#semaine bleue
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tricycle-jaune · 2 years ago
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c’est terrible parce que j’arrive plus du tout à me concentrer au travail, genre, on m’a désigné pour un BET de projet à la rentrée, en l’occurrence, de créer des tutoriels vidéos, jusque là ça va, j’en avais déjà fait, sauf que je sais pas pourquoi, t’as l’équipe qui s’est mise en tête que “faudrait utiliser d’autres outils” parce que manIfEstMenT un outil gratuit “c’est la lose��� et qu’il faut que ça soit “plus sérieux” j’imagine, bref, du coup, j’suis obligée d’aller demander de l’aide au service informatique et là-bas laisse tomber ils font tous la gueule en mode “pourquoi tu viens me déranger” et ça me fait transpirer, déjà que je déteste dépendre des autres de base, j’vois pas pourquoi on m’a demandé de demander de l’aide justement alors que j’me débrouille très bien toute seule mais comme y’avait la big boss dans l’équipe lors de la prise de décision bah now j’suis obligée et bonjour anxiété que je sens revenir bieeennnn comme il faut, genre ça fait des jours je mange que d’la merde pour combler le vide créer par le stress, je procrastine mes un million d’autres tâches parce que j’ai CELLE CI qui me bouffe l’esprit et genre j’ai l’impression que tant que j’aurai pas fini ces tutos, j’arriverai à rien faire d’autre c’est terrible. pardon pour le racontage de life, fallait que ça sorte right now, puisque de toute manière j’arrive plus à bosser autre chose, j’y pense tout l’temps c’est flippant ça va me hanter jusqu’à septembre cette merde. 
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coovieilledentelle · 7 months ago
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A peine réveillée, vêtue de sa chemise bleue.... une nouvelle semaine...un autre jour, un autre matin, mais toujours l'envie de vivre des moments heureux… en commençant par un bon café. Bon lundi chers amis
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30jourspourecrire · 2 months ago
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L'atelier d'écriture de la semaine 46
Bonjour !
Aujourd'hui, je vous propose un atelier d'écriture à partir du génial ouvrage de Bruno Gibert, Le grand livre de l'inutile (Editions La Partie, 2023). Il s'agit d'un ouvrage espiègle qui s'amuse de la langue et de ses images, une mine d'or pour les expérimentations poétiques.
La page que j'ai sélectionnée aujourd'hui est la suivante :
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Sur le modèle de Bruno Gibert, vous écrirez une liste des choses qui ne servent à rien. Vous pouvez utiliser des images concrètes ou absurdes comme Bruno Gibert, mais aussi métaphoriques. Vous pouvez également changer le thème de la liste : liste des choses bleues - liste des choses énervantes - liste des choses disparues - liste des choses qui volent ...
N'hésitez pas à me taguer si vous partagez votre texte sur Tumblr. J'ai hâte de lire vos listes !
A bientôt :)
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camisoledadparis · 1 month ago
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saga: Soumission & Domination 344
João-1
Depuis qu'il a intégré la colocation, c'est un autre mec. Là où il restait une attitude compassée, s'est développé une aisance, je dirais même une normalité de comportement. L'association qui l'a fait venir continue à regarder par-dessus son épaule. Même s'il est majeur maintenant, il est toujours en France avec un visa étudiant.
Au contact de mes deux " commerciaux " 1ère année, il rentre enfin dans le monde étudiant français. Il faut dire qu'avec ces deux-là je ne m'étais pas trompé non plus ! Ils sont bosseurs mais aussi de bons fêtards. Ils l'ont même fait venir à quelques-unes des soirées de notre école où son exotisme a fait quelques ravages et pas seulement auprès des filles.
Ça + son nouveau logement + une nouvelle garde-robe + ses entrainements avec ma bande + son nouveau travail = un João tout neuf. Le timide et timoré, bénéficiaire des oeuvres sociales d'une association de bienfaisance a cédé la place à un jeune homme ouvert au naturel gai (aussi). Son directeur du dojo de capoeira est aussi très content de lui. Déjà qu'il passait bien avec les jeunes, il est maintenant aussi à l'aise avec les 16-18.
A la montagne, il s'est bien dérouillé même si c'était pour lui la première fois qu'il montait sur des planches. Avec l'enseignement des Chasseurs Alpins, il a fini la semaine capable de dévaler les pistes bleues rapidement et les rouges avec aisance à défaut de rapidité. Par contre il a su glisser sa grosse queue avec maestria entre leurs fesses en remerciement de leurs bons conseils sur les pistes. Et les militaires ne se sont pas privés non plus de lui donner la réciproque.
Coté Client, il fait toujours un tabac. Son accent Brésilien si spécifique les enchante et je ne reçois que des louanges.
J'ai dû prendre en compte les services que me rend André pour le faire passer dans les premiers. En effet chacun y va de sa surenchère pour faire avancer son nom sur la liste des réservations. Bon j'ai attendu quand même qu'il se fasse trois autres clients ttbm avant. André est parmi ceux qui sont montés les plus larges avec ses 7 cm de diamètre.
Je prends le temps d'accompagner João dans ses premiers " services ". Il m'intéresse et en plus il ne conduit pas encore ! Il donne satisfaction aussi à mes clients blacks. Quand je les vois enfoncer leurs matraques noires entre ses petites fesses dorées, ça me fait bander dur !
Et je peux dire que les leurs sont au maxi de leurs extensions possibles après qu'il se soit mis nu et que sa bouche se soit occupée de leurs glands. Si sa gorge profonde ne l'est pas encore suffisamment plus des sexes de plus de 24 cm, il compense par une science de l'excitation de l'extrémité la plus sensible de l'homme, le gland. Chacun de mes clients l'ont supplié de cesser sous peine de tout recevoir sur le visage. Il a le bonheur de disposer d'une langue plus râpeuse que la normale, limite une langue de chat. Et son mentor brésilien lui a parfaitement appris à l'utiliser pour donner du plaisir. Il arrive à faire monter les clients à quelques secondes de l'éjaculation puis à les maitriser pour qu'ils ne se vident pas trop tôt. En plus quand je le regarde faire, je vois que lui aussi se fait plaisir. Et ça, les clients le ressentent aussi. Avec sa pratique de la capoeira, il est très souple quasiment du niveau des gymnastes professionnels.
C'est assez troublant de le voir esquisser une passe de capoeira (pour ceux qui connaissent) et en fin de mouvement se planter sur la mat tendu vertical. Je l'ai vu faire plusieurs fois. C'est magique !
Ça me fait penser que si j'en avais quelques-uns de gymnastes ça étofferait mon offre. A réfléchir...
Si sa gorge manque parfois un peu de profondeur encore, ce n'est pas le cas de sa rondelle. Je le vois sans problème se prendre les bites de 25 à 27 par 6 à 7. Je sais qu'il se prépare avant car sa rondelle reste bien serrée quand même. Il module selon l'attente qu'il perçoit chez le client. Je l'ai vu se planter brutalement sur leurs pieux comme descendre mm par mm les absorbants jusqu'à poser ses fesses dorées sur leurs cuisses.    
Il n'a pas encore fait de cheval mais sait parfaitement trotter et galoper sur de telles montures. Plus je le mate et plus je vois le travail de son mentor. Il retrouve ses marques et les pratiques qu'il avait apprises. On en discute en rentrant à la colocation. Il me raconte un peu ses années de favela. La vie qui pouvait être aussi belle qu'elle était moche pour d'autre. Les revenus procurés par le trafic de la drogue permettaient à son gang de vivre dans l'aisance. Son chef a veillé à ce qu'il soit instruit. Il l'a protégé même des autres membres qui en auraient bien fait un réceptacle à sperme. Il admire mon tatouage qu'il trouve esthétique contrairement à tous ceux qui ornaient la peau des membres de son clan, le chef compris. De ceux-là, il a une aversion.
Il se rappelle les bons moments passés sur les plages quand, pour lui faire plaisir, son mentor prenait le temps de le sortir de sa favela. Il comprend maintenant qu'il prenait des risques rien que pour lui faire plaisir, pour lui offrir des glaces et qu'il vive comme un enfant normal.
Il me dit que reviennent en mémoire les gestes qu'il faisait afin de lui donner du plaisir. Tout ce qu'il lui avait appris remontait à la surface. Je lui dis que je m'en doutais vu la maitrise qu'il montrait lors de ses prestations.
La première fois où nous en avons parlé j'ai dû m'arrêter sur le bord du trottoir pour le prendre dans mes bras.  Puis nous sommes revenus au blockhaus. Pas question de le laisser seul (malgré ses colocs).
Il me remercie. Mais c'est normal. Entouré de nous trois (PH et Ludovic aussi), il trouve la chaleur humaine qui lui avait tant manquée depuis le décès de son mentor.
Il reste aussi toute la nuit, je n'avais pas envie de ressortir.
Sans acte sexuel (il avait déjà donné avec le client), il passe la nuit entre nous. Plusieurs fois je me réveille serré par ses bras. La colocation n'est peut-être pas ce qui lui faut finalement.
J'en discute le lendemain avec PH et Ludovic. Ils ont la même analyse que moi. La colocation c'est mieux que sa chambre en cité U mais encore loin de ce qu'il avait perdu. C'est Ludovic qui propose une solution : le prendre avec nous.
Ce n'est pas que je n'y avais pas pensé mais je l'aime plus comme un petit frère et, pour une fois, j'hésitais à imposer ce choix à mes amours.
Ludovic argumente son option. Il ajoute qu'il serait peut-être temps que la chance se penche sur lui. PH est d'accord. On appelle donc Marc pour le prévenir/avoir son accord. Il connait déjà notre nouveau protégé. Quand je lui fais part de notre analyse et de ce que nous projetions de faire, il m'assure de son complet accord.
Il ne reste plus qu'à avoir l'accord de João. Finalement c'est le plus dur à obtenir. Il trouve que j'en fais déjà suffisamment pour lui. Pour clore le débat, j'arrive avec Samir à la coloc et embarque tout ce qu'il a à lui. Les deux autres comprennent mais je les préviens qu'ils auront bientôt un autre résident.
