le sujet, donc l’élève, à son environnement. L’enseignant est décrit comme le trait d’union dans le concept du «sujet-environnement».
Je fais des liens avec des compétences didactiques qui servent à maximiser le potentiel de chaque apprenant. Je tiens à souligner l’importance de l’unicité des méthodes d’apprentissage et qu’il peut s’avérer complexe pour un enseignant d’appliquer la différenciation pédagogique pour tous. C’est pourquoi inciter les élèves à se connaitre en tant qu’apprenant a un impact sur leur engagement quant à la réussite scolaire. C’est le but de l’éducabilité cognitive : développer leur autonomie, les élèves sont maitres de leur apprentissage. Les élèves prennent conscience de l’efficacité des différentes stratégies qu’ils exercent et ils peuvent percevoir de celles-ci, un lien avec l’effort qu’ils ont accordé à la tâche.
Enfin, j’ai trouvé le contraste entre l’éducabilité cognitive et la métacognition flou. Je distingue quelques caractéristiques, mais je remarque surtout un point commun entre les deux. L’application de ces principes métacognitifs est parfois problématique lors du transfert des acquis dans divers contextes. C’est pourquoi je souhaite enseigner le processus d’écriture en étapes, pour que celles-ci soient plus souvent reconnaissables lorsque les élèves doivent effectuer un transfert.
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Le langage fait donc de nous des organismes uniques
Noam Chomsky
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Commentaire nº 2
Ce que j’ai lu comme deuxième texte, c’est une étude effectuée à l’université de Poitiers en France. Celle-ci porte sur la projection et l’écriture d’un dispositif de soin pour adolescents : le mur-tag. Ce dispositif à fonction thérapeutique est instauré dans un hôpital. Son but est d’être un espace d’expression de différentes formes d’écriture chez des adolescents suicidant.
Ce que j’ai compris de l’étude c’est que cet outil peut favoriser la guérison et apporter des bénéfices au développement de soi des adolescents. Comme le mur est créé pour et par les jeunes, ceux-ci parviennent à se projeter sur les autres, à s’identifier, à se différencier. L’expression d’émotions par l’écriture offre un soulagement, une extériorisation de sa pensée. De plus, certains témoignages ajoutent que les massages écrits étaient souvent analysés et retravaillés…le fait de concrétiser des représentations de cette façon fait remarquer à l’individu la continuité et l’évolution dans le temps. Le mur-tag a comme concept d’évoquer le psychisme des adolescents et de le marquer. Ainsi, ils prennent conscience du chemin qu’ils ont parcouru. Je pense que les psychologues peuvent retirer des indices importants de leurs patients pour adapter leurs interventions…
Je fais des liens avec une passion qui me pousse à devenir enseignante de français, qui est l’écriture. Une compétence à part entière, elle contribue fortement à se développer en tant qu’individu et c‘est pourquoi il faut donner le gout d’écrire. Le mur-tag n’est pas restreint de limites et fait vivre une expérience d’écriture à celle ou celui qui s’y abandonne. Les patients vont procéder à un processus d’écriture, puisqu’ils accomplissent la tâche de manière personnalisée. Le mouvement cognitif que les utilisateurs du mur-tag effectuent avant, pendant et après l’écriture peut avoir des répercussions positives. Entre autres, les adolescents mobilisent un processus de métacognition.
Aussi, je fais un lien avec la création d’une communauté d’apprenants qui découle du mur-tag. Chaque individu apprend à s’exprimer par la langue et il est témoin de l’expressivité des autres. Des valeurs du courant humaniste et socioconstructiviste sont relevées dans cette étude.
Enfin, j’aimerais grandement appliquer un projet semblable auprès de mes classes. Il serait intéressant de dédier un grand espace pour écrire dans le local du cours. Tous les élèves qui font partis de mes groupes-classes pourront s’exprimer et y voir d’autres messages d’élèves de groupes différents. L’atmosphère de la salle de classe doit être propice aux apprentissages, les élèves doivent se sentir accueillis. Je dois continuer de construire mon idée pour que le mur d’expression puisse avoir une portée créative signifiante auprès des élèves. Mon but serait d’utiliser la liberté d’expression pour encourager le plaisir d’écrire.
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Conversation
? en lien avec le premier commentaire...
Questions à mes collègues: Dans ce contexte scolaire, comment croyez-vous que l’évaluation des acquis devrait être effectuée ? Les élèves pourraient-ils changer de «voie», les thèmes et projets qu’ils choisissent au départ ? Qu’en pensez-vous ? X)
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Commentaire nº 1
Le premier article s’intitule La Finlande va devenir le premier pays à supprimer toutes les matières scolaires. Ce que j’ai lu, c’est que la Finlande va adopter un nouveau système d’éducation, qui consiste à offrir une éducation qui ne suit pas la classification des matières scolaires. En effet il n’est plus question de cours d’éducation physique ou de mathématiques. Les élèves de 16 ans et plus choisissent les orientations scolaires qu’ils jugent utiles. Les enseignants accompagnent les élèves dans les projets qu’ils entreprennent.
