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Vintage Books, coll. “Raymond Carver”
États-Unis, 2009 Offset, 203 × 133mm [8 × 5 1/4"]
Les œuvres de l’écrivain américain Raymond Carver (1938—1988) ont été rééditées par Vintage Books sous la forme d’une collection de livres brochés dont Peter Buchanan-Smith a signé la ligne graphique en puisant dans les séries Homes at Night et Landscapes du photographe contemporain Todd Hido. Le caractère typographique employé pour les titres est le Jefferson, une scripte commerciale datant du milieu des années 1950, parfois accompagné d’un sous-titre composé en Knockout (Jonathan Hoefler, 1994). Les autres éléments textuels (nom de l’auteur, citation, etc.) utilisent une réédition numérique des caractères néoclassiques gravés au début du dix-neuvième siècle par le typographe allemand Justus Erich Walbaum (1768—1839).
1/ Quel bénéfice le recours à un seul photographe offre-t-il au designer en charge de la ligne graphique de cette collection ? Expliquez en citant des exemples similaires et/ou des contre-exemples.
Lorsque Peter Buchanan-Smith utilise certaines photographies des séries Homes at Night et Landscapes du photographe contemporain Todd Hido, il crée une unité au sein de cette collection. Il est alors facile pour le lecteur de discerner les titres qui font partie de la collection “Raymond Carter”. Angus Hyland qui a travaillé à la conception de la ligne graphique de la collection “Pocket Canons” (1998—1999), crée également une unité grâce au traitement à l’iconographie qu’il a mis en place pour cette sélection de livres de la Bible. Hyland utilise uniquement des photos de banques d’images, avec de provenance extrêmement variée, mais grâce au traitement des images en niveaux de gris et avec un effet sépia, l’ensemble de la collection est cohérent. Pour la collection “Raymond Carver”, la provenance des images est la même, celles de Todd Hido. Les photographies n’ont pas nécessité d’un traitement supplémentaire de la part de Peter Buchanan-Smith pour créer une unité. À l’opposé de cette ligne graphique, la collection 10/18 a une politique iconographique complètement différente. Les images peuvent provenir de banque d’images, de photos d’archives, de tableaux, ou encore des photogrammes. On ne retrouve pas le même effet d’unité dans cette collection que dans celle proposé par Vintage Books pour “Raymond Carver”.
2/ Comment interprétez-vous le contraste singulier produit par la cohabitation des deux principaux caractères typographiques, le Jefferson et le Walbaum, utilisés ici ?
Le Walbaum utilisé notamment pour le nom de l’auteur, est constamment composé de la même manière sur toutes les couvertures : en capitale, sur deux lignes en bas du format. Cette utilisation renforce l’unité graphique et visuelle de la collection. Le Jefferson utilisé pour les titres a un peu plus de liberté e, ce qui concerne son placement sur la couverture. On peut retrouver le titre placé en haut du format, au centre, mais le plus souvent, il se retrouve au-dessus du nom de l’auteur. Le Waulbaum, un caractère néoclassiques à empattements du début du XIXe siècle, permet d’assoir la composition et la rend presque rigide, renforcée par le fait que le Walbaum soit composé en tout capitale. Le contraste est singulier avec l’utilisation du caractère Jefferson, une scripte commerciale, qui ramène un peu de mouvement, à l’opposé du Walbaum.
3/ Que pensez-vous de l’effet de polysémie que créent, sur l’ensemble de ces sept couvertures, les discours implicites tenus respectivement par les images et le “couple typographique” mentionné ci-dessus ? Quel bénéfice d’image peut-il apporter à cette collection.
Les photographies de Todd Hido retranscrivent une ambiance mystérieuse, presque froide avec une unique source de lumière, provenant d’une fenêtre ou encore du ciel. Le choix du caractère Walbaum renforce ce caractère mystérieux et froid ; cette ambiance colle au style d’écriture de Raymond Carter, qui avait le souci de retranscrire la vie des gens les plus modestes, confrontés à des drames ordinaires. Raymond Carter était associé au genre minimaliste, ce qui n’est pas directement retranscrit dans les couvertures notamment avec l’utilisation contrastée du Walbaum et du Jefferson. Cependant, les photographies de Todd Hido restent mystérieuses et de ce fait ne donnent pas beaucoup d’informations sur ce qu’elles représentent au-delà de ce que l’on en perçoit. Enfin, l’utilisation du caractère Jefferson pour les titres permet de ramener une dimension plus vivante dans cette étrange atmosphère. Aussi, le fait que ce caractère soit une scripte, cela laisse penser que de manière manuelle quelqu’un serait venu inscrire le titre. Ce choix iconographique pour cette collection peut permettre de choisir et d’adapter une image en fonction du titre qui est traité. Cela peut apporter une singularité à chaque titre tout en gardant l’unité de la collection.
4880 signes 16/04/2023
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L'étendard du Groupement d'Escadrons Tcherkess comporte sur son avers, la liste des principaux combats victorieux de 1922 à 1927. Il s'agit des opérations suivantes : Hadjilar; Djebel Druze; Kalaat Djendal; Medjel Chems; Katana; Djebat el Khachab; Ghouta; Maaraba; Anti-Liban; Dreidje; Au revers, rédigé en langue Tcherkess, figure les inscriptions suivantes : "YAPEQHE TCERQUES" signifiant "Tcherkess, en avant" "TCERQUES CHIV PSINTCÉ SEVTINME YA QUP" signifiant "Groupement de Cavalerie Légère tcherkess"
-Les sept étoiles placées au dessus des inscriptions, rappellent les sept principales tribus Tcherkess. -Aux angles, se trouve brodé,l'insigne du Groupement Tcherkess.
L'étendard de soie verte exposé dans la salle des drapeaux du Musée de l'Armée, à Paris, date de 1930. Initialement, ce fut le fanion du Premier Escadron de Gardes Mobiles créé en 1922, qui avait rôle d'étendard. En 1926, fut réalisé un modèle "hybride" aux couleurs pontificales, remplacé en 1930 par l'exemplaire figurant au Musée de l'Armée. La cravate tricolore de l'étendard comporte sept croix de guerre TOE avec palme (six avec palmes pour citation à l'ordre de l'Armée, et une avec étoile d'argent, pour citation à l'ordre de la Division). En son centre figure une Croix de Lorraine, brodée, de couleur rouge. Une cravate noire brodée de l'insigne du Groupement tcherkess accompagne la précédente. La hampe symbolise un croissant. Les fanions des Escadrons Tcherkess sont rectangulaires, à l'exception du 18 escadron, qui lui est triangulaire. -Les inscriptions qui figurent sur les fanions sont sur l'avers, en français, et en arabe sur le revers. -La symbolique employée reprend le croissant et l'étoile. -Les fanions des 12, 13, 15, 17, 18, 19 escadrons, sont verts, couleur du prophète.
Le fanion du 14 escadron est noir, et celui du 16 escadron, blanc. -L'appellation du 12 escadron, inscrite au fanion, est "la foudre". Celle du 15 escadron est "l'invincible". Celle du 17 escadron est "l'éclair".
