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Le Dad Bod : Est-ce vraiment séduisant ?
NOUVEAU 👉 Le Dad Bod : Est-ce vraiment séduisant ?
Avoir un peu de ventre serait encore plus séduisant que de ne pas en avoir. Vous rigolez ? Mais c’est vrai, aujourd’hui si vous tapez Dad Bod sur google, vous verrez des dizaines d’articles qui vous expliqueront qu’avoir du ventre est aussi mignon qu’un petit chaton qui ronronne. La réalité, c’est que lorsque les magazines people élisent “L’homme le plus sexy de l’année” ils n’ont pas de “Corps…
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Avant le pèlerinage (Première partie)
Réconcilier foi et identité
Sommaire :
• Publicité contre réalité • Foi, identité, Église • Séparation • Réformer notre mode de vie • Les padres de la palabre • Vive le prolétariat chrétien
La croissance du nombre d’inscrits au pèlerinage de Chartres s’explique par les concessions libérales que l’association Notre-Dame de Chrétienté fait au modernisme, et se paiera par une dégradation liturgique puis par une baisse du nombre des naissances. Les standards de la culture traditionnelle baissent, transformant l’ascèse d’un peuple en lutte pour sa vie en kermesse de la CGT pour Versaillais qui écoutent du rap. « Sept mille inscrits de plus au pèlerinage cette année ! C’est le grand retour de la chrétienté ! » exultent ensemble les lecteurs de statistiques sur écran et les déplaceurs de pions sur carte d’état-major. Non pas. C’est la prise de pouvoir du modernisme sur une micro-chrétienté déjà mal en point, très attaquée de l’extérieur par le monde, très affadie de l’intérieur par les clercs. Croissance donc expansion ? Dilution donc affadissement. Un pèlerinage traditionnel ? Les JMJ.
Il suffit d’examiner assez longtemps ce que l’on voit dans le présent pour en tirer des enseignements sur l’avenir. Le monde peut se lire. L’apparence, la forme, la surface, sont les expressions de vérités profondes. Par exemple, la crétinisation de l’école se mesure plus sûrement à l’effondrement de l’apparence vestimentaire et physique des professeurs que dans les statistiques de résultats scolaires à la fin de l’année. Si l’on croit que le terme professeur est adéquat pour qualifier une dame extravertie en surpoids habillée en jean et en n’importe quoi, c’est que tout est fichu et que les mots n’ont plus de rapport avec les actes.
En matière de pèlerinage de Chartres, la forme, avec le temps, depuis le temps (41 ans !) devrait se diriger chaque année vers davantage de tenue, de tradition, vers davantage de savoir-faire, vers davantage d’affermissement sur ses bases… mais elle va vers moins de tradition, moins d’énergie, moins de noblesse. Inutile de farfouiller les points de doctrine. Il suffit de rapporter exactement ce que l’on voit. Que voit-on ?
Nous attendons cela. Mais nous recevons ça.
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Le pèlerinage de Chartres est une procession solennelle de la chrétienté héritée du haut Moyen Âge. Il est devenu depuis quelques années, à force de conduite pépère le « pèlé de Pentecôte », c’est-à-dire un concerto de souffleurs de cornemuse pour vacancières chez mémé en combishort Coachella qui marchent devant des veaux de 18 ans grandis sous cloche et sous mère intrusive, qui eux marchent derrière. Trois journées mondaines « sympas » pour lycéens qui s’ennuient, pour les Versaillais qui disent « wesh », pour les instagrameuses en quête d’une « expérience ».
La tradition va régresser dans sa forme vestimentaire, langagière, en somme dans sa culture, au niveau d’un club de caté charismatique des années 1990. Il lui restera la liturgie mais elle n’ira plus à l’église.
Assez d’analyse dépassionnée « avec du recul », et de cette intelligence de resquilleur « plus intelligent que cela » au vocabulaire de statisticien de l’OCDE. En matière de religion, les standards de la vie religieuse pratique sont le seul sens du sacré, la seule véritable Culture, mesurable, vérifiable : le parler, le vêtement, la posture, le manger, la syntaxe, le débit, la non-mixité, la beauté de la musique, l’usage, la hiérarchie, sont tous les affleurements d’une forme aux soubassements plus profonds, invisibles et sacrés, comme la cathédrale de Chartres bâtie sur des kilomètres de galeries souterraines en partie inconnues. Abaissez vos standards culturels, vous profanez votre religion. La Culture est la preuve de la conscience de soi, et celui qui renonce à sa culture fuit dans l’abstrait comme un déserteur et perd sans le savoir mémoire, tradition, bientôt religion, ses défenses spirituelles qui sont les seules frontières qui le protègent de l’égalité avec les barbares dans un monde sans frontières.
« Chacun fait ce qu’il veut » signifie chacun pour soi, signifie tous contre tous. Que chacun fasse ce qu’il veut est un slogan de gauche produit par l’oligarchie de l’extrême droite financière anti-Blancs, une paraphrase habile des deux vraies devises jamais proclamées, elles : « Diviser pour régner » et « L’ordre par le chaos ».
Qu’est ce qui a perdu les Arabes ? Le sucre (lire l’explorateur Thesiger). Qu’est-ce qui a perdu les Blancs ? Le fun. C’est à dire l’anti-sobriété, le pas-sérieux, la mondanité, le cabotinage, l’alcool, la satiété, la médiocrité des standards de vie, la radinerie, la mesquinerie, la gynolâtrie, l’impiété, la déloyauté et la délation, le friendzoning.
Ce pèlerinage, qui devait être le cœur inviolable d’une micro-chrétienté fertile en naissances s’étendant par cliquet sur le monde athée sans enfant est devenu le réceptacle très ouvert et détendu de tous les dégazages de fonds de cuve du monde. Nous voici en plein dans la mécanique mise à jour par Abel Bonnard dans Les Modérés.
Foi, identité, Église
Foi et identité sont le père et la mère des enfants français enlevés à leur famille par la Gueuse et remis aux Thénardier. Le couple Thénardier, au sens littéral menteur et arracheur de dents, fut inventé par Victor Hugo dans Les Misérables, peut-être comme le symbole d’autre chose, d’autres gens, comme souvent dans les romans à clé.
La foi sans l’identité donne le catho de gauche et tout ce que Chesterton nommait idées chrétiennes devenues folles. L’identité sans la foi donne l’extrême droite bourgeoise et sa compétence si connue qu’elle n’est plus à démontrer. La foi, c’est la fidélité religieuse, et l’identité, c’est la loyauté nationale, c’est père et mère, c’est ciel et terre. Tous les ennuis de la France dès le XVIIIe siècle ont augmenté à mesure de l’avancée de l’irréligion et tous les ennuis de la religion chrétienne dès les années 1960 sont advenus à la faveur de l’avènement d’une bourgeoisie libérale-libertaire antinationale.
L’Église est une Hiératique, c’est-à-dire un ordre vertical légiféré de manière transcendante pour ordonner une société respirable, avec des places pour chacun, des rôles, des grades, des habitudes forgées par l’expérience, c’est-à-dire des usages qui remplissent nos vies dans ses aspects cardinaux. Naissance, mariage, mort, et jusqu’aux plus reculés recoins, jusque dans le manger, le vêtir, le parler. Pour quoi faire ? Pour que chacun connaisse exactement sa place et celle de l’autre sans recourir à des petits chefs pour la lui rappeler. L’ordre garantit la paix sociale et « la paix, c’est la tranquillité de l’ordre », dit Aristote. Qui méprise cette antique maxime condamne lui-même son entourage au bordel, au dérisoire, au fun, à la graisse, et à toutes les ponctions cocufiantes illustrées en « Nicolas, 30 ans ».
