ABDL et diaper-girl un Art de vie Le site Abkingdom grandit de jour en jour, il a 19 ans !
Don't wanna be here? Send us removal request.
Text
Mit Papi auf dem Schiff - AhooooiiiâŁïžđ„°đą
With Daddy on the ship - AhooooiiiâŁïžđ„°đą
602 notes
·
View notes
Text
youtube
Nous avons commandé une machine à fessée pour notre gßte fétichiste et l'avons testé. C'est TROP génial et offre, en plus des jeux solitaires, de multiples possibilités de jeux entre amis coquins, du CBT et autres puis d'adapte au selfbondage.
Elle permet également aux fesseurs de gérer les vilaines à distance grùce aux cams.
Cette vidéo postée sur youtube est un tutorial qui devrait vous donner des idées...
3 notes
·
View notes
Photo
Et si vous veniez VOUS AUSSI dormir dans ce lit cage ? Voir le site du gßte fétichistes ICI
2 notes
·
View notes
Text
Regression totale au gĂźte fetichistes
Jâoffre une semaine de vacances tous frais payĂ©s et 500 ⏠à la nurse qui acceptera de me faire rĂ©gresser une semaine au gĂźte fĂ©tichistes. Au delĂ du fantasme, le pauvre Luc va ĂȘtre confrontĂ© Ă une cruelle et rĂ©gressive rĂ©alitĂ©. âŠâŠâŠâŠ. Telle Ă©tait la nouvelle annonce de Luc, un ABDL dĂ©sespĂ©rĂ© de trouver une compagne avec laquelle, il pourrait vivre ses fantasmes. Au dĂ©lĂ dâun simple fantasme, pour Luc, câest un rĂ©el besoin que de se sentir protĂ©gĂ©, choyĂ©, aimĂ© comme un bĂ©bĂ©. Ce nâest pas que cet homme ĂągĂ© de 35 ans ne soit pas une personne agrĂ©able qui pose problĂšme aux femmes, câest quâil les drague en ne parlant que de lui, que de ses envies sans jamais sâintĂ©resser Ă elles. A cela se rajoute son annonce sur les sites de rencontres : « Ch femme pour vie commune qui me fera rĂ©gressĂ© H 24 et mâobligera Ă porter des couches et Ă vivre comme un bĂ©bĂ©. Annonce sĂ©rieuse »  Avec une telle annonce, aucune femme ne pouvait ĂȘtre intĂ©ressĂ©e. Dans son imagination de macho, pour lui, cette femme serait heureuse dâavoir un bĂ©bĂ© Ă sâoccuper et rien dâautre. En faisant abstraction volontairement ou en oubliant quâune femme a aussi des envies de loisirs, dâun compagnon de vie, puis que lâon sâoccupe dâelle dans lâintimitĂ© et dâune vraie vie, il ne pouvait pas rencontrer la perle de sa vie. AgĂ©e de 30 ans, Sandra est une femme ronde ultra complexĂ©e par son corps. A cela se rajoute une grande blessure psychologique causĂ©e par un homme abject. AprĂšs lâavoir draguĂ©e et grandement charmĂ©e, cet enfoirĂ© (mot adaptĂ©) lâa sautĂ©e ni plus ni moins quâun seul soir avant de lui avouer, que câĂ©tait pour voir comme ça fait « une grosse ». Cet homme « dĂ©licat » lâa ensuite abandonnĂ©e nue comme un Kleenex usagĂ© sur le lit de sa chambre en lui disant de ne plus le contacter. En perdant sa virginitĂ© de cette abominable façon, blessĂ©e et humiliĂ©e, Sandra nâa plus jamais cherchĂ© Ă avoir de relation avec les hommes. Pour elle, Ă cause de son corps, elle serait cĂ©libataire Ă vie. Ce nâest pas parce quâon est une femme ronde que lâon a pas des envies et des fantasmes. En sâaccordant quelques plaisirs solitaires, Sandra se verrait bien vivre avec un homme coquin voir mĂȘme un peu daddy dom. Cela serait possible si elle nâĂ©tait pas ultra complexĂ©e et que son Ăąme de femme nâavait pas Ă©tĂ© brisĂ©e par un « enfoirĂ© ». LâABDL elle connaĂźt, cela fait aussi partie de ses fantasmes. Si elle osait, elle serait une little mĂ©ritant des fessĂ©es et vivrait avec un Daddy dom aimant le Dark Ăąge-play. Câest donc en surfant sans aucun espoir quâelle est tombĂ©e sur lâannonce de Luc. Ne roulant pas sur lâor, quâon lui offre une semaine de vacances tout frais payĂ© et 500 euros tombe Ă pic, 500 euros câest le devis de son garagiste. Sans voiture, elle ne pourra pas aller travailler. AprĂšs au minimum 30 messages privĂ©s, Sandra est convaincue que Luc est sĂ©rieux. En plus, elle sâest renseignĂ©e, le gĂźte fĂ©tichiste existe rĂ©ellement, les gens semblent charmants et si elle avait un souci, elle ne serait pas seule. La premiĂšre rencontre se fait dans un lieu public, un cafĂ©. Sandra fait un mĂštre quatre vingt. Luc est trĂšs mince et mesure un mĂštre soixante, autant dire que si besoin  avec une simple gifle, elle aura rĂ©glĂ© le problĂšme si besoin. Lâaffaire est conclue, Luc lui donne 250 euros dĂšs la rĂ©servation. Dans la voiture, avant le dĂ©part, ils reprĂ©cisent Ă nouveau chacun leur tour, leurs rĂŽles. Lui souhaite rĂ©ellement quâelle lui impose une rĂ©gression totale une semaine comme un vrai bĂ©bĂ©, elle souhaite profiter des vacances offertes mais quâil nâespĂšre mĂȘme pas une relation sexuelle, ni quâil lâa touche. Etant totalement dâaccord, ils prennent donc la route. Luc est en couche avant mĂȘme dâarriver au gĂźte fĂ©tichistes. Les rĂŽles nâĂ©taient pas rĂ©ellement Ă©tablis sur les 200 premiers kilomĂštres puisque câest lui qui conduisait. Sur une aire de repos dĂ©serte, Sandra dĂ©cida devant le moulin Ă paroles perdu dans ses fantasmes, de prendre les commandes avant mĂȘme dâarriver au gĂźte. Elle le mit en couche sur la banquette arriĂšre, lui colla une tĂ©tine dans la bouche en lui rappelant quâun bĂ©bĂ© ne parle pas, il braille quand il a faim, soif et uniquement pour des choses de bĂ©bĂ© ! Fort gĂȘnĂ© dâĂȘtre vu avec sa tĂ©tine, assis sur le siĂšge arriĂšre de la voiture, Luc nâosa plus parler. ArrivĂ©s au gĂźte, Sandra apprĂ©cia lâaccueil chaleureux. Luc aussi dans un sens, car Ă peine les papiers faits et la visite des lieux faite, il fut conduit Ă la nurserie. Une fois changĂ© et langĂ©, il se retrouva dans le lit de bĂ©bĂ© pour que « Maman » ait le temps de sâinstaller. Elle ne fit pas que ça. Elle demanda sâil Ă©tait encore possible de commander le repas du soir en prĂ©cisant, classique pour moi et mixĂ© puis sur chaise haute pour mon bĂ©bĂ©. AmusĂ© par lâarrivĂ©e en fanfare de ce quâils ont pris pour un couple vivant leurs fantasmes Ă 100 %, Marc et son Ă©pouse acceptĂšrent de faire le repas non commandĂ© et dâinstaller la chaise haute dans la salle de restauration. Pendant ce temps, Sandra installa ses affaires dans le gĂźte avant dâaller chercher le petit toujours couchĂ© Ă la nurserie. Enfer et damnation ! Le bĂ©bĂ© Ă©tait redevenu grand et mĂȘme vicieux ! Elle le trouva couchĂ© sur le lit de la chambre Love en train de se masturber. Autant dire que la remontĂ©e de bretelles ou plutĂŽt de couche, fut sĂ©vĂšre ! Aux yeux de Sandra, il Ă©tait inconcevable que Luc puisse faire ça pendant le sĂ©jour !  RecouchĂ© manu militari aprĂšs avoir Ă©tĂ© changĂ©, elle revisita le site du gĂźte fĂ©tichiste oĂč elle retrouva lâindication quâil Ă©tait possible de demander aux responsables de garder les clĂ©s dâune cage de chastetĂ©. Le pauvre Luc allait en faire les frais trois fois. - Une en achetant une cage de chastetĂ© dâABCplaisir, la boutique Ă©tant dans le mĂȘme bĂątiment. - Une en la portant H24. - Lâautre avec une grande humiliation le soir mĂȘme dans la salle de restauration. LES PREMIERES HUMILIATIONS ET LE DEBUT DE LA REGRESSION En arrivant Ă 20h30 dans la salle de restauration, ils dĂ©couvrirent que la table nâĂ©tait mise que pour trois, Sandra et les propriĂ©taires du gĂźte. Pour Luc, la chaise haute Ă©tait placĂ©e en bout de table. LâidĂ©e dâĂȘtre rĂ©ellement vu en bĂ©bĂ© le gĂȘnait horriblement. En effet, il ne portait comme vĂȘtements que sa couche et un body. Ce fut pire encore pour sa pudeur quand Sandra le fit monter sur la chaise haute quâelle referma aussitĂŽt. Dans le menu Ă 13 euros, un apĂ©ritif est prĂ©vu. Pour Sandra ce fut un verre de sangria et pour Luc, le mieux est que je leur laisse la parole ! - ET pour le petit ? Demanda Marc au moment de choisir lâapĂ©ro. - Un coca ! RĂ©pondit Luc naturellement aprĂšs avoir retirĂ© sa tĂ©tine. - Non, non, non, pas question que le petit boive ce genre de chose Ă son Ăąge. Avez-vous du jus de fruits ? - Bien sĂ»r Madame rĂ©pondit Marc. - Parfait, prenez son biberon, car un verre câest trop dangereux rĂ©pondit Sandra.  Autant dire que Luc nâosa pas discuter. Question humiliation, Sandra se lĂącha totalement entre le Canard confit sauce aux figues et le fromage. - Jâai vu que vous gardiez les clĂ©s des cages de chastetĂ© sur simple demande. Est-ce que cela serait possible de nous en vendre une et de garder les clĂ©s pendant notre sĂ©jour ? Vous comprenez, ce petit est un gros vicieux, jâai pour mission de le faire rĂ©gresser et lui apprendre la sagesse. Le pauvre Luc faillit avaler sa tĂ©tine en Ă©coutant sa « maman » parler de lui comme ça ! Il se dĂ©composa en terminant son biberon quand lâentrĂ©e fut servie. Un belle assiette de tapas maison pour eux, et une sorte de soupe pour lui. Sandra assuma son rĂŽle Ă la perfection, en le faisant manger comme un bĂ©bĂ©. Luc essaya bien de discuter lui aussi, mais il lui fut rappelĂ© quâun bĂ©bĂ© sa braille mais ne parle pas. «  Je ne te comprends pas » ou « on ne te comprend pas » rĂ©pondait Sandra Ă Luc Ă chaque tentative. Le bĂ©bĂ© fut donc obligĂ© de se taire jusquâĂ la fin du repas. A la suite duquel, ils prirent congĂ©s pour se rendre Ă la nurserie au lieu du gĂźte en demandant Ă Marc de venir les conseiller pour mettre la cage de chastetĂ©. Luc se dĂ©composa, un homme allait assister Ă son change, le voir nu et pire encore, Ă la pose de sa cage de chastetĂ©. MalgrĂ© les conseils Ă©clairĂ©s, Luc nâarriva pas Ă passer lâanneau de sa cage de chastetĂ©. Sandra trĂšs gĂȘnĂ©e de touche le sexe de son bĂ©bĂ© non plus. Elle finit par demander Ă Marc de les aider. TrĂšs professionnel, avec une attitude et des gestes aussi prĂ©cis quâun infirmier sâoccupant dâun patient, il attrapa le sexe de Luc devenu blĂȘme, et, en quelques secondes rĂ©solut le problĂšme. - VoilĂ , elle est posĂ©e, il ne vous reste plus quâĂ fermer le cadenas ! Leur indiqua Marc en prĂ©cisant que ce nâĂ©tait pas son rĂŽle avant de quitter les lieux pour les laisser en toute intimitĂ©. Le petit oiseau fut bouclĂ© ! Sandra avait dĂ©cidĂ© de dormir dans la chambre LOVE, lieu fouettant ses propres fantasmes. Une fois que Luc fut en couche et prĂ©parĂ© pour la nuit avec, un body et une grenouillĂšre dâĂ©tĂ© prĂȘtĂ©e par le gĂźte, elle le coucha dans le lit de bĂ©bĂ©. ExcitĂ©e par tous les sextoys du donjon accolĂ© Ă la chambre LOVE, Sandra prit la prĂ©caution de fermer le lit de bĂ©bĂ© Ă clĂ© avec le petit cadenas prĂ©vu Ă cet effet. Elle lui donna sa tĂ©tine, lui souhaita bonne nuit avant de fermer la porte de la nurserie. Luc Ă©tait un peu perdu. Dans un sens, sa nurse Ă©tait trĂšs attentionnĂ©e, elle sâĂ©tait bien occupĂ©e  de lui, il vivait exactement ce quâil voulait avec un bĂ©mol : la cage de chastetĂ© !  Il peina Ă trouver le sommeil.  