#quel beau début d'année
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girafeduvexin · 1 month ago
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Jean-Marie Le Pen est mort 💖
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christian-dubuis-santini · 1 month ago
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La doctrine raciale des nazis a forgé le concept de «Aufnorden» (rendre plus nordique). A-t-elle réussi à donner à l'Allemagne et au peuple allemand le caractère nordique de l'origine idéalisée? Cela allait de noms de lieux débaptisés aux lois sur la «protection du sang allemand», en passant par le Lebensborn (association fondée en 1935 qui pratiqua l'«élevage» d'enfants allemands pour rendre les Allemands plus nordiques). Cette question est en dehors de mes compétences. Mais elle a certainement fini par rendre les Juifs plus juifs [Aufjudung] - et même ceux qui s'en défendaient. On était complètement incapable (d'enlever les lunettes juives, on voyait chaque événement, on lisait chaque communiqué, chaque livre, à travers elles. Sauf que ces lunettes n'étaient pas toujours les mêmes. Au début, et pendant très longtemps, leurs verres nous avaient fait voir les choses en rose. «Ce n'est pas si grave que ça !» Combien de fois ai-je entendu cette tournure réconfortante lorsque je prenais trop au sérieux les victoires et le nombre de prisonniers annoncés dans le communiqué de l'armée ! Mais ensuite, quand la situation s'aggrava (pour les nazis, quand ils ne purent plus voiler leur défaite, quand les Alliés se rapprochèrent des frontières allemandes et les franchirent, quand les unes après les autres, les villes furent écrasées par les bombes ennemies -seule Dresde semblait tabou-, à ce moment-là justement, les Juifs changèrent de verres. La chute de Mussolini avait été le demter événement qu'ils avaient vu avec les anciens verres. Comme la guerre cependant se poursuivait, leur confiance fut brisée et se transforma en son extrême opposé. Ils ne croyaient plus à une fin prochaine de la guerre, ils croyaient, contre toute évidence, le Führer doué de forces magiques, plus magiques que celles auxquelles croyaient ses adeptes tes devenus chancelants.
Nous étions assis dans la cave des Juifs de notre maison de Juifs, qui comprenait aussi une cave d'Aryens particulière; c'était peu de temps avant le jour de la catastrophe de Dresde. Assis, nous attendions, plus ennuyés et frigorifiés qu'effrayés, la fin de l'alerte maximale.
Nous savions par expénence qu'il ne nous arriverait rien, sans doute l'attaque visait-elle la ville de Berlin, alors martyrisée. Nous étions moins déprimés que cela ne nous était arrivé depuis longtemps; l'après-midi, ma femme avait écouté Londres chez de fidèles amis aryens; de plus, et surtout, elle avait eu connaissance du dernier discours de Thomas Mann, un discours sur la victoire, un discours beau et humain. En général, nous ne sommes pas convaincus par les sermons, d'habitude ils nous parlent de «sang pur» et, à partir de 1941, le rapt en vue de la «germanisation», dans les territoires occupés, d'enfants «de grande valeur raciale») nous mettent de mauvaise humeur -mais celui-ci était vraiment exaltant.
Je voulus partager un peu ma bonne humeur avec mes camarades d'infortune, je m'approchai de tel et tel groupe: «Avez-vous déjà entendu le bulletin d'aujourd'hui? Connaissez-vous déjà le dernier discours de Mann?» Partout, je me heurtai à un rejet. Les uns craignaient les conversations interdites: «Gardez ça pour vous, je n'ai pas envie d'aller au camp.» Les autres étaient amers: «Et même si les Russes sont aux portes de Berlin, dit Steinitz, la guerre va encore durer des années, tout le reste n'est qu'optimisme hystérique.»
Pendant tant d'années, chez nous, on avait divisé les hommes en optimistes et en pessimistes comme en deux races. À la question: «Quel genre d'homme est-il?»,on recevait invariablement cette réponse: «C'est un optimiste» ou «C'est un pessimiste», ce qui, dans la bouche d'un Juif, était naturellement synonyme de:«Hitler va tomber d'ici peu» et «Hitler va tenir bon». À présent, il n'y avait plus que des pessimistes. Mme Steinitz renchérit sur les paroles de son mari: «Et même s'ils prennent Berlin - ça ne changera rien. Alors la guerre se poursuivra en Haute-Bavière. Encore trois ans au moins. Et à nous, ça peut bien nous être égal qu'elle dure encore trois ou six ans. De toute façon, nous n'y survivrons pas.
Mais jetez vos vieilles lunettes juives à la fin !»
Trois mois plus tard, Hitler était un homme mort, et la guerre était fmie. Mais il est vrai que le couple Steinitz n'a pas pu le voir et bien d'autres non plus, qui jadis étaient assis avec nous dans la cave des Juifs. Ils sont ensevelis sous les décombres de la ville.
(Victor Klemperer - LTI, La langue du IIIe Reich)
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descendants-fr · 4 years ago
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Mal : " Il était une fois, il y'a très très longtemps. Non, rectification : Il y'a une vingtaine d'années, la Belle épousa sa Bête devant six mille de leurs amis les plus proches et intimes. Le gâteau était énorme. Au lieu de partir en lune de miel, la Bête réunit tous les royaumes et se fit élire Roi des Etats-Unis d'Auradon. Il rassembla tous les méchants et leurs acolytes, c'est-à-dire tous les gens vraiment intéressants, et il les expédia sur l'île de l'oubli avec une barrière magique pour les empêcher de partir.
Voilà mon quartier. Pas de magie. Pas de Wifi. Pas de porte de sortie. Enfin, c'est ce que je croyais. Un peu de patience, vous n'allez pas tarder à nous rencontrer, mais d'abord voilà ce qui est arrivé. "
Tailleur : Manche. Tour de tête.
La Bête : Comment est-il possible que tu sois déjà couronné le mois prochain. Tu es encore un bébé.
Belle : Il va avoir seize ans très cher.
Ben : Salut papa.
La Bête : Seize ans, c'est beaucoup trop jeune pour être couronné roi. Je n'ai pas pris une seule bonne décision, avant mes quarante deux ans.
Belle : Tu as décidé, de m'épouser à 28 ans.
La Bête : Mais c'était soit toi, soit Madame Samovar. Je plaisante.
Ben : Maman. Papa. J'ai déjà choisi ma toute première proclamation. J'ai décidé, que les enfants qui vivent sur l'île de l'oubli auraient le droit de s'installer à Auradon. À chaque fois, que je vois cette île j'ai l'impression qu'on les a abandonné.
La Bête : Les enfants de nos ennemis jurés vivraient parmi nous ?
Ben : On n'en ferait venir que quelques uns au début, un petit groupe de ceux qui ont le plus besoin de notre aide. Je les ai déjà choisi.
La Bête : Ah bon ?
Belle : Toi aussi, je t'ai donné ta chance. Qui sont leurs parents ?
Ben : Cruella d'Enfer, Jafar, la Méchante Reine, et... et Maléfique.
La Bête : Maléfique ? ! Il n'y a pas pire méchant sur cette île.
Ben : Papa, écoute au moins mes arguments.
La Bête : Je ne veux pas en entendre parler. Ils sont coupables de crimes inommables.
Ben : Mais leurs enfants sont innocents, accordons leur le droit de vivre une vie normale pour voir. Papa.
La Bête : Effectivement, leurs enfants sont innocents.
Belle : Bravo, tu as gagné. Allons-y.
Jay : Viens.
Mal : Salut maman.
Maléfique : Tu voles des sucettes Mal. Quelle affreuse déception.
Mal : Je l'ai piquée à un bébé.
Maléfique : Ma petite fille devient vilaine. Rendez la à l'horrible petite créature.
Mal : Maman.
Maléfique : Ce sont les détails Mal, qui marquent une vraie différence entre la méchanceté et le véritable mal incarné. Quand j'avais ton âge, je maudissais déjà des royaumes entiers.
Mal : Déjà des royaumes entiers, oui.
Maléfique : Qu'est-ce que... Viens avec moi. Tu vois, je m'efforce de t'enseigner la seule chose qui compte vraiment : l'art d'être comme moi.
Mal : Oui, je sais et je vais m'améliorer.
Maléfique : Trêves de bavardage, j'ai une grande nouvelle : Vous quatre mes enfants, avaient été choisis pour intégrer une autre école, à Auradon.
Mal : Quoi ? ! Je ne mettrai pas les pieds dans un pensionnat rempli de ptites princesses en robe rose.
Evie : Et de sublimes princes parfaits. Ugh.
Jay : Ouais, et moi j'aime pas les uniformes, sauf s'ils sont en cuir évidemment.
Carlos : J'ai lu quelque part, qu'ils autorisent les chiens à Auradon. Maman dit que ce sont des bêtes enragées qui vivent en meute et qui mangent tout crus les ptits garçons pas sages.
Jay : Bouh !
Mal : Oui maman, on veut pas y'aller.
Maléfique : Oh, il faut voir plus grand ma gargouille. La domination du monde est à notre portée. Bande de rigolos. Mal ! Vous intégrerez cette école, vous trouverez la Bonne Fée et vous me rapporterez sa baguette magique, facile comme bonjour.
Mal : Qu'est-ce qu'on a à y gagner ?
Maléfique : Nous aurons deux trônes assortis. Des couronnes telles mères telles filles.
Carlos : Je crois qu'elle parlait de nous quatre.
Maléfique : Tout se joue maintenant pour toi et moi mon crapaud, ressens-tu le grand frisson quand tu vois des personnes innocentes souffrir ?
Mal : Ben ouais, comme tout le monde.
