#sur le départ
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Vous vendriez votre âme pour dormir dans ses bras
(nsfw under the cut)
Avec la version sur ordi, qui était vraiment nulle au niveau des couleurs, ça rend pas pareil sur ordi et portable je comprends pas
#my post#my art#starmania#starmania 2022#starmania fanart#sadia#au départ c'était un dessin sur ordi mais j'aimais pas le résultat#donc j'ai profité d'un long trajet pour le refaire
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La pauvre Tatiana Ventôse est entrain de se prendre une douche par la gauche matrixée. On dirait limite qu'elle a conduit leurs parents à Auschwitz.
Je pense qu'ils font une réaction épidermique au faut que ses arguments se tiennent. On pourrait répliquer sur le terrain des idées mais ça demanderait du temps, de l'énergie, de la culture historique, philosophique et politique, et un sérieux examen de conscience. Or, la plupart des militants et sympathisants de gauche ces derniers temps sont des ressortissants de la gauche-caviar et ils fonctionnent à la croyance plus qu'à la pensée. Ils ont leur credo et ça leur suffit.
J'aime mieux la dernière vidéo de Tatiana, qui est plus élaborée, plus soutenue que la précédente, et donne meilleure matière à la critique — en ce sens qu'il va falloir charbonner pour la démonter intégralement. Ce qui me fascine sans doute le plus chez la rouquine du Nord, c'est cette manie qu'elle a de ressusciter la Gauche à l'ancienne, travailliste, patriote et populaire, et qui passe aussitôt aux yeux du gauchiste moyen (j'emprunte le terme à Lénine, ça date d'un siècle avant la dernière campagne vraiment socialiste de Mélenchon) pour un discours d'extrême-droite.
C'est rigolo, quand même. Les pillards font chaque nuit la démonstration de leur inféodation volontaire au capitalisme le plus décérébré ; ils vandalisent des équipements publics et des écoles ; ils appellent au meurtre des blancs, des juifs, des homosexuels, des policiers ; ils le font généralement au nom d'une religion qui cause des ravages dans la majeure partie du monde à l'heure actuelle ; et pourtant, curieusement, la Gauche presque tout entière prend leur défense, toute prête d'ailleurs à reprendre son discours de complaisance pour réclamer que le contribuable expie une faute originelle imaginaire en payant pour restaurer le mobilier dégradé, en professant sa compassion pour les racailles qui l'accablent...
Je suis en train de me disputer dans la section commentaires de mon dernier billet avec des gens certes charmants mais que j'estime redoutablement à côté de la plaque en termes d'analyse sociopolitique de la situation française, parce qu'ils croient notamment que les Français se seraient détournés de la Gauche véritable ; or, c'est une inversion des valeurs absolument tragique quand on considère le mode de vie des uns et des autres face aux discours gauchistes.
Je vais faire pire que donner raison à Tatiana Jarzabek, je vais donner raison à François Asselineau ! Lequel s'enquérait récemment de savoir pourquoi personne à l'Assemblée n'avait fait ne serait-ce qu'évoquer l'article 68 de notre Constitution prévoyant la destitution du Président de la République en cas de manquement à ses devoirs ? Certes, il y avait peu de chance que cela se fît mais les « Insoumis » ont déjà déposé suffisamment de motions de censure stériles pour craindre réellement l'échec législatif...
#tous les bons éléments du front de gauche ont été évincés et remplacés par des petits jeunes aux dents longues pétris de postmodernisme#tu m'étonnes que la gauche ne fasse plus recette#à la limite on en trouve encore assez de traces chez ruffin#mais ruffin président les gens savent fort bien qu'il se constituerait un gouvernement à gauche et l'on reviendrait à la case départ#de toute façon les gens sont épuisés et appauvris#ils n'ont pas envie de payer les pots cassés qui d'ailleurs sont cassés très littéralement là#et la gogôche ne fait qu'empiler les humiliations et les insultes#les gens veulent que la tragédie en cours cesse et ils n'écouteront qu'un discours ferme et sans concession pour les hooligans#tatiana ventôse#n'a pas un discours de droite mais un discours républicain#ce qui n'est pas synonyme de démocratique#mais nous ne sommes pas à un moment où il faudrait faire de grands discours misérabilistes sur les pauvres jeunes de banlieue#qui ne peuvent jamais dealer tranquilles et braquer des vieilles sans qu'un flic fasse du délit de faciès#nous nous sommes plus là#là nous récoltons les fruits de quarante années d'incurie des pouvoirs publics#donc la réponse appropriée n'est sans doute pas de rester les bras ballants#en pleurant sur le sort d'émeutiers qui risquent le profilage racial quand ils gueulent qu'il faut casser du “pd” au nom du coran
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RDC : après le départ de l'EAC, le premier contingent de la SADC a atterri au Nord-Kivu ce mercredi pour faire face au M23
L’attente a été très longue et l’imprécision a longtemps demeuré mais les faits se précisent pas à pas. Après le départ précipité des troupes de l’EAC suite à l’absence de bilan sur le terrain, la SADC dont les troupes étaient annoncées, a finalement déployé ses premiers soldats sur le sol congolais pour aider l’armée congolaise à débarrasser le Nord-Kivu du M23 ainsi que d’autres milices…
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#a finalement déployé ses premiers soldats sur le sol congolais#départ précipité des troupes de l&039;EAC#la Communauté de développement de l&039;Afrique australe (SADC)#la SADC dont les troupes étaient annoncées
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#départ pour l'image est dans la place#que faire devant une image?#le long rêve éveillé grâce à la longue image déroulée sur tumblr
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Pendant ce temps, quelque part en Crimée
Poutine qui roule sur le pont en grosse Mercedes d'apparatchik bouffi : mort de rire le gars tout ratatiné sur son volant comme si c'était une bouée de sauvetage, alors qu'il doit rouler à 20 km/h.