De son cĂŽtĂ© et enfin tranquille, Sandra visita le donjon avec un grand intĂ©rĂȘt. MĂȘme si elle nâavait jamais Ă©tĂ© attirĂ©e par ce genre de pratique, les lieux de la laissait pas de marbre. Elle quitta les lieux pour se rendre au gĂźte prendre une douche et sa chemise de nuit avant de revenir Ă la chambre Love. Passant de « maman » Ă femme, elle emprunta un gode et le vibromasseur Magic wand pour sâaccorder un moment de plaisir solitaire. Ce genre de pratique aidant Ă trouver le sommeil, elle ne tarda pas Ă sâendormir contrairement Ă Luc, son voisin de chambre. Le lendemain, avant de se lever, elle sâaccorda un nouveau plaisir solitaire, les sextoys Ă©tant encore sur le lit, autant en profiter. A la suite de quoi, elle fit la grĂące matinĂ©e oubliant un peu le bĂ©bĂ©. Quâon le veuille ou non, la nature reprend ses droits. Les envies pressantes de Luc ne portaient pas sur le pipi, plusieurs ayant Ă©tĂ© faits pendant la nuit, mais sur lâautre cĂŽtĂ© de son anatomie. Ce nâest pas quâil ne lâait jamais fait de dĂ©fĂ©quer dans sa couche, mais lĂ diffĂ©rence notable portait sur le fait quâil risquait de devoir « baigner » dans ses mictions un certain temps. Et il ne se trompait pas ! En mĂšre ou nurse indigne, Sandra ne se leva que vers neuf heures. Son premier rĂ©flexe fut de se rendre au gĂźte faire ses besoins sur le pot des grands, puis se faire un cafĂ© avant de prendre une douche. Ce nâest quâaprĂšs ça, quâelle sâoccupa du petit dĂ©jeuner de son bĂ©bĂ©. MacĂ©rant dans sa couche bien chargĂ©e, Luc attendait avec impatience, en compagnie des odeurs nausĂ©abondes, quâelle vienne le libĂ©rer. Lorsquâelle arriva pour le dĂ©livrer, elle le fit asseoir sur la chaise dâinquisition pouvant servir de chaise haute pour adulte. Sâasseoir sur sa couche pleine ne lâamusa pas ni quâelle ouvre la porte du donjon pour cause de parfum de fesses sales. Et lĂ , Sandra devint une nurse attentionnĂ©e. Elle lui donna un biberon de lait avec beaucoup de tendresse. Une fois le bibi absorbĂ©, devant les dĂ©gĂąts visibles sur la couche, Sandra estima que le change se ferait au gĂźte. Luc fut donc guidĂ© et obligĂ© de se dĂ©placer en marchant « en canard » Ă lâextĂ©rieur, ce qui pouvait lâexposer aux regards. Autant dire quâil ne tarda pas. Au gĂźte, Sandra le nettoya, le doucha avant de le langer et de lâhabiller avec un tee-shirt, la culotte plastique, le body et un pantalon en lui indiquant quâil fallait aller faire des courses. Alors quâils sortaient du gĂźte, elle aperçut Marc se rendant Ă son potager. Elle dĂ©cida de le rejoindre pour lui demander conseil pour faire les courses, puis si il Ă©tait possible de leur prĂȘter un gros coussin pour en faire un « rehausseur » dans la voiture. Quelques minutes plus tard, câest donc assis sur ce rehausseur de fortune sur le siĂšge arriĂšre de sa voiture, quâils se rendirent Ă Mercadona, un supermarchĂ© Ă quatorze kilomĂštres de lĂ . Luc nâeut pas dâautres choix que dâaccompagner sa nurse dans le supermarchĂ© avec ses grosses fesses et sa tĂ©tine en bouche. AmusĂ©e de sa gĂȘne, elle commentait Ă haute et intelligible voix, les produits qui devraient ĂȘtre bien pour son gros bĂ©bĂ© avant de les mettre dans la caddy. Fort gĂȘnĂ©, Luc se sentait malgrĂ© tout rassurĂ©, les Espagnols ne pouvaient comprendre ce quâelle disait en français ! GrossiĂšre erreur, en Espagne lâapprentissage des langues Ă©trangĂšres se fait tout petit Ă lâĂ©cole. Si bien quâune femme compatissante, entreprit de la fĂ©liciter. - Madame, je tiens Ă vous fĂ©liciter. Jâai entendu ce que vous disiez et si je comprends bien, vous avez pris votre frĂšre handicapĂ© avec vous pour les vacances. Câest tout en votre honneur. Lui dit la dame avec un grand sourire. - Merci Madame, câest trĂšs gentil Ă vous. Il souffre effectivement dâune dĂ©ficience mentale avancĂ©e, mentalement il nâa quâun an et il nâest pas propre. Je ne vous cache pas que câest une charge importante pour moi de mâoccuper de lui. Savez-vous si ils vendent des couches ici ? Demanda Sandra.   - Oui, jâen ai vu. Je vous accompagne ! RĂ©pondit ma femme.  En Espagne, les gens sont trĂšs serviables, mais le pauvre Luc nâapprĂ©cia pas du tout, bien au contraire, pour lui, cette femme Ă©tait un vĂ©ritable pot de colle ! Un quart dâheure plus tard, ils arrivĂšrent Ă la caisse avec un caddy bien chargĂ© et surtout, avec deux paquets de couches posĂ©s sur le dessus. Les gens ne disaient rien et semblaient compatissants en voyant cette femme accompagnĂ©e dâun adulte avec une tĂ©tine de bĂ©bĂ© dans la bouche et tenu par la main. La caissiĂšre lâaida mĂȘme Ă remettre les courses dans son caddy en lui parlant en Espagnol. Si ils ne comprirent pas ce quâelle disait, ils perçurent clairement quâelle Ă©tait elle aussi, trĂšs compatissante.  Luc fut soulagĂ© de retrouver sa place sur le siĂšge arriĂšre et de quitter les lieux oĂč il touchait du doigt la rĂ©alitĂ© de ses fantasmes de rĂ©gression totale imposĂ©e. ArrivĂ©s au gĂźte, elle le laissa dans la voiture quelques minutes pour aller chercher des jouets et le tapis de jeu pour lâoccuper pendant quâelle rangerait les courses. Assis sur son tapis de jeu dans le gĂźte, Luc se dĂ©contracta pendant quâelle sâoccupait du repas de midi. Bien dĂ©cidĂ© Ă assumer son rĂŽle de nurse modĂšle, elle interpella Marc pour savoir si il avait une couverture Ă leur prĂȘter pour aller pique-niquer. Luc se dĂ©composa en entendant sa demande. - Oui bien sĂ»r, je vais vous lâapporter, vous souhaitez aller visiter quelque chose dans le quartier ? Demanda Marc - Nous irons demain faire du tourisme, aujourdâhui nous allons profiter de votre parc et du soleil pour pique niquer sur lâherbe. Si cela ne vous dĂ©range pas, pendant le repas de ce soir, vous pourrez nous indiquer ce quâil y a Ă voir dans la rĂ©gion ? « Mais avec plaisir » rĂ©pondit Marc avant dâaller chercher la couverture. Une heure plus tard, le bĂ©bĂ© Ă©tait assis sur la couverture, Ă lâombre sous les grands arbres. Sandra faisait sortit les pots de bĂ©bĂ© achetĂ©s le matin et commença Ă nourrir son bĂ©bĂ© salivant devant les superbes tranches de jambon ibĂ©rique et le chorizo. HĂ©las pour lui, cette nourriture ne convient pas au bĂ©bĂ©. ExtrĂȘmement attentionnĂ©e, Sandra lâinvita Ă sâallonger et Ă poser sa tĂȘte sur sa cuisse pour lui donner un biberon de lait chocolatĂ© en guise de dessert. Vues de loin, ils ressemblaient Ă des amoureux, partageant totalement un instant de rĂ©gression. AprĂšs ce pique-nique, Luc fut conduit Ă la nurserie puis changĂ© et couchĂ© dans le lit quâelle ferma pour ĂȘtre tranquille. - Fait dodo bĂ©bĂ© Luc, maman va Ă la piscine, elle reviendra te voir dans un moment ! Lui indiqua Sandra bien dĂ©cidĂ©e Ă profiter de ses vacances ! Lâeau de la piscine Ă©tant Ă 28°, elle nâeut aucun problĂšme pour y entrer et se baigner sereinement. Elle Ă©tait si sereine quâelle dĂ©cida de retirer son maillot pour faire un peu de bronzage intĂ©gral. « Quels pieds ces vacances, je sens que je vais me plaire ici » pensa Sandra en oubliant le bĂ©bĂ©. AprĂšs sâĂȘtre protĂ©gĂ©e avec dâambre solaire, elle continua de bronzer sur un transat. Ce nâest quâen fin dâaprĂšs-midi, quâelle prit conscience que le « petit » devait avoir faim. Effectivement, Luc avait faim et soif. Il commençait Ă sâennuyer lourdement et Ă se dire que, finalement, la semaine risquait dâĂȘtre longue. Il fut ravi de voir arriver sa nounou et qui plus est, en maillot de bain. Sandra lâinstalla sur la petite chaise installĂ©e Ă la table de la piscine Ă lâombre sous le noyer pour lui donner un biberon dâeau et un petit pot de bĂ©bĂ© en guise de goĂ»ter. La piscine lui faisait de lâĆil, il la montra du doigt en essayant de faire comprendre quâil irait bien se baigner. La piscine Ă©tant pour adulte et sans maĂźtre nageur, la baignade lui fut refusĂ©e pour cause de sĂ©curitĂ©. Luc souffla de mĂ©contentement. En guise de baignade il fut changĂ©, douchĂ©, couver dâambre solaire et assis sur la couverture Ă cĂŽtĂ© de la piscine pendant que Sandra se baigna Ă nouveau sous ses yeux envieux. La soirĂ©e fut identique Ă celle de leur arrivĂ©e. Les seules variables portĂšrent sur le fait quâon lui mit un bavoir pour adulte et que la discussion porta sur les choses proches Ă visiter avec un bĂ©bĂ©. Marc et sa compagne commencĂšrent Ă se demander, sans rien dire Ă©videment, si ils allaient rĂ©ellement vivre comme ça toute la semaine en rĂ©gression ! Lorsquâils essayĂšrent dâen savoir plus sur eux, Sandra resta trĂšs Ă©vasive ne souhaitant pas ĂȘtre prise pour une nurse professionnelle. Elle leur indiqua seulement quâils sâĂ©taient connus par Abkingdom et quâils avaient eu lâenvie de tenter une semaine de vacances comme ça.   - Toutes mes fĂ©licitations Ă vous deux, pour oser vivre vos fantasmes et vos envies. Beaucoup ne font que fantasmer sans jamais sortir de leur appartement ou faire des rencontres ABDL. Franchement chapeau bas Ă vous deux et si on peut vous aider ou si vous avez besoin de quelque chose, surtout nâhĂ©sitez pas Ă demander. Demander ne coĂ»te rien ! Leur indiqua Marc. Et le soir mĂȘme, Luc se retrouva comme la veille, enfermĂ© dans son lit de bĂ©bĂ©. Sandra sâamusa seule dans la chambre LOVE en testant de nouveaux sextoys. Elle aurait bien piquĂ©e une des couches de Luc, hĂ©las elles Ă©taient bien trop petites pour elle. Ayant bien compris quâau gĂźte on ne juge pas les fĂ©tichismes des autres, elle se promit de se prendre un lot de trois Ă sa taille le lendemain. Sandra ayant commandĂ© un pique-nique Ă emporter, et discrĂštement un lot de trois couches Ă sa taille, ils quittĂšrent les lieux pour aller visiter la rĂ©gion. Le plus difficile pour Luc pour le repas, fut quâil nây avait pas la protection visuelle quâoffre la propriĂ©tĂ© du gĂźte, surtout au moment du change en pleine forĂȘt⊠A leur retour, Sandra installa le bĂ©bĂ© sur un tapis de jeu prĂšs de la piscine avant de se baigner seins nus. Voir cette grosse et belle poitrine dĂ©clencha dans la cage de chastetĂ© et la couche les mĂȘmes effets quâune bombe. Hormis pour faire pipi, sa zĂ©zette ne servit Ă rien. Lorsquâelle sortit du bain et vint pour lui donner un biberon dâeau, Luc ne put se retenir de lui dire « tâes trĂšs belle ». Ce compliment toucha Sandra, personne depuis des annĂ©es ne lui avait fait un tel compliment. Le ton employĂ© par le « bĂ©bĂ© » tout comme ses yeux ne laissait aucun doute sur sa sincĂ©ritĂ©. Si elle apprĂ©cia, son expĂ©rience avec les hommes fit sâallumer tous les voyants dâalerte dans son cerveau. Elle le remercia et dĂ©cida quâil Ă©tait temps dâaller changer le bĂ©bĂ© pour « changer dâambiance ».  