#traverser l'hiver
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Bonne matinée 💙 🎸🆕️
Ben Mazué et Waxx 🎶 Traverser l'hiver
(Cover Gaël Faure)
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En ce moment même, il n'est même pas aux soins palliatifs mais plutôt aux soins intensifs. Son cœur fonctionnait à 50% à son arrivée à l'hôpital précédent. Ils l'ont transféré dans un autre hôpital mieux équipé pour le prendre en charge. Maintenant son cœur est à 15%. Ils devaient remplacer deux valves dans son cœur. Ils l'ont opéré pour une seule afin d'éviter que ce soit trop exigeant pour son corps. Après l'opération, il y a eu une hémorragie interne et ils ont dû le réouvrir pour s'en occuper. Aussi son rein a lâché alors il a eu besoin de dialyse. Son corps est également en manque de calcium. Ses jambes sont gonflées après son opération pour ses genoux qu'il a dû faire il y a quelques semaines puisque ses os étaient directement en contact depuis des années. Il souffrait atrocement au début, alors ils ont dû le droguer à fond pour atténuer sa douleur. Maintenant il est à peine conscient et a à peine assez de force pour bouger. Il a réussi à ouvrir les yeux une fois et à serrer la main de sa femme lorsqu'elle était à ses côtés une autre fois. Il a perdu tellement de poids. Il est livide et branché à des tonnes de fils, la salle est remplie de machines. L'infirmière est obligée de vérifier son état toutes les 5 minutes. Il ne veut même pas qu'on le sache. Encore moins qu'on vienne le voir. Je ne sais pas s'il a honte de son état ou s'il cherche à nous protéger. Mais je l'aime et j'aimerais qu'il sache qu'on pense à lui si fort.
C'est un bon gars, le genre d'homme qui a un peu de difficulté à montrer ses émotions, mais qui te montre de toutes les façons possibles que t'es important pour lui à travers ses actions et toutes ses petites attentions. C'était un pompier avant qu'il prenne sa "retraite" en devenant déneigeur. Je crois qu'il n'a jamais pu arrêter de travailler, de se garder occupé, d'offrir ses services aux gens parce que c'est ce qui donnait un sens à ses yeux. Il faisait pousser tous les fruits et légumes imaginables dans son jardin, il trouvait toujours des choses à réparer, il avait toujours deux à trois chiens et chats dont il prenait soin par lui-même. Quand j'étais petite, même s'il était toujours occupé par son travail, il trouvait le temps de me faire faire des tours de tracteur, de m'emmener skier au cimetière l'hiver, de jouer aux legos avec moi. À chaque fois que j'allais là-bas, il achetait tous les aliments que j'adore et à chaque matin, il se levait vers 4 heures du matin pour sa journée de travail ou par habitude. Et je me souviens qu'à chaque fois que je restais dormir là-bas, je me levais tôt aussi pour être avec lui le matin. Dès que j'entendais des pas ou que je percevais une lumière tamisée, je m'extirpais hors du sommeil. À chaque fois, il me préparait deux toasts aux raisins beurrées, recouvertes de sirop et coupées en quatre avec un verre de lait. On déjeunait ensemble, puis avant de partir travailler, il préparait du café filtre pour qu'il soit prêt pour sa femme lorsqu'elle se réveillerait. J'adorais la façon dont il fredonnait constamment une mélodie. Tous ses habits étaient de la même couleur, un bleu foncé, et je ne l'ai jamais vu porter quoi que ce soit d'autre en 21 ans. À mes yeux, tout de lui était caractéristique de lui seul, c'était mon grand-père même si je l'ai toujours appelé par son prénom étant donné que toute la famille le faisait. L'année passée, dans une lettre pour Noël, je lui ai écrit que j'adorais passer du temps avec lui, je l'ai appelé grand-papa et je lui ai écrit que je l'aime. C'est des mots que je n'ai jamais vraiment pu lui dire à voix haute, mais j'aurais tellement aimé que ce soit suffisamment naturel pour en être capable. J'ai plus tard appris qu'il a relu ma lettre plusieurs fois et qu'il a tellement été touché qu'il a versé des larmes. Je suis si heureuse d'avoir pu lui communiquer cela avant qu'il se retrouve dans son état actuel. Il ne mérite tellement pas tout ce qu'il a dû traverser. La première femme qu'il a mariée est morte d'un cancer. Son fils est mort aussi lorsque j'étais jeune. Et à chaque année, il dépose une douzaine de fleurs sur les tombes de sa mère, sa première femme et son fils. Leurs fleurs préférées, des roses pour sa femme et des fleurs jeunes pour son fils. Les gens qu'il aime gardent une place dans son cœur, dans sa vie et c'est important pour lui, il continue de penser à eux, de les aimer. C'est quelqu'un de fidèle à ses principes, c'est quelqu'un de bien et je l'aime si fort. J'espère qu'il va s'en sortir ou alors qu'il ne souffrira pas trop et partira en paix. J'espère qu'il sait que je l'aime et que je pense à lui.
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The month of January
The month of January, if it were a person, would be a human icebox. We are lulled into thinking of winter as this grievous, almost grim event, when only the hardiest souls brave the elements to walk their dogs. We cozy up in our houses, and hope for the thaw to come. The snow starts to fall and we turn our noses up at our bowls of hot soup.
Le mois de janvier, s'il était une personne, serait une glacière humaine. On nous fait croire que l'hiver est un évènement cruel, presque sinistre, où seules les âmes les plus courageuses bravent les éléments pour promener leur chien. Nous nous installons confortablement dans nos maisons, en espérant que l'arrivée du dégel. La neige commence à tomber et nous nous détournons de nos bols de soupe chaude.