Maléfique : Rapporte-moi la baguette, et toutes les deux nous feront souffrir des innocents et bien pire encore, en associant la baguette à mon sceptre, je serai en mesure de faire plier le bien et le mal selon ma volonté.
Méchante Reine : Notre volonté.
Maléfique : Oui, notre volonté, notre volonté. Et si tu refuses, tu seras punie jusqu'à la fin de tes jours ma grande.
Mal : Quoi ? ! Maman ! D'accord, si tu veux.
Maléfique : J'ai gagné.
Méchante Reine : Evie, ma petite méchante en herbe. Trouve-toi un gentil prince, qui a un beau château avec des appartements somptueux pour sa belle-mère, et des tas et des tas de miroirs. Ne ris pas, pense à tes rides.
Evie : Et des tas et des tas de miroirs.
Cruella : En tout cas, ils ne me prendront pas mon Carlos, parce qu'il me manquerait vraiment trop.
Carlos : C'est vrai maman ?
Cruella : Oui, qui me ferait ma couleur, qui brosserait mes fourrures et soignerait mes corps aux pieds.
Carlos : Finalement, c'est peut-être pas ce qu'il y'a de pire une nouvelle école.
Cruella : Carlos, ils ont des chiens à Auradon.
Carlos : Oh non, je veux pas y'aller.
Jafar : Jay n'ira pas non plus, j'en ai besoin pour remplir les réserves de mon magasin. T'as déniché quoi ? Oh une lampe !
Jay : Papa, j'ai déjà essayé.
Méchante Reine : Evie n'ira nulle part, avant d'avoir rectifié son affreux mono-sourcil.
Maléfique : Mais qu'est-ce qui vous prend tous ? Autrefois, il suffisait qu'on prononce notre nom pour que tout le monde tremble de peur. Depuis vingt ans, je cherche le moyen de quitter cette île. Depuis vingt ans, ils nous empêchent de nous venger. Nous venger de Blanche-Neige et de ses horribles petits bonshommes. Nous venger d'Aladdin et de son génie bouffi.
Jafar : Celui-là je...
Jay : Papa.
Maléfique : Nous venger de chaque petit dalmatien sournois qui a échappé à tes griffes.
Cruella : Oh mais ils n'ont pas eu bébé. Ils n'ont pas réussi. Ils n'ont pas pris bébé.
Maléfique : Quant à moi Maléfique, la plus méchante d'entre eux tous, je vais enfin pouvoir me venger de la Belle au bois Dormant et de son petit prince obstiné. Méchants !
Cruella : Oui.
Jafar : Oui, présent.
Maléfique : Notre heure est venue. Ma rainette, donne-lui le miroir magique.
Méchante Reine : Oui.
Evie : C'est ça ton miroir magique ?
Méchante Reine : Mon miroir n'est plus ce qu'il était, mais nous non plus on n'est plus ce qu'on était. Il t'aidera à trouver des choses.
Evie : Par exemple un prince.
Méchante Reine : Ou mon ancien tour de taille.
Maléfique : Ou plutôt la baguette magique, essaie de suivre.
Méchante Reine : Oui, je te suis.
Maléfique : Mon grimoire de sorts, où est mon... Où est le grimoire ? Ah le coffre ! Le coffre ! Méchante Reine aide-moi, je n'ai jamais compris comment on ouvre cette chose.
Méchante Reine : Abracadabra.
Maléfique : Mon grimoire. Viens ma gargouille, viens. Oh le voici, les sorts ne fonctionnent pas ici, mais ils fonctionneront à Auradon. Tu te rappelles, le temps où nous répandions le mal et où nous gâchions des vies ?
Méchante Reine : Oui, comme si c'était hier.
Maléfique : À votre tour, vous vous fabriquerez des souvenirs impérissables. Mais tu devras suivre mes instructions à la lettre. Porte.
Jay : Que la fête commence.
Cruella : Carlos, allez viens.
Méchante Reine : Qui a beauté parfaite et pure ?
Evie : Moi. Toi.
Méchante Reine : Oui, allons-y.
Jafar : Récite notre mantra.
Jay : Le voleur n'attend pas le nombre des années.
Jafar : Va t-en, je vais finir par verser ma larme.
Jay : Prend mon sac. Papa.
Maléfique : L'avenir du monde libre repose sur tes frêles épaules, ne fais pas tout rater. Mal.
Méchante Reine : Ça sent les gens ordinaires.
Cruella : Reviens ici tout de suite. Carlos. Quel ingrat. Il part sans m'embrasser.
Jafar : Bonne route.
Chauffeur : Les chacals ont embarqués.
Jafar : Rapporte plein d'or.
Cruella : Rapporte un chiot.
Méchante Reine : Rapporte un prince.
Carlos : Lâche...
Evie : Tu as le teint tout gris, je vais te redonner un peu de couleur.
Mal : Oh, laisse-moi. Je me concentre.
Evie : Eh ben, c'est pas très séduisant.
Carlos : Oh ce truc, c'est salé comme des noix mais c'est sucré comme je sais pas quoi.
Jay : Montre un peu.
Evie : Regardez !
Carlos : C'est un piège. Qu'est-ce qui s'est passé ?
Evie : C'est sûrement de la magie.
Mal : Hé, c'est ce petit bouton qui permet d'ouvrir la barrière magique ?
Chauffeur : Non, c'est celui-là qui ouvre la barrière magique. Ta télécommande n'ouvre que mon garage. Et cet autre bouton....
Mal : Oh, je vois le genre. Un méchant. Chouette, ce chauffeur.
Carlos : Arrête. T'as pris tout le reste. Pourquoi tu veux ça, on sait même pas ce que c'est.
Jay : Parce que toi aussi tu le veux.
Carlos : Non.
Jay : Donne-le moi. Lâche ça.
Mal : Les garçons, les garçons on nous regarde.
Jay : Je faisais.. un peu de rangement. Lève-toi.
Marraine la Bonne Fée : Laissez cet endroit, dans l'état où vous l'avez trouvé. Et priez de reposer ce que vous avez volé.
Jay : Salut ma jolie, je m'appelle Jay.
Marraine : Bienvenue à Auradon, mes chers petits. Je me présente, je suis la Bonne Fée le proviseur de cette école.
Mal : Vous êtes la Bonne Fée ? Celle de Bibiddi Bobiddi Boo ?
Marraine : Bibiddi, bobiddi, on connaît ses classiques.
Mal : Je me suis toujours demandé, ce qu'avait bien pu éprouver Cendrillon lorsque vous êtes apparue jaillissant de nulle part, avec votre baguette magique, et votre sourire bienveillant. Et votre baguette magique.
Marraine : Cette histoire remonte à il y'a bien longtemps, or comme je dis toujours évite de te tourner vers le passé, où tu passeras à côté de l'avenir.
Ben : Très content de faire enfin votre connaissance. Moi, c'est Ben.
Audrey : Le PRINCE Benjamin qui sera bientôt roi.
Evie : J'étais conquise dès le mot prince. Ma mère est reine, par conséquent, moi je suis une princesse aussi.
Audrey : La Méchante Reine n'a pas de statut reconnu chez nous. Et d'ailleurs, toi non plus.
Ben : Je vous présente Audrey.
Audrey : La PRINCESSE Audrey, sa petite-amie. N'est-ce pas Bennynounet ?
Marraine : Ben et Audrey vont vous faire visiter notre établissement. Je vous dit à demain les enfants. Les portes de la sagesse ne sont jamais closes. Par contre, la bibliothèque ferme à vingt trois heures. Comme vous le savez peut-être, je suis assez à cheval sur le cours.
Ben : C'est tellement, tellement chouette de faire enfin votre connaissance. Ce jour est à marquer d'une pierre blanche. J'espère que cet événement restera gravé dans l'histoire. C'est du chocolat ? Comme le jour, où nos deux peuples ont commencé à s'entendre.
Mal : Où le jour où tu as enfin montré à tes quatres invités, où se trouve les toilettes.
Ben : J'en ai peut-être fait un peu trop.
Mal : Un peu plus que trop même.
Ben : Moi, qui voulait vous faire une bonne impression.
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loclz · 5 years ago
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[ 1410 ] Ep _ I
                                      Vendredi 2 SEPTEMBRE 2016
                                          Trégueux-Bournemouth
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                                      1. { Plage de St Andrews }                                                   { St Andrews }
  Après un petit-déjeuner, il était temps de passer au chargement de la voiture. Pour comprendre à quel point  se fut compliqué, Clément devait prendre, ses affaires personnelles, ceux des beaux-arts, de musique... Bref, j'ai dû effectuer un choix compliqué. Des morceaux de ma batterie que j'avais prévu d'amener avec moi, durent rester en France. En effet, le mercredi, j'eus décidé de ramener plus de matériel que prévu. Cette étape terminée, la route vers Cherbourg nous attendait.   10 h 00 nous voilà parti pour plus de trois heures de route. Clément jeune conducteur décida de prendre le volant pour s'habituer à ma voiture. Les premières minutes furent hésitantes, comme lorsqu'on était enfant, on nous enlevait les petites roues de notre vélo, et lancé seul comme un grand, notre père nous encourageait. On pouvait retrouver dans ma voiture une stimulation de mes sens visuels et auditifs, attentifs à ce qu'il faisait. Nous étions enfin bien lancés sur les routes costarmoricaines dans notre road trip, avec Highway to hell de AC/DC en musique de fond à la radio.