La soirĂ©e fut identique Ă la prĂ©cĂ©dente. AprĂšs le repas sur chaise haute dans la salle de restauration, Luc fut Ă nouveau langĂ© et couchĂ© dans le lit de bĂ©bĂ© quâelle ferma Ă clĂ© et pour cause ! Elle voulait avoir la certitude quâil ne se lĂšverait pas, ĂȘtre vue en couche en train de se faire plaisir lâaurait extrĂȘmement gĂȘnĂ©e. Une fois seule et la porte fermĂ©e, elle se mit nue avant dâessayer le sling pour voir comment cela fait dâĂȘtre couchĂ©e jambes Ă©cartĂ©es sur cette sorte de drap de cuir suspendu. Ses doigts de la main droite commencĂšrent Ă courir entre ses cuisses, ceux de la main gauche Ă jouer avec ses tĂ©tons. Dans sa tĂȘte, un beau daddy imaginaire profitait de cette position pour lui faire lâamour sans retenue. Manquant un peu de « matiĂšre pĂ©nĂ©trante » le cheval dâinquisition lui fit de lâĆil. « Et si jâĂ©tais attachĂ©e sur ce truc avec des sextoys dans les orifices pendant quâil martyrise un peu mes tĂ©tons, cela me ferait peut-ĂȘtre prendre un pied pas possible » pensa Sandra. « Aller, je me fais la totale » se dit la nurse dĂ©cidant de sâĂ©manciper dans les coquineries. Elle se mit un petit plug dans les fesses, un gode dans le chaton avant de se mettre en couche. Avant dâaller sâasseoir sur le cheval dâinquisition, elle prit le magic wand sur lâĂ©tagĂšre. Assise et empalĂ©e sur ses sextoys quâelle chevaucha de bon cĆur un moment, elle sâacheva en quelques instants avec le gros vibro en forme de micro. Son plaisir fut sans pareille, un deuxiĂšme « tour » sâimposa suivi dâun troisiĂšme. « Câest fou ce quâici, on devient perverse » constata Sandra en se disant que, finalement, avec un vrai homme, les vacances au gĂźte fĂ©tichistes doivent ĂȘtre sublimes. Câest avec cette pensĂ©e et un peu de tristesse quâelle se coucha en gardant la couche sur elle. Quel dommage que Luc ne soit quâun AB, le sĂ©jour pourrait ĂȘtre franchement plus intĂ©ressant fut sa conclusion. De son cĂŽtĂ©, Luc sâennuyait ferme. Ayant beaucoup dormi depuis leur arrivĂ©e, il nâarrivait pas Ă trouver le sommeil. A cela se rajoute que manger uniquement de la nourriture de bĂ©bĂ©, hormis le repas du soir servi mixĂ© ne comblait pas rĂ©ellement son appĂ©tit. Il commença Ă regretter dâavoir voulu vivre comme un bĂ©bĂ© 24 heures sur 24 pendant une semaine. Leur nuit respective fut perturbĂ©e par des rĂȘves Ă©rotiques du cĂŽtĂ© de la chambre LOVE et dans le lit cadenassĂ© de la nurserie. Les songes que lâon a entre deux sommeils furent par contre diffĂ©rents. Nous pourrions les appeler : « Les regrets » sur leurs conditions de vie. La pauvre Sandra, condamnĂ©e Ă vivre seule et sans amour pour cause de complexe et blessure. Le pauvre Luc Ă©galement. ContaminĂ© par  le cĂŽtĂ© extrĂȘme de ses fantasmes ABDL, au point dâen avoir perdu le sens des rĂ©alitĂ©s lors de sa recherche de compagne de vie, il sâĂ©tait condamnĂ© Ă vivre seul.  Le lendemain matin fut identique au prĂ©cĂ©dent. Sandra fit la grĂące matinĂ©e, Luc baigna dans sa couche nausĂ©abonde sans pouvoir quitter son lit jusquâĂ 10 heures. Comme la veille, il fut lavĂ©, langĂ© et vĂȘtu et contraint de consommer des petits pots de bĂ©bĂ© en guise de petit dĂ©jeuner. La mĂ©tĂ©o Ă©tant incertaine, elle dĂ©cida de visiter le verger et dâaller manger quelques fruits bios mĂ»rs sur les arbres. Ils constatĂšrent avec ravissement que les dits fruits nâavaient pas du tout le mĂȘme goĂ»t que ceux du supermarchĂ© ! Au dĂ©part de cette petite promenade, Luc nâĂ©tait vĂȘtu que de son body de bĂ©bĂ© et sa couche, une tenue originale dans la nature pour un adulte.  A fond dans sa mission de nurse, Sandra lui tenait la main afin que « le petit » ne se fasse pas mal. Câest au fond du verger que lâincident arriva sous les pommiers. Le pied de Sandra glissa dans une des rigoles boueuses de lâarrosage. Elle se vautra lamentablement et se tordit la cheville. Assise par terre en la massant avec lâespoir que cela ne soit pas grave, elle vit Luc autrement. Le bĂ©bĂ© adulte Ă©tait devenu un homme attentionnĂ©. Un petit moment plus tard, il lâaida Ă se relever puis Ă marcher en lui servant de « bĂ©quille ». En revenant Ă petits pas au gĂźte, il avait retrouvĂ© la parole, Sandra bien occupĂ©e Ă essayer de marcher ne releva pas cette Ă©cart dans leur contrat de rĂ©gression. Luc Ă©tait vraiment dĂ©solĂ© pour elle et lui proposa dâaller chercher une chaise pour quâelle fasse une pause, ou dâaller chercher de lâaide. Ne souhaitant pas ennuyer les propriĂ©taires du gĂźte, elle accepta quâil aille chercher une chaise. Câest au pas de course que Luc partit la chercher. Il passa voir Marc pour lui demander si ils avaient une pommade pour une entorse. A son retour au cĆur du verger, aprĂšs avoir aidĂ© Sandra Ă sâasseoir, il entreprit de lui masser la cheville avec une extrĂȘme douceur. PrĂ©venu de lâincident, ils furent rejoints par Marc et sa compagne venus voir si il fallait appeler les urgences. Nâaimant pas dĂ©ranger ni ĂȘtre le centre des prĂ©occupations, Sandra dĂ©clina la proposition en estimant que cela ne devait ĂȘtre quâune petite entorse et que cela allait passer. MalgrĂ© ses rĂ©futations, Marc partit chercher le fauteuil roulant qui initialement, est un fauteuil de douche pour personne handicapĂ©e. DĂ©tournĂ© de son usage normal pour du CBT ou du fĂ©tichisme mĂ©dical, il permit de ramener Sandra au gĂźte sans encombre ni douleur. AprĂšs avoir retrouvĂ© lâusage de la parole, Luc devint un ange adulte !  Sandra fut choyĂ©e comme jamais. Il se changea puis partit sous prĂ©texte dâaller acheter des cigarettes pour, en rĂ©alitĂ©, passer Ă la pharmacie du village dâĂ cĂŽtĂ© pour prendre de quoi soigner la nurse de ses rĂȘves. A son retour il prit soin de la cheville lĂ©gĂšrement enflĂ©e, lui fit un bandage avant de se mettre Ă cuisiner pour quâelle se repose. Câest pendant le repas normal, pris sur une chaise normale, quâil lui avoua que vivre 24h sur 24 comme un bĂ©bĂ© avait Ă©tĂ© pour lui une expĂ©rience rĂ©vĂ©latrice. - En fait, cela est passionnant le premier jour, la premiĂšre nuit, le premier matin, mais ensuite on sâennuie ! Lui expliqua Luc.  - Et lĂ , aujourdâhui Ă cause de moi, nous cassons un peu ton rĂȘve et ton plaisir ! DĂ©clara Sandra dĂ©solĂ©e. - Oh non ma belle, ne tâinquiĂšte pas pour ça, au contraire, redevenir adulte me plait bien, hormis, bien sĂ»r, que je regrette que tu te sois fait mal. Faire une pause ne me dĂ©plait pas. Aujourdâhui, cela sera un jour de repos bien mĂ©ritĂ© pour ma nurse adorĂ©e. Nous aurions du le prĂ©ciser dans notre contrat ! Ajouta Luc en faisant de lâhumour. - Tu as raison, je devrai me plaindre au syndicat des nurses. Tu devrais dâailleurs ĂȘtre puni pour avoir osĂ© devenir un bĂ©bĂ© adulte esclavagiste ! Plaisanta Sandra. Les douleurs de la cheville de Sandra ayant bien diminuĂ©e, le soleil Ă©tant revenu au beau fixe, ils dĂ©cidĂšrent dâaller profiter de la piscine. - Je nâai pas de maillot ! Indiqua Luc. - Je peux tâen prĂȘter un mais jâai peur quâil soit bien trop grand pour toi ! Plaisanta Sandra avant dâajouter quâelle lâavait dĂ©jĂ vu nu et quâil nâaurait quâĂ faire du naturisme. Par gentillesse, il lui proposa de lâaider Ă se changer, mais elle refusa en prĂ©cisant quâelle devrait pouvoir le faire seule. Quelques minutes plus tard, pour entrer dans la piscine, avec sa cage de chastetĂ© comme seul vĂȘtement, Luc tint la main de sa nurse, vĂȘtue avec simplement le bas de son maillot. Sous un soleil Ă©clatant et 35 ° sur le thermomĂštre, ils profitĂšrent longuement de la piscine tout en discutant comme de rĂ©els amis. - Pourquoi es-tu si diffĂ©rent que sur Abkingdom ? Demanda Sandra. LĂ tu es un garçon adorable alors que sur le net, tu es, comment direâŠ, bizarre.   - Je ne sais pas ou je ne mâen rends pas compte ! RĂ©pondit Luc. Peux-tu prĂ©ciser ta pensĂ©e ? - Sur Abkingdom, tu fais tellement lâobsĂ©dĂ© des couches et de la rĂ©gression que tu fais dĂ©bile alors que tu es tout sauf dĂ©bile. - Je vais arrĂȘter les couches ! DĂ©clara Luc. - Mais non, ne passe pas dâun extrĂȘme Ă lâautre, câest idiot. Tu as le droit dâaimer ça, dâavoir des fantasmes et des envies de jouer. Si lâenvie de vivre en couche H 24 te plait, pourquoi pas, il nây a pas de mal Ă se faire du bien. Par contre, peut-ĂȘtre devrais-tu adapter un peu ton langage si tu cherches une compagne, parce que lĂ , comme tu lâas fait jusquâĂ prĂ©sent sur le site, aucune femme ne souhaitera vivre avec toi ! - Tu pourras me guider sur le site ? Demanda Luc perturbĂ© par ces propos. - Oui et non. Je ne peux pas faire ton annonce Ă ta place. Par contre, je peux te dire si elle est attractive pour une femme. - Je peux te poser une question ? - Tu peux toujours ! - Est-ce que tu mets des couches aussi ? - Oui, cela mâarrive, jâaime bien ! RĂ©pondit Sandra. - Est-ce que tu fais pipi et popo dedans ? - Tu vois, cette question nâa pas grand intĂ©rĂȘt pour un dĂ©but de discussion, ma rĂ©ponse changera quoi ? - En fait, câest juste pour savoir ! - Ce type de question est un peu intime ne trouves-tu pas ? Est-ce que pour satisfaire ta curiositĂ© cela ne te dĂ©range pas de toucher Ă la pudeur dâune femme ?  - Si bien sĂ»r ! - Alors Ă©vite-la gros bĂȘta ! Câest comme si je te demandai lors dâun premier Ă©change par internet si tu te mets de gros plug dans le cul ou si tu tâes dĂ©jĂ fait sodomiser LOL ! - Je crois que jâai besoin de cours de drague ! DĂ©clara Luc. - Et de savoir vivre sur internet car dans la vie, tu me sembles ĂȘtre un garçon charmant ! Peux-tu aller nous chercher sâil te plait des draps de bain et de lâambre solaire ? A son retour avec les draps de bain, une fois allongĂ© sur un transat, ils se « tartinent » mutuellement le dos dâambre solaire. - Tu peux mâen mettre sur les jambes sâil te plait ? Lui demande Sandra.  - Avec plaisir ! Masser les jambes puis cuisses de sa nurse excite grandement le bĂ©bĂ© devenu adulte. Sandra contemple avec un certain intĂ©rĂȘt pour la premiĂšre fois depuis leur arrivĂ©e, le sexe de Luc. Tout gonflĂ© dans sa cage de chastetĂ©, il tire sur les prĂ©cieuses et semble vouloir passer entre les barreaux. - Dis-donc, cela te fait de lâeffet de me mettre de lâambre solaire ! - DĂ©solĂ©, mais vous ĂȘtes si belle, votre peau est si douce, que mĂȘme un curĂ© ne pourrait pas rester de marbre. Pour la seconde fois, Sandra est touchĂ©e par les compliments de Luc. Elle peut effectivement constater en regardant la cage de chastetĂ© prĂȘte Ă imploser quâil est sincĂšre. AmusĂ©e, elle dĂ©cide dâen jouer et se retourne pour quâil lui passe de lâambre solaire sur le devant. Etre ainsi massĂ©e avec tendresse commence rĂ©ellement Ă lâexciter. Bien dĂ©cidĂ©e Ă profiter de la situation, elle lui demande de lui faire la poitrine. - Je peux rĂ©ellement ? Demande Luc Ă©tonnĂ©  - Ben oui gros bĂȘta puisque je te le demande. Pour Luc, passer lâambre solaire sur cette gĂ©nĂ©reuse poitrine fĂ©minine est Ă la fois un dĂ©lice ultra Ă©rotique et un vĂ©ritable calvaire. Ce nâest pas avec les mains quâil aimerait la toucher mais avec les lĂšvres. Les yeux fermĂ©e, sa nurse « redevenue femme» savoure elle aussi les caresses. Ce nâest pas lâenvie de se caresser qui lui manque, cela fait tellement longtemps quâun homme ne sâest pas occupĂ© dâelle, sachant quâen plus, le dernier lâa plongĂ©e dans la solitude en la blessant. - Jâai envie de faire un jeu coquin et toi ? Lui demande Sandra bien dĂ©cidĂ©e Ă profiter de la vie. La rĂ©ponse de Luc fit Ă©videment positive comme le lecteur peut sâen douter. Elle lâenvoya chercher une paire de menottes quâelle lui posa main dans le dos. La chose faite, redevenue la femme trĂšs joueuse quâelle Ă©tait quand elle Ă©tait mince, elle lui demanda de retirer le bas de son maillot avec les dents. - Tu comprends, je nâai pas envie dâavoir dâhorribles marques de maillot sur mon bronzage, mais je me mĂ©fie des mains baladeuses ! Lui expliqua Sandra comme si cela Ă©tait normal.  