L’Église est une armée spirituelle qui ose dire aux soldats des deux sexes ce qu’ils doivent manger, comment ils doivent s’habiller, comment ils doivent prier, comment ils doivent vivre. C’est écrit dans l’Évangile et les textes du Magistère. On connait à l’opposé les fruits pourris de l’arbre de la liberté lorsque celle-ci est comprise au sens du libéralisme politique. On comprend par ricochet la sagesse d’une discipline qui forme l’homme au combat de la vie. Cette armée n’enrôle personne de force, elle accueille seulement les volontaires civils qui se présentent à sa porte décumane. Puisque l’Église ne nous poursuit pas de ses oukases, puisque nous sommes entrés de plein gré et qu’elle est patiente et compréhensive pour nous, puisque nous mesurons par comparaison avec nos voisins embringués sous d’autres bannières à quelles rétorsions la religion chrétienne nous a donné d’échapper, alors rendons le bien pour le bien.
Séparation
La maladie dont nous crevons, c’est la stérilité et le métissage, connues sous les termes faibles de dénatalité et d’immigration. Le point nodal de tous les remèdes, c’est la génération endogame séparée du monde, c’est-à-dire la sainteté, étymologiquement la « séparation », considérée comme moyen de survie dans ce monde et de vie dans l’autre. Cela signifie des sociétés fermées au plan organique, compétentes au plan professionnel, ascétiques au plan du mode de vie. C’est ainsi que vivaient les terroirs français. C’est ainsi que vivaient encore les Ligueurs, les Quakers, les Mormons, les Amish, les Pères pèlerins, les Boers, les Irlandais envahis, les Italo-Américains, et tant d’autres formes éprouvées de furtivité sociale en territoire hostile. Ces gens avaient compris que l’on protège son peuple non par des sermons mais par une ingénierie sociale, c’est-à-dire par une technique de la vie pratique, un parti pris d’existence grégaire, par une forme de vie quotidienne gardée par des standards pointilleux et par un esprit de cette forme qui sécurise la conservation de la substance raciale dans le temps pour assurer sa continuité cohésive transgénérationnelle (Laurent Ozon). Ainsi vivent aujourd’hui un millier de Blancs à Orania en Afrique du Sud, rescapés des tortures et des massacres organisés par les pires barbares néolithiques imaginables, auprès desquels nos racailles font figure de plaisantins.
Dans l’enquête qui nous concerne, cette ingénierie, cette technique, cette école, cette ascèse, c’est la religion catholique bien comprise, relue à la lumière du temps d’invasion-propagande-prédation actuel, temps de persécution. « Il y a beaucoup de maisons dans la maison de mon père. » Il y a assez de place dans l’Église pour une maison française, européenne, strictement organique (donc sans moi, qui m’arrête à son seuil mais qui l’aime et veille sur elle). Ces principes sont décrits par des auteurs comme Julien Langella, comme tous ceux qui entendent concilier foi et identité, et qui s’appuient sur l’exégèse biblique et l’apologétique, disciplines que peu de chrétiens étudient.
La religion est le seul moyen de peuplement bio qu’ont les Blancs hors du néofascisme, mais la stérilité et le métissage ne sont même pas des punitions, ils sont de stricts résultats, comme dans une équation, de l’irréligion. En cas de doute, on pourra relire avec profit les prédictions curieuses du chapitre 28 du Deutéronome, le testament de Louis XVI, ou encore employer pour une fois la statistique à bon escient comme l’a fait Patrick Buisson durant les 10 dernières années de sa vie, constatant que partout et toujours la baisse des naissances chez les Français était précédée d’apostasies générales, alors que sa prodigalité ne s’est observée que dans les temps et les régions d’enthousiasme et d’assiduité populaire pour la pratique religieuse familiale.
Dans un monde binaire qui propose « soit la pute, soit la voilée », la troisième voie se mérite par une ascèse, c’est-à-dire par un combat spirituel exercé sur les aspects pratiques de notre vie. Veste longue et chaussures cirées miroir pour les hommes, voile et jupe sous le genou pour les dames, voilà un début de test minimal du « respect de la messe », le sens pratique du sacré, le prélude à la vraie dévotion intérieure. Un moine tout à sa Nepsis, tout à sa paix d’hèsychaste, l’imagine-t-on en pantalon ? Ou maillot à capuche ? Ou oisif ? Ou obèse ? La religion est un hiératisme complet qui ordonne les aspects matériels de notre être social pour nous revitaliser. Le vêtement. Le travail. Le jeûne. Le rangement. L’entraide matérielle. Les bases de la chrétienté se trouvent dans cette humilité-là, et pas du tout dans les cathédrales, qui en sont les fleurs.
Il n’y a pas de « catholicisme traditionnel » possible en sweat à capuche ni combishort, nulle part, jamais. La médiocrité qui nous agace dans le monde devient carrément révoltante dans le territoire moral séparé du monde qu’est l’Église. Car si les tratras abaissent leurs standards, qu’en sera-t-il des modernos ? Et des protestants ? Et des athées ? Et des LGBT ? Voilà comment advient le règne du singe-robot de science-fiction, par la « transition », par la démission en douce, par la décontraction graduelle à chaque génération des hommes qui laissent entrer en eux la honte que le monde veut leur inspirer de leur propre éducation. Loi de Volkoff : « Le vêtement négligé d’une génération devient le vêtement chic de la génération suivante, avant d’être déchu à son tour comme prétentieux et ringard. » L’abaissement des standards culturels (vêtement, nourriture, langage, fréquentations, esthétique), ce recul par escarmouches, est le prélude aux capitulations sans condition en rase campagne. À la fin, on signe la charte parité, la charte climat, la charte LGBT, et pour garder la face on obéit même jusqu’au bout à sa scélératesse personnelle en se retournant contre ses derniers frères qui ont tenu bon. « Eux sont trop extrêmes, mais moi j’ai su rester raisonnable, voyez mon sens de la mesure. »
Réformer notre mode de vie
Le pèlerinage sert à convertir notre mode de vie, à nous délivrer, à nous décharger des fardeaux de culpabilité indue que le monde fait porter notamment aux jeunes Blancs, à embrasser un nouveau mode de vie, à jeter loin de soi sans un regard tous les surplus, surpoids, faux systèmes tenus pour vrais où la société entend nous embringuer tantôt par la récompense, tantôt par l’intimidation. On ne discute pas avec cette putain.
Le pèlerinage, c’est la vraie pratique religieuse, plus que la retraite, plus que la messe, c’est le vrai test religieux auquel on ne peut mentir, d’ailleurs notre vie sur cette terre est un pèlerinage. D’abord, les gloutons, les poltrons, ne tiennent pas 10 kilomètres sur les 100 du parcours ; le pèlerinage fait d’entrée le tri des vicieux selon leurs vices. Un chrétien, une chrétienne, doivent aimer jeûner et savoir tirer leur force physique de ces privations mêmes, la prière aidant. Avant notre ère, le poète romain Horace comparait sa nation comme à un chêne vert durement émondé à la hache « qui, mutilé, haché, tire force et courage des coups mêmes du fer » (Odes, IV, 4, 57-60). Exit les bouches inutiles, les dondons, les « dames très gentilles ». Les vieux minces, eux, marchent très bien et sans une plainte. Dans le pèlerinage, les âges et les classes sont mêlés, on y côtoie avec un certain soulagement des hommes de 50 ans non alcooliques qui ressemblent encore à quelque chose, qui donnent aux jeunes la preuve qu’une vie est possible après 30 ans, et que la vraie virilité se mesure sur le long terme.