Nous l'installons dans la chambre à côté de la nôtre au 3ème. Samir et Ammed implantent un bureau et on pose dessus son portable et on ajoute une imprimante. Le soir même je vais le chercher à la sortie de ses cours. Il est étonné, c'est la première fois. S'il est gêné par ma voiture, cela ne se voit pas. Il monte surpris de me voir l'attendre. Retour au blockhaus, jusque-là rien que de presque normal puisqu'on est un soir de sport. Par contre l'arrêt au 3ème et l'entrée dans sa nouvelle chambre, lui coupe les jambes. Il reconnaît son ordinateur et les quelques affiches dont il avait commencé à orner ses murs à la coloc. Je lui dis que nous avions tranché pour lui et qu'à partir de ce soir il était chez lui ici. Sur le bureau j'avais mis un post-it avec ses codes personnels d'entrée sur la rue et celui du monte-charge.
Il essaye encore ce me dire que c'est trop, pour lui que la coloc c'était déjà bien. Je lui dis de se taire et de nous rejoindre en tenue au 2ème, il a des conseils à donner en capoeira.
Je descends et j'ai le temps de me mettre en jock avant qu'il n'arrive. Il y a déjà la moitié des escorts d'arrivés. Il arrive porteur de son large pantalon blanc sans rien en dessous comme il aime le porter pour être plus à l'aise. Nous nous entrainons tous une bonne paire d'heures avec ceux qui nous ont rejoints. Puis comme c'est en début de semaine c'est souvent sans touze à la sortie, il remonte avec nous après nos douches prises tous ensemble.
Je le sens plus gêné avec Samir et Ammed que les fois où il était invité. Je me vois donc dans l'obligation de préciser les choses. Ammed et Samir sont nos hommes de service mais pas des larbins pour autant. Ils ont la charge du blockhaus dans son ensemble bouffe et lingerie comprise. Ils font tout pour prendre en charge les contraintes matérielles afin que nous n'ayons que nos cours et nos " vies personnelles " à gérer. S'il a besoin de quoi que ce soit, il leur demande en premier. Mes deux hommes confirment. S'il a besoin de quoi que ce soit, d'un bloc de feuilles à l'encre pour son stylo plume, d'un boxer à une boite de kpotes ou un tube de gel, il n'aura qu'à leur demander. Pour les déplacements, les bus ne passent pas loin et quand les horaires seront raccords, un de nous trois pourront l'emmener aussi.
Il finit par accepter l'état de fait. Il se lève de table et fait le tour pour nous embrasser un par un. Quel émotif ! Je sens ses joues humides alors qu'il presse son visage contre le mien.
Avant de nous endormir, je mets notre TV sur le circuit interne pour veiller sur sa première nuit chez nous. Une heure plus tard je me réveille alors que João tourne et vire dans son lit. Je le regarde. Il est troublé, pas habitué à son nouvel environnement. Après une demi-heure, je me lève et vais le rejoindre. Je me glisse dans son lit et le prend dans mes bras. Il se calme et s'endort aussitôt. Nous finissons la nuit collés, lui protégé de l'extérieur par mes bras.
Je me réveille avant lui. Je le regarde son visage est détendu, ses long cils noirs caressent ses joues. Ses lèvres pulpeuses légèrement entrouvertes, laissent passer son souffle. Il me fait bander ce petit con.
Le développement de ma bite fait s'enfoncer mon gland entre ses fesses. Evidemment puisqu'il est dos à moi au creux de mes bras !
Je sens qu'à son tour il est réveillé quand ses fesses ondulent et que, ce faisant, il se frotte la rondelle sur mon gland luisant de mouille. Je ne bouge pas. Il donne un petit coup de rein et absorbe mon gland, juste lui. C'est trop bon. Sa rondelle se resserre juste derrière la couronne et colle ma hampe. Il ne bouge plus. Puis il tourne sa tête pose ses lèvres sur les miennes, me souffle un bonjour avant de m'enfoncer sa langue à la recherche de la mienne.
Je n'y tiens plus. J'écrase ma bouche contre la sienne et en même temps enfonce le reste de ma queue dans son cul. On se décolle sous l'effet de nos grimaces respectives. Quasiment à sec, ce n'est pas notre meilleur enculage ni pour l'un ni pour l'autre. Je me retire doucement, bascule vers la table de chevet le temps d'attraper une kpote et du gel et reprend ma position. C'est nettement meilleur ! Lentement je lui laboure la rondelle. Je ressens la compression de son intérieur à chaque pénétration et il gémit doucement, surtout quand mon gland vient frotter sa prostate. Il me tend à nouveau ses lèvres. Sa langue cherche la mienne, l'entoure et tente de l'aspirer. Sans se presser mon bassin bascule régulièrement pour lui enfiler puis retirer mes 20cm. Couchés sur nos côtés gauches, j'utilise ma main droite pour branler ses 22cm dont ma main peine à faire le tour. Ça nous achève rapidement. Il me jute dans la main et ses contractions anales me font à mon tour juter mais dans ma kpote.
Nous n'avons pas le temps de nous décoller que mes deux amours nous sautent dessus. Chahut sur le lit, nos spermes se dispersent sur les peaux et les draps. Quand João s'en rends compte, il veut nous calmer mais c'est peine perdue !
Vu l'heure, nous filons tous sous les douches de la salle de bain commune.
Quand Samir demande plus tard à João comment s'est passée sa première nuit chez nous, il lui répond trop bonne. Je lui dis qu'il devra quand même s'habituer à dormir seul. Enfin tant qu'il n'a pas de petit copain.
Jardinier
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??
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oooohhh
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~~
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ptns-orageuses-rpg · 1 month ago
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TW — dépendance, drogue inventée, médicamentation, violence médicale, oppressions.
La pilule rouge.
Ou l'Érythryle ; pilule nocturne, ne sort qu'aux heures crépusculaires. Rouge de couleur, se trimballe sur toutes les langues comme un mauvais ragot. On la trouve dans les lieux glauques des catacombes et les soirées qui iront d'after en after. Elle te mâche les synapses, les ports picorés d'un bruit blanc nauséeux. L'effet te hit façon camion propulsé sur l'A1. Même pas vingt minutes plus tard, c'est le feu d'artifice. L'Érythryle pulvérise les effets de la Kataline ; elle libère l'altération, en double la puissance. C'est la façon la plus connue de passer au-dessus du traitement sans se faire choper. Ça permet, pour huit heures par prise, de vivre notre "vraie vie". Le truc, c'est que ça a tendance à la raccourcir aussi. Jongler entre les deux traitements, ça en perd certain. Le hangover percute tout aussi fort ; la chute vaut le voyage askip'. Celles et ceux qui la prennent ont tendance à remettre ça. C'est pas vraiment la pilule qui rend nerveux·se, c'est la sensation de liberté qui en découle. Ça vire le mot cage avant thoracique, alors on prend une bouffée d'air à poumons bien ouverts. C'est difficile de se renfermer, après, dans son étroite boîte de silence grise.
La pilule bleue.
Ou Kataline ; minuscule démon rond, bleu délavé. À une époque, ils se croyaient joviales à graver un papillon dessus. Maintenant, c'est tout plat, c'est encore plus déprimant. On se lève, le soir, à 3h du mat : « fais chier, j'ai oublié mon médoc ». Une pilule au réveil, une avant d'aller dormir. La Kataline, plus fidèle que le marchand de sable. Au début, tes parents te forcent à la prendre avec de l'eau ; le bol de chocolat pour les plus fantaisistes. Puis, au fil des années, elle se marie avec tout : jus d'orange, fond de coca débullé, Leffe tiède de soirée. Une liste d'effet secondaire, t'as peur. Un vrai jeu de hasard, une issue différente pour chaque altération. Mes cornes ont arrêté de pousser, mais j'ai de violentes migraines ; parfois, je vois le monde en couleur télé qui capte pas. Ils disent qu'elle arrête l'altération. La vérité, c'est que ça la détraque, la ralentit. Le corps n'aime pas. Il se rebelle. C'est comme ça, on s'y fait.
C'est "obligatoire" pour tout·e altéré·e d'être sous Kataline. Elle est délivrée sous ordo', check up du toubib tous les ans : examen du foie, révise-tout. Elle se trouve remboursée par la sécu, enfin depuis peu. S'ils te grugent à l'arrêter, c'est l'avertissement, l'amende, puis la prison.
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Eh, j'espère que le terrier valait le coup, parce que vous avez été unanimes, ça promet ! On a déjà balancé les deux annexes principales, oép. Il reste des annexes secondaires et les PLs du forum. Oui, déjà. On parle d'ouverture du discord du projet en fin de semaine. Notre travail commence à bien se terminer, c'est en super voie. Du coup, on vous laisse le choix pour le post de demain. On en profite pour vous remercier de l'engouement sur le projet, ça nous fait super plaisir. BREF, à demain, même heure, pour la suite de nos conneries (ptdrr ça y est, ça se pense youtubeurs), Putainement votre, Maxeine & Ekkymose.
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thankyouforthememoriesworld · 3 months ago
Note
The Article Anon was talking about.
Plus vue en France depuis mai dernier, Gabby Williams (1,80 m, 27 ans) vient d'effectuer un retour tonitruant sur les parquets après trois mois sur le flanc (fracture de fatigue au pied) : flamboyante dimanche dernier contre Basket Landes (27 points, 4 rebonds, 5 passes), puis décisive lors de la première victoire de l'Asvel en Euroligue face à Lublin mercredi (73-72). Avant d'affronter Villeneuve-d'Ascq, leader invaincu du Championnat (7 victoires), l'ailière internationale, plus vue en équipe de France depuis un an (forfait pour l'Eurobasket), a confié à L'Équipe sa volonté - et la nécessité - de monter en puissance. Tant en club que chez les Bleues - désormais affranchies de l'affaire Johannès - afin de viser haut aux JO de Paris.
« Après trois mois sans jouer, votre retour a coïncidé avec deux victoires importantes pour l'Asvel. La saison est enfin lancée ?
J'étais un peu surprise que ça se passe aussi bien. Pendant mon absence, j'avais fait en sorte de travailler pour être tout de suite prête à rejouer. Je le devais à mes coéquipières. Je pense que je ne me suis jamais sentie autant en forme.
C'est plutôt une bonne nouvelle pour votre club, qui jusque-là a souffert des absences et pourrait le payer dans ses objectifs ?