Câest avec une grande excitation et beaucoup de dĂ©licatesse, que Luc entreprit de retirer le dernier rempart de tissu protĂ©geant le corps de la nurse de ses rĂȘves. - Comme je ne peux te donner le sein pour faire comme si je tâallaitais, si tu as envie, tu peux me faire des bisous lĂ ! Lui indiqua Sandra en Ă©cartant les jambes. Luc crut sâĂ©vanouir Ă sa demande en se demandant si il ne rĂȘvait pas ! Comme le grand bĂ©bĂ© devenu ultra timide et bien diffĂ©rent de son attitude sur Abkingdom, elle guida sa tĂȘte au creux de ses cuisses. Lâinstant fut si magique et sensuel, que mĂȘme les oiseaux se turent et le soleil se cacha les yeux derriĂšre un petit nuage. Folle dâexcitation, Sandra se caressa la poitrine puis titilla ses tĂ©tons sans pudeur en se faisant longuement brouter le minou. LâaffamĂ© devenu glouton dut ĂȘtre un peu modĂ©rĂ© pour quâelle puisse atteindre son but : jouir ! - CâĂ©tait trĂšs bon, merci vilain garçon ! Plaisanta Sandra avant de se retourner pour faire dorer lâautre cĂŽtĂ© de son anatomie. Pensant quâil devait continuer de « laper », sans prĂ©venir, Luc plongea sa tĂȘte dans le dĂ©licat pertuis situĂ© entre les gĂ©nĂ©reuses collines encore blanche. Surprise, Sandra nâosa lâarrĂȘter et dĂ©couvrit rapidement que se faire « bouffer le fion » est loin dâĂȘtre dĂ©sagrĂ©able ! Luc Ă©tait dans tous ses Ă©tats ! Son sexe emprisonnĂ© et congestionnĂ© commençait Ă devenir douloureux avec, au total, une heure dâĂ©rection contrariĂ©e et surtout, compressĂ©e. Le soleil quant Ă lui, ne lâaidait pas dans sa mission gustative, avoir la tĂȘte entre de grosses fesses par 35° Ă lâombre, cela fait transpirer. MalgrĂ© ces inconvĂ©nients, il nâavait aucunement envie dâarrĂȘter. Ce fut Sandra, redevenu nurse prĂ©voyante qui lâarrĂȘta. Elle se leva pour aller chercher un biberon dâeau fraĂźche quâelle lui donna en le prenant dans ses bras comme un bĂ©bĂ©. Mue par une envie cĂąline de « maman », pendant quâil tĂ©tait, elle caressa avec une grande douceur le visage du grand bĂ©bĂ© comblĂ©. Pour se remettre de leurs tendres Ă©motions, ils prirent un long bain dans la piscine avant dâaller savourer une bonne biĂšre bien fraĂźche sur la terrasse couverte. Il nây eut pas quâune biĂšre de consommĂ©e, les deux adultes se laissĂšrent un peu aller. Sous la chaleur, la biĂšre, ou plutĂŽt les biĂšres font de lâeffet dans la tĂȘte et sur la vessie. Sandra en profita pour jouer un peu avec son grand bĂ©bĂ©. Elle lui demanda de marcher Ă quatre pattes dans le gazon du parc verdoyant et de se soulager comme un bĂ©bĂ© qui ne sait pas se retenir. AmusĂ© par lâidĂ©e de jouer au bambino, il fit comme demandĂ© avec grand plaisir. Au moment de se soulager, il leva la patte comme un chien. Sandra lui rappela quâil nâen est pas un mais observa attentivement ses mixions pour voir comment cela fait sous cage de chastetĂ©. LancĂ©e dans ses dĂ©lires, elle sâaccroupit Ă son tour pour se soulager sans pudeur devant Luc. Les effets des biĂšres se faisaient aussi sentir pour elle dans tous les sens du terme.  - Je crois que lâon a trop bu ! Finit par dire Sandra prenant conscience de cet abandon. Allons Ă la nurserie, jâai un marmot pervers Ă mâoccuper !  LangĂ© et vĂȘtu comme bĂ©bĂ©, ils prirent le chemin de la salle de restauration. Le repas fut servi comme la veille, Luc demanda si on pouvait ne pas mixer le succulent repas, Sandra accepta mais demanda si ils avaient de moufles pour bĂ©bĂ© Ă lui prĂȘter. Le repas fut Ă©pique et le bavoir tout comme le carrelage profitĂšrent Ă©galement du repas fort animĂ© par les Ă©clats de rire.  Lâheure de prendre congĂ© Ă©tant arrivĂ©e, la nurse emmena son bĂ©bĂ© Ă la nurserie pour le changer. Luc la supplia de le laisser dormir au gĂźte en prĂ©cisant quâil pourrait dormir dans le lit du haut et quâil serait sage. Il ajouta que passer toutes ses nuits dans un lit de bĂ©bĂ© nâest pas trĂšs confortable ni aussi amusant quâil lâimaginait dans ses fantasmes. Ayant pitiĂ© de lui, elle accepta. - Tu mettras aussi une couche ? Lui demanda soudain Luc. - Pourquoi pas, avec ce que lâon a bu Ă la terrasse, cela mâĂ©vitera de me lever toutes les heures ! - Si tu veux, je peux te la mettre ! Proposa le bĂ©bĂ© redevenu adulte ! La nurse accepta bien volontiers, pour une fois quâon sâoccupait dâelle, sâen priver serait une aberration. Câest ainsi que se poursuivit la mutation de leurs jeux et de rĂŽles. Une fois langĂ©e, lâenvie de cĂąlin poussa Sandra Ă lui proposer de dormir avec elle. Ils se couchĂšrent donc tous les deux dans le lit du bas oĂč ils firent un gros cĂąlin aussi conventionnel que sage. La femme rĂ©sidant dans un corps de nurse aurait bien aimĂ© quelque chose de plus « Ă©rotique » et physique⊠A sa dĂ©charge, cette journĂ©e comme des amis complices et coquins cela donne des idĂ©es de⊠Ce nâest quâau petit matin, par accident et entre deux bisous conventionnels, que leurs tubes digestifs se croisĂšrent (Pardon, leurs lĂšvres se croisĂšrent) pour un long baiser. Initialement, une nurse ne « baise pas » avec un bĂ©bĂ© adulte. Cela est incohĂ©rent et pourrait ĂȘtre considĂ©rĂ© comme de la pĂ©dophilie indirecte. MAIS quand les sentiments sâinstallent entre deux adultes, ces dĂ©rapages affectifs passent bien au dessus des conventions. Lâamour a ses raisons que la logique ne comprend pas toujours ! En clair, Sandra commença Ă regretter dâavoir mis le bĂ©bĂ© sous cage de chastetĂ©. A dĂ©faut de quelque chose de long et consistant, elle accepta quâune langue vienne soulager sa pression intĂ©rieure en proposant dâaller se doucher. Luc refusa et lui demanda de se laisser faire. Il ouvrit la couche malmenĂ©e puis, sans aucune hĂ©sitation plongea la tĂȘte en avant comme Ă la piscine mais entre les cuisses parfumĂ©es. Se sentant sale, la « pisseuse » mit un peu de temps Ă sâabandonner Ă cette langue si gĂ©nĂ©reuse. Une fois « partie » elle oublia la douche et profita grandement de la gloutonne agile et alla mĂȘme jusquâĂ plaquer la tĂȘte du bĂ©bĂ© devenu grand entre ses cuisses.   - Tu es douĂ© de la langue toi ! - Merci ! RĂ©pondit Luc pourtant peu habituĂ© aux femmes puisquâil nâen a connu quâune dans sa jeunesse. AprĂšs la douche et le petit dĂ©jeuner puis la traditionnelle mise en couche, les touristes choisirent comme destination ce qui se visite principalement en voiture. Au mois de juillet, le dĂ©sert de Bardenas Reales avec la climatisation obligatoire en cette pĂ©riode et en ce lieu. Ils en profitĂšrent pour faire quelques photos hors piste du petit en couche dans le dĂ©sert. Sandra regretta de ne pas en avoir mis une, car cette rĂ©serve de la BiosphĂšre par lâUNESCO avec son parc Naturel de 42 5000 hectares avec des zones allant de dĂ©sertique Ă semi dĂ©sertique, nâoffre pas beaucoup de lieux pour un pipi discret. En pĂ©riode touristique et quand on a encore un peu mal Ă la cheville, cela nâest pas aussi Ă©vident quâon ne lâimagine ! Au retour, Sandra demanda en secret Ă Marc de lui remettre discrĂštement les clĂ©s de la cage de chastetĂ© de son bĂ©bĂ©. AprĂšs la douche, ils ne purent faire autrement que dâaller se baigner Ă la piscine. Le temps passĂ© ensemble les rapprochait chaque jour un peu plus. Si bien quâĂ la piscine, en se faisant baladeuses, les mains ne servirent pas quâĂ nager et les langues ne servirent pas quâĂ discuter. Heureusement, bien plus basse en tempĂ©rature lâeau de la piscine empĂȘcha lâexplosion de la cage de chastetĂ©.  Le bĂ©bĂ© adulte devint un plongeur Ă©mĂ©rite nâhĂ©sitant pas Ă aller explorer de sa langue lâentrĂ©e dâune grotte situĂ©e entre les cuisses de Sandra. Les capacitĂ©s respiratoires dâun humain Ă©tant limitĂ©es, Sandra dĂ©cida de laisser Luc dans la piscine pour sâallonger sur une serviette en laissant ses jambes dans lâeau. Il put ainsi lutiner la fleur fĂ©minine ravie que lâon sâoccupe dâelle. Si le repas du soir fut comme les prĂ©cĂ©dents, Luc pour profiter de tous les instants avait commandĂ© tous les repas au lieu de sâennuyer avec la cuisine. Ils ne tardĂšrent pas Ă se retrouver au gĂźte aprĂšs le passage obligatoire Ă la nurserie. CĂąlins aprĂšs cĂąlins, Sandra finit par lui dĂ©voiler quâelle avait les clĂ©s de la cage de chastetĂ©. Le message Ă©tait fort clair, autant pour Luc que pour vous les lecteurs ! Les couches furent donc ouvertes pour autre chose quâun change. Nous dirons plutĂŽt un « Ă©change » charnel dâune grande intensitĂ©.  Le dernier jour fut bien diffĂ©rent des autres. Ils discutĂšrent beaucoup et sans trop de pudeur, de leurs fantasmes, de leurs envies pour en arriver Ă constater quâils Ă©taient : ???  (Compatibles)  En clair, Luc pourrait trĂšs bien de temps en temps sâoccuper de Sandra comme un daddy un peu pervers, et Sandra pourrait lâobliger de temps en temps Ă ĂȘtre comme un vrai bĂ©bĂ© mais sur des pĂ©riodes courtes de 24 heures par exemple. Le reste du temps, ils pourraient vivre comme un couple classique et conventionnel. Ce dernier jour fut consacrĂ© Ă switcher pour voir. (Switcher signifie Ă©changer les rĂŽles) Sandra donna le sein Ă son bĂ©bĂ©, le bichonna avec bien plus dâamour que depuis leur arrivĂ©e au gĂźte fĂ©tichistes. Elle ne jouait pas, elle Ă©tait Ă fond dans son rĂŽle comme une vraie maman avec son bĂ©bĂ©. En fin dâaprĂšs-midi, comme dans ses fantasmes avouĂ©es, elle devint une little casse pieds qui mĂ©rite dâĂȘtre attachĂ©e bras et jambes en croix sur le lit de la chambre LOVE pour ĂȘtre dĂ©vorĂ© par son daddy pervers.  Une fois « crounchĂ©e » par le sauvage, la little redevenant femme fut libĂ©rĂ©e et dĂ©vora de bisous son nouveau chĂ©ri. Le lit de la chambre LOVE pourrait vous dire, si il nâĂ©tait pas tenu Ă la discrĂ©tion, que les Ăąmes fusionnĂšrent avec beaucoup dâAmour. Câest presque avec les larmes aux yeux quâils quittĂšrent le gĂźte fĂ©tichistes le lendemain, cette fois, tous les deux en couche. Luc avait enfin compris quâune femme ne peut pas ĂȘtre que la  nurse de ses fantasmes et, quâil nâest pas si intĂ©ressant que ça de devenir bĂ©bĂ© adulte H 24 sur la durĂ©e. Il avait aussi compris que la vie est faite dâĂ©changes, que se faire plaisir Ă tour de rĂŽle, peu importe la façon, est un impĂ©ratif dans une vie de couple. En acceptant la proposition financiĂšre de Luc, Sandra dĂ©sespĂ©rĂ©e des hommes et financiĂšrement, avait dĂ©couvert que mĂȘme en Ă©tant femme ronde, elle pouvait trouver sa perle dâamour. FIN TSM - Si Marc existe rĂ©ellement - Si le gĂźte fĂ©tichistes existe rĂ©ellement - Si il est possible de vivre ce type dâaventure au gĂźte fĂ©tichistes - Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce quâil est possible de vivre au gĂźte fĂ©tichistes Visiter le site du gĂźte fĂ©tichistes en cliquant ICI https://gitefetichistes.com/
2 notes
·
View notes
Photo
Lâinflation est telle que beaucoup de Français prennent leurs vacances en Espagne ou tout est moins cher. Certains arrivent Ă associer Vacances + Tourisme + Economies + fĂ©tichismes en rĂ©servant lâappartement du gĂźte fĂ©tichistes.Â
Cela leur permet dâaccĂ©der GRATUITEMENT au donjon et Ă la nurserie pour adulte. http://gitefetichistes.com/
1 note
·
View note
Photo
Le lit de bébé de la nurserie pour adulte du gßte fétichistes Les vacanciers peuvent accéder GRATUITEMENT à la nurserie et en toute intimité avec leur Daddy ou Maman
http://gitefetichistes.com/
Sur youtube, vous pouvez visiter lâensemble de notre zone fĂ©tichistes ICIÂ
1 note
·
View note
Photo
La table à langer de la nurserie pour adulte du gßte fétichistes Les vacanciers peuvent accéder GRATUITEMENT à la nurserie et en toute intimité avec leur Daddy ou Maman
http://gitefetichistes.com/
2 notes
·
View notes
Photo
Le gĂźte fĂ©tichiste est un gĂźte classique MAIS des espaces de libertĂ© sont ouverts aux clients dĂ©sirant associer vacances + tourisme + des instants fĂ©tichistes. Les clients peuvent accĂ©der librement Ă un donjon Ă©quipĂ©e, une nurserie Ă©quipĂ©e, des espaces de jeux en extĂ©rieur.Â
MĂȘme la sale de restauration peut ĂȘtre Ă©quipĂ©e pour les ABDL (ou autres) sur simple demande avec, par exemple, la chaise haute pour adulte.Â
3 notes
·
View notes
Text
Chaise haute pour adulte ABDL au restaurant du gßte fétichiste.
