#s'il avait pas trois photos qui se court après........ les choses qu'on pourrait faire toi et moi frère
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martyrgraph · 1 year ago
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vincent piazza as charlie luciano.
credit; martyr.
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loukswrites · 7 years ago
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Jeudi 22 Mars 2018.     Even était toujours là, à gesticuler et faire trois choses à la fois. La vaisselle était à moitié propre et il était déjà en train de vouloir sortir les poubelles.     Isak soupira un peu. Le regarder faire depuis ces derniers jours le mettait mal à l'aise. Il le voyait s'agiter, il le voyait lui cacher des choses, Even était parfois inatteignable. Cette nuit lorsqu'il était rentré de sa fête d'école, Even n'avait même pas fait attention au bruit qu'il avait fait. Le plus jeune finissait par vraiment s'inquiéter des conséquences. - Ev bébé... Tu peux te poser deux minutes ?     Even tourna la tête vers lui immédiatement et s'assit à ses côtés. Isak pouvait voir l'effort qu'il faisait pour rester en place, les muscles de son corps étaient tendus, ses yeux se baladaient sans cesse. - Tu sais on pourrait- - C'est la saison des aurores boréales, tu en as déjà vu ? - Euh... Non mais... Répondit Isak, un peu dérouté par la question. - Oh alors on va y aller ! On va prendre l'avion et aller au nord du pays, ou encore mieux sur une île au nord. En ce moment il parait qu'il y en a plein. C'est fascinant ce genre de chose, il faut que tu en voies ! On pourrait y aller ce week end, on a rien de prévu on va se faire chier sinon.     Le plus jeune le laissa continuer un moment, cherchant comment l'arrêter sans qu'il ne le prenne mal. Il inspira profondément et attendit qu'il y ait un arrêt d'une demi seconde pour reprendre la parole. - Ev je peux parler ? - D'ailleurs j'aimerais vraiment aller voir là bas. Et faire du chien de traîneau. - Even s'il te plait.     Isak prit sa main doucement pour essayer d'attirer son attention, ce qui sembla marcher un instant. - Je sais que ce que je vais te dire ne va pas te plaire, mais il faut qu'on parle.     L'ainé cligna des yeux sans comprendre ce que son copain voulait dire. - Je sais ce que tu fais, on ira pas voir les aurores... Enfin pas tout de suite c'est sûr. - Mais Isak t'en as jamais vu ! - Even tu es en pleine crise de manie là ! Répondit le plus jeune, il s'en voulu immédiatement parce qu'il y avait peut être été un peu fort. Par chance Even resta silencieux. Il fixait un point derrière son épaule. - Even c'est pas grave, ça va aller, mais on peut pas décider de choses comme ça, en plus là on a pas trop l'argent. Il faut y réfléchir d'accord ? Je suis pas contre hein, mais un voyage ça se prévoit. On peut pas y aller sur un coup de tête, et je sais que tu t'en voudrais.     L'ainé semblait s'être renfermé. Il espérait que ce soit bon signe, mais il craignait qu'il ne devienne violent. - Bébé, tu sais comment ça se passe... Ça fait plus d'une semaine que tu montes en flèche... Et je ne sais pas comment contrôler ça à part te le dire tu comprends... ?     Even pinça les lèvres, sa jambe tressautait sans arrêt, rapidement. Il déglutit et se leva. - Je dois sortir. Fit il en se dirigeant vers la porte. - Tu vas où ? - Je dois sortir. - Even s'il te plait j'ai besoin de savoir où tu vas... - Je vais... Aller chez mes parents.     Isak se mordit la joue. - Tu promets ? Je peux t'accompagner sinon... Even sembla lutter avec lui même un moment et finit par hocher la tête. - Je parlerais pas si tu veux.     L'ainé acquiesça à nouveau et resta planté là.     Isak prit son manteau et lui enfila, Even avait l'air complètement détaché de la réalité maintenant, et il commençait à sérieusement s'inquiéter. Il envoya un message le plus rapidement possible à Cecilie, la mère de son petit ami, et mit son propre manteau et son bonnet.     Il ne toucha pas plus Even, il ne parla pas, il ouvrit simplement la porte et le laissa sortir avant de fermer derrière eux et de sortir du bâtiment. Cecilie lui répondit peu après qu'elle les rejoindrait à mi-chemin, ce qui rassura un peu Isak. Ils marchèrent un moment dans le froid glacial, Even ne semblait pas vouloir prendre le bus. Alors Isak prit son mal en patience et marcha un peu derrière pour lui laisser un minimum d'espace vital.     Ils finirent par rencontrer madame Bech Naesheim, qui remercia silencieusement Isak. - Rentre bien mon grand, on te tient au courant     Le jeune homme hocha la tête et regarda son petit ami en inspirant. Even lui jeta un oeil et tendit un peu son bras, alors Isak s'y blottit un instant. L'ainé resserra son poing sur son manteau et le serra un peu trop fort. Cecilie pinça les lèvres. - Allez on va y aller. Dit elle, un peu fermement en voyant son fils serrer de plus en plus fort.     Mais Even ne semblait pas vouloir lâcher Isak, et ce dernier commençait à s'inquiéter de la surtension de ses muscles. -Even. Répéta la mère en attrapant son bras. Lâche le et viens maintenant.     Isak se racla la gorge et gigota un peu pour se défaire de son emprise, sans grand succès. Il flippait réellement cette fois mais garda son sang froid. - Lache moi Ev, tu vas rentrer chez toi et être en sécurité. Ne fais pas quelque chose que tu vas regretter plus tard.     Il força doucement pour le repousser et essaya de le faire lâcher. Cecilie tira son bras de son côté pour l'inciter à la suivre, et enfin, Isak put s'éloigner. - On se voit bientôt, d'accord ? Fit Isak en lui souriant, même si il était clairement en train de se briser de l'intérieur.     Cecilie lui envoya un regard plein d'empathie et le jeune homme lui sourit le moins tristement possible.     Isak tourna les talons, il se fit la remarque qu'il n'avait rien fait d'aussi difficile dans sa vie. Il avait l'impression de l'abandonner, même si c'était pour son bien.     Il fit le chemin inverse, la poitrine oppressée et la gorge serrée. Il ne savait pas comment il allait réussir à dormir la nuit venue. Il angoissait, et il était seul. Et il laissait Even. Peut être entre de bonnes mains, mais il le laissait tomber.     Il essaya de se dire que c'était mieux pour lui, qu'après tout, c'était son petit ami qui en avait fait la demande, qu'il ne pouvait pas s'en vouloir de ne pas savoir gérer sa maladie parce qu'il n'était pas médecin ni même psychologue. Mais c'était tellement dur, la culpabilisation le rongeait incroyablement.     Il avait le souffle court lorsqu'il entra dans l'appartement un peu trop calme. Un peu trop vide. Le contraste avec l'hyperactivité grandissante d'Even fut brutal. Il posa ses chaussures, puis son manteau et enfin son écharpe et son bonnet. Ses gestes étaient lents, sa respiration sifflante, sa tête lui tournait presque, et ses yeux étaient brillants de larmes prêtes à rouler sur ses joues.     Il regarda le plafond et souffla maladroitement. Il n'avait même pas faim. Il se laissa tomber sur le lit et fixa le mur décoré par leur soin avec différentes photos, citations et dessins d'Even, et il craqua.
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