Cette équipe est plus forte que l'année dernière. Elle est capable d'assumer ses ambitions et toutes les filles sont obnubilées par la victoire et mettent les ego de côté. On sait qu'il va nous falloir être quasi parfaites chaque soir. À moi de continuer à montrer la voie et de transmettre à la fois le goût de la victoire et la haine de la défaite. Quelque chose de très américain peut-être, ou en tout cas pas assez cultivé en France.
Un état d'esprit que vous allez, sauf surprise, ramener en équipe de France en février prochain ?
C'est au programme, oui ! J'ai vraiment envie de retrouver la sélection. C'est même une nécessité, il n'y aura pas d'autre rendez-vous avant la préparation des Jeux. Reprendre mes marques avec le groupe est primordial.
Les frustrations de la fin de saison dernière et de l'Eurobasket, que vous avez manqués, sont loin derrière ?
C'était tellement déprimant ! Et mentalement si dur à vivre. Il faut se rendre compte de tout ce qu'on donne en cours de saison pour pouvoir vivre ces moments de gloire. Je n'ai pas pu fêter le titre avec Lyon. Puis je me suis retrouvée toute seule pendant six semaines afin de me soigner. Quand on m'a annoncé le temps de convalescence, j'ai compté les jours jusqu'à l'Euro. Et quand j'ai compris que j'allais le manquer, j'en ai pleuré. Retrouver mes proches à Seattle (en WNBA) cet été m'a fait beaucoup de bien.
« Il faut cultiver cette envie de tout jouer et de tout gagner »
Vous reviendrez chez les Bleues avec Marine Johannès, dont l'affaire de son absence de l'Euro semble digérée ?
Il fallait que chacun assume ses choix, ses décisions. C'est du passé, oui. La suite arrive vite et on a tous le même objectif : gagner à Paris. A priori, personne ne souhaite nous voir échouer aux Jeux. Donc mettons tout ça de côté ou derrière et allons de l'avant.
Le mois dernier, sur les réseaux sociaux, vous aviez pourtant publié un message, fort, de soutien à votre coéquipière...
(Elle coupe.) C'était dans la foulée de sa défaite en finale WNBA avec New York. Aucun rapport avec les Bleues ou la Fédération. Je l'admirais avant même de la côtoyer. Quand je l'ai vue pour la première fois je me suis dit : il n'y a aucune autre fille comme elle dans le monde. Je le répète souvent, j'ai l'impression qu'on ne se rend pas assez compte de toute ce qu'elle apporte au basket français, tout comme du niveau d'exposition auquel elle est confrontée. Pour en revenir au message, j'étais simplement déçue pour elle. Ce n'est un secret pour personne que nous sommes très proches. J'ai donc vu ce que les gens ne voient pas en coulisses, l'abnégation dont elle a fait preuve pendant ces mois difficiles. Vous avez vu son émotion après le titre en Ligue féminine non ? Mais ce message, j'aurais pu l'écrire pour n'importe laquelle de mes coéquipières.
Avez-vous regardé l'Euro ? Va-t-il falloir rattraper le temps perdu en vue des Jeux ?
Je n'étais pas dans le groupe, donc je n'ai pas à juger. On s'est beaucoup focalisé sur ce qui manquait à cette équipe plutôt que ce dont elle disposait. Nous avions tout ce qu'il fallait. Pour la deuxième question, c'est en partie vrai. Personne ne veut aller à l'autre bout du monde en février (pour le TQO en Chine), on préférerait se reposer. Mais c'est indispensable car il faut cultiver cette envie de tout jouer et de tout gagner. Je veux gagner une médaille avec la France. Mais c'est trop facile pour les joueuses ou la Fédération de dire qu'on veut gagner ou qu'on vise l'or. Tout le monde voudrait l'or, non ? Il reviendra à ceux qui auront tout mis en oeuvre pour y arriver. »
thank you so much, everyone is going to be able to read it now 💛
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perdrelacellule · 11 months ago
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La semaine dernière ma carte bleue était refusée à Action et cette semaine je commande du château Margaux à la Baule.
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pitite-xena · 5 months ago
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Je vous montre l'avancée des travaux dans mon appart parce que je viens de passer deux semaines dessus et franchement je suis assez fière du résultat!
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Mon salon, qui a la base était tout blanc moche. Enfin déjà j'aime pas quand c'est tout blanc, je trouve que ça fait hôpital mais en plus là les murs sont en planches genre palette ???? Qui fait ça ? Mais je suis contente avec mon bordeaux ça donne un côté chaleureux. Et de l'autre côté c'est gris à paillettes donc forcément je suis contente.
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La chambre de Noiraude. Qui a la base était blanche et bleue. Maintenant on est dans une ambiance princesse, j'adore.
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Ma chambre. Après 6 appartements à écouter mon papa, j'ose enfin me faire plaisir et foutre du noir sur mon mur. J'en ai chier de fou avec le noir qui dégoulinait toujours sur le rouge, j'ai fait des tâches partout sur le parquet mais ça y est j'ai réussi et je kiffe de fou.
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Le gros chantier, la salle de bain. Mon papa s'est arraché les cheveux dessus pendant une semaine et demie pour virer le sol hideux et remplacer la baignoire. Puis devant l'ampleur du truc j'ai fait appel à des ouvriers. Ils devraient finir demain, j'ai hâte de voir les photos une fois terminé !
Il me restera le couloir à repeindre et la chambre de Flocon à retoucher un peu à base de mur de peinture ardoise et de drapeaux pirates. Ensuite va falloir tout aménager. Ça m'épuise d'avance mais au final, on va être bien. ❤️
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unistoujourszine · 3 months ago
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Le 15 Octobre approche à grande vitesse, plus qu'une semaine avant la fin des leftover sales/invendus ! N'hésitez pas à faire un tour sur notre boutique si vous souhaitez commander un exemplaire, car il ne reste que quelques jours pour le faire.
Pour ce qui est du stock, nous avons écoulé tous les packs Légendaires et Fabuleux, ainsi que tous les porte-clés. Il reste une dizaine de packs Escouade bleue à l'achat ainsi qu'une quinzaine voire vingtaine d'exemplaires pour le reste du merch. En revanche, il ne reste plus que 5 tote bags !
Nous avons eu quelques questions sur la date de livraison prévue. Comme indiqué sur le site lors de l'achat, les paquets seront envoyés par la poste courant Octobre. Nous nous en occuperons cette semaine et la semaine prochaine, alors pas d'inquiétude, votre zine arrive bientôt ! 💛
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beclumsy · 2 months ago
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Il y a quelque chose de sidérant à l'idée d'avoir été trompée. Trompée au sens large du terme. Arnaquée, blousée, dupée, bernée, appelez ça comme vous voulez, la langue française déborde de synonymes visiblement – je sais, j’ai googlé. J'ai été dans la sidération la plus totale quand j’ai appris que l’histoire que je pensais vivre n’était pas réelle, ou du moins, pas celle que je croyais. Car j'ai beau savoir comment me présenter au monde comme une adulte responsable, fiable et payer mes factures à l’heure, l'inenvisageable venait de se produire : j'avais passé presque un an à jouer à un jeu de cartes avec quelqu'un sans connaître les règles et je venais de me faire plumer comme la gamine fleur bleue, naïve, romantique et romanesque, que je suis encore, éternellement.  L'homme avec qui j'étais m'avait menti, sur tout, tout le temps, depuis le début. Il m'avait menti sur ce qu'il était, sur ce qu'il voulait bien me donner ou me faire croire qu'il me donnait, sur ce qu’il ressentait, sur notre complicité, sur ce qu'on pouvait construire ensemble, sur ses intentions, sur les règles du jeu donc. Et sur la nature du jeu lui-même finalement puisqu'il le menait en parallèle avec des dizaines et dizaines d'autres femmes. Puisqu’il faisait ça depuis toujours. Et je ne pouvais même pas me dire que j’avais été choisi pour ce que j'étais, tout juste pour ce que je représentais : je n’étais qu’un dommage collatéral de sa pathologie, de sa quête sans fin, un plot sur sa route qui a servi un dessein un temps. Ça aurait pu être n’importe quel autre plot je crois (dans un monde où les plots auraient des ��mes, des seins de fou et un prêt immobilier à 1%). C’est complexe de ne pas être singulière quand on est au centre d’une histoire hors normes. Dire que j’ai pris une claque serait un sacré euphémisme. J’ai pris un colossal coup de pelle sur la tête qui m’a propulsée directement vers le noyau de la Terre – ce n’est pas pour rien que j’ai passé des jours allongée par terre justement, chez moi, les paumes de mains pressées fort contre le carrelage de la véranda, comme pour m’assurer que le sol ne se dérobait pas réellement sous mon poids. J’étais ahurie, abasourdie, les yeux dans le vide, sans larmes au départ, inondés de pleurs les jours passants, incapable de parler d’autre chose, de manger, de dormir, de savoir même ce que je ressentais. À part peut-être que mon cerveau rationnel avançait dix fois plus vite que ma psyché et mon corps dans cette immense déferlante, cette nouvelle déferlante qu’il fallait bien surfer pour ne pas se noyer. Sans planche. J’ai d’abord eu l’impression d’avoir été contaminée par un virus, pervertie par un truc impensable pour moi : je sais mentir quand il faut, les gentils white lies qui n’ont pas d’impact, les petites manipulations du quotidien qui ne font de mal à personne, mais pas au-delà. J’étais face à du sumérien, incapable de savoir par quel bout attaquer la traduction, ni quel dico employer. J’ai hurlé à la mort, vomi, bu des litres d’eau pour éliminer cet intrus invisible. J’ai voulu cramer ma maison parce qu’il y était entré, passer mon chien à la Javel parce qu’il l’avait touché, m’arracher la chatte à mains nues parce qu’il m’avait baisée. La nausée du matin au soir, même devant sa foutue sauce césar dans le frigo, même devant ses cheveux qui trainait encore dans mes draps, surtout devant ses putain de cheveux. Un monstrueux dégoût que je n’avais pas ressenti depuis la dernière fois que j’avais essayé de manger de la soupe. J’ai ensuite passé des semaines à raconter, à répéter la même histoire, la même chose, les mêmes mots, les mêmes détails sordides, aux amis, aux collègues, à qui voulait bien l’entendre, et ce, jusqu’à en faire une parfaite représentation son et lumières, jusqu’à l’overdose, jusqu’à ce qu’elle ne m’appartienne plus vraiment, qu’elle soit désincarnée, que ce ne soit plus moi mais ce personnage de fiction qui me ressemble drôlement (mais qui serait incarné à l’écran par Margot Robbie), à qui il était arrivé un truc inconcevable.