  Une première pause à mi-chemin nous permit de manger et de faire un premier point sur ce qui nous attendrait jusqu'à ce soir. On s'imaginait la tête des douaniers avec ma voiture chargée au maximum, ou encore ma première conduite à gauche.   Notre pause terminée nous voilà de retour sur les routes qui nous menaient vers Cherbourg. Comme prévu, je récupérais le volant à trente minutes de l'arrivée. Le ciel commença à s'assombrir, la pluie normande nous guettait, comme un cadeau de bienvenue ou un cadeau pour notre départ.   16 h 00 et se présente devant nous, sous une pluie battante, la file d'attente de l'embarcadère de la gare maritime de Cherbourg.
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                                2. { File d'attente//embarcadère }                                                { Cherbourg }
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                                            3. { Gare maritime }                                                   { Cherbourg }
   À première vue et étant la seule voiture française, les Anglais rentrèrent de leurs vacances d'été. S'ensuit un parcours de contrôle des billets, passeports, avec enfin les douaniers, qui pour l'ouverture du coffre de la voiture, ne restèrent pas bien longtemps au vu du coffre et de l'arrière de la voiture chargée à son maximum.
  17 h 00, nouvelle file d'attente. Quelques centaines de mètres nous séparèrent de notre ferry. Enfin, Clément et moi apercevions les formes métalliques blanche du ferry se dessiner.
  17 h 55, nous passâmes enfin la passerelle qui communique avec le hangar à voiture. Le frein à main enclenché, nos sacs à dos avec nous, la traversée put commencer.
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                                         4. { Arrivé sur le Barfleur }                                                   { Cherbourg }
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                                     5. {Grue du port de commerce }                                                    { Cherbourg }
  La voiture garée pont N° 5, nous rejoignions comme les autres passagers le pont N°7. Nous arrivions dans le grand hall principal entouré de fenêtres surplombant le port de Cherbourg. Un self complétait l'arrière de la grande salle.  Plus que quarante-cinq minutes avant l'appareillage du Barfleur. Ce temps, nous le consacrions à la découverte du pont arrière. Le ciel avait toujours ses teintes grises, assez tristes. La foule présente à bord se préparaient aussi au départ, des parents et leurs enfants visitaient eux aussi l'extérieur du ferry.  Le calme était peut-être la meilleure interprétation de l'atmosphère qui régnait sur les quais. L'heure du départ approchait, de la fumée noire commença à sortir des cheminées du ferry. Les moteurs étaient lancés. Le Barfleur allait appareiller.
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                                     6. { Allumage des moteurs }                                                     { Barfleur }    
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                                        7. { Allumage des moteurs }                                                       { Barfleur }    
  Il régnait comme une sorte d'agitation passagère, un sentiment vif de peur, de joie, de tristesse...
  18 h 45. Voilà, nous y étions ! Nos dernières minutes devant les côtes françaises.
  Les hélices du ferry tournaient �� plein régimes, nous passions les passes du port ainsi que quelques instants plus tard le fort de l'Est.
  Environ 70 milles et quatre heures de traversée nous séparaient de Poole, notre première escale anglaise. Nous retournâmes alors dans le ferry avec nos compagnons d'un soir. Nous rejoignîmes les moleskines dans le fond du grand hall. Le va-et-vient des familles anglaises animait le trajet. En quelque sorte, durant cette traversée nous découvrîmes l'exemple de ce qui allait se passer pendant quatre mois, la langue. Comme un peu isolé, Clément et moi passions nos premiers pas de globe-trotte .
  Quasi-étrangers, nous déambulions entre aller et retour, du pont arrière à notre moleskine, dans le ferry. Établir un système de roulement pour garantir notre base arrière dit "la moleskine", voilà notre priorité. La procédure était simple, je partais me balader, Clément restait à son poste de garde et vice-versa.
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                                              8. { Base arrière }                                                      { Barfleur }    
  Les minutes s'écoulaient et amenèrent la nuit. L'obscurité tombée, j'errais accompagné du vent sur l'arrière du Barfleur, entre excitations de poser le pied-à-terre et l'appréhension d'un voyage de quatre mois.   Les bourrasques me frappèrent le visage et me rappelèrent que je n'étais pas seul. Je rentrai alors prendre un café, histoire de garder un semblant d'énergie pour mes premières minutes sur le sol anglais...  
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                                              9. { Arrivée à Pool }                                               { Sud de l’Angleterre } 
  21 h 50 (heure anglaise), nous y voilà ! La ville de Poole se dessinait face à nous. Après quatre heures de navigation, Clément et moi allions enfin toucher terre.   Les lumières du port et de la ville nous accueillaient par une petite brise anglaise. Une annonce dans le ferry demanda aux passagers de rejoindre les ponts inférieurs où se situaient les voitures, le temps de vérifier que rien ne resterait après nous sur le Barfleur, il était temps de descendre chercher ma voiture.
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                                           10. { Arrivée à Pool }                                              { Sud de l’Angleterre } 
  La voiture retrouvée, c'est avec une grande inquiétude que j'attendais le feu vert des manœuvriers de la Brittany Ferries, pour mes premières secondes de conduite à gauche.
  Clément était concentré à immortaliser notre sortie du ferry. Un tremblement surgit dans le pont N° 5. La plate-forme s'abaissa alors et nous entrevîmes le quai. Les automobilistes devant nous commencèrent à démarrer leurs voitures et à avancer. Ce fut à notre tour d'y aller ! Je lançai le moteur et enclenchai la première.
  Du pont du ferry au poste de douane, les premières minutes au volant étaient assez sereines. Nous remarquâmes sur notre gauche que finalement nous n'étions pas les seuls Français.
  Nous étions à quelques mètres du poste de douane, plus que quelques minutes avant le début de notre périple anglais. Clément sortit nos passeports et nous fûmes devant la guérite des douaniers Anglais. Le temps de vérifier que nos papiers soient bien en règle et nous voici lancés sur les routes anglaises, direction le Laguna hôtel à Bournemouth.
  Le trajet qui devait durer 20 minutes fut une catastrophe de 1 h 10 minutes. Du port de Poole au Laguna hôtel, quinze minutes étaient nécessaires. Mais pour notre défense, plusieurs facteurs expliquent notre retard.
C'était la première fois que je conduisais à gauche.
Je ne connaissais pas la ville.
Il faisait nuit. 
Une petite brume réduisait mon champ de vision.
Et mon GPS n'avait pas la carte du Royaume-Uni.
  J'avais beau me mettre dans la tête qu'il fut impératif de rouler à gauche, mon cerveau, et cela durant les trois prochains jours, me fera rouler quelques secondes à droite.
  Dès la sortir du port, accompagné par un brouillard anglais, j'aperçus les phares de la voiture en face de moi, ainsi que le son d'un klaxon et Clément hurler pour me rappeler que je n'empruntai pas la bonne route . Pour mes débuts d'une conduite à droite, la pression monta très vite. Ce stress passé, nous filions vers Bournemouth.
  Sans GPS, nous atteignîmes tout de même Bournemouth. Pendant près d'une heure, nous allions traverser le centre-ville, par un vendredi soir. " Bizarrement ", les regards des habitants se concentrèrent sur la seule voiture en plein centre-ville. Après quelques tours au cœur même de Bournemouth et aussi quelque rue déserte, nous arrivions enfin au Laguna hôtel.
  00 h 10, après ces efforts pour rechercher l'hôtel, nous pûmes prendre enfin contact avec la réceptionniste. Une dame charmante, d'une soixantaine d'années, lunette sur le nez, habillée en robe d'époque, corsage ajusté, manches collantes mi-longue et jupe à petits plis, nous reçut. Notre premier échange avec les Anglais fut très courtois, et nous disposions ainsi de la chambre 59. 
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                                            11. { Chambre 59l }                                                   { Laguna hotel } 
  La chambre s'associait à l'ambiance d'un calme typiquement anglais, confortable et élégant de la vie en Angleterre. Nous avions la chance que la salle de bain soit équipée d'une baignoire. Après un bain chaud pris dans le noir, car incapable pour nous de comprendre le fonctionnement de la lumière, je m'allongeai sur le lit et me mis à zapper un peu sur la télévision anglaise. Il fut pour nous le temps de se reposer avant les premiers kilomètres d'une longue journée. 
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                                         12. { Départ de Dundee }                                                   { Mi décembre } 
1.          https://beachsafe.org.au/beach/vic/mornington-peninsula/fingal/st-   andrews
2. 3. 4.  https://www.wikimanche.fr/Gare_maritime_de_Cherbourg_(1933)
5.          https://www.port-cherbourg.fr
6. 7. 8. https://www.brittany-ferries.fr/navires/ferries-croisiere/barfleur
9. 10.   https://voyages.michelin.fr/europe/royaume-uni/grande-bretagne/angleterre/poole/poole
11.       https://www.lagunaholidays.com
12.      https://www.dundee.com
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ecrisettaistoi · 6 years ago
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Jour de match
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Jour de match. Toujours la même joie. Quand on est supporteur, c'est pour la vie. Je me souviens encore de mes premiers matchs au Parc avec mon père. Fendre la foule vers la porte d'entrée, passer les portillons, gravir les escaliers quatre à quatre en entendant la clameur gonfler, le battement de cœur collectif qui s'élève, l'effort des dernières marches avant d'être ébloui de lumière, d'amour, d'envie et de passion. Quels moments gravés à jamais.
Merde, j'ai loupé l'Hyperloop de 18h42. Je prendrai celui de 45, pas grave. Si j'habite à Paris, enfin en proche banlieue car plus personne n'habite à Paris depuis qu'AirBnB a tout racheté, je travaille à Biarritz tous les jours. Mais ça n'est pas un problème. Avec le prochain, je serai à Montparnasse en trois quart d'heure et comme j'ai déjà réservé mon AirCab automatisé, en quatre minutes de plus, je serai chez moi.
