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Fierté Royale : Une Famille de Lions Majestueux dans la Savane Africaine
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Fierté Royale : Une Famille de Lions Majestueux dans la Savane Africaine
Admirez la majesté de la vie sauvage avec cette image impressionnante d’une famille de lions reposant dans la savane africaine. Au centre de la scène, le lion au regard perçant et à la crinière imposante incarne la puissance et la royauté, entouré de ses descendants tout aussi nobles. Leurs pelages dorés se fondent harmonieusement dans l’herbe sèche de la savane, tandis que les acacias au loin ajoutent une touche authentique à ce paysage emblématique. Idéale pour les passionnés de faune sauvage et de photographie, cette image évoque la force, l’unité familiale et la beauté naturelle de ces prédateurs emblématiques. Découvrez la grandeur du roi des animaux dans son habitat naturel, symbole éternel de la nature sauvage africaine.
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★ 7 avril 2023 > bit.ly/hobo-7avril2023
★ Les nouveautés de nos éditrices et éditeurs sorties le 7 avril 2023 > bit.ly/hobo-7avril2023
Sur les rois David Graeber & Marshall Sahlins, La Tempête
Politiser le renoncement Alexandre Monnin, Divergences
Habiter une ville touristique Une vue sur mer pour les précaires Droit à la ville, Éditions du commun
L’Émeute du futur Le Comité des bons conseils, Goater
Les victimes n'étaient pas assez belles Déportation, mémoire et exclusion Lucie Hébert, Grevis
Traces et tensions en terrain colonial Bruxelles et la colonisation belge du Congo Nicholas Lewis, Shed
Les bras chargés de fusils, la tête de poèmes Saïda Menebhi, PMN
L'Empire noir L'ingénieuse histoire d'une nouvelle civilisation africaine George S. Schuyler, Sans soleil
Akuteu Soleil Launière, Remue-ménage
Un métier comme un autre Ksenia Potrapeliouk, Éditions LIBRE
Le Jeu de domino et autres histoires El Juego de domino y otras historias Antón Arrufat, L'atinoir
Fuego del Fuego Poèmes d’Amérique latine Collectif, Les Étaques
Le Grand Parler Gabriel Rebourcet, Le murmure
Audimat 19 Collectif, Audimat / Éd. Présentes
Danser sa vie avec l'outil hypnotique Catherine Contour & Pascal Rousseau, 369
« L’un des effets secondaires inattendus de l’effondrement des empires coloniaux européens fut de faire à peu près partout de la notion de souveraineté le principe des systèmes constitutionnels. D’où il suit qu’une théorie politique, si elle ne prend pas cela en considération, ou si elle traite de la royauté comme un phénomène marginal, exceptionnel ou secondaire, n’est pas une très bonne théorie. » David Graeber & Marshall Sahlins, Sur les rois, La Tempête.
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Année 1800 les soldats ethiopiens partaient en guerre avec leurs lions guepards, insectes de guerre comme certaines abeilles venimeuses... Voilà la raison pour laquelle ce sont les seuls noirs du continent Africain qui n'ont jamais été colonisé. Même la puissante reine d'Angleterre s'était courbée pour saluer la royauté éthiopienne. Ce sont des noirs honorablement heureux
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Faut-il avoir peur ? -- ( II ) : le terrorisme
A la question posée hier, ''Faut-il avoir peur du covid ?'', la réponse était négative, malgré les campagnes éhontées destinées à ‘’foutre la trouille’’ à la population entière : Montaigne appelait déjà à enseigner l'amour plutôt que la peur de la mort'' ! Pourtant, alors que ces deux sujets sont si éloignés l'un de l'autre , l'attitude de nos ‘’leaders’’ est aussi ''décalée'' devant le terrorisme islamiste que devant le covid.
2 – Le terrorisme islamiste. La peur est à la fois un élément et un facteur de l'existence et de l'essence de l'homme, pour parler comme si j'aimais Sartre. On n’imagine pas qu’un homme (au sens ontologique) ne connaisse pas la peur : il aurait, dès sa plus tendre enfance, été tué par les dangers qu'il aurait croisés. On pourrait presque dire que l'humanité aime se faire peur, et les hommes dits ''de pouvoir'' (traduction libre : pas tout-à-fait comme tout le monde) savent intuitivement qu'il existe une forme d'efficacité qui ne s'obtient que par la peur. Les français de 2020, cet an de disgrâce qui voit le triomphe et l'avènement de gens dont Gorki disait qu'ils ''veulent commander et faire peur aux autres'' (''j'ai les noms'', ajoutait joliment Coluche !), le savent trop bien : ils en souffrent un max’, jour après jour.
C'est précisément ce dont il est question, dans ce ''billet'' (et dans celui d'hier), consacrés à ces vraies peurs qui ne sont que fausses, l'homme étant prompt à imaginer des peurs qui n'existent pas. (NDLR : Que celui qui n'a jamais eu peur de... rien qui existe... lève la main !). Mais comme dit le proverbe : ''Tout est bruit, pour qui a peur'', adage qui s'applique, bien sûr, à l'état de terreur que le Pouvoir a su fabriquer chez nos concitoyens à force d'astuces de ''comm' '' à la télé. (NDLR : un exemple d'actualité : avez-vous remarqué la présence soudaine, peu excitante mais répétée ad nauseam sur vos petits écrans, d'un bras qui est en train de se faire piquer ? Comment ne pas voir là les prémisses d'une loi à venir, qui obligerait tout français à se faire vacciner ? On sera habitués, on y est déjà, on flirte avec les seringues, on sent déjà l'aiguille qui nous pénètre... Le pas sera facile à franchir ! Mais en ce qui me concerne, je suis tranquille : ''je suis majeur... et vacciné'' !).
Nos praticiens du ''management des âmes par la terreur'' ont d'autant mieux compris cette faiblesse de leurs ''administrés'' qu'ils la ressentent eux-mêmes, au plus profond de leur non-être : on ne me fera pas croire que toutes ces inventions pour nous faire avoir peur de la vie se trouvent à l'état naturel chez un homme ''normal'' ! L'idée mortifère du confinement total d'un pays tout entier, l'idée de créer une démarche masochiste qui force en douce les gens à ''en redemander'', la réinvention vicieuse de ''l'Ausweis'' qui l'est tout autant, la perversité extrême qui contraint par la peur un commerçant qui adore son métier à déclarer lui-même ''je ne suis pas ''essentiel'', donc je suis inutile''... tout cela (''et pas que''!) relève de la psychiatrie. D'ailleurs, un autre proverbe prévenait l'humanité que ''ceux qui ont peur de la mort sont ceux qui ne vivent pas pleinement''. C'est là peut-être que se trouverait une clé du mal qui nous a contaminés : si ''avoir peur, c'est imaginer qu'on a peur..'', alors ''faire peur, c'est faire croire qu'il faut avoir peur ...'' !
Pour relier hier à aujourd'hui, revenons aux chiffres : ''le terrorisme'' ou ''les attentats'' –à qui nous devons tant de marches blanches et tant de cérémonies nationales aux Invalides ou dans tels autres lieux qui sont dits ''symboliques de la République'' (qui se contente d'utiliser les splendeurs construites par la Royauté ou par l'Empire !)-- atteignent à eux deux le total de 232 morts français entre 2001 et 2015, et 255 entre 2015 et 2019, en France et à l'étranger, soit moins de 500 en une vingtaine d'années, en comptant les terroristes eux-mêmes (qui, souvent des français sur le papier, sont généralement tués dans leur folie meurtrière). Même si chaque mort est insupportable et s'il faut condamner tout ce qui se rattache à ces horreurs, il faut reconnaître qu'il s’agit là de chiffres extrêmement faibles.