Et puis plus rien.
C’est à la fois comme si le courant ne s’était pas rétabli alors même que je croyais avoir relevé le disjoncteur, et comme si le court-circuit était encore en cours. Je grésillais.
Alors j’ai fait ce que je fais toujours dans ces cas-là : j’ai allumé le moteur de secours et j’ai foncé dans la nuit en espérant que l’immense bordel dans ma tête se dissiperait si je roulais assez vite. Ça marche bien pour les nuages et la fumée. Depuis la fin de l’été et la fameuse découverte, je suis devenue une boule de contradictions. Je m’en fous de tout et je prends tout trop à cœur. Je ne tolère pas la frustration et je me fais envahir par la tristesse de manière totalement désordonnée. J’oublie de manger, je dors peu, je bois trop, je sors trop, j’écoute de la musique trop fort, je parle trop pour combler le vide que la sidération a laissé. Je ne m’occupe pas de moi parce que c’est trop compliqué, trop pénible, parce que je ne sais même pas comment, alors que je sais aussi pertinemment que ce serait la seule chose à faire actuellement. S’il y avait des JO de la fuite en avant, je serais triple médaillée d’or depuis 1993. Je me laisse porter par la vie tout en ne supportant pas d’en perdre le contrôle. Je ne suis plus connectée à mon instinct, mon ressenti, mon corps, mes sens, mon désir, tout en devenant trop intense, trop urgente, trop tout court. Je me précipite dans le moindre rayon de lumière comme une saloperie de papillon de nuit parce que je ne ressens plus rien du tout, et aussitôt, je ressens tout trop fort jusqu’à me faire flinguer par l’ampoule, brzzz. J’attends trop, je demande trop, je veux tout, sans filtre, sans distinction, comme dans la fin de "Night Came" de Money quand on ne sait plus du tout qui chante, ni qui joue de quoi. Comme une gosse qui fait un énorme caprice, parce que je sais foncièrement que je ne méritais pas ça, parce que c’est injuste et que j’ai envie de me rouler par terre à défaut de savoir quoi faire d’autre de moi.
La violence de cette histoire a été telle pour moi – Jean-Michel Honnêteté 3000 – que j’ai, en ce moment, un besoin quasi-obsessionnel de vérité. Je la cherche partout cette vérité, comme si elle existait quelque part, comme si elle était absolue. Les Anglais utilisent l'expression craving the truth et je crois que ça correspond profondément à ce que je ressens depuis quelques mois : un désir impérieux de vrai, de réel, d’organique, d’authentique, qui explose tous les autres. Et qui s’accompagne d’un besoin démesuré de douceur, de sécurité, si rare ces dernières années. Du doux, du moelleux, de la matière où, pendant quelques heures, on ne peut pas se faire mal, être blessée, où on n'a rien à affronter. J’ai traversé Paris en écoutant WU LYF beaucoup trop fort ce soir. J’ai attendu d’être à la bonne distance du Pont au Change pour lancer "14 Crowns for Me & Your Friends" et que le moment où le morceau escalade totalement à la fin tombe pile sur la traversée de la Seine. Je me suis plantée de timing parce que je n’ai aucun sens des distances ou des mesures (et qu'un kilomètre équivaut probablement à six paquets de pâtes), alors j’ai recommencé avec "Heavy Pop". Le premier coup de batterie a résonné dans ma cage thoracique jusqu’à ce qu’un flot de larmes s’écroule sur mes joues et mon écharpe. Et pour la première fois ce soir, je lui en ai voulu à mort. Je l’ai haï de toutes mes forces de m’avoir fait vivre ça, de m'avoir arraché un peu d'innocence, de spontanéité, de temps probablement parce que je sais qu'il est si précieux, d'espoir sûrement aussi. J’ai eu envie de le fracasser. J'étais en colère. J’ai vécu assez de deuils récemment pour savoir que je viens de franchir une nouvelle étape. Les prochaines ne vont pas être les plus fun, mais j'ai l'habitude maintenant – c'est fascinant d'être un énorme sucre d'orge en Téflon. Et au moins, ce soir, je me suis arrêtée au feu rouge avant de traverser.
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birbliothecaire · 2 months ago
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Bref l'histoire avec Spirou c'est que quelques jours plus tôt, quelqu'un a trouvé des caricatures archi racistes dans le dernier album. Genre vraiment, crades, les gens noirs dessinés comme des singes, comme ça, en l'an de grâce 2024.
Alors, avant de commencer, mettez-vous à ma place deux secondes. Il se trouve que je sais, de source sûre (le journal de spirou) qu'il y a un tome de Spirou qui doit sortir en Octobre, Mémoire du futur, la suite directe de l'album La mort de Spirou et qui fait des références à d'autres albums plus anciens, notamment l'album de 1998 Machine qui rêve. Dupuis est archi-hype, y a des interviews de l'auteur, je suis archi-hype, et puis je vois la sauce sur "le dernier album de Spirou" et je me dis oh nonnnnnnn y a des caricatures archi-racistes dans Mémoire du futur.
C'est logique, parce que, au moment où je vois la sauce, il est sorti depuis genre une semaine. Ça paraît même cohérent tendance bah, hommage à des albums anciens, ils ont voulu respecter un trait qui à l'époque faisait pas sourciller mais ne passe plus du tout maintenant - notez qu'il y a pas spécialement de caricatures racistes dans Machine qui rêve mais vous voyez l'idée, je passe de archi hype à archi deg, j'ai pas encore reçu ma dernière commande je me dis que je vais devoir renvoyer le Spirou direct, ça soûle.
Bref, la sauce prend pendant ptet 3 jours max avant que Dupuis sorte un communiqué dans lequel il annonce que, ayant entendu les récriminations du public, ils retirent l'album du circuit de distribution.
Sauf que bah. En fait c'est pas Mémoire du futur.
C'est un album de l'année dernière, septembre 2023, La gorgone bleue ; un album qui ne fait pas réellement partie de la série Spirou et Fantasio mais qui s'intègre à la série Spirou et Fantasio par..., un ensemble de BDs plus grand format dans lesquelles Dupuis laisse des auteurs divers faire mumuse avec l'univers de Spirou sous forme de spin-offs, et même si la moyenne qualité est plutôt haute (un peu parce qu'Emile Bravo fait remonter la note à lui tout seul avec les 5 tomes de L'espoir malgré tout mais quand même) bah y a à boire et à manger dedans hein, ça dépend qui écrit et qui dessine.
Et en fait j'ai jamais vu passer cette sortie là. A priori, au vu des réactions à la sauce qu'elle se prend, je suis pas la seule, mais bon moi je fais de la veille documentaire et j'avais quand même pas vu passer cette BD là. Et en l'occurrence, Yann et Dany, l'auteur et le dessinateur, sont quand même des gros noms qui ont bossé sur trop de trucs pour que je les cite, alors même si c'est juste un spin-off de Spirou c'est un peu bizarre que ça ait pas fait tant de bruit. Et puis, la rapidité avec laquelle Dupuis a réagi après coup, ça donne un peu l'impression qu'ils se rendaient un peu compte, je sais pas, genre, ils ont sorti le truc en scred en espérant que ça passe et puis un an plus tard quand enfin quelqu'un lit cette BD et réalise qu'elle craint, ils avaient le communiqué tout prêt à sortir pour dire que ok ils vont l'enlever.
Après, Rutile, la meuf de Colossale qui maintenant gère l'édition de webtoons chez Dargaud (est-ce qu'on parlera un jour des éditeurs qui se mettent aux plates formes en ligne, peut-être) disait après coup sur son Twitter que oui en vrai y a quasi pas de travail d'édition dans la BD maintenant et donc c'est entièrement possible que Dupuis ait juste laissé Dany et Yann en roue libre, surtout puisque c'est des gros noms, et sorti leur truc sans que personne vérifie ce qu'il y a dedans. Je vais la croire parce qu'elle s'y connaît sûrement mieux que moi sur le sujet. Quand même l'impression que quelqu'un a vu que ça craignait un peu et avait le doigt sur la gâchette au moment où quelqu'un d'autre s'en rendrait compte.
Mais du coup, voilà. Ça a lancé un peu de discussions autour des représentations racistes dans la BD et je sais pas si ça a vraiment secoué qui que ce soit, mais elle a le mérite d'être lancée. Je vous dirai si je vois des développements intéressants.