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Les ports tanzaniens se mobilisent pour relancer la dynamique régionale
Les ports tanzaniens se mobilisent pour relancer la dynamique régionaleDepuis plus de trois semaines, les principaux ports de la Tanzanie surplombant l’océan Indien se trouvent à Dar es Salaam, Matwara et Tanga; en plus des ports intérieurs du lac Tanganyika; Une activité frénétique qui a augmenté le mouvement des exportations et des importations à travers ces ports de plus de 50%; Les manifestations en cours au Kenya ont forcé un certain nombre de pays africains enclavés à chercher des ports plus sûrs que le port kenyan de Mombasa. Pendant de nombreuses années, le port kenyan de Mombasa a dominé plus de 90 pour cent du mouvement des exportations et des importations 5 pays d’Afrique de l’Est sans accès aux ports maritimes : Burundi, Congo démocratique, Rwanda, Soudan du Sud et Ouganda; Cependant, l’agitation actuelle dans de nombreuses régions du Kenya; L’attention de ces États a été transférée aux ports de Tanzanie par la nation la plus stable de la région. Pendant plus de trois semaines, les flux commerciaux à travers le port de Mombasa ont été perturbés alors que la zone où les routes du port croisent avec ces pays; L’épicentre des manifestations qui ont éclaté au Kenya au début de Mars dirigé par le leader de l’opposition Raila Odinga, qui n’a pas encore reconnu sa perte envers l’actuel président kenyan William Ruto lors de l’élection présidentielle qui s’y est tenue la première semaine de septembre 2022. ayant perdu son statut historique de centre maritime régional au port kenyan de Mombasa il y a plus de sept décennies; les ports tanzaniens cherchent à récupérer la plus grande part de fret des États africains qui ont été transformés en port de Mombessa, Le trafic de fret et de manutention est passé de 30 millions de tonnes en 2017 à environ 35 millions de tonnes fin 2022. L’Ouganda dépend du port de Mombasa pour 98 pour cent de ses exportations et importations maritimes, tandis que la part du port de la Tanzanie n’est que de 2 pour cent; le Soudan du Sud dépend également entièrement du port de Mombasa. Le Burundi, le Rwanda et la République démocratique du Congo semblent équilibrés entre le port kenyan de Mombessa et les ports tanzaniens. #السودان #إفريقيا #الإمارات #مصر #المغرب # الاردن #الجزائر #السعودية #البحرين #الكويت Read the full article
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voyage Égypte en février
Si vous décidez visiter l’Égypte en février , vous pouvez aller à beaucoup de sites archéologiques , de stations balnéaires de la mer Rouge et faire des croisières sur le Nil. Votre excursion en Égypte est une option idéale pour passer des vacances inoubliables. L’Égypte est l’un des plus importants et beaux pays touristiques . Chaque touriste doit visiter toutes ses destinations touristiques ,pendant votre séjour en Égypte, en passant par Gizeh pour visiter l’une des sept merveilles du monde , les pyramides de Gizeh . le gouvernorat d’Alexandrie où les plages de la mer Méditerranée et la bibliothèque d’Alexandrie, et profiter de la beauté des antiquités à Louxor et Assouan où les temples et les monuments. Et Allez à la mer rouge pour voir les récifs coralliens trouvés sur les rives de la mer Rouge. Lors de cet article , on mettra en évidence les destinations touristiques en Égypte . 1)Le désert blanc
Le désert blanc est situé en Égypte à 45 km au nord de l’oasis de Farafra dans le gouvernorat d’El wadi El-Gadid , à environ 500 kilomètres du Caire. Il est devenu comme une réserve naturelle en 2002. Il est appelé le désert blanc parce qu’il a la couleur blanche qui couvre la plupart de ses sphères. Il est à noter que sa superficie totale est 3010 Km2. il possède également une énorme roche crayeuse. Ce désert contient de nombreuses formations créées à la suite d’une tempête de sable accidentelle dans la région. Là -bas , vous pouvez faire des excursions de camping. 2)Le Caire
Cette capitale comprend beaucoup de ruines antiques , en outre des quartiers vivants et des monuments médiévaux. Vous pouvez commencer votre voyage en Égypte en février par la découverte du musée égyptien, qui comprend d’environ 160.000 objets historiques .Le musée égyptien symbolise une longue histoire.Puis faites un tour dans le quartier copte pour voir de nombreux sites archéologiques coptes comme l’église suspendue ,l’église de Saint-Serge et etc. Lors de ces sites coptes , vous verrez la splendeur de l’architecture orthodoxe d’Égypte. Par ailleurs , vous pouvez se promener dans les quartiers du caire islamique, où vous pouvez voir beaucoup de mosquées comme la mosquée d’Amr Ibn El-As , la mosquée d’El-Azhar et etc. 3) La montagne de Mudawara à Fayuom
C’est une destination appropriée pour camper et contempler les étoiles. L’oasis de Fayuom comprend beaucoup de lacs , les seules chutes d’eau en Égypte ainsi que la montagne de Mudawara , située à l’ouest du lac Al-Fayuom.Cette montagne a 3 sommets principaux et quelques colliens. 4)Le village pharaonique
C’est l’un es meilleurs lieux touristiques en Égypte. Dans ce village , vous pouvez voir des scènes d’action accompagné d’une explication audio de la vie de l’ancien égyptien et son travail dans l’agriculture et la fabrication de papyrus avec la vision des arbres qui ont caractérisé l’Égypte pendant l’ère pharaonique. Vous pouvez visiter les musées qui traitent de l’histoire de l’Egypte à travers les âges de l’époque des pharaons aux dirigeants et les événements de l’histoire contemporaine. 5)L’ Assouan
La ville d’Assouan est l’un des centres touristiques les plus importants d’Égypte pour guérir les maladies comme l’ostéoporose, les articulations et la dermatologie. Elle est devenue célèbre pour ses régions thérapeutiques comme Isis Island Resort, région de Damira, Wadi Al-Tasaki, Abeu Semple, , où les parties du corps sont enterrées ou massées avec du sable jaune saturé de soleil ou d’argile brune pour traiter
6) Le Monastère Sainte Catherine
Il est situé dans le sud du Sinaï, il est l’un des plus anciens monastères dans le monde et le second en termes de ses manuscrits historiques, de ses objets arabes et internationaux.En outre , il est l’une des plus belles régions que les aventuriers et les alpinistes peuvent visiter pendant le tourisme en Egypte pour escalader le plus haut sommet du pays, qui est la montagne de St. Catherine. En fin de compte, nous vous souhaitons de bonnes vacances et une agréable visite à toutes les destinations touristiques en Égypte.
E-mail:[email protected] Mobile:-+201001422529 Site: www.egyptonlinetours.com
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Shang-Chi et la Légende des Dix Anneaux Regarder film en streaming
Shang-Chi et la Légende des Dix Anneaux Regarder Film - https://shang-chi-2021-vf.blogspot.com/
Au centre de l'intrigue se trouvera le premier super-héros asiatique de l'univers cinématographique, qui en réalité n'a pas de super-pouvoirs, mais il sait parfaitement se battre ! Son rôle sera joué par Simu Liu ("Space") - un acteur qui, ironiquement, il y a 5 ans, a écrit à Marvel sur Twitter qu'il serait grand temps d'ajouter un héros asiatique à l'univers cinématographique. Le film racontera l'origine de Shang-Chi et sa confrontation avec le vrai mandarin (dans "Iron Man 3", le héros est déjà apparu, puis il était un imposteur).
Remarque : Je considère que cette critique est « spoiler-lite ». Bien qu'il n'y ait pas de révélations manifestes de choses qui ne peuvent être apprises en parcourant les listes de distribution publiées ou en regardant la bande-annonce, si vous ne voulez rien savoir du film, revenez à cette critique après avoir vu le film…
Avec la fin du cycle d'Infinity War, le moment est venu pour Marvel de porter son attention sur le prochain arc de l'histoire à long terme. Alors que le but de Black Widow était principalement de régler les problèmes, Shang-Chi et la légende des dix anneaux représentent la prochaine étape. Quelques visages familiers apparaissent dans les seconds rôles mais, pour la plupart, ce film présente de nouveaux personnages, une nouvelle esthétique et une façon différente de faire les choses. Au cours de la première moitié de Shang-Chi, cela ressemble plus à un conte d'arts martiaux à l'ancienne qu'à une saga de super-héros. Malheureusement, la dernière heure du film perd une grande partie de cette originalité afin de se conformer au multivers dans lequel il se déroule.
Certains ont soutenu que Shang-Chi fait pour les cultures asiatiques ce que Black Panther a fait pour les héros de couleur. Il y a une part de vérité à cela, mais Black Panther a présenté une histoire plus forte, ce qui a donné un meilleur film dans l'ensemble. La décision de donner à Shang-Chi un film autonome (quelque chose qui est en fait au stade de la planification depuis près de deux décennies) à l'heure actuelle témoigne de l'évolution de la sensibilité de Marvel en matière de diversité. Lorsque The Avengers est arrivé à l'écran il y a à peine neuf ans, cinq des sept principaux étaient des hommes blancs (les autres étaient une femme blanche, Black Widow, et un homme noir, Nick Fury). La prochaine fois, les choses seront différentes. Des films comme Black Panther et Shang-Chi font tomber les barrières tout en proposant des histoires et des personnages auxquels tout le monde peut s'identifier.
Shang-Chi représente un certain nombre de premières (au-delà de l'évidence) : le premier film d'action pour le réalisateur d'origine hawaïenne Destin Daniel Cretton (dont l'effort précédent le plus connu était Just Mercy en 2019), le premier rôle majeur pour Simu Liu, le premier anglais -rôle linguistique pour l'acteur vétéran Tony Leung, et le premier film de super-héros pour Awkwafina. En plaçant la majeure partie de Shang-Chi dans un petit coin isolé du MCU, les cinéastes sont en mesure d'établir le film presque de manière autonome. Deux personnages secondaires qui sont déjà apparus dans des films Marvel aident à former un pont. Il y a aussi des camées et des références dans le dialogue.
Les scènes de combat comportent une forte injection d'arts martiaux. Malheureusement, ce ne sont pas des combats à la Jackie Chan, où la star prend littéralement ses morceaux (et, hélas, il n'y a pas de série de mi-crédits de mouvements ratés et de ratés de cascade). L'amélioration par ordinateur rend difficile de dire quelle part de l'athlétisme appartient aux acteurs et quelle est la part du résultat des 0 et des 1. Alors que la présence de Michelle Yeoh au casting rappelle Crouching Tiger, Hidden Dragon, le ballet surréaliste du wi-fu a été supplanté par le e-fu. Pourtant, c'est amusant de voir des personnages se battre d'une manière différente de ce que nous obtenons généralement dans un film de super-héros. (Finalement, il y a des monstres et des explosions d'énergie, mais heureusement, ce n'est que tard dans la procédure.)
Le film commence par un prologue qui offre une rencontre mignonne entre Wenwu, avide de pouvoir (alias "The Mandarin", joué par le légendaire acteur chinois Tony Leung) et sa future épouse, Jiang Li (Fala Chen). Jiang défend sa maison contre l'invasion en battant Wenwu dans une bataille d'arts martiaux. Peu de temps après, ils se marient et ont deux enfants : Shang-Chi et sa sœur cadette, Xialing. La prochaine fois que nous rencontrons Shang-Chi (Simu Liu), il est voiturier d'hôtel à San Francisco, traînant avec sa meilleure amie, Katy (Awkwafina) et faisant de son mieux pour ne rien faire ou être quelque chose de spécial. Son temps d'anonymat s'épuise, cependant, lorsqu'un assassin (Florian Munteanu) vient l'appeler. Après une bataille épique dans un bus en fuite (facilement la scène d'action remarquable du film), Shang-Chi se rend compte que sa sœur (Meng'er Zhang), qu'il n'a pas vue depuis une décennie, est en danger. Suite à un indice sur ses allées et venues, il monte à bord d'un avion à destination de Macao avec Katy en remorque. Ce voyage mène à plus de combats, dont un sur l'échafaudage d'un gratte-ciel, et culmine dans les retrouvailles longtemps retardées de Shang-Chi avec Wenwu.