On January 17, though, we watch the clock, knowing we have nothing to do, and no one to see. The days are as long and dark as ever. We curl up under blankets, and wait for the first sign that the sun is getting ready to burn through the clouds.
Le 17 janvier, cependant, nous regardons l'horloge, sachant que nous n'avons rien à faire et personne à voir. Les jours sont plus longs et sombres que jamais. Nous nous blottissons sous les couvertures et attendons le premier signe que le soleil est prêt à traverser les nuages en les consumant.
But it is pointless.
Mais cela ne sert à rien.
There is no marking in the sky, no telling time. This is the time that the world stops. A fish can remain motionless, its body weighed down by the water, and it still can freeze to death. A bird cannot pull up into its nest when it finds itself snowed in. It knows, deep down, that it is too small to withstand the plummeting temperatures and it will be unable to fly to safety. A car can be buried beneath drifts of snow, the windows encased in ice, yet no one can drive.
Il n'y a pas de repère dans le ciel, pas de façon de savoir l'heure. C'est le moment où le monde s'arrête. Un poisson peut rester figé, son corps alourdi par l'eau, et il peut quand même mourir de froid. Un oiseau ne peut pas se hisser dans son nid lorsqu'il se retrouve bloqué par la neige. Il sait, au plus profond de lui, qu'il est trop petit pour résister à la chute des températures et qu'il ne sera pas possible de voler en sécurité. Une voiture peut être ensevelie sous des bancs de neige, les vitres recouvertes de glace, et pourtant personne ne peut conduire.
It's as though the world is being held motionless by an invisible force, unable to move forward or backward.
C'est comme si le monde était maintenu immobile par une force invisible, incapable d'avancer ou de reculer.
We are trapped.
Nous sommes pris au piège.
We are trapped in the immovable.
Nous sommes pris au piège de l'immuable.
Time stands still, and we are frozen in place.
Le temps s'arrête, et nous sommes figés sur place.
Time is not real, not in the way that we understand it, but it is a force in nature that acts the same way that the sun acts. It keeps the earth warm, and because of that, we can survive. Every year, in the month of January, we are forced to realize that. The sun is too powerful to be shut out, but we can be.
Le temps n'est pas réel, pas de la manière dont nous le comprenons, mais c'est une force de la nature qui agit de la même manière que le soleil. Il garde la terre chaude, et grâce à cela, nous pouvons survivre. Chaque année, au mois de janvier, nous sommes obligés de nous en rendre compte. Le soleil est trop puissant pour être éteint, mais nous, nous pouvons l'être.
As a species, we are capable of so much, yet so little. We are brilliant and idiotic, our intellects capable of greatness but incapable of many things.
En tant qu'espèce, nous sommes capables de tellement, et pourtant si peu. Nous sommes brillants et sots, nos intellects sont capables de grandeur mais incapables de beaucoup de choses.
In January, we realize that, while the sun is shining brightly on one side of the world, it is cold and unwelcoming, and we can never leave our homes. We are held captive by our hearts and minds, stuck in our own feelings and lack of self-realization. It is a very human feeling, and I feel for everyone who has ever experienced it.
En janvier, nous nous rendons compte que, pendant que le soleil brille d'un côté du monde, il fait froid et nous ne sommes pas les bienvenus, et que nous ne pouvons jamais sortir de chez nous. Nous sommes prisonniers de notre cœur et de notre esprit, coincés dans nos propres sentiments et notre manque de réalisation de soi. C'est un sentiment très humain, et je compatis avec tous ceux qui l'ont vécu.
I feel for the dogs trapped in backyards. They've never seen their humans come home and they have no idea what to do when the sun sets for the day. They don't know how long they've been waiting for their masters, and they cannot understand why they aren't there.
J'ai de la peine pour les chiens piégés dans les arrière-cours. Ils n'ont jamais vu leurs humains rentrer à la maison et ils n'ont aucune idée de ce qu'ils doivent faire lorsque le soleil se couche pour la journée. Ils ne savent pas depuis combien de temps ils attendent leurs maîtres, et ils ne comprennent pourquoi ils ne sont pas là.
I feel for the birds, trapped in a cage barely bigger than they are. Every year they sleep all day, making a nest for the future, wondering if the warmth and sunshine of the next day will be enough to sustain them. They build a tiny home, and hope to wake up when the cold of the night has passed. They wonder if their family will come back, and if they will.
J'ai de la peine pour les oiseaux, piégés dans une cage à peine plus grande qu'eux. Année après année, ils dorment toute la journée, préparant un nid pour l'avenir, se demandant si la chaleur et le soleil du lendemain suffiront à les maintenir en vie. Ils construisent une maison minuscule, et espèrent se réveiller lorsque le froid de la nuit sera passé. Ils se demandent si leur famille reviendra, et si elle reviendra.
I feel for the people trapped in a world where they feel powerless and unable to save the things they care about. I feel for those who suffer, who don't understand why they can't hold the weight of the world in their arms. I feel for those who are lost, confused about who they are and where they are supposed to be. I feel for the people who have lost the people who matter, and those who cannot even tell you what they want.
J'ai de la peine pour les personnes prises au piège dans un monde où elles se sentent impuissantes et incapables de sauver les choses auxquelles elles tiennent. J'ai de la peine pour ceux qui souffrent, qui ne comprennent pas pourquoi ils ne peuvent pas porter le poids du monde dans leurs bras. J'ai de la peine pour ceux qui sont perdus, qui ne savent pas qui ils sont et où ils sont censés être. J'ai de la peine pour ceux qui ont perdu les personnes qui comptaient pour eux, et ceux qui ne peuvent même pas vous dire ce qu'ils veulent.