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fidjiefidjie · 2 years ago
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Bon jour et bonne semaine ☕️ 📰
Place de la Bourse ,dans les journaux les détails du 1er essai nucléaire français, la bombe "A" dite "Gerboise bleue"🗼Paris 1960
Photo STF/AFP 13 février
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jogallice · 3 months ago
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0️⃣ La lettre d’infO
Sélection quotidienne à destination des réseaux sociaux et autres messageries instantanées en provenance directe de mon infolettre 📧
1️⃣ Les Journées, j’adOre
Aujourd’hui, samedi 05/10/24, 10e Journée nationale de la marche nordique 👟 et Journée mondiale des enseignantes et des enseignants 🧑‍🏫 Ou Journée mondiale des enseignant·es 😉
2️⃣ L’actu, point trop n’en faut
Les coulisses de la cuisine centrale toute la matinée. Visite des lieux par les cuisiniers, dégustation de produits confectionnés par la cuisine centrale, l’entrée est libre et gratuite ❤️
Le FC Annecy (7e avec 12 pts) recevait le Red Star FC (14e avec 7 pts) hier soir à 20h et s’est imposé 1-0 sur sa pelouse du Parc des Sports 💪 Trois points de plus au compteur pour cette 8e journée, sur 34, du championnat de France de Ligue 2 ⚽ Bravo les Rouges et Blancs 👏
Festi'Boudul aujourd’hui ou les 50 ans de la réserve naturelle du Bout du lac. Découverte des richesses de la nature à travers d'ateliers ludiques, scientifiques et créatifs, pour petits et grands. Partagez le gâteau d'anniversaire et dansez au bal des castors (déguisés si vous voulez) 🎂
Deuxième jour de la Fête de la science 2024 qui a lieu jusqu’au lundi 14/10/24. L’évènement est coordonné par la Turbine Sciences sur toute la Haute-Savoie. De multiples propositions dans l’agenda 🔬
Avant-dernier jour de la Vél'optimiste solidaire : 8e édition de cette randonnée itinérante mixte destinée aux personnes ayant eu des problèmes de santé ou atteintes d'un handicap. Un itinéraire à vélo entre Annecy, Chanaz, Sevrier et Sillingy ❤️
Sixième jour de la Semaine Bleue qui se déroule cette année du 30 septembre au 6 octobre 2024. L’évènement englobe la Journée internationale des personnes âgées (mardi) et la Journée nationale des aidant·es (dimanche) 🧓
Dernière ligne droite de la Semaine européenne du développement durable (SEDD) qui a lieu du 18 septembre au 8 octobre 2024 👍
3️⃣ L’agenda, l’agendalp pour les ancien·nes
🧺 Trois marchés le samedi à Annecy ➡️ Marché du boulevard Taine (alimentaire et produits divers) ⌚️ 7h-13h ➡️ Marché de Vieugy (marché alimentaire) ⌚️ 8h-12h ➡️ P'tit marché du Vieux Meythet (marché alimentaire) ⌚️ 8h30-12h30 🍴
👀 Dernier jour❗️Installation : Cavités habitées de Sarah Battaglia ➡️ Explorez la biodiversité visible et invisible au sein de cet espace refuge qu’est le cimetière (proposition artistique multi-matériaux) ℹ️ Jusqu’au sam. 05/10/24 🎫 Accès libre 📆 Sam. 05/10/24 ⌚️ 7h30-20h 📍 Cimetière des Glaisins (rue de la Frasse) 🪦
⛵ Championnat régional : Voile radio commandée - DF 65 ➡️ Compétition sportive : Comme chaque année, le lac d'Annecy accueille cet évènement régional ℹ️ Jusqu’au lun. 07/10/24 🎫 0€ 📆 Sam. 05/10/24 ⌚️9h-18h 📍 Club de voile (31 rue des Marquisats) 🌅
☕ Coup de cœur annécien : un lieu d’accueil et d’échange ouvert quatre fois par semaine et géré par des bénévoles  ℹ️ Boissons sans alcool, livres, jeux (café solidaire avec l’Ukraine) 📆 Sam. 05/10/24 ⌚️ 9h30-15h 📍 Café du curé (6 quai de l’Évêché, vieille ville) ❤️
🖼️ Deuxième jour❗️ExpO : L'effet Matilda ➡️ Dans le cadre de la FDS, une exposition proposée par le CNRS, le Quai des savoirs et l’association Femmes & Sciences ℹ️ Jusqu’au sam. 26/10/24 🎫 Accès libre 📆 Sam. 05/10/24 ⌚️ 10h-12h & 13h30-17h 📍 Médiathèque Novel (7 bis rue Louis Armand) 👩‍🔬
🖼️ Troisième jour❗️ExpO collective : I say hi, You say low, You say why, I say I don’t know ➡️ Peintures, installations, vidéos et performances ℹ️ Jusqu’au mar. 03/12/24 🎫 Accès libre 📆 Sam. 05/10/24 ⌚️ 10h-12h & 14h-17h 📍 Le Mikado Espace d'art contemporain (place des Rhododendrons) ❤️
🖼️ ExpO : La nuit est encore debout c'est pour ça que je ne dors pas d'Annabelle Guetatra ➡️ Dessins aux fonds vaporeux travaillés au pastel sec ou à l’huile ℹ️ Jusqu’au sam. 23/11/24 🎫 Entrée libre 📆 Sam. 05/10/24 ⌚️ 10h-13h & 14h-18h 📍 Le Point Commun (12 avenue Auguste Renoir) 👩‍🎨
🖼️ Troisième jour❗️ExpO : Rouge ➡️ Le travail de Marcel Savy oscille entre le figuratif et une abstraction guidée, lui permettant d’aller à l’essentiel tout en laissant place au rêve dans ses toiles ℹ️ Jusqu’au sam. 16/11/24 🎫 Accès libre 📆 Sam. 05/10/24 ⌚️ 10h-17h 📍 Artekné (Centre Bonlieu) 👨‍🎨
ExpO BibliO : Carnets de voyages d'une famille annécienne à la Belle Époque ℹ️ Rédigés entre 1883 et 1912, ornés de photos et dessins, voyage panorama de l'Europe avec Annecy comme pied à terre 🎫 Accès libre 📆 Sam. 05/10/24 ⌚️ 10h-18h 📍 Médiathèque Bonlieu (Centre Bonlieu) ❤️ 
🎭 3 Petites fugues mathématiques (Chiendent Théâtre) ➡️ Entre histoires réelles et fictives, ce spectacle joue autant avec les maths qu’avec le public ℹ️ Dès 11 ans (spécial famille avec enfants) ⏱️ 50 min 🎫 0€ 🎟️ Sur réservation 📆 Sam. 05/10/24 ⌚️ 11h & 17h 📍 Médiathèque la Turbine (place Chorus) 🧮
🖼️ ExpO : Au fil de la nature - Émotions et créations ➡️ Découvrez l'univers captivant de Hayat Chebah, où la nature prend vie à travers des sculptures et œuvres plastiques uniques en matériaux recyclés ℹ️ Jusqu’au ven. 18/10/24 🎫 Entrée libre 📆 Sam. 05/10/24 ⌚️ 13h-18h 📍 Forum Exposition Bonlieu 👨‍🎨
🖼️ Première semaine❗️ExpO : Les Temps changent ➡️ Lauréats de la commande nationale d'estampes initiée par le Centre National des Arts Plastiques (CNAP) en partenariat avec l'Association de développement et de recherche sur les artothèques (ADRA) ℹ️ Jusqu’au sam. 30/11/24  🎫 Accès libre 📆 Sam. 05/10//24 ⌚️ 10h-12h & 14h-18h 📍 Mairie déléguée d'Annecy-le-Vieux (Place Gabriel Fauré) 🎨
🧒  ExpO : Illusions, quand notre cerveau nous joue des tours ➡️ Plus d’une trentaine de dispositifs interactifs ℹ️ L’enfant doit être accompagné d'un adulte (inscrit lui aussi) 🎫 5€, 3€ & 0€ (- de 12 ans) 🎟️ Réservation en ligne 📆 Sam. 05/10/24 ⌚️ 14h-16h & 16h-18h 📍 La Turbine sciences (Place Chorus) 🧠
🖼️ Avant-dernière semaine❗️ExpO : Anima, quand le dessin s'anime ➡️ Visites commentées à 14h30 & 16h30, tarif inclus dans le billet d'entrée  ℹ️ Jusqu’au sam. 12/10/24 🎫 3€ & 0€ (-18 ans, étudiants -25 ans) 📆 Sam. 05/10/24 ⌚️ 14h-18h 📍 La FabriC, Fondation Salomon (34 av. de Loverchy) 🎨
🖼️ ExpO : Imagined Landscapes de Yang Yongliang ➡️ Artiste shanghaïen inspiré par la peinture traditionnelle chinoise le Shanshui ℹ️ Jusqu’au dim. 15/12/24 🎫 Accès libre 📆 Sam. 05/10/24 ⌚️ 14h-19h 📍 L’Abbaye (15 bis chemin de l'Abbaye) 👨‍🎨
🗣 Visite commentée❗️ExpO : La nuit est encore debout c'est pour ça que je ne dors pas ➡️ Laissez-vous porter, une médiatrice vous accompagne et vous livre les clés de l'exposition d'Annabelle Guetatra  ℹ️ Jusqu’au sam. 23/11/24 ⏱️ 1h 🎫 0€ 📆 Sam. 05/10/24 ⌚️ 14h30 📍 Le Point Commun (12 avenue Auguste Renoir) 😍
🧒 Spécial adolescent·es : 14 ateliers numériques sur la programmation, les défis robotiques et la création numérique ℹ️ Des ateliers accessibles dès 5 ans sont proposés par les médiateurs numériques 🎫 5€ & 3€ 🎟️ Réservation en ligne 📆 Sam. 05/10/24 ⌚️ 14h30-15h30 & 16h-17h 📍 La Turbine sciences (Place Chorus) 🤖
🗣 Visite commentée❗️ExpO : Imagined Landscapes de Yang Yongliang ➡️ Visite commentée, gratuite et sans réservation, de l'exposition par une médiatrice d'Imagespassages ℹ️ Jusqu’au dim. 15/12/24 🎫 0€ 📆 Sam. 05/10/24 ⌚️ 15h 📍 L’Abbaye (15 bis chemin de l'Abbaye) 😍
👟 Octobre Rose : 24h ensemble contre le cancer ➡️ Venez ramer contre le cancer sur les machines pendant 24h en relais. De 8h à 10h, petit déjeuner et baignez-vous déguisé, à 11h yoga et à 15h Zumba ℹ️ Buvette et petite restauration. Jusqu’au sam. 05/10/24 🎫 0€ 📆 Sam. 05/10/24 ⌚️ 8h-18h 📍 Grand Annecy (Aviron de Sevrier, 429 route des Mongets, Sevrier) 🩷
🩰 Danse : L’Oeil nu - Maud Blandel ➡️ Quelles traces la déflagration imprime-t-elle dans nos mémoires ? Après l’explosion de l’étoile, que deviennent les pulsars, nés de l’accident ? ⏱️ 1h 🎫 14-29€ (adu.) & 10€ (enf.) 📆 Ven 04/10/24 ⌚️ 19h📍 Bonlieu Scène nationale (Grande salle) 💃
🎭 Spectacle : Entrez dans la transe ➡️ Pour son troisième spectacle en solo, invitation de Karine Lyachenko à découvrir l'Hypnose qui fait du bien, celle qui réveille ℹ️ Vu au festival d'Avignon 2024 🎫 18€, 16€ (+65 ans) & 12€ (enf. jusqu'à 12 ans) 📆 Sam. 05/10/24 ⌚️ 20h30 📍 Théâtre Les Têtes de l'Art (36 avenue de Chambéry) 😵‍💫
4️⃣ La météO (pour celles et ceux qui veulent vivre)
Indices ATMO : les conditions météorologiques devraient peu évoluer et rester favorables au maintien d'une qualité de l'air moyenne sur la quasi-totalité de la région 🌡 Les vallées alpines de l'Est de la région devraient conserver une bonne qualité de l'air 💨