Jour de match. Ce soir, on joue les Kashima Antlers en Ligue Mondiale Amazon. Un match vraiment à notre portée, sachant qu'on a la meilleure attaque du championnat et que leur meilleur défenseur a malheureusement été dissous cette semaine par une de ces satanées tornades d'acide qui pullulent depuis que le permafrost nous a lâché il y a une vingtaine d'années. Malgré l'alerte tornade, Kim Lingao avait voulu s'imposer un footing supplémentaire en plus de l'entraînement quotidien de son club. Kim était bouddhiste et croyait dur comme fer être la réincarnation de Zlatan Ibrahimovic, grand champion du début du XXIe siècle qui ne renâclait jamais à la tâche. La tornade arriva trop vite et après avoir fait disparaître un centre commercial, fondu comme beurre au soleil, une école primaire (mais les pondeuses gouvernementales étaient déjà au travail pour remplacer les bambins perdus) et un terrain de golf au grand complet, elle se désagrégea, satisfaite de ses méfaits. De Kim, on ne retrouva qu'un demi pied dans une demi chaussure de running. Du coup, c'est tout bénef' pour nous pour ce soir.
Voila mon Hyperloop. Je saute dedans, retrouve ma place. Karen, la responsable Bien-être Hyperloop ne tarde pas à apparaître. Franchement, ils pourraient faire des efforts avec sa voix.
- Bon-Jour Monsieur 6755688/45/22 et bienvenue à bord de votre Hyperloop (cette satanée manie qu'ont toutes les marques de te signifier que leurs indécents bénéfices ne sont rien sans ta petite contribution), afin de rendre votre expérience la plus agréable possible, puis-je vous propo...
- Merci Karen, je n'ai besoin de rien.
- Un massage tantrique ?
- Sans façon.
- Chou Kalé et boulgour ?
- Ça va aller, merci Karen.
- Je souhaite à monsieur 6755688/45/22 un excellent voyage et hmmm, peut-être à une prochaine fois.
Ils ont récemment modifié les algorithmes des androïdes comme Karen et ont ajouté une dose supplémentaire de susceptibilité. J'ai dû perdre quelques rangs dans ses classements internes de clients. Le voyage est une formalité. Ces engins sont incroyables. Pas un bruit, pas une vibration, un voyage en toboggan de soie à plus de mille kilomètres à l'heure. Le gros ver décélère et s'arrête à Poitiers, fait son plein et repart aussitôt. Dans vingt minutes maximum, je suis chez moi. Je m'enfile un best-of de Pauleta, une des idoles de jeunesse du paternel.
Jour de match. On va les pourrir. Paris, terminus, tout le monde descend. Je fonce dans la rue, mon AirCab m'attend déjà. Je m'y engouffre et déjà, il fend le ciel, laissant Saint-Germain, les Invalides, Beaugrenelle pour me ramener dans ma banlieue lointaine. Dans les années 2030, Paris a absorbé toutes ses anciennes banlieues. De nouveaux arrondissements ont vu jour, XXI, XXII, XXIII, XXIV et XXV ont remplacé toutes les villes limitrophes. Moi, je ne peux m'en payer aucun de ceux-là alors j'habite plus loin, bien plus loin. Mon AirCab décélère et me dépose sur le toit de mon immeuble. C'est une vieillerie des années 90 remaniée en conapses individuels. C'est simple, une chambre, un salon, une cuisine et des WC salle de bain pour un prix presque honnête. J'aurais pu avoir plus grand mais encore plus loin.
Jour de match. J'appelle Bappé en Visio.
- Mmmmwazaaaaaaaa ?
Bappé commence toujours comme ça, c'est sa marque de fabrique mais il ne sait plus trop d'où ça vient. Quoi qu'il en soit, chacune de ses conversations commence avec ce cri.
- Ça va, mec ? On se voit au stade ce soir ?
- Au prix de l'abonnement, ce serait criminel de ne pas venir.
- Woké, on se retrouve sur place alors. Tchuss.
Il est 19h39, le match est à 20h. Je suis dans les temps. Tranquille. Quand on soutient son club depuis si longtemps, c'est un peu comme une maîtresse. Bon, il faudrait déjà que j'aie une copine ou un femme pour commencer. Je descends prendre ma commande habituelle. José me voit arriver et me tend d'avance mon paquet.
- La commande habituelle, me dit-il en levant à peine les yeux tout en étiquetant quelques boites devant lui de l'autre main.
- La commande habituelle, dis-je, en plaçant ma carte sur la caisse-boitier. Débit immédiat, 16 euros 23. Je prends le sac et je ressors du MKT24/7. Dans la rue s'entrecroisent ceux qui travaillent dans le quartier et s'en vont pour la nuit et ceux qui reviennent chez eux. Un astrobus dépose une foule de touristes en mal de sensations. Il paraît que la banlieue devient hype face à ce Paris muséal figé comme un mannequin tout juste botoxé. Je salue mon voisin du 3e, conseiller municipal bas du front qui ne manque pas de ne pas me saluer ostensiblement. Un grand classique.
Jour de match. L'ascenseur n'est pas en forme et je ne veux pas risquer d'arriver en retard. Je monte les escaliers quatre à quatre. Échauffement musculaire. Sitôt chez moi, j'allume mon four à ion et j'y dépose mes deux achats. Mon conapse tout entier se remplit d'un fumet alléchant. Ting. C'est prêt, la baguette est croquante, moelleuse et avec la préparation merguez en tube dont je maîtrise désormais la cuisson à la perfection, j'ai l'impression de revenir quarante ans en arrière. J'ai même trouvé de la moutarde de contrebande sur le Darknet, interdite depuis les lois Aliments de 2030. Seuls les aliments industriels soumis à acceptation du pouvoir sont autorisés. Et la moutarde a été jugée contraire. Alors que la Kroneken, la plus grande marque de bière au monde avec force lobbying est elle toujours légale. Bon, pas au stade mais j'ai un Snapfiltre pirate que m'a passé Bappé qui marche très bien pour faire croire à une haleine de bière sans alcool.
Jour de match. 19h58. Merde, je suis à la bourre. J'engloutis ma bière au goulot en trois traites. Je mets mes lunettes. Le menu digital apparaît devant moi. Putain, je ne suis pas à jour de mes goodies obligatoires. Pour débloquer le match, il va falloir que j'achète à la boutique. Je prends le nouveau maillot Zara à logo pailleté or, super cher mais avec ça, je m'offre du crédit pour deux mois. Je prends aussi un drapeau holographique et un maquillage, le n°7, entre Indien Apache et joueur de Foot US. Aux couleurs du club. Je paye sur la borne, 213 euros. Le maillot se matérialise sur moi. Il est beau ce logo Zara. Ça deviendra un collector recherché avec un peu de chance. À la revente, un sponsor comme ça, c'est certain de faire la culbute surtout depuis l'uniformisation des maillots après le contrat exclusif de la Ligue Mondiale avec Reebok. Paré de mon drapeau, j'enclenche le mode live et je retrouve ma place. 19h59, Bappé arrive enfin. Lui aussi avait besoin de crédit supporter, sans lequel on peut vite perdre son abonnement et il a dû lâcher une somme plus que substantielle vu son accoutrement. Casque, écharpe, nouveau maillot, il est paré. Le stade bouillonne déjà devant nos yeux et ô joie, un paquet d'inconscients ont trouvé des crédits Fumi totalement interdits sur je ne sais quelle plateforme souterraine du net. Le spectacle est magnifique. Bappé est au bord de l'hystérie, c'est seulement la deuxième fois qu'il en voit. Les joueurs entrent sur la pelouse. Ma compo a vraiment belle allure. J'ai choisi un 3-4-3 très offensif sur terrain bleu. J'adore ce bleu et je ne sais pas, je crois qu'il nous porte chance. Bappé a préféré jouer en 4-4-2 plus défensif et pour la couleur du terrain, je ne préfère pas trop voir car il utilise souvent des applis craquées pas officielles pour avoir des motifs de dingue. C'est son truc. C'est quand même sympa de pouvoir personnaliser son équipe et le terrain; avant, quand les joueurs jouaient en vrai, quand les gens allaient au stade pour de vrai, on ne pouvait pas le faire. Ça devait être terrible de voir jouer une équipe qu'on n'avait pas choisie, je ne sais pas trop comment les vrais fans pouvaient supporter ça. Imagine que l'entraîneur n'ait pas du tout la même vision que toi ? Imagine que tu perdes contre moins bon, contre un mal classé ? Heureusement que l'UEFA, sous l'impulsion des clubs les plus riches, a fait interdire ces spectacles aléatoires et dangereux. Avec les droits de retransmission, ça faisait déjà longtemps que les clubs n'avaient plus besoin de supporteurs dans les stades mais la grande épidémie de 2033 leur permit de faire passer la pilule auprès des anciens à partir de 2035. C'est à ce moment-là que je m'étais abonné pour revivre le bonheur du passé. Quand je pense au nombre d'années où j'y étais allé avec mon père, entouré des miasmes des autres, des virus potentiels, quelle chance j'ai eu de ne pas tomber malade. Et quand les clubs ont décidé de supprimer les stades et les supporters réels et que la technologie virtuelle a supplanté le spectacle vivant, ça a quand même tout changé. Avec les algorithmes, le résultat est secret et entériné d'avance. Si tes joueurs ont plus de crédit que ceux d'en face, tu gagnes. Plus de Remontada possible. Un truc qui avait marqué mon père dans sa jeunesse et dont j'avais entendu parler pendant des années. Ce côté aléatoire, c'était vraiment n'importe quoi.
