ABDL et diaper-girl un Art de vie Le site Abkingdom grandit de jour en jour, il a 19 ans !
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Mit Papi auf dem Schiff - Ahooooiii❣️🥰🚢
With Daddy on the ship - Ahooooiii❣️🥰🚢
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youtube
Nous avons commandé une machine à fessée pour notre gîte fétichiste et l'avons testé. C'est TROP génial et offre, en plus des jeux solitaires, de multiples possibilités de jeux entre amis coquins, du CBT et autres puis d'adapte au selfbondage.
Elle permet également aux fesseurs de gérer les vilaines à distance grâce aux cams.
Cette vidéo postée sur youtube est un tutorial qui devrait vous donner des idées...
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Et si vous veniez VOUS AUSSI dormir dans ce lit cage ? Voir le site du gîte fétichistes ICI
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Regression totale au gîte fetichistes
J’offre une semaine de vacances tous frais payés et 500 € à la nurse qui acceptera de me faire régresser une semaine au gîte fétichistes. Au delà du fantasme, le pauvre Luc va être confronté à une cruelle et régressive réalité. …………. Telle était la nouvelle annonce de Luc, un ABDL désespéré de trouver une compagne avec laquelle, il pourrait vivre ses fantasmes. Au délà d’un simple fantasme, pour Luc, c’est un réel besoin que de se sentir protégé, choyé, aimé comme un bébé. Ce n’est pas que cet homme âgé de 35 ans ne soit pas une personne agréable qui pose problème aux femmes, c’est qu’il les drague en ne parlant que de lui, que de ses envies sans jamais s’intéresser à elles. A cela se rajoute son annonce sur les sites de rencontres : « Ch femme pour vie commune qui me fera régressé H 24 et m’obligera à porter des couches et à vivre comme un bébé. Annonce sérieuse » Avec une telle annonce, aucune femme ne pouvait être intéressée. Dans son imagination de macho, pour lui, cette femme serait heureuse d’avoir un bébé à s’occuper et rien d’autre. En faisant abstraction volontairement ou en oubliant qu’une femme a aussi des envies de loisirs, d’un compagnon de vie, puis que l’on s’occupe d’elle dans l’intimité et d’une vraie vie, il ne pouvait pas rencontrer la perle de sa vie. Agée de 30 ans, Sandra est une femme ronde ultra complexée par son corps. A cela se rajoute une grande blessure psychologique causée par un homme abject. Après l’avoir draguée et grandement charmée, cet enfoiré (mot adapté) l’a sautée ni plus ni moins qu’un seul soir avant de lui avouer, que c’était pour voir comme ça fait « une grosse ». Cet homme « délicat » l’a ensuite abandonnée nue comme un Kleenex usagé sur le lit de sa chambre en lui disant de ne plus le contacter. En perdant sa virginité de cette abominable façon, blessée et humiliée, Sandra n’a plus jamais cherché à avoir de relation avec les hommes. Pour elle, à cause de son corps, elle serait célibataire à vie. Ce n’est pas parce qu’on est une femme ronde que l’on a pas des envies et des fantasmes. En s’accordant quelques plaisirs solitaires, Sandra se verrait bien vivre avec un homme coquin voir même un peu daddy dom. Cela serait possible si elle n��était pas ultra complexée et que son âme de femme n’avait pas été brisée par un « enfoiré ». L’ABDL elle connaît, cela fait aussi partie de ses fantasmes. Si elle osait, elle serait une little méritant des fessées et vivrait avec un Daddy dom aimant le Dark âge-play. C’est donc en surfant sans aucun espoir qu’elle est tombée sur l’annonce de Luc. Ne roulant pas sur l’or, qu’on lui offre une semaine de vacances tout frais payé et 500 euros tombe à pic, 500 euros c’est le devis de son garagiste. Sans voiture, elle ne pourra pas aller travailler. Après au minimum 30 messages privés, Sandra est convaincue que Luc est sérieux. En plus, elle s’est renseignée, le gîte fétichiste existe réellement, les gens semblent charmants et si elle avait un souci, elle ne serait pas seule. La première rencontre se fait dans un lieu public, un café. Sandra fait un mètre quatre vingt. Luc est très mince et mesure un mètre soixante, autant dire que si besoin avec une simple gifle, elle aura réglé le problème si besoin. L’affaire est conclue, Luc lui donne 250 euros dès la réservation. Dans la voiture, avant le départ, ils reprécisent à nouveau chacun leur tour, leurs rôles. Lui souhaite réellement qu’elle lui impose une régression totale une semaine comme un vrai bébé, elle souhaite profiter des vacances offertes mais qu’il n’espère même pas une relation sexuelle, ni qu’il l’a touche. Etant totalement d’accord, ils prennent donc la route. Luc est en couche avant même d’arriver au gîte fétichistes. Les rôles n’étaient pas réellement établis sur les 200 premiers kilomètres puisque c’est lui qui conduisait. Sur une aire de repos déserte, Sandra décida devant le moulin à paroles perdu dans ses fantasmes, de prendre les commandes avant même d’arriver au gîte. Elle le mit en couche sur la banquette arrière, lui colla une tétine dans la bouche en lui rappelant qu’un bébé ne parle pas, il braille quand il a faim, soif et uniquement pour des choses de bébé ! Fort gêné d’être vu avec sa tétine, assis sur le siège arrière de la voiture, Luc n’osa plus parler. Arrivés au gîte, Sandra apprécia l’accueil chaleureux. Luc aussi dans un sens, car à peine les papiers faits et la visite des lieux faite, il fut conduit à la nurserie. Une fois changé et langé, il se retrouva dans le lit de bébé pour que « Maman » ait le temps de s’installer. Elle ne fit pas que ça. Elle demanda s’il était encore possible de commander le repas du soir en précisant, classique pour moi et mixé puis sur chaise haute pour mon bébé. Amusé par l’arrivée en fanfare de ce qu’ils ont pris pour un couple vivant leurs fantasmes à 100 %, Marc et son épouse acceptèrent de faire le repas non commandé et d’installer la chaise haute dans la salle de restauration. Pendant ce temps, Sandra installa ses affaires dans le gîte avant d’aller chercher le petit toujours couché à la nurserie. Enfer et damnation ! Le bébé était redevenu grand et même vicieux ! Elle le trouva couché sur le lit de la chambre Love en train de se masturber. Autant dire que la remontée de bretelles ou plutôt de couche, fut sévère ! Aux yeux de Sandra, il était inconcevable que Luc puisse faire ça pendant le séjour ! Recouché manu militari après avoir été changé, elle revisita le site du gîte fétichiste où elle retrouva l’indication qu’il était possible de demander aux responsables de garder les clés d’une cage de chasteté. Le pauvre Luc allait en faire les frais trois fois. - Une en achetant une cage de chasteté d’ABCplaisir, la boutique étant dans le même bâtiment. - Une en la portant H24. - L’autre avec une grande humiliation le soir même dans la salle de restauration. LES PREMIERES HUMILIATIONS ET LE DEBUT DE LA REGRESSION En arrivant à 20h30 dans la salle de restauration, ils découvrirent que la table n’était mise que pour trois, Sandra et les propriétaires du gîte. Pour Luc, la chaise haute était placée en bout de table. L’idée d’être réellement vu en bébé le gênait horriblement. En effet, il ne portait comme vêtements que sa couche et un body. Ce fut pire encore pour sa pudeur quand Sandra le fit monter sur la chaise haute qu’elle referma aussitôt. Dans le menu à 13 euros, un apéritif est prévu. Pour Sandra ce fut un verre de sangria et pour Luc, le mieux est que je leur laisse la parole ! - ET pour le petit ? Demanda Marc au moment de choisir l’apéro. - Un coca ! Répondit Luc naturellement après avoir retiré sa tétine. - Non, non, non, pas question que le petit boive ce genre de chose à son âge. Avez-vous du jus de fruits ? - Bien sûr Madame répondit Marc. - Parfait, prenez son biberon, car un verre c’est trop dangereux répondit Sandra. Autant dire que Luc n’osa pas discuter. Question humiliation, Sandra se lâcha totalement entre le Canard confit sauce aux figues et le fromage. - J’ai vu que vous gardiez les clés des cages de chasteté sur simple demande. Est-ce que cela serait possible de nous en vendre une et de garder les clés pendant notre séjour ? Vous comprenez, ce petit est un gros vicieux, j’ai pour mission de le faire régresser et lui apprendre la sagesse. Le pauvre Luc faillit avaler sa tétine en écoutant sa « maman » parler de lui comme ça ! Il se décomposa en terminant son biberon quand l’entrée fut servie. Un belle assiette de tapas maison pour eux, et une sorte de soupe pour lui. Sandra assuma son rôle à la perfection, en le faisant manger comme un bébé. Luc essaya bien de discuter lui aussi, mais il lui fut rappelé qu’un bébé sa braille mais ne parle pas. « Je ne te comprends pas » ou « on ne te comprend pas » répondait Sandra à Luc à chaque tentative. Le bébé fut donc obligé de se taire jusqu’à la fin du repas. A la suite duquel, ils prirent congés pour se rendre à la nurserie au lieu du gîte en demandant à Marc de venir les conseiller pour mettre la cage de chasteté. Luc se décomposa, un homme allait assister à son change, le voir nu et pire encore, à la pose de sa cage de chasteté. Malgré les conseils éclairés, Luc n’arriva pas à passer l’anneau de sa cage de chasteté. Sandra très gênée de touche le sexe de son bébé non plus. Elle finit par demander à Marc de les aider. Très professionnel, avec une attitude et des gestes aussi précis qu’un infirmier s’occupant d’un patient, il attrapa le sexe de Luc devenu blême, et, en quelques secondes résolut le problème. - Voilà, elle est posée, il ne vous reste plus qu’à fermer le cadenas ! Leur indiqua Marc en précisant que ce n’était pas son rôle avant de quitter les lieux pour les laisser en toute intimité. Le petit oiseau fut bouclé ! Sandra avait décidé de dormir dans la chambre LOVE, lieu fouettant ses propres fantasmes. Une fois que Luc fut en couche et préparé pour la nuit avec, un body et une grenouillère d’été prêtée par le gîte, elle le coucha dans le lit de bébé. Excitée par tous les sextoys du donjon accolé à la chambre LOVE, Sandra prit la précaution de fermer le lit de bébé à clé avec le petit cadenas prévu à cet effet. Elle lui donna sa tétine, lui souhaita bonne nuit avant de fermer la porte de la nurserie. Luc était un peu perdu. Dans un sens, sa nurse était très attentionnée, elle s’était bien occupée de lui, il vivait exactement ce qu’il voulait avec un bémol : la cage de chasteté ! Il peina à trouver le sommeil. De son côté et enfin tranquille, Sandra visita le donjon avec un grand intérêt. Même si elle n’avait jamais été attirée par ce genre de pratique, les lieux de la laissait pas de marbre. Elle quitta les lieux pour se rendre au gîte prendre une douche et sa chemise de nuit avant de revenir à la chambre Love. Passant de « maman » à femme, elle emprunta un gode