#virus l'inferno dei morti viventi
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VIRUS - L'inferno dei morti viventi. AKA VIRUS CANNIBALE AKA Hell Of The Living Dead
(French Press Sheet)
Data di uscita: 21 agosto 1981 (Italia)
Spagna: novembre 1980
Italia: agosto 1981
Stati Uniti: 1983
Regista: Bruno Mattei
Sceneggiatura: Bruno Mattei, Claudio Fragasso, Rossella Drudi, José María Cunillés
Casa di produzione: Beatrice Film S.r.l, Films Dara
Distribuzione in italiano: United Artists
Paese di produzione: Italia, Spagna
Bruno Mattei Vincent Dawn
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"Hell of the living dead" aka "Virus"; Bruno Mattei (1980).
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The End? - L'inferno fuori - Il nuovo horror italiano
Nuovo Articolo https://www.nerdpool.it/2018/07/22/the-end-linferno-fuori-horror-italiano/
The End? - L'inferno fuori - Il nuovo horror italiano
Oggi vi parliamo di un film, di genere horror, 100% italiano: The End? – L’inferno fuori. Regia di Daniele Misischia e prodotto da Manetti Bros con Carlo Macchitella, questa pellicola andrà ad inaugurare la nuova casa di produzione MOMPRACEM.
Distribuito da 01Distribution, il film, presentato alla festa del Cinema di Roma, arriverà nelle sale cinematografiche il 14 Agosto.
Sinossi:
In una Roma frenetica e più congestionata del solito, Claudio (Alessandro Roja), un importante uomo d’affari cinico e narcisista, rimane bloccato in ascensore a causa di un guasto. Quel fastidioso inconveniente sarà solo l’inizio. Bloccato tra due piani e intrappolato in una gabbia di metallo, dovrà fare i conti con qualcosa di disumano e aberrante. La città è in preda al delirio, un virus letale sta trasformando le persone. Solo l’istinto di sopravvivenza potrà contrastare l’apocalisse ormai inevitabile.
Zombie Romani
Ambientato nella capitale, Roma, il film si presenta dunque come un vero e proprio zombie-movie, un horror d’autore low-cost, anche se registi e produttori non hanno voluto dare un’etichetta di genere al loro prodotto.
“Non amiamo chiamarlo cinema di genere, odiamo questa etichetta, vorremmo abolirla. Esiste soltanto il cinema, che si parli di zombi, del vecchio west, di fantasmi, è semplicemente cinema, così come lo intendono in America. Non ci sono prodotti di Serie A o Serie B. Così come non esiste il cinema d’autore. Se volete intenderlo come un genere, d’accordo, per noi però un film d’autore è un prodotto che un regista ha creato per se, per divertirsi, senza sottostare ad alcuna legge o ricerca dil mercato. In questo senso noi vogliamo assolutamente produrre cinema d’autore, lasciare spazio a registi che vogliono divertirsi prima di far divertire”. Queste le dichiarazioni dei registi Marco e Antonio Manetti.
Le creature spaventose all’interno del film non vengono definite veri e propri zombie, ma infetti. Normali uomini contagiati da un terribile virus che li rende estremamente violenti e affamati di carne umana, si distanziano molto dal genere del maestro dei morti viventi George A. Romero, essendo molto più veloci.
Alessandro Roja, nei panni del protagonista Claudio Verona, oltre a dover fare i conti con i mostri mangia cervelli, dovrà combattere contro claustrofobia e angoscia all’interno di un angusto ascensore bloccato, nel quale si svolge quasi tutto il film. Cosa c’è di peggio del rimanere bloccati in un ascensore? Beh, cercare di non farsi sbranare dai morti viventi durante una terribile apocalisse. L’ascensore rappresenterà dunque una prigione di metallo, ma anche un ottimo luogo di riparo.
Cast
Oltre ad Alessandro Roja, nel cast di The End? – L’inferno fuori, vedremo Carolina Crescentini che presterà la voce come moglie del protagonista, comunicando tramite un telefono, vedremo inoltre Euridice Auxen (Marta), Claudio Camilli (Marcello) e Benedetta Cimatti (Silvia).
Io sono curiosissima di vedere questo film e voi? Lasciate un feedback tra i commenti e fateci sapere cosa ne pensate!
