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Au MJS tout doit changer, tout va changer !
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Quelques propositions concrètes pour réformer enfin notre organisation
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aumjstoutvachanger · 7 years ago
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De l'intérêt du tirage au sort pour désigner nos représentants
Quel intérêt du tirage au sort pour désigner nos représentants au sein de notre organisation?
Éviter les possibles systèmes de clientélisme. Il serait dommage que les places sur les listes ne soient que des rétributions, d'autant plus à la tête de l'organisation avec une forme de corporatisme.
Pour démocratiser notre organisation. Il est primordial de contourner les phénomènes de sélection sociale qui peuvent exister dans l'accession aux fonctions dirigeantes. Si nous prétendons vouloir défendre ceux qui sont délaissés, les Jeunes Socialistes, et en particulier leur représentants ne peuvent pas être seulement des jeunes dont les capitaux leurs ont permis de prendre la tête de l'organisation.
Du tirage au sort, mais dans quelles instances?
Après avoir réfléchit à l'intérêt du tirage au sort, il faut se demander dans quelles instances le pratiquer. Personnellement je répondrais dans toutes les institutions collectives, tant au niveau national que départemental. Cela étant dit, il appartient au collectif d'y réfléchir.
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aumjstoutvachanger · 7 years ago
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supers idées !!
je pense aussi qu'il serait bien que les jeunes militants, même les mineurs ai plus de responsabilités et qu ils attendent pas que les vieux militants soit partis pour jouer un role plus important
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aumjstoutvachanger · 7 years ago
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Juste la notion de leur rôle BN/SN
Tu es pour le renforcement parlementaire je te soutiens tu le sais fortement là dessus, il faut un pouvoir législatif fort qui est au commande, de même il faut un éxécutif efficace qui est là de manière organisationnelle uniquement qui travaille répartits en différents domaines santé, écologie... Bref des personnes qui sont comme des ministère dirigé par une sorte de conseils des 4 paritaire qui centralise et s'exprime au travers du Porte Parole (ancien président mais dépourvu de pouvoir poltique) mais la ligne politique est fixer par le CN et il faut mettre en place un système de référendum en cas de grosse décision politique ou de prises de positions générale vis à vis d'autre mouvement ; Le pouvoir et la décision doit revenir aux militants sinon je pense que tes idées sont suffisament interessante pour être discuter sur le plan national ! Merci Basile 
Jordan AF Hérault
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aumjstoutvachanger · 7 years ago
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Au MJS, tout doit changer, tout va changer !
Le constat et l’urgence
Aujourd'hui animateur fédéral dans le Gard, je milite au MJS depuis de nombreuses années. C'est là qu'a commencé pour moi l'engagement dans la famille socialiste, et j'espère continuer à y militer le plus longtemps possible, car je crois sincèrement qu'un MJS autonome et vivant est utile à la gauche. Mais il faudra que tout change, car nous risquons hélas de disparaître, si personne ne prend en compte l'urgence qui vient.
Cette organisation, en effet, est malade, et elle traverse une crise profonde, qui peut l'emporter si rien ne change, car notre mouvement a été durablement décrédibilisé ces dernières années. Il s'est sclérosé sur lui-même avec une pratique sectaire de l'organisation par un clan qui a conduit au pire et nous peinons aujourd'hui à trouver de nouveaux militants. Les vieilles rengaines entre courants, venues de temps immémoriaux, empoisonnent la vie démocratique de notre mouvement, qui s'est spécialisé davantage dans l'arrière cuisine politique en congrès que dans le combat sur le terrain du réel, pour des idées. De nombreuses fédérations n'existent plus, faute de militants, et nous n'arrivons plus à parler à toute la jeunesse, nous cantonnant principalement, par confort ou par fatalité, à la jeunesse des lycées généraux et des grandes universités et écoles, passant à côté de celles des quartiers populaires, des territoires ruraux, du monde de l'entreprise ou encore des établissements professionnels.