Techniquement, c'est une histoire d'origine mais on n'en a pas l'impression. La dynamique père/fils est bien réalisée et le MCU fait de son mieux en enveloppant l'antagoniste principal de nuances de gris. (Comme ce fut le cas avec Thanos, il y a plus au travail ici qu'un mégalomane en voyage de pouvoir.) Les motivations sont suffisamment complexes. La seule raison pour laquelle la fin à l'emporte-pièce et au livre est décevante, c'est parce que bon nombre des éléments précédents indiquaient quelque chose de moins prévisible.
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Mars [S.I.A.R]
La planète rouge abrite les plus anciennes colonies humaines du système et conserve toujours une certaine aura dans l’Histoire de Sol. En deux siècles de développements par les plus puissantes keratsu, la planète n’abrite qu’une population relativement réduite, et impose toujours de terribles conditions de vie pour les organiques. Les ambitieux projets lancés au 21ème siècle n’aboutirent jamais faute de moyens économiques, mais également de par le manque de volonté des Dragons, qui négligèrent toujours ce monde.
Mars est toujours une terre d’aventure, où les vestiges de stations anciennes permettent à des colonies non-déclarées de s’implanter sans que quiconque n’en prenne conscience. Bien que les ressources vitales soient particulièrement mal distribuées, les dépôts et colonies oubliées fournissent d’incroyables infrastructures à un sous-monde comptant parmi les plus actifs du Bloc rouge.
La Junte martienne regroupe le noyau dur des Généraux refusant la paix proposée par l’OPMS, elle contrôle dix-huit des vingt-trois stations principales à la surface, ainsi qu’un archipel d’habitats orbitaux. Ayant su porter la guerre loin de son territoire, la Junte martienne conserve les plus impressionnantes ressources militaires du système et se tourne déjà avec convoitise vers les stations autonomes de la ceinture principale. Cependant, avec ses alliés historiques sur le déclin, le gouvernement autoritaire de Mars hésite à ouvrir les hostilités aussi près de la frontière avec le Bloc bleu, et beaucoup des industriels établis sur la planète se montrent frileux à engager leurs actifs dans de nouveaux conflits. Par ailleurs, la situation politique au sein même de l’organigramme de la Junte martienne est rendue complexe depuis le schisme entre les Généraux, contrôlant les ressources planétaires, et les Amiraux, qui conservent pas moins de trois flottes complètes, ainsi que plusieurs chantiers spatiaux en orbite. Tous s’avèrent prêts à de nouvelles conquêtes intra-solaires, mais c’est bien le partage des nouveaux territoires qui semble poser problème.
Mars n’a guère été affectée par les agissements humains. De grands chantiers avortés ont bien été entrepris un peu partout, des tentatives pour générer une magnétosphère se sont vite arrêtées, et les grands champs d’algues sont depuis longtemps retournés à la poussière. Le développement de la nanotechnologie a permis d’offrir un certain confort à tous, sous de grands dômes qui sont donc toujours la norme. Les organiques se sont bien adaptés au tiers de gravité terrienne, et la résistance d’un martien aux doses massives de radiations a sensiblement augmentée en deux siècles. Ce sont en fait les IA qui ont su le mieux profiter d’un environnement riche en minerais, et où l’influence organique reste somme toute minime. Une IA planétaire nommée Vesta fait partie du conseil de la Junte et représente l’ensemble des synthétiques déclarés, elle a en charge les infrastructures de toutes les stations militaires et assure aussi bien la production d’énergie que la gestion de la démographie organique, véritable problème au sein du territoire. Quelques milliers de synthétiques se placent directement sous son autorité, et sont détachés auprès des Généraux et des Oyabun des keratsu martiennes. Un tiers de la défense planétaire est totalement automatisée est placée sous son contrôle direct. Il se dit que plusieurs Généraux souhaiteraient reprendre l’ascendant sur Vesta, désignant une IA moins puissante et bien plus docile, mais l’entité a également un grand contrôle sur la virtuasphère rouge, principale infrastructure virtuelle sur Mars, à laquelle sont reliés tous les organiques. En jouant sur les mécontentements face aux décisions des Généraux, Vesta s’assure un moyen de pression efficace et peu coûteux pour les synthétiques.
Qui dit sous-monde dit présence nanobio conséquente, et Mars est de fait le seul monde du Bloc rouge où cette population est comptabilisée. Bien entendu, le chiffre officiel des nanobios déclarés au sein de la Junte est ridiculement faible, ne dépassant pas les quinze milliers, et les observateurs attentifs avancent de cinq à six fois ce chiffre. Bien que la plus grande discrétion soit de mise lorsqu’il s’agit d’étudier le sous-monde martien, il est possible de discerner pas moins de six clans nb, se partageant les importants marchés des armes, de la nanotechnologie, de la prostitution, du renseignement, des loisirs virtuels et de l’énergie. Les relations de ces clans avec les keratsu martiennes sont complexes et anciennes, les uns cherchant régulièrement à phagocyter les autres.
La myriade de projets de grande ampleur avortés à la surface de la planète entraîne l’émergence de familles de pillards maraudant à bord de rover bénéficiant de technologie furtive digne de celle disponible au sein du Bloc bleu. Là encore, les nanobios s’illustrent en formant de véritables clans indépendants, en marge des provinces de la Junte, et se proposant de guider celles et ceux en quête de projets militaires secrets. Toute cette activité se concentre autour de la région de Noctis labyrinthus, où stations camouflées et hangars invisibles pullulent.
La Junte, malgré la situation économique dégradée, conserve une capacité industrielle pouvant désormais rivaliser avec celle de Terra-Luna, et les Généraux sont enfin parvenus à faire taire leurs principaux mouvements d’opposition, reléguant ces derniers à des provinces mineures, en périphérie des grandes stations sous dôme.
Bien qu’elle soit historiquement considérée comme la capitale de la Junte, Olympus station ne possède en réalité aucune prépondérance sur les autres communautés géantes de Mars. Cœur du projet d’ascenseur orbital Athéna, la station regroupe pas moins de quatre-vingt trois dômes en nanomat arachnéens, alimentés par douze centrales à fusion auto-régénérantes. Les massives infrastructures d’Athéna, abandonnées peu après le début de la seconde Opposition, se dressent au centre d’Olympus qui domine les contreforts du volcan géant comme la vie de tous les citoyens de la Junte. Son spatioport, anormalement de faible capacité, est sous le contrôle de Vesta, il permet aux voyageurs de transiter vers les nombreux grands domaines des puissants, disséminés sur les versants d’Olympus mons, jusque dans les plaines alentours.
La station possède une importante garnison de marines, les Drachenfressern du 78ème régiment de marche, depuis peu cantonnés loin de leur terrain habituel d’intervention, les astéroïdes de la Ceinture principale, et bien des troubles sous les dômes récréatifs proviennent de ces soldats inactifs. La sécurité d’Olympus station est cependant considérée comme l’une des plus efficaces – certains diront plutôt plus expéditive – de Mars, avec l’un des officiers comptant parmi les plus radicaux de la Junte. Le Général Gunther Haggenstarr règne d’une main de fer sur la plus grande communauté martienne en termes de population, mais également en ce qui concerne la production de technologies avancées. Ce dernier aspect reste cependant hors de son contrôle total, car pas moins de sept keratsu rouges se partagent de très actifs départements R&D. Le Général étant d’un tempérament plutôt ombrageux, nul ne conteste directement ses ordres, et sa force de sécurité comptant un millier d’anciens soldats suffit à faire ployer les plus récalcitrants. Cela étant, la fin de la troisième Opposition semble avoir provoqué de grands troubles chez le Général, et certaines IA estiment que des accès de démence ne tarderont pas à le rendre inapte à son commandement. Leader du mouvement scharlachrot Bewegung (SB), prônant un retour rapide à une situation de guerre totale afin de booster l’économie martienne, Haggenstarr s’avère être un redoutable adversaire dont certaines colères sont de simples manipulations pouvant duper les moins prudents ennemis lui cherchant querelle. Paranoïaque et belliqueux, il incarne la vision largement répandue du tyran martien et reste l’un des principaux détracteurs de l’OPMS.
Loin des troubles politiques d’Olympus se trouve la seconde plus grande communauté de la Junte martienne, Syrtis station, qui abrite le plus grand spatioport militaire mais également un centre de recherche avancée sur les énergies nouvelles. Situé au creux d’une dépression dans Syrtis major planum, la station compte une quarantaine de dômes anciens, renforcés spécifiquement contre les fréquentes tempêtes balayant la région. Le Général Dietrich Felessen y partage le pouvoir avec une dizaine de keratsu martiennes, essentiellement contrôlées par des membres de sa famille, ou par d’autres officiers de la Junte, toutes spécialisées dans le Ntech. La moitié des habitants de Syrtis station sont des employés des keratsu, ce qui confère aux dômes de vie un certain standing pouvant faire oublier l’existence d’un régime totalitaire. Les keratsu martiennes exercent cependant un contrôle simplement plus discret, mais tout autant répressif que celui du Général avec qui elles collaborent étroitement.
