#rouler au Salé
Explore tagged Tumblr posts
Text
Tarifs dresseur de chiens Perpignan
Dresseur de chiens à Perpignan, Bompas, Pézilla la rivière. Nos tarifs imbattables ici.
Pour nous joindre : 06 56 72 29 85
Comment assurer la sécurité de votre chien à la plage
Les journées à la plage sont encore meilleures lorsque vous pouvez amener votre chien. Mais même s'il est amusant de profiter du sable et du soleil avec votre chien, il est également important de garder à l'esprit la sécurité. La plage peut présenter des risques pour les chiens, comme tomber malade en buvant de l'eau salée et même avoir des coups de soleil. Voici comment aider votre chien à s’amuser au soleil en toute sécurité.
Comment préparer votre chien pour une journée à la plage
Les chiens sont-ils autorisés à la plage ?
Avant de vous rendre à la plage, assurez-vous que votre chien est autorisé à vous rejoindre. Certaines plages peuvent avoir des restrictions quant aux endroits où les chiens peuvent aller, tandis que d'autres peuvent ne pas être idéales en raison de leur taille ou du terrain. Pour déterminer si les chiens sont autorisés sur la plage, consultez les règles disponibles répertoriées par le département ou la ville. Et assurez-vous de nettoyer les traces de votre chien à la plage, comme vous le feriez ailleurs.
Est-il sécuritaire pour les chiens de nager dans la mer ?
En général, il est sécuritaire pour les chiens de nager dans la mer – cela peut être un excellent exercice pour eux. Mais avant de vous lancer dans l’eau, prenez note de quelques précautions :
Votre chien est peut-être un bon nageur, mais les grosses vagues peuvent néanmoins être très dangereuses. Ainsi, avant d’emmener votre chien à la plage, il est important de vérifier les conditions de l’eau. Certaines plages peuvent avoir des courants de retour ou d'autres dangers qui pourraient être dangereux pour les chiens. Dans ces conditions, vous souhaiterez peut-être tenir votre chien en laisse afin qu'il ne puisse pas sortir trop loin.
Scannez l'eau et le sable à la recherche de méduses et autres espèces marines, qui peuvent être dangereuses pour les chiens. Soyez conscient du pou du poisson qui peut provoquer des démangeaisons rouges chez les chiens. Empêchez votre chiot de se rouler ou de manger tout ce qui pourrait le rendre malade. Soyez particulièrement attentif aux zones qui abritent un volume élevé de méduses. Autre conseil : découragez votre chien de manger du sable lorsqu'il joue à la plage. Trop de sable ingéré peut créer une impaction dans leur intestin provoquant la fermeture de leur tractus intestinal.
Votre chien voudra peut-être boire l’eau salée s’il a soif, mais le sel, les bactéries et les parasites présents dans l’eau peuvent le rendre malade. À la plage, les chiens peuvent se déshydrater rapidement au soleil, il est donc impératif d'empêcher votre chien de boire de l'eau salée en lui fournissant beaucoup d'eau fraîche. Boire de l’eau salée peut entraîner une intoxication par l’eau salée, des vomissements après la baignade et une « diarrhée à la plage ». Quelques gorgées d'eau salée ne nuiront pas à votre chien, mais surveillez les vomissements et les premiers signes neurologiques d'intoxication au sel, tels que l'ennui et la dépression. N'oubliez pas qu'il est également possible que votre chien boive trop d'eau, faites attention à l'intoxication hydrique.
Apportez un gilet de sauvetage pour chien
Bien que de nombreux chiens aient un instinct naturel pour nager, il est important de se rappeler que tous les chiens ne savent pas nager. Certaines races sont également physiquement mieux adaptées à la natation (les Retrievers ), tandis que d'autres peuvent être effrayées ou avoir des difficultés à nager. Les chiens qui aiment faire du bateau ou nager doivent toujours porter un gilet de sauvetage. Assurez-vous que le gilet de sauvetage est bien ajusté et laissez à votre chien le temps de s'habituer à le porter lorsqu'il nage avant de s'enfoncer plus profondément dans l'eau.
Le sel peut également être irritant pour les pattes et la peau. Rincez l'eau salée et le sable du pelage de votre chien après la baignade. Toujours nettoyer et sécher les oreilles après une baignade. L’eau qui reste dans les oreilles, notamment celle provenant de la mer, peut provoquer une otite bactérienne.
Fait-il trop chaud pour mon chien à la plage ?
Les chiens régulent leur température corporelle principalement en haletant, ce qui n'est pas aussi efficace que la transpiration, ce qui les rend plus sensibles aux dangers liés à la chaleur. Limitez l'exposition de votre chien pendant les heures de pointe d'ensoleillement (entre 10 h et 15 h) et appliquez un écran solaire 30 minutes avant de sortir. Voici quelques autres façons de vous assurer que votre chien n’a pas trop chaud à la plage.
Protégez votre chien du soleil.
Malgré toute cette fourrure, il est important d’être conscient des risques de coups de soleil chez votre animal. Les chiens peuvent avoir des coups de soleil – leur nez, leur ventre et les zones à fourrure particulièrement fine ou de couleur claire sont sensibles aux rayons chauds du soleil – il est donc important de les protéger avec l'ombre d'un parasol, d'une chemise de protection UV et d'un écran solaire. .
Utilisez un écran solaire spécialement conçu pour les chiens et composé d'ingrédients répulsifs pour les chiens pour les empêcher de le lécher. Si vous n'êtes pas sûr que votre crème solaire soit sans danger pour les animaux, vérifiez l'étiquette pour vous assurer qu'elle ne contient pas d'oxyde de zinc (desitine) ou de salicylates (aspirine); ceux-ci peuvent être toxiques s’ils sont léchés et ingérés en grande quantité. Une irritation de l'estomac peut également survenir si des quantités excessives sont ingérées, alors faites attention à ne pas en mettre trop dans une zone où ils peuvent le lécher.
Protégez leurs pattes du sable chaud.
Le sable chaud (et le trottoir) peuvent facilement dépasser les températures confortables pour les coussinets délicats des pattes, entraînant des ampoules. Si le sable est trop chaud pour que vous puissiez marcher pieds nus, alors il est trop chaud pour les coussinets de votre chien. Réservez votre voyage à la plage pour une journée plus fraîche ou partez tôt le matin ou tard le soir pour éviter la chaleur.
Protégez votre chien de la chaleur.
Courir sur le sable est un exercice intense, qui peut facilement entraîner un coup de chaleur. Et ne laissez jamais votre chien sans surveillance dans votre véhicule pendant les mois d'été, même lorsque vous chargez et déchargez votre voiture à la plage. Un coup de chaleur et la mort peuvent survenir en quelques minutes.
0 notes
Text
La nouvelle Nissan Z, les belles d’autrefois et des Mini
Le 26 juillet 2023
Il y a parfois de ces autos qui impressionnent plus que d’autres. Pour certains, ce sera une de ces super bagnoles du style Lamborghini ou Ferrari. Pour d’autres, ce sera une voiture électrique très haut de gamme qui ne coûte presque rien à rouler. Pour d’autres encore, ce sera un de ces VUS de très grand luxe d’un prix astronomique. Pour moi, ce sera une voiture sportive très agréable à conduire. Pas nécessairement une pièce de plastique ou de métal que beaucoup de monde admireront immobile. Ni un monstre mécanique éclatant qui pourra dépasser les 350 km/h! D’ailleurs, pour moi, tout ce qu’un véhicule peut faire entre 0 et 160 km/h vaut la peine d’être analysé. Au-delà de cela? Bof! Il n’y a qu’au grand lac salé asséché de Bonneville que l’on peut faire cela (tiens, en passant, s’il y a un évènement que je n’ai pas encore vu qui m’intéresserait, ce serait le Speed Week de Bonneville qui se déroule en août).
Outre cela, encore une fois, bof! Mais lorsqu’un véhicule me plaît, je ne me gêne pas pour le célébrer. C’est le cas de la toute nouvelle version du sportif coupé Z de Nissan. La première fois que j’ai pu le conduire, c’est au Festival des Essais de l’Association des Journalistes Automobile du Canada (AJAC) en octobre dernier autour de la piste Canadian Tire Motorsports Park. Pas nécessairement la meilleure période de l’année pour une auto sport ni le meilleur moment vu les nombreuses concurrentes dont certains plutôt spectaculaires. Mais, j’ai vraiment aimé ma ballade même si elle n’aura duré qu’une trentaine de minutes.
Toutefois, lorsque j’ai pris le volant de la Nissan Z 2023 de presse la semaine dernière, je me suis aussitôt senti à l’aise dans la voiture. Et j’ai enfin ressenti ce que je voulais découvrir en octobre dernier. J’aime cette auto!