Pourtant, et c'est un paradoxe saisissant, le désir de s'engager des jeunes est grand, dans un contexte où notre pays a besoin de la gauche. Nous avons donc le devoir de bâtir aujourd'hui une organisation capable de redevenir attirante, où les militants retrouvent plaisir à militer au service du bel idéal socialiste.
La séquence qui s'ouvre, au lendemain du congrès du PS et l’instauration d’une direction collégiale pour notre mouvement, est celle de la dernière chance. Je connais bien le malade, et j'entends, humblement, avec celles et ceux qui voudront s'associer à ma démarche, proposer des remèdes offensifs, rapides à mettre en place pour peu qu'on veuille bien y mettre les moyens et de la bonne volonté, car si rien ne change, le MJS peut mourir.
Sauver le MJS en le changeant du sol au plafond, c'est le sens des propositions que je formule ici. Elles sont le fruit de mes propres observations et de longues discussions avec des camarades, partout en France. Elles ne sont pas des mots creux, du blabla traditionnel, mais réellement un potentiel chemin à suivre pour espérer réformer cette organisation que nous aimons tous. J'espère que vous les partagerez et, ouvert au débat, je vous invite déjà à les amender.
Au MJS, tout doit changer, tout va changer.
1) Les premières mesures immédiates : pour un bigbang politique et militant au MJS
Changer le rôle du président
Depuis déjà de nombreux mandats, les présidents du MJS ont davantage abîmé l'organisation, pour servir leurs ambitions personnelles, qu'apporté à notre idéal. Souvent les hommes et les femmes d'un clan, la partie majoritaire de leur courant majoritaire, ils ont été sourds aux attentes des camarades, enfermés dans l’entre-soi des luttes de pouvoir à Solférino, prenant souvent des décisions d'importance de façon arbitraire, là où ils s'étaient pourtant engagés à être les garants de la démocratie interne, et privilégiant le tourisme politique au militantisme de terrain lors de leur trop rares passages dans les territoires. Cela doit être la première chose qui doit changer au MJS. Le président doit maintenant être au service de l'organisation, et non plus l'organisation au service de son ambition. Il ne doit plus compter les kilomètres dans les fédérations, fussent-elles d'une autre sensibilité politique que lui, pour y militer joyeusement avec les camarades. Il doit être l'animateur de la vie de l'organisation, de façon démocratique, et donner l'impulsion militante au sommet du MJS. En somme, il doit redevenir le premier des militants, et agir comme tel.
Changer le statut d'AF
Les animateurs fédéraux, je le crois, ont fait leur temps, et il m'apparaît plus opportun en 2018, de changer leur statut en celui de porte-paroles fédéraux, élus en congrès fédéral. L'animation fédérale, en réalité, peut très bien se faire à plusieurs et ne relève pas d'un seul militant élu, ce qui sur le terrain est souvent source de crispations politiques et qui s'accompagne parfois de la confiscation du pouvoir fédéral, conduisant à la mort lente du MJS dans certains territoires.
Le porte-parole deviendrait la voix de la fédération, interlocuteur avec nos aînés et avec les médias, et représenterait ses camarades dans les instances nationales. Les décisions politiques locales et l'animation des fédérations relèveraient quant à elles du collectif fédéral, élu en congrès, permettant un fonctionnement plus collégial et plus démocratique du militantisme local. De facto, c'est d'ailleurs ce qui existe déjà officieusement dans les fédérations qui connaisses le succès, et nous devons nous en inspirer pour tout le mouvement.
Changer le CN
Longtemps, on a essayé sans succès de réformer le conseil national, une instance sans poids politique réel alors qu'elle émane des militants dans les fédérations, et dont les longs débats caricaturaux et souvent ennuyeux entre les murs de Solférino ont renforcé notre déconnexion du réel. Pourtant, cette instance est très coûteuse aux finances du mouvement, puisque les camarades qui s'y rendent sont remboursés (souvent tardivement) et, à l'heure où nous avons moins de moyens, elle a vocation à retrouver son réel caractère de Parlement du mouvement.