Le spatioport abrite essentiellement une trentaine de gros porteurs souvent cloués au sol et se contentant d’assurer des transferts de marchandises sur des orbites basses. L’animosité grandissante entre Généraux et Amiraux faisant que ces derniers ont un contrôle chaque jour plus important des orbites martiennes limite fortement l’utilité d’une force spatiale sous l’autorité des premiers. Felessen exige malgré tout un entretien minutieux de sa flotte et continue à commander de petites unités atmosphériques, s’assurant ainsi une réponse efficace en cas de débarquement de marines sous l’autorité des Amiraux.
Phobos
Pilonné par des frappes de missiles durant toute la première Opposition, le satellite de Mars menaça de se briser en débris mais tint bon. Sa structure a cependant été renforcée maintes fois depuis cette époque. Abritant plusieurs stations en ruines, Phobos est depuis peu passé sous la coupe de la keratsu Iswari-Lebner-Voight qui a installé une prison supermax pour tous les opposants au régime de la Junte martienne. Il n’aura fallu qu’une poignée de jours pour déborder sa capacité de cent-dix-huit mille places et encore moins pour assigner cette main d’œuvre corvéable à merci au retraitement des déchets radioactifs envoyés depuis Mars.
Les conditions de vie sur Phobos sont réputées terribles, la prison d’Arès3 est plus généralement surnommé l’Enfer rouge, et nul ne s’en échappe. Les kobun de la keratsu en charge des lieux forment une meute de prédateurs se partageant les innombrables quartiers de la vaste structure enterrée, où ils font régner leurs propres lois. L’IA Sereta monitore l’ensemble des infrastructures et assiste les opérateurs humains dans leurs tourments quotidiens des prisonniers.
Arès3 dispose de tous les aménagements d’une station martienne de surface, avec des quartiers réservés au personnel de la keratsu, ainsi qu’un petit spatioport abritant une flotte de drones patrouillant les abords du satellite. La direction d’Iswari-Lebner-Voight étant loyale aux Généraux, cette présence au cœur même du territoire des Amiraux rend nerveux ces derniers. Plus encore lorsque les cadres de la keratsu annoncent l’ouverture d’un nouveau chantier spatial où seront assemblés des chargeurs de moyen tonnage, capables de rétablir les voies commerciales entre Mars et Terra-Luna.
Deimos
Grandes productrices d’énergie, les petites stations de Deimos forment un important centre industriel, aussi bien pour les Amiraux que pour leurs adversaires à la surface de Mars. Bien que l’autorité de la Junte s’impose par la violence excessive des services de sécurité, les communautés d’ouvriers et de techniciens se sont depuis longtemps organisés en réseaux d’entraide, et si les activités syndicales sont ici qualifiées de terrorisme, des groupes de pression parviennent à préserver les droits minimum des travailleurs de Deimos. Bien entendu, les répressions sont fréquentes et sanglantes, mais la toute relative indépendance des stations Ntech attire depuis longtemps les représentants de mouvements clandestins, qui profitent d’abris et, plus rarement, du soutien des locaux.
La principale station se nomme Kitooma city, regroupant l’unique spatioport de Deimos mais également les seuls dômes récréatifs du satellite. Jusqu’à il y a peu sous l’autorité du Général Spengler Herkwitz, des troubles ont fait basculer la station sous l’influence des Amiraux, avec même une ouverture d’action pour l’OPMS qui dispose ici d’un bureau particulièrement actif. La capacité portuaire de Kitooma city est suffisamment importante pour accueillir régulièrement la seconde flotte rouge et si la station de dix-huit dômes compte la plus grande concentration de maisons de passes de cette région de Sol, un certain équilibre a été trouvé entre travailleurs du sexe, trafiquants en tous genres du sous-monde et les autorités locales. Bien qu’elle jouisse d’une réputation sulfureuse, Kitooma city reste prospère et offre un havre aux opposants du régime martien. Il faut toutefois noter que la station ne possède aucune défense, ses infrastructures militaires ayant été fortement négligées par le précédent gouverneur, et que des représailles ne rencontreraient aucune résistance.
Mikaïl orbital
Flambant neuf et nanoforgé par la collaboration des plus puissantes IA stratégiques au service de la Junte, la station spatiale est tout simplement le plus grand chantier spatial martien jamais élaboré. Cœur du pouvoir des Amiraux, le chantier est leur quartier général ainsi que le casernement permanent de cinq milliers de personnels. Mikaïl orbital dispose de tout le confort d’une station prospère, avec une armée d’IA monitorant des centaines de robots. Cinq nanoforges alimentées par le plus gros réacteur à fusion jamais conçu, Héphaistos, œuvrent sans relâche pour assembler les croiseurs de nouvelle génération, qui ouvriront la voie vers les mondes du Bloc bleu.
Les Amiraux mobilisent en permanence l’une de leurs trois flottes encore opérationnelles, remplaçant ainsi leurs plus vieux vaisseaux par de nouveaux sortant du chantier spatial. Ils entretiennent également un système de défense à long rayon d’action, à base de drones, de petits patrouilleurs et de satellites armés. Particulièrement paranoïaques quant à la sécurité de Mikaïl orbital, les officiers font de l’approche de la station un véritable cauchemar.
Nemesis 247
Principal moyen de pression des Amiraux sur les Généraux, le satellite Nemesis 247 est le dernier des canons orbitaux encore en activité après la fin de la troisième Opposition. Monstrueux massdriver ceinturé de rampes électromagnétiques et de canons LRA, la station dispose également d’une petite flotte de patrouilleurs assurant sa défense.
Autrefois tourné vers Jupiter, Nemesis 247 pointe désormais Olympus station et pourrait sérieusement entamer la croûte planétaire en faisant feu depuis son orbite. Les Amiraux s’assurent ainsi leur liberté d’action ainsi que l’hégémonie sur l’espace martien. Leurs relations publiques ont également fait entendre que le massdriver pouvait très bien changer son positionnement et pointer sur quiconque contestant l’autorité de la Junte.
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30 mars 2019
Aujourd’hui, j’ai lu D’après une histoire vraie… de Delphine de Vigan. Je ne dirai rien sur l’intrigue, parce qu’il y a plusieurs niveaux lectures et que c’est bien trop agréable de les découvrir par soi-même. Mais c’est bien. Très bien. Extrêmement malin. Je l’ai dévoré comme les hot-dogs du 56 de la rue du roi de Sicile (hop, partage de bonne adresse en passant. C’est pour moi, c’est cadeau).
Ce que je peux dire, aussi, c’est qu’un des thèmes principaux, c’est la panne. L’angoisse de la page blanche. Une autrice a perdu le feu de l’écriture, avec tout ce que ça comporte de remise en question, de panique, de perte de repères.
Égocentrique comme je suis, ça m’a évidemment fait penser à mon rapport à l’écriture. J’ai écrit, tout le temps, plusieurs heures par jour, de mes 8 à mes 26 ans. Et puis un jour, plus rien. Jusqu’à ce que je réussisse à trouver la parade d’écrire pour être vue et entendue avec ma chaîne YouTube, et non plus pour être lue.
Ce besoin impérieux d’écrire, pourtant, je ne l’ai jamais perdu. Cette pulsion naturelle, presque primaire. Je marche beaucoup à ça, à la pulsion, au truc viscéral. Manger un truc précis, faire du sport, écouter une chanson qui m’obsède, fumer une cigarette etc… Toutes ces pulsions, j’y cède avec plaisir, souvent dans l’instant, dans l’urgence. Toutes, sauf une. Celle-ci. Écrire. Sans but, juste pour écrire. Le seul besoin impérieux que je ne comble pas, c’est celui-là.
J’ai parfois cherché à comprendre pourquoi. J’ai souvent mis ça sur le compte de la flemme. Mais après une longue réflexion, j’ai fini par comprendre : le souci, c’est que j’en ai fait mon métier.
Pendant des années, quatre pour être exacte, j’ai écrit, tous les jours. C’était mon métier. Sur la société, parfois, mais sur moi, surtout. Avec cette contrainte de la quantité. Avec la contrainte des chiffres. Avec la contrainte du sujet intime-mais-universel à trouver.
Au début, c’était exaltant. À la fin, c’était épuisant.
Quand j’ai quitté ce job, j’ai mis sept mois, sept longs mois avant de pouvoir recommencer à bosser vraiment. J’avais quelques petites piges à faire, et me mettre à écrire me donnait envie de pleurer. Je dormais, tout le temps. Je me sentais sale, allongée sur le canapé, l’oeil vide fixé sur la télé que je regardais sans voir, ou que je voyais sans regarder. Et cette reprise de contrôle de mon corps cinq minutes avant le retour de l’homme qui partageait ma vie, pour qu’il ne se doute de rien. La honte, toujours, de mentir, quand je répondais que j’avais écrit à son joyeux “et toi, ta journée ?”
La honte, tout court. J’étais comme un citron sans jus, comme un oignon tellement desséché qu’il ne fait même plus pleurer quand on le coupe en morceaux.
Aujourd’hui encore, le coeur de mes différents métiers, c’est l’écriture. J’écris tout. Les scripts de vidéo, les v1 et v2 de la série qui me tient tant à coeur, les bibles de projets, les notes d’intention, les textes à valider pour les partenariats. C’est un luxe, une chance énorme, d’avoir ma passion première au centre de mon quotidien professionnel, mais c’est aussi ce qui m’en éloigne. Voir quelque chose qu’on aime comme son gagne-pain seulement, c’est comme se mettre à bosser pour un ami : on se promet que rien ne changera dans nos rapports, mais on se rend vite compte qu’il est impossible de garder la même attitude spontanée, décomplexée.