Ce que je comprends, c’est que la Finlande est réputée pour son système d’éducation efficace. Il se penche vers un autre paradigme éducatif moderne, qui remet en question les pratiques traditionnelles couramment utilisées dans les classes d’aujourd’hui. J’ai compris qu’une révolution des méthodes d’enseignement était nécessaire, afin de répondre aux besoins des apprenants de manière plus significative. Pourquoi ces changements sont de mise ? Ils permettent aux élèves d’exercer un pouvoir de liberté pour choisir les sujets qui les intéressent. Les apprenants doivent faire des choix conscients et réfléchis, en exerçant leur autonomie à cibler les apprentissages qu’ils jugent prioritaires d’acquérir.
Le pouvoir de contrôlabilité est un facteur motivationnel chez l’apprenant. La perception qu’a celui-ci de ce qu’il peut contrôler ou non, sur son éducation a un impact mesurable sur sa motivation scolaire. De ce fait, comme les cours sont en quelque sorte interdisciplinaires, les élèves se retrouvent à effectuer un travail qu’ils sont plus motivés à faire. Le lien entre les diverses matières est explicable aux élèves et ceux-ci y perçoivent davantage l’utilité de ce qu’ils apprennent, en l’adaptant à leur vie. Leurs valeurs sont également plus suscitées, et les adolescents sont exposés à des environnements scolaires différents qui favorisent l’exploration de soi. Ainsi, ils se développent en tant qu’individu et choisissent leur porte d’entrée dans la pluridisciplinarité.
À la suite à ces constats, je fais des liens directs avec plusieurs savoirs étudiés dans le cours de didactique de l’écriture. Comme le pense Vygotski, il faut rendre la tâche stimulante pour que les élèves soient actifs dans leur processus d’apprentissage. Adopter de tels changements dans la structure scolaire favorise le socioconstructivisme dans le partage et l’échange des savoirs. À mon avis, les élèves sont amenés à construire leurs propres conceptions de la «matière scolaire» avec celles des autres. Cela permet non seulement de motiver les apprenants de manière extrinsèque, mais également intrinsèque. Ce phénomène est idéal d’après moi pour que les tâches et activités éducatives soient réellement significatives.
Enfin, cet article m’a inspiré dans ma propre conception de l’éducation. Je souhaite appliquer des méthodes scoioconstructivistes dans mon enseignement, je suis convaincue qu’elles méritent mon attention. D’ailleurs, des ateliers d’écriture qui comprend des étapes et qui amènent les élèves à approfondir leurs connaissances sont des stratégies didactiques à préconiser. C’est pourquoi je favorise également les projets de plus grande «envergure». Par exemple, des projets à long terme, des projets interdisciplinaires, des projets d’équipe…
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Inspiration premier commentaire
Suggestion de livre qui porte sur les différents bienfaits et principes de l’humanisme en pédagogie. L’élève peut être maitre de ses apprentissages.
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Commentaires de texte : présentation
Avant-propos:
Ce travail présente trois analyses de textes portant entre autres sur la pédagogie et la didactique, deux composantes interreliées à l’éducation. J’explique d’abord ce que j’ai compris en résumant les propos des différents textes. Ensuite, je fais des liens avec des connaissances que j’ai acquises au courant de mon parcours universitaire. Plus précisément, je complète ma compréhension avec des notions didactiques en enseignement du français. La dernière partie de chaque analyse porte sur l’application bénéfique de certaines stratégies énoncées dans les textes. Je crois pertinent de s’enrichir des savoirs récents des recherches et des études, cela me permet de prévoir et construire ma philosophie éducative en tant que future enseignante au secondaire.
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Retour sur mon expérience de l’Escale
Lors de mon expérience à l’Escale, j’ai beaucoup appris de Cassandra, l’élève que je devais aider. Nous avons eu des échanges enrichissants avant de débuter afin que je puisses comprendre où elle était rendue dans son cheminement. Elle complétait son français de secondaire trois et elle prévoit terminer ses études secondaires d’ici le mois d’août. À première impression, elle était motivée à améliorer ses compétences langagières en écriture et cela me permettait de pousser ses connaissances pour qu’elle les utilise adéquatement. Elle m’a confié qu’elle préférait la méthode d’apprendre individuellement.