Plus largement, La Fondation pour l’innovation politique (Fondapol) a recensé les attentats islamistes dans le monde sur les quarante dernières années. Au total, 167 000 morts dont 317 français entre 1979 et 2019. Autres chiffres : l'hebdomadaire allemand ‘’Welt am Sonntag’’ a dénombré 31 221 attentats islamistes dans le monde entre 2001 et 2019, qui ont fait 146 811 victimes. Cette étude précise que c'est à partir de 2013 que l’islamisme est devenu la cause principale de mort par terrorisme dans le monde (63,4 %). L'Etat islamique, organisation la plus meurtrière de l'histoire à ce jour, a commis 8.185 attentats à elle-seule, de 2006 à 2017, mais il ressort de toutes ces études que 91,2% des morts provoqués par des attentats islamistes ont été enregistrés dans des pays musulmans (dont 44,3% au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, 30% en Asie du Sud --Afghanistan, Pakistan, Inde...-- et 21,4% en Afrique subsaharienne)... contre 0,9% pour l'Europe et la Russie. A noter aussi que, à part l’Afghanistan (pays d'Asie), les dix pays dont l’économie souffre le plus du terrorisme sont tous africains ou arabes : dans l’ordre, Irak, Nigeria, Centr’Afrique, Syrie, Mali, Libye, Somalie, Soudan du Sud et Yémen.
Une précision supplémentaire : si la notion de martyre fait partie de l'histoire de l'islam, il faut dire aussi que les attentats suicides qui lui sont consubstantiels depuis le siècle dernier sont en général condamnés par ce qu'on peut considérer comme ''les plus hautes autorités de l'islam''. Les oulémas insistent d'une part sur l'interdiction de tuer des femmes, des enfants, des vieillards, des ''personnes non hostiles'' tels que, prêtres, fous ou infirmes ou ne prenant pas part au combat), et d'autre part sur l'interdiction de provoquer le chaos (= al-fitna). La sourate ''La vache'' (Al-Baqra) (2 :190-191) est claire : Le chaos (fitna) est pire que la guerre. Tant qu'eux ne vous combattront pas dans l'enceinte sacrée, ne leur livrez pas la guerre. Si eux vous déclarent la guerre alors tuez-les. Voilà la fin des infidèles''... ce qui met à mal les discours des terroristes... mais ne diminue pas leur folie, hélas.
Le célèbre islamologue et historien du djihad Donald Holbrook, de l'Imperial College de Londres, a récemment analysé ''un échantillon de 30 œuvres de propagande djihadiste''. Il y a trouvé de nombreux passages du Coran qui sont utilisés pour justifier un djihad violent, tels que les sourates An-Nisa (les Femmes,4: 74-75), Al-Baqrah (la Vache, 2: 190-191, 216) et At-Tawbah (le Repentir 9: 13-15, 38-39, 111), mais surtout les versets 5 sq de cette Sourate 9 : ''Tuez les où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. Si ils se repentent, font la Salat (prière) et paient la Zakat (impôt-don), alors laissez-leur la voie libre, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux''... Les fous haineux et sanglants oublient la seconde partie, ce qui entraîne pas mal de malentendus !
Une conclusion : dans nos pays, les chiffres ne justifient à aucun moment (pour l’instant) l'espèce de psychose qui règne un peu partout, et qui n'est pas à l'échelle du mal dénoncé : oui, il existe une volonté d'instaurer la Charia'a dans un ''Francistan'' conquis sur les ‘’infidèles’’... Oui, le danger est grand, à cause de la vulnérabilité intrinsèque de nos démocraties... Oui, l'immigration et les ''migrants'' sont une menace... Oui, il y a parmi eux plein de dingos ivres de violence et de haine... Mais, pour l'amour de Dieu (le nôtre, celui avec lequel nous prenons tant de libertés qui nous mènent à notre perte), préférons le message de St Jean-Paul II : '' N'ayez pas peur'' à l'importance que donne le Pouvoir à quelques fous-furieux qui font infiniment moins de ''dégâts'' qu'on ne le dit. Ne cédons pas à la peur qui rôde autour de nous et que nos élites semblent vouloir entretenir : il en va de notre salut en ce bas monde (pour le salut dans l'autre monde... c'est un autre sujet !).
Ce qui se passe peut être vu comme une ‘’réédition 2020'' de l'histoire biblique de David et Goliath, qui pourrait s'intituler ''Toi, moi, Lui et Nous contre le Léviathan''. L'issue est loin d'en être écrite d'avance, car le ''Mektoub'' (= c'est écrit) des musulmans n'a vraiment pas sa place, dans notre civilisation !
H-Cl.
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congo / tissus kuba -
long pagne à « motifs appliqués » raphia du Kasaï - XXème siècle
(République Démocratique du Congo, région du Kasaï)
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sur la fabrication des tissus Kuba
https://www.africouleur.com/boutique/tissus-africains/textiles-africains-en-fibres-naturelles/
RAPHIA DU KASAÏ
Ces tissus réalisés par les artistes Kuba-Bushoong (République Démocratique du Congo, région du Kasaï) sont fait de fibres végétales (raphia) et sont ornés de motifs géométriques.
On distingue deux types:
Les longs pagnes à « motifs appliqués ».
Les carrés réalisés avec la technique du « velours » qui servaient de monnaie.
Chez les Kuba, le tissage est un apanage masculin, alors que la broderie celui des femmes. Ils tissent du raphia sur des grandes longueurs (2 à 4 mètres) qui seront entourées autour de la taille et constitueront un pagne (Mapel (pagnes masculins) et Ntshak (pagnes féminins)).
L’étoffe Kuba a toujours été un vêtement lié à un rang et permettait (encore maintenant) d’identifier précisément les personnes sur l’échelle sociale. Les plus belles pièces sortaient des ateliers royaux.
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sur la tradition textile de la république démocratique du congo
La république démocratique du Congo abrite des traditions textiles exceptionnelles ! Je veux parler des textiles Kuba. Le royaume Kuba existe depuis le XVIIème siècle et regroupe un ensemble de peuple bantous. Depuis de nombreux siècles ils fabriquent du textile à partir de raphia. Les hommes préparent la fibre et la tissent. Ensuite, les textiles sont embellis par les femmes à l’aide de broderies, d’appliqués, ou de teinture. En fonction des ethnies, il existe différents types de textiles. Par exemple, certains tissus en raphia sont fins comme du lin, d’autres sont très lourds. Comme les tissus Kuba sont très longs à réaliser, il sont chers et liés au rang social. La tradition dit que les meilleures brodeuses sont les femmes enceintes car elles peuvent se consacrer pleinement à leur ouvrage. Elles réalisent des motifs géométriques complexes et symboliques. Ces motifs reproduisent les scarifications ethniques. Certains motifs symbolisent le pouvoir et la royauté.