À ces jeunes, je parlerais ainsi. Méfiez-vous des chefs catholiques, des « lanceurs », des officiers, des dames patronnesses et des sermons abstraits. Vous ne trouverez pas plus féministe, pas plus africain que ces bourgeois libéraux attiédis déguisés en gardiens de la tradition. Entraînés par la propagande maçonnique, ces discoureurs ont trouvé « exagérée » la pudeur islamique féminine alors que c’est le seul domaine où la Mosquée est plus conséquente que l’Église, justement exactement le seul. La doctrine non sue de tous ces anti-libéraux est le chacun-fait-skiveu.
La gentille égalité homme-femme européenne évoluée, la galanterie gauloise, l’amour courtois, toutes ces joues tendues à des chiens qui nous ont fait tant de mal... n’ont plus cours en période d’invasion migratoire aiguillée par la thune blanche « redistribuée » et de la fesse blanche pornographique, deux fameuses pompes aspirantes. En période d’invasion la « charia blanche » est le plus petit acte de légitime défense qu’un peuple colonisé ait le droit d’opposer au pouvoir prédateur, et le premier article de ce code de loi est la modestie du vêtement, voire l’uniforme obligatoire. S’entendre dire comment s’habiller irrite énormément notre mentalité profondément libérale, surtout en France pays du quant-à-soi, pays de légèreté, d’inconséquence. La sobriété et même l’austérité sont des jougs faciles. Les refuser nous a accablés des fardeaux écrasants de la radinerie et de la mesquinerie, ces deux grands vices nationaux que nous porterons aussi longtemps que nous ne voudrons être ni sobre ni austère.
Mais puisque les enfants de l’électorat Villiers, les jeunes redeudeux, aiment le rap tant que cela, peut-être voudront-ils méditer cet extrait du refrain de Pour ceux (2003), qui s’inquiète « pour nos sœurs qui seront les mères de demain ». Cent fois plus de pertinence, de compréhension des enjeux, de sens de l’être collectif gisent dans les hurlements de ces aborigènes que dans n’importe quelle conférence de théologien de pastorale catéchétique (notion de « sagesse des primitifs » qui « rase de plus près la lisière de l’idéal » dit Baudelaire). « Pour nos sœurs qui seront les mères de demain » est le véritable fourteen words, complet en neuf mots cette fois. Il exprime la juste jalousie qui devrait animer le Français envahi envers ses alter-égales, il traduit le vrai sens de l’être collectif, le sens de la génération, le sens de l’honneur, le sens de la famille, le sens de la clôture et de la séparation d’avec d’éventuels actes de prédation, il recèle peut-être un avertissement aux « consentantes » qui entendent se vendre aux prédateurs, et enfin une menace adressée aux violeurs.
Il faut transposer Pour ceux pour nous. La modestie chrétienne du vêtement est la marque distinctive de la vraie foi dans un monde idolâtre du cul, elle est le signe vérifiable d’une « mise hors monde » de la chrétienne, sa configuration à Marie vérifiée par les actes, son avertissement aux démarcheurs, le cassage par avance de dents aux vils prédateurs, pour se prémunir elle-même et pour propager l’influence du vêtement modeste sur les autres jeunes filles dans un monde binaire qui les somme de montrer ou leur voile ou leurs fesses.
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Nouveaux pèlerins, vous cherchez vraiment la vie chrétienne ? Vous ne pouvez plus vous habiller comme des primitifs, vous ne pouvez plus parler comme des primitifs, vous ne pouvez pas descendre vers des primitifs même temporairement par confort, pas d’un seul millimètre, sans quoi c’est la descente entièrement au primitif ontologique pour n’en plus jamais remonter. En temps d’effondrement vous ne pouvez pas « faire la fête ». On ne fait pas la fête quand on est assiégé. Vous ne pouvez pas paraître ivres en public comme les Hilotes devant les Spartiates, ni consommer du loisir, prendre du poids, descendre le courant avec les branches mortes. Les époques de vaches maigres sont des temps virils de réforme, de débarras, de concentration. Après le Carême viennent les délices du banquet de Pâques ; encore faut-il les mériter par les purgations du jeûne sans quoi on ne fait plus que bouffer pour se récompenser d’avoir bouffé, toute l’année, toute la vie. Le salaire des gaudrioles, c’est la honte, le déclassement, la mort, l’oubli.
Le suicide des adolescents harcelés à l’école, la persécution à travers le pays des jeunes Blancs sur les terrains de football urbain qui a fini par décourager tant de carrières prometteuses et défigurer l’équipe de « France » (le contre-exemple Griezmann formé en Espagne dit tout par ricochet), tant d’autres déshonneurs ordinaires, sont des plaies qui cicatrisent très vite à condition d’une hausse drastique des standards culturels.
Intégrisme absolu en matière de culture, c’est savoir qui nous sommes et ce que nous faisons. Vive le courage d’engueuler un plus lâche que soi, d’engueuler tous ces permissifs chefs de palabre, ces montreuses de cul, ces tratras-hurleuses-n’importe-quoi-en-jean qui font baisser le niveau, prélats grotesques, infectieuses Karen « dame pachyderme ». Aucune pitié pour se mettre tous contre eux s’ils refusent de se réformer : plus ils seront évincés vite des églises et plus la jeunesse chrétienne sera saine, sainte, nombreuse, heureuse, immaculée, immaculable.
Les padres de la palabre
Les brebis perdues, ce sont en France les jeunes Blancs actuels qui n’ont guère comme horizon que la déglingue, le rap, la drogue et l’alcool, le porno, le jeu vidéo, le paiement de rançon au colonisateur (impôts, taxe carbone, pécho du shit), le chômage, la philosophie de l’absurde, la Magalax, le « French Dream »… Évidemment qu’ils commencent à se demander pourquoi ils sont venus au monde, ces braves gamins ! Messieurs les clercs, arrêtez de leur casser les couilles. Expédiez votre messe en trois-quarts d’heure tôt le matin puis consacrez votre temps à l’avenir des jeunes Français. Ou fermez vos gueules. Votre mission est de ramener ces brebis perdues qui peuvent encore porter du fruit, elles ont priorité sur les autres et préséance absolue sur vos chronophages bigotes et autres quémandeurs tartuffes plaintifs. Ce sont les mariages futurs de vos jeunes et eux seuls qui devraient accaparer toute votre énergie dans une crise où cent mille heures d’explication ramènent toujours au point de départ : dénatalité, dénatalité, dénatalité.