et le vibromasseur Magic wand pour s’accorder un moment de plaisir solitaire. Ce genre de pratique aidant à trouver le sommeil, elle ne tarda pas à s’endormir contrairement à Luc, son voisin de chambre. Le lendemain, avant de se lever, elle s’accorda un nouveau plaisir solitaire, les sextoys étant encore sur le lit, autant en profiter. A la suite de quoi, elle fit la grâce matinée oubliant un peu le bébé. Qu’on le veuille ou non, la nature reprend ses droits. Les envies pressantes de Luc ne portaient pas sur le pipi, plusieurs ayant été faits pendant la nuit, mais sur l’autre côté de son anatomie. Ce n’est pas qu’il ne l’ait jamais fait de déféquer dans sa couche, mais là différence notable portait sur le fait qu’il risquait de devoir « baigner » dans ses mictions un certain temps. Et il ne se trompait pas ! En mère ou nurse indigne, Sandra ne se leva que vers neuf heures. Son premier réflexe fut de se rendre au gîte faire ses besoins sur le pot des grands, puis se faire un café avant de prendre une douche. Ce n’est qu’après ça, qu’elle s’occupa du petit déjeuner de son bébé. Macérant dans sa couche bien chargée, Luc attendait avec impatience, en compagnie des odeurs nauséabondes, qu’elle vienne le libérer. Lorsqu’elle arriva pour le délivrer, elle le fit asseoir sur la chaise d’inquisition pouvant servir de chaise haute pour adulte. S’asseoir sur sa couche pleine ne l’amusa pas ni qu’elle ouvre la porte du donjon pour cause de parfum de fesses sales. Et là, Sandra devint une nurse attentionnée. Elle lui donna un biberon de lait avec beaucoup de tendresse. Une fois le bibi absorbé, devant les dégâts visibles sur la couche, Sandra estima que le change se ferait au gîte. Luc fut donc guidé et obligé de se déplacer en marchant « en canard » à l’extérieur, ce qui pouvait l’exposer aux regards. Autant dire qu’il ne tarda pas. Au gîte, Sandra le nettoya, le doucha avant de le langer et de l’habiller avec un tee-shirt, la culotte plastique, le body et un pantalon en lui indiquant qu’il fallait aller faire des courses. Alors qu’ils sortaient du gîte, elle aperçut Marc se rendant à son potager. Elle décida de le rejoindre pour lui demander conseil pour faire les courses, puis si il était possible de leur prêter un gros coussin pour en faire un « rehausseur » dans la voiture. Quelques minutes plus tard, c’est donc assis sur ce rehausseur de fortune sur le siège arrière de sa voiture, qu’ils se rendirent à Mercadona, un supermarché à quatorze kilomètres de là. Luc n’eut pas d’autres choix que d’accompagner sa nurse dans le supermarché avec ses grosses fesses et sa tétine en bouche. Amusée de sa gêne, elle commentait à haute et intelligible voix, les produits qui devraient être bien pour son gros bébé avant de les mettre dans la caddy. Fort gêné, Luc se sentait malgré tout rassuré, les Espagnols ne pouvaient comprendre ce qu’elle disait en français ! Grossière erreur, en Espagne l’apprentissage des langues étrangères se fait tout petit à l’école. Si bien qu’une femme compatissante, entreprit de la féliciter. - Madame, je tiens à vous féliciter. J’ai entendu ce que vous disiez et si je comprends bien, vous avez pris votre frère handicapé avec vous pour les vacances. C’est tout en votre honneur. Lui dit la dame avec un grand sourire. - Merci Madame, c’est très gentil à vous. Il souffre effectivement d’une déficience mentale avancée, mentalement il n’a qu’un an et il n’est pas propre. Je ne vous cache pas que c’est une charge importante pour moi de m’occuper de lui. Savez-vous si ils vendent des couches ici ? Demanda Sandra. - Oui, j’en ai vu. Je vous accompagne ! Répondit ma femme. En Espagne, les gens sont très serviables, mais le pauvre Luc n’apprécia pas du tout, bien au contraire, pour lui, cette femme était un véritable pot de colle ! Un quart d’heure plus tard, ils arrivèrent à la caisse avec un caddy bien chargé et surtout, avec deux paquets de couches posés sur le dessus. Les gens ne disaient rien et semblaient compatissants en voyant cette femme accompagnée d’un adulte avec une tétine de bébé dans la bouche et tenu par la main. La caissière l’aida même à remettre les courses dans son caddy en lui parlant en Espagnol. Si ils ne comprirent pas ce qu’elle disait, ils perçurent clairement qu’elle était elle aussi, très compatissante. Luc fut soulagé de retrouver sa place sur le siège arrière et de quitter les lieux où il touchait du doigt la réalité de ses fantasmes de régression totale imposée. Arrivés au gîte, elle le laissa dans la voiture quelques minutes pour aller chercher des jouets et le tapis de jeu pour l’occuper pendant qu’elle rangerait les courses. Assis sur son tapis de jeu dans le gîte, Luc se décontracta pendant qu’elle s’occupait du repas de midi. Bien décidé à assumer son rôle de nurse modèle, elle interpella Marc pour savoir si il avait une couverture à leur prêter pour aller pique-niquer. Luc se décomposa en entendant sa demande. - Oui bien sûr, je vais vous l’apporter, vous souhaitez aller visiter quelque chose dans le quartier ? Demanda Marc - Nous irons demain faire du tourisme, aujourd’hui nous allons profiter de votre parc et du soleil pour pique niquer sur l’herbe. Si cela ne vous dérange pas, pendant le repas de ce soir, vous pourrez nous indiquer ce qu’il y a à voir dans la région ? « Mais avec plaisir » répondit Marc avant d’aller chercher la couverture. Une heure plus tard, le bébé était assis sur la couverture, à l’ombre sous les grands arbres. Sandra faisait sortit les pots de bébé achetés le matin et commença à nourrir son bébé salivant devant les superbes tranches de jambon ibérique et le chorizo. Hélas pour lui, cette nourriture ne convient pas au bébé. Extrêmement attentionnée, Sandra l’invita à s’allonger et à poser sa tête sur sa cuisse pour lui donner un biberon de lait chocolaté en guise de dessert. Vues de loin, ils ressemblaient à des amoureux, partageant totalement un instant de régression. Après ce pique-nique, Luc fut conduit à la nurserie puis changé et couché dans le lit qu’elle ferma pour être tranquille. - Fait dodo bébé Luc, maman va à la piscine, elle reviendra te voir dans un moment ! Lui indiqua Sandra bien décidée à profiter de ses vacances ! L’eau de la piscine étant à 28°, elle n’eut aucun problème pour y entrer et se baigner sereinement. Elle était si sereine qu’elle décida de retirer son maillot pour faire un peu de bronzage intégral. « Quels pieds ces vacances, je sens que je vais me plaire ici » pensa Sandra en oubliant le bébé. Après s’être protégée avec d’ambre solaire, elle continua de bronzer sur un transat. Ce n’est qu’en fin d’après-midi, qu’elle prit conscience que le « petit » devait avoir faim. Effectivement, Luc avait faim et soif. Il commençait à s’ennuyer lourdement et à se dire que, finalement, la semaine risquait d’être longue. Il fut ravi de voir arriver sa nounou et qui plus est, en maillot de bain. Sandra l’installa sur la petite chaise installée à la table de la piscine à l’ombre sous le noyer pour lui donner un biberon d’eau et un petit pot de bébé en guise de goûter. La piscine lui faisait de l’œil, il la montra du doigt en essayant de faire comprendre qu’il irait bien se baigner. La piscine étant pour adulte et sans maître nageur, la baignade lui fut refusée pour cause de sécurité. Luc souffla de mécontentement. En guise de baignade il fut changé, douché, couver d’ambre solaire et assis sur la couverture à côté de la piscine pendant que Sandra se baigna à nouveau sous ses yeux envieux. La soirée fut identique à celle de leur arrivée. Les seules variables portèrent sur le fait qu’on lui mit un bavoir pour adulte et que la discussion porta sur les choses proches à visiter avec un bébé. Marc et sa compagne commencèrent à se demander, sans rien dire évidement, si ils allaient réellement vivre comme ça toute la semaine en régression ! Lorsqu’ils essayèrent d’en savoir plus sur eux, Sandra resta très évasive ne souhaitant pas être prise pour une nurse professionnelle. Elle leur indiqua seulement qu’ils s’étaient connus par Abkingdom et qu’ils avaient eu l’envie de tenter une semaine de vacances comme ça. - Toutes mes félicitations à vous deux, pour oser vivre vos fantasmes et vos envies. Beaucoup ne font que fantasmer sans jamais sortir de leur appartement ou faire des rencontres ABDL. Franchement chapeau bas à vous deux et si on peut vous aider ou si vous avez besoin de quelque chose, surtout n’hésitez pas à demander. Demander ne coûte rien ! Leur indiqua Marc. Et le soir même, Luc se retrouva comme la veille, enfermé dans son lit de bébé. Sandra s’amusa seule dans la chambre LOVE en testant de nouveaux sextoys. Elle aurait bien piquée une des couches de Luc, hélas elles étaient bien trop petites pour elle. Ayant bien compris qu’au gîte on ne juge pas les fétichismes des autres, elle se promit de se prendre un lot de trois à sa taille le lendemain. Sandra ayant commandé un pique-nique à emporter, et discrètement un lot de trois couches à sa taille, ils quittèrent les lieux pour aller visiter la région. Le plus difficile pour Luc pour le repas, fut qu’il n’y avait pas la protection visuelle qu’offre la propriété du gîte, surtout au moment du change en pleine forêt… A leur retour, Sandra installa le bébé sur un tapis de jeu près de la piscine avant de se baigner seins nus. Voir cette grosse et belle poitrine déclencha dans la cage de chasteté et la couche les mêmes effets qu’une bombe. Hormis pour faire pipi, sa zézette ne servit à rien. Lorsqu’elle sortit du bain et vint pour lui donner un biberon d’eau, Luc ne put se retenir de lui dire « t’es très belle ». Ce compliment toucha Sandra, personne depuis des années ne lui avait fait un tel compliment. Le ton employé par le « bébé » tout comme ses yeux ne laissait aucun doute sur sa sincérité. Si elle apprécia, son expérience avec les hommes fit s’allumer tous les voyants d’alerte dans son cerveau. Elle le remercia et décida qu’il était temps d’aller changer le bébé pour « changer d’ambiance ». La soirée fut identique à la précédente. Après le repas sur chaise haute dans la salle de restauration, Luc fut à nouveau langé et couché dans le lit de bébé qu’elle ferma à clé et pour cause ! Elle voulait avoir la certitude qu’il ne se lèverait pas, être vue en couche en train de se faire plaisir l’aurait extrêmement gênée. Une fois seule et la porte fermée, elle se mit nue avant d’essayer le sling pour voir comment cela fait d’être couchée jambes écartées sur cette sorte de drap de cuir suspendu. Ses doigts de la main droite commencèrent à courir entre ses cuisses, ceux de la main gauche à jouer avec ses tétons. Dans sa tête, un beau daddy imaginaire profitait de cette position pour lui faire l’amour sans retenue. Manquant