La nouvelle Nissan Z n’est pas sans nous rappeler les premières Datsun 240 Z. (Photo Éric Descarries)
Je possède une voiture de sport, une monstrueuse Cobra bruyante qui n’est agréable à conduire (et Dieu sait qu’elle peut l’être) que lorsqu’il ne fait pas trop chaud (on ne la sort certes pas en hiver, il n’y a pas de chauffage…et puis on se doute quel serait son comportement dans la neige ou sur le pavé froid!). Mais elle est sportive au max, comme un «sports car» British se devait de l’être au début des années soixante. Eh bien, la Nissan Z se rapproche d’un tel véhicule…mais en plus civilisé, nettement plus civilisé!
Même de l’arrière, on reconnaît les origines de la nouvelle Nissan Z. (Photo Éric Descarries)
Un design pur
De l’extérieur, la Nissan Z affiche une ligne bien équilibrée, très racée. Elle n’est pas sans nous rappeler la Datsun 240 Z de 1969. Datsun, c’est l’ancien nom de Nissan. Et la 240 Z s’appelait Fairlady au Japon. Cette voiture a immédiatement connu un grand succès auprès des amateurs de sportives. Et bien qu’elle soit plutôt de la catégorie des GT, elle n’est pas si grosse. Regardez son capot. N’est-il pas semblable à celui de la 240 X? Son toit est plus fuyant que celui de la récente 370 Z (il est surtout moins pointu) et on reconnaîtra la forme du feu arrière au bout de la nouvelle Z (car, ce n’est plus qu’une Z, sans chiffre à la suite de la lettre). Puis, pas besoin d’en faire un cabriolet…
Le tableau de bord de la Nissan Z reprend le style des 240 Z du passé. (Photo Éric Descarries)
L’intérieur est aussi intéressant. Il est vrai que ce ne soit qu’un bolide à deux places mais c’est ainsi qu’il se distingue (en espérant que Nissan n’en fasse jamais une version allongée à quatre places comme la 280 Z!). Encore une fois, on voit que les designers de la marque japonaise ont compris qu’un peu de nostalgie aiderait à conserver l’esprit sportif de la Datsun d’autrefois. Pas question d’utilisation vidéo à outrance ici. La ligne du tableau de bord est nettement inspirée de celle de la Z d’origine y compris les trois petits cadrans analogiques sur la planche du dessus. L’instrumentation principale est du genre «vidéo» mais elle imite bien les cadrans ronds de la version originale. L’écran central sert encore une fois à la radio (avec huit haut-parleurs Bose), à la caméra de marche arrière mais vu qu’il n’y avait pas de GPS intégré à mon véhicule d’essai (quoique la connexion AppleCarPlay ou Android Auto devrait suppléer à cette lacune). Heureusement, j’ai eu droit à une Nissan Z à boîte manuelle dont le levier s’élève orgueilleusement du centre de la console. En passant, j’ai bien apprécié le levier du frein de stationnement conventionnel qui me permettrait certains exercices…qui ne sont pas possibles avec une clé électronique! Les sièges sont certainement plus confortables que ceux du temps. Mais il n’y a pas de place à l’arrière, seul un renfort chromé entre les deux ailes arrière alors que l’espace réservé aux bagages en est réduit à sa plus simple expression, un plancher plat pas assez creux.
Le coffre de la Nissan Z n’est pas des plus utiles mais, il faut se souvenir qu’il s’agit d’une sportive. (Photo Éric Descarries)
Une mécanique connue
Au risque de décevoir les amateurs de mécanique extraordinaire, rappelons que la Nissan Z a conservé la plateforme et une bonne partie de la mécanique de la 370 Z des dernières années. Sous le capot se trouve donc un V6 à DACT et double turbocompresseur de 3,0 litres semblable à celui de l’Infinity Q60 Red Sport 400 de 400 chevaux. Si ma voiture d’essai avait, je le répète, une boîte mécanique à six vitesses, la même auto est disponible avec une boîte automatique à neuf rapports. Évidemment, c’est sans surprise que je vous annonce que cette auto n’est qu’à propulsion arrière. Ai-je besoin de préciser que le freinage est à quatre disques alors que les pneus (très larges) sont des Bridgestone Potenza 225/40 avant et 275/35 arrière sur jantes de 19 pouces.
Pas de surprise, la nouvelle Z est mue par un V6 biturbo de performance de Nissan de 3,0 litres comme celui des Infinity. (Photo Éric Descarries)
Sur la route
Je regrette de ne pas avoir profité de l’opportunité d’essayer la nouvelle Z sur la piste dynamique du CTMP en octobre dernier. Toutefois, pour un essai routier, ce superbe petit coupé de 3600 livres est difficile à battre. Question accélération, selon l’habileté de chacun avec une boîte manuelle, il est possible de passer du point mort à 100 km/h en moins de six secondes. Tout dépendant de la condition du revêtement, il est aussi possible d’accélérer sans (trop) faire patiner les roues arrière. Ce moteur ne fait pas de la Z une bombe. Mais cette importante puissance est facilement maîtrisable avec un peu de dextérité! Sur la route, la Z est très facile à contrôler. Selon mon ami Michel Pigeon, constructeur de sportives Cobra et GT40 et pilote de Radical en piste a qui j’ai présenté l’auto, le volant est de dimensions idéales (ni trop grand, ni trop petit). En ce qui me concerne, la direction répond spontanément à toute commande. Seule note négative, les larges pneus ont tendance à se chercher une trajectoire sur nos «si belles» routes surtout quand on doit composer avec des rainures causées par l’usure.
Nissan a jugé bon de ne pas donner à sa nouvelle Z des échappements bruyants et c’est tant mieux. Si les pneus peuvent émettre un peu de bruit agaçant (quand le pavé est mauvais), ce son est endurable jusqu’à une certaine limite. Après tout, nous roulons dans une sportive, n’est-ce pas?
La visibilité n’est pas toujours facile vu la ligne plus fuyante du toit. Mais on s’y attend, encore une fois, c’est une sportive, après tout! Les sièges sont confortables et surtout, ils offrent un bon support latéral. Mieux encore, ils sont nettement plus confortables que certaines autos concurrentielles japonaises que j’ai essayées plus tôt dans l’année. Ce qui importe, c’est que je me suis senti à l’aise au volant de cette auto. Elle se prête à de longues randonnées sans être inconfortables. «On» aurait bien voulu que je compare cette Nissan Z à la Toyota Supra mais le jeu n’est pas aussi facile à jouer. En vérité, c’est qu’il est difficile de mettre la main sur une Supra comme si c’était une sorte de bête sacrée qui n’est réservée qu’à quelques personnes. Ce n’est certes pas bon pour Toyota. De toute façon, j’ai déjà roulé un peu au volant d’une Supra (à mécanique BMW, je le rappelle…pour moi, la Nissan est plus «pure»…) et, de ce que je me rappelle, je préfère la Z. Elle pourrait aussi s’avérer plus fiable…En d’autres mots, j’ai aimé mon expérience à plus ou moins long terme au volant de la nouvelle Z.
En ce qui a trait à la consommation…encore une fois, il faut se souvenir que la Nissan Z est une voiture de sport. On a donc tendance à la «brasser» un peu. Donc, une consommation moyenne de 10, 2 l./100 km alors que l’ordinateur de bord marquait 11,8 (!?!) est respectable! Faut dire que les trois-quarts de mes déplacements se sont faits sur autoroute. Toutefois, Nissan suggère de l’essence Super pour cette auto sport.
La surprise? Ce coupé Nissan Z n’est pas si cher qu’on pourrait le penser (quoiqu’il ne soit pas donné). Son prix de base est de 58 498$. Dans le cas de mon véhicule d’essai, il faut ajouter 950 $ pour la peinture à deux teintes et 1950 $ pour les frais de transport et préparation.
Mon verdict final? Je me rappelle qu’au début des années quatre-vingt, lorsque Nissan a lancé son coupé 300 ZX, je n’ai pu résister à le considérer comme ma propre «Voiture de l’année» dans certaines publications. Je crois que je serais au point d’en faire du pareil avec la nouvelle Nissan Z. Il faut aimer les voitures de sport pour ce faire. Mais je suis de cette génération qui a grandi avec des autos sportives. Et la nouvelle Z correspond à mes attentes!
D’autres Belles d’autrefois
La semaine dernière, je partageais avec vous des photos de voitures anciennes participant à une excursion organisée par le club américain Horseless Carriage (division de l’Ontario) dans la région de Saint-Jean-sur-Richelieu. Mon ami Guy Dufresne m’a si bien informé sur cet évènement que je dois lui rendre hommage vu qu’il a participé à ce même évènement avec sa Ford T 1913. Voici quelques photos qu’il nous a fait parvenir.
Ce trio de voitures d’avant 1916 est composé de (g. à dr.) Brush, Pierce-Arrow et Ford T. (Photo Guy Dufresne)
Cette superbe voiture est une vénérable Buick d’avant 1915! (Photo Guy Dufresne)
Dans le cas de celle-ci, il s’agit d’une tout aussi vénérable White, une marque disparue depuis un bon moment. (Photo Guy Dufresne)
Il fut un temps où la marque Pierce-Arrow était une des plus luxueuses en Amérique. (Photo Guy Dufresne)
Tiens? Quelqu’un a-t-il déjà entendu parler de la marque Russell ? (Photo Guy Dufresne)
On se rappelle des Minis!