J’ai envie de retrouver ce rapport naturel et instinctif à l’écriture. De ne pas relire 8 fois mes phrases à voix haute pour voir si elles sonnent justes quand je les prononce à l’oral, si elles vont avec ma voix. D’avoir un endroit, quelque part, où j’écris sans réfléchir, où je me fous de savoir si ce qui sort de mes doigts va faire des vues, où je n’ai pas l’angoisse des retours, où je ne me demande pas si ce sur quoi je travaille aujourd’hui verra le jour demain.
Alors voil��, ainsi nait 15 minutes par jour : tous les matins, avant de commencer ma journée, j’écris - devinez quoi - 15 minutes, ni plus ni moins. Avec un timer et tout le toutim. Sans me poser de question, parfois en écriture automatique, parfois avec l’envie de raconter un truc précis.
15 minutes par jour ne sera pas un journal intime. Enfin, peut-être que pour vous, si ; ça fait, en vrai, un moment que j’ai compris que je n’avais pas une notion totalement commune de l’intime. Le simple fait de décider de mettre en ligne mes 15 minutes d’écriture instinctive plutôt que de les garder pour moi en est une preuve.
Ça n’aura pas non plus pour but de faire rire. Peut-être malgré moi, comme quand je me prends une porte en pleine face, mais j’ai envie, ici, de m’affranchir de ça. Ce ne sera pas non plus un endroit pour aider autrui à relativiser quoi que ce soit.
Ça n’aura pas non plus pour but de faire joli, je n’ai pas envie de faire l’effort d’écrire bien. Je crois que j’ai dépassé l’envie d’écrire bien. Un peu comme ce jour où l’on réalise qu’on est suffisamment à l’aise avec quelqu’un pour se montrer devant lui sans maquillage. J’écris, c’est tout.
Revenir, quinze minutes par jour, juste avant de commencer ma journée de travail, au temps de mes blogs d’adolescente. Écrire pour lancer la machine du cerveau, écrire sans me relire, écrire pour réapprivoiser l’écriture à but non pécuniaire.
Je rouvre un blog comme je ré-écoute une chanson que j’écoutais en boucle dans le passé, comme je retrouve un ami perdu de vue depuis des années, avec l’air enjoué et l’envie de lâcher un bon gros,
« Tu m’as manqué, putain ».
(Me mentez pas, je sais que vous vous attendiez à une autre fin de phrase).
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Tout part de là.
L’ennui me prend tout mon temps. Il consume mon envie, mes désirs, et avorte mes élans vers une quelconque activité entreprise avec plaisir des mois auparavant. Qu’est-ce qui a pu changer ? Mon cadre de vie, mon environnement social et professionnel. Je m’enfonce régulièrement dans mes fantasmes, pour échapper à une réalité parfois difficile à supporter.
Depuis des mois maintenant, il m’est éprouvant d’encaisser le fait que je ne puisse pas m’accomplir professionnellement pour le moment, à cause de contraintes financières dues à un prêt étudiant m’ayant permis de clôturer mes deux dernières années de Master. Je me demande à quoi m’ont servi ces sept longues années, passées sur les bancs de l’université, à me gaver de connaissances dont personne ne veut, ou alors, à période plus que déterminée. Je suis psychologue depuis octobre 2017. Depuis l’obtention de mon diplôme et de mon titre, je n’ai réellement exercé que pendant quinze jours, dans le cadre d’un contrat de remplacement au sein d’une clinique psychiatrique. J’y ai fait des rencontres agréables, bouleversantes, d’autres m’ont laissée indifférente, mais j’ai pu effleurer, l’espace de quelques instants, un idéal après lequel je cours toujours. Cette courte expérience a été une piqûre de rappel. Elle m’a fait entrevoir ce que j’apprécie et ce que je méprise dans mon travail officiel. Pour moi, le principal obstacle est l’institution, ses principes et ses règles, mettant parfois à mal les bonnes pratiques professionnelles. Je me suis retrouvée face à une directrice dont le management plus que douteux déteignait sur l’ensemble des professionnels, et menaçait d’impacter l’efficacité et l’entièreté de la prise en charge des patients. Des constats similaires ont pu être effectués au cours de mes différents stages. Au-delà de tout ça, je dois admettre que je n’apprécie pas particulièrement le travail en équipe. Il m’épuise, m’inhibe et m’empêche de m’engager sereinement dans ma pratique. Ce phénomène vient en grande partie du fait que je n’ai jamais été habituée à évoluer en groupe. Je suis une irréductible solitaire. Je préfère faire cavalier seule, réfléchir à des projets qui m’appartiennent, et les mener à bien, en m’imposant une ligne de conduite. Cependant, mon manque de confiance en mes capacités et en mes compétences, ainsi que la maigre estime accordée à ma personne, me dissuadent de concrétiser mes nombreuses idées. Je m’enlise dans une constante peur de l’échec. Je finis par me raviser, me dire que, de toute façon, je ne réussirai jamais, puis j’adhère malgré moi à une zone de confort plus que limitante.
Pour autant, depuis l’achèvement de mes études supérieures, j’ai vécu de chouettes expériences professionnelles. J’ai appris à travailler auprès d’enfants âgés de cinq à dix ans au sein d’une école primaire en tant qu’animatrice périscolaire. Je me suis surprise à me prendre d’affection pour eux, à apprécier de les épauler dans leur scolarité pendant les temps de continuité éducative, et à organiser des activités récréatives tout en leur apportant un cadre sécurisant et bienveillant. J’ai également connu des expériences moins satisfaisantes, comme cette infâme mission d’interim dans une usine de calissons. J’étais debout pendant près de six heures à un poste et j’assistais les machines dans le contrôle qualité et le conditionnement des produits. Vous me direz, c’est le principe du travail à la chaîne ma fille ! Mais cet interlude professionnel a été un coup dur. Je l’ai particulièrement mal vécu. Par dépit, et parce qu’il fallait bien que je gagne un peu d’argent, je me suis ensuite lancée dans la grande distribution. Après un premier essai dans un grand centre commercial en tant qu’employée libre service, j’ai fini par trouver une autre place fixe sur le même poste, cette fois-ci dans un magasin plus petit mais où le relationnel au sein des équipes et parmi la hiérarchie est beaucoup plus agréable. Il m’apparaît souvent désespérant de réaliser que j’ai signé mon premier contrat à durée indéterminée dans un secteur d’activités aux antipodes de ce à quoi j’aspirais. Mais je suis reconnaissante, car ce travail m’apprend à conjuguer avec les enjeux des différents professionnels qui gravitent autour de moi, à me sentir plus à l’aise dans les relations sociales, plus décomplexée j’ai envie de dire, et surtout, à me sécuriser financièrement pour pouvoir rembourser mon fichu prêt et investir tout ce que je pourrai dans mon futur cabinet.
En effet, ce projet chemine dans ma tête depuis le commencement de mes études. Toutefois, on m’a souvent dissuadée de ne pas me lancer en tant que libérale dès le début de ma carrière, sous prétexte qu’aujourd’hui les temps sont durs, que la concurrence se fait rude, et que la visibilité et le bouche à oreille sont les principaux déclencheurs de la création d’une patientèle. Autrement dit, il faut avoir un semblant de réseau et être à l’aise pour ce qui est de se faire connaître des différents professionnels. Puis, j’ai fait la rencontre d’une psychologue dont je suis la patiente depuis le début de l’année, et elle ne cesse de m’encourager dans mes démarches. Grâce à elle, j’ai fait des pas énormes en avant, autant personnellement que professionnellement. Ensemble, on réfléchit à des solutions pour que je puisse avancer le plus sereinement possible, et elle m’engage autant que faire se peut à me reconnecter avec mes émotions. J’évoquerai sûrement cette problématique dans mes prochaines écrits ici, car elle est à la base de toutes les difficultés relationnelles que j’ai pu rencontrer ou que je rencontre présentement. Elle m’est d’un soutien incroyable. Grâce à elle, j’ai de moins en moins peur de me montrer telle que je suis, et d’affirmer mon envie d’emprunter telle ou telle trajectoire de vie.
En attendant de pouvoir entamer ma véritable vie professionnelle, j’expérimente l’ennui. Il me prend au dépourvu, m’aspire délicatement dans sa toile invisible. Mais je ne perds pas de vue mes objectifs. J’attends sagement le moment où je pourrai enfin placer mes pions comme bon me semble. Car s’il y a bien une vertu qui ne tarit pas chez moi, c’est la Patience.
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À l'heure des festivités pour le cinquième anniversaire de l'annexion de la péninsule par Moscou, la popularité du président russe décline à la frontière avec l'Ukraine, dans les terres minières frappées par le dénuement et les désillusions.
Envoyé spécial à Almazny (Goukovo) et Krasny Souline
Plutôt que de participer sur commande aux manifestations officielles, Nikolaï Choulepov entend fêter avec simplicité le cinquième anniversaire de la «réunification» de la Crimée à la Russie. Cet ancien mineur de 64 ans - il en parait dix de plus - restera à la maison pour «trinquer» avec ses amis. Boire pour l'occasion, peut-être s'enivrer, mais surtout «oublier» le quotidien amer de sa vie de retraité et les malheurs qui frappent son village. Almazny, ancienne bourgade minière florissante, située tout proche de la frontière ukrainienne, se transforme irrésistiblement en ville fantôme. Après une lente agonie, l'exploitation des principaux gisements de charbon a brusquement cessé en 2015. Cette année-là, l'ancien directeur général de King Coal, un certain Vladimir Pojidaev, s'est volatilisé avant d'être condamné à cinq ans de prison pour «non-paiement des salaires et abus de pouvoir à l'encontre d'autrui». «C'est seulement dans un cauchemar que j'aurais pu imaginer une telle vie», résume Nikolaï Choulepov, ancien chef de brigade vêtu d'une doudoune élimée, en faisant visiter son ancien univers de pionnier soviétique.