Vous vous perdez en « dîme de la menthe » dans de menus détails logistiques qui ne rapportent rien au renouvellement de l’être collectif. La seule chose profitable qui régénère, la seule chose que vous avez à faire, le seul lieu qui doit concentrer vos tirs de barrage, le seul point où doit s’exercer votre zèle, c’est de marier le Français jeune et pauvre avec la Française jeune et pauvre, là, c’est tout, vous comprenez ? C’est cela une révolution christique vécue, vérifiable, la vraie négation de l’esprit du monde par les actes. Les actes, messieurs les apôtres jacasseurs. Le reste est absolument accessoire. Par surgeons de micro-chrétienté, faire grandir une survivance du déluge des années 60 qui s’étende en rameaux de familles nombreuses, très nombreuses, en réseaux d’entraide, en progression par cliquets sur le monde stérilisé de l’athéisme stupide. Et combien d’entre vous se font encore plus stupides que certains athées fielleux ! Perdant leurs journées comme Maurras jadis avec ses grosses douairières (Les Décombres), ces clercs se repassent des histoires d’anciennes prélatures entre mandarins érudits démusclés, ils se roulent dans la basse énergie, dans les médias « par le truchement de », leurs organigrammes vérolés d’impotentes en surpoids « fées du logis » qui commandent à des adolescents castrés, voilà leurs œuvres prises sur le fait et ils croient faire des hommes de ces enfants qui leur sont confiés ? Mais s’ils ne comprennent pas la juste hiérarchie de la tradition qu’ils prêchent et l’énormité très « libérale » de leurs gaffes, alors pourquoi veulent-ils commander un peuple qui se meurt d’anarchie libérale ?
Un désastreux sens de l’esthétique donne d’avance toutes les réponses. Foyers hideux, carrelages lugubres, locaux noirâtres, vêtements mal coupés, nourriture constipante, méconnaissance des plus élémentaire notions d’ergonomie... sont des crimes quand on est responsable public et ces fautes crient vers le Ciel contre leurs auteurs, elles repoussent les possibles conversions soudain refroidies de ce que ces apôtres représentent à leur insu : des épouvantails. Pour tous ces rabâcheurs d’abstraction les choses concrètes sont vulgaires, l’esthétique est secondaire, mais le baratin casuistique passe en premier lieu. Tout faux ! C’est le concret seul, l’incarrrrrnation qui préside à nos vies. L’habit fait le moine, d’ailleurs les porteurs de bure le savent bien. On finit toujours par penser comme on vit.
Enfin un idéal féminin désastreux ne l’oublions pas. D’où ces gâchis, ces potentiels sous cloche à fromage, ces jeunes filles tournées vieilles filles, et leurs sempiternelles attitudes apeurées de poules contrariées. D’où cette méconnaissance entretenue d’une féminité réconciliée, une féminité troisième voie ni vulgaire ni coincée, école de sous-expression modeste et intelligente, de fraîche et fonctionnelle toilette, savoir-faire qui culmine chez la catholique américaine, les États-Unis formant d’ailleurs au pèlerinage de Chartres le seul chapitre à peu près regardable avec ceux des scouts et des Français de plus de 50 ans. Les catholiques américains sont exemplaires en matière d’organisation, de vêtement, de chant, de mode de vie. Est-ce parce qu’ils sont chez eux en première ligne dans le combat contre la Bête ?
Le sens esthétique, le sens de l’ingénierie sociale, le sens de l’honneur, le sens de la virilité, le tact, la conscience de soi… c’est tout un comme l’unicité de Dieu en ses multiples déploiements, or nos hauts dignitaires n’ont aucun d’entre ces prémices. Désastreux déshonorants gaspilleurs butés qui chauffez une maison les fenêtres ouvertes, au milieu d’une crise qui comme prévu jette enfin dans vos bras la jeunesse athée du pays qui veut vivre, que faites-vous ? Vous desserrez exactement maintenant la ceinture, au plus crucial moment, vous lâchez toutes les brides de la contention, vous dévissez les sangles précisément lorsque les ouvriers de la première heure remontent le filet à bout de bras. Vous lâchez tout, vous rompez en une seconde l’équilibre, et la prise repart liquide dans le monde. Le pèlerinage de Chartres devenu presque un char de techno-parade... Ce que vous êtes cons, ce que vous foutez la rage ! Quel gâchis, quel putain de sabordage de sales cons, quand on pense au potentiel de conversions massives à partir d’un seul converti, de repeuplement à partir d’un seul couple bien marié, tôt marié. Cela devrait obséder vos jours et vos nuits : « Comment avec mon réseau contribuer à peupler mon pays puisque j’ai toutes les cartes en main pour aiguiller dix, vingt, peut-être cinquante jeunes personnes et que j’ai tout mon temps pour cela ? »
Chers voisins de chapitre, vous vivez sous persécution comme il est permis de vivre après une victoire : satiété, fêtes, loisirs, distraction, bas standards, servir la femme au lieu d’être servi par elle… grand bien vous fasse puisque vous aimez cela. Ces relâchements donnent prise aux assauts toxiques, ces apathies enhardissent les prédateurs qui aiguisent leurs canines à proportion de vos instincts détrempés qui s’émoussent. Sous une tempête les marins resserrent la voilure au plus strict nécessaire nous l’avons vu. Quand on est envahi, occupé, menacé, on se recentre : sobriété, gravité, discrétion, redoublement de charité interne, redoublement de l’euphémistique vertu de prudence à l’extérieur. Vilains clercs font le contraire, méchants avec les bonhommes, bonasses avec les profiteurs et les mondaines graisseuses. Et on ne leur réplique rien par crainte de leur habit ? Mais qui, seul, devons-nous craindre au juste ?
Vive le prolétariat chrétien
Quand le gras domine sur le muscle, quand l’efféminé domine sur le bonhomme, alors c’est la dictature des bourgeois-bordel sur une Église-armée-mexicaine. C’est le modèle exactement contraire qui est chrétien, et qui commence au prolétariat choyé, révéré, spécifiquement favorisé. Ouvriers, techniciens, artisans, un prolétariat français chrétien qui maîtrise les métiers indépendants productifs, formé sur le modèle de l’école de la Martinerie : non-mixité, sobriété, technique.
Le prolétaire, étymologiquement, c’est l’homme dont la seule richesse sont ses enfants. Qu’est-ce qui a perdu le Liban ? La Syrie chrétienne ? C’est la vie bourgeoise, le mesquin principe du « pas trop d’enfants », la radinerie du « pas de premier enfant avant 30 ans ». En pleine Syrie 2013, en plein merdier, une petite effrontée de l’ultra minoritaire communauté chrétienne restante, propriétaire d’un restaurant payé par sa famille articulait ceci à un camarade. « Quoi ? Tu n’as pas cinq cent mille euros sur ton compte en banque ? Tu ne te marieras jamais », authentique. Le principe de toutes les libanisations par guerre des berceaux tient peut-être en cette phrase. Stérilité par calcul bourgeois. Tous les parents de familles françaises nombreuses se sont mariés jeunes et pauvres, ont commencé par souffrir et non par jouir, pour ensuite s’enrichir. Leurs maisons sont rangées, vivantes, ils prient, ils travaillent, ils chantent, ils lisent, ils s’entraînent, ils s’entraident. Tout le contraire des couples catastrophes qui eux commencent par le plus agréable : la baise, le restaurant, le voyage ; en un an ils ont déjà tout ratissé et aux premiers nuages qui s’amoncellent ils ouvrent chacun un parapluie différent au lieu d’en prendre un pour deux et de se serrer dessous ensemble.
Ce sujet-clé de l’avenir des familles françaises, du visage que prendra le monde de demain, de la guerre pour la génération, sera le thème de la seconde partie de notre étude qui paraîtra après le pèlerinage de Pentecôte. Weininger, Schopenhauer, Soral, Félix Niesche, ont critiqué la féminisation du monde et ses conséquences. Attali a au contraire célébré l’avancée d’un progrès destructeur qui masquerait la prise de pouvoir de la femme comme catégorie ontologique au service de la Syna (mais ce faisant, Jacadi valide Weininger). Vous saurez bientôt tout sur la figure générique de la GDE, la Grosse Dame Tartuffe. L’homme du ressentiment de Nietzsche serait-il en fait la bonne du curé ? Quel archétype Balzac avait-il percé à jour dans Le Curé de Tours ? Une paresseuse qui ne veut être ni Marthe ni Marie est-elle vraiment votre sœur en Christ ? À suivre...