L’été est la seule saison qui nous permet de vivre notre passion des autos anciennes. Samedi dernier, je fus invité par mon ami Marcel Boucher, lui-même propriétaire de quelques Minis, à une petite réunion du club Mainly Minis de Montréal à Laval. Voici quelques photos de véhicules inusités que j’ai pu y voir!
Les Mini du club Mainly Minis en réunion à Laval. (Photo Éric Descarries)
De très rares Riley Elf basées sur des Mini. (Photo Éric Descarries)
Je fus invité par Marcel Boucher, propriétaire de cette familiale Mini. (Photo Éric Descarries)
De très spéciales Mini (Photo Éric Descarries)
Tiens? Ce n’est pas une Mini mais plutôt sa version italienne Innocenti! (Photo Éric Descarries)
Une très rare (au Québec) Mini Clubman de dernière génération de mon ami Pierre Bertrand. (Photo Éric Descarries)
0 notes
Text
Équipements Collectifs En France : Guide Des Equipements De Restauration Rapide, Pizza, Snacking, Boulangerie, Boucherie Et Cuisine
Lorsqu'il s'agit d'implanter une entreprise de restauration en France, disposer du bon équipement est crucial. De la restauration rapide à la pizza, du snacking à la pâtisserie, de la boucherie à la cuisine, chaque type de service alimentaire nécessite un équipement spécialisé pour assurer une production efficace et des résultats de haute qualité. Dans ce guide, nous allons explorer les différents types d'équipements utilisés dans l'industrie française de la restauration, y compris leurs principales caractéristiques et avantages.
Équipement De Restauration Rapide Pour La Nourriture En Déplacement
La restauration rapide est une option de restauration populaire en France, avec de nombreux restaurants à service rapide proposant des hamburgers, des frites et d'autres plats pratiques. Pour répondre à la demande, les établissements de restauration rapide ont besoin d'équipements spécialisés, tels que des friteuses, des plaques chauffantes et des unités de réfrigération à grand volume. Ces équipements de restauration rapide sont conçus pour gérer une production à volume élevé tout en maintenant des normes de qualité et de sécurité alimentaire constantes.
Expérimentez Avec Des Variétés De Pizza Avec L'équipement
La pizza est un aliment bien-aimé en France et les pizzerias ont besoin d'un équipement spécialisé pour créer la tarte parfaite. Cela comprend les fours à pizza, les pétrins et les tables de préparation. Les fours à pizza sont disponibles dans différents styles, y compris au bois, au gaz et électriques. Les pétrins sont essentiels pour faire de grandes quantités de pâte rapidement et régulièrement. Les tables de préparation offrent un espace pour préparer les ingrédients et assembler les pizzas, ce qui rend le processus plus efficace. Ces équipements pour pizza aident à tirer le meilleur parti de votre entreprise.
Matériel De Snacking En France Pour Les Bouchées Rapides
Le snacking est un passe-temps populaire en France, avec de nombreux cafés et snack-bars proposant une variété de collations sucrées et salées, telles que des crêpes, des sandwichs et des pâtisseries. les équipements de snacking en France comprennent des articles tels que des crêpières, des grille-sandwichs et des grille-pain commerciaux. Ces appareils permettent une production rapide et efficace d'une grande variété de collations, ce qui permet de répondre plus facilement à la demande.
De Délicieuses Pizzas Simplifiées
L'équipement de pizza comprend non seulement les fours à pizza et les mélangeurs de pâte, mais aussi les coupe-pizza, les pelles à pizza et les grilles à pizza. Ces outils sont essentiels pour préparer et servir la pizza de manière professionnelle et efficace. Les coupe-pizza et les pelles à pizza permettent de manipuler et de couper facilement les pizzas, tandis que les écrans à pizza aident à créer une croûte croustillante et des garnitures cuites uniformément.
Une Façon Parfaite Et Pratique De Cuisiner
Les boulangeries ont besoin d'un équipement spécialisé pour créer une grande variété de pains, de pâtisseries et d'autres produits de boulangerie. Cet équipement de boulangerie fours, mélangeurs, laminoirs et armoires de fermentation. Les fours sont disponibles dans différents styles, y compris la convection, le pont et le rotatif, tandis que les mélangeurs sont essentiels pour mélanger les ingrédients rapidement et de manière cohérente. Les laminoirs à pâte permettent de rouler et de façonner facilement la pâte tandis que les armoires de fermentation fournissent un environnement chaud et humide pour que la pâte lève correctement.
Traitez Bien Les Viandes Avec Un Equipement De Qualité
Les boucheries ont besoin d'équipements spécialisés pour traiter la viande de manière efficace et sûre. Cela comprend les hachoirs à viande, les trancheuses à viande et les attendrisseurs à viande. Les hachoirs à viande sont utilisés pour hacher la viande pour les hamburgers et les saucisses, tandis que les trancheuses à viande permettent de couper avec précision les viandes et les fromages. Les attendrisseurs de viande aident à rendre les coupes de viande plus dures plus tendres et savoureuses. Une combinaison de ces équipements de boucherie sera certainement utile.
Cuisiner De Manière Moderne Pour Votre Restauration Moderne
L'équipement de cuisson est utilisé dans une grande variété d'établissements de restauration, y compris les restaurants, les cafés et les entreprises de restauration. Cela comprend les cuisinières, les friteuses, les grils et les cuiseurs à vapeur. Les cuisinières sont des appareils de cuisson polyvalents qui permettent plusieurs méthodes de cuisson, y compris la cuisson au four, la cuisson au gril et le mijotage. Les friteuses sont utilisées pour cuire une grande variété d'aliments frits, tandis que les grils et les cuiseurs à vapeur sont essentiels pour la préparation de viandes, de légumes et d'autres plats.
En conclusion, avoir le bon équipement est essentiel pour réussir dans la restauration française. De la restauration rapide à la boulangerie, de la boucherie à la cuisine, il existe une grande variété d'équipements spécialisés disponibles pour répondre aux besoins de chaque type d'établissement. En choisissant le bon équipement, les entreprises peuvent assurer une production efficace
#Matériel De Collectivité En France#Matériel De Fast-Food#Materiel Pour Pizza#Matériel De Snacking En France#Matériel De Pizzeria#Matériel De Boulangerie Patisserie#Matériel De Boucherie Charcuterie#Matériel De Cuisson#Matériel De Pasta#Matériel Buanderie#Matériel De Ventillation#Matériel Inox#Lave-Vaisselle#Bar Et Cocktail#Matériel Asiatique
0 notes
Photo
C’est l’heure déjà passée où le soleil se dit qu’il serait temps d’assumer le crépuscule qui point. La lumière est pourtant encore assez vive dans la chambre. Nous sommes rentrés de la plage il y a peu. Je suis allongé sur le lit, légèrement vautré, plus en étoile de mer que bien rangé militaire. J’ai rouvert Valeurs Actuelles à la même page que ce matin, que tout à l’heure, pour tenter de finir enfin cet article sur la recomposition des droites. Pour tout dire, je m’en fous un peu. Tes fesses sont un sujet bien plus intéressant, et je les regarde depuis ce matin, elles aussi. En un clin d’œil, ta petite robe de mer est tombée au sol et tu as abandonné tes sandales montantes comme par magie. Il ne te reste que le bas de ton maillot, une sorte de string taillé – si l’on peut dire – dans un tissu bizarre, au toucher électrisant et à l’aspect satiné, un truc pour fétichiste nippon en surpoids. Tu virevoltes ça et là, tu sors un soutif de la commode, une ou deux robes légères de l’armoire, dont celle en lamé moulante que j’adore te voir porter, tu pousses du bout de l’orteil la rangée d’escarpins qui commence un début d’effet dominos, tu me regardes, me souris et décrète “je suis dans la salle de bains, je n’en ai pas pour longtemps, ne me dérange pas, tu prendras ta douche après, je te laisse finir ton article, et si je mettais la petite robe tout en plis un peu grecque, tu sais, la blanche que tu adores ?” Je racle le fond de ma gorge. “Je boirais bien quelque chose. Tu veux un verre de quelque chose ?” Tu me regardes, faussement contrariée. “Dès que l’on parle un peu sérieusement, il n’y a plus personne en fait.” J’éclate de rire. “Un verre de blanc, je veux bien un verre de blanc. Je m’en fous lequel.” Tu entres dans la salle de bains et bien sûr, tu laisses la porte ouverte. Je te vois trifouiller dans des pochettes, dans ton “vanity”, brandir encore une robe – une autre – sur son cintre et l’observer avec une relative circonspection, comme si elle était radioactive. Je vois ton corps parfait, bronzé. Je ressens la chaleur palpitante de ta peau cuivrée, le volume de tes seins, la souplesse de tes hanches. Je sens les boucles folles de ta chevelure salée glisser sur mes épaules et caresser mon torse. Je respire cette fragrance estivale qui émane de toi, ce mélange de crème solaire très chère, d’air iodé et de sable fin. Je te revois à midi manger délicatement cette tomate qui ruisselle et provoque ton rire, et me fait voir tes dents magnifiques de carnassière bien élevée. Je vois ton dos, ta cambrure, le vallon de tes vertèbres. Tu vas entrer dans la cabine de douche et je ferai un effort surhumain pour ne pas t’y rejoindre. Ensuite tu te s��cheras lentement, la grande serviette de coton blanc et épais effacera chaque gouttelette d’eau en séjour sur ta peau – puis tu auras ce geste étonnant qu’ont toujours les femmes, et qui consiste, sans rien dévoiler de leur nudité, à rouler n’importe quel tissu-éponge autour de leur corps à la façon d’un pagne, dissimulant leur silhouette alors qu’elles sont sensées être parfaitement seules dans une salle de bains à l’abri de tout regard impudique, fut-ce le leur peut-être. Soins du visage, ongles des pieds, manucure rapide... La serviette te quitte enfin et tu étales sur tes bras, tes épaules, ta poitrine, tes cuisses et jusque sur tes pieds un onguent magique sûrement, une crème qui sent tellement la gonzesse qu’elle rappelle au nez des hommes le baiser nocturne d’une mère qui éteint la lumière, autant que celui d’une amante qui entr’ouvre ses jambes. “Vraiment je ne sais pas quoi mettre pour ce soir. Le resto où ils nous attendent c’est quoi ? Étoilé ? Snob ? Cool ?”. Je regarde ma montre, puis ton ventre magnifiquement sculpté. L’heure a diablement tourné, et moi avec elle. J’ai éclusé mon triple Jack D. on the rocks. “Dommage que tu doives mettre une robe.” J.-M. M.