» LIRE AUSSI - La Crimée, ce conflit oublié qui se rappelle aux Occidentaux
De la cantine d'Almazny, où l'on fêtait autrefois les noces des employés, il ne reste que des ruines. Quelques maisons surnagent au milieu des débris, et l'on ignore à l'œil nu si elles restent habitées. La rue principale - plutôt un chemin de terre - est totalement défoncée. Un millier d'habitants peuple le village, sept fois moins qu'à l'époque bénie, à la fin des années 1970, où le savon, les bottes des mineurs et même les appartements étaient offerts. Les gueules noires n'hésitaient pas à travailler sous terre jusqu'à vingt-quatre heures d'affilée pour compenser la pénurie de personnel, moyennant une majoration mensuelle de 1 000 roubles - une fortune. Aujourd'hui, dans la mine voisine de Zamtchalovskaya, suite à l'infiltration souterraine et sauvage de résidus industriels, les sols s'effondrent. L'accès à ces trous béants d'où suintent encore des flux polluants n'est protégé que par de symboliques fils de fer.
Des effets «tant utiles que néfastes»
Face à un tel dénuement, le slogan «La Crimée à nous», qui fit vibrer les foules le 18 mars 2014, jour où Vladimir Poutine entérina l'annexion de la péninsule, apparaît désuet. Selon l'institut d'État FOM, 77 % des Russes jugent l'événement positif (contre 83 % en 2017) mais ils sont également 39 % à penser que l'opération a eu des effets «tant utiles que néfastes» sur leur pays. Elle fut suivie par la guerre du Donbass, nourrie en sous-main par Moscou, au risque de son isolement diplomatique. «La réunification», comme Nikolaï Choulepov la nomme, fut plutôt le produit d'un «miracle», comme celui de «la pluie qui tombe», et n'a pas grand-chose à voir, selon lui, avec une quelconque intervention humaine. D'ailleurs, pense-t-il, le chef du Kremlin, à qui l'ancien mineur apporte régulièrement son suffrage depuis 2000, ne peut rien pour stopper le déclin de son village. La Russie, répète-t-il, est «un trop grand pays» pour que le tsar, seul, puisse le contrôler. Et sur la carte, Almazny apparaît trop périphérique.
«Plutôt que de dépenser l'argent pour la Crimée, Poutine ferait mieux de nous aider, nous qui vivons ici de manière misérable»
Lioudmila
Géographiquement, l'argument est contestable. En réalité, le village est situé à seulement 70 km au nord de Rostov-sur-le-Don - la grande métropole régionale - avec son magnifique stade de football inauguré lors de la Coupe du monde et son aéroport flambant neuf. Restaurée en 2018, la nouvelle route à deux voies fait place à des chemins défoncés une fois entré dans le bassin minier. À l'ouest, la frontière ukrainienne, désormais contrôlée par Moscou et les rebelles du Donbass, n'est qu'à 20 kilomètres ; au pic des affrontements avec les forces de Kiev, les échos de la canonnade étaient incessants. Côté russe du bassin, deux mines employant 3 000 personnes restent en activité. Elles sont contrôlées par l'oligarque ukrainien Rinat Akhmetov, qui en possède une dizaine d'autres sur le territoire séparatiste.
Il y a un an, les habitants d'Almazny ont assisté devant leur petit écran à l'inauguration du pont de Kertch, reliant la Crimée à la Russie, pour un coût avoisinant les 3 milliards d'euros. Mais Nikolaï Choulepov semble bien le seul à penser que ce coûteux ouvrage permettra de faciliter «l'exportation» vers le continent des fruits et des alcools de Crimée et d'enrichir son village. «La Crimée et tout ça, ce sont des trucs uniquement pour Poutine», peste Lioudmila, qui ne partage pas l'analyse macroéconomique de son voisin. Sa fille Alexandra, qui promène son bébé de 4 mois sur les chemins cahoteux, acquiesce. «Plutôt que de dépenser l'argent pour la Crimée, Poutine ferait mieux de nous aider, nous qui vivons ici de manière misérable», plaide la jeune femme, abandonnée par son mari… et par l'État, dit-elle.
Inédit, ce discours se répand dans la province russe, naguère inconditionnellement acquise au chef du Kremlin. Au lendemain de l'annexion de la Crimée, la popularité de ce dernier avait explosé. En octobre 2014, au moment où tombaient les premières sanctions occidentales, son action était approuvée par 88 % de la population. C'était l'époque où des intellectuels et des artistes russes autrefois critiques professaient leur admiration pour ce président qui avait «relevé leur pays» et faisait jeu égal avec les puissances occidentales. La dernière enquête du centre Levada Centre, publiée en février, voit ce taux de popularité tomber à 64 %, et de surcroît plus grand monde ne croit à la fiabilité des sondages relatifs au président.
«Les gens commencent à murmurer qu'on aide tout le monde, la Crimée, Donetsk, la Syrie, et qu'il ne leur reste plus rien à eux. Il y a une certaine injustice»
Galina Dereglazova, collaboratrice de Russie juste
L'annonce, l'été dernier, d'une hausse de l'âge du départ à la retraite, couplée à un retour de l'inflation et à une augmentation des tarifs communaux, tend à agir comme un miroir déformant des succès géopolitiques de Poutine, relégués, eux, au second plan. «Les gens commencent à murmurer qu'on aide tout le monde, la Crimée, Donetsk, la Syrie, et qu'il ne leur reste plus rien à eux. Il y a une certaine injustice», estime Galina Dereglazova, collaboratrice de Russie juste, un parti traditionnellement loyal à l'égard du président, en passe d'être repris en main par le Kremlin. Avec 14.000 roubles de retraite (190 euros), elle se considère mieux lotie, mais peste contre l'augmentation des tarifs communaux qui absorbent près d'un tiers de son budget. «Nous n'avons jamais vécu aussi mal», dit cette résidente de Chakhty, une métropole minière de 230.000 habitants, rendue célèbre en janvier par une explosion de gaz qui a fait cinq victimes dans un immeuble d'habitation. Le long de la rue de la Paix, près du monument de Lénine où Pavel et Natacha promènent leurs deux fillettes, le couple se plaint des «guerres de Poutine» qui, selon eux, les appauvrissent. «Et maintenant, on est passé au Venezuela!», soupire le père.
Poutine jugé responsable des problèmes du pays
Lors de son adresse à la nation, le 20 janvier, le président a tenté de rectifier le tir. Tout en attaquant Washington et en vantant la puissance de frappe des nouvelles armes balistiques nucléaires russes, il a promis une amélioration, dès 2019, du niveau de vie de ses concitoyens. Celle-ci devrait notamment concerner les familles à partir du troisième enfant. «La pauvreté écrase littéralement les gens», a dénoncé le chef du Kremlin, mais ses sages paroles n'ont pas permis d'inverser les courbes. 55 % des Russes jugent leur président personnellement «responsable» des problèmes du pays. «De plus en plus de gens commencent à comprendre qu'il n'y a pas de différence entre le bon tsar et ses boyards incompétents», ironise Elena, gérante d'un café de Krasny Souline, en référence à l'entourage qui constituait autrefois la cour du souverain.
Selon les sondages, les jeunes générations sont les moins enthousiastes à l'égard de l'annexion
Avec son cinéma rénové qui projette un blockbuster russe, cette autre bourgade minière de 38.000 habitants est un peu moins démunie qu'Almazny, mais les carcasses de l'ancienne usine de métallurgie, qui employait plus de 5000 personnes au lendemain de la chute de l'URSS, s'étendent comme des verrues à deux pas du centre-ville. Symbole tout aussi traumatisant, le monument érigé en mémoire des «travailleurs» tombés lors de la grande guerre patriotique est laissé à l'abandon. «Notre situation économique est meilleure que dans les territoires voisins, notre travail de recherche d'investisseurs se poursuit mais pas au rythme qu'on voudrait», reconnaît Larrissa Khiltchenko, première adjointe de la communauté minière. Cette fonctionnaire se félicite néanmoins d'avoir attiré deux PMI dans le bassin dont l'une, Guardian Glass, à capitaux américains, emploie 300 personnes. Parallèlement, l'une de ses collaboratrices, responsable des affaires sociales, détaille le menu des festivités du 18 mars: concert et manifestation devant la statue de Lénine, expositions de dessins dans les crèches et les écoles consacrées au thème «La Crimée russe et Sébastopol»… «Notre objectif est de faire participer les jeunes générations à ces actions patriotiques», insiste Lada Matvienko. Selon les sondages, ces dernières sont les moins enthousiastes à l'égard de l'annexion. En face du bureau municipal, sur la place de Krasny Souline quasi déserte, deux adolescents de 16 ans prénommés Sergueï tuent le temps en faisant cracher les décibels de leur enceinte portative. Difficile de savoir ce que ces jeunes Russes ont dans la tête. L'un récite sur commande une ode à Vladimir Poutine. L'autre prévoit de s'engager dans l'armée, tout en s'interrogeant: «Que faire d'autre?» En attendant, ils assisteront au concert anniversaire.