Le but principal du gĂźte fĂ©tichiste est de permettre aux personnes de vivre leurs fantasmes en toute libertĂ© et sans jugement.Â
Pour exemple, cette chaise haute pour adulte se trouve dans la salle du resto du gĂźte. Et voir les clientes assises dessus ne pose aucun souci chez nous.Â
Au gĂźte, il y a Ă©galement une nurserie Ă©quipĂ©e et un donjon modulable en ABDL si dĂ©sirĂ©.Â
Pour associer vacances + tourisme + fĂ©tichisme, ce lieu est totalement adaptĂ©.Â
2 notes
·
View notes
Text
Lucie au gßte fétichiste
   Lorsquâelle a vu les annonces de lâouverture dâun gĂźte fĂ©tichiste en Espagne accordant une attention particuliĂšre aux    cĂ©libataires, Lucie a trouvĂ© lâidĂ©e originale. AprĂšs avoir menĂ© sa petite enquĂȘte, elle sâest offerte un week-end coquin pour vibrer un peu. Si effectivement les propriĂ©taires du gĂźte sont    ultra respectueux et attentifs Ă leurs clients, le mobilier et les accessoires quâils mettent Ă votre disposition sont lĂ pour fouetter votre libido.  Â
     Manquant un peu dâidĂ©es pour jouer seule, en prenant conseil, Lucie sâembarque dans des aventures aussi sulfureuses que    jouissives mĂȘme si, parfois, câest assez tendu. Ses vacances Ă©roticos sensuelles deviennent BDSM, ABDL et lui feront mal aux fesses.    Â
   ...............  Â
   Lucie est une femme coquine, pas une salope, ne pas confondre. Elle aime les plaisirs de la vie, le BDSM, le bondage mais    ne se donne pas au premier venu. Comme beaucoup de femme, elle sâest offert quelques sextoys. Elle a Ă©galement jouĂ© Ă sâattacher un peu toute seule pour jouer avec le bondage et ses sextoys    pour « sâobliger » Ă jouir un peu plus longtemps.  Â
   Ses petits selfbondage Ă©taient trĂšs simples, comme attacher ses chevilles et ses    cuisses avec des ceintures aprĂšs avoir mis un petit plug anal, puis un vibro dans son chaton. Le plus compliquĂ© de ses selfbondage a Ă©tĂ© dâoser mettre des menottes mains dans le dos et de    sâallonger sur le ventre pour sâabandonner Ă ses sextoys. Les clĂ©s des menottes Ă©taient tout simplement posĂ©es sur la table de nuit. Si ses    petits jeux coquins Ă©taient trĂšs sages, chaque fois dans son esprit coquin, les fantasmes lâĂ©taient beaucoup moins. Qui nâa pas de fantasmes me direz-vous ?  Â
   Lorsquâelle a vu les annonces de lâouverture dâun gĂźte fĂ©tichiste accordant une attention particuliĂšre aux cĂ©libataires,    cela lâa titillĂ©e. En sâimaginant dans les jeux possibles dĂ©crits pour les couples et les hommes seuls, il lui venait des fourmis dans son petit bedon....  Â
   Elle sâest donc lancĂ©e dans une Ă©tude approfondie Ă la version enquĂȘteurs de police sur les propriĂ©taires du gĂźte. Les 60    évaluations faites sur le profil de TSM Ă©taient pratiquement toutes dans le mĂȘme sens. « Un sadique pervers Ă la fois trĂšs respectueux et accueillant ».  Â
   Lire les Ă©valuations rĂ©elles des personnes lâayant    rencontrĂ©  Â
   Joueuse mais prudente, Lucie a donc pris un abonnement sur Fessestivites pour contacter les femmes ayant fait des    évaluations sur son profil. Toutes les filles lui ont rĂ©pondu quâelle ne risquait rien, hormis sâĂ©clater, dĂ©couvrir et sâamuser en toute simplicitĂ©.  Â
   Aussi frileuse quâexcitĂ©e, elle lâa donc contactĂ© par messagerie pour avoir plus dâinformations sur ce que son gĂźte    fĂ©tichiste pouvait proposer comme « loisirs ». Sa rĂ©ponse a Ă©tĂ© simple !  Â
       Vous pourrez faire tout ce que vous rĂȘver de vivre et faire seule en Ă©tant assistĂ©e, accompagnĂ©e, guidĂ©e et surtout     sĂ©curisĂ©e. Exemple, si vous rĂȘvez dâessayer une camisole de f o r c e, vous lâenfilez, je ferme la camisole et vous me dites combien de temps vous dĂ©sirez restĂ©e prisonniĂšre. Cela peut ĂȘtre     aussi de dormir enfermĂ©e dans une cage, de rester une heure nue au pilori, Ă chaque fois, câest vous qui dĂ©cidez. Je peux Ă©galement vous prĂȘter du matĂ©riel pour faire du selfbondage, vous     donner des idĂ©es de scĂ©narios mais ne jamais entrer dans votre gĂźte. Lâavantage est que si je ne vous vois pas Ă midi par exemple, je viendrai voir si vous ĂȘtes bloquĂ©e et en perdition. En     clair, ma femme ou moi-mĂȘme pouvons ĂȘtre la personne de confiance Ă qui vous pouvez tout dire.   Â
     Convaincue quâelle ne risquait rien et que sa vie ne serait pas en danger, Lucie a donc fait une rĂ©servation comme si elle    se jetait Ă la mer.  Â
   Trois mois plus tard, et aprĂšs des rĂȘves Ă©rotiques fous et quelques cauchemars, câest dans la parking de lâaĂ©roport    quâelle rencontre lâagitateur de mauvaise conscience. Venu en ville faire trois achat pour son gĂźte, il lui a proposĂ© de la rĂ©cupĂ©rer Ă lâaĂ©roport pour lui Ă©viter dâavoir Ă payer un taxi. Les    discussions pendant le trajet dans le 4x4 poussiĂ©reux, finirent de lever ses craintes. TSM est un gentil tarĂ© bourrĂ© de trĂšs mauvaises et surtout, perverses idĂ©es. En rencontrant son Ă©pouse Malicia, pour lâapĂ©ro de bienvenue, elle constata quâil nâĂ©tait pas le seul Ă avoir des idĂ©es perverses.  Â
   Pendant que TSM terminait la prĂ©paration du repas, Malicia lui fit visiter les lieux et lâaccompagna Ă son gĂźte. Les    discussions furent coquines, entre filles on se lĂąche un peu plus. Pendant le repas, elle eut des explications sur des fĂ©tichismes quâelle connaissait trĂšs peu ou ne comprenait pas comme    lâABDL. Câest au dessert quâelle avoua quâelle manquait dâidĂ©e pour lâaprĂšs-midi. CâĂ©tait une vraie fausse mauvaise bonne idĂ©e que de dire cela Ă TSM ! ! !  Â
       Je vous propose de vous accompagner Ă votre gĂźte pour vous prĂ©parer un plan qui finira de vous achever aprĂšs la fatigue     du voyage. Cela peut ĂȘtre trĂšs jouissif..... Rassurez-vous, je ne fais que tout installer et je vous abandonne pour aller faire ma sieste ! RĂ©pondit TSM.   Â
     Peu rassurĂ©e elle accepta cette proposition. Il prit une serrure de glace de deux heures et, habituĂ© aux lieux, il ne lui    fallut que trĂšs peu de temps pour faire une installation sur le lit avec tout ce quâil faut pour quâelle se fasse plaisir.  Â
                                               Je vous explique le principe. Vous mettez ce que vous voulez dans vos orifices, vous garder une culotte pour bloquer      le magic wand massager en bonne place. Ensuite vous attachez vos chevilles dans ces bracelets, vous attachez votre main gauche      dans ce bracelet avant dâallumer vos jouets et de menotter votre dernier poignet ici ! Lui indiqua TSM avant dâajouter : vous pouvez Ă©galement vous mettre des pinces Ă sein et une cagoule      qui vous aidera Ă mieux fantasmer. Si vous nâavez pas de question, je vous laisse vous installer ?    Â
     Si jâai une question. Comment sâouvrent les menottes ?    Â
     Cette petite boite noire est remplie de glace. Quand elle sera fondue, elle libĂ©rera votre poignet. Vous pourrez alors      vous libĂ©rer, câest aussi simple que ça.    Â
     Merci, vous pouvez me laisser ! RĂ©pondit Lucie toute rouge de honte.    Â
   A peine Ă©tait-il sorti et enfin seule, elle se prĂ©cipita vers le placard Ă sextoys. Rien que de les toucher la faisait    mouiller. Elle mit un prĂ©servatif sur un plug anal de taille modeste, sur le vibro qui nâallait pas tarder se retrouver au chaud.... Au cas oĂč, elle prit aussi des pinces Ă sein lĂ©gĂšres car la    douleur pure, nâest pas son truc ainsi quâun petit bandeau pour ses yeux de biche. AprĂšs sâĂȘtre dĂ©vĂȘtue, hormis la culotte comme conseillĂ©, elle ne tarda pas Ă combler ses orifices trĂšs    demandeur, surtout celui de devant...  Â
   Lucie prit place sur le lit pour entraver ses chevilles. A la suite de quoi, elle sâallongea pour entraver son poignet    droit. Lâexcitation Ă©tant Ă son comble, elle le dĂ©tacha pour se mettre les petites pinces Ă sein. Elle finalisa son selfbondage aprĂšs avoir allumĂ© le petit vibro et le gros magic wand puissance    10 logĂ© dans sa culotte. « Ouhaou, cela va ĂȘtre gĂ©ant » pensa aussitĂŽt Lucie.  Â
   Son esprit coquin ne tarda pas Ă se mettre en route. Lâamant de ses rĂȘves venait la « sauter » avant de la livrer en    pĂąture Ă ses amis. Ce fantasme nâest rĂ©ellement quâun fantasme car elle nâaccepterait pas ce genre de pratique. Par contre, dans les fantasmes on peut y mettre ce quâon veut pour dĂ©lirer,    sâenvoler et jouir.  Â
   En agitant ses reins comme si son amant la prenait sauvagement, elle agitait aussi le vibro et le plug. Ces actions,    cumulĂ©es aux vibrations et au magic wand massager puis au fait dâĂȘtre rĂ©ellement attachĂ©e, la firent rapidement monter « dans les tours ». Le premier orgasme fut gĂ©ant mĂȘme si elle aurait bien    aimĂ© que les sextoys vibrants lui accordent une pause. Le deuxiĂšme orgasme ne tarda pas Ă pointer son nez. Le troisiĂšme la mit dans un Ă©tat de transe. Son corps lui Ă©chappait, elle criait son    plaisir et tremblait sans discontinuer. Au quatriĂšme elle hurla sa jouissance, chose quâelle nâavait jamais fait Ă©tant plutĂŽt discrĂšte au lit..  Â
   « DĂ©glinguĂ©e » et en perdition totale, elle commença Ă subir les effets des sextoys. « Subir » est un bien grand mot,    disons quâelle aspirait Ă une pause syndicale quâils ne semblaient pas vouloir lui accorder ! « Je me fais un gang bang BDSM toute seule » pensa Lucie continuant dâenchaĂźner contractions sur    contractions.  Â
   Une heure plus tard, les batteries du vibro et du magic wand massager finirent par rendre lâĂąme, laissant ainsi une pauvre    fille Ă©puisĂ©e de jouissances entravĂ©e bras et jambes en croix sur le lit. Lucie sombra dans les bras de MorphĂ©e pour un sommeil profond sans rĂȘve. Câest en se tournant comme quelquâun qui dort    quâelle se rĂ©veilla. Pendant une seconde, elle sâaffola dâĂȘtre entravĂ©e avant de se rendre compte de la situation. Son poignet droit Ă©tait libre, elle pouvait se dĂ©livrer. Si cela fut facile Ă Â Â Â faire, le retrait des pinces Ă sein lui parut soudainement trĂšs hard. Une douche salutaire sâavĂ©ra obligatoire ! Câest lĂ quâelle    dĂ©couvrit quâil y avait aussi des anneaux dans les murs, mĂȘme dans la salle de bain. « Câest vraiment une maison de fous » se dit-elle.  Â
   Lucie prit conscience quâelle Ă©tait restĂ©e entravĂ©e trois heures au total. MalgrĂ© ses tĂ©tons trĂšs sensibles elle enfila un    tee-shirt puis une jupe pour aller prendre lâair puis prendre un verre avec Malicia.  Â
     Alors, câĂ©tait bien ? Lui demanda Malicia.    Â
     Superbe, jâai cru mourir deux ou trois fois, votre mari est un vrai malade mental !    Â
     Je sais, câest aussi pour ça que je lâaime !    Â
     Il vous lâa fait aussi ?    Â
     Oh, il mâa fait bien pire !    Â