tu sais qu'en terrain plat, papy, tu peux lâcher le volant, la voiture reste dans sa trajectoire...
Toute la pseudo-virilité surhumaine du personnage qui se déballonne en 5 secondes quand tu le vois conduire. Le meilleur moment, c'est quand même quand il amorce un virage et qu'il garde ses grosses mains d'hépatique toutes crispées sur le volant, même quand ce dernier revient en place (mais ils lui avaient enduit à la glu ou quoi ?).
Et si c'est pas une pitié, avoir une telle merveille de mécanique entre les mains et rouler comme une tisane…
Dictateur en carton. Va manger tes compotes et laisse-moi conduire.
(mais même un accident, dans une voiture pareille, çà doit avoir une autre envergure. Même passer par-dessus la glissière de sécurité, tu dois avoir l'impression de voler avec les anges. Définitivement, je veux quitter cette Terre dans un cercueil à 120 plaques comme celui-là).
#poutine en mercedes sur ton tumblr#mauvais conducteur#je m'étonne de ne pas te voir sur l'A6 un jour de grand départ#avec tous les pignoufs qui prennent le volant une fois par an
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Mon beau Charly,
Mon petit bouchon,
Ma beauté suprême,
Ma petite merveille,
Il y a 1 an aujourd’hui, tu prenais ton envol à 3h40 alors que tu étais dans mes bras.
Tu étais agité, j’ai essayé de t’apaiser mais je n’y suis pas arrivée à mon plus grand désespoir.
Malgré des signes d’affaiblissement que j’avais mis sur le compte d’un début de vieillesse,
Je n’ai pas vu, senti, compris, qu’une tumeur grandissait dans ton ventre depuis des mois.
Le poids des regrets et de la culpabilité me ronge un peu plus chaque jour.
Ton départ est le plus grand malheur de ma vie terrestre, nous étions si fusionnels.
Tu étais ma boussole, tu étais ma lumière, aujourd’hui, sans toi, je suis perdue dans le noir.
J’ai perdu le goût de vivre, plus rien n’a d’intérêt ni de sens dorénavant.
J’attends juste la fin au plus vite en espérant que je pourrai enfin te retrouver.
🎤 Michel Pépé ~ Le coeur des anges 🎧
youtube
(Petit poème que j’ai écrit pour toi le 24 décembre 2022)
🩵 Mon Charly 🩵
Il y a 9 ans, tu apparaissais et venais combler ma vie,
Tél un don venu du ciel, tu rallumais mes jours et mes nuits,
Pour moi, revenait alors le goût de vivre, l’énergie,
Un vrai bonheur, un éclair de temps et de vie qui déjà s’enfuit,
Et me laisse dans un silence, une solitude et une détresse infinie.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Petit chien de caractère, petit être d’exception,
Tes grands yeux noirs respiraient l’intelligence,
Coquin, joueur, espiègle, bavard et râleur,
Tu t’exprimais toujours avec ferveur,
Florilège d’intonations sonores,
Tu t’affirmais avec assurance, énergie et passion,
T’avoir dans mon existence fut une extraordinaire chance.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Tes mimiques, ta joie de vivre, tes discours, ta drôlerie,
Emplissait la maison de joie, de rires et de fantaisie,
Ta démarche aérienne si gracieuse, telle une élégante danseuse,
Ton majestueux panachon exprimait ton humeur toujours joyeuse,
Ta présence nous inondait d’amour et rayonnait d’une manière inouïe.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Ce si triste et douloureux dernier soir,
Malgré ton hospitalisation, je t’ai ramené dans ta maison, près des tiens,
Je ne voulais pas que tu restes à la clinique sans personne ni rien,
Seul dans cette cage, dans la peur, l’angoisse, le froid et le noir,
Je ne sais pas si ma décision fût la bonne,
J’espère juste que ce choix aurait aussi été le tien.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
La nuit de ce 22 décembre qui a vu s’éteindre ta lumière,
Quand ton souffle s’est subitement arrêté,
Et que ton petit corps dans mes bras a soudain cessé de s’agiter,
J’ai senti ton esprit s’envoler, tu étais enfin libéré.