un peu de « matière pénétrante » le cheval d’inquisition lui fit de l’œil. « Et si j’étais attachée sur ce truc avec des sextoys dans les orifices pendant qu’il martyrise un peu mes tétons, cela me ferait peut-être prendre un pied pas possible » pensa Sandra. « Aller, je me fais la totale » se dit la nurse décidant de s’émanciper dans les coquineries. Elle se mit un petit plug dans les fesses, un gode dans le chaton avant de se mettre en couche. Avant d’aller s’asseoir sur le cheval d’inquisition, elle prit le magic wand sur l’étagère. Assise et empalée sur ses sextoys qu’elle chevaucha de bon cœur un moment, elle s’acheva en quelques instants avec le gros vibro en forme de micro. Son plaisir fut sans pareille, un deuxième « tour » s’imposa suivi d’un troisième. « C’est fou ce qu’ici, on devient perverse » constata Sandra en se disant que, finalement, avec un vrai homme, les vacances au gîte fétichistes doivent être sublimes. C’est avec cette pensée et un peu de tristesse qu’elle se coucha en gardant la couche sur elle. Quel dommage que Luc ne soit qu’un AB, le séjour pourrait être franchement plus intéressant fut sa conclusion. De son côté, Luc s’ennuyait ferme. Ayant beaucoup dormi depuis leur arrivée, il n’arrivait pas à trouver le sommeil. A cela se rajoute que manger uniquement de la nourriture de bébé, hormis le repas du soir servi mixé ne comblait pas réellement son appétit. Il commença à regretter d’avoir voulu vivre comme un bébé 24 heures sur 24 pendant une semaine. Leur nuit respective fut perturbée par des rêves érotiques du côté de la chambre LOVE et dans le lit cadenassé de la nurserie. Les songes que l’on a entre deux sommeils furent par contre différents. Nous pourrions les appeler : « Les regrets » sur leurs conditions de vie. La pauvre Sandra, condamnée à vivre seule et sans amour pour cause de complexe et blessure. Le pauvre Luc également. Contaminé par le côté extrême de ses fantasmes ABDL, au point d’en avoir perdu le sens des réalités lors de sa recherche de compagne de vie, il s’était condamné à vivre seul. Le lendemain matin fut identique au précédent. Sandra fit la grâce matinée, Luc baigna dans sa couche nauséabonde sans pouvoir quitter son lit jusqu’à 10 heures. Comme la veille, il fut lavé, langé et vêtu et contraint de consommer des petits pots de bébé en guise de petit déjeuner. La météo étant incertaine, elle décida de visiter le verger et d’aller manger quelques fruits bios mûrs sur les arbres. Ils constatèrent avec ravissement que les dits fruits n’avaient pas du tout le même goût que ceux du supermarché ! Au départ de cette petite promenade, Luc n’était vêtu que de son body de bébé et sa couche, une tenue originale dans la nature pour un adulte. A fond dans sa mission de nurse, Sandra lui tenait la main afin que « le petit » ne se fasse pas mal. C’est au fond du verger que l’incident arriva sous les pommiers. Le pied de Sandra glissa dans une des rigoles boueuses de l’arrosage. Elle se vautra lamentablement et se tordit la cheville. Assise par terre en la massant avec l’espoir que cela ne soit pas grave, elle vit Luc autrement. Le bébé adulte était devenu un homme attentionné. Un petit moment plus tard, il l’aida à se relever puis à marcher en lui servant de « béquille ». En revenant à petits pas au gîte, il avait retrouvé la parole, Sandra bien occupée à essayer de marcher ne releva pas cette écart dans leur contrat de régression. Luc était vraiment désolé pour elle et lui proposa d’aller chercher une chaise pour qu’elle fasse une pause, ou d’aller chercher de l’aide. Ne souhaitant pas ennuyer les propriétaires du gîte, elle accepta qu’il aille chercher une chaise. C’est au pas de course que Luc partit la chercher. Il passa voir Marc pour lui demander si ils avaient une pommade pour une entorse. A son retour au cœur du verger, après avoir aidé Sandra à s’asseoir, il entreprit de lui masser la cheville avec une extrême douceur. Prévenu de l’incident, ils furent rejoints par Marc et sa compagne venus voir si il fallait appeler les urgences. N’aimant pas déranger ni être le centre des préoccupations, Sandra déclina la proposition en estimant que cela ne devait être qu’une petite entorse et que cela allait passer. Malgré ses réfutations, Marc partit chercher le fauteuil roulant qui initialement, est un fauteuil de douche pour personne handicapée. Détourné de son usage normal pour du CBT ou du fétichisme médical, il permit de ramener Sandra au gîte sans encombre ni douleur. Après avoir retrouvé l’usage de la parole, Luc devint un ange adulte ! Sandra fut choyée comme jamais. Il se changea puis partit sous prétexte d’aller acheter des cigarettes pour, en réalité, passer à la pharmacie du village d’à côté pour prendre de quoi soigner la nurse de ses rêves. A son retour il prit soin de la cheville légèrement enflée, lui fit un bandage avant de se mettre à cuisiner pour qu’elle se repose. C’est pendant le repas normal, pris sur une chaise normale, qu’il lui avoua que vivre 24h sur 24 comme un bébé avait été pour lui une expérience révélatrice. - En fait, cela est passionnant le premier jour, la première nuit, le premier matin, mais ensuite on s’ennuie ! Lui expliqua Luc. - Et là, aujourd’hui à cause de moi, nous cassons un peu ton rêve et ton plaisir ! Déclara Sandra désolée. - Oh non ma belle, ne t’inquiète pas pour ça, au contraire, redevenir adulte me plait bien, hormis, bien sûr, que je regrette que tu te sois fait mal. Faire une pause ne me déplait pas. Aujourd’hui, cela sera un jour de repos bien mérité pour ma nurse adorée. Nous aurions du le préciser dans notre contrat ! Ajouta Luc en faisant de l’humour. - Tu as raison, je devrai me plaindre au syndicat des nurses. Tu devrais d’ailleurs être puni pour avoir osé devenir un bébé adulte esclavagiste ! Plaisanta Sandra. Les douleurs de la cheville de Sandra ayant bien diminuée, le soleil étant revenu au beau fixe, ils décidèrent d’aller profiter de la piscine. - Je n’ai pas de maillot ! Indiqua Luc. - Je peux t’en prêter un mais j’ai peur qu’il soit bien trop grand pour toi ! Plaisanta Sandra avant d’ajouter qu’elle l’avait déjà vu nu et qu’il n’aurait qu’à faire du naturisme. Par gentillesse, il lui proposa de l’aider à se changer, mais elle refusa en précisant qu’elle devrait pouvoir le faire seule. Quelques minutes plus tard, pour entrer dans la piscine, avec sa cage de chasteté comme seul vêtement, Luc tint la main de sa nurse, vêtue avec simplement le bas de son maillot. Sous un soleil éclatant et 35 ° sur le thermomètre, ils profitèrent longuement de la piscine tout en discutant comme de réels amis. - Pourquoi es-tu si différent que sur Abkingdom ? Demanda Sandra. Là tu es un garçon adorable alors que sur le net, tu es, comment dire…, bizarre. - Je ne sais pas ou je ne m’en rends pas compte ! Répondit Luc. Peux-tu préciser ta pensée ? - Sur Abkingdom, tu fais tellement l’obsédé des couches et de la régression que tu fais débile alors que tu es tout sauf débile. - Je vais arrêter les couches ! Déclara Luc. - Mais non, ne passe pas d’un extrême à l’autre, c’est idiot. Tu as le droit d’aimer ça, d’avoir des fantasmes et des envies de jouer. Si l’envie de vivre en couche H 24 te plait, pourquoi pas, il n’y a pas de mal à se faire du bien. Par contre, peut-être devrais-tu adapter un peu ton langage si tu cherches une compagne, parce que là, comme tu l’as fait jusqu’à présent sur le site, aucune femme ne souhaitera vivre avec toi ! - Tu pourras me guider sur le site ? Demanda Luc perturbé par ces propos. - Oui et non. Je ne peux pas faire ton annonce à ta place. Par contre, je peux te dire si elle est attractive pour une femme. - Je peux te poser une question ? - Tu peux toujours ! - Est-ce que tu mets des couches aussi ? - Oui, cela m’arrive, j’aime bien ! Répondit Sandra. - Est-ce que tu fais pipi et popo dedans ? - Tu vois, cette question n’a pas grand intérêt pour un début de discussion, ma réponse changera quoi ? - En fait, c’est juste pour savoir ! - Ce type de question est un peu intime ne trouves-tu pas ? Est-ce que pour satisfaire ta curiosité cela ne te dérange pas de toucher à la pudeur d’une femme ? - Si bien sûr ! - Alors évite-la gros bêta ! C’est comme si je te demandai lors d’un premier échange par internet si tu te mets de gros plug dans le cul ou si tu t’es déjà fait sodomiser LOL ! - Je crois que j’ai besoin de cours de drague ! Déclara Luc. - Et de savoir vivre sur internet car dans la vie, tu me sembles être un garçon charmant ! Peux-tu aller nous chercher s’il te plait des draps de bain et de l’ambre solaire ? A son retour avec les draps de bain, une fois allongé sur un transat, ils se « tartinent » mutuellement le dos d’ambre solaire. - Tu peux m’en mettre sur les jambes s’il te plait ? Lui demande Sandra. - Avec plaisir ! Masser les jambes puis cuisses de sa nurse excite grandement le bébé devenu adulte. Sandra contemple avec un certain intérêt pour la première fois depuis leur arrivée, le sexe de Luc. Tout gonflé dans sa cage de chasteté, il tire sur les précieuses et semble vouloir passer entre les barreaux. - Dis-donc, cela te fait de l’effet de me mettre de l’ambre solaire ! - Désolé, mais vous êtes si belle, votre peau est si douce, que même un curé ne pourrait pas rester de marbre. Pour la seconde fois, Sandra est touchée par les compliments de Luc. Elle peut effectivement constater en regardant la cage de chasteté prête à imploser qu’il est sincère. Amusée, elle décide d’en jouer et se retourne pour qu’il lui passe de l’ambre solaire sur le devant. Etre ainsi massée avec tendresse commence réellement à l’exciter. Bien décidée à profiter de la situation, elle lui demande de lui faire la poitrine. - Je peux réellement ? Demande Luc étonné - Ben oui gros bêta puisque je te le demande. Pour Luc, passer l’ambre solaire sur cette généreuse poitrine féminine est à la fois un délice ultra érotique et un véritable calvaire. Ce n’est pas avec les mains qu’il aimerait la toucher mais avec les lèvres. Les yeux fermée, sa nurse « redevenue femme» savoure elle aussi les caresses. Ce n’est pas l’envie de se caresser qui lui manque, cela fait tellement longtemps qu’un homme ne s’est pas occupé d’elle, sachant qu’en plus, le dernier l’a plongée dans la solitude en la blessant. - J’ai envie de faire un jeu coquin et toi ? Lui demande Sandra bien décidée à profiter de la vie. La réponse de Luc fit évidement positive comme le lecteur peut s’en douter. Elle l’envoya chercher une paire de menottes qu’elle lui posa main dans le dos. La chose faite, redevenue la femme très joueuse qu’elle était quand elle était mince, elle lui demanda de retirer le bas de son maillot avec les dents. - Tu comprends, je n’ai pas envie d’avoir d’horribles