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des artistes européens comme Klimt, Klee, Picasso, Matisse étaient fascinés par les textiles kuba. Cela a influencé et inspiré leurs propres créations artistiques. Matisse possédait des panneaux de textiles Kuba et il en avait accroché aux murs de sa chambre. Dans sa correspondance, il indique que ces textiles lui ont inspiré ses collages.
in : https://couture-et-artstextiles.com/broderie-et-tradition-textile-au-royaume-kuba/
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sur le royaume Kuba - Congo - 17e au 20e siècle
http://www.lisapoyakama.org/la-civilisation-kuba/
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pour tout contact:
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réetty December est un pèlerinage annuel au cours duquel la diaspora africaine descend dans les villes africaines (principalement Lagos et Accra) pour le plaisir, la fête, la culture, les relations d'affaires et un peu de débauche indescriptible. Les fêtes à la piscine et à la plage se déroulent du soir jusqu'au lever du soleil le lendemain. Débarrassez-vous de la pornographie de la pauvreté de Band Aid : chaque mois de décembre, au moins, Accra et Lagos sont les nouvelles Ibiza et Ayia Napa.Alors que le soleil se couchait le jour de décembre de Detty de l'année dernière, avec un festival auquel ont assisté 50 000 personnes (dont Dave Chappelle) et titré par Erykah Badu, le soleil se levait sur la campagne publicitaire du prince Harry pour son nouveau livre extrêmement révélateur et décisif, Spare.Armé d'un pot de pop-corn et d'un cahier, j'ai écouté avec joie l'interview d'ITV aux heures de grande écoute avec Tom Bradby. Et en un clin d'œil, on nous a offert un cocktail par inadvertance de Detty December meet the Windsors.Les mémoires du prince Harry : pourquoi le « Spare » est-il devenu un voyou ? - podcastLire la suite"L'Afrique c'est mon truc, tu ne peux pas l'avoir" la citation en surbrillance par Bradby et attribué au prince William, faisant référence à un désaccord entre Harry et William dans lequel ce dernier revendiquait la propriété antérieure des activités royales/caritatives sur le continent. Le lendemain aux États-Unis, Michael Strahan d'ABC a soulevé le même point dans son entretien avec Harry : « Je sais que l'Afrique est très spéciale pour toi. Mais ton frère a exercé son pouvoir pour dire : 'Non, c'est chez moi. Les éléphants, les girafes sont tous à moi. Pensais-tu qu'il savait à quel point l'Afrique était importante pour toi et ce que tu voulais faire, qu'il l'a fait pour te faire du mal ?Bien que personne n'ait remarqué l'absurdité de ces mots à l'époque, dans les deux entretiens, vous auriez pu vous tromper en pensant que "l'Afrique" était un château vide nouvellement construit à Cornwall ou un chihuahua de compagnie se disputant dans une bataille pour la garde.Que devons-nous penser ? Il n'y a pas beaucoup de place pour le doute : l'Afrique est toujours considérée comme un jouet colonial pour les princes britanniques engagés dans leur propre bousculade personnelle, plutôt qu'un continent vaste et complexe qui abrite la population la plus diversifiée de la planète. De plus, si l'on en croit Harry, les apparemment bonnes intentions du futur monarque, William, n'étaient pas motivées par un désir de faire le bien du peuple africain mais, au moins en partie, un désir de faire mieux que son petit frère.Il y a ici de sombres échos historiques, remontant jusqu'à la « ruée vers l'Afrique » impérialiste de l'Europe. La surenchère parmi la royauté et les empires européens a toujours été un objectif moteur. Reflétant à quel point les choses ont changé mais sont restées les mêmes, l'échange entre les princes a semblé révéler un intérêt plus intense pour la faune africaine, "les girafes, les éléphants", que pour le peuple africain. Cela va de pair avec ce que nous savons, car la concurrence occidentale pour la propriété puis l'influence en Afrique, et la charité occidentale qui a suivi sur le continent, n'ont pas conduit à une amélioration pour les Africains. S'il existe quelque chose comme une «richesse commune» aujourd'hui, cela parle davantage de la relation entre les nations africaines et la Chine plutôt qu'avec la Grande-Bretagne.En novembre 2022, j'ai eu la chance d'assister à la Festival des arts et du livre Aké à Lagos aux côtés d'Abdulrazak Gurnah, lauréat du prix Nobel de littérature, Kojo Koram, auteur de Uncommon Wealth, et d'autres. Lors d'un trajet vers une galerie d'art, Koram et moi avons vu la gare de Mobolaji Johnson, une grande gare moderne assistée par les Chinois dans l'ancienne friche d'Ebute Metta, à Lagos. Le mois dernier, un service de chemin de fer léger de 27 km de construction chinoise à Lagos, une ville de 15 millions d'habitants, a effectué son essai inaugural.
L'optique parle d'elle-même : la Chine travaille avec les Africains sur d'énormes projets d'infrastructures modernes à travers le continent, dont beaucoup ont conduit à l'amélioration de la vie des Africains (malgré la controverse sur les soupçons de piège de la dette) ; pendant ce temps, les princes britanniques se disputent à qui appartient l'Afrique.Cela en dit long sur la race et les médias occidentaux sur le fait que la notion « l'Afrique, c'est mon truc » n'a pas fait la une des journaux. Comment Harry avait perdu sa virginité ou les drogues étaient bien plus intéressants. Comme l'Europe, le continent africain est magnifiquement complexe. Souvent, c'est désordonné. Mais malgré les nombreux problèmes auxquels elle est confrontée, en 2023, des événements tels que Detty December, la croissance du tourisme, l'expansion de la musique africaine dans la culture pop mondiale, la zone de libre-échange continentale africaine, la normalisation de la démocratie et le respect des droits de l'homme, et la diversification loin de la dépendance aux matières premières - toutes sont plus importantes pour les Africains que le prince britannique qui peut revendiquer le continent. L'Afrique avance ; Je ne suis vraiment pas sûr que les Windsor puissent en dire autant. Nels Abbey est écrivain, animateur et ancien banquier. Il est l'auteur du livre satirique Think Like a White Man Avez-vous une opinion sur les questions soulevées dans cet article? Si vous souhaitez soumettre une réponse de 300 mots maximum par e-mail pour être considérée pour publication dans notre section de lettres, veuillez cliquer ici.
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Saint Louis et les Rois Catholiques furent-ils antisémites ?
En plus d’avoir été de très grands monarques catholiques, Louis IX de France et les Rois Catholiques Ferdinand II d’Aragon et sa femme Isabelle Ire de Castille sont restés célèbres pour leurs mesures antijuives. Saint Louis interdit à partir de 1230 aux juifs de France la pratique de l’usure, il confisqua leurs exemplaires du talmud à partir de 1240 et il les obligea à porter la rouelle à partir de 1269. Les Rois Catholiques prononcèrent en 1492 l’expulsion des juifs d’Espagne refusant de se convertir. Ces mesures avaient pour but de protéger les juifs d'un mécanisme victimaire auquel participaient la « chusma » comme on dit en castillan ainsi qu'une partie des élites juives et non juives qui en profitaient pour s'enrichir.
Il s'agit d'un mécanisme sacrificiel, inacceptable pour un catholique comme d'ailleurs pour un juif orthodoxe. Peut-être est-ce pour cela qu'il apparut au sein de la Chrétienté quand le judaïsme commença à verser dans la gnose puis le messianisme et quand le dualisme et plus tard l'hermétisme commencèrent à fleurir parmi les chrétiens ?
Ce mécanisme de pouvoir est connu des anthropologues sous le nom de royauté sacrée africaine bien qu'il existe également à l'extérieur de l'Afrique.
En voici une brève description :
Une communauté se choisit un roi, parfois étranger, parfois lié à la communauté. Pendant un an ou disons un certain temps ce roi sera encouragé à pratiquer toutes les transgressions, exactions et crapuleries comme coucher avec toutes les femmes y compris sa mère si c'est possible, consommer des aliments interdits, voler, insulter et frapper qui bon lui semble, mentir et tromper tout le monde afin bien sûr de devenir le bouc émissaire exécré de tout le groupe humain. Et lorsque survient au sein du groupe une crise sociale grave ou simplement pour en prévenir l'avènement, le roi est mis à mort, lynché par la collectivité ou sacrifié par les prêtres. Sa mise à mort purge la collectivité de sa violence intestine et maintient ou restaure la paix. Après sa mort le roi sacré et bouc émissaire devient un dieu puisque le groupe a l'impression de lui devoir sa vie ou sa survie. Un dieu bon après sa mort et mauvais de son vivant. Et le cycle recommence, un nouveau roi sacré appelé à devenir un dieu bon est incité à faire le mal…
L'Europe a également connu ce mécanisme sacrificiel pendant environ dix siècles avec les juifs pris collectivement dans le rôle du roi sacré. Bien entendu tous les juifs ne se sont pas comportés mal envers leurs hôtes chrétiens en pratiquant l'usure à leurs dépens. Seule une infime minorité pratiquait l'usure et prélevait les impôts pour les seigneurs, les deux principaux reproches que les chrétiens du peuple adressaient aux juifs. En agissant ainsi cette infime minorité de juifs s'est comportée comme un salaud professionnel envers le peuple chrétien, excitant par là son ressentiment et le poussant à la haine et au pogrom. Mais quand la colère populaire se déchaînait elle s'abattait sur tous les juifs, de manière indifférenciée. Il n'est même pas certain que les juifs qui pratiquaient l'usure ou pressuraient le peuple d'impôts pour le compte des seigneurs aient eu à souffrir de la vindicte populaire. En effet, ceux qui pratiquaient l'usure ou collectaient les impôts étaient plus intelligents que les juifs pauvres, donc étaient capables d'anticiper les crises et disposaient de complicité parmi les élites chrétiennes qui pouvaient ainsi les aider à fuir à temps.