Jour de match. Bappé martyrise son appli corne de brume à 12 euros et moi, fièrement, je fends l'espace du stade avec mon drapeau holographique. Si j'ai un fils un jour, je lui donnerai. Le coup d'envoi est sifflé. Un cerbère me désigne, un autre s'approche. Merde, mon Snapfiltre anti-bibine.
- Détection de boisson non autorisée. Vous avez enfreint la loi 17 alinéa B du PSG. Votre abonnement est révoqué.
Kziiit. Le Parc disparaît remplacé par un message laconique "Faute B17. Abonnement résilié pour l'année. Ouverture des abonnements 2051-2052 début avril".
Jour de match. Bon match, Bappé.
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scratchesblog-blog · 6 years ago
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“Etre prof, c’est quoi en fait?”
J’aimerais partager une publication de @monsieurleprof issue de sa page Facebook qui résume selon moi très bien ce qu’est être prof aujourd’hui! Un tableau ambivalent et réaliste!
Publication Facebook Monsieur le Prof  08/07/19
“Être prof, c'est quoi en fait ?
Avec cette fin d'année chaotique, je n'ai même pas pris le temps de féliciter les nouvelles recrues, celles et ceux qui viennent d'obtenir leur CAPES / CAPLP / AGREG / CRPE etc durement acquis ! Félicitations et bravo à vous tous, welcome to ze mif', franchement on est un peu chelous, mais a priori si vous avez choisi cette voie, vous l'êtes aussi, donc ça devrait aller. Pour celles et ceux qui ne l'ont pas obtenu, ne lâchez pas l'affaire, ce n'est pas un concours qu'on obtient forcément la première fois, donc ça sera pour l'année prochaine, ok ?
J'ai reçu pas mal de messages de nouveaux certifiés (c'est comme ça qu'on appelle les détenteurs du capes, ça pète hein?) qui me disent qu'avec le gros bordel de ce fiasco du #Baccalauréat2019, le passage en force des réformes Blanquer et l'animosité de l'opinion publique à notre égard, bah ils se demandent s'ils ont fait le bon choix de se lancer dans cette voie. Certains m'écrivent pour me dire qu'ils ont carrément lâché l'affaire, que voir l’Éducation Nationale dans un tel état leur fait peur et ne leur donne pas du tout envie de se lancer là-dedans. Je les comprends.
Parce que ouais, j'avoue, en ce moment, c'est tendu. C'est pour ça que cette page est moins rigolote. Mais faut bien garder un truc en tête : le cœur de notre métier, c'est pas ça.
Ce qui fait la beauté et l'intérêt de notre métier, je pense que mes collègues seront d'accord, bah c'est le temps que l'on passe face à nos élèves. C'est les voir débouler en début d'année, ces inconnus, qui ne veulent pas forcément être là, c'est apprendre à les connaître petit à petit, à les apprivoiser, à leur faire comprendre qu'on n'est pas leur ennemi, qu'on a des trucs cools à leur enseigner. C'est très vite repérer cet élève qui aime bien attirer l'attention en faisant le pitre, ou cet élève très sérieux mais angoissé qu'il faudra savoir rassurer, ou bien cet élève totalement désintéressé pour qui il faudra faire preuve d'astuce histoire de le raccrocher, et vous aurez des dizaines de profils différents à découvrir au fil de l'année.
Être prof, c'est aller à la pêche aux documents sur Internet, c'est regarder un film ou une série et se dire « ah mais ça je pourrais trop l'utiliser en classe ! », c'est trouver de nouveaux thèmes à étudier histoire de dépoussiérer un peu l'image que les élèves peuvent avoir de la matière, c'est aller sur des groupes de profs ou discuter avec des collègues d'activités à mettre en place, c'est se remettre en question souvent, et se réinventer constamment. C'est mettre en place des stratégies pour susciter leur intérêt, pour éveiller leur curiosité. C'est leur faire comprendre que notre matière n'est pas juste une matière scolaire, mais bien un ensemble d'outils qui leur permet de développer leur réflexion.
Être prof c'est avoir des élèves qui ouvrent très grand les yeux quand ils comprennent enfin quelque chose, c'est avoir un élève qui à la fin d'un cours vient vous dire qu'il a maté le film que vous avez mentionné et qu'il a adoré, c'est entendre un « déjà !? » en fin d'heure qui vous faite comprendre que vous les avez happés au point qu'ils ont oublié leur montre. C'est rare et précieux !
Être prof, c'est être face à une forêt de mains levée (bon au collège hein, au lycée c'est moins le cas...), à des élèves qui VEULENT savoir, qui VEULENT comprendre, qui ont tout à découvrir... et parfois, pour certains d'entre eux, ben vous êtes leur seule fenêtre sur le savoir, parce qu'à la maison, ils n'ont hélas pas les clefs pour découvrir le monde.
Être prof c'est accompagner des élèves, des ados, dans la construction de leur rapport au monde, c'est faire partie des adultes qui essaieront au mieux de les guider alors qu'ils sont encore en train de grandir. C'est tenter de les faire atteindre un niveau qu'ils n'auraient jamais imaginé, les sculpter à la hauteur de ce qu'ils ignorent encore être.
Mais tout n'est pas rose non plus hé, on est pas dans un épisode de L 'Instit' non plus, et ma référence commence à être un peu datée là...
Être prof, c'est aussi faire face à des ados qui cherchent leur place dans le monde, et pour qui la façon la plus simple d'exister, c'est la confrontation. Parfois la violence. C'est devoir gérer la colère d'élèves par soi-même, et savoir pardonner quand il le faut, et sévir si nécessaire. C'est parfois se retrouver seul quand on est agressé, parce que notre hiérarchie ne nous défend pas. Dictature du #PasDeVague. C'est ne pas oser en parler à des collègues parce qu'on a peur d'être nul, d'être le seul à qui ça arrive.
C'est être confronté au désintérêt des élèves pour notre matière, parce que l'ascenseur social, ils n'y croient pas, ils disent que « ça sert à rien », que de toutes façons ils n'auront pas de travail, parce que personne ne veut d'eux. C'est être confronté au désintérêt de certains parents pour le travail de leurs enfants.
C'est faire cours à des classes surchargées, avec des élèves aux besoins très divers, qu'ils soient hyperactifs, surdoués, autistes, handicapés moteurs, sourds, aveugles, en proie aux crises d'angoisses, dépressifs, vous aurez à gérer tout ça, et bien trop souvent sans aide, il faudra apprendre par vous-même, et on peut se sentir dépassé face à tout ça. C'est faire de son mieux tout en sachant qu'on ne peut pas aider tout le monde dans ces conditions.
C'est être en compétition avec les téléphones des élèves, avec des réseaux sociaux où tout se dit en 280 caractères ou en snaps de 10 secondes, qui font que les capacité de concentration des élèves fondent comme neige au soleil, alors vous, les garder concentrés 1h ou plus dans une salle, c'est un défi de plus en plus difficile à surmonter.
C'est avoir un matos qui date d'un autre temps, peut-être du temps où vous étiez vous même élève. C'est devoir attendre patiemment parfois jusqu'à 10 minutes pour qu'un ordi s'allume, c'est ne pas pouvoir faire cours correctement si l'ampoule d'un vidéoproj' pète, parce que pendant plusieurs semaines elle ne sera pas remplacée.
C'est devoir faire semblant de rire quand pour la énième fois, un de vos proches vous fera une vanne sur les profs feignasses qui n'en branlent pas une, alors que vous êtes complètement lessivé, et que vous vous dites « j'vais quand même pas me plaindre, j'ai des vacances après tout... ». C'est voir passer chaque mois une nouvelle affaire sur un collègue agressé, ou un collègue isolé qui finit par se suicider, c'est voir des collègues s'arrêter pour burn-out.
C'est être baladé un peu partout, c'est être TZR (remplaçant) de trop longues années, déraciné de votre région d'origine, souvent balancé en région parisienne, où les loyers ne sont pas vraiment compatibles avec votre salaire. C'est corriger des copies, une activité très chronophage et répétitive, qui finira par empiéter sur votre vie personnelle.
Et puis surtout, c'est voir arriver un nouveau ministre qui va vouloir jouer les cowboys avec SA solution. SA solution pour régler tout ça, c'est pas celle que demandent les collègues. Très vite, comme tout le monde, ce que vous demanderez, c'est des classes à effectif réduits, c'est un matos et des bâtiments fonctionnels, c'est des moyens pour accompagner aux mieux les élèves, quoi !
Mais ce que le ministre vous demandera, c'est des ECONOMIES, c'est du boulot en plus, des papiers en plus à remplir, des heures en moins (mais avec un programme plus lourd), des effectifs en plus, des heures en plus, des responsabilités en plus, des pertes de moyens, de matières, une école moins égalitaire, qui promeut le privé, et si vous vous plaignez, attention, vous serez un sale « privilégié » qui « prend les élèves et les parents en otage », alors ouais, faudra bien serrer les dents pour continuer de croire en votre métier. Parce que si personne d'autre n'y croit, pourquoi vous ? Ouais, être prof, c'est parfois avoir l'impression qu'on est les derniers à croire en ce qu'on fait.
Parce que quand vous êtes face à vos élèves, c'est évident, et c'est comme ça.
Maintenant, vous savez quel genre de défis vous attendent. Vous êtes ainsi bien mieux préparés que beaucoup de futurs profs qui ont une vision un peu idyllique du métier, et tombent de haut quand ils sont lâchés en tant que néotit. Beaucoup abandonnent, le taux de démission de prof a doublé ces dernières années.
