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Le design n'est-il qu'une affaire de style ou d'esthétique ?
Le « design » est un anglicisme, dérivé de « to design » qui signifie concevoir, créer. Le design est un processus créatif présent dans diverses disciplines, dont le but est de traiter et d’apporter des solutions aux problématiques liées, par exemple aux enjeux sociaux, environnementaux, économiques…
Chacun possède sa propre définition de ce qu’est le design
Ainsi nous pouvons nous questionner si le design n’est-il qu’une affaire de style ou d’esthétique.
De cette manière, je vais m’intéresser à la partie éphémère du design, si ce n’est qu’une question de goût. En outre, je vais me soucier de l’esthétisation par rapport au design.
Le design est présent partout autour de nous, au quotidien mais attention à ne pas en exagérer jusqu’à son paroxysme. Il faut savoir que contrairement à l’artisanat, le design attrait à l’industrialisation, par exemple les objets conçus par des designers sont fabriqués à l’aide de machines ou de technologies. Le design n'est rien d'autre qu'un générateur d'expériences-à-vivre, que ce soit à travers des produits de grande consommation, des installations urbaines ou des services numériques. Ce qu'il modifie, c'est la qualité de l'expérience vécue de l'usage. Car je peux faire usage d'une salle de bains, d'une montre ou d'un téléphone sans qu'aucune qualité d'expérience vécue me soit proposée.
En revanche, maintenant l’esthétique prime sur le fonctionnel d’un objet. Alors que le design fonctionnel, comme son nom l’indique, représente davantage le processus par lequel on améliore le fonctionnement , soit l’utilisation même de ce qu’on conçoit. Les bons designers, si on peut dire ainsi, sont ceux qui savant aller au-delà de la forme et de la fonction pour que le résultat final soit pratique, ergonomie, esthétique, rentable et techniquement possible. Le concept du design a pour but de combiner, rendre agréable l’utilité et l’harmonie, l’esthétique.
En somme, la grande majorité du grand public emploie le terme de « design » à tort et à travers, se transforme de la sorte à un abus de langage. Chacun d’entre nous se construit un avis subjectif sur ce concept.
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Sketchnothing "Le cerveau peut faire des merveilles lorsqu'il est apaisé" - Johnathan Curiel (rédacteur de cet article)
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Compte-rendu d'un article pour une science de l'imaginaire Luigi Serafini (Etapes magazine n°266)
Dans cet échange entre la journaliste Caroline Bouije et l'artiste Luigi Serafini, ils abordent le codex seraphinianus. C'est une sorte d'encyclopédie mêlant divers thèmes comme les mathématiques, l'anatomie, l'architecture…
Le livre est illustré avec des dessins autant absurde les uns que les autres. De plus, Luigi Serafini invente une nouvelle écriture fictive qui s'accompagne de chimères. Son codex est en perpétuelle évolution à chaque édition, il se nourrit au fur et à mesure. Il peut enfin retranscrire ses pensées, son subconscient grâce à cette nouvelle forme d'écriture.
Il puisse son inspiration dans les Métamorphoses d'Ovide qu'il compare maintenant aux évolutions technologiques. Il dessine dans un univers jovial puisqu'il souhaite s'éloigner de la réalité. Pour finir, il n'a jamais eu besoin de promouvoir son Codex en faisant du marketing.
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Compte- rendu du texte Pour une esthétique de la pop culture, AOC, 2018 article écrit par Matthieu Letourneux
Paragraphe 1 :
Matthieu Letourneux s’intéresse à la pop culture, c’est un ensemble de pratiques, de croyances et d’objets qui sont dominants ou omniprésents dans une société à un moment donné. Cet art s’inspire de la culture de masse et de la société de consommation.