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"Lunchtime Cinema" Hell of the Living Dead (Italian: Virus - l'inferno dei morti viventi) is a 1980 Italian-Spanish horror film directed by Bruno Mattei The film is set in a laboratory in Papua New Guinea that sends out a dangerous chemical that turns the technicians and locals into zombies. An Italian news reporter (Margit Evelyn Newton) and her crew land on the island to investigate. Hell of the Living Dead was a project developed by producers and given to director Bruno Mattei who attempted to create film similar to Dawn of the Dead but lighter in tone. It was shot in five weeks in Spain with a script that was not Mattei's first choice and a score by the band Goblin which was taken from other film scores they had performed. The film has generally received negative reviews noting bad dialogue and being derivative of the 1978 film Dawn of the Dead. -Wikipedia #nightofthezombies #hellofthelivingdead #dawnofthedead #zombiemovie #zombie #gore #italiancinema #cultclassic #horror #horrorfilm #vhs
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(5080) VIRUS : L'INFERNO DEI MORTI VIVENTI ✖✖✖
Épaule papou de Vincent Dawn (Bruno Mattei) avec Margit Evelyn Newton, Franck Garfield (Franco Garofalo), Selan Karay, Robert O'Neil (José Gras), Gaby Renom, Luis Fonoll (Josep Lluis Fonoll), Piero Fumelli (Pietro Fumelli), Bruno Boni et Esther Mesina. Scénario: Claudio Fragasso, José Maria Cunilles, Rossella Drudi et Bruno Mattei. Musique: Goblin. Montage: Claudio Borroni. Photo: John Cabrera. Durée: 1h41 - 1980 - 23/3/12 - ITALIE/ESPAGNE - TF: "Virus Cannibale"
Décider de se taper un bon gros nanar, c'est comme avoir envie de se siffler une bouteille de vin. Puisque c'est mauvais pour la santé, que ça fait mal à la tête et que ça saoule assez vite, autant choisir un excellent cru. Pas la peine de se retrouver avec une gueule de bois et la bouche pâteuse pour un film d'Onteniente, un Michael Youn ou un épisode de Twilight quand on peut avoir les mêmes effets avec une sublime série Z italienne des années 80.
Choisir de se farcir Virus: l'Inferno dei morti viventi, est une décision fort peu risquée. D'abord parce que l'immense, le merveilleux, l'indispensable Christophe Lemaire en fait la louange dans sa chronique du Mad Movies de Mars 2012 et comment ne pas avoir envie de suivre les conseils avisés de ce cinéphile remarquable et exemplaire au point d'être payé chaque mois pour nous raconter comment c'était d'aller au cinoche quand il était jeune?
Ensuite parce que comme tout nanar de luxe, il est extrêmement difficile de savoir quel est son titre exact, particularité propre aux chefs d’œuvres de la nullité et gage d'un fabuleux spectacle pour celui qui osera s'y frotter.
Au générique, c'est le titre Hell of the Living Dead qui apparait, soit la traduction anglaise d'une partie du titre italien, le Virus en moins.
En français, le Virus revient mais avec ensuite l’adjectif Cannibale, qui cerne assez bien l'activité principale des morts-vivants sans pour autant les nommer.
Mais en cherchant bien, on trouve le même film sous le titre Night of the Zombies, ce qui, pour le coup, abandonne l'Enfer, le Virus et les Cannibales mais reste dans le champs thématique des Morts-Vivants, en dépit du fait que la majeure partie de l'action se passe de jour.
Et on le voit apparaitre également sous l’appellation Apocalipsis Canibal ce qui renvoie à l'anthropophagie mais sous un angle encore plus apocalyptique.
Et les plus archéologues d'entre vous pourront également le déterrer sous les titres Zombie Creeping Flesh, Zombi 2 : Ultimate Nightmare, Zombie Inferno ou encore Zombies of the Savanna.
Là déjà, avec cette farandole de titres, vous pouvez être sûrs de prendre votre pied. C'est comme une sorte d'AOC pour le pinard. Et en ce qui concerne ce que je vais appeler Virus Cannibale parce qu'il faut produire français, y'a le petit plus qui fait tout: le pseudo du réalisateur! Sous le sobriquet de Vincent Dawn (a priori en référence au Dawn of the Dead de Romero), se cache Bruno Mattei, immense réalisateur transalpin, responsable de délices cinématographiques aux promesses raffinées: Mondo Cannibale, Snuff Killer: la morte in diretta, Hotel du Plaisir pour SS, Cicciolina amore mio ou encore Révolte au pénitencier de filles.
Bref, tout est réuni pour savourer le must du nectar du foireux et comment dire...le résultat est au-dessus de nos attentes!