Lounès Darbois
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“Skincare is Self-Care, Inside and Out, because Your Skin is as Precious as You”
pics from pinteres; for example the results of affects using retinol and serum, exfoliating and the other active skincare.
Hello my beautès! ε(´。•᎑•`)っ 💕 I hope you're doing well there! I want to share some stories and how my skin changes me into a different person. You know the most important asset is our faces/skin so make sure you choose the right one for your skin.
How important is skin care?
Your skin's condition has a huge impact on your emotional well-being, therefore it's important to understand the link between the two. The mental health barrier associated with skin concerns persists in our society, making it difficult to accept and enjoy your skin if beauty standards are not satisfied. So, skincare can be viewed as a path of self-acceptance, letting the individual focus on enhancing their natural attractiveness rather than comparing it to false beauty standards. Furthermore, body positivity is essential for boosting mental health and can be enhanced with having access to skincare products and aids. It helps your skin stay in good condition; Because you produce skin cells throughout the day, it's important to keep your skin bright and healthy. Skincare is closely linked to both physical and mental health, so when you care for your skin, you also take care of your mind. Completing your skincare routine can make you feel refreshed, energised, and optimistic. Moreover, taking care of our skin can help us practice mindful living. By focusing on the sensations and feelings of skincare products, we can develop awareness and become more in the present. This may reduce tension, encourage calmness, and enhance mental clarity in general. And I think our mental and physical health are closely impacted by our skin, which is not just a reflection of my physical health. Due to our habit-forming and self-care-oriented nature, skincare routines have a profound impact on our mental health. Consistently following a skincare routine can be an effective means for us to decompress and give ourselves some time away from our hectic lives. Applying skincare procedures allows us to take time to relax ourselves and de-stress. Just using a facial mask or moisturiser can provide you a sense of refreshment and relaxation, much like a mini-spa session. You can feel less stressed and anxious and feel more at ease by setting aside this time for self-care. So beautés please take care of yourself by caring for you skincare routine because Your skin is precious as You (✿ᴗ͈ˬᴗ͈)⁾⁾🫶🥹. I understand that sometimes we are simply too sleepy to do skincare, or even remove our makeup before going to sleep. We have to fight them and take care of our skin, and if we follow a skin care set up on a daily basis, the results could change us into an optimistic person who is healthy on the inside and out. Skin is a part of our identity and a reflection of our mental health, even if we don't realise it. The brain and skin have an unbreakable connection, so it is more than just a physical barrier to the outside world. Your skin can reveal how you're feeling emotionally and spiritually, and how you take care of it can have a significant impact on your mental health. Taking care of the skin may be a kind of self-care and self-esteem, allowing you to feel more confident in your identity and how you express yourself to the world.
First step to do is just skincare routine! Taking care of yourself is an important part of any skincare routine, as is using the right products. It offers a chance for you to schedule a short period of time during your hectic day for self-care. You can take use of this time to relax, be mindful, and enjoy the ritual of taking care of your skin. Additionally, maintaining a skincare regimen gives your daily life structure and regularity. Having a designated time for self-care might help you feel stable and at ease. No matter what else is going on, it becomes a reliable and constant aspect of your day. Trust me you will enjoy your day if you do a skincare routine in the morning. Also, committing to a skincare routine can benefit your emotional health. It acts as a daily reminder to put your requirements and needs first. Taking easy care of your skin can make you feel more confident and self-esteem, enabling you to face the world with a bright glow. So, dedicate yourself to your skincare regimen and make a promise to yourself. It doesn't have to take a lot of effort or time. Choose items that are effective for you and maintain a regular schedule. Beyond only having beautiful skin, self-care will have a profoundly positive impact on your general well-being. Just do basic skincare before you start your day. Basic Skincare; your facial wash, your sunscreen so important don't miss this one! and moisturize your face its so helpful and make ur skin brighter ✨🦋🥰
The following five ideas can help you get the most out of your skincare plan:
1. To help you take a minute to focus on yourself, try out these various exfoliating procedures.
2. Spend some time practicing mindful masking so that you may unwind and concentrate on your breathing for a short while.
3. Take your time choosing the products that are most appropriate for your skin type and requirements.
4. Use products with awareness, taking note of their aroma and texture as you apply them.
5. Include face massage techniques in your barrier to give yourself a little time for self-care and relaxation.
Make sure use of relaxing ingredients Using products that have relaxing ingredients is especially important because of this. Make sure the skincare products you use have relaxing elements like aloe vera, snail mucin, ceramide, niacinamide and it's also brightening your skin. Take care for your eyes. Even though it may seem that anxiety and eye care are unimportant, depressive states frequently result in changes to the appearance of your eyes. Whether or whether you have puffy eyes right now, taking good care of your eyes is essential. Dark circles and puffiness around the eyes are classic signs of anxiousness. Applying a mild eye lotion or applying a cold compress to your eyes might help lower inflammation and enhance circulation. And learn how to guide/use your skincare right. For example guides for new beginning using serum because i was wrong using serum and it cause fatal for me, I was using serum vitamin c 2 times per day 😅🥲, so beautes make sure you use then right ❤️❤️❤️.
You deserve to feel beautiful and at ease in your skin✨ and skincare can be an effective tool to help you get there. According to research, having healthy-looking skin might have a psychological and emotional impact on the person who has it. A skincare routine customised to your specific needs can lead to increased confidence and self-worth.
#skincare#exfoliating#face serum#vitamin c#skin health#precious#pretty woman#dailywomen#vitamin c serum#anti ageing skincare#woman#faceclaim#calmness#results#affects#trust the process#happy girls#beauttiful girls
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"Tout ce qui est frugalité diététique, soin et restriction du langage, voile, modestie du vêtement, ascèse de l'emploi du temps sont des standards d'intelligence de la vie quotidienne, des techniques de contention de la Forme pour la maintenir, la muscler, la former à subsister beaucoup avec peu d'apport. La rusticité révulse nos tendances naturelles au plaisir. Moyens de supporter la rusticité ? D'abord l'état d'esprit : zèle religieux, conscience de l'invasion, fanatisme pour un idéal de Beauté. Puis investir ou dépenser l'argent mais ne pas le thésauriser, le chant, la danse, la création, l'action concrète sur les choses, le sport, la baignade, le massage, le parfum, l'ameublement, le travail, les victoires. Petites récréations [...] La Forme sans ascèse se dégrade ; qui ne se réforme pas en permanence se déforme."
Lounès Darbois, août 2023.