Alors bienvenue dans l'métier. C'est beau, c'est prenant, c'est dur, c'est fatigant, c'est fascinant, c'est déprimant, c'est motivant, c'est lassant, c'est marrant, c'est étonnant, c'est stimulant, c'est recommencer, inlassablement, année après année, et c'est tout ça qui vous attend. Have fun !”
Source: https://www.facebook.com/bongeourre/?__tn__=kC-R&eid=ARC1IKpl5SFRv19j_WNlDm-HZzaGfkCTYH-YIz0DXTKi6qhpZAkKtRWfzDV4Lc5FfHpRgLK7VaqMPQHK&hc_ref=ARQrP54-ekv8NiwnYrBOJpyOCLPy0-rq1xQNRQR6gmRIvogoqMchz0Ptch2uEcgVvS4&fref=nf&__xts__[0]=68.ARCoQhBhfeqlsrOf5vzVTn-wZmBAdd1WKQ07wuVIfLaERSNALqzeLT7X1H2KiqIAWQMWtfa3eBOsZgXU5jsD9t4o7KW9QJbIpEp38nfcH4jZVYSLgm6lmL3HUh7SVcZT9sS4LSeN7ZIYbDMKW_SoQspSdM9PoI2xEZosELgCl99YOAJ9SF3PXoXboY1prBEQCzCEL3Em5tZtAjindhNE0pUJFzqjVR5NoxKXoBAFn-R6WFUKGEUBx08L-rPa1B5B0-SiTmiUtK1-96dmis-9WHBogKpZzJS0xQDBR5q2tFygAPHnjFxAsErpeiGNUwQVvkkByZIM-_-9v7JJPPtSu0xL5-Jy1-6lueasd7qGKm754MggKYdJ
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tailspinfr · 6 years ago
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Light up your candles for me
Parfois je m'interroge sur la logique d'avoir comme métier l'écriture quand ça a toujours été avant tout mon moyen d'expression, la seule manière d'extirper tout ce qu'il y avait à l'intérieur, le seul vecteur de rage, d'amour et de joie. Il n'y a personne à qui j'ai dit que je l'aimais avant de l'écrire. Toutes mes amitiés et mes amours les plus profondes je les ai avant tout pensées sur le papier, il n'y a rien dans mon cerveau qui n'a pas été transcrit en mots avant toute chose. Tout m'est venu en lisant, en écrivant.
Et alors quand on travaille ce n'est pas aussi simple, les mots deviennent des euros (des centimes plutôt, quand on est pigiste), ils s'enchaînent à des obligations, des dates de rendu. Qu'est-ce qu'il reste de ce geste si naturel, si sincère, de ce geste d'amour que je jette sur la page comme si ma vie en dépendait ?
Ces derniers temps j'ai délaissé ce que je disais ici et ailleurs pour moi. Ça m'a donné envie de replonger en moi et d'en sortir ces mots qui ne sont pas là pour me donner de l'argent, ces mots gratuits, ces mots d'amour que j'écrivais pour mes amoureux imaginaires.
Ces phrases là ne viennent que quand je les invoque avec une bonne playlist, je les attire et je les fais venir en trouvant exactement le morceau qui leur dit ce que j'aimerais ressentir. Alors j'ai commencé par Tim Buckley bien sûr parce qu'il parlait d'une montagne, et qu'en ce début d'année j'ai trop cru que j'avais atteint moi-même un sommet. Parfois j'étais gonflée par ce sentiment d'avoir réussi à me combattre, d'avoir gravi quelque chose d'inatteignable. Et d'un coup je dégringole. Je veux tout changer, j'arrache tout.
J'ai allumé des bougies en moi en écoutant Scott Walker, quand j'ai écoute Duchess je me suis mise à pleurer parce qu'il me semblait que ça touchait quelque chose que je n'avais jamais envisagé. Je l'ai écoutée en boucle, je pensais à elle au loin, dans son fauteuil, qui s'éloigne au fur et à mesure. Je pensais à quel point il est lent pour certains d'éteindre ce petit feu en eux. Je pensais à elle qui avait toujours de la rage, parfois mal placée, elle avait tellement de mots que je me rends compte que je pensais qu'ils lui survivraient. Je ne pensais pas qu'elle laisserait derrière elle une longue trace de silence. Qu'il faudrait se dire au revoir dans un bruit blanc. Qu'il faudrait se contenter de se séparer au son des souvenirs lentement, très lentement. Que notre présent n'aurait plus vraiment d'importance.
C'est quand même le printemps. Quand même la saison où je vais au cinéma les poches enfoncées dans mon trench, à chaque fois je me demande si c'est vraiment de droite d'avoir un trench, je trouve qu'il fait chaud et je sue deux fois plus de me dire que les choses se déboîtent, se dérèglent. Je m'assoie au premier rang et je pleure devant des films qui ne me plaisent même pas. Je pleure parce que je vois que le réalisateur a fait sa petite playlist perso aussi et il a pensé que ça suffirait à raconter son histoire.
Moi dans mon film l'héroïne prend un bain en écoutant Jessica Pratt et elle a toutes sortes de révélations. Je fracasse les portes du printemps en regardant The OA et ça m'ouvre des portes sur d'autres mondes, ça m'étouffe d'angoisse de me noyer et ça me fait réécouter Sharon Van Etten, du coup je finis ma playlist sur cette chanson que tu m'as fait écouter, We Are Fine. Je t'aimais encore plus quand tu m'as envoyé cette chanson, parce que c'est beau de voir les chansons qui sont au fond de toi. J'ai aussi beaucoup repensé à Sarah Kane, pour une raison qui m'échappe, je me récitais son monologue de Crave —
and not understand why you think I’m rejecting you when I’m not rejecting you and wonder how you could think I’d ever reject you and wonder who you are but accept you anyway and tell you about the tree angel enchanted forest boy who flew across the ocean because he loved you and write poems for you and wonder why you don’t believe me and have a feeling so deep I can’t find words for it and want to buy you a kitten I’d get jealous of because it would get more attention than me and keep you in bed when you have to go and cry like a baby when you finally do
— Oui il reste des mots au fond de moi, qui ne rapportent pas d'argent, qui n'ont pas besoin d'être publiés, des mots qui n'ont pas de sens, des mots qui s'entrechoquent quand j'écoute Tim Buckley, des mots qui ne sont pas séparés par des points, des mots qui ne sont pas à louer, des mots qui ne font pas de feuillets, des mots qui ne vous plaisent pas mais je m'en fous — qui sont nées de playlist qui sont à moi et à personne d'autre
I Never Asked To Be Your Mountain - Tim Buckley
Duchess - Scott Walker
Mackerel Sky - Bootchy Temple
Magnetic Woman - Eerie Wanda
Bad Timing - Phantastic Ferniture
Symbol - Adrianne Lenker
Fare Thee Well - Jessica Pratt
Sugar and Gold - Sleeper and Snake
Lay and Love - Bonnie "Prince" Billy
Floating - Julee Cruise
We Are Fine - Sharon Van Etten
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christophe76460 · 3 years ago
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COMMENT PRÉPARES-TU LE RETOUR DE JÉSUS-CHRIST SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX ?
•Matthieu 24:14
"Cette bonne nouvelle du Royaume sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin."
👉Savez-vous que l'avancée de la technologie a pour but de préparer la venue de l'Antéchrist ?
👉Savez-vous que tous les réseaux sociaux sont conçus afin de glorifier la même personne qui est le diable ?
👉Savez-vous que les concepteurs de facebook, whatsapp, twitter, instagram, badoo, twoo et autres sont des illuminatis et travaillent pour l'Antéchrist ?
👉Savez-vous que toutes les informations que vous mettez sur les réseaux sociaux seront utilisées par l'Antéchrist ?
👉Savez-vous qu'on peut être possédé par des démons sur internet ?
👉Qu'est-ce que tu fais de ton facebook ? Quels messages passes-tu au monde ? Quelles photos mets-tu ?
👉Qu'est-ce que tu as dans ton téléphone comme musique, photos ?
👉Pourquoi vos réseaux sociaux et vos pages ne parlent pas de Jésus-Christ et son Retour ?
👉Pourquoi vous imitez les pages des païens ?
👉Pourquoi vous imitez les photos des païens ?
👉Pourquoi vous imitez les comportements des païens ?
👉Pourquoi tu utilises tes Méga bytes pour des bêtises ?
👉Comment tu dis être chrétien et tu as des photos de profil impudiques et des noms ou pseudo qui sont parfois démoniaques ?
👉Pendant que les gens présentent Barcelone, Real de Madrid et autres...
Pourquoi ne présentez-vous pas Jésus-Christ ?
👉L'argent que tu dépenses pour Internet c'est pour prêcher ou pour bavarder avec les amis sur des futilités ? Pourquoi gaspilles-tu l'argent de Dieu ?
👉Savez-vous que certains ont été possédé juste en cliquant sur j'aime ou en commentant certaines photos et certaines pages ?
👉A combien de personnes parlez-vous de Jésus-Christ ?
👉Combien de personnes virtuelles as-tu comme amis et que tu ne connais pas ?
👉Sais-tu qui se cache derrière la photo de cet(te) ami(e) ?
👉Vous êtes-vous déjà posé la question de savoir pourquoi ce sont les païens qui ont créé facebook, twitter, whatsapp...etc ?
👉Comment et où évangelises-tu ?