I feel for those who are grieving, and for those who cannot go on with their lives. And I feel for those who can't stop crying, who ache for the people who have died. I know that I am just one person, trapped in this world of my own making.
J'ai de la peine pour avec ceux qui sont en deuil, et avec ceux qui ne peuvent pas continuer à vivre leur vie. Et j'ai de la peine pour ceux qui ne peuvent s'arrêter de pleurer, qui ont mal pour les personnes qui sont mortes. Je sais que je ne suis qu'une personne, piégée dans ce monde que j'ai créé.
I am powerless.
Je suis impuissante.
I can't save anyone, and I can't save myself. But I have to try, I have to try. I have to remind myself that saving everyone is not my duty. I have to try to understand where people come from, and why people do the things they do. I have to try to love people unconditionally, regardless of what they do to me. But I can't save anyone. I can't do anything. I'm just a little thing. A helpless little creature whose tiny life in this cruel, cruel world is precious to only a few. But, I have to try. It is the only thing I can do.
Je ne peux sauver personne, et je ne peux me sauver moi-même. Mais il faut que j'essaie, il faut que j'essaie. Je dois me rappeler que sauver tout le monde n'est pas mon devoir. Je dois essayer de comprendre d'où viennent les gens et pourquoi ils font ce qu'ils font. Je dois essayer d'aimer les gens inconditionnellement, peu importe ce qu'ils me font. Mais je ne peux sauver personne. Je ne peux rien faire. Je ne suis qu'une petite chose. Une petite créature sans défense dont la petite vie dans ce monde cruel n'est précieuse que pour quelques-uns. Mais il faut que j'essaie. C'est la seule chose que je puisse faire.
And maybe, if I'm very lucky, your burden and your life will be lighter because I existed, and I will die at peace with the knowledge that I made a difference.
Et peut-être, si j'ai beaucoup de chance, votre fardeau et votre vie seront-ils plus légers parce que j'ai existé, et je mourrai apaisée, avec la connaissance que j'ai changé les choses.
Movie: Portrait d'une jeune fille en feu - Céline Sciamma, 2019
Fanmail - masterlist (2016-) - archives - hire me - reviews (2020-) - Drive
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« Quand la bile noire est froide, l'esprit du mélancolique devient « émoussé et obtus ». L'indolence et la pâleur de Saturne s'abattent sur lui. Il perd soudainement la faculté de voir. Comme si quelqu'un avait actionné quelque interrupteur gigantesque, la lumière déserte le monde visible. Tout ce qu'il contemple est fixe, livide, spectral: vide comme l'enveloppe d'un coquillage ou une maison brûlée de l'intérieur. Le monde est opaque, immobile, funèbre, terriblement silencieux: comme si personne n'avait jamais risqué un mouvement, jamais éclaté de rire, n'avait jamais connu le moindre instant de joie ou de tension. La vie s'est immobilisée. Le ciel pèse comme la pierre d'un sépulcre. Tout devient irréel : des ombres et des silhouettes hasardent des gestes factices, sur un fond qui sent le décor de carton et de plâtre d'un horrible avant-spectacle de banlieue, sous un éclairage lunaire. Alors, le mélancolique perd tout désir de vivre. Il est apathique, indifférent à tout, abattu: la dernière étincelle s'est éteinte dans son âme obnubilée. Rien de ce qui attire les autres ne lui plaît; tout ce qu'ils aiment l'emplit d'ennui; et le printemps lui pèse comme l'automne, l'hiver et l'été semblent pareils à ses yeux. S'il lit un livre, il ne parvient pas à fixer ses regards sur la page: les lettres ne forment plus de mots, les mots n'évoquent plus d'images, les images ne défilent plus devant ses yeux. Il lit sans participer, sans comprendre, sans éprouver de joie, sans que s'allume en lui cette lumière intérieure qui lui assure qu'il a compris. Les cieux ouverts, les allées bordées d'arbres, la joie des mers et des fleuves ne l'attirent plus. Il reste enfermé chez lui, assis dans son fauteuil, sans rien faire, sans penser à rien d'autre qu'à son interminable maladie, environné d'une ombre qui s'étend continuellement, au milieu des fantômes du jour, des cauchemars de la nuit, de sommeils toujours plus tourmentés. Il connaît à chaque instant la morsure de l'ennui. Nul geste ne parvient à l'en débarrasser. Quand l'ennui se déchire, son cœur s'emplit de soupçons, de craintes, de terreurs innommables, insensées; son moi se transforme, se multiplie, devient un obscur ennemi qui l'attaque de tous les côtés à la fois; cet assaut ne connaît pas de répit; et le malheureux fond en larmes, tant l'ennemi semble inexorable et proche de la victoire. Chaque matin, devant son miroir, il est tenté de se trancher la gorge; s'il résiste à l'idée du suicide, c'est seulement parce qu'il est certain qu'après sa mort, il pénétrera dans un univers plus désolé encore. Il traverse le monde accompagné de cette ombre noire qu'il perçoit dans la saveur même de ce qu'il mange. Il ne parvient pas à s'aimer, il a l'impression que les autres le soupçonnent, le détestent ou préparent contre lui pièges et embûches. Parfois, un élan d'euphorique frivolité le pousse vers eux: il voudrait les serrer contre son cœur mort; plus souvent, il n'éprouve pour eux qu'une hostilité glacée, une amère rancoeur, et rit, dans leur dos, d'un rire amer. »
Pietro Citati - La lumière de la nuit
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Dedans le feu, dehors la glace
Vu du dedans
fenêtr' carrée
de la cuisine
quatr' carreaux noirs
des tas d'points blancs
bien scintillants
il neige il neige
Vu du dehors
quatr' carreaux clairs
plein de lumière
des gens qui rient
des gens qui boivent
le chat qui miaule
le chien qui dort
faut vous chauffer
quand vient l'hiver
tout froid dehors
Je n'ai pas d'piaule
frappe au carreau
j'ai froid j'ai faim
mon fr��re est mort
putain de sort
tombé du train
tombé dans l'eau
rien sur la peau.