La première heure a été consacrée à la correction de son texte préparatoire à l’examen écrit. C’était une rédaction de type narratif et Floriane, une de mes collègues, nous a accompagnée pour corriger. Nous avons appliqué des méthodes de correction concrètes et Cassandra les a retenues puisqu’elle les répétaient pour corriger la suite. J’ai également remarqué la compétence à Floriane à cibler directement les lacunes dans les phrases et son habileté à faire réfléchir l’apprenante sur celles-ci, sans nécessairement lui pointer du doigt. Après avoir vécu cette correction active, j’ai compris l’efficacité des stratégies de corrections et l’importance de fournir ces outils aux élèves. Cassandra s’est débrouillée avec toutes les informations que nous lui avons livrées et elle était très fière une fois la correction terminée. Avant que ma collègue nous quitte, j’ai élaboré avec elle les forces rédactionnelles de Cassandra pour qu’elle en prenne conscience et pour qu’elle gagne confiance en elle.
Ensuite, comme il restait beaucoup de temps, j’en ai profité pour parler de son cheminement scolaire passé. Elle m’a avoué que son passage à la polyvalente Le Carrefour n’avait pas été positif, puisqu’elle avait été persécutée par un enseignant qui ne croyait pas en ses capacités d’apprendre. Je lui ai partagé mon opinion quant aux rôles primordiaux des enseignants et j’ai mis l’accent sur le fait que tout le monde a la capacité d’apprendre, parfois à différents rythmes. Je sentais que cela lui faisait du bien d’entendre ces paroles optimistes car j’ai l’impression qu’elle avait perdu espoir en l’éducation��� Bref, nous avons décidé d’écrire un second texte préparatoire, cette fois-ci à dominante expressive. Avant de commencer, nous avons élaboré à l’oral des idées et je n’ai fait que construire le sens avec elle. Aussi, nous avons souligné les points importants de la grille d’évaluation afin qu’elle sache les composantes du texte expressif. Je lui faisais remarquer son imagination débordante, tout en lui donnant des trucs pour qu’elle la maitrise. Par exemple, je lui disais d’introduire une idée à la fois et de s’assurer que les liens entre les phrases soient évidents. Parfois, son vocabulaire était limité puisqu’elle répétait souvent certains noms et adjectifs. Nous avons donc construit des champs lexicaux pour alimenter son vocabulaire. La deuxième rédaction était un bon moyen d’appliquer les méthodes de corrections récemment utilisées avec Floriane. Sommes toutes, les besoins de Cassandra étaient de prendre confiance en ses qualités d’écriture et d’augmenter l’utilisation des stratégies de corrections pour éviter le plus d’erreurs possible.
À la fin de cette rencontre, nous avons beaucoup accompli. L’élève ne voulait même pas prendre de pause, je pense que je l’ai aidé selon ses besoins et son ouverture à mes conseils m’a permis d’enrichir mes enseignements. J’avais à porté de mains mon ordinateur pour rechercher des outils ou des connaissances pouvant aider Cassandra. Je me sentais assez outillée pour répondre à ses questions par contre, je ne crois pas l’avoir surprise avec de nouveaux apprentissages. J’aurais aimé être en mesure d’expliquer de manière plus didactique mes agissements, mais la majorité du temps c’était naturel chez moi de l’aider selon ses besoins. Par contre ce n’était pas toujours de manière significative car je ne pouvais pas expliquer pourquoi son processus d’écriture n’était pas toujours pertinent. Je devrais renforcer mes habiletés didactiques pour assurer une stabilité et une cohérence dans les notions que j’enseignerai. Je crois que j’ai apporté de la satisfaction et de la confiance à l’élève. Elle m’a remercié et j’étais contente qu’elle se soit améliorée en quelques heures à mes côtés.
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Lettres
Chère grand-maman,
Je t'écris parce que je m'ennuie de ta succulente cuisine. Ces petits délices de la vie manquent à mes journées. Je ne trouve pas le temps de concocter des mets gastronomiques. De toute façon, jamais je ne réussirai à cuisiner aussi bien que tes mains pâtissières. J'espère partager des sourires avec toi bientôt, on se fixe une date à l'agenda puisque j'en ai reçu un tout nouveau récemment... Merci à toi
P.S. : j'apporterai ton whiskey préféré
Bises,
Guss
Cher Guss,
Je suis contente d'avoir de tes nouvelles. Je m'ennuie aussi. Je t'enverrrai des petits plats par la poste d'ici la semaine prochaine. prends soin de toi mon grand !
Avec amour,
G-M xoxo
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Fiche du personnage
Nom: Gustave Lachouette
Âge: 35 ans
Sexe: Homme
Statut: Célibataire
Occupation: Lire les horoscopes du journal et faire les sudokus
Physique: Grand mince, cheveux bruns ébouriffés, lunettes rondes
Psychologique: Maladroit, désorganisé, lunatique, comique
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