marques de maillot sur mon bronzage, mais je me méfie des mains baladeuses ! Lui expliqua Sandra comme si cela était normal. C’est avec une grande excitation et beaucoup de délicatesse, que Luc entreprit de retirer le dernier rempart de tissu protégeant le corps de la nurse de ses rêves. - Comme je ne peux te donner le sein pour faire comme si je t’allaitais, si tu as envie, tu peux me faire des bisous là ! Lui indiqua Sandra en écartant les jambes. Luc crut s’évanouir à sa demande en se demandant si il ne rêvait pas ! Comme le grand bébé devenu ultra timide et bien différent de son attitude sur Abkingdom, elle guida sa tête au creux de ses cuisses. L’instant fut si magique et sensuel, que même les oiseaux se turent et le soleil se cacha les yeux derrière un petit nuage. Folle d’excitation, Sandra se caressa la poitrine puis titilla ses tétons sans pudeur en se faisant longuement brouter le minou. L’affamé devenu glouton dut être un peu modéré pour qu’elle puisse atteindre son but : jouir ! - C’était très bon, merci vilain garçon ! Plaisanta Sandra avant de se retourner pour faire dorer l’autre côté de son anatomie. Pensant qu’il devait continuer de « laper », sans prévenir, Luc plongea sa tête dans le délicat pertuis situé entre les généreuses collines encore blanche. Surprise, Sandra n’osa l’arrêter et découvrit rapidement que se faire « bouffer le fion » est loin d’être désagréable ! Luc était dans tous ses états ! Son sexe emprisonné et congestionné commençait à devenir douloureux avec, au total, une heure d’érection contrariée et surtout, compressée. Le soleil quant à lui, ne l’aidait pas dans sa mission gustative, avoir la tête entre de grosses fesses par 35° à l’ombre, cela fait transpirer. Malgré ces inconvénients, il n’avait aucunement envie d’arrêter. Ce fut Sandra, redevenu nurse prévoyante qui l’arrêta. Elle se leva pour aller chercher un biberon d’eau fraîche qu’elle lui donna en le prenant dans ses bras comme un bébé. Mue par une envie câline de « maman », pendant qu’il tétait, elle caressa avec une grande douceur le visage du grand bébé comblé. Pour se remettre de leurs tendres émotions, ils prirent un long bain dans la piscine avant d’aller savourer une bonne bière bien fraîche sur la terrasse couverte. Il n’y eut pas qu’une bière de consommée, les deux adultes se laissèrent un peu aller. Sous la chaleur, la bière, ou plutôt les bières font de l’effet dans la tête et sur la vessie. Sandra en profita pour jouer un peu avec son grand bébé. Elle lui demanda de marcher à quatre pattes dans le gazon du parc verdoyant et de se soulager comme un bébé qui ne sait pas se retenir. Amusé par l’idée de jouer au bambino, il fit comme demandé avec grand plaisir. Au moment de se soulager, il leva la patte comme un chien. Sandra lui rappela qu’il n’en est pas un mais observa attentivement ses mixions pour voir comment cela fait sous cage de chasteté. Lancée dans ses délires, elle s’accroupit à son tour pour se soulager sans pudeur devant Luc. Les effets des bières se faisaient aussi sentir pour elle dans tous les sens du terme. - Je crois que l’on a trop bu ! Finit par dire Sandra prenant conscience de cet abandon. Allons à la nurserie, j’ai un marmot pervers à m’occuper ! Langé et vêtu comme bébé, ils prirent le chemin de la salle de restauration. Le repas fut servi comme la veille, Luc demanda si on pouvait ne pas mixer le succulent repas, Sandra accepta mais demanda si ils avaient de moufles pour bébé à lui prêter. Le repas fut épique et le bavoir tout comme le carrelage profitèrent également du repas fort animé par les éclats de rire. L’heure de prendre congé étant arrivée, la nurse emmena son bébé à la nurserie pour le changer. Luc la supplia de le laisser dormir au gîte en précisant qu’il pourrait dormir dans le lit du haut et qu’il serait sage. Il ajouta que passer toutes ses nuits dans un lit de bébé n’est pas très confortable ni aussi amusant qu’il l’imaginait dans ses fantasmes. Ayant pitié de lui, elle accepta. - Tu mettras aussi une couche ? Lui demanda soudain Luc. - Pourquoi pas, avec ce que l’on a bu à la terrasse, cela m’évitera de me lever toutes les heures ! - Si tu veux, je peux te la mettre ! Proposa le bébé redevenu adulte ! La nurse accepta bien volontiers, pour une fois qu’on s’occupait d’elle, s’en priver serait une aberration. C’est ainsi que se poursuivit la mutation de leurs jeux et de rôles. Une fois langée, l’envie de câlin poussa Sandra à lui proposer de dormir avec elle. Ils se couchèrent donc tous les deux dans le lit du bas où ils firent un gros câlin aussi conventionnel que sage. La femme résidant dans un corps de nurse aurait bien aimé quelque chose de plus « érotique » et physique… A sa décharge, cette journée comme des amis complices et coquins cela donne des idées de… Ce n’est qu’au petit matin, par accident et entre deux bisous conventionnels, que leurs tubes digestifs se croisèrent (Pardon, leurs lèvres se croisèrent) pour un long baiser. Initialement, une nurse ne « baise pas » avec un bébé adulte. Cela est incohérent et pourrait être considéré comme de la pédophilie indirecte. MAIS quand les sentiments s’installent entre deux adultes, ces dérapages affectifs passent bien au dessus des conventions. L’amour a ses raisons que la logique ne comprend pas toujours ! En clair, Sandra commença à regretter d’avoir mis le bébé sous cage de chasteté. A défaut de quelque chose de long et consistant, elle accepta qu’une langue vienne soulager sa pression intérieure en proposant d’aller se doucher. Luc refusa et lui demanda de se laisser faire. Il ouvrit la couche malmenée puis, sans aucune hésitation plongea la tête en avant comme à la piscine mais entre les cuisses parfumées. Se sentant sale, la « pisseuse » mit un peu de temps à s’abandonner à cette langue si généreuse. Une fois « partie » elle oublia la douche et profita grandement de la gloutonne agile et alla même jusqu’à plaquer la tête du bébé devenu grand entre ses cuisses. - Tu es doué de la langue toi ! - Merci ! Répondit Luc pourtant peu habitué aux femmes puisqu’il n’en a connu qu’une dans sa jeunesse. Après la douche et le petit déjeuner puis la traditionnelle mise en couche, les touristes choisirent comme destination ce qui se visite principalement en voiture. Au mois de juillet, le désert de Bardenas Reales avec la climatisation obligatoire en cette période et en ce lieu. Ils en profitèrent pour faire quelques photos hors piste du petit en couche dans le désert. Sandra regretta de ne pas en avoir mis une, car cette réserve de la Biosphère par l’UNESCO avec son parc Naturel de 42 5000 hectares avec des zones allant de désertique à semi désertique, n’offre pas beaucoup de lieux pour un pipi discret. En période touristique et quand on a encore un peu mal à la cheville, cela n’est pas aussi évident qu’on ne l’imagine ! Au retour, Sandra demanda en secret à Marc de lui remettre discrètement les clés de la cage de chasteté de son bébé. Après la douche, ils ne purent faire autrement que d’aller se baigner à la piscine. Le temps passé ensemble les rapprochait chaque jour un peu plus. Si bien qu’à la piscine, en se faisant baladeuses, les mains ne servirent pas qu’à nager et les langues ne servirent pas qu’à discuter. Heureusement, bien plus basse en température l’eau de la piscine empêcha l’explosion de la cage de chasteté. Le bébé adulte devint un plongeur émérite n’hésitant pas à aller explorer de sa langue l’entrée d’une grotte située entre les cuisses de Sandra. Les capacités respiratoires d’un humain étant limitées, Sandra décida de laisser Luc dans la piscine pour s’allonger sur une serviette en laissant ses jambes dans l’eau. Il put ainsi lutiner la fleur féminine ravie que l’on s’occupe d’elle. Si le repas du soir fut comme les précédents, Luc pour profiter de tous les instants avait commandé tous les repas au lieu de s’ennuyer avec la cuisine. Ils ne tardèrent pas à se retrouver au gîte après le passage obligatoire à la nurserie. Câlins après câlins, Sandra finit par lui dévoiler qu’elle avait les clés de la cage de chasteté. Le message était fort clair, autant pour Luc que pour vous les lecteurs ! Les couches furent donc ouvertes pour autre chose qu’un change. Nous dirons plutôt un « échange » charnel d’une grande intensité. Le dernier jour fut bien différent des autres. Ils discutèrent beaucoup et sans trop de pudeur, de leurs fantasmes, de leurs envies pour en arriver à constater qu’ils étaient : ??? (Compatibles) En clair, Luc pourrait très bien de temps en temps s’occuper de Sandra comme un daddy un peu pervers, et Sandra pourrait l’obliger de temps en temps à être comme un vrai bébé mais sur des périodes courtes de 24 heures par exemple. Le reste du temps, ils pourraient vivre comme un couple classique et conventionnel. Ce dernier jour fut consacré à switcher pour voir. (Switcher signifie échanger les rôles) Sandra donna le sein à son bébé, le bichonna avec bien plus d’amour que depuis leur arrivée au gîte fétichistes. Elle ne jouait pas, elle était à fond dans son rôle comme une vraie maman avec son bébé. En fin d’après-midi, comme dans ses fantasmes avouées, elle devint une little casse pieds qui mérite d’être attachée bras et jambes en croix sur le lit de la chambre LOVE pour être dévoré par son daddy pervers. Une fois « crounchée » par le sauvage, la little redevenant femme fut libérée et dévora de bisous son nouveau chéri. Le lit de la chambre LOVE pourrait vous dire, si il n’était pas tenu à la discrétion, que les âmes fusionnèrent avec beaucoup d’Amour. C’est presque avec les larmes aux yeux qu’ils quittèrent le gîte fétichistes le lendemain, cette fois, tous les deux en couche. Luc avait enfin compris qu’une femme ne peut pas être que la nurse de ses fantasmes et, qu’il n’est pas si intéressant que ça de devenir bébé adulte H 24 sur la durée. Il avait aussi compris que la vie est faite d’échanges, que se faire plaisir à tour de rôle, peu importe la façon, est un impératif dans une vie de couple. En acceptant la proposition financière de Luc, Sandra désespérée des hommes et financièrement, avait découvert que même en étant femme ronde, elle pouvait trouver sa perle d’amour. FIN TSM - Si Marc existe réellement - Si le gîte fétichistes existe réellement - Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes - Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes Visiter le site du gîte fétichistes en cliquant ICI https://gitefetichistes.com/
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L’inflation est telle que beaucoup de Français prennent leurs vacances en Espagne ou tout est moins cher. Certains arrivent à associer Vacances + Tourisme + Economies + fétichismes en réservant l’appartement du gîte fétichistes.