Il y a donc urgence à la réformer en profondeur, et c'est pourquoi je suis en faveur du remplacement immédiat du conseil national (CN) par une conférence des territoires, composée des porte-paroles fédéraux, des secrétaires nationaux et du président, qui se réunirait une fois tous les trois mois. Son déroulé serait différent de ce qui se fait aujourd'hui, avec un partage des travaux en trois tiers. Le premier porterait sur les questions nationales, le second sur les questions locales (une par grande région, décidée auparavant en CCR), et le dernier consisterait en un temps d'échange avec un invité issu de la société civile, en vue d'affiner notre projet politique, venu du réel et de son expérience concrète.
Enfin, point essentiel de la volonté d'inscrire le MJS de demain dans une dynamique plus décentralisée, une conférence des territoires sur deux se tiendrait ailleurs qu'à Paris, et l'issue des travaux devrait obligatoirement s'accompagner d'une visite sur le terrain et/ou d'une action militante (un porte-à-porte dans un quartier populaire, un tractage, un ciné-débat ouvert aux citoyens ou encore un meeting sur un campus universitaire ou dans une maison pour tous). Les longs débats stériles et verbeux ont fait leur temps, place à une organisation vivante et efficace ! Il faut pour cela que les cadres du mouvement s'ouvrent au réel et militent réellement lorsqu'ils se retrouvent. Imaginons un instant une centaine de jeunes socialistes débarquer de toute la France dans une fédération pour militer, à l'issue de leurs travaux, avec les militants et les élus locaux. Quelle formidable force de frappe locale ce serait ! Quelle bouffée d'enthousiasme pour les camarades sur place qui se sentiraient moins seuls ! L'émulation ainsi créée permettrait d'obtenir de nouveaux militants et de tisser encore plus de liens entre les cadres du mouvement, dans un cadre efficace et convivial. Pourquoi s'en priver ?
Changer le bureau national
Aujourd'hui, le BN est composé de beaucoup trop de membres, lesquels dans les faits sont souvent des militants qui ont déjà essayé tous les postes possibles dans le mouvement et à qui on a donné un médaille pour services rendus à la présidence. Le BN sert hélas de caisse de résonance aux crises politiques, parce qu'il est beaucoup trop politisé sur la base des courants. Je propose donc que le BN soit remplacé par un secrétariat national, élu  par la conférence des territoires pour un an, renouvelable deux fois, resserré autour du président et paritaire.
Les secrétaires nationaux différeraient radicalement de celles et ceux qui existent déjà, dans la mesure où ils devront se mettre au travail pour animer la rédaction du projet politique des jeunes socialistes, de concert avec les militants et la société civile qui y seront enfin réellement associés. À chaque conférence des territoires, les secrétaires nationaux devront par ailleurs rendre compte de l'avancée de leurs travaux, avec un vote de confiance pour l'ensemble du secrétariat national.
Changer le CCR
Aujourd'hui, il est de l'avis de tous que les CCR sont l'un des échecs de notre organisation, malgré toute la bonne volonté des binômes élus les plus motivés et entreprenants. Le péché originel de l'impasse dans laquelle se trouve les CCR vient de leur politisation pourtant injustifié, en leur donnant le droit de signer des textes dans les instances pour les courants. Il faut donc dépolitiser les CCR pour en faire, enfin, de réelles instances de formation et d'action régionale. Par souci d'efficacité, je crois pour ma part que les CR doivent être dorénavant composés des seuls portes-paroles fédéraux et d'un membre par collectif fédéral, élu dans ces derniers. Collégialement, sans nommer de binômes paritaires, qui sont des usine à gaz qui n'ont jamais réellement fonctionné, les membres du CR doivent décider ensemble du sujet local qui sera abordé en conférence des territoires, avec un travail sur ce dernier dans les fédérations, réaliser les campagnes régionales et organiser deux week-ends régionaux de formation par an, minimum.