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— Chhhut ! Les filles, silence ! Ne le réveillez pas. — Qu’il est mignon ! — Trrrrrrop chou ! Exactement mon genre, ni viril, ni musclé. — Délicat, presque féminin. — Oh oui ! Il semble si déconstruit quand il dort. Pas du tout bad boy. — Je suis sûre qu’il assume sa gentillesse, sa normalité. Il doit être sympathique. Il aime se moquer de lui-même. Il n’a pas l’air menaçant, tout en étant un peu sexy. — Un peu sexy ? Très sexy ! C’est tellement beau un homme qui dépasse les stéréotypes patriarcaux. — Je sens que malgré sa taille, il ne chercherait pas du tout à me dominer. Nous aurions une relation très égalitaire. — Pfff… Pourquoi toi ? Il me soutiendrait, ne me dirait jamais un mot de travers, prendrait du temps pour moi… — Chhhut ! — Cela démontre, au passage, qu’être gentil n’enlève rien au sexy, aux fantasmes, au sex appeal. Comment en est-on arrivé à trouver sexy les hommes qui font souffrir les femmes ? — Mais oui, comment ? Vous avez vu ce torse ? Très beau, exposé comme ça, tout nu. Il doit avoir un dos magnifique aussi. Comme il serait doux d’être dans ses bras et l’écouter exprimer sa vulnérabilité ! — Il a une belle queue ! — Oooh… — Oui… — Je veux bien souffrir un peu. — Tu crois qu’il voudrait de toi ? — Et pourquoi pas ? — Tu ne serais pas digne de sa sensibilité. — Et toi, grosse pouf, tu en serais digne peut-être ? — Grosse ? Les hommes comme lui aiment un corps vraiment féminin ! — N’importe quoi, ils déconstruisent les standards de beauté traditionnels. Boudin ! — Anorexique ! — Nymphomane ! — Ah, c’est malin ! Nous sommes toutes des Nymphes, gourdasse. — Chhhhhhhut, les filles ! — Chhhhut ! — Chhut ! — Chhh…
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Bonsoir bonsoir ✨ 💕
Alors que le weekend approche à grand pas, on vient vers vous avec quelques préliens à mettre en lumière ! Comme d'habitude, pensez à lire les TW avant de plonger dans ces pépites, mais venez les voir, ça en vaut la peine 🫶
REGRETS OF THE TIME — prélien (m) familial, celui d'un fils qui ne connait pas son père et que sa mère regrette, celui d'un jeune adulte qui cherche désespérément sa place dans le monde.
RUN THIS TOWN — prélien (f) flirtant sur l'ambiguïté, une vie chamboulée par un braquage de banque traumatique et l'énigmatique présence d'un inconnu qui la rassure sans qu'elle ne puisse se l'expliquer...
SOMEONE ELSE'S STAR — et enfin un prélien (f) amical mais ambigu pour une égérie dont la superbe décline doucement face à l'implacable et injuste cruauté des standards de beauté.
A très vite, on espère 🥰
#préliens#concrete jungle rpg#rpg francophone#rpg français#forum city#forum rpg#french rpg#ressources rpg#forumactif#forum city sombre#city sombre
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Alexandra Henrion-Caude sera probablement surprise d’apprendre qu’une de mes publications de 2021, où je saluais son travail scientifique, vient d’être éliminée de Facebook. Le courage, l’honneur et la beauté sont-ils "contraires au standard de la communauté", comme ils disent?
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Mon estime de moi me parasite vraiment. Je sais que la plupart des choses qui me dérangent physiquement chez moi ne sont pas celles qui vont déranger les gens en face de moi. Il y a toujours un écart énorme entre ce qu'on pense que les gens remarquent négativement (et même positivement) chez nous et ce qu'ils remarquent vraiment. Exemple parlant, on me dit souvent que mes cicatrices d'acné et ma peau sont pas vraiment choquants, alors que mes cicatrices de mutilation ou mes poils de bras (oui des poils de bras super longs parce qu'en sous-poids le corps il veut t'aider comme il peut et il te donne des poils monstrueux) sont choquants. Pour moi, pas du tout. Et je me demande comment les complexes se créent parce que je pourrais aussi complexer sur mes poils de bras, mais je n'y arrive pas, je trouve pas ça super beau mais je m'en fiche alors que ma peau c'est affligeant comme je suis affectée. Ça me dérange tellement que je suis mal a l'aise quand je flirte avec quelqu'un qui a une peau clean parce que dans les standards de beaux classiques, l'acné est quelque chose de repoussant malheureusement. Mais au même titre que plein d'autres choses. Et comme je pense que j'exagère envers moi même, on a tendance a amplifier tout ce qui va pas et minimiser tout ce qui va, je me demande réellement à quel point ça me rend laide. J'aimerais savoir si les gens le remarquent. Je donnerai tout pour ne plus avoir ça. Et c'est bête parce que moi, dans mes propres critères de beauté, l'acné c'est pas rédhibitoire, enfin ça n'enlève pas grand chose à ma façon d'apprécier le faciès d'une personne. Ça me fait me monter la tête les complexes, c'est aléatoire, ça n'a pas de sens.
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Красота не дожна иметь стандартов, по крайней, мере у меня в блоге.
La beauté n'a pas à avoir des standards (de beauté) , du moins dans mon blog.
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Truismes & l'image corporelle hypocrite
Selon les normes de beauté, il y a un état parfait où nous nous trouvons mince mais pas maigre, charnu mais pas en surpoids... De ce fait, je trouve ces images extrêmement ironiques. Vous voyez des déguisements d’Halloween d’un cochon. Notez bien que les mannequins portant le déguisement de truie n’ont pas la forme ronde ou grosse comme le porc. Il est intéressant que nous ne voyions jamais une personne plus grosse qui porte cette tenue. De plus, les deux styles de déguisements sont acceptables : moulant et sexy ou gonflable et drôle.
Notamment dans le livre, nous comprenons qu’avec la transformation physique de la narratrice, il y a un changement de sa perception de soi et de la société qui la rejette. Simplement, elle prend du poids et elle devient plus rose. En réalité, dans l’industrie de la beauté, il y a l’utilisation du maquillage pour rougir les joues. Cependant, nous ne mettons pas en avant la forme physique du « cochon ». C’est-à-dire, nous choisissons certaines caractéristiques que nous préférons, et nous les validons. Nous pouvons facilement tisser le lien entre le parti politique d’Edgar (du livre) et les personnes qui influencent les normes de beauté actuellement. Le but de ces organisations est d’avoir le pouvoir. Elles remportent par exploiter le public en assurant que leurs vision/leurs produits sont meilleurs. En outre, si un membre du public essaie de lutter contre les messages des profiteurs, il est réduit au silence. Le livre propose la solution d’assassiner les manifestants ou tous ceux qui n’est pas d’accord avec leur système. Dans l’industrie de beauté, nous voyons ce silence par l’humiliation en ligne ou par les autres messages faux et manipulateurs.
Ces images de costume me font réfléchir de pourquoi il existe ces standards même pour un festival comme l’Halloween où le but est de s’amuser avec la créativité et l’expression personnelle. Je sais que les normes existent dans le domaine de beauté et encore dans la société. Ceci dit, je suis dégoûtée par la réalisation que l’identité sociale peut être également déterminer par les occasions où nous sommes encouragés à être « hors norme ».
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Voici une partie des choses que j'ai apprises entre mes 17-23 ans
Les gens qui t’aiment seront patients et compréhensifs avec toi et ne te jugeront pas (sur ton passé)
Les sentiments sont juste des visiteurs, laissent les venir et laisse les partir.
Quand tu fermes la porte à un individu qui t’as sincèrement blessé, ne le ouvre plus jamais là porte.
Vas-y là où tu te sens respecter et aimer.
Ne baisse jamais tes standards, les gens vont te le faire regretter.
La moitié de ta beauté vient de ta façon de parler.
N’attends pas la validation des gens pour faire ce que tu aimes.
Quand tu prends tes distances avec une personne, prends aussi tes distances avec les gens qui sont proches de cette personne.
