Un objet a une histoire, un patrimoine matériel et technique qui le constitue. Ces éléments ne sont jamais clairement identifiables une fois finie. Nous ne pouvons savoir si la taille est un choix ou une contrainte de la machine, si le matériau est volontairement utilisé ou imposé pour la forme qu'on veit en faire. C'est la face caché de nos objet: le design. Ce processus complexe souvent incompris des usager mais important car c'est ce qui lui permet de satisfaire l'usager .
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Lave-vaisselle Mono, Concept Daniel Simonini, Cristina Perdikaki et Giorgio Bonaguro, 2011
Le lave-vaisselle Mono est conçu pour s'adapter sur un comptoir de cuisine et nettoyer la vaisselle à l'aide de l'eau provenant de l'évier. Le lave-vaisselle Mono a des commandes tactiles sur son extérieur lisse qui est conçu pour ressembler à une éponge de mer. Mono tire son eau de l'évier à l'aide d'un tuyau spécial. L'eau est ensuite mise sous pression par Mono pour nettoyer la vaisselle / couverts. En plus de nettoyer la vaisselle, l'eau sous pression est utilisée pour charger la batterie de l'appareil, ce qui la rend neutre en carbone. Un appareil comme celui-ci ferait des merveilles pour les familles vivant dans des maisons sans lave-vaisselle. Cela pourrait également conduire les entreprises à réduire la taille de leurs lave-vaisselle actuels dans le but de les amener à économiser plus d'énergie et à utiliser moins d'eau
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Lave-vaisselle BOB, Daantech, 2018
Bob le mini lave-vaisselle ne consomme que 0.35kWh et n’utilise que 2.4 litres d’eau par cycle, soit 5 fois moins qu’un lavage à la main. Il lave la vaisselle quotidienne de une à deux personnes.
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Transparent Tools, Jesse Howard
Transparent Tools est une famille d'appareils électroménagers qui présente un scénario futur dans lequel les utilisateurs sont activement impliqués dans la production, la réparation et la modification de leurs propres produits. En utilisant des composants imprimés en 3D, les machines résultantes peuvent être reproduites une par une plutôt qu'à l'échelle de la production de masse. La famille d'appareils se compose d'un grille-pain, d'un moulin motorisé, d'une bouilloire électrique et d'un aspirateur.
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Waterless cleaner Concept de Beata Patasuite, 2011
Le nettoyant sans eau de Beata Patasiute est une solution de nettoyage sans eau qui utilise des micro-ondes magnétiques pour chauffer les molécules dipolaires de résidus alimentaires collés sur la vaisselle. Comme la tête rotative et les poils flexibles éliminent les résidus, seules ces molécules sont chauffées, de sorte que le plat reste froid et peut être manipulé en toute sécurité pendant le nettoyage.
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L'exposition du Smithsonian Museum à Washington aux États-Unis en 2016, «Things Come Apart» (les choses se démontent), est une exposition qui s'intéresse aux entrailles des technologies.
L'exposition présente plus de 40 photos de l'artiste Todd McLellan, où sont disséqués des objets technologiques de notre quotidien.En dénombrant le nombre de pièce qui composent chaque objet.
Ordinateur portable : 639 composants
Perceuse: 216 composants
Couteau suisse: 38 composants
Montre: 130 composants
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Table Clavex, Maximum Basile de Gaulle et Romée de la Bigne, 2016
Plateau: verre sécurité trempé. Structure: ancien échafaudages fournis par l’entreprise Altrad-Plettac. Peinture époxy, bouchons en liège. Chaque mod��le est unique.
En France, l’industrie rejette un tiers de sa productions sous la forme de rebuts, soit 65 000 tonnes de matière chaque jour. En se servant de chutes de métal, de plastiques, de verre ou de carbone pour fabriquer son mobilier, Maximum donne à l’économie circulaire une dimension industrielle.
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Le design durable signifie pour moi créer des produits qui ont du sens, durent longtemps, tout en réinterrogeant les matériaux et leur utilisation.
Sophie Rowley
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Objet Trou noir, Studio GGSV Gaëlle Gabillet et Stéphane Villard 2011
“Nous pourrions tenter d’éprouver un nouveau paradigme: créer des objets “en plus”, qui auraient pour vocation de générer des objets “en moins”
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Collection Materia Madura Prehistoria (2015) : Coffee tables
“Ma vision du design durable est celle du “Cradle-to-Cradle”. Utiliser les ressources de la nature comme matière première et créer des objets, en fin de vie, retournent à la nature”
Ana Cristina Quinones
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EKOKOOK , Faltasi Victor Massip et Laurent Lebot, 2010
“Les Faltasi veulent faire de la cuisine le lieu d’une transition vers d’autres usages, tourné vers l’extérieur, organisé autour du tri des ordures ménagères. Celles-ci représentent en France, chaque année, une tonne en moyenne par foyer” p.156 75 designers pour un monde durable édition de La matinière
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https://www.google.com/amp/s/www.numero.com/fr/design/formafantasma-simone-farresin-andrea-trimarchi-jeunes-artistes-en-europe-fondation-cartier%3famp
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Chair de Formafantasma, 2017
"Dans cette exposition, nous voulions brouiller les frontières, pour qu'on ne soit plus tout à fait sûr de ce qui est recyclé et de ce qui est neuf, en supprimant la hiérarchie de valeur économique assignée au neuf et au déchet par nos sociétés capitalistes" Simone Farresin
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Chronique n°9: le problème de l’upcycling
La pratique de l’upcycling est paradoxale. Elle permet sans conteste de recycler des matériaux, des objets en nouveaux produits. Les designers offrent une nouvelles vies et de nouveaux usages pourtant un problème persiste: ces nouveaux produits sont-ils recyclable à leur tour?
Antoine Laymond est un éco-designer, il récupère des objets laissés sur les trottoirs pour en créer de nouveau. Ses créations éco-design sont des collages, des assemblages, des mélanges de matériaux, et ces derniers ne sont pas tous recyclable une fois assemblés à d’autres. Par exemple le coffre rénové est un mélange de placage de bois et de palette or le placage se pose sur un matériaux solide tel que du médium et non sur du bois brut comme les palettes.Outre le fait que au final nous ne sachons pas tout ce qui constitue ce nouveau produit nous ne savons pas comment recycler ce dernier quand nous n’en voudrons plus.
Des organismes tel que eco-systeme recyclent les appareils électroménagers des marquent en partenariat avec eux, et seulement 3 appareils sur 5 sont recyclés entièrement. Et les entreprises qui travaillent de concert avec ces organismes changent-ils pour autant les matériaux de leur produits afin de faciliter leur recyclage?
Nous n’avons que très peu d’information sur les matériaux et leur traitement ce qui rend difficile le recyclage de ces matériaux indépendamment des autres complexes pour les usagers. Et d’autant plus quand des matériaux sont mélanges. Certains sont recyclable à l’infini comme le verre, d’autre comme les matériaux transformer ne le sont pas du tout à cause des différents composants qu’ils contiennent.
Le designer devrait ainsi pouvoir choisir quel matériaux utiliser selon la faciliter de recyclage ou non. Bien choisir ses matériaux, savoir renseigner l’usager sur ceux qui sont utilisés et comment les recycler dans l’ensemble ou individuellement serait bien plus efficace que l’upcycling.
Avoir une pratique du design plus responsable pour ne pas avoir à recréer de seconde vie pour limiter les conséquences écologiques.
Angélique Perrin
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