Changer la CNA
La CNA est aujourd'hui l'une des instances qui pose le plus problème. Son fonctionnement ultrapolitisé et son caractère trop rigide l'empêche de mener réellement à bien sa mission. Je propose donc que la composition de la CNA soit dorénavant entièrement réalisée par tirage au sort parmi tous les militants (porte-paroles fédéraux, membres du CCR, secrétaires nationaux et président exclus) pour désigner le président et les jurés (un par région). Lors d'un conflit à arbitrer, chaque camp pourra présenter la défense et l'accusation de son choix et les jurés tirés au sort trancheront, leurs frais de transports étant remboursés au plus vite. Une possibilité d'appel sera offerte si le jugement n'apporte pas pleine satisfaction aux parties en litige. Une fois le conflit réglé, la CNA est dissoute jusqu'au prochain.
2) Ce qui suivra les premières mesures immédiates
La plate-forme participative
Dans le cadre du congrès du PS, nous avons été les premiers dans le Gard à mettre en place une plate-forme en ligne, pour inviter les militants à s'exprimer sur la réforme du parti, initiative couronnée de succès et reprise par de nombreux autres territoires. Je propose donc la mise en service rapide d'une plate-forme participative, sur les questions organisationnelles et thématiques, ouverte à tous les militants.
Chaque militant recevra dès que son adhésion sera enregistrée au national des identifiants personnels pour se connecter à la plate-forme, où il pourra poster des propositions thématiques ou organisationnelles pour chaque pôle d'un secrétariat national. Toutes seront étudiées par le secrétaire national respectif, et chaque militant pourra réagir à la proposition, dans le respect de la charte éthique et politique de la plate-forme, afin de permettre des réactions et des émulations autour des idées nouvelles qui émergeront. Chaque militant pourra voter pour ou contre la proposition, et si plus de 50% des militants se prononcent en faveur de la proposition, celle-ci devra faire l'objet d'un débat en conférence des territoires, avec une prise de position arrêtée. Il s'agit ici de montrer que les militants ont un poids politique dans l'organisation, et que leur voix compte, partout.
Cet exercice novateur, je n'en doute pas, nous permettra de retrouver cette fibre démocratique que nous avons perdue, ainsi qu'une certaine crédibilité, en ce qu'elle nous permettra de redorer notre image auprès des jeunes, car militer au MJS, avec une plate-forme participative, aura davantage de sens.
Réaffirmer ensemble notre identité
Les dernières années, nous le savons, nous ont fait du mal et beaucoup de nos symboles ont été abîmés. Je propose donc de confier aux militants qui le voudront la création d'un hymne de la jeunesse socialiste, pour accompagner dans le partage et la convivialité nos meetings, instances, camps d'été ou encore soirées (modérément) arrosées entre militants, en plus des traditionnels chants militants.
Il faudra peut-être envisager aussi un changement de nom du MJS, pour acter la rupture. Ces deux symboles doivent être réalisés de concert avec les militants, et soumis démocratiquement à leur approbation.
Le projet politique
Jusqu'à présent, le projet politique incarné par l'organisation était le fruit du courant majoritaire, qui ne se souciait pas de ce que pouvait apporter tant les minorités que la société civile, et il n'avait d'ailleurs guère évolué en quinze ans. Les motions majoritaires se suivaient et se ressemblaient, de congrès en congrès, avec leur éternelle vieilles lunes qu'on retrouvait dans toutes les campagnes, même lorsque leur présence n'était pas forcément justifiée. Je veux sortir le MJS de cette impasse programmatique qui le condamne à la marginalisation politique.
À mes yeux, ce travail programmatique doit être porté par les dix secrétaires nationaux, secondés par les militants qui voudront s'y ajouter, un nombre volontairement petit, en vue d'être efficace. Il doit s'articuler selon moi en dix pôles (six thématiques et quatre organisationnels).