Ce n’est pas parce que tu ne t’entends pas avec cette personne que cette personne va devenir ton ennemi, limite à cette personne l’accès à toi, mais quand tu croises, cette personne reste gentille.
Être aimable, douce et humble est très importante.
Il y a des gens qui te détesteront parce que ta lumière dérange leurs démons. Montre-leur ton plus beau sourire, le sourire que Dieu t'a donné.
Quand tu es né de nouveau, toutes les choses anciennes n’existent plus. C’est la bible qui le dit.
Tu as le droit de recommencer autant de fois que tu le souhaites.
Ne raconte jamais tes problèmes de famille à une personne qui ne fait pas partie de ta famille.
Préserve ce que tu aimes.
Si tu as besoin de te confier, mets tes genoux à terre et confie-toi à Dieu ou écris une lettre et pose là entre ta bible.
Quand un homme veut, il le fait, s'il ne le fait pas, ce qu'il ne le veut pas. C'est simple, ne te complique pas.
Savoir mettre fin à une relation de la bonne façon est très importante.
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Les bienfaits du port du corset pour le dos
Découvrez l'incroyable histoire et les nombreux bienfaits des corsets dans notre article dédié. Du soutien dorsal à l'amélioration de la posture, le corset s'avère être un allié de taille pour votre confort quotidien. Explorez comment cet accessoire de mode intemporel combine élégance et bien-être, tout en répondant aux besoins modernes de santé.
Introduction aux bienfaits du port de corsets
Histoire et origine du corset
Le corset possède une histoire riche et fascinante. Apparu dès le XVIe siècle, cet accessoire de mode a connu de nombreuses transformations au fil des époques, servant tantôt à affiner la taille, tantôt à soutenir la silhouette. L’évolution du corset reflète les changements de la société et des standards de beauté, passant du corset rigide de l’ère victorienne aux modèles plus confortables et fonctionnels d’aujourd’hui.
À travers les âges, le corset a symbolisé à la fois la contrainte et l’élégance. Il a su se réinventer pour répondre aux besoins de chaque époque, devenant même un outil de soutien pour le dos dans certains contextes. Cette évolution du corset témoigne de sa capacité à s’adapter et à perdurer au-delà des simples critères esthétiques. sous-vêtement corset
Le retour en popularité des corsets
Les corsets connaissent aujourd’hui un retour en grâce, non seulement dans le monde de la mode mais aussi pour des raisons de santé. Les tendances récentes célèbrent le corset comme un accessoire de style incontournable, notamment dans les tenues de soirée ou les tenues décontractées. Cette popularité s’explique par la capacité des corsets modernes à allier esthétique et confort.
Dans le domaine de la santé, de nombreux professionnels recommandent les corsets pour leurs vertus thérapeutiques. Ils ne servent plus uniquement à affiner la taille, mais apportent également un soutien dorsal précieux, notamment pour les personnes souffrant de maux de dos chroniques. Cette dimension nouvelle renforce l'intérêt pour ces accessoires.
Aperçu des bienfaits pour le dos
Le port du corset offre plusieurs bénéfices notables pour le dos. Parmi les principaux bienfaits, on trouve l’amélioration de la posture et le soulagement des douleurs dorsales. Le corset fournit un maintien constant, permettant de réduire les tensions musculaires.
En offrant une compression douce et un soutien ciblé, le corset favorise l’alignement correct de la colonne vertébrale. Ces avantages en font une solution intéressante pour ceux qui cherchent à améliorer leur confort quotidien tout en prenant soin de leur dos.
Amélioration de la posture
Compression et soutien
Le corset agit comme un dispositif de compression sur les muscles du dos, offrant un maintien constant. Cette compression aide à soulager les tensions musculaires et à prévenir les douleurs liées à une mauvaise posture. De plus, le corset fournit un soutien dorsal qui encourage un alignement correct de la colonne vertébrale.
Ce soutien continu est particulièrement bénéfique pour ceux souffrant de faiblesse musculaire ou de douleurs chroniques. Grâce à sa structure rigide mais flexible, le corset aide à maintenir une posture droite tout au long de la journée, réduisant ainsi les risques de développer des problèmes de dos à long terme.
Correction de la posture
Le corset peut corriger plusieurs problèmes de posture courants. Par exemple, il s’avère très utile pour des conditions spécifiques comme la scoliose ou la lordose. En réalignant la colonne vertébrale, le corset aide à réduire les courbures anormales et améliore l'équilibre général.
Grâce à son effet correcteur, le corset facilite également une meilleure répartition du poids du corps, ce qui diminue la pression sur les muscles et les articulations. Une utilisation régulière sous supervision médicale peut significativement améliorer la posture et apporter un soulagement notable.
Témoignages et études scientifiques
De nombreux utilisateurs et professionnels de santé témoignent des bienfaits du corset pour le dos. Par exemple, certaines études montrent que les corsets médicaux peuvent effectivement réduire la douleur et améliorer la qualité de vie des patients souffrant de troubles musculo-squelettiques.
Des témoignages d’utilisateurs confirment ces bienfaits, soulignant une diminution significative des douleurs lombaires et une meilleure posture. Ces expériences personnelles, corroborées par les recherches scientifiques, renforcent la légitimité de l’utilisation des corsets pour le soutien dorsal.
Réduction de la douleur et amélioration du confort
Soulagement de la douleur
Le corset aide à soulager les douleurs lombaires et autres douleurs dorsales en distribuant uniformément la pression sur l'ensemble du dos. Cette répartition soulage les points de tension et réduit la fatigue musculaire, permettant ainsi de prévenir ou de diminuer les douleurs chroniques.
Les corsets médicaux sont souvent recommandés par les professionnels de la santé pour traiter des affections telles que la hernie discale ou la sciatique. Grâce à leur design ergonomique, ils apportent un soulagement immédiat lors des épisodes de douleur aiguë.
Confort dans l'utilisation quotidienne
Pour profiter pleinement des bienfaits des corsets, il est essentiel de choisir un modèle confortable et bien ajusté. Un corset bien conçu doit être flexible pour permettre les mouvements tout en offrant un soutien suffisant. Les ajustements personnalisés peuvent grandement améliorer le confort.
Les utilisateurs doivent prendre le temps de s’habituer au corset, en augmentant progressivement la durée de port. Cette adaptation permet d’assurer un confort optimal et d’éviter les inconforts liés à une utilisation prolongée sans préparation.
Témoignages d'utilisateurs soulignant l'amélioration de leur confort
De nombreux utilisateurs témoignent de l’amélioration de leur confort grâce au port du corset. Ils rapportent une réduction des douleurs dorsales et une sensation de bien-être accrue dans leurs activités quotidiennes. Les avis des utilisateurs confirment que, lorsqu’il est bien ajusté, le corset peut devenir un allié incontournable pour le confort quotidien.
Ces témoignages inspirent confiance et encouragent d’autres personnes à essayer cette solution pour leurs problèmes de dos. L'expérience de chacun prouve que les corsets, au-delà de leur fonction esthétique, peuvent vraiment améliorer la qualité de vie.
Intégration des corsets dans la routine quotidienne
Conseils pour débuter avec le corset
Pour les débutants, il est crucial de suivre quelques conseils pour bien commencer avec le corset. Il faut commencer par le porter pendant de courtes périodes, puis augmenter progressivement le temps de port. Cela permet d’éviter l’inconfort et de s’adapter en douceur.