19 notes
·
View notes
Text
J’entends le vent dans le sable. Les petits grains rouler, se frotter, glisser. La caresse de l’écume. L’eau salée déposée par l’Océan aspirée par le sable et les coques et couteaux qui s’y cachent. La vague réchauffée par son contact avec le sable brûlant, se retirer au large. J’entends tes pas dans le sable et le son caractéristique de la photo saisie.
2 notes
·
View notes
Text
A la conquête de l’ouest - Part. 7
Après une nuit réparatrice, nous sommes prêtes pour explorer le reste de ce que la Californie a à nous offrir. Et le soleil étant revenu, Malibu, ville balnéaire située plus au nord le long de la côte, se présente comme une option intéressante.
En tentant d’importer la veille notre façon parisienne d'exploration du tissu urbain, nous avons failli en perdre les pieds. Le recours au SUV ce jour-ci nous parut alors une évidence afin de soulager les mollets trop sollicités et enfin goûter à l’ « American way of life ». Ce qui implique de se confronter aux célèbres embouteillages de la métropole sud-californienne, et notamment ceux congestionnant la « Freeway 10 » qui traverse la ville d’est en ouest.
Une fois la côte atteinte, la circulation devient sensiblement plus fluide et l’horizon se dégage. Mais en ce début février, rouler le long de l’océan laisse imaginer les encombrements que cette mythique « Pacific Coast Highway » (PCH) devra endurer dans quelques mois lors de la saison touristique. Cependant, les camions et voitures avalant l’asphalte à quelques dizaines de mètres des maisons sur pilotis, dont les terrasses défraîchies par l’eau salée du Pacifique et menacées par les toujours plus fréquents glissements de terrain, viennent ternir ce tableau qui pourrait pourtant être idyllique. Nous passons littéralement notre chemin à la vue du panneau indiquant la sortie vers Malibu, les environs ne nous présageant rien de bon, et décidons de nous approcher au plus près de la côte quelques kilomètres plus loin. L’accès à la plage est confidentiel, confondu avec l’entrée d’un restaurant dont la seule vue depuis la terrasse justifie le prix du valet (service de voiturier).
Les imposantes maisons en contrebas disposent certes leur propre plage privée mais la marée haute et la promiscuité de ces dernières donnent une curieuse impression d’enfermement qui, je pense, ravit finalement ceux qui ont choisi, pour quelques jours ou de manière définitive, d’élire résidence sur cet étroit littoral. La destination n’est pas aussi spectaculaire qu’imaginée mais la vue de l’océan et de sa couleur grise prolongeant ainsi son impression d’infinité, suffit à nous transporter.
Quelques portraits ensoleillés capturés et nous reprenons la route vers le nord où le paysage environnant devient plus sauvage jusqu’à ce que la PCH s’écarte de la côte pour rentrer dans les terres, le temps d’un petit détour.
2 notes
·
View notes
Text
J'ai mal
J'ai entendu crier mon âme, j'ai entendu mon cœur se déchirer, j'ai senti mes larmes rouler sur mes joues, le goût salé de mes larmes sur mes lèvres, j'ai senti mon corps s'effondrer presque sur place.
Et pourtant la seule chose que j'ai fait c'est baisser la tête.
Je ne voulais pas que tu me vois comme ça, misérable, vulnérable, je voulais simplement que tu gardes une image positive de moi.
Et pourtant dieu sait que ma bouche avait envie de te hurlais à quel point je t'aime.
Tu sais pour toi je fais des efforts, tu t'es éloigné de moi et pourtant je n'ai rien dit, je continue à garder la distance que tu a instauré entre nous, et pourtant tu ne sais pas à quel point mon cœur hurle de détresse de te voir juste la, à côté, mais de ne pas pouvoir te serrer dans mes bras.
Pourtant je serais prête à tout,à m'arracher le cœur, à donner mon âme au diable s'il le fallait...
Tout simplement parce que je t'aime
Elnnara
49 notes
·
View notes
Text
29. Sucré salé
Sur l’oreiller la nuit j’aime beaucoup, tu es sucré. J’adore, enfouie dans le soir et dans mon livre des pieds jusqu’aux oreilles et sans rien, quasiment, que le drap jusqu’aux bras : être soudainement (soudainement mais pas brusquement) submergée par tes bras, tes lèvres et tes cheveux dans mon cou. J’aime que tu m’envahisses au beau milieu d’une phrase écrite avec – douceur et décision, j’aime que tu m’enlèves mes lunettes, que tu refermes le livre et que j’y perde ma page, c’est du miel dans tes cheveux, sur tes tempes, sur mon ventre, c’est sucré c’est goulu
c’est comme si les petits points dehors (les avions les réverbères les téléviseurs allumés), tous ces bouts de lumière toquaient contre le carreau, venaient se r��fugier craquer en sucre en poudre entre nos cuisses, on dirait des pépites de chocolat blanc, des hannetons amoureux, des hannetons albinos qui éclatent de rire entre nous, à ton aise, j’aime beaucoup, je t’aime beaucoup, cette manière d’arrêter la nuit, d’étendre un noir immense en moi simplement avec tes soupirs, tu es un bonbon sur ma langue, plus tu t’appuies sur moi mieux je m’envole, comme une montgolfière à la crème, tu m’emplis tu fonds sur ma langue,
Le matin c’est plus compliqué. J’aime te réveiller sucre miel uniquement avec des caresses, j’aime rouler dans les restes, les cailloux blancs de la veille, j’aime que ta peau et ta sueur se réveillent avant que tu n’ouvres les yeux, te voir sourire dans ton sommeil mais c’est – douceur tendresse lenteur, ce n’est pas plus loin que des baisers ce qui est – déjà l’Atlantique mais je ne sais pas, tu vas trop vite, le matin tu m’agrippes tu me déchires tu ne m’écoutes pas, ça met du salé dans mes yeux, des rizières où mes cils poussent contre ton désir. Moi je veux juste t’aimer t’envelopper, t’envelopper est le mot exact, j’ai envie de tes mots contre moi et que tu ne me serres pas si fort, que tu me laisses t’embrasser partout puis m’enlever comme une couverture, j’ai envie, seulement, de sourire autour de ton oreille.
Je ne crie pas au feu ni au loup et puis c’est moi qui ai commencé mais – c’est relevé, drôlement salé, ça me pique un peu j’aimerais mieux pas ; je suis engourdie, trop à mi-chemin, j’aimerais simplement t’embrasser j’aimerais rester légère et douce (ni profonde ni vivante ni habitée comme la nuit quand tu es le sucre et la lumière), je veux être près de toi, proche et c’est tout : auprès, dans tes bras, pas plus loin. Il faudrait que je te le dise un jour et que j’apprenne à te réveiller en un peu moins sucré-salé en un peu plus café-au-lait mais comment parler des épices à quelqu’un qui parle aussi peu ?