Six pôles thématiques
- Production et répartition durables des richesses
- Lutte contre les fractures
- Travail, emploi et monde syndical
- Culture et sciences
- Europe et relations internationales
- Enjeux de société
Quatre pôles organisationnels
- Campagnes, veille et riposte
- Relations avec la société civile et la jeune gauche en France
- Relations avec la jeune gauche internationale
- Formation et camp d'été
Deux forums à organiser
Au-delà des enjeux purement organisationnels, je pense que le MJS doit, comme le PS, être au rendez-vous de deux enjeux sur lesquels nous sommes particulièrement attendus : le bilan de notre passage au pouvoir et la question de savoir à qui nous nous adressons. Je propose donc la tenue de deux forums. Le premier, fin 2018, pour débriefer sur le quinquennat de François Hollande sur le volet jeunesse, sur le modèle de ce que compte faire Olivier Faure, avec la société civile, militante et universitaire, afin que chaque militant reçoive le catalogue des mesures et réussites du quinquennat, qui nous permettront de riposter plus efficacement aux réformes et propositions venues de nos adversaires politiques. Le second, début 2019 sous la forme d'une grande conférence participative de réflexion autour du thème « jeunes socialistes, qui voulons-nous défendre et à qui nous adressons-nous ? », en présence de chercheurs, d'élus et des militants. Je crois que ces deux enjeux sont essentiels pour nous permettre de rebondir efficacement et prétendre un jour retrouver le pouvoir.
Il faudra également envisager la tenue d'un forum sur l'Europe socialiste que nous voulons, en vue des élections européennes de 2019, pour y présenter les travaux des secrétariats nationaux sur ce sujet.
La revue du MJS
Comment imaginer en 2018 qu'une formation politique, dans un pays littéraire comme le nôtre, soit incapable de réaliser une revue en ligne, envoyée tous les quinze jours aux militants et sympathisants ? Véritable arlésienne des majorités précédentes, la revue du MJS n'a jamais vu le jour, et c'est là aussi un échec de ces dernières. Il nous faudra la mettre sur pieds, rapidement, et y faire participer tous les camarades qui le désireront, avec toute leur énergie et leur créativité, pour en faire un véritable espace de réflexion et de diffusion autour de notre militantisme socialiste.
Le concert annuel
En plus de ses missions d'ordre programmatique, le secrétaire national à la culture devra recenser les artistes proches de la famille socialiste et organiser avec ceux qui accepteraient de se produire gracieusement le concert annuel ouvert des jeunes socialistes, comme une micro fête de l'Huma, pour rendre le militantisme plus fun aux yeux des jeunes et renflouer nos caisses avec la buvette. Nous offrirons ainsi un visage plus convivial au militantisme, en joignant l'utile à l'agréable, initiative à reproduire en fédération.
Le camp d'été
Que serait un mouvement de jeunesse de gauche sans son traditionnel camp d'été ? Nous souffrons beaucoup de ne plus avoir eu cette opportunité depuis la fin des universités d'été de la Rochelle. Il nous faut nous retrouver de nouveau ensemble, dans un cadre estival et décontracté, pour profiter, dans la convivialité, d'un temps d'éducation populaire entre jeunes militants de toute la France.
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Le chemin qui s’annonce
Toutes ces propositions, qui sont avant tout celles d'un militant, ne sont qu'une première piste de réflexion, forcément amendables, et je serai très heureux d'avoir vos retours, vos impressions, quelque soit votre sensibilité au sein du MJS. L'urgence n'est pas au positionnement idéologique du MJS, à nous battre pour savoir qui est le plus à droite ou qui est le plus à gauche entre nous tous,. L'heure, au contraire, doit être à la reconstruction du sol au plafond d'une organisation en état de mort critique. Il y a tant à faire pour refonder, dans les actes et non plus dans l'incantation, le MJS. J'ai déjà grande hâte d'en débattre avec vous, pour remonter cette organisation qui en a tant besoin.
Ensemble, tout va changer !
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