J’ai alors ressenti cet indescriptible vide abyssal où s’arrête l’univers,
Incommensurable et insupportable déchirure qu’à jamais j’aurai du mal à porter.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
A présent, il me reste les médicaments pour ne pas sombrer,
Pour parvenir à trouver le sommeil et ne plus penser,
Malheureusement, chaque jour, il faut bien se réveiller,
Retrouver et affronter cette terrible réalité,
Cette douleur immense, il faudra beaucoup de temps pour l’effacer 💔
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
A jamais, pour toujours, je t’aime mon Charly 💕 💞
J’espère te retrouver bientôt pour l’éternité dans l’amour infini 🙏🏻
#Youtube#anniversaire#deuil#au delà#charly#mon Charly#charly mon amour#bichon#bichon maltais#maltese#chien#dog#my dog#amour d’un chien#amour infini#amour inconditionnel#envol#ange#michel pépé#le cœur des anges#relaxing music#tristesse#détresse#je t'aime#à jamais pour toujours#for ever#forever#te retrouver#sadness
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Une Locomotive MÁV Class 424. Fameuse locomotive Hongrois fabriquée par MÁVAG (Magyar Királyi Állami Vas-, Acél- és Gépgyárak), elle sera fabriquée en 514 exemplaires au total durant la période de 1924–1958. Aujourd'hui, seules 2 locomotives sont encore en état de marche. Le premier test de fonctionnement sera effectué dans les villes de Budapest et de Vác le 22 avril 1924. Planifié par Béla Kertész (1882-1990), constructeur de la locomotive, la 424 sera une locomotive qui pourra être utilisée de façon universelle sur les grandes lignes de chemin de fer. Elle sera ainsi utilisée tant pour le transport de lourde marchandises que dans le transport de passager ou le transport express. Sa production se terminera en 1958, mais cette locomotive restera en service jusqu'en 1984, jusqu'au moment où les machines à vapeur seront abandonnées en Hongrie. À noter que dans les années 1960, certaines locomotives gagnerons un moteur brûlant de l'huile, mais ses performances ne permettrons pas de concurrencer les nouvelles locomotives diesel comme la DSB Class MY (Danemark) ou le M62 (Soviétique).
MÁVAG sera la plus grande entreprise hongroise de constructions de locomotives et plus généralement mécanique du XIXe siècle. Cette société est au départ propriété du Royaume de Hongrie et sera jusqu'après la Seconde Guerre mondial, une entreprise royale. Elle sera nationnalisé après cela et le terme Királyi" ("Royal") sera supprimé de l'intitulé complet. La société disparaître en 1959 lorsqu'elle prendra le nom de Ganz-MÁVAG suite à sa fusion avec les Compagnies Ganz, autre société hongroise de manufacture de locomotives fondée en 1845 par Ábrahám Ganz, ingénieur hongrois d'origine suisse et pionnier de l'industrie lourde Hongroise.
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Delon nous a quitté dimanche dernier. Fin de bobine.
La salle s’éclaire, les yeux piquent, les assises se rabattent sèchement sur les dossiers, les gens piétinent vers la sortie. Le bel Alain s’en est allé pour de bon, lui qui – semble-t-il – avait déjà quitté le monde sensé, laissant ses glorieux enfants se déchirer autour d’un terril d’or.
Journalistes, politiques, pipoles et piplettes : ils n’ont tous que des superlatifs à la bouche. Machin y va de son “c’était le dernier monstre sacré”, Bidule nous rappelle que “c’était un vrai prince”. La presse idiote rivalise en putasserie unière, à qui la plus belle photo, à qui le plus pathétique titre en guimauve pur sucre.
Mais moi je me souviens, bande de hyènes. J’ai rien oublié du tout. Je me rappelle bien de la ringardisation à marche forcée du ci-devant Delon Alain, coupable de choix politiques impardonnables. Fallait les voir se pincer le nez, les tenanciers de ce merdique show-biz gavé de thunes. Tu citais Delon et voilà qu’ils avaient grave la gerbe, ces gauchistes gueulards et ces soixante-huitards pédos. Beuark ! Macho réac ! Machine à cash ! Vieux beau qui s’accroche ! Tout le catalogue des amabilités en travers de sa belle gueule, le Delon. Ah ça oui, fallait les voir tortiller du cul quand on leur faisait remarquer que son fric, lui, il allait le chercher à Caracas et à Kyoto en vendant des clopes et du cognac pendant qu’eux tapinaient sous les lambris des ministères comme des putes de chantier pour se gaver d’argent public. Et pour quoi faire ? Des films de merde labellisés gauche-xanax où des couples idiots s’engueulent à la cuisine pour des histoires d’adultère foireux tristes à mourir.
Je n’ai jamais pris Delon très au sérieux. Ça n’était pas un vrai soldat, pas complètement un tapin, plutôt un assez mauvais comédien... mais quel acteur ! Quel talent, le félin ! Au-delà de sa belle gueule, il y avait son charme infini de scorpion astralement pur : intransigeant, égocentré, jaloux, lumineux, charmeur, menteur. Elles ont été quelques-unes à y laisser des larmes. Et pas qu’un peu : par bonbonnes entières ! Mais lui s’en foutait. Il aimait, il vivait, il partait. C’est comme ça qu’il les a tous et toutes bluffé(e)s pendant plus de quatre-vingt ans. Au final, c’est la caméra qui l’a le mieux aimé. Cinégénique à en crever, le bonhomme. Pas un angle, pas une ombre pour nuire à sa beauté solaire – ce qui est le comble pour un aussi ténébreux Narcisse.