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NUS Law propose des doctorats entièrement financés dans votre domaine de droit, Singapour
NUS Law propose des doctorats entièrement financés dans votre domaine de droit, Singapour
La Faculté de droit de l’Université nationale de Singapour (NUS Law) est l’un des principaux lieux de recherche juridique en Asie. Il a une culture de recherche active avec sept centres de recherche, un éventail intense et diversifié d’événements et de séminaires de recherche, et un grand nombre d’éminents chercheurs qui le visitent du monde entier. En 2021, la faculté de droit a été classée 8e…
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Amman - Jordanie
Amman est la capitale de la Jordanie depuis 1921.
À l'époque romaine, elle est appelée Philadelphia et apparaît dans la Bible sous le nom de Rhabbat Ammon. Elle est d'ailleurs l'une des plus vieilles villes du monde à être toujours habitée. Avec plus de 4 millions d'habitants en 2016, elle est la plus grande ville de Jordanie, constituant le centre administratif et économique du pays.
Amman se trouve dans une zone vallonnée au Nord-Ouest de la Jordanie. La ville était à l'origine bâtie sur sept collines (ce qui lui a valu le surnom de Rome du Moyen-Orient), mais elle s'étend maintenant sur 19 collines (chacune connue sous le nom « jabal » ou montagne). Les principaux quartiers d'Amman tirent leur nom des collines sur les pentes desquelles ils s'adossent. La capitale abrite encore des camps de Palestiniens, créés en 1948 et 1967 en conséquence du Conflit israélo-arabe.
Amman a un climat semi-aride avec des hivers doux et pluvieux. Amman est classé Csa selon la classification de Köppen et sa température moyenne annuelle est de 17,5 °. Les précipitations moyennes annuelles sont de 271 mm et il ne pleut pas de juin à septembre. Janvier est le mois où il pleut le plus avec 62 mm.
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Kemba Walker des New York Knicks a saisi l'opportunité de jouer
De nombreux joueurs de la NBA ont l'expérience de Kemba Walker, mais leurs chances de jouer doivent être décidées par l'entraîneur-chef. Même si Kemba Walker dit qu'il comprend sa force, il peut toujours bien performer. Mais il n'est plus le onze de départ des New York Knicks. Il porte son maillot nba pas cher et s'assoit plus souvent sur le banc.
C'était le sommet de sa carrière pour Kemba Walker, 31 ans, mais ce n'est que récemment qu'il a marqué 29 points lors du premier match de la saison. La ligue a été gravement touchée par l'épidémie récemment, et de nombreuses équipes sont en proie à l'épidémie. Le nombre de joueurs déclenchant des accords de santé et de sécurité a progressivement augmenté, ce qui a conduit au fait que de nombreux joueurs principaux de l'équipe sont également entrés dans la liste COVID-19. Sans les Knicks de New York, qui avaient neuf joueurs déclenchant un accord sur la santé et la sécurité, Derrick Rose aurait raté le match en raison de blessures. Kemba Walker n'a pas pu déterminer quand jouer le match.
Trois matchs en sept jours ont permis à Kemba Walker de saisir l'opportunité de jouer. Son excellente performance de 31,3 points par match a choqué les fans. Les fans ont finalement vu la performance constante de Kemba Walker, et son n ° 8 des maillot New York Knicks était également au centre de l'attention du public. Les fans de Madison Square Garden l'ont acclamé et applaudi, et son bonheur a également infecté d'autres joueurs. Kemba Walker a été sélectionné quatre fois sur le All-Star et n'a pas reçu trop d'attention des médias, mais il doit faire face à la situation d'être échangé par l'équipe.
https://bellechemise.blog.hu/
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Outlander, le tout nouveau VUS de Mitsubishi
Le 21 juillet 2021
Il y a des marques que je trouve difficiles à aborder. Mitsubishi est l’une d’elles. On entend moins souvent parler de Mitsubishi que de la plupart des autres marques de ce monde automobile. Et pourtant, ce nom est une véritable «vache sacrée» au Japon. Mitsubishi (qui signifie «trois losanges») est un des plus importants «keiretsu» (conglomérats) du Japon. Si vous allez dans ce pays, vous y verrez le nom Mitsubishi partout tant dans le domaine des banques, du financement, de l’atomique, de la chimie, de l’électricité, de la photo (Nikon appartient à Mitsubishi) qu’à celui de l’auto. Parfois, je suis intimidé par tant de capacités…
Mitsubishi a commencé dans le domaine de l’auto en 1917 mais c’est au début de 1970 que la marque a été identifiée comme constructeur automobile au point de vue mondial. À cette époque, Mitsubishi a cru bon de s’associer à d’importants constructeurs dont Chrysler qui fit appel à ce partenaire pour des voitures et des motorisations au cours des années quatre-vingts. Aujourd’hui, Mitsubishi fait partie du trio Nissan-Renault-Mitsubishi tel que créé par le maintenant «célèbre» Carlos Ghosn. Le constructeur a connu des heures de gloire en Amérique du Nord durant les années quatre-vingts et quatre-vingt-dix surtout avec de robustes VUS comme le Pajero…
Puis, il y a eu une sorte de période de ralentissement pour la marque surtout aux États-Unis. Toutefois, au Canada, la situation était différente, plus glorieuse. Il y a donc eu une séparation des opérations nord-américaines et Mitsubishi Canada est devenue indépendante de l’administration américaine. Entretemps, la marque est devenue l’alliée de Nissan et Renault au Japon ce qui explique pourquoi certains nouveaux modèles de la marque soient maintenant issus de cette union. Le tout nouvel Outlander, dont il est question cette semaine, est un des premiers résultats de cette nouvelle organisation.
Le tout nouveau Outlander de Mitsubishi attire l’attention avec son avant stylisé! (Photo Éric Descarries)
En effet, l’Outlander 2022 repose désormais sur une plateforme Nissan, dans ce cas, celle que l’on retrouve sous le petit VUS Rogue. Voilà ce qui explique la disparition du moteur V6 du catalogue des Outlander. Mais, ce Mitsubishi conserve une identité qui lui est propre et c’est pourquoi l’Outlander 2022 est disponible avec la capacité de sept passagers…ou presque!
Toutefois, l’arrière fait plus «mainstream», plus reconnaissable…(Photo Éric Descarries)
En ce qui a trait à l’apparence extérieure du nouvel Outlander, je vous laisse la juger par vous-mêmes. Vous remarquerez certes que le design de l’avant est plutôt original avec ses phares placés sous les clignotants. Pour plusieurs, ce dessin fait plutôt «Star Wars» mais il n’est surtout pas déplaisant. Qu’importe, on reconnaît aussitôt un Outlander lorsqu’on en croise un (ce qui n’est pas la caractéristique de la plupart des marques!). Par contre, pour le reste, l’Outlander reprend le même thème que la plupart de ses concurrents sauf qu’il présente un empattement un peu plus allongé question de pouvoir accommoder ses sept passagers.
Toutefois, c’est vraiment à l’intérieur que l’Outlander se distingue de ses concurrents (Toyota RAV4, Ford Escape, Chevrolet Equinos, Hyundai Santa Fe, Kia Sorento et autres) incluant son proche cousin, le Nissan Rogue. On pourrait dire que c’est dû au fait qu’il puisse accueillir sept personnes à son bord (on y revient) mais en vérité, c’est surtout grâce au dessin de son tableau de bord et surtout à sa sellerie et à sa finition intérieure.
Le tableau de bord de l’Outlander est très élégant! (Photo Éric Descarries)
Oui, le tableau de bord est différent. On pourrait lui reprocher un air un peu classique mais les designers de la marque lui ont ajouté des touches personnelles qui le distingueront de l’approche de plusieurs concurrents. Comme l’on peut s’y attendre, l’instrumentation informatisée «vidéo» est minutieusement disposée dans une «niche» devant le conducteur alors que le centre de la planche de bord est occupé par un écran de bonnes dimensions. Mais dans le cas de la version haut de gamme qui m’a été prêtée par Mitsubishi Canada, on remarquera d’abord la finition de bois à la base de cette planche de bord et la finition de la sellerie de cuir de cet habitacle. Celle-ci est encore plus remarquable dans les motifs en losange des sièges. Question détails, j’ai apprécié la projection du compteur de vitesse dans le pare-brise ce qui, selon mon opinion, devrait être obligatoire sur toutes les autos.
Les places du centre sont relativement généreuses. (Photo Éric Descarries)
Si l’on ne change pas la position originale des sièges du centre, leurs occupants jouiront de beaucoup d’espace pour les jambes. Cette banquette du milieu peut se transformer en deux sièges individuels si l’on abaisse l’appui-bras central qui incorpore des porte-gobelets. Ces sièges peuvent se déplacer sur rails pour certains ajustements. Toutefois, ces rails servent aussi à déplacer les sièges pour atteindre les place toutes à l'arrière. Et c’est là que ça se gâte! Pour transformer l’Outlander en véhicule à sept passagers, les ingénieurs de la marque ont dû sacrifier de l’espace pour les jambes de leurs passagers. La dernière banquette à deux places est, heureusement, repliable dans le plancher ce qui peut donner beaucoup de place aux passagers du centre. Mais si elle est déployée…elle n’est utile que pour deux enfants! Et même là, les sièges du centre doivent être avancés ce qui diminue de beaucoup l’espace pour les jambes de leurs passagers!