C'est un fait que les juifs établis en terre chrétienne et uniquement eux, pas les juifs établis en terre musulmane, en Chine, en Inde, en Afrique, sont devenus progressivement plus riches et plus intelligents que les non juifs parmi lesquels ils vivaient et qui ne se distinguent pas, par l'intelligence et la fortune, de leurs voisins arabes, turcs, perses, éthiopiens, indiens, chinois. Le fait d'avoir servi de boucs émissaires aux Goyim chrétiens a permis aux juifs les plus riches et intelligents de prospérer tandis que les juifs pauvres et moins malins ont progressivement disparu soit en se convertissant soit en se faisant massacrer.
Il est tout à fait logique que des souverains profondément catholiques comme Saint Louis ou les Rois Catholiques (Ferdinand II d'Aragon et Isabelle Ire de Castille) n'aient pas supporté ce mécanisme sacrificiel éminemment opposé au christianisme comme au judaïsme orthodoxe d'ailleurs. D'où leur saine et sainte décision d’interdire l’usure, d’inciter les juifs à se convertir et pour les Rois Catholiques d'expulser les juifs d’Espagne.
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ALGÉRIE
L'appellation « Algérie » provient du nom de la ville d'Alger. Le nom « Alger » dériverait du catalan Aldjère[12], lui-même tiré de Djezaïr, nom donné par Bologhine ibn Ziri[12], fondateur de la dynastie berbère des Zirides, lorsqu'il bâtit la ville en 960 sur les ruines de l'ancienne ville au nom romain Icosium, Djaza'ir Beni Mezghenna
Angola
De « Ngola », titre utilisé par le monarque du royaume de Ndongo. Les Portugais ont nommé la région en honneur d’un Ngola qui leur était allié.
Benin
Benin est la prononciation portugaise du mot itsekiri « Ubinu », qui signifie « capitale » ou « siège de la royauté » et qui désignait la capitale du royaume du Bénin, un des rares grands royaume d’Afrique de l’Ouest côtière à avoir atteint une taille importante en dehors de l’influence de l’islam, et avant tout contact avec les Européens . Le nom Ubinu viendrait lui-même du mélange du mot yoruba « Oba », qui signifie « gouverneur », et du terme lié « Bini », le nom du peuple Edo (majoritaire dans le royaume) pour se référer à lui-même.
Botswana
Nommé d’après le groupe ethnique le plus important du pays, les Tswana.
Burkina Faso
Des deux langues principales du pays, signifiant « pays du peuple se tenant droit », « pays d’hommes intègres », ou « pays des incorruptibles ». Burkina vient de la langue moré, Faso du dioula.
Burundi
De la langue locale, signifiant « pays de ceux qui parlent le kirundi ».
Cameroun
Du portugais « Rio de Camarões » (rivière de crevettes), le nom que les explorateurs portugais avaient donné au fleuve Wouri au xve siècle, s’extasiant de l’abondance des crevettes dans ce cours d’eau. Les marins anglais adoptèrent ce nom en l’anglicisant (Cameroons) d’où le nom actuel de Cameroun.
Cap-Vert
Le nom du cap (Cabo Verde) lui a été donné en 1444 par le navigateur portugais Dinis Dias, la végétation luxuriante de ce promontoire rocheux contrastant avec l’aridité de l’arrière-pays.
Centrafrique
Nom descriptif : le pays est géographiquement au centre du continent africain.
Comores
De l’arabe Djazair al Kamar, « les Îles de la Lune ».
Congo
Nommé d’après le royaume Kongo, lui-même dérivé du nom du peuple bakongo.
Congo RDC
Nommé d’après le royaume Kongo, lui-même dérivé du nom du peuple bakongo. Zaïre, son ancien nom, vient du portugais Zaire, une adaptation du mot kongo nzere ou nzadi, « le fleuve qui avale tous les fleuves ».
Côte d’Ivoire
Référence au commerce de l’ivoire dans la région. D’autres parties de la côte maritime africaine ont été nommées de manière similaire : « Côte des Céréales », « Côte de l’Or », et « Côte des Esclaves ».
Djibouti
Peut-être dérivé du mot afar gabouti (un type de paillasson fait de fibres de palme). Une autre étymologie plausible mais non prouvée est que Djibouti signifie « Terre de Tehuti » ou « Terre de Thoth » (le dieu égyptien de la Lune).
Égypte
Du latin Aegyptus, à son tour du grec ancien (déjà attesté en mycénien) Αἴγυπτος (Aígyptos). Selon Strabon le nom grec dérive de Αἰγαίου ὑπτίως (Aigaíou hyptíōs) : « la terre en dessous de la mer Égée ». Il peut aussi dériver du nom égyptien de Memphis, *ħāwit kuʔ pitáħ, signifiant « maison (ou temple) de Ptah ».
Érythrée
Nommé par les colons italiens, du nom latin pour la mer Rouge : Mare Erythraeum (« mer Érythrée »).
Éthiopie
Du mot grec Αἰθιοπία (Aithiopía ; latin : Æthiopia), de Αἰθίοψ (Aithíops), « Éthiopien », parfois décomposé par des chercheurs comme un terme purement grec signifiant « au visage (ὤψ) brûlé (αἰθ) ». Toutefois, certaines sources éthiopiennes (par exemple, le Livre d’Aksoum des XVIe ou xviie siècles) déclarent que le nom soit dérivé de « ‘Ityopp’is », un fils de Koush, fils de Cham, qui, selon la légende, fonda la ville d’Aksoum. Il y a aussi une opinion minoritaire de quelques chercheurs que le mot grec Αἰθιοπία dérive d’un mot local ancien qui signifierait « encens » ou « bon », réinterprêté par les Grecs.
Gabon
De Gabão, le nom portugais donné à l’estuaire de la rivière Komo (en français : Estuaire de Gabon). L’estuaire tient son nom de sa forme, qui ressemble celle d’un manteau à capuchon (gabão).
Gambie
Du fleuve Gambie qui coule dans le pays. Le mot Gambie dérive peut-être du mot portugais câmbio (« échange », « marché »), en référence au commerce que les Portugais y faisaient.
Ghana
Du nom du royaume du Ghana, royaume éponyme d’Afrique de l’Ouest. Toutefois, le territoire actuel du Ghana n’a jamais fait partie de ce royaume. Joseph Kwame Danquah, homme d’Etat, historien et panafricanisme ghanéen, a suggéré ce nom peu avant l’indépendance du pays. Ses recherches l’avaient amené à croire que les peuples ghanéens d’aujourd’hui descendaient de l’ancien royaume. Le terme de Ghana viendrait du sonninké « nwana » signifiant « héros » ou « roi guerrier » et était le titre accordé aux rois de l’Empire du Ghana.
Côte-de-l’Or (ancien nom colonial) : d’après la grande quantité d’or trouvé dans le pays par les colons européens. D’autres parties de la côte africaine ont également été nommées d’après leurs marchandises les plus importantes : « Côte d’Ivoire », « Côte des Esclaves », « Côte des Céréales ».