8 notes
·
View notes
Text
Les nems
Je débute ce blog avec ma petite madeleine de Proust, c’est le souvenir des repas de fête chez ma grand-mère vietnamienne. On a chacun sa petite recette, je ne sais pas si la mienne est exactement celle de ma grand-mère Fleur (j’ai appris simplement en regardant au dessus de son épaule lorsque j’étais enfant). Quoi qu’il en soit, c’est une recette qu’il faut réaliser à plusieurs en roulant les nems dans une ambiance conviviale autour de la table. Chacun doit mériter la dégustation ! Je réalise généralement des nems à la viande et c’est la recette que je vais partager ici (cha gio). En fonction des goûts ou des envies, on peut bien sûr y mettre du crabe, du poulet, des crevettes... ou simplement des légumes (cha gio chay).
Voici la recette...
Les ingrédients
Pour environ une vingtaine de nems (ça dépendra de la taille de vos galettes de riz)...
On peut remplacer le porc par la même quantité de poulet émincé (idéalement cuit au bouillon), de crevettes, de crabe ou bien 200 g de tofu. Les plus audacieux pourront mélanger porc et crabe.
200 g de vermicelle vietnamien (celui qui est transparent)
50 g de champignons noirs parfumés et séchés
4 cuillères à soupe de nuoc-mam
400 g de poitrine de porc hachée (ou de chair à saucisse)
1 cuillère à soupe de sauce d’huitre (facultatif)
1 cuillère à café de sauce soja
Des galettes de riz
1 ou 2 gros oignons
2 ou 3 carottes
1 salade verte
1 bouquet de menthe fraiche
2 oeufs
Du poivre du moulin
1 cuillère à café de sucre pour la farce
4 cuillères à soupe de sucre pour les galettes de riz
De l’huile (de tournesol ou d’arachide, les plus stables à très haute température)
1 ou 2 cébettes (oignons nouveaux)
Pour ma “vinaigrette vietnamienne”...
J’ai concocté cette petite sauce en essayant d’associer au mieux quelques condiments asiatiques que j’avais dans ma cuisine... et j’ai vite noté la recette car j’étais plutôt satisfait du résultat ! Ce n’est pas très grave si vous n’avez pas tout ce qu’il faut sous la main, on peut simplifier et adapter... il suffit de goûter ! Les indispensables sont le citron et le nuoc-mam. J’utilise souvent cette sauce pour les nems mais aussi les salades vietnamiennes, rouleaux de printemps, grillades, poissons, bo bun...
1 petit piment frais (rouge ou vert) finement émincé
1 gousse d’ail hachée
Le jus de 2 ou 3 citrons verts avec les zestes
2 petites cuillères de sucre
2 cuillères à soupe de nuoc-mam
1 cuillère à soupe de vinaigre de riz
1 cuillère à soupe de sauce soja
Du poivre du moulin
Un peu de carotte râpée pour décorer
2 cuillères à café d’huile de sésame
Eventuellement quelques cacahuètes pilées non salées
Quelques petits conseils avant d’attaquer la recette
Pour caraméliser et ramollir les galettes de riz... À feu très doux, faites fondre 4 cuillères à soupe de sucre dans une casserole. Avant qu’il ne caramélise trop, versez 1 litre d’eau et remuez bien en augmentant la puissance du feu. La température de l’eau doit être suffisamment chaude pour bien ramollir les galettes (mais pas trop trop pour ne pas se brûler les doigts). Une par une, on trempe les galette dans cette eau sucrée quelques secondes puis on les étale sur un torchon humide avant d’y déposer la farce et de les plier. Il existe différentes tailles de galettes de riz, je vous conseille de petits nems car c’est meilleur et plus simple à rouler (même si ce sera un peu plus long).
Pour déposer la farce et rouler les galettes... C’est peut-être l’étape la plus difficile de la recette... mais il faut juste attraper le coup de main (j’espère vous aider avec mes petits dessins ci-dessous). Disposez une petite quenelle de farce sur la moitié inférieure de la galette en laissant une marge suffisante sur les côtés (environ 2 cm). Rabattez les côtés de la galette de part et d’autre sur la quenelle de farce, puis rabattez le bord inférieur. Roulez la galette jusqu’en haut en serrant bien pour que le nem tienne lors de la cuisson. Veillez tout de même à ne pas trop serrer en comprimant la farce, vous risquerez de déchirer la galette. Le but est d’obtenir un joli petit cylindre.
Pour frire les nems... C’est mieux si vous avez une bonne hotte aspirante, c’est de la friture ! Faites chauffer l’huile dans un wok ou une friteuse (une quantité suffisante pour y plonger les nems). Testez la température de l’huile en y plongeant un bout de nem, elle doit frissonner avec un joli petit bruit. Quand l’huile est bien chaude, plongez-y les nems pour les faire cuire environ 5 minutes. Egouttez-les bien puis replongez-les dans l’huile jusqu’à ce qu’ils obtiennent une belle couleur dorée. Cette cuisson en 2 temps est mon secret pour des nems bien croustillants ! En fin de cuisson, disposez les nems sur du papier absorbant pour éliminer l’excès d’huile.
Les étapes de la recette
Il est important de bien égoutter les ingrédients pour éviter que la farce soit trop humide.
Dans de l’eau chaude, faites tremper les champignons séchés environ 15 minutes et le vermicelle environ 10 minutes (il ne doit pas être trop collant).
Rincez ensuite le vermicelle à l’eau froide puis égouttez-le soigneusement. Découpez-le avec l’extrémité d’une paire de ciseaux, directement dans la passoire.
Epluchez, rincez, essuyez et râpez les carottes (enlevez l’excédent de jus si besoin, elles doivent être bien sèches). Emincez finement l’oignon, les cébettes (avec les tiges vertes) et les champignons préalablement égouttés.
Dans un grand récipient, mélangez tous les ingrédients de la farce : légumes, champignons, vermicelle, oeufs, viande (crabe, crevette ou tofu coupé finement), nuoc-mam, sauce d’huitre, sucre et poivre.
Roulez les nems et faites-les cuire selon mes conseils ci-dessus.
Pour la sauce, il vous suffit de mélanger tous les ingrédients dans un bol.
Les nems se dégustent bien chauds, enroulés dans une feuille de salade verte avec quelques feuilles de menthe, puis trempés dans la sauce.
Vous pouvez facilement conserver vos nems au congélateur. Pour cela : arrêtez vous à la première cuisson, égouttez bien et laissez refroidir vos nems sur du papier absorbant, emballez-les pour les mettre au congélo (en évitant qu’ils ne se touchent trop pour ne pas se coller). Lorsque vous souhaiterez les déguster, il vous suffira de terminer la cuisson directement après les avoir sorti du congélateur !
On boit quoi ? Une Saigon, c’est la plus célèbre bière vietnamienne mais je la trouve un peu trop amère. Je préfère la fameuse Tsingtao, bière Lager chinoise à la robe blonde délicate. Elle est légère, très rafraichissante et sans amertume.
Chuc an ngon (ça veut dire “bon appétit”) !
1 note
·
View note
Text
Les sonneries se succédaient, interminables et angoissantes, et puis dans un bip sonore, le répondeur s'enclencha.
-Salut, c'est moi. Enfin ça veut rien dire me diras-tu mais t'as compris c'est Lily quoi. Enfin évidemment que t'as compris, tu as l'identifiant de l'appel, je suis stupide. Enfin... Enfin. Tiens, c'est drôle parce que dans «enfin», y'a fin. C'est un adverbe qu'on utilise pour tirer une conclusion, ça marque quelque chose de terminé tu vois ? Évidemment que tu vois, mais...(soupire, respiration haletée comme un sanglot retenu.) Enfin, c'est aussi un mot qu'on utilise pour rectifier quelque chose. Je l'utilise beaucoup, mais j'crois que j'ai jamais autant détesté sa signification. Parce que... Parce que...(petit reniflement, soufflement censuré dans le micro.) Quand on dit «enfin», on est heureux que quelque chose se termine. J'le dis tout le temps et tu as toujours une réaction par rapport à ceci. (elle parle au présent, alimentant l'illusion que tout va encore bien.) Tu te souviens de la fois où tu m'as dis: «Lily, tu viens de répéter l'adverbe «enfin» 3 fois en deux minutes dix-huit pour un total de six phrases, tu te rends compte que non seulement c'est grammaticalement incorrect mais qu'en plus tu appauvris ton vocabulaire ?» ? J'étais sidérée, mais c'est tout toi ça ! Toujours analyser, calculer, penser. Et puis il y a aussi toutes ces fois où je disais «enfin» pour toi, par exemple: «tu sors enfin de la douche !» ou «tu rentres enfin !» et...(pleurs.)
Fin du message.
De nouveau, les sonneries, longues, moins angoissantes. Lily sait qu'elle tombera de nouveau sur la messagerie. Le bip lui parvint de nouveau, comme amplifié. Elle a eu le temps de calmer les larmes salées qui lui piquaient les joues et à reprendre son calme.