Il est également important de choisir un corset bien ajusté et de consulter un professionnel de santé si nécessaire. L’adaptation au corset doit se faire en douceur pour permettre au corps de s’habituer sans risque.
Maintenir un équilibre et éviter les excès
Il est essentiel de maintenir un équilibre et de ne pas abuser du port du corset. Un usage excessif peut entraîner une dépendance au soutien du corset, affaiblissant ainsi les muscles dorsaux. Il est recommandé de combiner l’utilisation du corset avec des exercices de renforcement musculaire.
Ces exercices aideront à maintenir la force et la flexibilité du dos, permettant ainsi de maximiser les bienfaits du corset sans compromettre la santé musculaire. Une utilisation équilibrée est la clé pour un soutien et un confort durables.
Sélectionner le bon type de corset
Il existe différents types de corsets adaptés à divers besoins : médicaux, de mode et de fitness. Les corsets médicaux sont conçus spécifiquement pour le soutien du dos et la correction posturale, tandis que les corsets de mode mettent l’accent sur l’esthétique.
Les corsets de fitness sont utilisés pour le maintien et le soutien pendant les activités physiques. Choisir le bon type de corset en fonction de ses besoins individuels est crucial pour obtenir les meilleurs résultats. porter un corset régulièrement
Conclusion
En résumé, le port de corset présente de nombreux bienfaits pour le dos, notamment l’amélioration de la posture, la réduction des douleurs et un meilleur confort quotidien. Le corset, à travers son histoire et son évolution, a prouvé son efficacité en tant qu’outil de soutien dorsal.
Pour ceux qui cherchent des solutions pour leurs problèmes de dos, envisager le port du corset peut s’avérer une option intéressante. Il est toutefois essentiel de le faire avec prudence et de suivre les conseils des professionnels de santé pour maximiser ses bienfaits tout en évitant les excès. Un bon équilibre est la clé pour un dos en meilleure santé avec l’aide du corset.
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Les Avantages des Meubles sur Mesure avec BD Meubles
Le mobilier sur mesure devient un choix incontournable pour ceux qui souhaitent personnaliser leur intérieur avec des pièces uniques et parfaitement adaptées à leurs besoins. BD Meubles, votre magasin de meubles à Aubervilliers, propose des solutions élégantes et fonctionnelles, offrant ainsi une expérience unique dans le domaine du design d’intérieur.
Pourquoi Choisir des Meubles sur Mesure ?
Opter pour des meubles sur mesure permet de maximiser l’utilisation de l’espace tout en apportant une touche personnelle à votre décoration. Chez BD Meubles, vous bénéficiez d’une large gamme de produits sur mesure pour chaque pièce de votre maison. Que ce soit un canapé, un lit ou des meubles de chambre à coucher, chaque élément est conçu pour s’adapter parfaitement à vos dimensions et à vos préférences.
De plus, les meubles sur mesure sont fabriqués avec des matériaux de qualité supérieure, garantissant non seulement la beauté des pièces, mais aussi leur durabilité. Contrairement aux meubles standards, chaque pièce est réalisée pour durer et apporter une véritable valeur ajoutée à votre intérieur.
Une Meilleure Fonctionnalité et Confort
En choisissant des meubles sur mesure, vous améliorez non seulement l’esthétique de votre espace mais aussi sa fonctionnalité. Chez BD Meubles, chaque canapé et chaque lit est conçu pour vous offrir un confort exceptionnel, avec des solutions pratiques et ergonomiques qui maximisent l’utilisation de l’espace. Que vous aménagiez votre salon, votre chambre à coucher, ou même votre cuisine, les meubles sur mesure répondent parfaitement à vos besoins.
Le Design au Service de Votre Style
Les meubles sur mesure permettent d’exprimer pleinement votre style personnel. Que vous préfériez un design moderne ou traditionnel, BD Meubles vous accompagne dans le choix de meubles de chambre à coucher, de meubles de cuisine, ou d’autres meubles qui reflètent vos goûts. L’équipe de décorateurs d’intérieur vous aide à personnaliser chaque pièce avec des matériaux et des couleurs qui s’accordent parfaitement à votre espace.
Pourquoi Choisir BD Meubles ?
Avec son large choix de meubles sur mesure, BD Meubles est votre partenaire idéal pour créer un intérieur sophistiqué et fonctionnel. Grâce à leur expertise et à leur savoir-faire, BD Meubles propose des solutions sur mesure adaptées à tous les besoins. En plus des meubles pour chambre, BD Meubles offre une vaste sélection de produits pour aménager tout votre intérieur.
Summary
Les meubles sur mesure sont la solution idéale pour ceux qui recherchent des pièces uniques, parfaitement adaptées à leur espace et à leur style. BD Meubles se distingue par son expertise et son offre de meubles de qualité supérieure pour chaque pièce de la maison. Que ce soit pour des canapés, des lits, ou des meubles de cuisine, BD Meubles est votre destination incontournable pour des meubles qui allient confort et esthétique.
Contact Details
BD Meubles - Magasin meubles Aubervilliers Adresse: 86 Bd Félix Faure, 93300 Aubervilliers, France Numéro: +33 7 53 33 51 44 Site Web: BD Meubles
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Au-delà du miroir : La vision percutante de l'IA sur la beauté inaccessibilité !
J'ai récemment regardé la vidéo "Au-delà du miroir" et c'est bien plus qu'une simple exploration de l'IA. Elle questionne notre vision de la beauté et les standards que nous nous imposons. Plongez dans mes réflexions sur Medium.com, je parie que ça va vous faire réfléchir ! Regardez la vidéo sur YouTube:
youtube
Lisez l'article complet ici:
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Devant le miroir, mon reflet m'échappe,
Ces courbes, ces formes que je cache.
Mes pensées s'emmêlent, tourbillonnent,
Dans ce corps, mon esprit s'emprisonne.
Les magazines et leurs pages brillantes,
Murmurent des standards étouffants.
Je suis différente, unique, mais pourtant,
L'ombre de l'insécurité me hante.
Ces hanches, ces cuisses, ce ventre,
Chaque partie raconte une histoire.
Mais les regards, les mots tranchants,
Désirent effacer ma mémoire.
Suis-je assez ? Trop ? Pas assez ?
Mes doutes dansent, ne veulent s'apaiser.
Mais dans cette lutte, un murmure persiste,
Je suis bien plus que ce que la vue insiste.
Je respire, je vis, je ressens,
Un monde intérieur vibrant.
Et même si le chemin est sinueux,
J'apprends à m'aimer, pas à pas, peu à peu.
Ces complexes ne définissent pas,
La force, la beauté qui en moi éclatent.
Alors je tourne la page, avec espoir,
Mon reflet, un jour, deviendra mon phare.
Viens me connaître plus en profondeur ou rejoins mon réseau pour rencontrer une copine ;) 👇🏻
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L’HISTOIRE DE L’HUMANITÉ A UNE BASE ERRONÉE
. . VOUS POUVEZ ENTENDRE CE TEXTE EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI-DESSUS . Dans le silence, est inscrite la mémoire de l’humain divin. L’humanité a fait son histoire à partir d’une base erronée. L’histoire qui soi-disant est l’histoire pour l’humanité, occulte totalement ces périodes de simple gloire de l’humanité. La beauté des civilisations de lumière. C’est cela qui peut être le standard et la…
#Chaque moment est moment de choix conscient.#Dans le silence#est inscrite la mémoire de l’humain divin.#La voie est la voie sans voie.#Oser s’élancer pour porter la vision de l’humanité à travers son incarnation.
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