   La discussion entre filles continua sur le sujet un moment mais elles refusent que jâĂ©crive ce quâelles se sont dit.    Croyez-moi sur parole, entre elles les discussions sont parfois chaudes...  Â
   Nâayant pas envie de cuisiner, Lucie avait annoncĂ© quâelle prendrait tous ses repas au gĂźte. Elle partagea donc celui du    soir en mauvaise compagnie et put mĂȘme assister Ă la fessĂ©e de Malicia, une injustice Ă©vidente car câest une perle. En mĂȘme temps, en voir une en vraie lui donna des envies, mais elle nâosa pas    lâavouer.  Â
   TSM lui demanda si elle avait des projets coquins pour la soirĂ©e ou la nuit comme si il lui demandait si elle voulait    faire du tourisme ou des courses !        Â
     Non, je nâen ai pas mais si vous avez des idĂ©es, je nâaurai rien contre des propositions ! RĂ©pondit Lucie un peu      gĂȘnĂ©e.    Â
     ArrĂȘtez de rougir, ici rien ne nous choque. Vivez vos passions ou essayez des trucs, ne soyez surtout pas gĂȘnĂ©e, cela      fait 40 ans que je suis dans le monde des rencontres. Je suis le propriĂ©taire de Fessestivites et Abkingdom, autant dire que vous pouvez vous lĂącher et      nous parler librement de tout.    Â
   Ne connaissant pas Abkingdom, Lucie voulut en savoir un peu plus sur lâABDL. TSM lui expliqua la diffĂ©rence entre AB qui    signifie adult baby puis lâĂąge-play avant dâaborder le cĂŽtĂ© DL qui signifie diaper lover. Il aborda aussi le cĂŽtĂ© little, petite fille ou petit garçon, une autre forme de rĂ©gression. Il prĂ©cisa    que câĂ©tait quelque chose Ă dĂ©couvrir, Ă essayer au moins une fois pour voir car les sensations, les Ă©motions ressenties ne tuent pas ceux qui essaye pour voir. Il prĂ©cisa que câest un    fĂ©tichisme honteux pour beaucoup alors quâil nây a aucun mauvais fĂ©tichisme.     Â
     Il nây a pas de mal Ă se faire du bien et Ă sâaccorder des plaisirs quels quâils soient. Certains aiment la fessĂ©e, dâautres les pieds, dâautres les collants ou le latex, dâautres le libertinage, dâautres le BDSM, oĂč est le mal Ă aimer pratiquer quelque chose qui fait du bien et ne dĂ©range personne ? Vous devriez essayer au moins une fois lâABDL, je peux vous faire dormir en couche enfermĂ©e dans un lit de bĂ©bĂ©. Si je prĂ©cise enfermĂ©e, câest parce que je      sens bien que les jeux de contrainte vous amusent. Rien ne vous y oblige, vous pouvez aussi refaire du bondage pour la nuit.    Â
Heu, je crois que pour aujourdâhui, le bondage et les sextoys on va oublier ! RĂ©pondit Lucie avant de demander Ă Â Malicia si elle aime lâABDL. Â Â Â Â
Jâai essayĂ© pour voir, non ce nâest pas mon trip mais je confirme, il y a des passionnĂ©es. Essayez pour voir, vous verrez bien ! RĂ©pondit Malicia.    Â
     Et qui est-ce qui me met la couche ? Demande Lucie.    Â
     Vous mais je peux vous aider si vous ne vous en sortez pas toute seule ! RĂ©pondit TSM.    Â
     Vous nâĂȘtes pas jalouse quâil fasse ça ? Demanda Lucie Ă©tonnĂ©e.    Â
     Absolument pas, oĂč est le mal ? Il ne baisera pas avec vous, il vous fera la mĂȘme chose quâun infirmier ! RĂ©pondit      Malicia.    Â
     Ecoutez Lucie, je vous propose de vous organiser une nuit de douceur sous la contrainte pour vous faire dĂ©couvrir      lâĂąge-play comme si vous y Ă©tiez obligĂ©e. Vous mettez seule votre couche, jâattends devant la porte du gĂźte et je nâentre que quand vous mây invitez. A partir de lĂ , je vous verrai avec une      grosse culotte. Cela vous va ?    Â
   Rouge comme une Ă©crevisse, Lucie abdiqua. Une heure plus tard, TSM pĂ©nĂ©tra donc dans le gĂźte de Lucie aprĂšs y avoir Ă©tĂ©    invitĂ©. Il la fit sâallonger sur le lit pour arranger les attaches de la couche, puis lui faire enfiler une culotte en plastique.  Â
       Bien, la petite fille est protĂ©gĂ©e pour la nuit. Maintenant il faut lâhabiller pour quâelle nâai pas froid. Regardez ce     que jâai prĂ©vu pour vous ! Indiqua TSM ou ouvrant un sac de voyage avec une grenouillĂšre et un body. Que prĂ©fĂ©rez-vous, la grenouillĂšre ou le body ou les deux ?   Â
     Lucie prit la grenouillĂšre quâelle enfila toute seule un peu gĂȘnĂ©e par cette aventure.  Â
     Vous ĂȘtes toute mimi comme ça, allez bĂ©bĂ©, entrez dans le lit qui est sous le grand lit dit TSM en tirant un grand      tiroir sâavĂ©rant ĂȘtre un lit une place sur roulette. Vous avez un doudou ou je vous en prĂȘte un ?    Â
     Jâen ai un rĂ©pondit Lucie en rougissant. Il est dans ma valise, vous pouvez lâattraper ?    Â
   TSM alla donc chercher le doudou de la grande fille et le lui donna avant de pousser le lit Ă roulette sous le grand lit.    A la suite de quoi, il souleva le tissu du cĂŽtĂ© du lit permettant Ă Lucie de voir Ă travers les barreaux dâun lit de bĂ©bĂ©.  Â
     Je vous ai prĂ©vu de quoi vous dĂ©saltĂ©rer et de quoi vous aider Ă dormir ! Lui indiqua TSM en lui donnant une tĂ©tine et un biberon dâeau. A quâelle heure voulez-vous que je vous libĂšre ?    Â
     Comment ça me libĂ©rer ?    Â
     Parce que je vais fermer le lit Ă clĂ©, sans quoi vous allez tricher !    Â
     Est-ce obligĂ© ?    Â
     - Non ici, rien nâest imposĂ© mais vous devriez mâĂ©couter et tester rĂ©ellement !    Â
   Prise dans la tourmente des Ă©vĂ©nements, elle accepta de se laisser enfermer jusquâĂ huit heure. TSM lui laissa le bouton    dâune petite veilleuse avant de quitter les lieux en lui souhaitant bonne nuit. La premiĂšre chose que fit Lucie, câest de toucher entre ses jambes, avoir ce gros truc entre les cuisses la    perturbait un peu. « Je suis folle dâavoir acceptĂ© » dit Lucie Ă son doudou. Pour jouer un peu, elle prit la tĂ©tine en cĂąlinant sa peluche dĂ©lavĂ©e et usĂ©e par des nuits de cĂąlins. A la suite de    quoi, elle testa le biberon et trouva ça trĂšs pratique pour boire la nuit. MalgrĂ© la sieste crapuleuse, Lucie ne tarda pas Ă Ă©teindre la lumiĂšre et sâendormir.  Â
   Vers trois heures du matin, câest une envie pressante qui la rĂ©veilla. Si enfermĂ©e dans ce lit cage elle se sentait    protĂ©gĂ©e de lâextĂ©rieur, le dit lit lâempĂȘchait dâaller aux toilettes. « Le sadique avait raison, jâaurai trichĂ© si il lâavait laissĂ© ouvert » se dit Lucie. Sauf que, elle parvint pas Ă se    soulager dans la couche. Une sorte de blocage psychologique lâempĂȘchait de se libĂ©rer. Au plus on pense Ă lâenvie de faire pipi, au plus..... elle travaille vos mĂ©ninges.  Â
   Vers quatre heures du matin, aprĂšs en avoir parlĂ© avec son doudou, elle finit par se dire que faire quelques gouttes dans    sa couche ne la tuerait pas. Oui mais entre le dire et pouvoir le faire..... ce nâest que vers quatre heure et demi quâelle parvint Ă faire quelques gouttes, enfin, les premiĂšres parce quâun    fois ouverte, sa vessie refusa de se refermer. Câest ainsi que, seule dans son lit avec personne pour la regarder, que Lucie dĂ©couvrit que se lĂącher dans une couche ce nâest pas si dĂ©sagrĂ©able    que ça. « Tu ne le diras Ă personne hein » ? Demanda Lucie Ă son doudou qui, Ă©videment, promis de garder le secret.  Â
   Câest ce pipi couche qui dĂ©clencha quelque chose dâinexplicable dans la tĂȘte de Lucie. Elle se rendormit avec son doudou    dans les bras et en suçant son pouce.  Â
     Coucou Lucie, il est huit heure. Je vous ai apportĂ© le petit dĂ©jeuner, tout est sur la terrasse. Je vous ouvre et vous      laisse tranquille. Gardez encore un peu votre couche pour le petit dĂ©jeuner, cela vous permettra de continuer Ă dĂ©couvrir ce monde. AprĂšs votre douche, vous la mettrez dans un sac en      plastique que vous fermerez bien avant de la mettre dans la poubelle. Ensuite, vous pourrez venir nous voir ou profiter de la propriĂ©tĂ©. Lâeau de la piscine est Ă 25, si cela vous sĂ©duit,      vous pouvez aller vous baigner en maillot ou nue, ici les seuls voisins que nous avons ce sont les oiseaux. Bonne journĂ©e grand bĂ©bĂ© !    Â
     Je ne suis pas un bĂ©bĂ© ! Cria Lucie amusĂ©e par le cĂŽtĂ© ultra dĂ©contractĂ© de TSM.    Â
   Au lieu de se lever, Lucie se laissa aller Ă farnienter un peu au lit, il est vrai que sa nuit avait Ă©tĂ© Ă©courtĂ©e. Si bien    quâelle sâaccorda un deuxiĂšme pipi couche sous sa couette en se disant que le matin, pour la grasse matinĂ©e, ce truc Ă©tait bien pratique puisquâil nây a plus lâobligation de se lever. Une demi    heure plus tard, elle poussa un cri de peur quand un chat Ă©chappĂ© de la chatterie du Moulin vint lui faire un cĂąlin. Il y en a    cinq, câest Princesse Chipie la toute blanche Ă poil long qui Ă©tait venue lui rendre visite. Son cri lui ayant fait peur, lâadorable chatte sâĂ©tait enfuie.  Â
   ArrivĂ©e sur la terrasse, Lucie quitta immĂ©diatement sa grenouillĂšre pour cause de chaleur. « Douche de suite ou cafĂ©    dâabord » se demanda tâelle. CafĂ© fut la prioritĂ© qui sâimposa Ă elle. Lucie prit conscience quâen ce lieu de perdition appelĂ© gĂźte fĂ©tichiste, quâelle pouvait vraiment se lĂącher, quâelle ne    serait pas jugĂ©e par les envies quâelle avait, surtout une. Elle avait envie dâessayer la machine Ă baiser sur le cheval espagnol que lui avait montrĂ© Malicia.  Â
   AprĂšs avoir pris son petit dĂ©jeuner accompagnĂ© par le chant des oiseaux, elle retira la couche pour aller aux toilettes    puis prendre une douche. Evoluer nue dans cette ambiance dĂ©contractĂ©e lui plut. Câest donc intĂ©gralement nue quâelle osa se rendre Ă la piscine pour piquer une tĂȘte et faire quelques    brasses.  Â
       Vous devriez faire attention au soleil, votre peau est blanche et vous risquez de prendre un coup de soleil ! Lui dit     TSM passant devant la piscine.   Â
   GĂȘnĂ©e par sa nuditĂ©, elle attrapa rapidement sa serviette pour se cacher.         Â
     Vous ĂȘtes vraiment timide ou simplement pudique ? Ici câest naturiste, donc si vous voulez Ă©voluer nue, ne vous inquiĂ©tez pas, on sâen moque ! Lui indiqua TSM amusĂ©.    Â
     Oh ça va vilain pas beau ! RĂ©pondit Lucie provocatrice.    Â
     Si vous avez envie dâune fessĂ©e, cela peut sâarranger vilaine ! RĂ©pondit TSM avant de lâinviter Ă venir choisir les lĂ©gumes du repas du midi dans son potager.    Â
     Dans cette tenue ?    Â
     Mettez la serviette autour de votre taille si vous voulez !    Â
   A lâaller, Lucie garda la serviette Ă sa taille, au retour elle Ă©tait sur son Ă©paule, cela lâavait agacĂ©e dâĂȘtre obligĂ©e    de la tenir tout le temps. En arrivant Ă la maison, il lui proposa un cafĂ© ainsi quâĂ Malicia. Assis sur la terrasse ils Ă©changĂšrent sur les nouvelles expĂ©riences de Lucie qui finit par avouer,    que câĂ©tait troublant sans rien dĂ©voiler de plus. TSM et Malicia ne lui demandĂšrent aucun dĂ©tail, leur but nâest pas de gĂȘner les clients, bien au contraire. Lucie sâisola un instant avec    Malicia pour lui avouer quâelle essayerait bien le cheval espagnol.  Â