Guinée
Bien que le nom de Guinée ait été imposé à cette région par les Européens, on peut néanmoins le considérer comme d’origine africaine, le mot Guinée étant, selon certains auteurs la transformation des mots Ginyia ou Gineua par lequel les marchands maures, avec lesquels les explorateurs portugais furent en rapports, désignaient les royaumes subsahariens. Une autre étymologie, qui n’est pas nécessairement incompatible avec la précédente, fait dériver le nom du Guinée, comme celui de l’ancien Ghâna du mot berbère Akal n-Iguinawen ou aguinaoui, « Terre des Hommes Noirs ».
Guinée équatoriale
« Équatoriale », de équateur. L’équateur ne passe pas par le territoire du pays, mais le pays enjambe l’équateur puisque son île d’Annobon est au sud, tandis que le continent se trouve au nord de cette ligne. « Guinée » vient peut-être du terme berbère aguinaoui, signifiant « noir ».
Kenya
Du nom du Mont Kenya, deuxième plus haut sommet d’Afrique, derrière le Kilimandjaro. Il a obtenu son orthographe actuelle après une série d’évolutions du nom que les tribus locales donnaient à la montagne. Les Kikuyu l’appellent « Kirinyaga », les Embu « Kirenia », et les Akamba « Kiinyaa » ; termes qui signifient tous « montagne blanche » ou « montagne brillante » en raison des glaciers visibles au sommet.
Liberia
Du latin liber (« libre »), parce que le pays fut fondé comme terre d’accueil africaine pour les esclaves Noirs libérés aux États-Unis et qui retournèrent en Afrique.
Libye
D’après le nom d’une ancienne tribu berbère appelée Libyans par les grecs et Rbw par les Egyptiens.
Madagascar
Du nom de l’île en malagasy, Madagasikara, lui-même dérivé du proto-malais « la fin de la Terre », une référence à la longue distance à parcourir jusqu’à l’île depuis les terres d’origine d’une partie de la population : l’Asie du Sud-Est.
Malawi
Peut-être basé sur un mot autochtone signifiant « eaux en flammes » ou « langues de feu », peut-être dérivé du reflet du soleil sur le lac Malawi.
Mali
Du royaume d’Afrique de l’ouest du même nom (un grand pays moderne étant situé sur le territoire de ce royaume disparu). “Mali” était le nom donné par les voyageurs arabes à l’empire que ses propres habitants appelaient “manden”.
Maroc
De Marruecos, la prononciation espagnole du nom de la ville de Marrakech (plus précisément Marrakush).
Mauritanie
Du latin signifiant « terre des Maures ». Nommée (par erreur) d’après la Maurétanie historique du nord du Maroc, elle-même nommée d’après une tribu mauri ou maure.
Maurice
Nommé Prins Maurits van Nassaueiland en 1598 en honneur de Maurice de Nassau (1567-1625), stadtholder d’Hollande et Prince d’Orange (1585-1625).
Mozambique
Du nom de l’île de Mozambique, dont le nom vient probablement de celui d’un ancien dirigeant, le sheik Mussa Ben Mbiki.
Namibie
Du nom du désert du Namib, sur la côte de l’Atlantique. Namib signifie « une région où il n’y a rien » dans la langue nama.
Niger
D’après le nom du fleuve Niger, du terme autochtone Ni Gir (« rivière Gir »), ou du touareg n’eghirren (« eaux qui coulent »). Souvent mal interprété (particulièrement par les latinistes) comme dérivé du latin niger (« noir »), une référence à la couleur de peau des habitants.
Nigeria
D’après le nom du fleuve Niger. Voir Niger ci-dessus.
Ouganda
De la version swahili de Buganda, le royaume des 52 clans du peuple Buganda, le plus grand des royaumes traditionnels du territoire actuel de l’Ouganda. Le pouvoir colonial britannique adopte le nom Ouganda (Uganda en anglais) en 1894. :
Buganda signifie « terre des Baganda ». Baganda (« frères et sœurs ») est le raccourci de baganda ba katonda (« frères et sœurs de Dieu »), une référence au mythe de la création.
Rwanda
Du nom du peuple Vanyaruanda, un mot d’origine inconnue mais probablement cognat au nom du Rwanda. Le pays est poétiquement appelé « Terre des mille collines ».
Sao Tomé-et-Principe
Du portugais pour « Saint Thomas et Prince ». L’île de Sao Tomé (en portugais São Tomé) est ainsi nommée par les explorateurs portugais parce qu’ils la découvrent le jour de fête de ce saint, le 21 décembre 1470 ou 1471. L’île de Principe (en portugais Ilha do Príncipe (« île du prince »)) est ainsi nommée en 1502, en référence au prince du Portugal, auquel on payait les taxes sur le sucre produit sur l’île.
Sénégal
L’étymologie du nom Sénégal est controversée depuis plusieurs décennies. David Boilat dans Esquisses sénégalaises (1850) soutient que le mot procèderait de la déformation de l’expression wolof suñu gaal, signifiant « notre pirogue ». D’autres étymologies ont été avancées :
Canaga ou Zanaga;
Singhane (terme hassanya par lequel les Maures désignent la province du Cayor) ;
Sanhadja ou Senaga, Sanaga, Azanaga (voir Zenaga, une tribu berbère du Sahara)2 ;
Siind (pour Aayeen, mal écrit et mal lu)3.
et enfin sagui nughal en berbère « notre frontière »….
Seychelles
Nommé en honneur de Jean Moreau de Séchelles, ministre des finances du roi Louis XIV de 1754 à 1756.
Sierra Leone
Adapté de Sierra Leona, la version espagnole du portugais Serra Leoa (« montagnes du lion »). L’explorateur portugais Pedro de Sintra nomme le pays d’après la forme des montagnes qu’il y voit en 1462 en naviguant le long de la côte ouest-africaine. On ne sait pas pourquoi les montagnes lui faisaient penser à des lions : elles pouvaient ressembler aux dents d’un lion, ou des lions qui dorment, ou le tonnerre qui y résonnait ressemblait peut-être au rugissement d’un lion.
Somalie
Du nom des Somalis, le peuple y habitant. L’étymologie de leur nom reste incertaine, mais il y a deux possibilités : qu’il dérive de sac maal (« ceux qui gardent le bétail »), ou d’un patriache mythique appelé Samaale.
Soudan
De l’arabe Bilad as-Sudan (البلاد السودان), « Terre des Noirs ». Référait à l’origine à la plupart du Sahel.
Swaziland
Du peuple swazi, le principal groupe ethnique du pays. Le mot swazi vient du nom du roi Mswati Ier, un roi de Swaziland.
Tanzanie
Un mélange des noms des deux anciens États qui forment ce pays : le Tanganyika et le Zanzibar.
Tanganyika tient son nom du lac éponyme. Sir Richard Burton est le premier Européen à voir ce lac, et explique que le nom dérive d’une langue autochtone : tou tanganyka (« rejoindre », dans le sens de « où se rejoignent les eaux »). En 1871 Henry Morton Stanley dit que le mot vient de tonga (« île ») et hika (« plat »). Les deux théories sont incertaines.
Zanzibar, quant à lui, dérive son nom des Zengi ou Zengj (زنكي), un peuple local dont le nom signifie « noir ». Cette racine est couplée à l’arabe barr (برر), signifiant « côte », « rivage ».
Tchad
Nommé d’après le lac Tchad, dans le sud-ouest du pays. Le lac tient son nom du mot bomu tsade (« lac »).
Togo
Du village Togo, aujourd’hui Togoville. De la langue ewe : to (« eau ») et go (« côte »).