Tous les plans qui éclairent Delon sont une ode à la masculinité. Même avec un imper trop grand et un bitos rivé sur le crâne, il est crédible. Je veux bien croire qu’il y en a quelques-uns que ça a vraiment du faire bisquer, dans le métier.
Avez-vous remarqué que “masculinité” lui va bien mieux que “virilité” ? Je dis cela parce que Delon n’inspirait pas le cul – il n’y avait rien chez lui de léger en bagatelle ou d’ostentatoire en braguette. C’était un dominateur silencieux, une emprise, un orage. Les femmes – et surtout les plus inaccessibles d’entre elles – ne s’y trompaient pas. Elles cédaient et lui, tranquillement, disposait. Avec tact et élégance sans doute, en tout cas jusqu’à son départ.
Et le voilà parti pour de bon. Un de plus, un de moins, peut-être le dernier. En tout cas, c’est bien raccord avec cette époque qu’il vomissait, à juste titre.
J.-M. M.
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Le Xelorium, cagnotte Ulule !
C'est par ici ! ♥ ÇA Y EST C'EST LANCÉ !! Après des mois et des mois de préparation @sadidastheria et moi lançons enfin notre première cagnotte ! Elle porte sur le thème des Xelor du monde des Douze (Wakfu/Dofus). Elle signe notre départ officiel dans le lancement de nos futurs projets de créations autour de divers fandoms ♥ Elle nous servira premièrement à financer des goodies puis dans un second temps nos cosplays Harebourg et dieu Xelor du même univers.
N'hésitez pas à faire un tour, on a essayé de vous écouter sur nos sondages et faire le plus d'option possible selon les disponibilités. Il y a des stickers, des pins des peluches et plus encore !
On est trop contentes de vous partager tout ça ! Merci à tous du fond du cœur pour votre soutien ♥ PS: Pour info, les 10 premières commandes de 20€ et + ont un dessin original en noir et blanc au format A5 de ma part !
#wakfu#Dofus#xelor#cosplay#ulule#ankama#count harebourg#harebourg#nox#noximilien#xelor god#waven#fan merch#goodies
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When we were kids, Lewis loved Ayrton, while my hero was Alain. I tried to model my driving style on his: very fluid, calculated, I love it. To push the comparison even further, my helmet is blue-white-red, the colours of the English flag, but also of the French, like Alain at the time, while Lewis wears a yellow helmet like Ayrton.
Jenson Button
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Je discutais avec quelqu'un sur le fait de forcer l'installation des médecins pour lutter contre les déserts médicaux et je pense que les gens ne se rendent pas compte du tout de ce que c'est un désert médical et/ou se font une idée fausse de la population des médecins en France.
Parce qu'un désert médical ce n'est pas que la Creuse, le Limousin ou la Saône et Loire. C'est aussi Paris, Lyon, Marseille, Brest, Toulouse etc... Alors OK moi je veux bien être envoyé à Lyon pour lutter contre les déserts médicaux.
Plus sérieusement, la question de l'installation c'est partir à la base de l'idée qu'il existe des endroits en France avec "trops" de médecins et qu'on pourrait les déplacer là où en manque.
Sauf que la carence médicale est globale. Si à Paris il y a 2 ans d'attente pour avoir un pedopsychiatre c'est qu'ailleurs c'est pas beaucoup mieux.
Surtout (et ça quand on est pas dans le milieu on le sais pas forcément) mais il y a déjà une répartition forcée des medecins: ça s'appelle l'internat. Pendant 4 ans le médecin en formation va faire tourner des services 6 mois à gauche, 6 mois à droite. Et il est envoyé là où il n'y a plus personne pour faire tourner la boutique.
Alors je ne vais pas faire comme si j'avais la solution (enfin si : attendre 15 ans que les médecins qui viennent de commencer la formation la termine et comblent les départs en retraite) mais si il y a encore quelque mois à été voté un texte qui autorise les médecins à travailler à l'hôpital jusqu'à 75 ans (si si, et j'en connais qui le font) c'est vraiment que ça manque de partout.
Bref (pas du tout haha) je voulais partager le soupir que j'ai à chaque fois que j'entends parler de cette proposition concernant les médecins qui est tres symbolique, qui fait genre on va résoudre un problème qui existait déjà il y a 20 ans, et pas basé sur ce qui se passe dans la vraie vie.
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"Kelly bag"
Grace Kelly (carrying Kelly bag by Hermès) on her last day on the Hollywood studio lot before her departure for Monaco, photo by Allan Grant for Life magazine, April 9, 1956. Grace is wearing a Suit by Edith Head,Hermès bag and Ferragamo shoes.