Paragraphe 2 :
La publicité, les médias, la bande dessinée et la télévision vont être les principales sources d’inspiration de ce mouvement. On peut appeler plus communément les domaines culturels qui font référence à la musique tel que le Rap, Reggae, Jazz… Mais aussi l’art avec la bande dessinée, l’art naïf, le Pop art…
Paragraphe 3 :
Il faut savoir que la pop culture est à l’opposé d’une culture élitiste ou avant-gardiste qui ne toucherait qu’une minorité de la population. Ainsi, les artistes du Pop Art représentent l’art comme un produit consommable qui soit ��phémère, bon marché et jetable.
Paragraphe 4 :
Dans les années 70, la majorité de la population avait un préjugé sur la bande dessinée, ils ont sous-estimé ce genre littéraire. De cette manière, on peut distinguer une différence entre la culture de consommation et la haute culture.
Paragraphe 5 :
Tout ce qui a servi de fondement au discours sur la culture dans la modernité est en train de s’écrouler.
Paragraphe 6 :
Plusieurs phénomènes apparaissent comme la consommation qui s’accompagne d’une esthétisation des objets. L’accélération ont imposé une conception plus légère de la relation esthétique.
Paragraphe 7 :
La pop culture a bouleversé les codes de l’esthétique et de l’art, c’est pour cela que nous n’évaluons plus les objets de la même manière.
Paragraphe 8 :
L’auteur illustre ses propos en donnant des exemples précis, à travers ces œuvres il s’intéresse à l’œuvre, l’auteur et la valeur esthétique.
Paragraphe 9 :
Matthieu Letourneux s’intéresse plus précisément aux productions Disney et Star Wars.
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Compte rendu le design thinking : un état d'esprit pour une révolution silencieuse
Catherine Fourmond s'intéresse au design thinking, c'est une pratique qui permet de répondre à des besoins. Cette démarche est basée sur l'utilisateur.
Cette pratique existe depuis un près 10 ans en France, elle consiste à créer un lien social.
Rémi Edart figure comme un designer thinker, qui bouleverse la société, il souhaite du changement.
Selon lui, ce processus marketing doit suivre 3 critères comme la nouveauté, le changement et le fait de travailler ensemble. Et faire quelque chose qui a réel intérêt sur le plan humain.
Rémi Edart supervise des équipes dans leurs projets d'innovation ou de transformation. La thinking Academy, favorise "l'apprentissage par le faire" en organisant des ateliers certifiants.
Pour finir, le design thinking permet de prendre conscience des besoins de ce monde et de chacun.
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Compte-rendu du texte Plaire et toucher. Essai sur la société de séduction, de Gilles Lipovetsky
Paragraphe 1 :
Dans cet essai, Gilles Lipovetsky s’intéresse à une société où prône l’individualisme. Cette notion est évoquée avec un regard bienveillant de la part de l’auteur.
Paragraphe 2 :
La séduction est représentée comme un phénomène biologique et culturel. Il nous fait comprendre que cette attirance est un élément majeur dans notre société, qui est présente dans divers domaines.
Paragraphe 3 :
L’approche de Lipovetsky n’est pas uniquement descriptive. Elle n’opte pas, non plus pour une vision apocalyptique de la séduction (que certains considèrent comme synonyme d’uniformisation, de souffrance, d’addiction, d’aliénation…). Au contraire, elle permet une personnalisation. Les consommateurs – qui savent rationaliser leur choix, faire la part des choses, etc. - garde leur esprit critique.
Paragraphe 4 :
L’individualisme s’il amène une part de malaise ne débouche néanmoins pas forcément sur une société superficielle. Par ailleurs, si la société de séduction amène son lot de désarrois, Lipovetsky ne bascule pas dans le moralisme qui consiste à dire que la séduction et l’individualisme : c’est mal. L’hyperindividualisme n’empêche pas la profondeur des liens.
Paragraphe 5 :
Ceux qui aspirent à résister à ce règne de la séduction ont le droit. Ils doivent cependant garder en tête que la séduction règne en maître. Même ceux qui veulent construire une société plus humaine n’échappent pas à cette logique de la séduction.
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