👉Pasteurs pourquoi vous envoyez les gens à l'évangélisation et vous-mêmes ne le faites pas ? Pensez-vous que prêcher à la chair et entrer dans les avions suffisent ?
👉Pasteurs, Prophètes... etc, mettez de côté l'orgueil et vos titres, allez évangéliser car Jésus revient bientôt.
👉Combien de temps passes-tu à lire ta Bible ?
👉Savez-vous que dans les derniers jours les gens ne pourront pas avoir un passeport, être embauchés dans une entreprise, entrer dans un avion, faire des supermarchés et autres s'ils n'ont pas le signe 666 de la Bête ?
👉Penses-tu que c'est ton beau visage qui sauvera le monde ?
👉Quels sont les sites que tu regardes alors que tu es chrétien ?
👉Pourquoi es-tu abonné à toutes les pages de foot qui parfois ont des milliers d'abonnés et tu n'es sur aucune page chrétienne ?
👉Pourquoi ton facebook ne parle pas uniquement de Dieu ?
👉Pourquoi la sonnerie de ton téléphone est une musique du monde ?
👉Est-ce que tu te rappelles des engagements que tu avais faits à Dieu en début d'année ? Quand tu disais je vais me consacrer à la Parole de Dieu et prier de plus en plus ? Je vais pas échouer, je vais pas piétiner sur place,te souviens-tu?
Pourquoi as-tu lâché ? Pourquoi tu n'as pas tenu tes promesses ?
Le diable est conscient qu'il lui reste peu de temps et il multiplie des stratégies.
👉Tu as plus de 2000 amis sur facebook et tu ne partages même pas un seul verset biblique par jour sur ton mur, et tu te dis chrétien. Petit à petit tu deviens champion en pornographie en téléchargeant les vidéos et photos XXX, puis tu viens déranger les serviteurs de Dieu de prier pour toi après que les démons vecteurs de couches de nuit aient déjà possédé ton corps.
👉Chrétien qui écoute la musique mondaine, chrétien qui regarde tout et rien sur internet, chrétien qui partage n'importe quoi, chrétien champion en drague sur facebook, whatsapp, badoo, ..etc, des dragueurs ecclésiastiques.
👉Il y a des pays où l'islam a atteint son paroxysme, et petit à petit cela gagne du terrain à la surface de la terre, et cependant tout ce qui t'intéresse c'est le make up, la mode, le marketing, le business, les avions...
👉Il y a des pays où des gens sont tués pour avoir prononcé le nom de Jésus-Christ, cependant dans ton pays la liberté de religion est permise, mais malgré cela tu ne prêches pas Christ.
👉La pornographie est entrain d'envahir tous les réseaux sociaux, et des fois tu te rinces l'œil, des fois au lieu de PARTAGER massivement les messages qui t'ont béni et ont parlé à ton âme tu trouves bon de publier des bêtises, publier ta dernière veste/robe, chaussure, tu créés même des pages et fais des vidéos pour enseigner le make up au lieu de prêcher Jésus-Christ.
👉LE CIEL ET L'ENFER NE SONT PAS DES FABLES !
👉NOUS SOMMES LA LUMIÈRE DU MONDE ET LE SEL DE LA TERRE, AVEC QUOI ALLONS-NOUS ARRÊTER LA PUTRÉFACTION DE CE MONDE SI NOUS RESTONS MUETS?
👉CHRIST NE NOUS A PAS SAUVÉ POUR RESTER SEULEMENT DANS LES 4 MURS DE NOS ÉGLISES, MAIS POUR ALLER AUSSI PORTER LA BONNE NOUVELLE AUX ÉGARÉS.
👉UN CHRÉTIEN QUI NE PRÊCHE PAS CHRIST AUX AUTRES DOIT ARRÊTER DE VIVRE !
👉SI TON FACEBOOK, WHATSAPP... ETC NE PRÊCHENT PAS CHRIST, FERME TON COMPTE, CAR TU GASPILLES L'ARGENT DE DIEU, ET TU GASPILLES DU TEMPS PRÉCIEUX.
👉Dieu te donne encore une chance.
👉Ne laisse pas ce monde faire taire ta foi en Jésus-Christ !
👉Ton plus grand ennemi n'est pas celui qui te critique, qui t'injurie, qui créé des fausses rumeurs sur toi... Ton plus grand ennemi c'est celui qui t'empêche d'être dans la présence de Dieu. Car manquer Jésus-Christ, c'est tout manquer.
👉Fais de l'Éternel tes délices, focalise-toi sur Lui seul, et le bonheur sera ton partage !
👉CHACUN RENDRA COMPTE AU DERNIER JOUR...
👉TRAVAILLONS À NOTRE SALUT AVEC CRAINTE ET TREMBLEMENT.
👉FAISONS TOUTES CHOSES POUR LA GLOIRE DE DIEU, SANS MURMURES NI HÉSITATIONS, AFIN QUE NOUS SOYONS IRRÉPROCHABLES ET PURS, DES ENFANTS DE DIEU IRRÉPRÉHENSIBLES AU MILIEU D'UNE GÉNÉRATION PERVERSE ET CORROMPUE, PARMI LAQUELLE NOUS BRILLONS COMME DES FLAMBEAUX DANS LE MONDE, EN PORTANT LA PAROLE DE VIE.
👉QUE DIEU VOUS BÉNISSE !!!
Bien-aimés, veuillez partager massivement ce message dans les groupes et abonnez-vous à notre page Romeo Sewanou pour ne rater aucune de nos prochaines publications. Maranatha!!!
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Nul titre est convenu
Il y a des mots impossibles à dire, peu de mots peuvent définir ce que je ressens à ton égard. Les mots de sont guère assez puissant pour te dire à quel point tu es une personne admirable et à quel point je trouve que tu es une personne magique. Le bonheur que tu distribue sans attendre quoi que ce soit, ta force d'esprit et ta combativité. Ta vie et ton rythme forcent le respect, tu arrives à trouver du temps pour les gens que tu aimes alors que tu n'as pas une seconde à toi. Je ne sais absolument pas comment tu fais, tu parles d'organisation, mais je vois clairement une héroïne quand tu es toute à côté de moi. Je me demande bien quelle chance ou quel ange m'a mis sur ta route, toi qui est arrivée comme une flèche en plein cœur ! Tu étais tant inattendue, improbable et inatteignable. Le fait de venir te voir régulièrement, voir ton sourire et entendre ta voix me comblait jusqu'au lendemain, ma surcharge pondérale te remercie d'ailleurs.
Te retrouver par hasard a été le plus beau moment de mon début d'année, ton regard me transperce de part en part, ton odeur me transporte, ta voix et ton rire me font arrêter le temps, tes baisers me font voyager. Mon cœur tangue à chaque contact de nos peaux, mon désir est un brasier de sensations pures et intactes de te faire oublier le temps et l'espace. Je perds la notion du temps en ta compagnie, je pourrais passer des nuit juste à te regarder me sourire et rire à gorge déployée.
Tu es un chef d'œuvre, ta voix est une douce mélodie, tes histoires sont les plus beaux des récits, ton rire respire le bonheur, ton corps est une œuvre d'art, ton regard arrête le temps.
Je pourrais y prendre goût à tout ça, toi pour qui j'éprouve un immense respect et une magnifique admiration, je pourrais bien y prendre goût, de te découvrir à chaque instant, de découvrir ton âme et ton corps. Je pourrais prendre goût à tous ces intenses moments, je pourrais prendre goût à aimer de nouveau, je pourrais bien prendre goût à construire à nouveau, prendre goût à t'aimer et t'elever au dessus des nuages.
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omblea-blog · 7 years ago
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L'amour engendre la jalousie ... Et la jalousie parfois donne naissance à un autre amour
Bonjour, je voudrais avoir un avis sur une fanfictions, c'est juste un brouillon pour le moment certaines choses risquent d'être modifiées. Je voudrais savoir si les dialogues sont compréhensibles et si on comprend qui parle sans trop chercher ainsi que si vous relevez des incohérences, sur ce bonne lecture :) et merci d'avance ^^
▶◀-> titre des chapitres
▶Cœur brisé et rencontre ◀
-PDV Frisk-
Cela fait plus de deux semaines que la barrière est détruite, mais les monstres ont décidé de rester dans l'underground devenu leurs maisons depuis des centaines d'années ... Tous le monde est heureux, dans mon cas je suis tombée amoureuse de cet idiot de Sans, avec ses stupide blague nul mais tellement rigolotes, cet idiot de Sans qui ne semble pas le remarquer malgré tous les signes que je lui envoie, cet idiot tellement mignon ... Protecteur... Doux...ma seule peur est sa proximitée entre lui et Maman Toriel... J'espère que c'est juste de la paranoïa... enfin bref je m'égare ! Aujourd'hui j'ai rendez vous avec Sans chez Grillby je suis tellement contente que je ne tiens plus en place !
J'entra donc et remarqua que maman était également présente, à rigoler avec lui... J'aime pas ça... Je veux partir ... Mais je ne peux pas ! *DÉTERMINATION*
Ils ne m'avaient même pas remarqué trop occupé à rigoler... Si seulement elle n'existait pas ... Allez ... inspire, expire et c'est partie !
-Bonjour Gillby !
L'homme de feu me salua ,Sans et Maman me remarquèrent ENFIN ... mais se lancèrent des regards doux en se tenant pas la mains... Pitié... Tous mais pas ça ... essayons de garder un aire joyeux...
- Bonjour mon enfant ! Dit Toriel qui semblait rayonnante
- ‎sup' kiddo, ça va ?
- ‎hey! :) Bien et toi ? tu voulais me dire quelque chose Sans ?