Grace Kelly (portant le sac Kelly d'Hermès) lors de son dernier jour sur le terrain des studios hollywoodiens avant son départ pour Monaco, photo d'Allan Grant pour le magazine Life, 9 avril 1956. Grace porte un tailleur d'Edith Head, un sac Hermès et des chaussures Ferragamo.
#kelly bag#grace kelly#fashion icon#american actress#princess grace#grace de monaco#hermès#edith head#allan grant#life magazine#hollywood#fashion 50s#april 1956#salvatore ferragamo
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RDC : après le départ de l'EAC, le premier contingent de la SADC a atterri au Nord-Kivu ce mercredi pour faire face au M23
L’attente a été très longue et l’imprécision a longtemps demeuré mais les faits se précisent pas à pas. Après le départ précipité des troupes de l’EAC suite à l’absence de bilan sur le terrain, la SADC dont les troupes étaient annoncées, a finalement déployé ses premiers soldats sur le sol congolais pour aider l’armée congolaise à débarrasser le Nord-Kivu du M23 ainsi que d’autres milices…
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#a finalement déployé ses premiers soldats sur le sol congolais#départ précipité des troupes de l&039;EAC#la Communauté de développement de l&039;Afrique australe (SADC)#la SADC dont les troupes étaient annoncées
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L'Art et la mode, no. 28, vol. 15, 14 juillet 1894, Paris. Art & Chiffons. Bibliothèque nationale de France
Robe en lainage rose, boutonnant derrière. Garniture de guipure blanche.
Pink woolen dress, buttoned at the back. White guipure trim.
—
Robe en batiste ciel. Garniture de linon brodé. Guimpe plissée.
Sky cambric dress. Embroidered lawn trim. Pleated wimple.
—
Toilette en taffetas changeant. Garniture de bouillonés de mousseline de soie. Col, ceinture et nœuds de satin noir.
Changing taffeta ensemble. Garnished with chiffon bouillons. Black satin collar, belt and bows.
—
Toilette en linon à fleurettes, de point à l’aiguille.
Ensemble in flowered lawn, needlepoint.
—
Ding ding! Ding ding! Le glas du départ est sonné, le Bois est désert, les salons sont clos. Paris a beau être joli et charmant, il faut s’en aller, qui à la mer, qui à la forêt, qui à la montagne, et quand l’époque du voyage est fixée, la malle est vite faite.
Au risque de passer pour rabâcheuse, il faut bien dire encore une fois que le blanc domine.
La vigogne fait des costumes simples et élégants, privés du moindre ornement; on ne les garnit que de grosses piqûres et d’énormes boutons de nacre.
La serge bleue semble être la nuance préférée des bicyclistes féminines, avec galons de mohair blanc ou rouge, ou écru; le chapeau Escadre en toile ou en serge bleue.
La saison s’annonce déjà très brillante à Cabourg, et l’on y fait, paraît-il, deux et même trois toilettes par jour… le matin, ce sont des costumes tailleur en covercoat, avec biais piqué dans le bas, petite jaquette pareille, col rose ou lilas, cravate en batiste; l’après-midi, ce sont les robes de piqué blanc, avec devant froufrou en crêpe de chine, boléro écourté sur des dentelles vaporeuses superposées, ce qui est plus habillé que le simple flottant de surah; mais ce qui domine, c’est la robe de mousseline à pois brochés, enrichie de volants ourlés de dentelles; à côté de ce genre, le style Pompadour, avec dentelles écrues; quant aux nœuds de rubans, on les sème partout, au relevé de la jupe, à la berthe au cou, à la ceinture, jamais le ruban n’a été aussi en vogue.
—
Ding ding! Ding ding! The death knell has sounded, the Bois is deserted, the salons are closed. Paris may be pretty and charming, but you have to go, some to the sea, some to the forest, some to the mountains, and when the time of the trip is set, the trunk is quickly packed.
At the risk of coming across as harping, it must be said once again that white dominates.
The vicuña makes simple and elegant costumes, deprived of the slightest ornament; they are only garnished with large stitches and enormous mother-of-pearl buttons.
Blue serge seems to be the favorite shade of female cyclists, with white or red, or ecru mohair braid; the Escadre hat in canvas or blue serge.
The season is already looking very bright in Cabourg, and it seems that there are two and even three ensembles a day… in the morning, they are tailored suits in covercoat, with stitched bias at the bottom, similar little jacket, pink or lilac collar, cambric tie; in the afternoon, there are the white piqué dresses, with frilly front in crepe de chine, cropped bolero on superimposed vaporous lace, which is more dressy than the simple floating surah; but what dominates is the muslin dress with polka dots, enriched with ruffles hemmed with lace; next to this genre, the Pompadour style, with ecru lace; as for ribbon bows, we scatter them everywhere, at the top of the skirt, at the berthe at the neck, at the belt, ribbon has never been so fashionable.