Tout commence dans une centrale nucléaire où une armée de scientifiques en blouses blanches avec des lunettes appuie sur des boutons en clamant "opération Z lancée" ou bien "secteur 7: normal".
Mais dans les sous-sols, deux ouvriers avec des masques de protection en forme de burqa, relèvent quand à eux des indices de radioactivité signalant que non, tout n'est pas normal du tout.
Enfer et damnation, c'est déjà trop tard. Un des ouvriers salafiste fucking, découvre, estourbi, un rat mort.
Lequel va se réveiller brutalement et attaquer ledit ouvrier en s'infiltrant sous sa combinaison car, il faut le rappeler, ces uniformes de protection sont étanches au niveau radiations mais laissent tout de même passer un rat mort-vivant.
Donc c'est le bordel, toute la centrale se mort-vivantise, et le professeur en chef, véritablement abattu, s'empare de son dictaphone pour enregistrer un message bouleversant dans lequel il annonce que "le processus de dégénérescence est déclaré" et qu'il espère que "Dieu va leur pardonner car tout cela était inutile".
On a même pas le temps de se remettre de cette dramatique séquence que nous voici déjà plongés au cœur d'une prise d'otage qui se déroule dans le consulat américain. L'élite de la police italienne et les journalistes sont déjà sur place.
Mais la fine fleur des forces d'intervention anti-terroriste se prépare un peu à part. Ils sont 4. 4 hommes dont la détermination n'a d'égale que leur coupe de cheveux.
4 militaires qui ne connaissent ni la peur, ni la pitié, ni la honte d'avoir vraiment des tronches d'employés d'EDF dans un film de boule des seventies.
Ces 4 supermen de l'opération délicate vont mettre au point une stratégie hallucinante pour tenter de maitriser les dangereux terroristes qui ont des otages à leur merci. Deux vont passer par en haut, tandis que deux autres entreront par le bas.
Avec un plan pareil, je peux vous assurer qu'à Toulouse, on aurait pas attendu 30h pour plomber une ordure. Bon, là en l’occurrence, il ne s'agit pas d'une saloperie humaine capable de flinguer des mômes mais d'un groupuscule écolo d'extrême gauche qui veut tout simplement qu'on arrête les expériences chelous dans les centrales nucléaires. Les plus observateurs d'entre vous auront noté un lien avec la séquence d'introduction.
Malheureusement pour ces militants, les 4 super flics envoyés pour les contrer ne font pas dans la dentelle et les dézinguent direct, sans chercher à négocier quoi que ce soit.
On a pas le temps de se remettre de la violence d'un tel assaut que nous voici, on sait pas pourquoi, en Nouvelle-Guinée au cœur d'un cimetière papou avec nos pieds nickelés en sueur qui font rien qu'à râler parce que personne ne veut leur répondre sur le talkie-walkie.
A cette transition exotique, certes, mais néanmoins brutale, s'ajoute la rencontre avec quatre nouveaux personnages coincés dans une jeep en compagnie d'un gamin fort mal en point, même qu'"il va crever j'en suis sûr" selon son papa, remarque qui énerve considérablement la maman qui rétorque "oui, c'est ta faute aussi", ce à quoi le père répond "fallait pas laisser le Noir le mordre", et ma foi, on est assez d'accord avec cette réflexion, mais n'y voyez strictement rien de raciste, hein, moi qui suis papa, je laisserais ni un Noir, ni un Blanc, ni qui que ce soit, mordre mon fils, donc bon, on est de tout cœur avec le père dans la jeep mais les deux passagers à l'arrière s'en mêlent, "oui, tu t'énerves!", ce que l'on peut comprendre pour un papa en train de voir son fiston si mal en point mais bon, les deux à l'arrière, eux, ils pigent pas, alors ils descendent de la voiture et puis la maman aussi, laissant le pauvre papa tout seul avec son môme qui, il est vrai, pète pas la forme.
En tout cas, la mère, elle en a pas grand chose à branler de la santé défaillante de son fils alors elle se balade dans le pittoresque village guinéen, comme si de rien n'était, avec son look de hardeuse des seventies, même qu'on en vient à se demander si Bruno Mattei n'a pas organisé un tournage parallèle avec le même casting...
Et là, bim, cette sale pute qui ne se soucie guère de son enfant tombe sur un cureton la gueule ravagée par un Virus Cannibale (le titre français est donc le meilleur de tous, cocorico) qui va la boulotter et c'est bien fait pour elle, cette grosse salope. Elle avait qu'à pas crier son mari inquiet.