     Câest TSM qui sâoccupe de ça, vous voulez que je lui en parle ?    Â
     Heu....    Â
     ArrĂȘtez de faire la timide, Ă©clatez-vous, profitez du gĂźte et de ses installations.    Â
   Malicia lui expliqua que câest son mari qui allait le prĂ©parer et lui permettre de sâinstaller seule dessus.  Â
   « Et zut » ! Se dit Lucie, « il faut que je me lĂąche, car je suis sĂ»re que le sadique aura des idĂ©es perverses, plus    jouissives que juste mâasseoir sur un gode qui bouge » Ce fut le cas ! Il lui installa la machine dans le gĂźte mais avec quelques variables Ă la façon TSM. Une fois quâelle fut « empalĂ©e » sur    le gode recouvert dâun prĂ©servatif, il lui attacha les chevilles aux anneaux du carcan, bloqua un magic wand massager sur le devant de la selle avant de lui demander si elle voulait ĂȘtre    menottĂ©e. Elle refusa les menottes, câĂ©tait un peu « trop » pour elle de se faire attacher. Il lâabandonna donc pour retourner prĂ©parer le repas du midi.  Â
   Lucie put donc commencer Ă jouer avec le variateur de la machine puis le magic sur son chaton en avançant sur la boulle,    elle aussi recouverte dâun prĂ©servatif. Au bout dâun moment, elle regretta quâil ne lâait pas menottĂ©e car seule, elle nâarrivait pas à « sâobliger » Ă empiler les jouissances comme pendant sa    sieste crapuleuse. Quand le plaisir Ă©tait trop fort, elle jouait avec la tĂ©lĂ©commande de la machine puis avec le bouton du magic. Si elle avait Ă©tĂ© entravĂ©e..... Ce fut quand mĂȘme bien bon    !  Â
   AprĂšs le repas, vers 14 heures, TSM lui demanda si elle avait besoin de quelque chose avant quâil aille faire sa sieste. Lucie voulu elle aussi faire une sieste « normale » avant dâĂȘtre ouverte Ă une proposition de jeux. Il lui parla donc du principe du Bondage Walking en indiquant quâil avait plusieurs jeux de pistes pour aller rĂ©cupĂ©rer les clĂ©s des menottes ou des cadenas des chaĂźnes.        Â
     Jâai plusieurs jeux de piste, du simple au plus avancĂ© mais comme vous avez le sens de lâorientation dâune fille, je pense que le simple serait bien pour vous !    Â
     Mais vous ĂȘtes macho, une fille sait aussi trĂšs bien sâorienter quâun homme ! RĂ©pondit Lucie.    Â
   La provocation ayant fonctionnĂ©, il abdiqua et lui indiqua quâil lui donnerait la fiche dâorientation aprĂšs la sieste car    à 15 heures, on ne fait pas de Bondage Walking en Espagne. Vers 17 heures, Lucie revint les voir pour lui dire quâelle Ă©tait prĂȘte Ă jouer et relever le dĂ©fi.  Â
     Jâai dĂ©posĂ© les clĂ©s sur le terrain, voici la fiche du jeu de piste pour les trouver.    Â
     Mais je ne vous ai pas dit ce que je voulais faire, comment savez-vous ce quâil me faut ? Demanda Lucie.    Â
     Jâai un jeu de clĂ©s pour plusieurs cadenas et une paire de menottes, dites-moi de quoi avec vous besoin. Vous pouvez avoir 6 cadenas une paire de menottes et des chaĂźnes.    Â
     Heu, je ne sais pas trop. Vous avez des idĂ©es ?    Â
     Je vous propose deux cadenas + une chaĂźne pour les chevilles afin de jouer le bagnard. Ensuite, vous pourriez vous faire une ceinture de chaĂźne qui devient un string. LĂ il vous faut 2 cadenas de plus. Je peux vous prĂȘter un plug mĂ©tal, il a un anneau que vous pouvez fixer Ă la chaĂźne avec un cadenas.      Vous bloquez vos menottes mains dans le dos au niveau de la chaĂźne. Dans ce cas, il faudra fixer le plan dans une pochette plastique sur une de vos jambes puisque vous ne pourrez pas le tenir dans vos mains. La rĂšgle du jeu est simple. Si Ă 20 heures vous nâĂȘtes pas rentrĂ©e, je viendrai vous chercher pour vous ramener. Dans ce cas, je vous verrai donc nue avec votre petit      équipement...... Ah un truc jâai de petite pinces Ă sein munie de clochette ou un collier lui aussi munie de clochette, que prĂ©fĂ©rez-vous ?    Â
     Le collier, mes tĂ©tons ont dĂ©jĂ trop souffert ! RĂ©pond Lucie spontanĂ©ment avant de comprendre quâelle vient de se dĂ©voiler encore une fois.    Â
     OK, allez dans votre gĂźte, je vous apporte tout ce donc vous avez besoin. Vous vous Ă©quiperez seule si vous le dĂ©sirez ou, si besoin je peux vous aider.    Â
     Cela devrait aller, vos explications Ă©taient trĂšs claires, je devrai mâen sortir !    Â
   Lucie ne prend pas conscience quâelle perd beaucoup de temps en se prĂ©parant. Elle accroche le plan Ă sa cuisse droite par    des bandes de velcros avant de verrouiller ses menottes mains dans le dos. Elle part seule et loin des regards de son gĂźte vers 18 heures. Marcher avec des chaĂźnes aux pieds ralentit sa    progression. La clochette fixĂ©e Ă son collier commence Ă lâagacer. A cela se rajoute que, lorsquâelle se penche en avant pour lire le plan sans trop pouvoir plier sa jambe, elle tire sur la chaĂźne passant entre ses fesses et donc,...... sur le plug.  Â
   MalgrĂ© ses petits inconvĂ©nients, Lucie trouve ce jeu trĂšs excitant. Elle sâimagine mĂȘme dans ses petits dĂ©lires quâelle    est le gibier dâune chasse Ă la femme. Quel dommage quâelle nâait pas assez dâamplitude pour pouvoir venir jouer un peu avec son petit bouton des plaisirs. Elle Ă©clate de rire lorsquâelle    arrive à « la fontaine des assoiffĂ©s » comme indiquĂ© sur le plan. Il sâagit dâun biberon attachĂ© Ă un arbre avec de lâeau encore glacĂ©e. Elle descend de bon coeur les deux tiers du biberon.  Â
   Au bout dâune heure dâaventure en pleine nature, Lucie commence Ă se traiter de folle et TSM dâenfoirĂ© pour ses idĂ©es    tordues. En effet, dâaprĂšs le plan, câest de lâautre cĂŽtĂ© de la petite vallĂ©e quâelle devrait ĂȘtre. Câest donc toujours Ă petit pas quâelle fait marche arriĂšre sur 500 mĂštres et termine le    biberon dâeau au passage. Alors quâelle traverse la petite vallĂ©e, Lucie est rattrapĂ©e par une envie pressante. ChaĂźnes aux pieds et mains menottĂ©es dans le dos, elle nâa pas trop envie de sâagenouiller surtout avec un plug dans les fesses. Nâayant pas dâautre choix que de faire pipi debout, elle trempe ses cuisses et ses pieds en traitant TSM de noms spĂ©ciaux quâil est    prĂ©fĂ©rable quâil nâentende pas.  Â
   Assis tranquillement sur sa terrasse avec un pastaga bien frais, le dit TrĂšs Sadique Mec la suit de loin avec ses jumelles. Une petite sĂ©curitĂ© en cas de chute. Il sait donc oĂč se trouve Lucie quand, Ă 20 heures il quitte donc son verre vide pour enfourcher son vĂ©lo. Il commence par rĂ©cupĂ©rer les clĂ©s    avant de rejoindre Lucie. En le voyant arriver, elle est Ă la fois soulagĂ©e et honteuse dâĂȘtre vue nue avec un string de chaĂźne et un truc dans les fesses. AprĂšs avoir libĂ©rĂ© les chevilles de    la pauvre fille perturbĂ©e dâavoir perdu, il pose son sac Ă dos pour en sortir une bouteille dâeau fraĂźche.  Â
     Avec les menottes, cela va ĂȘtre difficile pour moi de boire ! Lui indique Lucie dâun air de dire « tâas pas fini de me libĂ©rer ».    Â
     Je sais mais jâai bien dit que je viendrai vous chercher, pas que je vous libĂ©rerai ! Lui rĂ©pond TSM en accrochant une laisse au collier de Lucie.    Â
     Et, ça va pas la tĂȘte !    Â
     Il va bientĂŽt faire nuit, alors oĂč je vous laisse comme ça avec les renards qui ne vont pas tarder Ă sortir, ou je vous raccompagne Ă ma façon ! A vous de choisir !    Â
     Bon ça va, je vous suis, mais je ne suis pas une chienne !    Â
     Ah, ce jeu vous exciterait ? je peux vous le prĂ©parer si vous le dĂ©sirez !    Â
     Nan, merci, ça ira pour aujourdâhui !    Â
   Cinquante mĂštre plus loin, TSM (TrĂšs Sympathique Mec ^^^) lui retire la laisse et les menottes en lui disant que cela lui    allait bien ! Comprenant quâil avait simplement envie de jouer avec ses nerfs, Lucie lui tire la langue.        Â
     La fessĂ©e câest toute de suite avec les fesses pluguĂ©es ou ce soir aprĂšs votre douche ?    Â
     Ce soir je prĂ©fĂšre ! RĂ©pond Lucie sans rĂ©flĂ©chir.    Â
     Vous ĂȘtes donc dâaccord pour que je vous donne la fessĂ©e mĂ©ritĂ©e !    Â
     Heu.... je nâai pas dit oui !    Â
   .......................  Â
   LaissĂ©e seule Ă son gĂźte, Lucie prend une douche grandement mĂ©ritĂ©e et justifiĂ©e vue la couleur de lâeau Ă ses pieds. A 21    heures, elle les rejoint Ă la maison pour le repas du soir en tenue « civile ». Peu pressĂ©s et vivant Ă lâheure espagnole, ils lui proposent de partager leur apĂ©ritif maison fait avec des    aubergines et des poivrons grillĂ©es du jardin.    Â
     Alors cette expĂ©rience de Bondage Walking vous avez aimĂ© ? Demande Malicia.    Â
     Original Ă vivre, il y a une sorte de communion qui se fait avec la nature, sauf que jâai rencontrĂ© un rustre qui a  voulu me faire marcher en laisse comme une chienne ! RĂ©pond Lucie.    Â
     Oui et qui, au lieu de me remercier dâĂȘtre allĂ© la libĂ©rer et la chercher avant la nuit mâa tirĂ© la langue en guise de reconnaissance. Cela mĂ©rite une fessĂ©e, quâen penses-tu Malicia ?    Â
     Absolument, câest inadmissible ! RĂ©pond Malicia amusĂ©e.    Â
     Classons cette regrettable affaire de suite, venez vous installer sur mes genoux que je vous apprenne la politesse ! Indique alors TSM en reculant sa chaise.    Â
   Pour Lucie, ce nâest pas le fait de recevoir une petite fessĂ©e qui la perturbe, mais câest de la recevoir devant quelquâun    ! Une fois allongĂ©e sur les genoux de TSM, sa jupe est prestement relevĂ©e, la grosse paluche de TSM commence Ă appliquer la fessĂ©e sur une jolie culotte quâil regrette presque de baisser    quelques instants plus tard.  Â
     Aie, quâest-ce que vous faites ?    Â
     Une vraie fessĂ©e se donne dĂ©culottĂ©e, nâest-ce pas Malicia ?    Â
     Absolument !    Â
   Avant mĂȘme quâelle nâait le temps de rĂ©pondre, TSM continue de lui claquer les fesses gentiment, bien quâil aurait bien volontiers appuyĂ© un peu plus. Comme une cliente nâest pas une amie, il se contient et ne fait pas durer la fessĂ©e de la coquine. Pour Lucie, câest encore une grande nouveautĂ© car, sa seule    expĂ©rience de spanking, avait eu lieu une fois avec un de ses copains ultra timide ayant Ă peine claquĂ© ses fesses. MĂȘme si il a Ă©tĂ© soft, elle sent bien que ses fesses sont chaudes lorsquâelle    prend place sur sa chaise.  Â
   Le repas est un moment de partage aussi bien en terme de nourriture que de discussions. Lucie apprend un peu plus de la    vie de ce couple dâadorables psychopathes et regrette dĂ©jĂ dâĂȘtre obligĂ©e de partir le lendemain car elle serait bien restĂ©e plus longtemps. HĂ©las, le billet dâavion ne peut ĂȘtre changĂ©. En    leur compagnie, elle aimerait dĂ©couvrir encore plein de choses car elle se sent en totale sĂ©curitĂ©.  Â