-C'est encore moi. Enfin Lily. Ça a coupé, mon message était trop long. J'ai un peu oublié ce que je disais. Tu me connais (rire nerveux.) Je parle au fur et à mesure que mes pensées me viennent et je perds le fil de la conversation, surtout quand je panique. Je...(silence. Lily fronce les sourcils, respire lentement.) De base, je t'appelais pour dire... Que... Enfin... Tu me manques. Ouais. Voilà. Tu me manques putain. C'qui est pratique quand on fait des monologues sur un répondeur comme une adolescente stupide et lâche, c'est qu'il n'y a pas de réponse, tu ne peux pas me dire «Langage !» avec tes yeux bleus réprobateurs. (petit rire lâché dans un souffle, rapide, et soudainement, un spasme suivit de plusieurs autres bruits de reniflements.) Merde, tu me manques enfin ! Tout me manque chez toi ! Ton calme, ta manière de sourire, de marcher, de parler, de ricaner, de de de... putain tout me manque ! Tout ! Mais tu sais c'est quoi le pire ? (la voix de Lily devenait hystérique, désespérée. Elle montait crescendo depuis une dizaine de secondes.) Le pire, c'est tes bras ! Tes bras...(chuchotement. Silence entrecoupé de lourdes respirations jusqu'à un semblant de contrôle.) Oui, tes bras. Je n'aurais jamais pensé qu'avoir tes bras autour de moi me manquerait autant, mais ça me déchire d'une manière que personne n'ose concevoir. Comment est-ce possible que tes bras, si frêles, pouvaient me donner autant de réconfort et de chaleur ? J'ai beau m'emmitoufler dans la couverture, me rouler en boule contre le moelleux matelas, serrer ton oreiller contre moi, rien ne serait aussi chaud et agréable que ton étreinte. Rien ne vaut ton bras blanc contre moi pour dormir, reposant et sécurisant. Même la chaleur de l'eau sur ma peau, la tiédeur des vapeurs dans l'air de la petite salle de bain ne peut être aussi reposant que ton corps contre le mien. Tu me manques... J'ai juste envie que tu me reprennes dans tes bras, et que j'me sente de nouveau bien, en sécurité totale. Je plongerai ma tête dans le creux de ton épaule délicate, tout doucement, par peur de te briser, et j'humerai profondément ton odeur. Je pourrais sentir ton bras droit près de ma nuque, comme pour m'emprisonner contre toi, et le gauche serré contre le bas de mon dos, possesif et apaisant. Ton corps, long et fin, contre le mien, plus petit et plus tonique, et une sensation d'apaisement diffusé dans mes veines, comme une drogue à effet rapide, sauf que ce n'est pas depuis le creux de mon coude que la sensation se diffuserait, mais de partout à la fois, en vagues omniprésentes et omniscientes, un gros bloc de bonheur, de sécurité, de foyer retrouvé dont on ne voit pas la fin ni les pauses. Je t'en prie, reviens-moi, tu me manques tellement, je t'
Fin du message.
1 note
·
View note
Text
Les Sushi exotiques
Ingrédients (8 personnes) :
Riz japonais
Vinaigre de riz
Feuilles d’algues (Deux paquets de 5 feuilles)
Mangues (2)
Avocats (2)
Surimi (Un paquet de 10)
Concombres (2)
Saumon Fumé (1 à 2 paquets cela dépend de vous)
Sauce Soja Sucrée ou Salée à vous de choisir ce que vous préférez
Un tapis à Sushi (Vous pouvez trouvez ça dans une épicerie japonaise ou sur internet)
Première chose à faire préparer le riz, pour cela il vous faut :
300 gr de riz Japonais
30 cl d’eau
4 cuillères à soupe de vinaigre de riz
2 cuillères à soupe de sucre
½ cuillère à soupe de sel
(Tous ces produits se trouvent dans les grandes surfaces ou dans les épiceries japonaises)
Lavez le riz à l’eau froide, placez le riz dans les 30 cl d’eau dans une casserole et posez un couvercle dessus. Ajoutez-y le vinaigre, le sel et le sucre.
Portez à ébullition sur un feu moyen sans jamais lever le couvercle de la casserole. Continuez la cuisson pendant encore 5 minutes.
Baissez le feu au minimum pendant 10 minutes environ. Ensuite enlevez le couvercle et laissez le riz reposer environ 10 minutes
Pendant ce temps, coupez vos ingrédients (Avocat, Surimi, Concombre, Saumon Fumé, Mangue) en fines lamelles. En ce qui concerne le concombre, vous êtes libre d’enlever la peau ou non.
Une fois que vos ingrédients sont prêts et que le riz a reposé, il est temps de passer aux choses sérieuses et de commencer L’ATELIER SUSHI !!!
Pour cela je vous propose d’aller sur YouTube et de taper « Rouler des Sushi/Maki » parce que de vous l’expliquer ça va être très compliqué.
C’est bon, vous avez regardé la vidéo. Alors comme vous avez pu le voir l’utilisation du tapis à Sushi n’est pas obligatoire, mais si vous êtes débutant je vous conseille vivement de l’utiliser. A partir de là, laissez place à votre imagination. Une fois les Sushi finis, laissez-les reposer dans le frigo environ 30 minutes.
Et voilà ! Vous savez tout sur comment faire des Sushi, servez-les sur une belle assiette et mettez-y la sauce Soja dans un petit bol à part.
1 note
·
View note
Text
17ème week-end 16ème semaine de cours
Samedi, le mois de décembre à débuté et avec lui toutes les promesses de Noël, l'ambiance festive et les joies des fêtes. Nous avons un brunch à l'Eglise destiné à la gente féminine. La salle était remplie de table décorée de differentes façons car sugettes à un concours. Le thème était nuit silencieuse,je crois… En tout cas c'était chouette comme déco. Pour le brunch, nous avons eu de la quiche, de la salade de fruit, des pancakes allemands et du lard. Pour commencer, une chanteuse a fait un petit solo comique immitant une mère en plein shopping de noël essayant désespérément de chanter avec les cris des enfants. Petit exemple:
“ Oh la magie de noël, lalala”- interruption ” ne mets pas tes doigts dans ton nez c’est dégoûtant, laisse les cheveux de ta soeur tranquille”- “ Oh magie de noël…”
Ensuite, il yeu une chorale et une prise de parole sur la trêve entre soldats de 1914. Bon, tout cela relier à Jésus, évidemment.
Après être revenue à la maison, j'ai dessiné et travaillé mon anglais.
Dimanche, nous sommes allés à la messe et j'ai pris part à une des classe qui ont lieu chaque dimanche et se déroule en cycle d'un mois. Ce dimanche était la première session du mois et tout était à propos de notre église. Mon père d'acceuil a décidé de suivre les cours avec moi. Il y avait peu de monde, 7 personnes et en une grosse demi-heure c'était terminé. Nous sommes donc rentrés et j’ai été au magasin pour acheter une carte postale. Je me suis amusée à faire tous les rayons et j'y ai passé deux heures. Noël est de sortie! Devant les 4 rayons de cartes postales, les boules de neiges, les cannes à sucre et les jouets pour chiens, j'etais en overdose. Pour le dîner, nous avons mangé un plat péruvien: pomme de terre, riz, oeuf et poulet. Après le repas, nous sommes allés voir les lampes de Noël. C'est un site pétrolier désaffecté à 15 minutes de la maison, un peu à l'extérieur de la ville. Au début, des particulier avaient commencé a décorer leur maison puis boyant que les gents venaient pour admirer, ils ont acheté un terrain et fait un circuit que l'on parcour en voiture. Il y a de nombreux bolontaires et ils ont même leur propre stations de radio. L'endroit est rempli de décorations de noël et de girlandes de toutes les couleurs. Au début, j'étais sceptique. En mode, bon trois girlandes sur un arbre, pas besoin d'en faire tout un plat… En réalité, c'était des centaines se guirlandes et c'était magnifique! Je vais essayer de vous mettre une vidéo. Bous devez expérimenter cette magie de noël américaine. Ca réchauffe et illumine de l'intérieur. Bon je suis pas reporter donc on ne juge pas la qualité.
Lundi, la semaine a démarré et le froid, la pluie et la flemme m'ont incitée à manquer cross country cette semaine. J'ai donc passé tous mes matin dans la bibliothèque et après avoir pris le bus c'était parfait pour sécher mes vêtements. J'adore cet endroit. C'est immense, rempli de livres. L'ambiance est chaleureuse et les bibliothécaires charmantes mais bavardes. Après ça on viendra dire que ce genre de places est sensée être silencieuse. Lol Evidemment, les décorations de noël ont fleuri dans tous les jardins, du magnifique à l'étrange voir douteux. 🎅🙍♂️☃️⛄Les bibliothécaires ont fait un bonhomme de beige avec des livres. C'est trop stylé. En anglais, nous avons commencé à regarder le seigneur des anneaux et ça nous a occupés toute la semaine. Moi qui avait passé 18 ans sans en voir un seul, je me retrouve à connaitre les dialogues par coeur après les avoir déjà vu avec mon père d'acceuil qui est un grand fan.
Mardi, j'ai réalisé que les congés de Noel étaient dans trois semaines et les examens aussi! Mais apparement nous allons reviser en classes. Adviendra que pourra. Dans la soirée, nous avons mangé un deuxième plat péruvien composé de riz, frites, steak et legumes.