Avouons-le, les places tout à l’arrière sont surtout conçues pour les (petits) enfants! (Photo Éric Descarries)
Évidemment, tout cela a une incidence sur les capacités du coffre. Celui-ci est bien si la dernière banquette est repliée. Il est immense et utile si tous les sièges d’arrière sont repliés. Mais il est minuscule si tous les sièges sont en place. Ce qui est notable, c’est que les designers de Mitsubishi ont vu à créer un espace sur mesure pour ranger la toile cache-bagages si celle-ci doit être retirée (quand la dernière banquette est en place!). Heureusement, le hayon s’ouvre et se referme grâce à un moteur électrique.
Si les sièges sont tous déployés, il ne reste plus beaucoup de place pour les bagages ! (Photo Éric Descarries)
En ce qui a trait à la mécanique…elle est désormais typique à Nissan, le nouveau partenaire de Mitsubishi. Donc, le moteur du nouvel Outlander est désormais un quatre cylindres de 2,5 litres qui fait 181 chevaux et 181 li-pi de couple, le même qui anime le Nissan Rogue. Il n’est pas turbocompressé mais éventuellement, Mitsubishi nous proposera une version PHEV (partiellement hybride électrique) du véhicule qui en améliorera la consommation. La seule boîte de vitesses disponible est, vous vous en doutez, une transmission à variation continue (CVT) qui a souvent provoqué des critiques négatives. Toutefois, Nissan nous assure que tous les problèmes y ont été réglés (…le temps nous le dira…) Principalement à traction avant, la motricité peut passer aux quatre roues selon les conditions auxquelles celle-ci est soumise. Un atout pour le climat hivernal québécois…L’Outlander peut remorquer jusqu’à 2000 livres. Curieusement, mon véhicule d’essais était chaussé de pneus Nexen sud-coréen 255-45R20 !
Mon mécano et grand ami Giovanni analyse avec précision ce compartiment moteur se demandant comment il devrait se préparer à toute réparation! (Photo Éric Descarries)
Sur la route
Au départ, je vais l’avouer, j’ai aimé les sensations de conduite du Mitsubishi Outlander. Non, ce n’est pas une «bombe» au point de vue performance. Passer de 0 à 100 km/h peut demander jusqu’à neuf secondes…sinon plus. Mais les reprises sont un peu meilleures, plus rassurantes. Il faut dire que l’Outlander est un véhicule de près de 3900 livres! Toutefois, sur une longue distance, le véhicule est très stable avec une direction précise et un certain silence de roulement (toujours selon les conditions du revêtement). Il est surtout très confortable avec des sièges bien conçus. La visibilité y est aussi bonne tout le tour.
L’Outlander a aussi été conçu pour du déplacement hors-route. Mais il y a fort à douter que plusieurs propriétaires d’Outlander utilisent leur véhicule pour ce faire sauf pour atteindre leur chalet dans les bois ou pour certaines excursions dans des sentiers un peu exigeants ou pour certaines situations en hiver. Mitsubishi a quand même vu à répondre à ces demandes plus exigeantes avec une commande rotative à la console pour de telles circonstances.
En utilisation urbaine, l’Outlander demeure facilement manipulable alors que le stationnement y est facilité par les aides à la conduite (de ce modèle de luxe). La suspension qui semble plus douce sur autoroute deviendra plus ferme sur les revêtements endommagés des petites rues de la grande ville. Mais l’Outlander n’est pas si encombrant en situation urbaine.
En ce qui a trait à la consommation, j’ai obtenu une moyenne de 9,8 l/100 km avec mon calcul à la pompe alors que l’ordinateur de bord indiquait…8,6 ! Mes déplacements ont été partagées moitié route, moitié ville. Je me demande ce que serait la consommation en situation hivernale. Le prix de base d’un Outlander débute à quelque 31 998 $ pour la version ES de base. La finition SEL affichera un prix de 40 208 $ alors qu’une GT Premium comme mon véhicule d’essai sera disponible à 42 178 $.
Est-ce possible qu’en 2021, on voit encore des fautes de français aussi fragrantes sur des produits aussi sophistiqués? (Photo Éric Descarries)
Éventuellement, j’aurai l’opportunité de conduire la version hybride (PHEV) du même véhicule qui devrait être plus économique en carburant. J’espère que d’ici ce temps, Mitsubishi aura vu à corriger l’affichage en français des messages au centre d’information entre les deux cadrans principaux. La traduction y est…disons bâclée ce qui ne devrait pas faire l’orgueil de la faction française de Nissan-Renault-Mitsubishi!
Enfin, si vous vous arrêtez chez un concessionnaire Mitsubishi, vous n’y verrez que des nouveautés car le constructeur japonais a récemment revu toute sa gamme incluant la petite Mirage économique, le VUS compact Eclipse Cross et, bien entendu, l’Outlander et son équivalent PHEV à venir!
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Chronique : Les Brumes de Cendrelune. Tome 1, Le Jardin des âmes. Georgia Caldera. Editions J’ai Lu.
“ Je tournai la tête, stupéfaite, et crus distinguer à travers la brume et la pénombre du soir une minuscule silhouette au centre du pont menant à l’édifice, des centaines de mètres en contrebas “
- Céphise - Chapitre 27, page 226
Hey petit dailycteur !
Aujourd’hui, je vais te parler de ma dernière lecture : Les Brumes de Cendrelune. Le premier tome “ Le Jardin des âmes “. Écrit par Georgia Caldera aux éditions J’ai Lu.
Voici un petit résumé :
Au Royaume de Cendrelune, les dieux épient les pensées des hommes. L’Exécuteur, appelé l’Ombre, condamne tous ceux qui nourriraient des envies de rébellion. Sous l’œil attentif d’Orion, le plus puissant des Dieux. Céphise, jeune fille de dix-sept ans souhaite se venger. En effet, quelques années plutôt, on l’a amputée d’une partie d’elle-même et privée de sa famille. Cependant, il se pourrait qu’elle ne soit pas la seule.
M o n A v i s :
Je remercie les éditions J’ai Lu pour nous avoir édité cette pépite ! Georgia Caldera nous transporte magistralement dans son univers dystopique et fantasy ! Une belle surprise !
Dans un premier temps, la couverture m’a beaucoup intriguée. Une jeune femme vêtue de noir, tête baissée. En arrière-plan, un monde qui semble se détruire. Mais que pouvait bien raconter ce roman ? La couverture fut l’un des responsables de cette lecture, elle donne un côté intriguant à l’histoire.
Dans un deuxième temps, j’ai apprécié l’histoire. Georgia Caldera a écrit une histoire très bien construite. Elle pose les bases dès les début, on découvre petit à petit l’univers. Dès les premières lignes, un malaise s’installe. On a l’impression de vivre ce que les personnages vivent et c’est très percutant et déroutant à la fois. L’autrice nous plonge et nous décrit habilement ce monde dystopique et fantastique. Certains moments sont difficiles à lire mais utiles et nécessaires pour comprendre à quel point le pouvoir des Dieux sur les Hommes est puissant.
Georgia Caldera maitrise parfaitement ses personnages. Ils sont tous bien distincts et nous nous souvenons de la plupart à la fin de notre lecture. Ils sont très bien développés. Ils sont attachants et humains. J’ai une préférence pour Céphise et Verlaine, les deux protagonistes principaux. Céphise, vengeresse et fille débrouillarde qui n’a peur de rien. Verlaine, personnage torturé, qui souhaite se libérer de son passé.
Comme vous l’aurez compris, ce livre a été une claque intersidérale ! J’ai été happée par l’univers dès le début de ma lecture et ce, jusqu’à la fin. L’autrice a fait un travail incroyable, que ce soit pour l’univers, magistralement bien décrit pas à pas de la lecture. Je vous conseille vivement ce livre ! J’ai hâte de lire le deuxième tome, qui s’annonce aussi grandiose que le premier !
M a N o t e :
⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ /5
UN COUP DE CŒUR !!!
À plus tard les addicts de livres !
#les brumes de cendrelune#lesbrumesdecendrelune#georgiacaldera#editionsjailu#jailu#poche#fantasy#dystopie#cephise#verlaine#COUPDECOEUR2021#coup de coeur 2021
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[TOP FILMO #4] Sept beaux films au compteur pour la cinéaste indépendante Kelly Reichardt. Indépendante comme les personnages de ses films, qui font partie principalement de la marge américaine d’hier et d’aujourd’hui. En ont résulté un road movie révélateur (‘River of Grass’), des amitiés masculines sur fond de nature (’Old Joy’) et de commerce dans les premières années de l’histoire américaine moderne (le magnifique ‘First Cow’ encore inédit en France), un film écolo (‘Night Moves’), un western bien à elle (‘La Dernière piste’), une touchante relation entre un chien et son propriétaire (‘Wendy et Lucy’) et la rencontre de destins féminins dans une petite ville américaine sans histoire (‘Certaines Femmes’). Prenant souvent comme sujets principaux des femmes, Kelly Reichardt aura notamment lié un lien particulier avec la toujours étonnante Michelle Williams, présente dans trois de ses films. Enfin à noter, si Dieu le veut, il est prévu que le Centre Pompidou consacre une rétrospective en octobre prochain à cette cinéaste aussi discrète qu'importante. Notre interview de Kelly Reichardt pour ‘First Cow’ (2020) : https://bit.ly/2Oxl2sG Notre top subjectif de la filmographie de Kelly Reichardt (1964-) :
1. First Cow (2020) Notre chronique en avant-première : https://bit.ly/2NywIv2
2. La Dernière Piste (2010)
3. Certaines Femmes (2016)
4. Wendy et Lucy (2008)
5. River of Grass (1994)
6. Night Moves (2013)
7. Old Joy (2006) A&B
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