#L'Art et la mode#19th century#1890s#1894#on this day#July 14#periodical#fashion#fashion plate#panorama#description#bibliothèque nationale de france#dress#swim#beach#gigot#collar
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100 Days of Productivity [Day: 76] || 100 Jours de Productivité [Jour: 76]
a fool's day. now flip the card
the week before you travel always seems like the most chaotic thing outside of major holidays. at least to me. this weekend I'll be flying out to meet a host of new beginnings - starting with a marriage under the total eclipse. with the bulk of my studies completed, I've got a different set of tasks to manage.
new novel started
general housekeeping done
paperwork filled out
suitcase strewn across the bedroom floor
freelance work done
new project started
final notes reviewed
currently listening // SLOW DANCING IN THE DARK by Joji
un jour de folie. maintenant, retournez la carte
la semaine qui précède un voyage semble toujours être la plus chaotique en dehors des grandes vacances. du moins pour moi. ce week-end, je m'envole à la rencontre d'une foule de nouveaux départs - à commencer par un mariage sous l'éclipse totale. l'essentiel de mes études étant achevé, j'ai un ensemble de tâches différentes à gérer.
nouveau roman commencé
ménage général effectué
paperasse remplie
valise éparpillée sur le sol de la chambre
travail en freelance terminé
démarrage d'un nouveau projet
révision des dernières notes
chanson // SLOW DANCING IN THE DARK par Joji
#100 days of productivity#day 76#100dop#100 jours de productivité#jour 76#100jdp#studyblr#study motivation#studyspo#study aesthetic#study blog#bookish#gradblr
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lost soul au 2(french)
C’était un jour agité sur la montagne de fleurs et de fruits. Pour une raison quelconque, tous les singes étaient très bruyants aujourd’hui ; et c’est sans doute cela qui a forcé le roi à quitter sa réflexion pour regarder la porte depuis le confort du lit de la chambre de Macaque.
-Je pense que ce n’aurais pas été ton jour. Les singes sont bruyants aujourd’hui.
Wukong n’a pas osé se mettre sous les couvertures. Il n’avait pas envie de mettre du désordre dans la chambre de son ancien ami. Alors il s’était simplement allongé là, sachant parfaitement qu’il ne trouverait pas le sommeil. L’endroit était resté tel qu’il l’avait trouvé à son arrivée sur la montagne. Des feuilles de papiers étaient même restés sur le sol et prenaient la poussière. Quelques dessins à l’effigie de Wukong pouvaient être aperçus sur dans un des tiroirs à moitié fermé du bureau de Macaque. Certaines poudres reposaient gentiment sur la commode du singe de l’ombre, le placard où il cachait ses déguisements était fermé ; et l’un de ses coffres débordait toujours de rouleaux, tissus, et trésors en tout genre. La chambre était bien trop rangée malgré les quelques affaires qui dépassaient du rangement implacable de Macaque. Wukong s’aimait à penser que ce petit grain de désordre était une habitude que le macaque à six oreilles avait pris de lui avec le temps. La seule chose que Wukong avait touché était les senteurs que Macaque utilisait pour parfumer sa chambre. Une odeur de vieux papier et de fruits sucrée dans lequel Wukong se plongeait les quelques fois où il venait ici.
Wukong ne put pas rester bien longtemps à penser, car les cris de ses sujets lui cassaient les oreilles. C’était devenu insupportable. Qu’est ce qui pouvait bien les mettre dans un état pareil ? Wukong essaya au mieux de comprendre ce qui était dit ; mais ce qu’il se disait était dit et mélangé tant que Wukong ne put mettre le doigt sur aucun mot propre.
-Il semblerait que je doive te quitter bourgeon. Mon royaume m’appelle.
Aussitôt dit, Wukong sauta du lit et sortit de la chambre. Immédiatement, dans le couloir, une foule de singe se tournèrent vers leur roi au moment où il ferma la porte derrière lui. Il se passa une seconde où tout le monde sembla s’assurer que c’était bel et bien leur roi qui sortait de la chambre du décédé qui était presque considéré comme le second roi de la montagne. Puis, la foule de singe lui sauta dessus. Petit comme grands, démons singes comme singes normaux. Tous ce qui se trouvait dans le couloir l’écrasèrent de soulagement, enfouissant leur roi sous une montagne de singe.
-Hey les gars. Vous allez me tuer là. Se moque le roi.
Personne ne trouva ça drôle. Wukong fit de son mieux pour se dégager avant de demander plus d’explications. Pourquoi diable y avait-il autant d’agitation dehors et à l’intérieur ? La réponse lui fut donné par un singe étranger que Macaque avait ramené à la montagne. Wukong se souvient de lui car Macaque l’avait présenté lui-même, lorsque Wukong était rentré après avoir été chassé par le moine.
« Il te ressemble un peu » avait rit Macaque à l’époque. « Il est très bruyant. »
Wukong se souvient qu’il n’a pas aimé l’attention que portait Macaque à ce nouveau venu, et les deux amis s’étaient disputés pour une raison dont Wukong ne se souvient même plus après.
-Mon roi, vous avez disparu depuis trois jours et trois nuits, et vous n’aviez averti personne d’un quelconque départ. Tout le monde s’inquiétait de votre absence. Nous avons pensé le pire.
Wukong écarquilla les yeux. Les cernes sous ses yeux semblaient tirer sur sa peau. Et ses orbites étaient un peu trop sèches. Le roi ferma les yeux et se les frotta pour les humidifier un peu, sous le regard inquiet de ses sujets en première ligne devant lui.