Cependant, rien ne va plus dans la jeep. Alors que le papa inquiet s'est endormi (on fait souvent une petite sieste quand on est paumé dans un pays étranger avec un enfant à deux doigts de clamser), voilà t'y pas que le mioche pique du nez (simulation de mort), avant de rouvrir les yeux (simulation de mort-vivantisme) puis de faire une terrifiante grimace d'agressivitisme (simulation de cannibalisme).
C'est trop z'horrible. Le petitou est un affreux zomblard.
Heureusement, nos 4 super militaires débarquent, flinguent tout le monde et embarquent avec eux les deux passagers de l'arrière de la jeep, dont nous découvrons les identités. Il y a d'abord Lia, une valeureuse journaliste de terrain.
Et puis Pierre son caméraman (oui, dans la VF, ils ont tous des noms français, parce qu'il faut produire français et que c'est très bien comme ça). Pierre a un look de comédien porno des années 70 mais il est temps d'arrêter de se faire constamment la réflexion.
Bon, donc, tout ce petit monde s'enfonce dans la jungle et là, enfin, tout le grandiose de Virus Cannibale nous explose littéralement à la tronche et le film disjoncte totalement!
Tout commence avec des stock shots de documentaires animaliers qui viennent entrecouper les plans sur la jeep qui elle, s'enfonce dans une jungle probablement dénichée à la sortie d'une zone industrielle quelconque.
On assiste, médusés, à des plans insérés d'animaux qui volent ou gambadent, tels des toucans ou des gerboises sauteuses, et y'en a tellement qu'on en vient à se demander si finalement, ce serait pas l'histoire des militaires les stock shots utilisés pour combler les trous narratifs d'un docu animalier... Et que ces animaux proviennent de la savane africaine ou du désert australien, ça n'emmerde personne, tant que ça rythme un peu le film, c'est très bien, mais oui, pourquoi pas, et puis tant qu'à faire autant aussi balancer des éléphants parce qu'après tout, y'en a marre de se faire chier la bite.
Plusieurs stock shots d'animaux plus tard, nos héros ont pénétrés profondément la jungle guinéenne au point d'avoir franchi le territoire papou et là, punaise, comment faire pour avancer encore un peu plus quand derrière chaque arbre se cachent "des hommes qui ont grandi dans ces arbres et face auxquels vous ne faites pas le poids" explique Lia aux 4 porn-SWAT médusés.
Le suspens est insupportable. En effet, comment vont-ils faire pour traverser cette zone si dangereuse. Ouf, Lia a une idée, et elle dégrafe son chemisier.
Alors là on se dit "super! ça y est Bruno Mattei confond ses deux tournages et on va enfin avoir une bonne scène de cul avec ce superbe casting X", et Lia nous le laisse penser encore un peu plus.
Mais hélas, que nenni. Si Lia se fout les nibs à l'air, c'est en fait...parce qu'il s'agit d'une incroyable journaliste d'investigation, capable de se fondre dans l’environnement qu'elle explore et voici donc notre Bernard de la Villardière-femme grimée en papou, prête à s'immerger en sous-marin parmi les tribus les plus reculées de la papouaserie guinéenne.
Dépité, je range mon sexe là d'où je venais de le dégainer et j'assiste, ahuri, à une séquence complètement chtarbée durant laquelle Lia, avec son maquillage absolument grotesque sur la gueule
enchaine les regards intrigués vers un contre-champs à nouveau conçu en stock shots mais cette fois tirés d'un documentaire sur les rites funéraires papous
et de temps en temps, pour faire la blague, Bruno Mattei entoure son actrice de gens déguisés mais beaucoup moins folkloriquement que dans les archives volées
et ce montage-mensonge dure bien 10 minutes! 10 minutes durant lesquelles je mets quiconque au défit de regretter d'avoir osé regarder Virus Cannibale, parce qu'un délire pareil, ça se voit quand même pas tous les jours.
Bon, faut quand même que je vous prévienne, dans les images utilisées, y'a des vrais cadavres d'indigènes dedans, et ça, ben ça fait quand même pas très plaisir. Heureusement que très vite, le cul papouisé de Lia vient nous faire oublier certains de ces plans craspecs.
Après, tandis que tout le monde fait la fête dans le village papou sur une musique assez dingue, entre les mélodies cinglées des Ewoks et de l'easy listening d'ascenseur, les morts-vivants papous attaquent et c'est le festival de la bidoche.