Mercredi, j'ai reçu certains colis que j'avais commandé durant le cyber Monday, une version du black Friday sur internet. Dans la soirée, nous sommes allés à l'église pour la soirée de communion qui a lieu une fois par mois.
Jeudi, je me suis endormie dans trois cours différents! Aussi, je vous ai pris une photo de mon plat à la cafetaria parce que je l'avait pas encore fait depuis le debut de l'année et que pour une fois il y avait plein de légumes. Et ce jour la on a egalement eu droit à l dégustation de nachos et gâteaux qu'on pouvait côter. Dans la soirée nous avons jouer avec de la plasticine. En vrai les enfants on fait que rouler des boudins pendant qu'on était partis pour faire de l'art. Lol
Vendredi,nous sommes allés au cinéma voir “ Fantasriques Beasts” avec les autres étudiants échanges. Nous avons rencontré la cinquième etudiante la semaine passé. Elle vient de Suède et a 15 ans. Évidemment, nous avons cédé au cliché et partager 2 paquets de popcorn XL. Elles ont également pris des cocas taille S qui ressemblaient à nos sodas larges! Bon le pop corn était salé du coup l'amoureuse de sucré que je suis a pleuré mais j'ai quand même manger. Lol C'est seulement à la moitié du film que j'ai réalisé qu'il n'y avait pas de sous-titres et que je comprenais. J'étais trop en joie. Chaque jour mon écoute s'améliore !
Gros bisous au goût popcorn
Emilie 😘
6 notes
·
View notes
Text
Métamorphose
Les souvenirs fanés n’ont pas d’odeur. Lorsque les bribes d’émotions persistantes des derniers instants s’envolent, il ne reste plus rien qu’un absolu néant. Nous restons pourtant obstinément là, à humer vainement le bouquet sec de notre vie avec d’amers regrets que l’on tente de cacher aux autres, et pire encore, à soi-même. Ces pétales décolorés jonchant la table de frêne, tels les morceaux épars d’une existence que l’on ne reconnait même plus, n’évoquent plus rien désormais.
Une légère brise s’infiltre entre les battants d’une fenêtre entrouverte et déplace chaque élément ; semant le chaos, ou bien au contraire amenant un peu plus d’harmonie, nul ne saurait le dire. Que ne donnerai-je pour sentir ne serait-ce qu’une once de l’influence du passé ?
Il arrive que, dans de très rares occasions, une fugace perception de notre histoire s’impose à nous, nous rendant alors esclave du moment. Trop heureux de sentir de nouveau, on ne peut qu’accueillir avec gratitude ces instants bénits, qu’il s’agisse d’un souvenir de bonheur ou du plus humiliant évènement que l’on ait connu. Je garde toujours sur moi ce carnet noir dans lequel je consigne ces inestimables moments de clairvoyance que je ne peux me permettre de perdre une seconde fois. Lors de cette heure particulière pourtant aussi bien le nom de « tard le soir » que celui de « tôt le matin », il m’arrive de me replonger dedans, fermant les yeux et effleurant du bout des doigts les courbes irrégulières de ma calligraphie dans l’espoir de capter un vestige de mon passé.
Le 4 janvier 2011. Jour très particulier, ce fut la première fois qu’un souvenir fané se présentait à moi. Ce jour-là il avait neigé, ce qui n’étais pas arrivé depuis si longtemps que nous avions presque oublié ce à quoi la neige pouvait ressembler et l’effet que la vision du jardin recouvert de poudreuse pouvait nous procurer. Mécaniquement, je me levai avec les premières lueurs du jour, n’étant pas un être nocturne comme peut l’être le reste de ma famille. En déplaçant les battants de mes volets, j’aperçu de petits morceaux de coton tomber délicatement de l’azur et venir s’échouer au sol, déjà blanchit pendant la nuit. Malgré le froid glacial qui régnait à l’extérieur, j’ouvris la fenêtre et tendu ma main vers ce merveilleux spectacle. Le contact d’un flocon sur ma peau brûlante fut le déclencheur mémoriel qui m’a ramené des années en arrière ; mais cela ne dura, à mon grand regret, qu’une fraction de seconde.
Nous étions dans le jardin, mon frère et moi, munis de nos horribles combinaisons, rouge brillant pour lui et bleu électrique pour moi. Il avait eu la formidable idée de grimper au sommet de notre terrain avec sa luge et comptait bien descendre jusqu’au grillage séparant notre demeure de celle de nos voisins, environ une centaine de mètres plus bas. Je m’entends encore lui crier de ne pas le faire ; bien évidemment il ne m’a pas écoutée. Il a terminé sa course dans un tas de neige mais la luge n’ayant pas eu cette chance, elle est allée se briser contre les maillons de fer. Au lieu de le sermonner, je l’ai aidé à cacher les preuves de sa bêtise. Le méfait accomplis, nous avons enchaîné avec une bataille de boules de neige, la confection d’un bonhomme particulièrement effrayant ; on l’aurait cru tout droit sorti d’un film d’animation de Tim Burton ! Le temps d’un instant, j’ai entendu nos rires complices résonner en moi, j’ai senti la morsure du froid sur le bout de mon nez et le goût étrange de la neige sous ma langue. Lorsque je suis revenue à moi, je me suis empressée de tout consigner dans ces feuillets reliés de cuir noir, consciente de la chance que j’avais eu.
Un autre jour de rétrospection fût le 6 juin 2016. C’était une douce soirée lors de laquelle nous étions tous les quatre dehors, essayant de profiter des derniers rayons du jour. La chanson « Perfect » de Pink est alors passée sur la station que nous écoutions, me renvoyant à ma tendre adolescence.
Il n’y avait que Maman et moi, nous étions en voiture et rentrions à la maison après une journée en ville. L’ambiance était glaciale dans l’étroit habitacle, nous n’avions cessé de nous disputer pour des idioties : elle fatiguée par une semaine de déplacement et moi stressée par l’approche des examens. Nous avons toutes deux des caractères forts et sommes rarement sur la même longueur d’ondes. J’observais les paysages de campagnes environnantes défiler en l’entendant souffler à côté sur le volant. Sans raison apparente, elle a monté le volume de la radio au maximum en ouvrant les fenêtres de la voiture, puis s’est mise à crier les paroles. Cachant mon sourire, je l’ai accompagnée, tentant de couvrir sa voix peu harmonieuse par respect pour les oreilles des piétons que nous croisions. Lorsque la mélodie prit fin, elle a baissé le son et nous avons ris comme deux fillettes, réconciliées par ce précieux instant de partage. C’est une chanson qui compte énormément, pour elle comme pour moi. Elle est un pacte silencieux entre nous, la promesse que nous parviendrons toujours à nous retrouver, quelque soit ce qui nous à éloignées. C’est ainsi avec les êtres que l’on aime profondément.
Le 21 septembre 2017, j’avais promis à mon ami Thomas que je viendrai l’aider à préparer le gymnase pour les enfants participant à la colonie de vacances dont il s’occupait. A l’instant où mon pas discret franchit la ligne rouge délimitant le terrain de basket le passé me happa.
J’étais assise derrière le banc des remplaçants, la jambe endolorie recouverte de gel frigorifiant, les yeux écarlates baignés de larmes. Mes équipières se démenaient sur le parquet pour remporter le match, peut-être aussi pour venger le coup violent que j’avais reçu et qui m’empêcherait de jamais reprendre la balle orangée. Mon regard se posa sur les spectateurs, à la recherche de Papa. Je n’ai vu alors qu’une immense déception. Comment cet ancien champion universitaire avait-il pu engendrer un être si faible et si incompétent ? Le basket avait été toute sa vie de nombreuses années auparavant, voici pourquoi dès que j’ai su marcher il s’est autoproclamé mon coach et m’a fait enchaîner les séances d’entrainements. Des heures de travail supplémentaires, des remarques acerbes quant à mon jeu, toujours plus de pression sur mes épaules, tout ça pour une blessure qui, à terme, met fin à tous ces rêves d’avenir qu’il avait pour moi. Le genou a été touché, il n’y avait plus rien que nous ne puissions faire. Je suis un échec. Son échec. C’est ce que j’ai lu dans ses yeux à cet instant précis. J’ai toujours fait tout ce qu’il attendait de moi, mais ce n’est jamais suffisant. Je peux compter sur les doigts d’une seule main le nombre de fois où il m’a dit qu’il était satisfait de moi, je ne parle même pas de fierté ; je pense que ce terme n’a jamais fait partie de son vocabulaire, ou du moins pas depuis ma venue au monde.
Après ce match, j’ai subi une opération chirurgicale, des mois de rééducation, et je n’ai jamais remis les pieds dans un gymnase. Excepté aujourd’hui, pour aider Thomas. La sensation du parquet sous mes pieds et la vue des paniers m’avait manqué. Je n’ai pu empêcher une perle salée de rouler sur ma joue en pensant à tout ce que j’ai perdu ce jour-là, certainement l’un des plus éprouvants de ma jeune existence. J’ai cependant consigné ce souvenir dans mon carnet ; qu’il soit bienheureux ou teinté de douleur, il fait partie de moi. Comme chacun des précédents. Ils me permettent de savoir qui j’étais, qui je suis, qui je veux être. Pourquoi dois-je espérer un heureux hasard pour revivre ses moments et devoir les graver sur le papier afin de ne pas les perdre ?