Cela leur permet d’accéder GRATUITEMENT au donjon et à la nurserie pour adulte. http://gitefetichistes.com/
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Le lit de bébé de la nurserie pour adulte du gîte fétichistes Les vacanciers peuvent accéder GRATUITEMENT à la nurserie et en toute intimité avec leur Daddy ou Maman
http://gitefetichistes.com/
Sur youtube, vous pouvez visiter l’ensemble de notre zone fétichistes ICI
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La table à langer de la nurserie pour adulte du gîte fétichistes Les vacanciers peuvent accéder GRATUITEMENT à la nurserie et en toute intimité avec leur Daddy ou Maman
http://gitefetichistes.com/
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Le gîte fétichiste est un gîte classique MAIS des espaces de liberté sont ouverts aux clients désirant associer vacances + tourisme + des instants fétichistes. Les clients peuvent accéder librement à un donjon équipée, une nurserie équipée, des espaces de jeux en extérieur.
Même la sale de restauration peut être équipée pour les ABDL (ou autres) sur simple demande avec, par exemple, la chaise haute pour adulte.
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Chaise haute pour adulte ABDL au restaurant du gîte fétichiste.
Le but principal du gîte fétichiste est de permettre aux personnes de vivre leurs fantasmes en toute liberté et sans jugement.
Pour exemple, cette chaise haute pour adulte se trouve dans la salle du resto du gîte. Et voir les clientes assises dessus ne pose aucun souci chez nous.
Au gîte, il y a également une nurserie équipée et un donjon modulable en ABDL si désiré.
Pour associer vacances + tourisme + fétichisme, ce lieu est totalement adapté.
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Lucie au gîte fétichiste
Lorsqu’elle a vu les annonces de l’ouverture d’un gîte fétichiste en Espagne accordant une attention particulière aux célibataires, Lucie a trouvé l’idée originale. Après avoir mené sa petite enquête, elle s’est offerte un week-end coquin pour vibrer un peu. Si effectivement les propriétaires du gîte sont ultra respectueux et attentifs à leurs clients, le mobilier et les accessoires qu’ils mettent à votre disposition sont là pour fouetter votre libido.
Manquant un peu d’idées pour jouer seule, en prenant conseil, Lucie s’embarque dans des aventures aussi sulfureuses que jouissives même si, parfois, c’est assez tendu. Ses vacances éroticos sensuelles deviennent BDSM, ABDL et lui feront mal aux fesses.
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Lucie est une femme coquine, pas une salope, ne pas confondre. Elle aime les plaisirs de la vie, le BDSM, le bondage mais ne se donne pas au premier venu. Comme beaucoup de femme, elle s’est offert quelques sextoys. Elle a également joué à s’attacher un peu toute seule pour jouer avec le bondage et ses sextoys pour « s’obliger » à jouir un peu plus longtemps.
Ses petits selfbondage étaient très simples, comme attacher ses chevilles et ses cuisses avec des ceintures après avoir mis un petit plug anal, puis un vibro dans son chaton. Le plus compliqué de ses selfbondage a été d’oser mettre des menottes mains dans le dos et de s’allonger sur le ventre pour s’abandonner à ses sextoys. Les clés des menottes étaient tout simplement posées sur la table de nuit. Si ses petits jeux coquins étaient très sages, chaque fois dans son esprit coquin, les fantasmes l’étaient beaucoup moins. Qui n’a pas de fantasmes me direz-vous ?
Lorsqu’elle a vu les annonces de l’ouverture d’un gîte fétichiste accordant une attention particulière aux célibataires, cela l’a titillée. En s’imaginant dans les jeux possibles décrits pour les couples et les hommes seuls, il lui venait des fourmis dans son petit bedon....
Elle s’est donc lancée dans une étude approfondie à la version enquêteurs de police sur les propriétaires du gîte. Les 60 évaluations faites sur le profil de TSM étaient pratiquement toutes dans le même sens. « Un sadique pervers à la fois très respectueux et accueillant ».
Lire les évaluations réelles des personnes l’ayant rencontré
Joueuse mais prudente, Lucie a donc pris un abonnement sur Fessestivites pour contacter les femmes ayant fait des évaluations sur son profil. Toutes les filles lui ont répondu qu’elle ne risquait rien, hormis s’éclater, découvrir et s’amuser en toute simplicité.
Aussi frileuse qu’excitée, elle l’a donc contacté par messagerie pour avoir plus d’informations sur ce que son gîte fétichiste pouvait proposer comme « loisirs ». Sa réponse a été simple !
Vous pourrez faire tout ce que vous rêver de vivre et faire seule en étant assistée, accompagnée, guidée et surtout sécurisée. Exemple, si vous rêvez d’essayer une camisole de f o r c e, vous l’enfilez, je ferme la camisole et vous me dites combien de temps vous désirez restée prisonnière. Cela peut être aussi de dormir enfermée dans une cage, de rester une heure nue au pilori, à chaque fois, c’est vous qui décidez. Je peux également vous prêter du matériel pour faire du selfbondage, vous donner des idées de scénarios mais ne jamais entrer dans votre gîte. L’avantage est que si je ne vous vois pas à midi par exemple, je viendrai voir si vous êtes bloquée et en perdition. En clair, ma femme ou moi-même pouvons être la personne de confiance à qui vous pouvez tout dire.
Convaincue qu’elle ne risquait rien et que sa vie ne serait pas en danger, Lucie a donc fait une réservation comme si elle se jetait à la mer.
Trois mois plus tard, et après des rêves érotiques fous et quelques cauchemars, c’est dans la parking de l’aéroport qu’elle rencontre l’agitateur de mauvaise conscience. Venu en ville faire trois achat pour son gîte, il lui a proposé de la récupérer à l’aéroport pour lui éviter d’avoir à payer un taxi. Les discussions pendant le trajet dans le 4x4 poussiéreux, finirent de lever ses craintes. TSM est un gentil taré bourré de très mauvaises et surtout, perverses idées. En rencontrant son épouse Malicia, pour l’apéro de bienvenue, elle constata qu’il n’était pas le seul à avoir des idées perverses.
Pendant que TSM terminait la préparation du repas, Malicia lui fit visiter les lieux et l’accompagna à son gîte. Les discussions furent coquines, entre filles on se lâche un peu plus. Pendant le repas, elle eut des explications sur des fétichismes qu’elle connaissait très peu ou ne comprenait pas comme l’ABDL. C’est au dessert qu’elle avoua qu’elle manquait d’idée pour l’après-midi. C’était une vraie fausse mauvaise bonne idée que de dire cela à TSM ! ! !
Je vous propose de vous accompagner à votre gîte pour vous préparer un plan qui finira de vous achever après la fatigue du voyage. Cela peut être très jouissif..... Rassurez-vous, je ne fais que tout installer et je vous abandonne pour aller faire ma sieste ! Répondit TSM.
Peu rassurée elle accepta cette proposition. Il prit une serrure de glace de deux heures et, habitué aux lieux, il ne lui fallut que très peu de temps pour faire une installation sur le lit avec tout ce qu’il faut pour qu’elle se fasse plaisir.
Je vous explique le principe. Vous mettez ce que vous voulez dans vos orifices, vous garder une culotte pour bloquer le magic wand massager en bonne place. Ensuite vous attachez vos chevilles dans ces bracelets, vous attachez votre main gauche dans ce bracelet avant d’allumer vos jouets et de menotter votre dernier poignet ici ! Lui indiqua TSM avant d’ajouter : vous pouvez également vous mettre des pinces à sein et une cagoule qui vous aidera à mieux fantasmer. Si vous n’avez pas de question, je vous laisse vous installer ?
Si j’ai une question. Comment s’ouvrent les menottes ?
Cette petite boite noire est remplie de glace. Quand elle sera fondue, elle libérera votre poignet. Vous pourrez alors vous libérer, c’est aussi simple que ça.
Merci, vous pouvez me laisser ! Répondit Lucie toute rouge de honte.
A peine était-il sorti et enfin seule, elle se précipita vers le placard à sextoys. Rien que de les toucher la faisait mouiller. Elle mit un préservatif sur un plug anal de taille modeste, sur le vibro qui n’allait pas tarder se retrouver au chaud.... Au cas où, elle prit aussi des pinces à sein légères car la douleur pure, n’est pas son truc ainsi qu’un petit bandeau pour ses yeux de biche. Après s’être dévêtue, hormis la culotte comme conseillé, elle ne tarda pas à combler ses orifices très demandeur, surtout celui de devant...
Lucie prit place sur le lit pour entraver ses chevilles. A la suite de quoi, elle s’allongea pour entraver son poignet droit. L’excitation étant à son comble, elle le détacha pour se mettre les petites pinces à sein. Elle finalisa son selfbondage après avoir allumé le petit vibro et le gros magic wand puissance 10 logé dans sa culotte. « Ouhaou, cela va être géant » pensa aussitôt Lucie.
Son esprit coquin ne tarda pas à se mettre en route. L’amant de ses rêves venait la « sauter » avant de la livrer en pâture à ses amis. Ce fantasme n’est réellement qu’un fantasme car elle n’accepterait pas ce genre de pratique. Par contre, dans les fantasmes on peut y mettre ce qu’on veut pour délirer, s’envoler et jouir.
En agitant ses reins comme si son amant la prenait sauvagement, elle agitait aussi le vibro et le plug. Ces actions, cumulées aux vibrations et au magic wand massager puis au fait d’être réellement attachée, la firent rapidement monter « dans les tours ». Le premier orgasme fut géant même si elle aurait bien aimé que les sextoys vibrants lui accordent une pause. Le deuxième orgasme ne tarda pas à pointer son nez. Le troisième la mit dans un état de transe. Son corps lui échappait, elle criait son plaisir et tremblait sans discontinuer. Au quatrième elle hurla sa jouissance, chose qu’elle n’avait jamais fait étant plutôt discrète au lit..
« Déglinguée » et en perdition totale, elle commença à subir les effets des sextoys. « Subir » est un bien grand mot, disons qu’elle aspirait à une pause syndicale qu’ils ne semblaient pas vouloir lui accorder ! « Je me fais un gang bang BDSM toute seule » pensa Lucie continuant d’enchaîner contractions sur contractions.