Dans la cité lacustre et ailleurs, au niveau de vos déplacements, privilégiez vélo, trottinette, marche à pied, etc. et au niveau de vos activités physiques, privilégiez les parcs, les zones piétonnes et les rues peu circulantes pour vos activités de plein air 🌬️
L’indice de risque pollinique à Annecy est nul (niveau 0) ➡️ Ambroisies, armoise, cupressacées, graminées, saule, autre : niveaux 0 ➡️ Indice communal valable du 28/09 au vendredi 11/10/2024 inclus 🤧
Personnes allergiques : fumer irrite vos muqueuses fragilisées par les pollens 😷
5️⃣ Les dictons (maximes et autres proverbes)
Deux dictons du jour, un acheté, un offert (pour la petite histoire, cette pratique est désormais illégale) : « De sainte Fleur souvent la gelée, est la première de l’année. » 🥶 « Quand arrive la sainte Fleur, pour aller au verger ce n’est plus l’heure. » ⌚
Et trois autres dictons du jour pour la route : « Le colchique d’automne fleurit, le raisin mûrit. » 🍇 « Octobre au coin du feu, fait venir le feu. » 🔥et « Quand trop fleurit la bruyère, c’est le signe d’un rude hiver. » 🧐
Pour celles et ceux qui aiment les pelisses : « Vent d’octobre lisse les pelisses. » et « Vent d’octobre, ta pelisse il faut que tu sortes. » 🌬️
Pour celles et ceux qui aiment labourer : « En octobre, qui est fou ne laboure pas par temps mou. » et « Qui laboure au mouillé ne laboure qu’à moitié. » 🧑‍🌾
6️⃣ Les fêtes (rigolO est le calendrier)
Je vous souhaite une très bonne journée annécienne et un excellent automne à Annecy, dans les 33 autres communes du Grand Annecy, en Savoie ou ailleurs 🍂
Bon sixième jour de la semaine à tous et à toutes 🌁
Bonne fête aux Fleur et demain aux Bruno 😘
9️⃣ L’ours (nette préférence pour le dahu)
Par JamesO (Presse & Édition)
Le site, la lettre, les réseaux…
📷 JamesO PhotO à Annecy le 05/10/24 📸
JamesO © AlPy News ® StudiO 147 ℗ 2SC ™
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lilias42 · 1 year ago
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Jour 4 : Tragédie
Bon... techniquement, il y aurait dû avoir un billet sur les relations de Pan avant-hier et un autre sur comment les autres découvraient ses origines hier mais, ma désorganisation chronique, l'IRL, le temps monstre que j'ai mis à faire ma BD et le fait que je veux absolument mettre un dessin pour les illustrer histoire que ce soit un peu plus sympa que juste des pavés de textes m'ont fait prendre du retard alors, je le publierais plus tard (surement fin de semaine, début de la semaine prochaine, au diable l'ordre des jours).
Alors, en attendant, une des tragédies de Pan, avec un brin d'espoir à la fin pour ne pas finir sur une note trop triste (et parce que ça collait avec le numéro du jour)
Petite information pour mieux comprendre le contexte :
Sophie La Sage Hange-Blaiddyd : il s'agit de la demi-soeur de Loog mais, ils ont énormément d'écart, Loog était déjà adulte quand son père l'a eu avec une autre de ses maitresses... encore... Cela l'a mis hors de lui que son père pense seulement à badiner en pleine guerre d'indépendance, abandonne encore les conséquences de ses actes et laisse un autre de ses enfants sur le carreau, surtout que la mère ne voulait pas de sa fille étant donné qu'elle n'avait rien à gagner, laissant la petite toute seule au milieu d'une guerre. Loog a donc recueilli sa petite soeur, et l'a élevé comme sa propre fille, lui donnant le prénom de sa propre mère, Sophie. Elle sera d'ailleurs toujours considérée comme la fille de Loog, même si elle n'est pas né de sa chair, et toute la famille royal de Faerghus descend d'elle, Loog ne s'étant jamais marié et n'ayant pas eu d'enfant biologique. Je ne pense pas que Loog lui aurait donné un deuxième prénom étant donné qu'il est très fier des origines roturières de sa mère mais, s'il doit lui en donner un, ce serait Abigaëlle, la joie du père.
Suite sous la coupe :
"Pan, Loog voudrait te voir...
L'agarthan releva la tête de la lettre qu'il écrivait en entendant Sophie l'appeler par son vrai nom, plutôt que par celui qu'il utilisait en ce moment. Lucine lui avait dit qu'elle ne pourrait pas venir le voir cette année, se sentant trop faible pour faire le voyage alors, il lui promettait de venir dès que Loog se sentirait mieux. Pour le moment, il ne voulait pas quitter le chevet du roi et de son héritière... pas quand Loog s'affaiblissait aussi de jour en jour...
Même si l'agarthan s'habituait avec le temps, c'était toujours assez étrange de voir à quel point Sophie avait grandi, ressemblant toujours plus à Loog même s'ils étaient demi-frère et soeur. Elle qui n'était qu'un tout petit bébé tout frêle et fragile quand il l'avait rencontré, emmailloté dans un linge bien chaud pour la protéger du froid faerghien, si petite qu'elle disparaissait presque dans l'étreinte de Loog alors qu'il jurait de s'occuper d'elle et de la protéger de leur père, elle avait tellement grandi à présent qu'elle le dépassait de plusieurs têtes, faisant la taille de Loog. Une longue tresse blonde tombait sur son épaule, soulignant l'austérité de sa tenue, tout en laine bleue fine mais chaude, la jeune femme ne craignant aussi peu le froid que tous les autres Blaiddyd que Pan avait connu... enfin, jeune femme... à ces yeux... elle avait tout de même presque soixante ans à présent... et même si son emblème majeur ralentissait son vieillissement, Pan ne pouvait que voir les rides creusés de plus en plus profondément son visage, ses cheveux blanchir comme si on les trempait dans la chaux avant même qu'elle ne sorte de son crâne, ses pas redevenant maladroit comme quand elle apprenait à marcher, une vieille blessure à la jambe revenant la hanter alors que le temps usait ses os... alors Loog qui avait plus de trente ans de plus qu'elle...
-D'accord, j'arrive. Qu'est-ce qui se passe ? Il va bien ?
Le visage de la jeune femme se ferma un peu, baissant les yeux avant qu'elle ne lui tende la main en soufflant.
-Il veut te le dire lui-même...
De plus en plus inquiet, Pan attrapa sa main, son coeur se serrant en voyant que si les mains de Sophie portait toutes les marques d'usure laissé par sa vie bien remplie, celle de Pan restait toujours aussi pleine, toujours aussi jeune que le jour où il était revenu à la surface, cinq ans avant sa naissance... il était même obligé de se faire passer pour quelqu'un d'autre depuis quelques temps, quand il ne put plus se cacher derrière l'excuse que les signes de l'âge arrivaient tard dans sa famille... même pour quelqu'un avec un emblème, il n'était pas censé avoir l'air d'avoir moins de vingt ans alors qu'officiellement, il avait pratiquement quatre-vingt ans...
En traversant le palais, ils passèrent devant le grand tableau célébrant leur victoire contre l'empire, représentant tous leurs compagnons réunis... la gorge de Pan se serra encore plus en les revoyant tous... tous si différents de ce qu'ils étaient aujourd'hui... Lucine dansait avec peine, Amaury était à présent aussi sourd qu'il était muet, Poppa et Torf ne pouvaient plus voler entre Daphnel et Galatéa pour se voir comme avant, Clothilde avait grandi et pris la succession de son père quand Kyphon les avait quitté le premier, étant le seul sans emblème majeur d'entre eux... même Walter, Gylfe et Eudoxie les avaient quittés malgré ça, rejoignant l'épéiste quelques mois ou années plus tard...
Irène avait tellement changé depuis la mort de Sybille, ne quittant plus ses habits de deuil, contrastant avec sa chevelure devenue intégralement blanche de chagrin et même si les deux soeurs avaient passé leur vie à se taquiner et à s'envoyer des pics, elle ne disait plus rien de négatif sur elle... la cadette ressemblait à un fantôme elle-même...
Perdu dans ses pensées, Pan vit à peine qu'ils étaient arrivés devant la chambre de Loog. La grande porte fermée ressemblant à cet instant à celle séparant Shambhala du monde de la surface, séparant deux mondes... Sophie le lâcha, l'encourageant à entrer d'un regard. Prenant son courage à deux mains, l'agarthan passa le passage pour entrer dans l'univers de son sauveur, ce dernier ne le quittant pratiquement plus depuis quelques semaines.
Cela sentait les plantes et les médecines, les pots d'apothicaires et fioles de potions ayant remplacés les papiers de travail et les partitions sur le bureau de l'ancien roi. Sa flute de Pan reposait entre deux médicaments, une légère couverture de poussière l'enveloppant, laisser à l'abandon depuis trop longtemps... les médecins avaient déconseillé à Loog d'en jouer, cela forcerait trop sur ses poumons. Lui qui avait toujours tant aimé la musique qu'il pouvait en tirer...
Ce dernier était allongé dans son lit, si différent et à la fois si semblable de l'homme qui avait tiré Pan du noir à bout de bras. Tout comme sa fille adoptive, ses cheveux étaient devenus blancs et cassants, la peau collait à ses os, sa force pourtant prodigieuse volée par les années, son regard souvent éteint et absent... cependant, une étincelle de joie s'y alluma quand il le vit, arrivant à sourire alors qu'il murmurait, ne parlant plus vraiment... sa voix était devenue trop faible et chevrotante...
"Pan... tu es là... approche...
-Oui, je suis là... Sophie m'a dit que tu voulais me parler...