Je regarde tour à tour les feuilles noircies de ma vie et le bouquet de roses fanées présent sur mon bureau, en me demandant pourquoi les choses sont ce qu’elles sont. Et soudain je les imagine telles qu’elles pourraient être en me disant « pourquoi pas ? » Nos souvenirs sont ce que nous avons de plus précieux, ils nous forment et nous transforment, je ne veux plus en perdre aucun. Je repense à ces quelques mots écrits par Boris Cyrulnik : « Tout rêve d’avenir métamorphose la manière dont on éprouve le présent. » Aujourd’hui seulement je comprends l’importance qu’ils peuvent avoir sur chacun d’entre nous. Que se passerait-il si je changeais ma façon de voir l’avenir ? Que se passerait-il si je peignais le tableau de mon existence avec l’espoir et la confiance plutôt que les regrets et le mépris ? Peut-être alors mes souvenirs persisteraient et trouveraient leur sens. Après avoir lacé la couverture de cuir du carnet, je remplace donc ce bouquet séché par de jeunes bourgeons cueillis dans le jardin, attendant l’arrivée des souvenirs parfumés par cette métamorphose.
7 notes
·
View notes
Text
RECETTE DES NUGGETS DE POULET MAISON
Une recette simple pour faire des nuggets / tenders de poulet à la maison, avec peu d’ingrédients et pas de produits chimiques. Une préparation de viande que tout le monde aime.
Recette pour 4 personnes
Temps de préparation : 15 minutes
Temps de cuisson : 20 minutes
Temps total de la recette : 35 minutes
Ingrédients :
2 à 3 oeufs
600 g d’escalope de poulet (des blancs / filets de poulet si vous préférez)
1 oignon (que vous pouvez incorporer si vous choisissez de hacher le poulet au mixeur)
De la farine
De la chapelure pour la panure (blé, maïs, soyez créatifs)
De l’huile de friture
Sel
Les nuggets / tenders de poulet font partie des recettes indispensables de la cuisine américaine, à tel point que cette préparation faite de viande de poulet, d’oeuf, de sel et de poivre enrobée de chapelure est connue de toutes les mères de famille française.
Peut être avez vous en tête cette image du nuggets / tenders de poulet surgelés fait à partir d’une pâte rose fluo, avec de très mauvaises informations nutritionnelles ? Avec la version maison d’aujourd’hui, nous n’allons utiliser que des ingrédients tout à fait sains, et les faire frire.
Certains lecteurs ont réalisé ces nuggets au four, ce qui est tout à fait possible, mais l’oeuf durcira moins qu’avec la friture, et ils seront donc moins croustillants. La solution intermédiaire pour un produit final agréable mais pas trop gras, vous pouvez aussi les cuire dans une poêle.
Si vous souhaitez donner plus de goût à votre poulet, un petit peu de sel et de poivre suffiront, le reste des ingrédients sont déjà goûteux. Vous pouvez également ajouter des épices dans le mélange de farine ou de chapelure, si vous êtes fan de plus piquant. Moi c’est sûr, j’aime mon nugget spicy, je n’aime pas les recettes fades.
Côté finances, les nuggets de poulet sont également une bonne occasion de « recycler » des chutes de poulet que l’on jetterai autrement. Pensez y, puisque d’une part vous économisez, et de l’autre côté tous ceux à qui vous allez les servir seront ravis (notamment les enfants, ne leur donnez pas d’informations supplémentaires sur la provenance des filets).
Pour la sauce si vous en voulez une sur le côté, je vous recommande une sauce blanche, une sauce BBQ ou encore une ranch. Bien entendu, si vous voulez mettre du ketchup, je ne vais pas vous en empêcher, mais moi j’aime pas ça sur mon chicken nugget.
L’autre possibilité, qui est très populaire aux USA et en Amérique du Nord en général, c’est du miel. Ca peut être du miel pur ou encore mélangé avec de la moutarde ou de la sauce piquante, mais je dois avouer que j’aime bien ce côté sucré salé en cuisine.
Recette :
Coupez en fines lamelles les escalopes de poulet
Deux possibilités :Faire une boule de morceaux de poulet pour un nuggets un peu plus grossier Mixer les morceaux de poulet pour obtenir des morceaux très fins et faire une boule
Rouler la boule obtenue (gros morceaux ou petits morceaux) dans la farine
Trempez la boule dans l’oeuf
Trempez les morceaux de poulet dans la chapelure, comme ceci :
Laisser reposer quelques minutes pour laisser la chapelure prendre
Faire chaufer de l’huile dans une poële ou une friteuse
Une fois chaude, trempez les nuggets dans l’huile
Faites cuire jusqu’à ce qu’ils soient dorés (jusqu’à 20 minutes)
Une fois cuits, vous pouvez servir les nuggets avec une petite sauce au yaourt, pour une version légère, comme ceci :
0 notes
Text
Dernier repos
Verrouiller la porte
Bloqué tout les accès
Se retranché.
Ce mettre dans un etat second
Être assez défoncé pour ne plus réfléchir
Ce rouler dernier un cône
prendre une bouteille de vodka
plonger dans un bain chaud
Laisser les perles salé roulé sur mes joue
Ce rappelé ces phrase les laissé envahir mon esprit
Laisse l'eau se teinté doucement de rouge
Et Surtout gardé son 9mm a proximité
Au cas où un espoirs ramènerait ça fraise
Car tout espoirs est vain
2 notes
·
View notes
Photo
TACOS AU FRUIT DU JACQUIER / Vegan
Le fruit du jaquier est l'un des plus gros fruits au monde, et lorsqu'il arrive à maturité c'est aussi l'un des plus sucrés. Mais quand il est encore vert, il est très prisé dans les plats salés en Asie pour son goût et sa texture si particulière qui nous rappelle le seitan.
Je me suis vite intéressé au Jaquier vert et à son utilisation. Résultat, c'est un régal. Surprenant, délicieux, parfait pour renouveler ses idées recettes. ps: vous pouvez le trouver facilement dans des épiceries asiatiques.
Pour les tacos ( environ 2 personnes ) :
240g de farine de maïs
120g de farine de blé
18 cl d'eau chaude
3 càs d'huile
1 càc de sel
Pour la garniture:
340g de fruit du jaquier vert
1 oignon
1 gousse d'ail
1 càs d'huile
1 càc de paprika
1 càc de cumin
1 càc de chili
1 càs de sauce soja
1 càc de fumée liquide
3 càs de sauce BBQ vegan
émincé de poivron
feuilles de salade
coriandre fraiche
Pour la sauce fromagère vegan:
35 gr de noix de cajou réhydratées
190 gr de pommes de terre
1 carotte
3 càs de levure maltée
2 càs d'huile de coco / végétale
2,5 càs d'eau
1,5 càs de jus de citron
1/2 càs de sel
1 gousse d'ail
1/2 càc de sauce sriracha
1/2 càc de vinaigre de cidre / riz
Pour la sauce bbq vegan :
125 ml de jus de pomme
60 ml de sirop d’erable
170 gr de concentré de tomates
2 càs de mélasse
2 càs de sauce soja
2 càs de vinaigre de cidre
1 càs de moutarde
1 càs de jus de citron
1 1/4 càs de gingembre frais
1 càc d’ail en poudre
1/2 càc d’oignon en poudre
1/4 càc de sel
1/8 càc de poivre
1/8 càc de chili en poudre
Tamiser la farine de mais et de blé, et ajouter le sel.
Mélanger avec l’huile. Pétrir quelques minutes.
Former 6 boules égales et laisser reposer 1 heure à température ambiante .
Faire fondre un oignon dans une poêle avec un peu d’huile et les épices pendant quelques minutes à feu vif.
Réduire à feu moyen et ajouter le fruit du jacquier égoutté , la sauce soja et la fumée liquide.
Cuire pendant 20 à 30 minutes couvert en remuant de temps en temps.
Ajouter la sauce barbecue.
Préchauffer le four à 180°C.
Étaler le fruit du jacquier sur une plaque de cuisson et cuire 20 minutes.
Abaisser au rouleau les tacos sur 1 cm d’épaisseur en formant des ronds, et les cuire 30 sec aller- retour dans une poêle à feu vif.
Rouler les tacos pour qu’ils gardent la forme en séchant. Laisser 15 minutes.
Couper quelques légumes et assembler dans le tacos le fruit du jacquier, les légumes et votre sauce préférée. Ici la sauce cheddar !
https://estherunepinceedevert.tumblr.com/post/177335920578/sauce-cheddar-vegan-voila-une-recette-simple
Bon appétit !
Bon appétit!
2 notes
·
View notes