Les migrants c’est
comme les oiseaux
Ils traversent
la mer le vent
l’air et le sable
ils vivent dehors
affrontent le gel
les piqûres de l’hiver.
Faisons la révolution
notre nouvelle France
elle aime pas ça
ou les migrants
ou les oiseaux
ou les abeilles
bref, somme toute
toutes les belles
simples merveilles
Cell
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Le 25 Avril des Quatre chemins à St Chely d'Aubrac 33,5 km.
Après une soirée joyeuse avec Michel Racine un canadien qui joue de la trompette avec sa bouche mes compagnons de nuit ont eu la joie de bénéficier de ma musique nocturne 🤣.
Aujourd'hui j'ai donc traversé l'Aubrac. Marcher sur ces chemins est un moment magique.
Ces paysages d'herbes et de pierres accueillent l'eau qui génère la vie comme un commencement du monde.
Je suis un homme qui traverse ce lieu si beau et qui prend conscience du danger que nous lui faisons courir.
Et pourtant en descendant vers St Chely nous passons de l'hiver au printemps comme un signe d'espoir que la nature nous envoie.
Ultreia
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DÉPRESSION DANS L'HIVER CHILIEN - 20/06/2024 - 13 H 00 UTC
Image du satellite GOES-16, le 20/06/2024 à 13 h 00 UTC : c'est le solstice d'hiver et une jolie dépression aborde la côte chilienne. Au lever du jour, on devine le centre dépressionnaire au cœur de la spirale, tandis que la vaste courbe nuageuse qui traverse l'image matérialise le courant d'altitude ou 'jet stream'. La dépression apporte vents et pluies. Plus bas, le Sud de la Patagonie est enneigé et plongé dans la nuit. Il est concerné par des températures très froides, atteignant jusqu'à -17,4°C à Río Gallegos, ce qui contraste avec les 16°C relevés en journée à Buenos Aires, la capitale argentine.
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On sait quelle sera la dernière espèce vivante sur Terre et ce n'est pas le cafard
See on Scoop.it - EntomoScience
Le tardigrade gagnerait encore une fois la médaille d'or de la résilience.
Vendredi 17 mai
Humains, scorpions, cafards… et les autres
Les recherches suggèrent cependant que la vie est tenace et qu'une fois apparue, elle s'accroche dans les moindres crevasses. Si les humains ne devraient pas tenir longtemps dans de telles conditions, les cafards, scorpions et autres invertébrés particulièrement robustes pourraient y survivre, à défaut d'y prospérer. Sans parler des nombreuses formes de vie microscopiques, qui n'ont pas besoin de lampe de luminothérapie pour traverser l'hiver (non, on ne vous juge pas).
Ajoutez cependant à ce joli cocktail des évènements à l'échelle astronomique, tels qu'un impact d'astéroïde ou une explosion de supernova bombardant la Terre de radiations cosmiques, et ça se complique un peu, même pour les cafards. En juillet 2017, une étude conjointe de chercheurs des universités d'Oxford (sud de l'Angleterre) et Harvard (Massachusetts) est arrivée à la conclusion suivante: seuls les tardigrades pourraient survivre à de telles catastrophes."
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NDÉ
L'étude
The Resilience of Life to Astrophysical Events | Scientific Reports, 14.07.2017 https://www.nature.com/articles/s41598-017-05796-x
via What Will Be The Last Living Thing On Earth? | IFLScience, 09.05.2024 https://www.iflscience.com/what-will-be-the-last-living-thing-on-earth-74132
Bernadette Cassel's insight:
Sur le même sujet
Dernier survivant : le Tardigrade n’a que faire de la fin du monde - De www.gurumed.org - 17 juillet 2017, 00:10
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Florent, vendredi 26 avril 2024 : ton odeur
Aujourd'hui, je range ma chambre, remplie de cartons, sans autres meubles que le bureau de ma mère, et le petit meuble étagère que j'ai monté lundi soir, en pleurant toutes les larmes de mon cœur.
En m'occupant des deux sacs de vêtements à ranger dans l'étagère, j'ai découvert une paire de chaussettes d'homme.
Instant de questionnement, est-elle à Thomas, mon petit frère, ou la tienne ? Vous m'avez tous les deux prêté des chaussettes pour que je traverse le froid de l'hiver. Cet hiver qui m'a été tellement agréable à tes côtés.
Je sens les chaussettes (qui sont propres, je te rassure), je cherche un peu. Je sais que je connais l'odeur. Je respire à nouveau, c'est agréable, trop agréable… J'ai le ventre qui se serre, comme des papillons, et je percute. Je n'aime pas vraiment l'odeur de Thomas. C'est forcément la tienne. Et j'ai le coeur qui se sert. Après avoir décider de ne plus te parler, de te bloquer, parce que chaque message de toi est une souffrance, je m'aperçois que mes phéromones n'ont pas compris du tout que mon cerveau avait dit stop.
Stop, je ne veux plus t'aimer. Stop, je ne veux penser à toi. Stop, je ne veux plus essayer de comprendre. Stop, parce que je veux avancer. Stop, je veux oublier ce cauchemar, Stop, je veux me réveiller.