Une heure plus tard, les batteries du vibro et du magic wand massager finirent par rendre l’âme, laissant ainsi une pauvre fille épuisée de jouissances entravée bras et jambes en croix sur le lit. Lucie sombra dans les bras de Morphée pour un sommeil profond sans rêve. C’est en se tournant comme quelqu’un qui dort qu’elle se réveilla. Pendant une seconde, elle s’affola d’être entravée avant de se rendre compte de la situation. Son poignet droit était libre, elle pouvait se délivrer. Si cela fut facile à faire, le retrait des pinces à sein lui parut soudainement très hard. Une douche salutaire s’avéra obligatoire ! C’est là qu’elle découvrit qu’il y avait aussi des anneaux dans les murs, même dans la salle de bain. « C’est vraiment une maison de fous » se dit-elle.
Lucie prit conscience qu’elle était restée entravée trois heures au total. Malgré ses tétons très sensibles elle enfila un tee-shirt puis une jupe pour aller prendre l’air puis prendre un verre avec Malicia.
Alors, c’était bien ? Lui demanda Malicia.
Superbe, j’ai cru mourir deux ou trois fois, votre mari est un vrai malade mental !
Je sais, c’est aussi pour ça que je l’aime !
Il vous l’a fait aussi ?
Oh, il m’a fait bien pire !
La discussion entre filles continua sur le sujet un moment mais elles refusent que j’écrive ce qu’elles se sont dit. Croyez-moi sur parole, entre elles les discussions sont parfois chaudes...
N’ayant pas envie de cuisiner, Lucie avait annoncé qu’elle prendrait tous ses repas au gîte. Elle partagea donc celui du soir en mauvaise compagnie et put même assister à la fessée de Malicia, une injustice évidente car c’est une perle. En même temps, en voir une en vraie lui donna des envies, mais elle n’osa pas l’avouer.
TSM lui demanda si elle avait des projets coquins pour la soirée ou la nuit comme si il lui demandait si elle voulait faire du tourisme ou des courses !
Non, je n’en ai pas mais si vous avez des idées, je n’aurai rien contre des propositions ! Répondit Lucie un peu gênée.
Arrêtez de rougir, ici rien ne nous choque. Vivez vos passions ou essayez des trucs, ne soyez surtout pas gênée, cela fait 40 ans que je suis dans le monde des rencontres. Je suis le propriétaire de Fessestivites et Abkingdom, autant dire que vous pouvez vous lâcher et nous parler librement de tout.
Ne connaissant pas Abkingdom, Lucie voulut en savoir un peu plus sur l’ABDL. TSM lui expliqua la différence entre AB qui signifie adult baby puis l’âge-play avant d’aborder le côté DL qui signifie diaper lover. Il aborda aussi le côté little, petite fille ou petit garçon, une autre forme de régression. Il précisa que c’était quelque chose à découvrir, à essayer au moins une fois pour voir car les sensations, les émotions ressenties ne tuent pas ceux qui essaye pour voir. Il précisa que c’est un fétichisme honteux pour beaucoup alors qu’il n’y a aucun mauvais fétichisme.
Il n’y a pas de mal à se faire du bien et à s’accorder des plaisirs quels qu’ils soient. Certains aiment la fessée, d’autres les pieds, d’autres les collants ou le latex, d’autres le libertinage, d’autres le BDSM, où est le mal à aimer pratiquer quelque chose qui fait du bien et ne dérange personne ? Vous devriez essayer au moins une fois l’ABDL, je peux vous faire dormir en couche enfermée dans un lit de bébé. Si je précise enfermée, c’est parce que je sens bien que les jeux de contrainte vous amusent. Rien ne vous y oblige, vous pouvez aussi refaire du bondage pour la nuit.
Heu, je crois que pour aujourd’hui, le bondage et les sextoys on va oublier ! Répondit Lucie avant de demander à Malicia si elle aime l’ABDL.
J’ai essayé pour voir, non ce n’est pas mon trip mais je confirme, il y a des passionnées. Essayez pour voir, vous verrez bien ! Répondit Malicia.
Et qui est-ce qui me met la couche ? Demande Lucie.
Vous mais je peux vous aider si vous ne vous en sortez pas toute seule ! Répondit TSM.
Vous n’êtes pas jalouse qu’il fasse ça ? Demanda Lucie étonnée.
Absolument pas, où est le mal ? Il ne baisera pas avec vous, il vous fera la même chose qu’un infirmier ! Répondit Malicia.
Ecoutez Lucie, je vous propose de vous organiser une nuit de douceur sous la contrainte pour vous faire découvrir l’âge-play comme si vous y étiez obligée. Vous mettez seule votre couche, j’attends devant la porte du gîte et je n’entre que quand vous m’y invitez. A partir de là, je vous verrai avec une grosse culotte. Cela vous va ?
Rouge comme une écrevisse, Lucie abdiqua. Une heure plus tard, TSM pénétra donc dans le gîte de Lucie après y avoir été invité. Il la fit s’allonger sur le lit pour arranger les attaches de la couche, puis lui faire enfiler une culotte en plastique.
Bien, la petite fille est protégée pour la nuit. Maintenant il faut l’habiller pour qu’elle n’ai pas froid. Regardez ce que j’ai prévu pour vous ! Indiqua TSM ou ouvrant un sac de voyage avec une grenouillère et un body. Que préférez-vous, la grenouillère ou le body ou les deux ?
Lucie prit la grenouillère qu’elle enfila toute seule un peu gênée par cette aventure.
Vous êtes toute mimi comme ça, allez bébé, entrez dans le lit qui est sous le grand lit dit TSM en tirant un grand tiroir s’avérant être un lit une place sur roulette. Vous avez un doudou ou je vous en prête un ?
J’en ai un répondit Lucie en rougissant. Il est dans ma valise, vous pouvez l’attraper ?
TSM alla donc chercher le doudou de la grande fille et le lui donna avant de pousser le lit à roulette sous le grand lit. A la suite de quoi, il souleva le tissu du côté du lit permettant à Lucie de voir à travers les barreaux d’un lit de bébé.
Je vous ai prévu de quoi vous désaltérer et de quoi vous aider à dormir ! Lui indiqua TSM en lui donnant une tétine et un biberon d’eau. A qu’elle heure voulez-vous que je vous libère ?
Comment ça me libérer ?
Parce que je vais fermer le lit à clé, sans quoi vous allez tricher !
Est-ce obligé ?
- Non ici, rien n’est imposé mais vous devriez m’écouter et tester réellement !
Prise dans la tourmente des événements, elle accepta de se laisser enfermer jusqu’à huit heure. TSM lui laissa le bouton d’une petite veilleuse avant de quitter les lieux en lui souhaitant bonne nuit. La première chose que fit Lucie, c’est de toucher entre ses jambes, avoir ce gros truc entre les cuisses la perturbait un peu. « Je suis folle d’avoir accepté » dit Lucie à son doudou. Pour jouer un peu, elle prit la tétine en câlinant sa peluche délavée et usée par des nuits de câlins. A la suite de quoi, elle testa le biberon et trouva ça très pratique pour boire la nuit. Malgré la sieste crapuleuse, Lucie ne tarda pas à éteindre la lumière et s’endormir.
Vers trois heures du matin, c’est une envie pressante qui la réveilla. Si enfermée dans ce lit cage elle se sentait protégée de l’extérieur, le dit lit l’empêchait d’aller aux toilettes. « Le sadique avait raison, j’aurai triché si il l’avait laissé ouvert » se dit Lucie. Sauf que, elle parvint pas à se soulager dans la couche. Une sorte de blocage psychologique l’empêchait de se libérer. Au plus on pense à l’envie de faire pipi, au plus..... elle travaille vos méninges.
Vers quatre heures du matin, après en avoir parlé avec son doudou, elle finit par se dire que faire quelques gouttes dans sa couche ne la tuerait pas. Oui mais entre le dire et pouvoir le faire..... ce n’est que vers quatre heure et demi qu’elle parvint à faire quelques gouttes, enfin, les premières parce qu’un fois ouverte, sa vessie refusa de se refermer. C’est ainsi que, seule dans son lit avec personne pour la regarder, que Lucie découvrit que se lâcher dans une couche ce n’est pas si désagréable que ça. « Tu ne le diras à personne hein » ? Demanda Lucie à son doudou qui, évidement, promis de garder le secret.
C’est ce pipi couche qui déclencha quelque chose d’inexplicable dans la tête de Lucie. Elle se rendormit avec son doudou dans les bras et en suçant son pouce.
Coucou Lucie, il est huit heure. Je vous ai apporté le petit déjeuner, tout est sur la terrasse. Je vous ouvre et vous laisse tranquille. Gardez encore un peu votre couche pour le petit déjeuner, cela vous permettra de continuer à découvrir ce monde. Après votre douche, vous la mettrez dans un sac en plastique que vous fermerez bien avant de la mettre dans la poubelle. Ensuite, vous pourrez venir nous voir ou profiter de la propriété. L’eau de la piscine est à 25, si cela vous séduit, vous pouvez aller vous baigner en maillot ou nue, ici les seuls voisins que nous avons ce sont les oiseaux. Bonne journée grand bébé !
Je ne suis pas un bébé ! Cria Lucie amusée par le côté ultra décontracté de TSM.
Au lieu de se lever, Lucie se laissa aller à farnienter un peu au lit, il est vrai que sa nuit avait été écourtée. Si bien qu’elle s’accorda un deuxième pipi couche sous sa couette en se disant que le matin, pour la grasse matinée, ce truc était bien pratique puisqu’il n’y a plus l’obligation de se lever. Une demi heure plus tard, elle poussa un cri de peur quand un chat échappé de la chatterie du Moulin vint lui faire un câlin. Il y en a cinq, c’est Princesse Chipie la toute blanche à poil long qui était venue lui rendre visite. Son cri lui ayant fait peur, l’adorable chatte s’était enfuie.
Arrivée sur la terrasse, Lucie quitta immédiatement sa grenouillère pour cause de chaleur. « Douche de suite ou café d’abord » se demanda t’elle. Café fut la priorité qui s’imposa à elle. Lucie prit conscience qu’en ce lieu de perdition appelé gîte fétichiste, qu’elle pouvait vraiment se lâcher, qu’elle ne serait pas jugée par les envies qu’elle avait, surtout une. Elle avait envie d’essayer la machine à baiser sur le cheval espagnol que lui avait montré Malicia.
Après avoir pris son petit déjeuner accompagné par le chant des oiseaux, elle retira la couche pour aller aux toilettes puis prendre une douche. Evoluer nue dans cette ambiance décontractée lui plut. C’est donc intégralement nue qu’elle osa se rendre à la piscine pour piquer une tête et faire quelques brasses.
Vous devriez faire attention au soleil, votre peau est blanche et vous risquez de prendre un coup de soleil ! Lui dit TSM passant devant la piscine.
Gênée par sa nudité, elle attrapa rapidement sa serviette pour se cacher.
Vous êtes vraiment timide ou simplement pudique ? Ici c’est naturiste, donc si vous voulez évoluer nue, ne vous inquiétez pas, on s’en moque ! Lui indiqua TSM amusé.
Oh ça va vilain pas beau ! Répondit Lucie provocatrice.
Si vous avez envie d’une fessée, cela peut s’arranger vilaine ! Répondit TSM avant de l’inviter à venir choisir les légumes du repas du midi dans son potager.