Obéissant, l'agarthan s'assit sur le lit au côté de l'homme qui l'avait sauvé, prenant sa main, comme pour s'accrocher encore et encore à lui. Elle se serra à peine autour de ses doigts... même sa main mécanique s'usait et montrait des signes de faiblesse, il devait changer de plus en plus souvent des pièces pour qu'elle soit encore utilisable... Pan rêverait que tout soit aussi simple...
-Je suis content de te voir... tu as l'air d'aller bien... même si tu es aussi triste...
-... oui... Lucine ne pourra pas venir... elle se sentait trop faible pour supporter le voyage... alors, je lui ai dit que je viendrais la voir quand tu iras mieux...
-C'est une bonne idée... elle sera contente de... arriva-t-il à sourire à nouveau, avant de se faire interrompre par une quinte de toux, entrechoquant ses os entre eux dans des craquements macabres, glaçant le sang de l'agarthan jusqu'au plus profond de son coeur, craignant le pire.
Pan voulut appeler les médecins mais, Loog le retient avec ce qu'il lui restait de force.
-Non... ça ne sert à rien... ça ne sert plus à rien... je... Pan... je crois que c'est bientôt l'heure de se dire au revoir...
-Non... non... dit pas ça... tu es encore si jeune... nia-t-il, presque par automatisme, une voix sombre se moquant de lui alors qu'il reniait la réalité même.
-Pas tant que ça... j'ai déjà bien vécu... plus que beaucoup de mes ancêtres dans la famille de ma mère... et plus longtemps que cette enflure qui me servait de père, ce que je prend comme une victoire en soit... ne put s'empêcher de piquer Loog, le mépris s'échappant une seconde avant de mourir dans un râle. J'ai déjà eu une longue vie, même si c'est sûr que... rha... à ton échelle, cela doit paraitre bien court...
-Trop court... tu ne peux pas partir... pas maintenant... pourquoi les humains meurent-ils quand ils viennent à peine de naitre ? C'est... c'est pas juste... c'est pas juste... ! Si seulement... snif... si seulement je pouvais... si je pouvais vous en donner un peu... juste un tout petit peu... à tous... vous seriez...
Son voeu se fana sur sa langue, sachant mieux que quiconque que c'était impossible mais voulant y croire quand même, alors que Loog le tirait vers lui. Ne pouvant plus tenir, Pan cacha sa tête au creux de ses bras, se mettant à pleurer, terrifié par ce qui allait arriver, refusant que cela arrive, cherchant un moyen de le garder avec lui... de tous les garder, même ceux qui n'étaient plus là... si seulement c'était possible...
-Mon Pan... souffla-t-il en le serrant dans ses bras, passant une main rassurante dans ses cheveux malgré ses tremblements. Le deuil et la mort font toujours mal... mais tout ce qui vit meure un jour avant de revenir à la vie dans un autre corps, ainsi en a décidé la Déesse... même si cela prend plus ou moins de temps... c'est pour ça que l'on chérit notre vie et tout ce qu'elle a pu nous apporter, même si elle peut faire mal aussi... je suis heureux d'avoir vécu ma vie ainsi... je suis heureux de tous vous avoir rencontré... je suis heureux de t'avoir rencontré ce jour-là... même si c'est aussi un souvenir douloureux, je suis content d'avoir trouvé ce petit gamin dans cette cave, un gamin qui n'avait aucun endroit où aller et qui ne demandait qu'à s'épanouir... je suis heureux de voir à quel point tu as grandi... tu es une personne extraordinaire, créative, gentille et attentionnée, avec le coeur dans sa main, et je suis heureux et fier d'avoir eu la chance de te rencontrer... même si c'est dur de vous laisser seuls Sophie et toi, je sais que vous avez toutes les cartes en main pour arriver à vous en sortir à merveille... ça se passera bien pour vous, j'en suis sûr...
Loog laissa Pan pleurer, ne l'empêchant pas de montrer son chagrin et sa peine, le rassurant encore et encore... si seulement son voeu pouvait se réaliser... la mort était déjà un adversaire redoutable, elle devait paraitre encore plus féroce et cruelle pour lui... dire qu'il n'avait pas vieilli d'un seul jour depuis celui de leur rencontre, alors que les fanatiques de l'Eglise Occidentale l'avaient enfermé dans cette cave... son regard et son comportement avaient muri, Pan s'était libéré du carcan de son peuple, arrivant à faire vivre au grand jour la personne merveilleuse qu'il était au fond de lui mais, malgré tout, il avait encore des comportements plus enfantins ou adolescent...
Est-ce qu'il ne l'était pas encore un peu dans le fond ? Est-ce que pour quelqu'un vivant si longtemps, l'enfance n'était pas aussi longue que la jeunesse de trait ? Malgré tout, est-ce que dans le fond, Pan n'était pas un adolescent jouant très bien le rôle d'un adulte mais, qui conservait ses failles et faiblesses enfantines au fond de lui, les cachant aux yeux de tous ? Même le principal concerné ne pouvait répondre à ses questions et ses craintes, la vérité sur le fonctionnement de son propre corps ayant été volée par les tyrans servant de souverains à son peuple... Loog avait tout fait avec leurs amis et compagnons pour essayer de comprendre avec lui... à présent, alors que la mort rôdait tout autour de lui, attendant que sonne son heure, il ne pouvait plus qu'espérer que cela soit suffisant...
-Même au paradis ou en enfer, je prierais pour que vous alliez tous bien... je vous protégerais toujours, même si je dois revivre en étant le plus petit des cailloux du monde... aucun de nous ne sera loin de toi pendant toutes ces années à venir... notre souvenir t'accompagnera partout, comme ta chance...
Pan redressa la tête, arrivant à sourire à cette remarque.
-Oui... c'est même toi qui m'as appris que le quatre était un symbole de chance... souffla-t-il avec nostalgie, passant sa main sur le haut de son bras gauche, là où Gylfe avait recouvert son ancien matricule avec le dessin d'un trèfle à quatre feuille, effaçant toute la honte de porter ses quatre points écarlate pour les remplacer par la joie d'avoir lui aussi un tatouage faisant autant sens que les siens.
Loog sourit à son tour, lui embrassant le front avant de souffler.
-Tu peux demander à Sophie de venir s'il te plait ? J'aimerais passer encore un peu de temps avec vous deux...
Pan obéit d'un hochement de tête, essuyant ses larmes alors qu'il allait la chercher. Quand elle entra, Loog sourit à nouveau, sa fille lui prenant à son tour la main alors que le silence s'installait mais, l'ancien roi le chassa vite, leur demandant de lui parler de ce qu'ils comptaient faire tous les deux.
"C'est du Loog tout craché..." songea Pan en se rappelant de la première fois qu'il était rentré dans une église qui célébrait le rite adrestien, l'homme alors jeune plaisantant allègrement sur le fait que le but du jeu ici était de ne pas s'endormir pendant le sermon, même s'il était très pieux lui-même.
Ils se mirent donc à discuter ensemble, parlant de ce qu'ils comptaient faire, de leurs ambitions, de ce qui les agaçaient parfois, leurs peurs mais aussi de leurs espoirs. Loog répondit avec bienveillance sans jamais les quitter des yeux, même si sa voix s'affaiblissait d'heure en heure, s'enfonçant de plus en plus dans son lit alors que le temps filait bien trop vite entre leurs doigts.
Cependant, quand le soleil pointa à nouveau le bout de son nez à l'horizon, le mourant arriva à tourner son regard vers la fenêtre, souriant alors que le ciel d'or se teinta de plus en plus d'azur, le vent chassant les nuages avant d'arriver à entrer dans la pièce, caressant leur peau avec douceur, amenant la chaleur de l'astre du jour avec lui.
Loog eut un regard nostalgique avant de sourire à nouveau, comme si tout irait toujours bien, semblant voir quelque chose invisible à Sophie et Pan. Leur sang se glaça mais, le mourant semblait toujours aussi calme, serein alors qu'il soufflait.
"Le ciel est magnifique... je suis content... de l'avoir encore vu... à nos couleurs au moins une fois... avec vous tous... même si j'aurais aussi aimé encore un peu de temps... au moins... je pars un matin avec le ciel bleu... plutôt que le soir avec le ciel pourpre... Sophie... Pan... mes enfants... merci... merci pour tout... hein..."
Un dernier soupir tomba de ses lèvres, emporté par le vent s'échappant, alors que ses paupières fatiguées tombaient.
Pan se figea, connaissant à présent trop bien ce visage, perdu dans le vague... ce léger sourire serein...
"Loog ?
L'homme ne répondit pas. L'agarthan attrapa alors sa main, la secouant un peu en appelant à nouveau, de nouveau perdu dans le noir, cerné par des murs de pierres sombres, enfermé avec la mort alors qu'il répétait encore et encore :
-Loog... ? Loog, répond... répond-moi... répond... ! On est là ! Ouvre les yeux ! S'il te plait... Loog... snif... ne pars pas... ne pars pas... ! Tu es encore tout jeune... par pitié... ne nous laisse pas... répond...
Pan essaya de ne pas pleurer, ne voulant pas s'effondrer devant Sophie... c'était lui le plus âgé, c'est lui qui devrait la soutenir, pas le contraire... même si elle avait bien grandi, quand Loog lui avait présenté sa fille pour la première fois, il lui avait dit qu'elle était toute fragile et qu'il fallait bien la protéger pour qu'elle grandisse... elle était encore toute petite pour un agarthan, c'était donc à lui de la protéger maintenant...
Cependant, ce fut Sophie qui posa sa main sur la sienne, l'enveloppant avec celle de son père tout en le prenant par les épaules, lui soufflant doucement.
-Ne te retiens pas pour moi... toi aussi, tu as le droit de le pleurer... avoir quelqu'un avec qui pleurer est parfois le meilleur des soutiens... surtout... il entendit sa voix se briser, le serrant contre elle alors que des larmes s'échappaient de ses yeux, cavalant sur ses jours creusés par l'âge. Surtout quand il s'agit de notre père à tous les deux... tu as toujours été un frère pour moi... comme tu as toujours été un fils pour lui... même si aucun de nous deux n'est né de sa chair... il sera toujours... snif... notre père... toujours...
-Sophie... Sophie... il... il ne peut pas... snif... Loog... notre... snif... snif... LOOOOOOG !!!!