Et toi, avec tes paires de chaussettes, parce que oui, j'en ai trouvé une autre, tu chavires mon cœur. Ton odeur est même sur deux de mes tee-shirts. J'en suis à me demander si je vais les laver une ou deux fois avec des huiles essentielles pour réussir à t'oublier.
Voir ces paires de chaussettes, c'est avoir en tête les moments où tu me les as prêtées, le regard que tu avais, l'attention que tu me portais, la légèreté que j'avais au cœur.
Ton odeur sur mes vêtements, c'est revivre en une après-midi ces 3 mois de bonheur, intense, léger, parfait, que personne ne pouvait m'enlever à part toi. C'est me souvenir que j'étais lovée dans tes bras, que je ne voulais pas quitter ton lit, notre lit, pour que le temps reste sur pause encore un instant.
Et en deux respirations, la colère de la veille s'est comme dissipée. Et je me déteste pour ça. Je me déteste d'être aussi faible, d'avoir cette balance émotionnelle, d'avoir le manque de nous, le manque de ton sourire, le manque de tes blagues pourries, le manque de ces moments de complicité qui ont complètement disparus.
Je dois t'avouer, quand tu as voulu m'embrasser dimanche, j'étais sur le point d'accepter. Mais, je ne me sentais pas aimable, je veux dire par là "être quelqu'un que l'on peut aimer", être quelqu'un dont on veut la présence. Et je ne voulais pas recommencer ce qui s'était passé pendant notre weekend à Bordeaux. Je voulais, avant tout, que tu saches à quel point je souffre. Que tu saches à quel point je me sentais seule. À quel point je me sentais affreuse. Et je n'arrivais pas à parler. Dire tout haut qui est dit dans ma tête depuis 4 semaines, c'était comme me confirmer que c'était vrai, que ça c'était passé. Que j'étais immonde à ce point.
J'ai commencé à parler, les larmes sont arrivées, je n'ai pas pu les chasser, et chaque phrase que j'ai essayé de te dire déclenchait une nouvelle montée de pleurs. Je ne trouvais pas la phrase la plus "douce" pour exprimer mon mal. Alors, j'ai arrêté de parlé. Et lundi (22/04), je ne pouvais plus, plus me taire, plus me contenir, il fallait que je te dise, quoi que tu en fasses, quoi que tu répondes. Juste pour que tu saches. Que tu saches dans quel état TU m'avais mise.
Parce que oui, quand même, c'est toi qui m'a mise enceinte. Je ne l'ai pas fait toute seule, cet enfant. Si ça avait été le cas, je l'aurai gardé. Parce que pendant des jours, j'ai attendu que tu te positionnes, que tu me laisses complétement gérer "cette situation" seule, OU que tu sois VRAIMENT là. Pendant des jours, c'était un entre-deux, j'attendais, je stressais, je ne dormais plus, j'attendais encore et encore. Et quand tu m'as dit "je te soutiens, je vais assumer", je ne t'ai pas cru. Je te le dis maintenant. Tu l'as peut-être senti. Je t'ai juste donné le bénéfice du doute, parce qu'avec tout le flux d'évènements, et d'émotions que je traversais, je me suis dit "je ne suis peut-être pas assez objective, j'interprète mal, je ne le crois pas parce que j'ai mal".
À l'heure où je t'écris, je ressens que j'avais raison. Parce que depuis, je ne me suis à aucun moment sentie soutenue, je n'ai pas senti ta présence. Juste ton envie que je te prenne dans mes bras, que je te dise que je t'aime, que je t'appelle "mon amour", que je te regarde avec le même regard de nos 3 premiers mois. Tu attendais que je sois là pour toi. Avec toute ma douleur, le choix de deux vies, celle de notre enfant et la mienne, je devais m'occuper de toi et notre couple. C'est tout ce qui t'importait à ce moment. Je me suis sentie mise sur silence. À des années-lumière de toi.
Et avec ton odeur, là, dans ma chambre, j'ai été capable, le temps d'un instant, d'oublier tout ça.
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Bidos, 22:45 -> 23:30
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Lundi 11 Mars 2024 : En fin de soirée le train reste arrêté un long moment et un message annonce que la locomotive a eu un problème et qu'on a pris du retard.
J'avais compris 70 minutes mais c'était peut-être seulement 17 (seventeen / seventy) car après quelques heures de sommeil entrecoupées, l'horaire est à nouveau bon à Oulu, puis à Kemi, où j'arrive à l'heure prévue, 8h15.
Samuel m'y attend et me fait un court tour de ville pour me montrer les principales attractions.
On voit la mer gelée avec les pêcheurs au trou, avec leur foreuse sur visseuses leur tabourets, ainsi que les marcheurs et les skieurs qui traversent vers l'île en face.
On rentre à l'appartement ensuite et je m'installe dans la chambre. On prend le petit déjeuner avec du bon café, du pain maison aux graines que Sam a fait, du fromage local, et de la fougasse que j'avais amenée du marché.
Pendant que Sam travaille un peu en ligne, je me prends une douche tant attendue. Je me rhabille chaud et on part marcher sur la mer Baltique gelée.
On passe devant le château de Neige, l'unique (dans les deux sens du terme) attraction touristique de Kemi, passage obligé des tour operators pour les voyages vers la Laponie.
C'est un ancien maire de la ville qui en a eu l'idée, en même temps qu'un bateau brise glace qu'il a racheté pour faire des croisières sur la Baltique l'hiver.