Tunisie
D’après le nom de sa capitale, Tunis, dont le nom provient probablement de celui de la déesse phénicienne Tanith, la ville antique de Tynes, ou de la racine berbère ens, signifiant « s’allonger ».
Zambie
Du nom du fleuve Zambèze, qui coule dans l’est du pays et forme la frontière avec le Zimbabwe.
Zimbabwe
Modification du shona Dzimba-dze-mabwe, signifiant « maisons de pierres » (dzimba étant le pluriel de imba, « maison », et mabwe étant le pluriel de bwe, « pierre »), en référence aux murs de pierre de l’ancien empire marchand du Grand Zimbabwe
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Les traites et les esclavages occidental et arabo-musulman n’auraient pas été possibles sans la collaboration active des Africains. Décryptage avec l’historien et anthropologue sénégalais Tidiane N’Diaye.
C’est une réalité sur laquelle historiens, journalistes et militants ont souvent jeté un voile, par lâcheté intellectuelle ou opportunisme idéologique. Mais les faits sont têtus, et il existe assez d’archives pour l’attester. Durant les longs siècles de traite et d’esclavage arabo-musulman puis occidental, des Etats négriers d’Afrique ont participé et se sont enrichis grâce à ce commerce, comme les royaumes d’Ashanti ou d’Abomey (actuels Ghana et Bénin) par exemple (voir cartes ci-dessous). Auteur d’un ouvrage remarqué sur l’esclavage arabo-musulman, « Le génocide voilé » (éditions Gallimard, 2008), l’anthropologue et économiste sénégalais Tidiane N’Diaye explique à propos de la traite que « la complicité de certains monarques et leurs auxiliaires africains dans ce commerce criminel est une donnée objective ». Interview sans langue de bois. Ce sont des faits historiques souvent négligés ou occultés par les chercheurs, mais des Africains ont aidé à alimenter la traite transatlantique et le système esclavagiste durant des siècles. Comment cela se passait-il ? Qui étaient les principaux protagonistes ? Tidiane N’Diaye : Vous savez, dans cette tragédie les prédateurs, d’abords arabes puis occidentaux ont excité la cupidité et la rapacité de nombreux chefs locaux. Les razzias étaient légalement organisées par des chefs ou sultans, pour approvisionner les négociants qui travaillaient pour l’exportation de captifs africains. Par exemple les princes des États voisins de celui du sultan du Bornou (Kanem, Wadaï, Baguirmi et Sokoto) dans l’actuel Nigéria, se livraient au trafic de captifs. Tous, loin de vouloir supprimer une traite dont ils profitaient, ne songeaient qu’à imposer des taxes de passage lorsqu’ils ne « rackettaient » pas directement les caravanes. Au pays des Fellatas, les chasses à l’homme y étaient dirigées par Ahmadou, fils et digne héritier de El Hadji Omar Seydou Tall, sur le sentier du Jihad. A l’intérieur du continent, l’entreprise était encore plus répugnante avec les monarques dahoméens, dont le plus grand des fournisseurs d’esclaves fut Béhanzin. Car ici l’islamisation n’explique pas leur complicité, ils étaient animistes pour la plupart. Ces usurpateurs sanguinaires crispés sur leurs privilèges, étaient surtout préoccupés par la puissance et le prestige, que seul le verdict des armes pouvait assurer en ces lieux. Ils entrèrent en « collaboration », d’abord avec les Arabo-musulmans, avant l’arrivée des négriers européens. Ils ont vécu du sang, de la sueur et de l’agonie de leurs peuples. Pour gagner en efficacité, tous eurent de plus en plus besoin de moyens aussi sophistiqués que meurtriers. Pour disposer de plus d'armement et de chevaux, gage de leur puissance, ils furent obligés de vendre davantage de captifs en engageant des guerres contre les royaumes voisins pour se fournir. Tout en se faisant des guerres au service des négriers, ces chefs africains furent progressivement piégés par les mécanismes d’échange de la traite. Aussi, beaucoup « d’exportés » étaient le produit de guerres intestines, encore accrues par l’appât des débouchés qu’offrait d’abord cette ignominie. Puis l'arrivée des navigateurs fut providentielle pour le commerce de ces États trop éloignés du Sahara, pour qu'ils y écoulent leur surplus de captifs.
©Hatier-Aupelf/Atlas des esclavages
Certaines royautés ou nations africaines de l’époque se sont-elles vraiment enrichies grâce à la traite, et dans quelle mesure ? Il y avait une offre massive de captifs, moyennant armes, chevaux, textiles ou Cauris (coquilles de gastéropodes qui servaient de monnaies dans cette partie de l’Afrique précoloniale.) Ce dernier comme on sait, sera progressivement remplacé par l’argent, qui se révélera être le plus pernicieux des instruments de corruption jamais introduits en Afrique. D’autres chefs faisaient aussi des razzias et vendaient des hommes pour avoir des bœufs, des armes, des étoffes ou tout autre bénéfice. La responsabilité de ces roitelets et autres renégats cupides, ne souffre aucun doute. Dans cette tragédie, force est donc, de reconnaître qu’il y eut la collaboration de potentats autochtones qui, pour tirer profit de ce mal, se souciaient peu de la destination ou de la mort de leurs compatriotes. Il n’y eut pas seulement que les négriers berbères, égyptiens, européens et autres ramassis et écume des nations. La complicité de certains monarques et leurs auxiliaires africains dans ce commerce criminel est une donnée objective.
©J. Fakambi, "Route des esclaves au Bénin"/Atlas des esclavages
L’ex-président du Sénégal Abdoulaye Wade a rappelé récemment, de manière peu élégante il est vrai, l’existence d’un esclavage interne à l’Afrique subsaharienne quand il a traité son successeur Macky Sall de « descendant d’esclaves ». Qu’en est-il exactement sur le plan de l’histoire ? En fait, il faut dire qu’isolée du monde méditerranéen pendant des millénaires, l'Afrique noire a ignoré jusqu'à l'ère contemporaine la propriété foncière. La propriété privée n’existait pas dans nombre de pays ou alors de façon très limitée. L’environnement étant propriété commune, beaucoup de familles choisissaient de mettre toutes leurs terres en coopérative, pour les exploiter. L’argent n’existait pas au sens où nous le connaissons aujourd’hui. Mais progressivement l'enrichissement et l'élévation sociale, viendront à dépendre de la possibilité de cultiver un maximum de surface. D'où la nécessité de disposer d'une importante main-d’œuvre. Ainsi dans les sociétés africaines plus un homme possédait de serfs pour cultiver ses terres et de femmes, plus il était riche. Et plus il était riche, plus il était en situation d'accroître son « patrimoine » de femmes et de serfs. C’est ainsi que la voie fut ouverte vers les conflits, pour se procurer de la main-d’œuvre. Des guerres tribales se firent donc plus violentes. Les chefs de clans victorieux, au lieu de se contenter des terres conquises et d’une reconnaissance, obligeaient les vaincus à accepter une position de subordination. Également de vieilles rancunes de familles et des rivalités de tribus provoquaient souvent des conflits tout aussi dévastateurs. Les vaincus devenaient captifs des vainqueurs.
L'anthropologue sénégalais Tidiane N’Diaye.