     Vous me faites quoi ce soir ? Demande Lucie.    Â
     La question est mal posĂ©e. Que dĂ©sirez-vous faire et vivre ?    Â
     Jâai bien aimĂ© la nuit en couche dans le petit lit mais y a tâil moyen de varier un peu ?    Â
     Avec une couche ?    Â
     Oui mais aussi du bondage ! RĂ©pond Lucie Ă prĂ©sent sans trop de pudeur.    Â
     Couche, bondage et jouissances avant le dodo, cela vous va ? Lui demande TSM dont le cerveau a dĂ©jĂ dĂ©marrĂ© en mode pervers.    Â
     Ouiii !    Â
   AccompagnĂ©e Ă son gĂźte par TSM et son sac Ă malice, Lucie est invitĂ©e Ă sâallonger due sur le lit. Il lui donne une couche    et un vibro en lui demandant de se le mettre toute seule « comme une grande ». A la suite de quoi, il dĂ©marre le vibro et referme la couche avant de lâaider Ă enfiler une culotte Ă cadenas. Il    pose le camĂ©scope dans un coin en lui expliquant que câest la rĂšgle au gĂźte. A partir du moment oĂč il participe, câest filmĂ© comme pour les camĂ©ras des banques. Sâil nây a pas de problĂšme la vidĂ©o est supprimĂ©e. Il demande ensuite Ă Lucie dâentraver ses chevilles puis lui prĂȘte une cagoule dâisolation BDSM en lui demandant de la mettre aprĂšs lui avoir expliquĂ© que le principe serait le mĂȘme que son selfbondage.  Â
   Il lâaide donc Ă lier son poignet gauche puis guide sa main pour quâelle ferme elle mĂȘme les menottes de son poignet droit. Elle est donc attachĂ©e bras et jambes en croix sur le lit et cagoulĂ©e. TSM branche un magic wand massager filaire sur un programmateur rĂ©glĂ© sur 5 minutes On, 5 minutes Off avant de    programmer une plus longue pĂ©riode en mode On. Le sextoy trouve sa place entre la couche et la culotte en plastique de Lucie.  Â
   TSM (TrĂšs Sadique Mec) abandonne Lucie avec ses interrogations aprĂšs avoir Ă©teint la lumiĂšre. Pendant les cinq premiĂšre minutes, elle se demande ce quâil a placĂ© entre sa couche et sa culotte en plastique. Elle ne le dĂ©couvre que quand le magic se met en route. Les vibrations pile poil au-dessus de son chaton,    sont loin dâĂȘtre dĂ©sagrĂ©ables. CumulĂ©es avec celles du vibro en bonne place, elles la conduisent doucement sur les rivages dâune jouissance. HĂ©las, cinq minutes câest trop court pour y parvenir et le sextoy sâarrĂȘte. Elle boude un peu en se disant que câest dommage que le magic a du tomber en panne.  Â
   Elle pousse un cri de surprise dans sa cagoule cinq minutes plus tard quand il se remet en route. Le TrĂšs Sadique Mec lui a programmĂ© 4 sessions On et 4 sessions Of avant de le lui laisser 60 minutes non stop. Lucie enrage pendant les sessions Of et On avant de finalement savourer le plaisir du magic en mode On    juste au dessus de son chaton. Juste aprĂšs sa premiĂšre jouissance, une envie pressante, que cette fois elle libĂšre sans blocage, la fait dĂ©coller. « Pipi couche + magic câest ouhaouuuu » se dit    Lucie bien dĂ©cidĂ© Ă en acheter un chez ABCplaisir. (ABCplaisir, cela va de soit ! ! ! )  Â
   Lorsque la    serrure de glace lui rend sa libertĂ©, Lucie se dĂ©tache mais nâa mĂȘme pas le courage dâaller attraper les clĂ©s de menottes posĂ©es sur la table du salon. Ce nâest quâau petit matin quâelle    trouve le courage de se lever pour aller retirer la menotte gĂȘnante toujours accrochĂ©e Ă son poignet.  Â
   « Mais oĂč sont les clĂ©s de la culotte Ă cadenas » se demande Lucie. Convaincue quâil veut lâobliger Ă venir les voir avec    ses grosses fesses, elle sort de son gĂźte en jupe vers 9 heures et dĂ©couvre quâelles sont sur la table avec le petit dĂ©jeuner puis une rose fraĂźche. En lisant le petit papier sous la rose, son    sourire disparaĂźt aussitĂŽt. « DĂ©part 11 heures maximum pour que vous ne loupiez pas votre avions ».  Â
   AprĂšs avoir pris son petit dĂ©jeuner, Lucie prend une douche, fait un carrĂ© de mĂ©nage en laissant tout ce qui a Ă©tĂ© utilisĂ©    comme linge et draps dans un panier prĂ©vu Ă cet effet avec de rejoindre ce couple qui lâa si gentiment accueillie. AprĂšs avoir rĂ©glĂ© quelques achats en boutique et le solde de son sĂ©jour, câest    presque les yeux mouillĂ©s quâelle monte dans la voiture pour prendre la route de lâaĂ©roport.  Â
     Est-ce que je pourrai revenir et vivre dâautres choses avec votre aide ?    Â
     Avec plaisir Lucie mais si vous me tirez encore la langue cette fois la fessĂ©e sera plus consistante !    Â
     Leeeeeeeeeeeeee ! Fait Lucie en lui tirant la langue pendant quâil conduit.    Â
   Ni une ni deux, TSM quitte la route pour prendre un chemin pour sâarrĂȘter derriĂšre un bosquet dâarbres.  Â
       Une bonne dĂ©culottĂ©e va vous ĂȘtre offerte par la maison !   Â
     EPILOGUE  Â
   Lucie a eut son avion, TSM prĂ©voit toujours de la marge. Elle a trouvĂ© que les siĂšges de lâappareil nâĂ©taient pas trĂšs    confortables, allez savoir pourquoi ?  Â
   FIN  Â
     Note de lâauteur :
le gßte fétichiste ouvre ses portes en Espagne en 2023. Cliquez    ICI pour en savoir plus
4 notes
·
View notes
Photo
Je crains hĂ©las que le confinement soit bientĂŽt dâactualitĂ©. Pour tuer le temps perdu, autant sâamuser. Si vous ĂȘtes seuls, vous trouverez des tonnes dâidĂ©es de selfbondage sur ABCplaisir IdĂ©e que vous pouvez aussi utiliser en couple pour dĂ©lirer.
Vous en trouverez aussi sur Fessestivites.com oĂč vous pourriez bien faire des rencontres
#confinement#covid#selfbondage#diaper#autobondage#jeux en couple#controle#couche#regression#ageplay#little#humour#funny
4 notes
·
View notes
Photo
Et si on se prĂ©parait une fĂȘte Ă la maison pour ne pas se dĂ©sespĂ©rer de ne pas pouvoir aller dans les bar Ă cause du Covid ?
Bonne fĂȘte Ă tous et la prudence
1 note
·
View note
Photo
Et si on se prĂ©parait une fĂȘte Ă la maison pour ne pas se dĂ©sespĂ©rer de ne pas pouvoir aller dans les bar Ă cause du Covid ?
Bonne fĂȘte Ă tous et la prudence
0 notes
Photo
Et si on se prĂ©parait une fĂȘte Ă la maison pour ne pas se dĂ©sespĂ©rer de ne pas pouvoir aller dans les bar Ă cause du Covid ?
Bonne fĂȘte Ă tous et la prudence
0 notes
Photo
Les bĂ©bĂ©s adultes se doivent dâĂȘtre sage. (En principe)
Le coffre de sécurité est ici
1 note
·
View note
Text
Concours ABDL international pour les 21 ans dâAbkingdom
Le site Abkingdom fĂȘte ses 21 ans le 1 mars. A cette occasion nous organisons deux concours ABDL gratuits avec plus de 700 euros de prix Ă gagner.
PREMIER CONCOURS
Pour participer, vous devez rĂ©pondre obligatoirement une seule et unique fois Ă cette question : Combien dâimages ont Ă©tĂ© postĂ©es sur Abkingdom en 2019 ?
LE PREMIER PRIX :
A) 8 paquets de couches : 5 paquets de Tykables (Licornes, Cammies, Little Rawrz, Overnights et Galactic), et 3 paquets de GetNappied (Little Rascals, Pride et Playdayz).
Offerts par NappiesRus
B) Une semaine de location au ski dans un studio meublé à Serre Chevalier d'une valeur de 300 ⏠( le gagnant "complÚte" si il désire un semaine en pleine saison).
offerts par FRANCE ABDL
C) 1 an d'abonnement au site ukdiapergirls
Offert par ukdiapergirls
D) 1 lot de 2 parfums et fragrances pour ABDL en modĂšle collector offert par Bet-wet
Le premier prix remportera donc A + B + C + D ci-dessus décrit.
LE DEUXIEME PRIX :
6 paquets de couches. 3 paquets de Tykables Cammies et 3 paquets Forsite under the Sea offerts par FRANCE ABDL
1 lot de 2 parfums et fragrances pour ABDL offert par Bet-wet
Pour participer, vous devez rĂ©pondre obligatoirement une seule et unique fois Ă cette question : Combien dâimages ont Ă©tĂ© postĂ©es sur Abkingdom en 2019 ?
Lieu oĂč poster votre rĂ©ponse ICI
RĂšglement du concours :
1°) Concours sans obligation dâachat
2°) Date limite pour poster votre réponse le 1 mars 2020
3°) Vous devez répondre 1 seule fois dans ce forum
4°) Les 2 lots à gagner :
- La personne qui donnera le nombre le plus proche remportera le premier prix.
- La seconde personne qui donnera le nombre le plus proche remportera le deuxiĂšme prix.
5°) Pour pouvoir bĂ©nĂ©ficier de tous ces lots, (et surtout quâon vous les livre) il faudra indiquer vos coordonnĂ©es Ă Abkingdom. Elles ne seront PAS divulguĂ©es publiquement. Seuls les donateurs ci-dessus en auront besoin pour vous adresser les lots.
6°) En cas dâex aequo un tirage au sort sera effectuĂ© devant tĂ©moins et filmĂ©.
7°) Le rĂ©sultat de la question qui est lâobjet de ce concours « Combien dâimages ont Ă©tĂ© postĂ©es sur Abkingdom en 2019 » a Ă©tĂ© adressĂ© Ă Abkingdom sous pli recommandĂ© avant le dĂ©but du concours. Si une personne dĂ©cidait de contester le rĂ©sultat donnĂ© par le serveur, elle serait invitĂ©e Ă se rendre au siĂšge par ses propres moyens et Ă sa charge pour ouvrir le dit courrier recommandĂ© contenant le rĂ©sultat devant tĂ©moins. AprĂšs sâĂȘtre identifiĂ©e (en privĂ©) lâouverture de cette enveloppe serait filmĂ©e et diffusĂ©e afin dâĂ©viter toute contestation.
8°) Les administrateurs dâAbkingdom nâont pas le droit de participer.
9°) Ce concours réservé aux adultes.
Un indice : il y a plus de 500 000 photos sur ABK.
......................................................
LE DEUXIEME CONCOURS autour de votre créativité
Objet : CrĂ©ez une carte, une image, une photo, un objet dâanniversaire pour les 21 ans dâAbkingdom avec au minimum le mot Abkingdom visible.
LOTS A GAGNER
Premier prix
1 paquet de Littleforbig Baby Cuties offert par ABCplaisir
1 lot de 2 parfums et fragrances pour ABDL offert par Bet-wet
TroisiĂšme prix 3 mois dâabonnement sur Abkingdom
DeuxiĂšme prix
1 lot de 2 parfums et fragrances pour ABDL offert par Bet-wet
https://www.bed-wet.com/
TroisiĂšme prix 3 mois dâabonnement sur Abkingdom
Pour participer gratuitement à ce concours de créativité rendez-vous ICI pour poster vos créations.
RĂšglement du concours :
1°) Concours sans obligation dâachat
2°) Date limite pour poster votre image le 10 mars 2020
3°) Le nombre de pouces verts collecté désignera le gagnant
4°) Moyens autorisés : tous. (dessin / photo-montage / peinture / ......)
5°) Les interdits : pas de sexe, de choses dites sales, pas de mineur, image à polémique....
6°) Ce concours réservé aux adultes.
7°) Abkingdom se réserve le droit de modérer une participation en cas de multiples photos ou de contenu non conforme à son éthique.
8°) Pour donner un peu dâĂ©quilibre, entre le premier et le dernier Ă poster, le forum ci-dessous oĂč poster vos crĂ©ations ne sera ouvert que le 20 fĂ©vrier. Cela vous laisse ainsi le temps Ă votre crĂ©ativitĂ© de sâexprimer.
9°) Vous devez poster 1 seule et unique photo de votre création dans ce forum
Bonne chance Ă toutes et Ă tous
1 note
·
View note
Photo
De NĂźmes
Petit test pour voir si il yâa des blogs ABDL Français sur la communautĂ© Tumblr ;)
NâhĂ©sitez pas Ă dire de quel coin vous ĂȘtes !
1K notes
·
View notes