On n'ira voir que la partie extérieure (l'intérieur est dans un bâtiment réfrigéré, ouvert à l'année), où Sam a participé pour ériger les murs de neige.
Il y a des jolies sculptures de glace dans un tunnel de neige et des toboggans. On met ensuite les pieds sur la mer proprement dite.
On se balade à pieds comme beaucoup de personnes sur la mer Baltique, gelée avec encore environ 60cm de glace.
Le soleil tape et reflète sur la surface enneigée, j'ai beaucoup de chance pour ce premier jour.
On marche jusqu'au départ de la piste de ski de fond qui est tracée en ligne droite pour rejoindre l'île de Selkasaari.
On va ensuite chez un collègue de Sam qui a un restaurant buffet dans une jolie maison typique avec une déco nautique (voiles de bateau accrochées au plafond) et d'anciens outils de l'époque où une île proche été dédiée au travail des grumes de bois.
On mange plutôt pas mal pour une formule buffet avec des salades un peu salées sucrées, un plat chaud avec des pommes de terre et de la viande, et en dessert un gâteau aux pommes avec de la crème fouettée.
On repart ensuite marcher vers la ville. On passe par la bibliothèque dans laquelle il y a un musée de la ville, quelques boutiques où Sam me montre entre autres les automates pour récupérer les consignes sur les bouteilles en plastique et les canettes (20 cents sur la petite bouteille de 50cl).
On retourne ensuite à l'appartement et on retrouve Lumi, la fille là plus jeune de Sam et Susanna. On se pose un peu et je fais une sieste d'une heure.
On part ensuite faire une paire de kilomètres de ski de fond dans la forêt avec l'équipement de Sam.
Je réapprends tout et je le débrouille pas mal en soi. Au moins je finis dans tomber une seule fois mais j'ai mal partout dont la hanche gauche.
On rentre au soleil couchant puis on va chercher une paire de skis larges avec peau de phoque pour la rando de demain.
On rentre manger des fajitas au protéines de soja et on se fait des cessions de sauna les uns après les autres.
Je retrouve enfin Susanna qui rentre d'un atelier bricolage après le boulot.
On regarde une mini série sur Arte (cannis familiaris), bien déjantée, et on se couche vers 23h.
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Pourquoi la parka est le manteau qui sublime toutes les morphologies ?
C'est le manteau que toute modeuse a dans son dressing : la parka ! Ce vêtement emblématique, à la fois polyvalent et indémodable, a su conquérir nos cœurs (et nos épaules) depuis des générations. Mais vous vous demandez certainement pourquoi la parka dépasse largement le simple statut de manteau en un véritable allié de style, capable de sublimer toutes les morphologies, quelle que soit votre taille, votre forme ou votre silhouette. Une coupe flatteuse pour toutes les tailles Pourquoi donc cet engouement pour la parka ? Eh bien, la réponse est simple : sa coupe. Imaginez une coupe si flatteuse qu'elle met en valeur chaque courbe de votre corps, tout en dissimulant subtilement ce que vous préférez garder discret. Que vous soyez grande, petite, mince ou plus pulpeuse, la parka s'adapte à vous avec une aisance déconcertante. Sa silhouette décontractée et fluide crée un effet de ligne épurée même par accumulation de couche par temps froid, tandis que sa longueur généreuse offre une couverture parfaite contre les éléments tout en préservant votre style. À noter : vous avez des formes et des rondeurs ? Alors privilégiez un des modèles de parkas pour femme Ulla Popken fluide et léger. L'alliance de la fonctionnalité et de la mode Dans ses débuts, la parka était confectionnée en coton ciré ou en toile de coton, et a subi quelques améliorations pour devenir encore plus résistante. Grâce à l'introduction du nylon, du polyester et d'autres matériaux synthétiques innovants, nos parkas sont devenues plus légères, plus isolantes et même plus respirantes. Elles sont aujourd'hui considérées comme des vêtements techniques, parfaites pour l'outdoor. On les aime autant pour leur style que pour leurs qualités à affronter le froid, la pluie et le vent. Parlons du style ! Les créateurs ont ajouté leur touche personnelle pour rendre nos parkas encore plus tendance. Maintenant, on voit des touches mode parfaites s'ajouter à nos manteaux préférés. Fermetures éclair asymétriques, capuches doublées de moumoute, ceintures pour souligner la taille... Les finitions ne manquent pas pour styliser notre look casual. Et oui, la parka grande taille, c'est une pièce urbaine par excellence. Quel modèle choisir cette année ? L'hiver, vous avez l'embarras du choix quand il s'agit de trouver la parka parfaite. Vous pouvez opter pour l'un des deux modèles les plus prisés : d'un côté, la parka femme mi-longue légère, souvent dans une teinte kaki, notre vrai coup de cœur pour un look super tendance ! Vous pouvez la porter avec tout, du jean droit à la petite robe noire, et les fameuses bottines, vous serez toujours au top. Et de l'autre côté, les parkas matelassées, bien chaudes et un peu plus épaisses. Elles sont parfaites pour affronter les journées vraiment froides. Vous pouvez les associer avec vos pulls en laine, vos mailles, vos cols roulés... Vous vous sentirez enveloppée de douceur et de chaleur. Pourquoi ne pas l'essayer avec une touche de fausse fourrure ? Elles sont encore plus modernes cette saison. On adore les porter avec des pièces comme un pantalon cropped ou même une jupe plissée longue ou courte. Petit conseil : il n'y a aucune raison de se limiter à la parka noire basique. La parka se décline dans une multitude de couleurs vives qui peuvent ajouter une touche de peps à vos tenues hivernales. Rouge, bleu marine, verte... pourquoi ne pas oser ? Avec une parka colorée, vous pouvez être sûre de réchauffer non seulement votre look, mais aussi votre moral les jours gris d'hiver. Comment l'entretenir pour la porter l'année prochaine ? Pour qu'elle traverse les hivers, il est indispensable d'en prendre bien soin. Lavez-la avec amour en suivant les instructions sur l'étiquette. Généralement, un tour en machine à 30°C maximum avec un détergent doux fera l'affaire. Mais n'oubliez pas : évitez les assouplissants qui pourraient nuire à son tissu imperméable ! Si votre parka possède une doublure amovible, pensez à la retirer avant de la mettre dans la machine. Il vous suffira de la laisser sécher sur un cintre, loin des rayons du soleil, pour qu'elle garde sa belle forme. Bon à savoir : lorsque la fin de l'hiver pointe le bout de son nez, rangez-la dans une housse, à l'abri de tous nuisibles extérieurs comme les mites. Read the full article
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Regardons les épreuves comme des alliées et non comme des ennemies, car elles nous apprennent à :
♡ Regarder à Yeshua
♡ Vous accrocher à lui,
♡Vous attendre à lui,
♡Détourner le regard des circonstances ,
Pour nous concentrer sur des perspectives plus élevées que nos circonstances.