Même que Lia, qui s'est hélas rhabillée, a vraiment très peur.
Après, évidemment, toute notre folle équipe est un peu secouée mais Pierre va quand même essayer de faire des jolis plans des morts-vivants, Lia va se disputer avec nos 4 militaires, puis flirter avec l'un d'eux qui va lui dire qu'elle est très jolie et je m'apprête à nouveau à me branler mais en fait, il va rien se passer de chouette puisque tout ce beau monde débarque dans une maison dans laquelle un chat sort du ventre d'une vieille dame tandis qu'un des super flics découvre un tutu vert et un chapeau haut de forme avec lesquels il se déguise et chante Singing in the Rain avant de se faire bouffer par les zombies, parce que c'est ça avec les vrais nanars pur jus, il peut se passer ABSOLUMENT n'importe quoi.
Pendant ce temps, le film prend une ampleur internationale puisque dans un amphi vide d'université, Bruno Mattei recrée l'ONU avec trois dirigeants qui abordent frontalement les problèmes rencontrées en Nouvelle-Guinée afin d'exhorter la communauté internationale à intervenir mais rassurez-vous, comme en Syrie, cela n'aura aucun effet sur le cours de l'Histoire.
A ce stade, on pense que ce message politique va conclure le film de façon pessimiste mais c'est avoir trop d'espoir, il reste encore 20 minutes, et c'est comme avec la bouteille de vin, le dernier verre est souvent en trop, on n'en peut plus, mais faut pas gâcher, alors on le boit et pour nous encourager, on a une transition hérons ou flamants roses, je sais pas trop.
Transition qui nous mène à l'ultime séquence de ce chef d'oeuvre avec nos héros de retour dans la centrale nucléaire du début (oui, c'est hyper bien pensé comme film) et là, on découvre que le rôle de nos 4 super agents est, tel celui d'un Squarcini, d'effacer toute trace gênante concernant les origines du virus, mais zut et flûte, voilà que la centrale grouille de zombies affamés.
Alors dans les rangs des barbouzes, c'est la stupéfaction.
Quand à Lia, elle a à nouveau extrêmement peur.
Mais pas très longtemps car la meute de morts-vivants va s'occuper d'elle et lui offrir le décès le plus gore du film grâce à un fort ingénieux effet spécial qui a du couter à lui seul la moitié du budget dont disposait Bruno Mattei.
Suite à quoi, et bien un épilogue de toute beauté vient suggérer que l'invasion des zomblards ne fait que commencer, en dépit des avertissement lancés par les terroristes écolos, comme quoi, on ferait mieux d'écouter ce que les terroristes ont à dire plutôt que de les dézinguer dès qu'on tombe dessus, que ce soit après une attaque par le haut et par le bas ou 30h de siège.
Quoi qu'il en soit, pour nous, la bouteille est vide et comme prévu, on est un peu patraque d'avoir consommé pareil produit sans la moindre modération tout en ne regrettant pas, puisque de toute façon c'est fait, d'avoir choisi pareil cépage, tant il ne ressemble en rien à la piquette que sont la plupart des mauvais films, comparés à un nanar aussi foutraque, foireux, absurde, moche, crétin, déjanté, barré et nullissime et qui s'adresse bien évidemment aux plus grands connaisseurs d'entre vous, les néophytes ne pouvant en apprécier la saveur, cela va de soi.
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New by 88 Films ���🇧 🇮🇹The ITALIAN COLLECTION🇮🇹 28/August Virus - L'Inferno Dei Morti Viventi/Zombi creeping Flash 25/September Se sei vivo spara/Django Kill if you live shoots 23/October Il gatto dagli occhi di giada/Watch Me when I kill 23/October Un gatto nel cervello/Cat in the Brain 06/November La volpe dalla coda di velluto/In the Eye if the Hurricane 06/November Navajo Joe
#88 films#the italian connection#italian collection#la volpe dalla coda di velluto#in the eye of hurricane#cat in the brain#un gatto nel cervello#lucio fulci#zombie creeping flash#zombi#virus l'inferno dei morti viventi#l'inferno dei morti viventi#navajo joe#se sei vivo spara#django#il gatto dagli occhi di giada#watchmewhenikill#watch me when i kill#giallo fever#italian giallo#gialli#giallo#italian horror#cinema italiano#horror film#horrormovie#horror#dvd collection
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