-Je vais bien. Annonce le roi en clignant plusieurs fois des yeux sous l’inconfort d’avoir les yeux secs.
Il ne s’était pas rendu compte qu’ils l’étaient jusqu’à ce qu’il écarquille les yeux. Combien de temps ne les avait-il pas fermés ? Combien de temps était-il resté à perdre son regard dans le plafond de la chambre de son ami ?
-Je vais bien. Répète le roi en continuant de cligner des yeux. Mais, trois jours ? Vraiment ?
Les singes hochèrent la tête. Dehors, le vacarme s’était arrêté. Quelqu’un a dû les prévenir que leur roi était retrouvé. Wukong cligna encore plusieurs fois des yeux. Des larmes coulèrent avant de finalement laisser une vue floutée par les larmes à Wukong.
-Woah…euh… Un dernier clignement pour chasser l’eau de ses yeux, et sa vue fut de nouveau claire. Désolé de vous avoir inquiété les gars. J’ai juste fait une super grosse sieste.
C’était un mensonge. Cela faisait des lustres que Wukong n’arrivait pas à dormir, à moins que l’un des petits singe ne vienne se reposer sur lui. Un frisson familier parcourut Wukong. Il l’ignora et se pressa de rassurer son peuple. Il attrapa quelques petits dans une main, pris la main de quelques petits démons singes de l’autre, et laissa le reste de ses sujets, le suivre hors du temple.
À l’extérieur, le reste de son peuple s’était réuni autour du temple. Ils formaient un mur immense de singe qui entourait l’entrée du temple. Wukong se rendit compte alors, à quel point son peuple était inquiet. Il n’y avait pas eu de telles assemblées depuis longtemps. Il soupira et murmura dans sa barbe.
-J’ai vraiment le dont d’inquiéter tout le monde, hein bourgeon ?
Il était évident que Macaque ne lui répondrait pas. Mais il aimait penser que le singe de l’ombre aurait pu l’entendre peu importe où il se trouvait. Comme cela a toujours été le cas lorsque Macaque était de ce monde.
- Ah…on dirait que j’ai fait peur à tout le monde hein ?
Comme un seul singe, le mur de primate hocha la tête plusieurs fois. Puis, un murmure fort commença à parcourir la foule. Wukong suivit le son inquiet de là où il a commencé, et le suivit se propager dans la foule en vague. Chacun voulait donner son avis. Wukong ne dit rien. Il laissa un temps s’écouler avant de demander le silence, et demander à une personne de se charger de représenter la troupe. Un chuchotement bref se fit entendre avant que la troupe ne donne un nom.
« Shi Luo »
Le même singe que Wukong avait vu plus tôt ; celui que Macaque avait ramené sur la montagne, s’écarta du lot. Maintenant que Wukong le voyait, il pouvait remarquer à quel point le singe était jeune. Il allait certainement atteindre sa maturité dans quelques années, mais il était encore assez jeune. Sans doute un peu plus jeune que lui et Macaque l’étaient la première fois qu’ils s’étaient croisés. Il avait une fourrure aussi claire que les nuages, qui virait au noir au niveau de la queue. Sa peau était un peu plus grise que celle de Macaque, et un masque bleu recouvrait ses yeux. Le jeunot se rapprocha au plus proche de Wukong avant de s’incliner de la même façon que le faisait Macaque lorsque ce dernier se mettait à agir comme son vassal devant des étrangers de la montagne. Le geste pinça le cœur de Wukong. Il serra sa prise sur ses vêtements.
-Qui es-tu ? Demande Wukong.
Le singe au marquage bleu leva les yeux vers Wukong, et les cligna plusieurs fois avant de s’empresser de répondre le plus poliment possible.
-La vieille Lune m’a donné le nom de Shi Luo. Je suis le premier protégé de la veille Lune, votre altesse. Je serais celui qui vous offrira la voix de votre peuple aujourd’hui.
Wukong ne savait pas que Macaque avait des protégés. Il savait que lui et le singe de l’ombre trouvaient souvent des singes en difficulté, et les ramenaient à la montagne. C’était un quelque chose que Wukong était sûr que Macaque avait continué à faire après son départ ; mais les appeler protégés était excessif. Cela donnait un mauvais goût dans la bouche de Wukong. La voix de Macaque le gronda dans sa tête. Comme si Macaque avait deviné que les prochaines actions de Wukong allaient être stupides. Wukong décida de ne rien faire. Il hocha lentement la tête, il interrogerait de Shi Luo plus tard.
-Parle.
Ordonne-t-il enfin. Shi Luo ne se fit pas prier.