{l'Ecclésiaste 3:11} l'exprime très bien :
"Dieu fait arriver toute chose au bon moment."
Comme pour nos vies Dieu nous donne de vivre des saisons pour notre évolution spirituelle. L'hiver peut paraître désagréable, voire pénible et douloureux. Cependant, ce climat glacial est non seulement bénéfique, mais aussi nécessaire. En effet, Dieu a créé les saisons pour rythmer le temps et permettre à la terre de "respirer" entre chacune d'elles. Et l'hiver permet à la nature toute entière de traverser un "temps mort", où elle se repose. Avant qu'elle ne produise à nouveau des fleurs, des fruits, et de nouvelles naissances.
De même, Dieu vous appelle à vivre cette saison d'hiver dans le repos, avec cette attente confiante et tranquille qu’après l'hiver, arriveront le printemps et l'été, accompagnés de leurs fruits.
Mes ami(e)s, Dieu est le maître du temps, le maître des saisons. Il sait ce qui est le meilleur pour vous. Attendez patiemment le printemps, où vous porterez à nouveau des fruits, dans le temps de Dieu.
Je crois qu'aujourd'hui, Dieu désire vous apprendre à aimer l'hiver, autant que les autres saisons de votre vie.
Chaque saison de notre vie est favorable pour nous. Comme pour comprendre une histoire d'un roman , nous ne pouvons pas sauter un chapitre. Ainsi traversons nous aussi notre histoire de vie sans sauter un seul chapitre , même si celui-ci est douloureux, car le suivant sera meilleur. Chaque histoire finissent toujours bien quand on est avec Yeshua HaMashiah.
En Christ pour toujours ❤⚘️
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SortirAParis
Allez hop, on profite de ce mois d'octobre qui prend des allures d'été pour faire les dernières sorties de l'année en plein air, gambader dans les parcs et jardins et faire le plein de sorties au soleil avant l'hiver !
Au menu de ce mercredi, on vous propose donc de faire le tour de nos fermes préférées dans la région, de flâner dans les parcs parisiens ou encore, d'enfourcher un vélo pour partir en vadrouille dans la région.
Beau mercredi les familles, Margot
A NE PAS MANQUER !
A VÉLO AU PARC DE LA POUDRERIE : LA PROMENADE SPORTIVE ET BUCOLIQUE LE LONG DU CANAL DE L'OURCQ
Saviez-vous qu'une longue piste cyclable longe une grande partie du Canal de lourcq ? Du bassin de la villette à Meaux (check), en passant par Pantin, Bobigny, Sevran… Découvrez la Seine Saint Denis dans sa facette plus bucolique ! En famille, entre potes, sportifs ou en solitaire, le Canal de l'Ourcq a l'immense avantage d'être très bien longé par une piste cyclable, traversant zone industrielles ou plus boisées.
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AU PARADIS DES ENFANTS, LES ATTRACTIONS DANS L'ÎLE DE LOISIRS DE ST QUENTIN EN YVELINES À 1€ LE MANÈGE !
Sponsorisé - Direction Au Paradis des Enfants, dans l'île de loisirs de St Quentin en Yvelines pour des manèges à petit prix. Ouvert tous les jours de 10h30 à 19h jusqu'à mi-novembre, on y retrouve des jeux d'eau, des structures gonflables, un Mario karting et des montagnes russes familiales dans un espace de verdure, pour des moments de détente à 1€ le manège, et 3€ la session kart. Bon plan, Au Paradis des Enfants s'occupe de vos fêtes et anniversaires avec manège illimité pour 20€ par enfant !
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LA COULÉE VERTE DU SUD PARISIEN, PISTE CYCLABLE BUCOLIQUE DE PARIS À MASSY
Loin des traditionnelles pistes cyclables intramuros de la capitale qui se r←v│lent ↑tre de vraies autoroutes ¢ deux roues, la Coul←e Verte du sud parisien offre un bel itin←raire, accessible aux d←butants et aux enfants.
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LES PLUS BELLES FERMES OÙ VOIR DES ANIMAUX À PARIS ET EN ÎLE-DE-FRANCE
Envie d'une petite escapade au vert, ¢ la campagne et sans quitter la r←gion ? Direction les fermes, bergeries et espaces champ↑tres de notre capitale et de notre r←gion pour une journ←e au grand air !