Dans cette tenue ?
Mettez la serviette autour de votre taille si vous voulez !
A l’aller, Lucie garda la serviette à sa taille, au retour elle était sur son épaule, cela l’avait agacée d’être obligée de la tenir tout le temps. En arrivant à la maison, il lui proposa un café ainsi qu’à Malicia. Assis sur la terrasse ils échangèrent sur les nouvelles expériences de Lucie qui finit par avouer, que c’était troublant sans rien dévoiler de plus. TSM et Malicia ne lui demandèrent aucun détail, leur but n’est pas de gêner les clients, bien au contraire. Lucie s’isola un instant avec Malicia pour lui avouer qu’elle essayerait bien le cheval espagnol.
C’est TSM qui s’occupe de ça, vous voulez que je lui en parle ?
Heu....
Arrêtez de faire la timide, éclatez-vous, profitez du gîte et de ses installations.
Malicia lui expliqua que c’est son mari qui allait le préparer et lui permettre de s’installer seule dessus.
« Et zut » ! Se dit Lucie, « il faut que je me lâche, car je suis sûre que le sadique aura des idées perverses, plus jouissives que juste m’asseoir sur un gode qui bouge » Ce fut le cas ! Il lui installa la machine dans le gîte mais avec quelques variables à la façon TSM. Une fois qu’elle fut « empalée » sur le gode recouvert d’un préservatif, il lui attacha les chevilles aux anneaux du carcan, bloqua un magic wand massager sur le devant de la selle avant de lui demander si elle voulait être menottée. Elle refusa les menottes, c’était un peu « trop » pour elle de se faire attacher. Il l’abandonna donc pour retourner préparer le repas du midi.
Lucie put donc commencer à jouer avec le variateur de la machine puis le magic sur son chaton en avançant sur la boulle, elle aussi recouverte d’un préservatif. Au bout d’un moment, elle regretta qu’il ne l’ait pas menottée car seule, elle n’arrivait pas à « s’obliger » à empiler les jouissances comme pendant sa sieste crapuleuse. Quand le plaisir était trop fort, elle jouait avec la télécommande de la machine puis avec le bouton du magic. Si elle avait été entravée..... Ce fut quand même bien bon !
Après le repas, vers 14 heures, TSM lui demanda si elle avait besoin de quelque chose avant qu’il aille faire sa sieste. Lucie voulu elle aussi faire une sieste « normale » avant d’être ouverte à une proposition de jeux. Il lui parla donc du principe du Bondage Walking en indiquant qu’il avait plusieurs jeux de pistes pour aller récupérer les clés des menottes ou des cadenas des chaînes.
J’ai plusieurs jeux de piste, du simple au plus avancé mais comme vous avez le sens de l’orientation d’une fille, je pense que le simple serait bien pour vous !
Mais vous êtes macho, une fille sait aussi très bien s’orienter qu’un homme ! Répondit Lucie.
La provocation ayant fonctionné, il abdiqua et lui indiqua qu’il lui donnerait la fiche d’orientation après la sieste car à 15 heures, on ne fait pas de Bondage Walking en Espagne. Vers 17 heures, Lucie revint les voir pour lui dire qu’elle était prête à jouer et relever le défi.
J’ai déposé les clés sur le terrain, voici la fiche du jeu de piste pour les trouver.
Mais je ne vous ai pas dit ce que je voulais faire, comment savez-vous ce qu’il me faut ? Demanda Lucie.
J’ai un jeu de clés pour plusieurs cadenas et une paire de menottes, dites-moi de quoi avec vous besoin. Vous pouvez avoir 6 cadenas une paire de menottes et des chaînes.
Heu, je ne sais pas trop. Vous avez des idées ?
Je vous propose deux cadenas + une chaîne pour les chevilles afin de jouer le bagnard. Ensuite, vous pourriez vous faire une ceinture de chaîne qui devient un string. Là il vous faut 2 cadenas de plus. Je peux vous prêter un plug métal, il a un anneau que vous pouvez fixer à la chaîne avec un cadenas. Vous bloquez vos menottes mains dans le dos au niveau de la chaîne. Dans ce cas, il faudra fixer le plan dans une pochette plastique sur une de vos jambes puisque vous ne pourrez pas le tenir dans vos mains. La règle du jeu est simple. Si à 20 heures vous n’êtes pas rentrée, je viendrai vous chercher pour vous ramener. Dans ce cas, je vous verrai donc nue avec votre petit équipement...... Ah un truc j’ai de petite pinces à sein munie de clochette ou un collier lui aussi munie de clochette, que préférez-vous ?
Le collier, mes tétons ont déjà trop souffert ! Répond Lucie spontanément avant de comprendre qu’elle vient de se dévoiler encore une fois.
OK, allez dans votre gîte, je vous apporte tout ce donc vous avez besoin. Vous vous équiperez seule si vous le désirez ou, si besoin je peux vous aider.
Cela devrait aller, vos explications étaient très claires, je devrai m’en sortir !
Lucie ne prend pas conscience qu’elle perd beaucoup de temps en se préparant. Elle accroche le plan à sa cuisse droite par des bandes de velcros avant de verrouiller ses menottes mains dans le dos. Elle part seule et loin des regards de son gîte vers 18 heures. Marcher avec des chaînes aux pieds ralentit sa progression. La clochette fixée à son collier commence à l’agacer. A cela se rajoute que, lorsqu’elle se penche en avant pour lire le plan sans trop pouvoir plier sa jambe, elle tire sur la chaîne passant entre ses fesses et donc,...... sur le plug.
Malgré ses petits inconvénients, Lucie trouve ce jeu très excitant. Elle s’imagine même dans ses petits délires qu’elle est le gibier d’une chasse à la femme. Quel dommage qu’elle n’ait pas assez d’amplitude pour pouvoir venir jouer un peu avec son petit bouton des plaisirs. Elle éclate de rire lorsqu’elle arrive à « la fontaine des assoiffés » comme indiqué sur le plan. Il s’agit d’un biberon attaché à un arbre avec de l’eau encore glacée. Elle descend de bon coeur les deux tiers du biberon.
Au bout d’une heure d’aventure en pleine nature, Lucie commence à se traiter de folle et TSM d’enfoiré pour ses idées tordues. En effet, d’après le plan, c’est de l’autre côté de la petite vallée qu’elle devrait être. C’est donc toujours à petit pas qu’elle fait marche arrière sur 500 mètres et termine le biberon d’eau au passage. Alors qu’elle traverse la petite vallée, Lucie est rattrapée par une envie pressante. Chaînes aux pieds et mains menottées dans le dos, elle n’a pas trop envie de s’agenouiller surtout avec un plug dans les fesses. N’ayant pas d’autre choix que de faire pipi debout, elle trempe ses cuisses et ses pieds en traitant TSM de noms spéciaux qu’il est préférable qu’il n’entende pas.
Assis tranquillement sur sa terrasse avec un pastaga bien frais, le dit Très Sadique Mec la suit de loin avec ses jumelles. Une petite sécurité en cas de chute. Il sait donc où se trouve Lucie quand, à 20 heures il quitte donc son verre vide pour enfourcher son vélo. Il commence par récupérer les clés avant de rejoindre Lucie. En le voyant arriver, elle est à la fois soulagée et honteuse d’être vue nue avec un string de chaîne et un truc dans les fesses. Après avoir libéré les chevilles de la pauvre fille perturbée d’avoir perdu, il pose son sac à dos pour en sortir une bouteille d’eau fraîche.
Avec les menottes, cela va être difficile pour moi de boire ! Lui indique Lucie d’un air de dire « t’as pas fini de me libérer ».
Je sais mais j’ai bien dit que je viendrai vous chercher, pas que je vous libérerai ! Lui répond TSM en accrochant une laisse au collier de Lucie.
Et, ça va pas la tête !
Il va bientôt faire nuit, alors où je vous laisse comme ça avec les renards qui ne vont pas tarder à sortir, ou je vous raccompagne à ma façon ! A vous de choisir !
Bon ça va, je vous suis, mais je ne suis pas une chienne !
Ah, ce jeu vous exciterait ? je peux vous le préparer si vous le désirez !
Nan, merci, ça ira pour aujourd’hui !
Cinquante mètre plus loin, TSM (Très Sympathique Mec ^^^) lui retire la laisse et les menottes en lui disant que cela lui allait bien ! Comprenant qu’il avait simplement envie de jouer avec ses nerfs, Lucie lui tire la langue.
La fessée c’est toute de suite avec les fesses pluguées ou ce soir après votre douche ?
Ce soir je préfère ! Répond Lucie sans réfléchir.
Vous êtes donc d’accord pour que je vous donne la fessée méritée !
Heu.... je n’ai pas dit oui !
.......................
Laissée seule à son gîte, Lucie prend une douche grandement méritée et justifiée vue la couleur de l’eau à ses pieds. A 21 heures, elle les rejoint à la maison pour le repas du soir en tenue « civile ». Peu pressés et vivant à l’heure espagnole, ils lui proposent de partager leur apéritif maison fait avec des aubergines et des poivrons grillées du jardin.
Alors cette expérience de Bondage Walking vous avez aimé ? Demande Malicia.
Original à vivre, il y a une sorte de communion qui se fait avec la nature, sauf que j’ai rencontré un rustre qui a voulu me faire marcher en laisse comme une chienne ! Répond Lucie.
Oui et qui, au lieu de me remercier d’être allé la libérer et la chercher avant la nuit m’a tiré la langue en guise de reconnaissance. Cela mérite une fessée, qu’en penses-tu Malicia ?
Absolument, c’est inadmissible ! Répond Malicia amusée.
Classons cette regrettable affaire de suite, venez vous installer sur mes genoux que je vous apprenne la politesse ! Indique alors TSM en reculant sa chaise.
Pour Lucie, ce n’est pas le fait de recevoir une petite fessée qui la perturbe, mais c’est de la recevoir devant quelqu’un ! Une fois allongée sur les genoux de TSM, sa jupe est prestement relevée, la grosse paluche de TSM commence à appliquer la fessée sur une jolie culotte qu’il regrette presque de baisser quelques instants plus tard.
Aie, qu’est-ce que vous faites ?
Une vraie fessée se donne déculottée, n’est-ce pas Malicia ?
Absolument !
Avant même qu’elle n’ait le temps de répondre, TSM continue de lui claquer les fesses gentiment, bien qu’il aurait bien volontiers appuyé un peu plus. Comme une cliente n’est pas une amie, il se contient et ne fait pas durer la fessée de la coquine. Pour Lucie, c’est encore une grande nouveauté car, sa seule expérience de spanking, avait eu lieu une fois avec un de ses copains ultra timide ayant à peine claqué ses fesses. Même si il a été soft, elle sent bien que ses fesses sont chaudes lorsqu’elle prend place sur sa chaise.