(Photo à gauche : Tidiane N'Diaye) : Le résultat de ces affrontements était que des famines et des disettes devenaient fréquentes et parfois si dramatiques, que des hommes libres n'hésitaient pas à se vendre eux-mêmes comme captifs ou à vendre leurs propres enfants. Les coupables de certains crimes comme les sorciers, pouvaient être réduits en servage et éloignés de leur région d'origine. Il arrivait aussi que des individus se vendent eux-mêmes à un maître, pour éteindre une dette qu'ils ne pouvaient rembourser. D’autres qui avaient perdu leurs proches, pouvaient aussi par le servage, être socialement réintégrés. Ils abandonnaient leur patronyme pour adopter celui d’un maître. Une constante dans les sociétés négro-africaines, est aussi le système des castes qui a abusivement fourni de nombreux asservis. Du portugais casto (pur), ce système symbole de classes strictement hiérarchisées dans beaucoup de civilisations, est appliqué depuis des milliers d’années en Afrique. Cette hiérarchisation sociale se traduit par exemple au Sénégal, par une division comprenant au sommet, des nobles de sang royal, appelés Bours, Guélawars, Faama, Mwené, Damel, Almamy, Linguers etc. Durant des siècles, les sociétés africaines fonctionnaient suivant cette féodalité souvent d’épée ou de robe. Ce qui a engendré une classe de seigneurs, qui ont toujours dominé et souvent soumis au servage, des hommes appartenant aux autres classes sociales. Ces populations ou le gros de la plèbe, étaient composées de non-castés dits Guers et les autres membres de castes inférieures qui sont appelés Nyénios (Rabb, Mabbo, Woudé, Teug, Laobé, Guéwel, Dions etc.) En fait ces catégories sociales, regroupaient souvent des corporations artisanales longtemps méprisées comme les cordonniers, les forgerons, les tisserands etc. Sachant que l’esclavage ou servage africain relevait de rapports de force très aléatoires et que les « castés » avaient tout aussi absurdement été relégués à ce rang du fait de leurs professions, j’ai trouvé ridicule et irrévérencieuse l’attitude de Wade envers Macky Sall.
©DR
Pensez-vous que l’Afrique subsaharienne (ou du moins certaines nations, car le continent est immense) devrait reconnaître officiellement sa responsabilité dans la traite et la déportation de millions d’esclaves, comme l’ont fait certains Etats occidentaux ? Bien évidemment cette question demeure taboue et divise les intelligentsias africaines et afro-américaines. Mais le président Matthieu Kérékou du Bénin, avait été le premier à se mettre à genoux devant une congrégation noire de Baltimore, pour demander pardon aux Africains-Américains et à toute la diaspora pour « le rôle honteux que les Africains ont joué durant la traite ». Le 27 avril 2015, pour la première fois un pays africain, le Sénégal, rendait hommage aux victimes de la traite négrière. La date de cette commémoration, qui se veut désormais annuelle, n’a pas été choisie au hasard : elle correspond à celle de l’abolition de l’esclavage dans les colonies françaises, le 27 avril 1848. Bien que les organisateurs de cette manifestation ne se soient pas étendus sur le rôle des Africains eux-mêmes dans cette tragédie, rappelons qu’en octobre 2003, les évêques africains réunis à Gorée avaient publié une déclaration dans laquelle ils demandaient « le pardon de l’Afrique à l’Afrique » en ces termes : « Commençons donc par avouer notre part de responsabilité dans la vente et l’achat de l’homme noir, hier et aujourd’hui… Nos pères ont pris part à l’histoire d’ignominie qu’a été celle de la traite et de l’esclavage noir. Ils ont été vendeurs dans l’ignoble traite atlantique et transsaharienne…» Ceci venait après la déclaration du pape Jean-Paul II qui, en 1985 à Yaoundé, au nom des Catholiques de l’Occident, avait demandé pardon à « nos frères africains qui ont tant souffert de la traite des Noirs ». Ce message sera repris dix ans plus tard à Rome, implorant encore : « le pardon du ciel pour le honteux commerce d’esclaves auquel participèrent de nombreux chrétiens ». Je pense que maintenant la messe est dite, nul ne peut plus ignorer les responsabilités des uns et des autres.
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Alert ! La Royauté Africaine Cachée par La Colonisation Française !
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Lesotho sur la route de Maseru et Maseru le 16 janvier
Les sardines dans leur boîte ont bien de la chance, à l'huile on peut encore rajouter des condiments, moi dans ma boîte en forme de bus j'ai moins d'air qu'elles d'huile et il serait impossible de rajouter une rondelle de citron. J'envisage toutes les possibilités pour gagner un peu de place, entre autres vider un peu mon tube de dentifrice mais je ne peux bouger le petit doigt pour l'atteindre. La grosse dondon à côté de moi a vite trouvé une solution, elle vide goulument son paquet de chips et jette l'emballage par la fenêtre, toujours quelques cm3 gagnés. Seule satisfaction, la longiligne et assez jolie lesothane en face de moi a glissé un genou entre les miens, l'un des miens étant entre les siens. S'il faut avant de partir toujours faire le plein du minibus la configuration a changé, 2passagers à côté du chauffeur, 2x3 sur les 2 sièges derrière et 2x2 sur les 2 banquettes à l'arrière qui se font face. 13 au total, c'est raisonnable mais il faut ajouter tous les bagages et qui n'a pas vu l'énorme cul des sud-africaines n'en n'ont qu'une piètre idée.
Heureusement 1er changement à Maputsoe (80km) et c'est dans un grand bus que je vais jusqu'à Maseru (un peu plus de 100 bornes). La montagne fait place à une plaine d'où émergent de nombreux plateaux aussi plats au sommet que la montagne de la Table au Cap. De tant en tant une rivière creuse sa gorge dans la roche tendre.
Voici Maseru, la capitale, 300 000 habitants, selon Wikipedia ses 2 principales activités sont la fabrication de bougies et le tissage de la laine, et selon le Routard, "seul le besoin de faire le change dans l'une des banques du centre ville vous retiendra, c'est presque le seul endroit du pays où c'est possible". Voilà tout est dit, j'avais quand même un peu cuisiné Patrick, il y a un roi, il y a bien un palais... euh! Ah si il y a un un parlement (oui c'est sensé être une royauté parlementaire), je l'aperçois depuis la route entre 2 collines, on dirait un hôpital.
J'arrive donc sur la place où les bus vont dans toutes les directions y compris l'Afrique du Sud, la frontière est là à la sortie de la ville, capitale excentrée d'un pays grand comme la Belgique mais complètement enclavé dans son grand voisin.
Comme dans beaucoup de villes africaines là où s'arrêtent les bus des marchands de tous poils viennent essayer de faire des affaires, c'est un vrai capharnaüm. Moi, avec mes sacs je m'empresse de trouver le minibus qui va vers semonkong, pas de direct, donc Roma. Je m'installe avec mon barda, pas question de visiter les alentours , le bus peut partir dans un quart d'heure ou dans 3. Et puis laisser dans le bus dans cette foule souvent misérable même mon gros sac me semble hasardeux. Cependant, le chauffeur du bus me certifie qu'il reste là et qu'on ne risque pas de partir avant une heure ou deux, je me décide à faire un tour sur le marché. Tristes tropiques.
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Cette royauté aurait-elle permis la colonisation, l'Apartheid et la confiscation des terres ? - Le roi des Zoulous veut s'allier aux fermiers blancs contre la réforme agraire sud-africaine
Cette royauté aurait-elle permis la colonisation, l’Apartheid et la confiscation des terres ? – Le roi des Zoulous veut s’allier aux fermiers blancs contre la réforme agraire sud-africaine
Que ce soit dans mon cabinet , ou par téléphone ou par email, ma priorité est de répondre au mieux à vos interrogations et de vous offrir une voyance qui soit éclairante, précise et de qualité.
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LE KENTE
Encore appelé kita est le tissu tissé par excellence des peuples ashanti du Ghana, ewe du Togo et du Ghana, Gan du Ghana, krous et akan de la côte d’ivoire.
Le nom KENTE découle en réalité du mot “kenten” qui signifie “panier” car sa confession et son apparence rappelles bien celle du panier.
Ce tissu est étroitement liée à la royauté de ces peuples et était autrefois porté que par la noblesse et tissé de façon particuliere par rapport à chaque Roi. L’on raconte que chaque Roi choisissait lui même son dessin et ses couleurs et chaque tissu était donc attaché à son règne. Ainsi, chaque tissu kente d’origine raconte l’histoire de son peuple et ses royaumes.