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AUTOUR DE VOS SORTIES
LES PLUS BEAUX PARCS, SQUARES ET JARDINS DE PARIS ET D'ILE-DE-FRANCE POUR FLᅡNER AU SOLEIL
Paris regorge de parcs et de jardins magnifiques, des ←crins de verdure qui invitent ¢ la d←tente, loin du brouhaha de la ville. D←couvrez vite les plus beaux spots de verdure dans la capitale et en Ile-de-France !
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LES PLUS BELLES AIRES DE JEUX POUR ENFANTS EN PLEIN AIR PARIS
C'est la sortie facile, tellement pratique et qui ne demande aucune organisation : bonheur des enfants comme des parents, les aires de jeux en plein air font fureur aupr│s des petits parisiens. Voici celles que l'on pr←f│re !
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QUE FAIRE AVEC LES ENFANTS CE MERCREDI 4 OCTOBRE 2023 À PARIS ET EN ÎLE-DE-FRANCE
À la recherche d'une sortie avec les enfants ce mercredi à Paris ? Papas, mamans, grands-parents et autres nounous, ne manquez pas notre sélection d'activités à faire à Paris avec les petits ce mercredi 4 octobre 2023 !
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Et comme promis, le billet d'aujourd'hui !
La météo n'est malheureusement pas meilleure qu'hier, c'est donc petit dej sous la pluie.
Je réalise en plus que mon adaptateur USB allumé cigare ne fonctionne que de façon très intermittente, je fais donc 30min de trajet vers Christchurch (où j'étais hier) pour en racheter un, espérant que le problème vient de là et pas de la voiture ...
Fort heureusement pour moi, c'était bien un problème de matériel, mon téléphone peut donc remonter ses 4% de batterie restante... Gloups ! (Bon, j'avais quand même une batterie portable pleine dans la poche, mais ça n'aurait pas été pratique pour la suite du voyage)
Je pars en direction du Bridle path walk, censé m'offrir un joli panorama de la région... Eh bien, c'est un échec ! Je finis carrément par traverser un nuage, ce qui n'augmente pas ma visibilité de façon significative...
Au lieu de partir sur une deuxième balade à panorama dans les hauteurs, qui s'annonce à peu près aussi pertinente que celle ci, je pars donc plutôt me rapprocher du littoral ! Je mange donc près d'une plage où la mer s'est retirée, laissant le passage à des centaines de petits crabes qui se carapatent dès que je m'approche, c'est très mignon :3
Je longe ensuite la côte, puis part sur une route de terre battue dans les hauteurs, c'est tellement dommage que les montagnes soient toutes masquées ! Le peu que j'en vois est splendide, ça a tout un fait un air de massif central. Certains versants sont tout jaunes, il y a visiblement au moins une fleur qui apprécie l'arrivée de l'hiver !
Je commence ensuite une balade en bord de bras de mer, 8km, tranquille. L'eau est d'un turquoise magnifique qui rend très mal sur ces photos, c'est assez impressionnant, surtout que le soleil brille toujours par son absence. Je ne sais pas ce qui peut causer cette couleur.
Alors que je commence à trouver le temps un peu long, je réalise sur la carte que c'est l'aller qui fait 8km, je n'ai pour le coup pas le temps d'en faire 16! Quelle idée de mettre la moitié des infos sur le panneau aussi ... (Ils mettaient 1-2h, motivés les gars)
Tant pis, je n'irai pas jusqu'à la pointe, je repasse dans les prés pleins de moutons et retourne sur mes pas. M'attend ensuite une demi heure de voiture dans un brouillard à couper au couteau (décidément, quel temps charmant), et je suis au camping, avec des jolies lueurs du soir !
Dans ce camping, le Graal ... Une douche chaude !! 2$ les 4 minutes, c'est millimétré, mais qu'est ce que ça fait du bieeeeeeeeeen 🥰
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Agamben m'avait bien sauvé la peau avec son truc du désœuvrement, ça m'avait permis de jeter l'éponge de l'université en gardant la tête haute. Je ne dis pas que ça a été facile, ça n'a pas été facile. J'ai du avoir honte, j'ai eu honte, il fallait bien, mais je n'ai pas pleuré longtemps. Je ne dis pas que je n'ai pas travaillé. On n'a pas idée comme j'ai travaillé, c'est honteux comme ça a été laborieux.
On me disait «tu ne mets pas tes efforts à la bonne place». Mes efforts et moi nous passions beaucoup de temps assis sur mon cul devant un minuscule bureau d'écolier dans le salon ou sur la table de la cuisine. L'hiver, que je ne voyais pas passer, on m'appelait affectueusement le grand sachem, je disparaissais sous des couches de laine, j'étais blanche, je devenais verte, mes yeux rouges comme mes grosses lunettes, je sursautais au printemps, ça faisait tomber ma laine que je regrettais un peu. Je dormais à peine, ma fille, petite alors, me rejoignait parfois dans mes nuits d'étude. Je la couchais par terre sur plusieurs épaisseurs de couvertures à côté de moi dans la cuisine. Je ne sais plus ce que je pensais quand je la regardais, je ne me souviens pas l'avoir rejointe sur le plancher moi qui pourtant aime dormir sur le sol. Elle aimait ces moments, ça me consolait, je la regardais de loin, lâchant une lecture aride - entrecoupée de facebook que je découvrais - pour m'absenter dans sa contemplation. Elle était à portée de bras, elle était quand même de l'autre bord du grand lac étal de ce qu'il me restait à traverser. Elle babillait me souriait finissait par s'endormir dans ce petit campement de fortune. Alors je la ramassais avec toutes ces couches de confort et la portais dans son lit.
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