Le repas est un moment de partage aussi bien en terme de nourriture que de discussions. Lucie apprend un peu plus de la vie de ce couple d’adorables psychopathes et regrette déjà d’être obligée de partir le lendemain car elle serait bien restée plus longtemps. Hélas, le billet d’avion ne peut être changé. En leur compagnie, elle aimerait découvrir encore plein de choses car elle se sent en totale sécurité.
Vous me faites quoi ce soir ? Demande Lucie.
La question est mal posée. Que désirez-vous faire et vivre ?
J’ai bien aimé la nuit en couche dans le petit lit mais y a t’il moyen de varier un peu ?
Avec une couche ?
Oui mais aussi du bondage ! Répond Lucie à présent sans trop de pudeur.
Couche, bondage et jouissances avant le dodo, cela vous va ? Lui demande TSM dont le cerveau a déjà démarré en mode pervers.
Ouiii !
Accompagnée à son gîte par TSM et son sac à malice, Lucie est invitée à s’allonger due sur le lit. Il lui donne une couche et un vibro en lui demandant de se le mettre toute seule « comme une grande ». A la suite de quoi, il démarre le vibro et referme la couche avant de l’aider à enfiler une culotte à cadenas. Il pose le caméscope dans un coin en lui expliquant que c’est la règle au gîte. A partir du moment où il participe, c’est filmé comme pour les caméras des banques. S’il n’y a pas de problème la vidéo est supprimée. Il demande ensuite à Lucie d’entraver ses chevilles puis lui prête une cagoule d’isolation BDSM en lui demandant de la mettre après lui avoir expliqué que le principe serait le même que son selfbondage.
Il l’aide donc à lier son poignet gauche puis guide sa main pour qu’elle ferme elle même les menottes de son poignet droit. Elle est donc attachée bras et jambes en croix sur le lit et cagoulée. TSM branche un magic wand massager filaire sur un programmateur réglé sur 5 minutes On, 5 minutes Off avant de programmer une plus longue période en mode On. Le sextoy trouve sa place entre la couche et la culotte en plastique de Lucie.
TSM (Très Sadique Mec) abandonne Lucie avec ses interrogations après avoir éteint la lumière. Pendant les cinq première minutes, elle se demande ce qu’il a placé entre sa couche et sa culotte en plastique. Elle ne le découvre que quand le magic se met en route. Les vibrations pile poil au-dessus de son chaton, sont loin d’être désagréables. Cumulées avec celles du vibro en bonne place, elles la conduisent doucement sur les rivages d’une jouissance. Hélas, cinq minutes c’est trop court pour y parvenir et le sextoy s’arrête. Elle boude un peu en se disant que c’est dommage que le magic a du tomber en panne.
Elle pousse un cri de surprise dans sa cagoule cinq minutes plus tard quand il se remet en route. Le Très Sadique Mec lui a programmé 4 sessions On et 4 sessions Of avant de le lui laisser 60 minutes non stop. Lucie enrage pendant les sessions Of et On avant de finalement savourer le plaisir du magic en mode On juste au dessus de son chaton. Juste après sa première jouissance, une envie pressante, que cette fois elle libère sans blocage, la fait décoller. « Pipi couche + magic c’est ouhaouuuu » se dit Lucie bien décidé à en acheter un chez ABCplaisir. (ABCplaisir, cela va de soit ! ! ! )
Lorsque la serrure de glace lui rend sa liberté, Lucie se détache mais n’a même pas le courage d’aller attraper les clés de menottes posées sur la table du salon. Ce n’est qu’au petit matin qu’elle trouve le courage de se lever pour aller retirer la menotte gênante toujours accrochée à son poignet.
« Mais où sont les clés de la culotte à cadenas » se demande Lucie. Convaincue qu’il veut l’obliger à venir les voir avec ses grosses fesses, elle sort de son gîte en jupe vers 9 heures et découvre qu’elles sont sur la table avec le petit déjeuner puis une rose fraîche. En lisant le petit papier sous la rose, son sourire disparaît aussitôt. « Départ 11 heures maximum pour que vous ne loupiez pas votre avions ».
Après avoir pris son petit déjeuner, Lucie prend une douche, fait un carré de ménage en laissant tout ce qui a été utilisé comme linge et draps dans un panier prévu à cet effet avec de rejoindre ce couple qui l’a si gentiment accueillie. Après avoir réglé quelques achats en boutique et le solde de son séjour, c’est presque les yeux mouillés qu’elle monte dans la voiture pour prendre la route de l’aéroport.
Est-ce que je pourrai revenir et vivre d’autres choses avec votre aide ?
Avec plaisir Lucie mais si vous me tirez encore la langue cette fois la fessée sera plus consistante !
Leeeeeeeeeeeeee ! Fait Lucie en lui tirant la langue pendant qu’il conduit.
Ni une ni deux, TSM quitte la route pour prendre un chemin pour s’arrêter derrière un bosquet d’arbres.
Une bonne déculottée va vous être offerte par la maison !
EPILOGUE
Lucie a eut son avion, TSM prévoit toujours de la marge. Elle a trouvé que les sièges de l’appareil n’étaient pas très confortables, allez savoir pourquoi ?
FIN
Note de l’auteur :
le gîte fétichiste ouvre ses portes en Espagne en 2023. Cliquez ICI pour en savoir plus
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Je crains hélas que le confinement soit bientôt d’actualité. Pour tuer le temps perdu, autant s’amuser. Si vous êtes seuls, vous trouverez des tonnes d’idées de selfbondage sur ABCplaisir Idée que vous pouvez aussi utiliser en couple pour délirer.
Vous en trouverez aussi sur Fessestivites.com où vous pourriez bien faire des rencontres
#confinement#covid#selfbondage#diaper#autobondage#jeux en couple#controle#couche#regression#ageplay#little#humour#funny
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Et si on se préparait une fête à la maison pour ne pas se désespérer de ne pas pouvoir aller dans les bar à cause du Covid ?
Bonne fête à tous et la prudence
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Et si on se préparait une fête à la maison pour ne pas se désespérer de ne pas pouvoir aller dans les bar à cause du Covid ?
Bonne fête à tous et la prudence
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Et si on se préparait une fête à la maison pour ne pas se désespérer de ne pas pouvoir aller dans les bar à cause du Covid ?
Bonne fête à tous et la prudence
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Les bébés adultes se doivent d’être sage. (En principe)
Le coffre de sécurité est ici
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Concours ABDL international pour les 21 ans d’Abkingdom
Le site Abkingdom fête ses 21 ans le 1 mars. A cette occasion nous organisons deux concours ABDL gratuits avec plus de 700 euros de prix à gagner.
PREMIER CONCOURS
Pour participer, vous devez répondre obligatoirement une seule et unique fois à cette question : Combien d’images ont été postées sur Abkingdom en 2019 ?
LE PREMIER PRIX :
A) 8 paquets de couches : 5 paquets de Tykables (Licornes, Cammies, Little Rawrz, Overnights et Galactic), et 3 paquets de GetNappied (Little Rascals, Pride et Playdayz).
Offerts par NappiesRus
B) Une semaine de location au ski dans un studio meublé à Serre Chevalier d'une valeur de 300 € ( le gagnant "complète" si il désire un semaine en pleine saison).
offerts par FRANCE ABDL
C) 1 an d'abonnement au site ukdiapergirls
Offert par ukdiapergirls
D) 1 lot de 2 parfums et fragrances pour ABDL en modèle collector offert par Bet-wet
Le premier prix remportera donc A + B + C + D ci-dessus décrit.
LE DEUXIEME PRIX :
6 paquets de couches. 3 paquets de Tykables Cammies et 3 paquets Forsite under the Sea offerts par FRANCE ABDL
1 lot de 2 parfums et fragrances pour ABDL offert par Bet-wet
Pour participer, vous devez répondre obligatoirement une seule et unique fois à cette question : Combien d’images ont été postées sur Abkingdom en 2019 ?
Lieu où poster votre réponse ICI
Règlement du concours :
1°) Concours sans obligation d’achat
2°) Date limite pour poster votre réponse le 1 mars 2020
3°) Vous devez répondre 1 seule fois dans ce forum
4°) Les 2 lots à gagner :
- La personne qui donnera le nombre le plus proche remportera le premier prix.
- La seconde personne qui donnera le nombre le plus proche remportera le deuxième prix.
5°) Pour pouvoir bénéficier de tous ces lots, (et surtout qu’on vous les livre) il faudra indiquer vos coordonnées à Abkingdom. Elles ne seront PAS divulguées publiquement. Seuls les donateurs ci-dessus en auront besoin pour vous adresser les lots.
6°) En cas d’ex aequo un tirage au sort sera effectué devant témoins et filmé.
7°) Le résultat de la question qui est l’objet de ce concours « Combien d’images ont été postées sur Abkingdom en 2019 » a été adressé à Abkingdom sous pli recommandé avant le début du concours. Si une personne décidait de contester le résultat donné par le serveur, elle serait invitée à se rendre au siège par ses propres moyens et à sa charge pour ouvrir le dit courrier recommandé contenant le résultat devant témoins. Après s’être identifiée (en privé) l’ouverture de cette enveloppe serait filmée et diffusée afin d’éviter toute contestation.
8°) Les administrateurs d’Abkingdom n’ont pas le droit de participer.
9°) Ce concours réservé aux adultes.
Un indice : il y a plus de 500 000 photos sur ABK.
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LE DEUXIEME CONCOURS autour de votre créativité
Objet : Créez une carte, une image, une photo, un objet d’anniversaire pour les 21 ans d’Abkingdom avec au minimum le mot Abkingdom visible.
LOTS A GAGNER
Premier prix
1 paquet de Littleforbig Baby Cuties offert par ABCplaisir
1 lot de 2 parfums et fragrances pour ABDL offert par Bet-wet
Troisième prix 3 mois d’abonnement sur Abkingdom
Deuxième prix
1 lot de 2 parfums et fragrances pour ABDL offert par Bet-wet
https://www.bed-wet.com/
Troisième prix 3 mois d’abonnement sur Abkingdom
Pour participer gratuitement à ce concours de créativité rendez-vous ICI pour poster vos créations.
Règlement du concours :
1°) Concours sans obligation d’achat
2°) Date limite pour poster votre image le 10 mars 2020
3°) Le nombre de pouces verts collecté désignera le gagnant
4°) Moyens autorisés : tous. (dessin / photo-montage / peinture / ......)
5°) Les interdits : pas de sexe, de choses dites sales, pas de mineur, image à polémique....
6°) Ce concours réservé aux adultes.
7°) Abkingdom se réserve le droit de modérer une participation en cas de multiples photos ou de contenu non conforme à son éthique.
8°) Pour donner un peu d’équilibre, entre le premier et le dernier à poster, le forum ci-dessous où poster vos créations ne sera ouvert que le 20 février. Cela vous laisse ainsi le temps à votre créativité de s’exprimer.
9°) Vous devez poster 1 seule et unique photo de votre création dans ce forum
Bonne chance à toutes et à tous
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De Nîmes
Petit test pour voir si il y’a des blogs ABDL Français sur la communauté Tumblr ;)
N’hésitez pas à dire de quel coin vous êtes !
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