Le kente à l’origine était tissé par des tisserands avec des fils de coton localement produits et seule la couleur bleu existait . C’est donc beaucoup plus tard lorsqu’un nouveau commerce de tissus s’est développé sur la côte de l’or avec les collons européens que les tisserands de l’époque ont eu la brillante idée d’acheter les tissus de ses européens en quête d’ivoire, d’or et d’esclaves, de les défaire enfin de récupérer les fils colorés de soie, de cotons et de lins, qu’ils ont commencés a produire des kente colorés tissé avec la même délicatesse dans des dessins géométriques et de motifs d’ animaux et poissons, d’oiseaux, de fruits, de feuilles, de couchers de soleil, d’arcs en ciel et autres…
Chaque dessins et couleurs choisis avais une explication particuliere, une histoire à raconter. Ainsi lorsque le tissu était entremele de fils d’or cela symbolisait la richesse, de fils vert la prospérité et la nouveauté, le noir la tristesse et le deuil, le rouge la vigueur ou la colère et l’argente la pureté et la joie tout comme le jaune la gaieté et la joie de vivre. Chaque motif est unique et a son propre nom. Le tissu quant à elle n’est qu’une bande messurant entre 7,5 cm et 11,5 cm reliées entre elle pour parfois former une pagne de 2yards.
La légende raconte qu’il proviendrait du savoir faire de l’araignée.
En effet, deux cultivateurs Krugu Amoaya et Watah Kraban du village Bonwire sont tombés par hasard sur une araignée du nom de “ANANSI“ (populaire dans les fabres et contes ghaneens) qui tissait sa toile et ont pris le temps d’observer la technique etant émerveillé par la beauté de la toile. Le premier kente créé en raphia serait en fait une tentative de reproduction de la toile d’anansi.
Aujourd’hui le kente n’est plus fabriqué avec la même délicatesse et munitie d’autrefois qui demandait beaucoup de travail et de temps. Les Rois ayant perdu leurs influences ils n’est plus question de les distinguer par une quelconque etoffe. La demande est donc devenu grande et difficile à satisfaire. De nouvelles techniques de fabrication ont donc été développés et les fils ont été remplacés par des fils synthétiques. Il y’a même sur le marché, des tissus cotons réprentant des motifs du kente et très moins chers qui n’ont rien avoir avec le tissu tissé.
Bien il y a que peu de tisserand qui accepte aujourd’hui de recourir à la vieille technique de fabrication, elle a conservé toute sa prestige et sa noblesse. Elle est aujourd’hui porté pour des cérémonies traditionnelles et événements importants comme les mariages, les anniversaires, les baptemes.
Certains créateurs de modes comme nous (la marque Racine de Gaelle truda) l’utilisons dans la confection des vêtements et des accessoires chics et modernes.
#gallery-0-5 { margin: auto; } #gallery-0-5 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 33%; } #gallery-0-5 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-5 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Quoiqu’il en soit, le KENTE reste et restera l’un des tissus qui reflètent et représentent le mieux la culture africaine.
LE KENTE(kita) : Une histoire de prestige LE KENTE Encore appelé kita est le tissu tissé par excellence des peuples ashanti du Ghana, ewe du Togo et du Ghana, Gan du Ghana, krous et akan de la côte d'ivoire.
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#lamulatressesolitude #esclavage #guadeloupe #antilles #outremer #GabrielSouleyka #lecridelinnocence #antillesfrancaises #guadeloupeenne #slavery #afroamerican #blackpanther #black #noirs #panafricain #slavery #esclavage #abolition #malcolmx #maat #feminist #queenblack Histoire "Le Cri de l'innocence" est un roman historique et en tant que tel, il fourmille d'indications, repères chronologique sur des faits touchants à l'esclavage des Noirs. J'ai romancé, créant des chapitres entiers mettant en scène des personnages mis en situation dans des événements tragiques. A contrario d'un livre d'histoire basique ou d'un essai philosophiques , j'avais à coeur d'intégrer le lecteur à l'histoire. Si vous suivez ma page, vous noterez la volonté de réhabiliter une fierté historique. Il ne s'agissait pas d'énumérer les victimes par millions de la traite négrière, mais bel et bien de se positionner comme un enquêteur impartial sur ce sujet douloureux. Reporter les événements les plus précisément possible en totale immersion, que ce soit la vie en Afrique, les coutumes et tradition de ceux qui ont été capturés contre leur gré. L'esclavage n'est pas la conséquence de la passivité des noirs où de leur volonté de voir les leurs être vendus, non loin de la. L'histoire montre souvent les conséquences de l'esclavage sans en étudier la source. Le profit, le capitalisme sont des causes connues mais l'hégémonie impérialiste en est une autre. Comme le montre mon visuel et tout naturellement dans mon livre, il y a ce rappel constant de la royauté africaine. Du fait que bien avant l'Europe en Afrique il y avait des Reines puissantes, des Rois bienveillants, des royaumes prospère et des centres du savoir inédit. Les richesses étaient abondantes et la jalousie n'a pas tardé au fil des siècles. La volonté expansionniste de l'Europe s'explique par le fait de vouloir toujours plus que le voisin. La nécessité de lire "le Cri de l'innocence " s'inscrit dans une démarche de retour l'histoire, a ce passé glorieux complètement démantelé pour des raisons économiques. Mais aussi découvrir l'ampleur des avancées de la civilisation africaine. Apprendre son histoire c'est comprendre le présent. https://www.instagram.com/p/B88DN6TjfTH/?igshid=1xv7dr94wni4p
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#lamulatressesolitude #esclavage #guadeloupe #antilles #outremer #GabrielSouleyka #lecridelinnocence #antillesfrancaises #guadeloupeenne #slavery #afroamerican #blackpanther #black #noirs #panafricain #esclavage #abolition #malcolmx #maat #feminist #queenblack #afro Histoire "Le Cri de l'innocence" est un roman historique et en tant que tel, il fourmille d'indications, repères chronologique sur des faits touchants à l'esclavage des Noirs. J'ai romancé, créant des chapitres entiers mettant en scène des personnages mis en situation dans des événements tragiques. A contrario d'un livre d'histoire basique ou d'un essai philosophiques , j'avais à coeur d'intégrer le lecteur à l'histoire. Si vous suivez ma page, vous noterez la volonté de réhabiliter une fierté historique. Il ne s'agissait pas d'énumérer les victimes par millions de la traite négrière, mais bel et bien de se positionner comme un enquêteur impartial sur ce sujet douloureux. Reporter les événements les plus précisément possible en totale immersion, que ce soit la vie en Afrique, les coutumes et tradition de ceux qui ont été capturés contre leur gré. L'esclavage n'est pas la conséquence de la passivité des noirs où de leur volonté de voir les leurs être vendus, non loin de la. L'histoire montre souvent les conséquences de l'esclavage sans en étudier la source. Le profit, le capitalisme sont des causes connues mais l'hégémonie impérialiste en est une autre. Comme le montre mon visuel et tout naturellement dans mon livre, il y a ce rappel constant de la royauté africaine. Du fait que bien avant l'Europe en Afrique il y avait des Reines puissantes, des Rois bienveillants, des royaumes prospère et des centres du savoir inédit. Les richesses étaient abondantes et la jalousie n'a pas tardé au fil des siècles. La volonté expansionniste de l'Europe s'explique par le fait de vouloir toujours plus que le voisin. La nécessité de lire "le Cri de l'innocence " s'inscrit dans une démarche de retour l'histoire, a ce passé glorieux complètement démantelé pour des raisons économiques. Mais aussi découvrir l'ampleur des avancées de la civilisation africaine. Apprendre son histoire c'est comprendre le présent. https://www.instagram.com/p/B87KuUCj-ta/?igshid=e4cw73clszv4
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