-Nous sommes inquiets pour vous votre altesse. Des sifflements positifs s’élevèrent de la foule, encourageant le singe les représentants, à parler. Vous êtes restés des années à pleurer une personne qui n’existe plus. La montagne à besoin de leur roi. Nous pleurons avec vous la perte de la vieille Lune, mais vous ne pouvez pas vous laisser dépérir ainsi. Encore une fois, nous avons besoin de vous. La montagne n’a pas connu de véritables beaux jours depuis que vous avez cessé de sourire. Certains des fruits que la vieille Lune adorait ne donnent plus de fruits, comme si vous l’aviez commandé. Les humains et les démons s’aventurent un peu plus près de la montagne à chaque jour qui passent, et nous craignons que, si le chagrin ne vous tue pas, ce sera la prochaine attaque à l’encontre de la montagne qui prendra vos immortalités.
Wukong émit un rire moqueur à la dernière phrase du jeune singe. S’il pouvait mourir de si peu, il serait déjà parti depuis longtemps. Son immortalité le condamnait ainsi, à vivre sans Macaque.
-Ne vous en faites pas. Je ne mourrais pas de si peu. Et je m’occuperais de vous.
Shi Luo leva les yeux vers la foule qui s’était remise à murmurer en désordre. Wukong réussit à retenir quelques mots. Mais visiblement, Shi Luo réussit mieux que lui à assimiler ce qui intriguait tout le monde dans la troupe. Il arrivait certainement à démêler les inquiétudes de tout le monde par ce qu’il avait les mêmes préoccupations. C’est comme cela qu’il démêlait si bien le charabia de mot si fermement gribouillé.
-Nous vous croyons mon roi. Mais nous tenons à vous. Nous aimerions que vous puissiez vivre à nouveau malgré le départ de la vieille Lune.
Le jeune homme sembla vouloir dire quelque chose. Il hésita une seconde, jeta un regard à la troupe, demandant s’il pouvait parler du sujet délicat que tous, semblaient avoir pensé, avant d’ouvrir à nouveau la parole.
-Nous pensons que vous devriez peut-être chercher un nouveau compagnon.
La fourrure de Wukong se hérissa de colère. Il ignora même le fait que le plus jeune impliquait que son amitié avec Macaque était plus que cela. Ses griffes s’enfonçaient dans ses paumes pour essayer de ne pas tuer le jeunot tout de suite. Les petits qui étaient sur lui, descendirent en sentant la tension monter. La gorge de Wukong se serra, il fit de son mieux pour retenir la boule de rage au fond de son œsophage. Ignorant le danger, Shi Luo continua.
-La vieille Lune est, et restera irremplaçable. Mais… nous pensons que peut-être, si vous trouviez quelqu’un pour combler le vide qu’elle… qu’il a laissé ; vous seriez capable de passer à autre chose. Il n’est pas bon de s’attarder sur le même problème indéfiniment. Nul ne peut vaincre la mort, une fois qu’il l’a traversé.
-J’ai vaincu la mort. Grinça Wukong. Je suis allé aux enfers et ai retiré mon nom de la mort elle-même. Rien ne m’est impossible. Je suis Le grand roi singe égal au ciel. Et je le dis aujourd’hui et maintenant. Rien ni personne ne remplacera Macaque.
-Ce n’est pas ce que je voulais dire… Nous pensons…
-Alors ne pensez plus.
Wukong se tourna directement vers sa troupe, les crocs à découvert.
-Alors c’est ça ? Vous voulez que je trouve un remplaçant à Macaque ?
Un brouhaha se fit entendre. Shi Luo repris la parole pour pouvoir retranscrire ce que la foule pensait et que Wukong avait déjà compris.
- Nous ne voulons pas de remplaçants à la vieille Lune. Nous souhaitons seulement votre bonheur, grand-père Sun. Shi Luo hésita avant de dire ce qu’il pensait personnellement. La vieille Lune était une personne logique. Elle serait d’accord avec cette décision.
-Assez !
Le cri de Wukong se répercuta dans toute la montagne. Chacun se tût.
-Je ne veux plus jamais vous entendre, ne serait-ce qu’évoquer cette idée stupide. C’est un ordre. Si jamais l’un d’entre vous le fait, je l’écorcherais vif, moi-même.
Suite à ses mots, Wukong s’enfonça dans la forêt. Les singes ne le retinrent pas. Ils attendirent que leur roi parte avant de chuchoter.
-Notre roi a perdu la raison.
Entendait-on.
-La perte de grand-mère Lune l’a brisé.
Se chuchotait entre les parois.
-Notre roi ne pourra plus être le même.
Les murmures résonnèrent encore et encore, reflétant la panique du peuple. Tout le monde aimait Macaque. Mais même eux savaient que la mort était définitive, et qu’ils ne pouvaient rien faire à ce sujet si ce n’est aller de l’avant. Il n’était pas question d’oublier le passé. Mais on ne devait non plus être ralenti par ce dernier. Ceux qui avaient survécu à l’incendie de la montagne de fleur et de fruits comprenaient certainement le mieux le roi singe. Mais même eux savaient que le roi devait agir comme tel. Macaque ne reviendrait pas. Tout comme les morts de ce jour-là. Cela faisait des mois, des années, quelques siècles, que le roi pleurait Macaque. Il ne pourrait pas le faire pour l’éternité. Il devait se ressaisir. Mais Wukong restait le même enfant têtu qui avait sauté dans la cascade. Et il ne voulait pas voir la réalité en face.
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