Pan s'effondra, pleurant à chaudes larmes la perte de Loog avec sa famille, tout en sachant qu'un jour, il devrait pleurer Sophie à son tour, puis ses enfants à elle, puis leurs enfants à leur tour, puis encore leurs enfants... comme pour tous ses amis et ses proches... il entendait presque Thalès rire, se moquer cruellement de lui, n'ayant qu'à attendre pour lui arracher tout ceux qu'il chérissait...
"Ne les écoute pas, ils ne font que persiffler comme des vipères. S'ils étaient si sûrs de tout ce qu'ils avançaient, il n'aurait pas à vous mentir tout le temps, ils vous prouveraient simplement qu'ils ont juste."
"Si tu ne veux plus faire partie de ton clan et de ton peuple car, tu n'es pas d'accord avec eux et que cela ne te correspond pas, quitte-le, et ils n'auront rien à te redire. C’est ta vie, pas la leur. Et s’ils te disent que c’est la leur, dis leur d’aller se faire foutre."
"Aucun de nous ne sera loin de toi pendant toutes ces années à venir... notre souvenir t'accompagnera partout, comme ta chance..."
"C'est vrai... se reprit Pan en redressant un peu la tête, regardant le soleil, ayant l'impression d'y voir le sourire et la chevelure de Loog à l'intérieur, tenant déjà sa promesse à peine mort. Lucine a raison... Thalès et ses sbires ne font que mentir, ils ne savent rien des émotions et ce que c'est de réellement vivre... la vie à la surface avec eux tous est bien plus belle qu'à Shambhala, même si ça fait mal parfois... et s'ils ne sont pas d'accord, tant pis pour eux. Comme dirait Kyphon, qu'ils aillent tous se faire foutre. J'ai eu la chance de tous les connaitre, c'est ma chance à moi qu'ils ne pourront jamais voler ou corrompre... je ne la gaspillerai pas, et je ne leur donnerai jamais raison Loog... je te le promets... après tout, j'ai encore une longue vie à vivre et comme tu le disais tout le temps, le quatre est un symbole de chance..."
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equipe · 2 years ago
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Notes de mise à jour
🌟 Nouveautés
Dans les paramètres de votre blog sur le Web, il est à présent possible de choisir d'afficher les Coches de la renommée que vous préférez : soit les bleues, soit les arc-en-ciel. Vous pouvez même les acheter indépendamment. Serait-ce un avant-goût d'une fonctionnalité à venir ? 🤔 Mystère et boule de gomme.
Les Coches de la renommée ont été appréciées au-delà des frontières de notre chère communauté : elles nous ont même fait remporter un Webby ! (page en anglais)
Le compteur du nombre de messages non lus est de retour sur le Web. La pastille de signalement disparaît.
Le fait d'aimer/rebloguer/réagir à l'un de ses propres billets n'ajoute dorénavant plus d'éléments dans le fil d'activité de la section Trafic.
Dans le nouvel éditeur de billets sur le Web, des suggestions sont désormais immédiatement affichées lors du clic pour ajouter un tag.
La taille maximale des mots de passe sur Tumblr est de 72 octets. Cela a d'ailleurs toujours été le cas, mais nous le précisons à présent avec davantage de clarté sur l'ensemble de nos plateformes lorsque vous définissez votre mot de passe.
🛠️ Correctifs
Correction d'un bug qui empêchait l'ajout de nouvelles activités dans la section Trafic lorsqu'un utilisateur interagissait avec un reblog que vous aviez vous-même reblogué.
Sur le Web, modifier/créer un billet depuis les pages Brouillons ou File d'attente rétablit à présent bien la position dans ces pages.
Lors de la rédaction ou de la modification d'un billet sur le Web, l'arrière-plan des tags revêt désormais les couleurs du thème utilisé.
Les limites de taux sont désormais appliquées de manière plus efficace sur notre API de recherche.
Correction dans Safari de la mise en forme des listes dans les options d'un billet.
Nous avons uniformisé l'achat de cadeaux en effectuant quelques améliorations. Faites plaisir à vos utilisateurs favoris en leur offrant "Tumblr sans pub" ou ajoutez du mordant dans leur vie avec une pincée de "Tableau de bord crabesque" !
Les utilisateurs bloqués ne sont dorénavant plus affichés dans le carrousel de Tumblr Live.
Il n'est plus possible d'activer Blaze sur des billets de type Question/Réponse. Nous réfléchissons à une solution visant à demander le consentement à l'utilisateur ayant posé la question et à celui qui y répond afin que cette fonctionnalité puisse être réactivée.
Correction d'un bug qui remettait à zéro l'éligibilité d'un billet Blaze en fonction du contexte dans lequel il était modifié. Un grand merci de nous avoir signalé ce problème : cela nous a permis de le repérer et de réagir avec célérité !
Correction d'une anomalie dans le nouvel éditeur de billets sur le Web qui pouvait empêcher de rétablir des actions annulées via le raccourci CTRL + Z.
Lors de l'utilisation de Tumblr sur le Web mobile, appuyer sur "retour" lors de la consultation d'un message direct vous ramène désormais bien là où vous vous trouviez (la section Trafic ou le tableau de bord, suivant les cas).
Il pouvait être difficile d'intégrer des podcasts Spotify pendant un bref laps de temps la semaine passée, avant que le problème ne soit résolu de leur côté.
Correction dans la version 29.1.1 de l'application Android d'un bug qui basculait sur l'onglet "Pour vous" lors de l'interaction avec la section "Afficher davantage" d'un billet.
🚧 En cours
La bataille contre les spambonnés continue. Nos équipes se préparent à un grand nettoyage de printemps pour faire face à la récente recrudescence de ces vilains nuisibles, et elles font le nécessaire pour éviter leur retour. Comme toujours, nous vous prions de continuer à nous signaler en tant que spam les blogs de ce genre, et nous nous chargerons du reste !
Nos équipes sont toujours à pied d'œuvre afin de mettre à jour notre Centre d'aide. Si vous constatez des articles prêtant à confusion ou obsolètes, n'hésitez pas à nous le signaler ! (Notez cependant que la version française est toujours un peu en décalage avec la version anglaise, et qu'à ce titre, il se peut que certains articles ou éléments de l'interface ne soient pas encore traduits au moment où vous lisez ces lignes.)
🌱 Prochainement
Pour tous les férus du clavier, des améliorations des raccourcis sont en préparation !
Et pour les amoureux de l'application iOS/Android, la gestion des badges est dans les tuyaux !
Vous rencontrez un problème ? Écrivez-nous (en anglais) et nous reviendrons vers vous aussi vite que possible !
Vous souhaitez nous faire part de vos commentaires ? Rendez-nous visite sur le blog Work in Progress et participez aux discussions de la Communauté !
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petit-atelier-de-poesie · 1 year ago
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Quelques trucs bien. Aout 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
Tumblr media
Finir la saison en apothéose avec la fête de mon anniversaire et une nuit blanche 
Penser et repenser à comment écrire ce discours pour le mariage de ma fille. Tenter de parler d’amour et de couple sans parler de ma propre expérience. Réaliser que j’ai probablement été meilleure mère qu’épouse 
Faire la rentrée de bonne humeur, encore énergisée par la fête récente et le week-end d’amitié avec mon amie C. 
Voir (encore) un arc-en-ciel. Présager le meilleur pour les jours à venir 
Organiser une fête d’anniversaire au dernier moment et à l’auberge espagnole : dépasser l’anxiété sociale. Youpi ! 
Passer plus d’une heure au téléphone avec ma cousine. Prendre l’apéro en écoutant ses confidences, puis dans une légère ivresse, lui envoyer une carte postale de remerciement 
Faire une prise de sang Check up le jour de mon anniversaire de 50 ans. Analyses impeccables ! Pourvu que ça dure 
Remercier mon fils qui pense à me préparer à manger 
Voir un arc-en-ciel pendant la canicule 
Espérer que l’armure se se fissure et que je trouve le courage de dire mes failles et mes désirs. Accepter d’être vulnérable 
Pouponner mon petit M. qui a déjà deux mois, prend du poids et des biscotos qu’adoucissent ses premiers sourires 
Bricoler avec mon fils pour rénover le mur coloré de sa chambre. M’émerveiller de son adresse et de son ingéniosité 
Préparer un cocktail Prosecco et sirop de fleurs de sureau. Trouver une alternative au Spritz trop amer 
Organiser un apéro dînatoire sous l’arbre en soirée. Mettre une nappe bleue pour donner une autre couleur à ce moment plus intimiste 
Accueillir Tatie M. à la maison pour quatre jours. Me sentir moi aussi un peu en vacances 
Sentir encore une accroche avec quelqu’un. Nous sentir engoncés l’un l’autre dans la timidité. Hésiter encore à prendre l’initiative de la rencontre 
Sortir manger une glace avec maman au village. La sentir en vacances un moment suspendu 
Trouver tous les accessoires pour le mariage de ma fille : sac pochette, bijoux, etc. 
Prendre de la distance avec ma sœur qui est partie deux semaines en vacances. Me dire qu’elle avait certainement besoin de couper et qu’elle ne vit pas dans la culpabilité comme moi 
Accepter les pertes de mémoire de maman. Me réconforter en me persuadant que c’est moins douloureux pour sa conscience de la perte d’autonomie 
Accompagner ma fille pour l’essayage de sa robe de mariée. La rassurer sur la beauté de son épanouissement de jeune femme et de jeune mère. Ce sera un des jours de sa vie où elle sera la plus belle 
Me voir offrir par les copines un bouquin intitulé « Fous à lier » parce que ça a immédiatement fait penser à moi 
Trouver du plaisir à jardiner : arroser le jardin et tailler les fleurs fanées 
Retrouver un ami de presque 30 ans pour une soirée. Reprendre le fil des confidences comme si le temps s’était suspendu depuis 
Passer une soirée entre filles à faire débat autour d’un roman féministe de Chloé Delaume. Finir la soirée en lecture à voix haute pour les copines de sororité 
Découvrir une nouvelle forme fixe de poème : ghazel
Surprendre une biche qui traverse la piste devant ma voiture. Surprise réciproque 
Découvrir une petite tarente perdue au plafond de ma chambre. Tenter de la chasser et m’endormir sans crainte
Aller chez le notaire avec ma fille. Me sentir enfin légitime après tant d’années
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