- nous oui ... Mais tu es sur que ça va gamine ?
Rah! Pourquoi Sans arrive à tous déceler ?! Attention "nous" ? je ne me suis adressée qu'à toi Sans ! Mon sourire devint de plus en plus forcé.
- mouais... En faite on voulait t'annoncer que ta mère et moi on allait ...
- ‎SE MARIER! Finir les deux en cœur en se lançant des regards amoureux.
Et voilà j'en étais sûr ... Mon sac tomba dans un bruit sourd de craquement, surment mon téléphone ... Mais actuellement cela ne m'inporte peu... Les larmes menaçaient de couleur à tous moments, mon regard se chargea de haine quand cette sale b*tch me regarda à nouveau heureuse... Si seulement elle n'avait jamais existée... Si seulement elle pouvait MOURIR ! Il semblerait que mon regard ai bien refroidit l'ambiance car ceux qui avaient commencé à féliciter le couple se turent et ce f*cking couple me regarda inquiét. Seul le barman qui connaissait mes sentiments pour le squelette ,ne faisant que regarder depuis le début, me faisait par moment des regards qui se voulait rassurant.
- ho... Je vois... alors je vous souhaite le bonheur, maintenant si vous le permettez j'ai un truc dernière minute à faire avec papyrus ...
J'eu du mal à dire un mot en retenant ma haine et ma tristesse, puis je partie en courant vers là où me guidera mes jambes, derrière je pouvais les entendre dire mon nom mais je ne pris même pas la peine de me retourner.
Après avoir fuit Snowdine j'arrivai à Waterfall, puis me posa contre un mur pour reprendre mon souffle, avant de m'écrouler au sol... Sans... Aime maman... Sans aime maman, sans aime maman ... non c'est pas possible ! Ça doit être un cauchemar ! Une larme commença à couler... doucement... Mais sûrement. Puis une deuxième suivi par une troisième. Je fis de mon mieux pour ne pas fondre en larme. Soudain des bruits de pas ... Et mon nom hurlé... Sans, Maman,Papyrus et ...Undyne? À ouais c'est vrai que papyrus été en plein entraînement avec Undyne... Sans ... À sa simple pensée les larmes préfère ma piètre détermination actuelle... Malheureusement au lieu de s'éloigner les pas se rapprochèrent...je pus entendre une bride de leurs conversations
- Sa-sans ... Qu'est-ce que je dois faire ? Elle est peut être blessée! Où alors pire elle pourrait se faire tuer ! Essaya d'articuler maman entre deux sanglots
- ‎hey hey ! Calme toi tori ! La gamine va bien j'en suis sur ! On va la retrouver ! La rassura Sans
La cupabilité commença à me ronger jusqu'à la dernière phrase de Sans qui me ramena officiellement à la réalité
- mais pourquoi est-elle parti ? Est-ce qu'elle me déteste ?! Paniqua Toriel
- ‎Mais non voyons ! Tu as toujours été là pour elle ! Je t'assure que tout va bien mon cœur ! D'abord calme toi !
"Mon cœur"... Alors ce n'était pas un cauchemar ... Mince ! Ils sont justes à côté ! Dans la panique je regarda autour de moi et remarqua une porte qui n'avait jamais été là dans aucun des resets précédent. Sans réfléchir je passa la porte, ne pouvant me retenir plus longtemps je fondi en larme en appelant désespèrément Sans ... personne ne vint...mais quelqu'un m'observais silencieusement.
▶ L'homme qui parle avec les mains◀
-PDV ???-
Alors que je passais mon temps comme d'habitude le bruit d'une porte claquante derrière mon dos me fit sursauter, puis des sanglots... Attend ... Des sanglots ? Ici? Je me retourna et vit une personne repliée sur elle entraîne de pleurer, alors que j'allais m'approcher la personne releva la tête le visage rougit par les larmes... Mais je la connais elle ! C'est l'humaine qui possèdent la détermination ... Que fait-elle ici ? Comment est-elle entrée? Elle me regarda apparement choquée de voir quelqu'un ici ... Juste de la surprise et de la confusion dans ses yeux... Aucune peur , intéressant ...
- heu... Escusez moi ... De vous avoir dérangé je vais repartir...
Elle se releva et s'approcha de la porte mais je la bloqua
- ☠⚐☠ ☠⚐☠ 👍–
Je me tus en me disant qu'elle ne comprenez peut être pas le Wingdings... Bon ça va faire longtemps que je n'ai pas parlé normalement...
-‎Non non ce n'est rien jeune fille que se passe-t-il pour qu'autant de larme coule sur votre visage ?
- ‎ho ...heu ...rien !
Elle essuya ses larmes et me sourie timidement, hum... Surment un chagrin de cœur ...
- Puis-je vous poser une question ?
- ‎Tu viens juste de m'en poser une jeune fille. *ricane*
- ‎A oui en effet ! *Petit rire gêné*
- ‎Mais sinon qu'y a t-il ?
- ‎Où somme nous?
- ‎Actuellement dans le void mais dit moi comment à tu fait pour entrer ici ?
- ‎J'ai passer une porte, répondit-elle naturelle .
- ‎Une porte? Aussi simplement ? *Rigole* quel est ton nom?
- ‎Frisk Dreemur ! Et vous monsieur ?
- ‎Moi? Hum ... Appel moi Gaster
- ‎D'accord monsieur Gaster !
- ‎Gaster ira très bien jeune fille
- ‎D'accord Gaster.... Hum? Gaster ? Gaster ....
La dénommée Frisk semblait dans une intense réflexion
-oui?
-‎ho ! Heu escusez moi c'est juste que je suis d'avoir déjà entendu votre nom quelque part ... D'autant plus que vous êtes également un squelette tous comme Papyrus et Sa-Lui.
Au moment où elle a prononcé le nom de Sans son expression s'est assombri, comme si elle allait à nouveau pleurer. Je ne sais pas ce qu'il me prit, mais je ne pus m'empêcher de la prendre dans mes bras, ce qui sembla la surprendre aussi mais contre toute attente au lieu de chercher à s'échapper elle se lova contre moi et recommença à pleurer... Bon bah je suppose que je vais devoir attendre qu'elle se calme...
- I-il est parti avec ELLE ! Je le connais depuis beaucoup plus longtemps qu'elle !!! C'est à moi qu'il a souris en premier ! S'est moi qu'il a protéger en premier ! Je l'aime depuis plus longtemps qu'elle !! J'aurai préféré quelle ne soit pas la ! Qu'elle n'ai pas existé ! QU'ELLE MEURE!!!!! Pour lui je suis juste une enfant ... Je ne suis pas une enfant... MERDE ! j'ai quasiment 17 ans !
Hum... Donc c'était bien un problème de cœur... Elle doit vraiment l'aimer ... Stupide Sans ... Je poussa un soupir de désespoir et lui caressa doucement les cheveux pour l'aider à se calmer, ce qui marcha apparemment car elle s'endormit rapidement. On dirait un bébé ... C'est mignon.
Pour plus de confort je comptais la poser au sol, mais apparemment la miss à décidé de ne pas me lâcher, après un certain temps je dus finalement me résoudre à la réveiller
- Debout jeune fille tu dois partir ... Le temps s'écoule différents entre ici et ton lieu d'originew ici le temps ne s'écouler pas, tu as passé trois heures de chez toi ici, tu dois rentrer maintenant
- D'accord... Fit elle d'une voix endormie
Voyant qu'elle ne bougeait pas je du me résoudre à bouger, une fois devant la porte je la déposa.
- Allez ! Cette fois tu dois vraiment y aller !
- ‎Dites Gaster ... Je pourrais revenir ?
- ‎Je suis pas sûr que ce soit bon de perturber plus que ça cette Time line mais si cela te fait plaisir ...
- ‎Dans ce cas je reviendrai, à la prochaine fois...
En disant cela elle m'offrit un beau sourire à moitié endormi, avant de passer la porte
- C'est ça, à la prochaine fois...
Mais quand sera la "prochaine fois" ?
-PDV Frisk-
Alors que les larmes coulaient abondement le long de mes joues un bruit me fit sursauter ils y avait quelqu'un ?!
Je relevait la tête et je remarqua enfin la grande pièce vide et blanche avec une personne au milieu me regardant curieux ... Mince ! Il y avait quelqu'un ! Quelle honte !!! Quelqu'un m'a vu pleurer !
- heu... Escusez moi ... De vous avoir dérangé je vais repartir...
Je me releva en vitesse vers la porte mais une masse noir se plaça devant la porte.
- ☠⚐☠ ☠⚐☠ 👍-
Hein? C'est quoi ces mot bizzare ? Il me semble familier pourtant...
- ‎Non non ce n'est rien jeune fille que se passe-t-il pour qu'autant de larme coule sur votre visage ? Fit une voix dans mon dos.
Ne pense pas à Sans, ne pense pas à Sans ...
- ‎ho ...heu ...rien ! Dis-je en essuyant les larmes restante avant de lui sourire
Mais enfaite... Je suis où moi? Il n'y a que du blanc ici ... C'est juste une grande salle vide...
- Puis-je vous poser une question ?
- ‎Tu viens juste de m'en poser une jeune fille *ricane*
- ‎A oui en effet ! *Petit rire gêné*
- Mais sinon qu'y a t-il ?
- ‎Où somme nous?
- ‎Actuellement dans le void mais dit moi comment à tu fait pour entrer ici ?
Le quoi ? ... je demanderai à Alphys plus tard ...
- ‎J'ai passer une porte répondis-je naturelle .
- ‎Une porte? Aussi simplement ? *Rigole*
Bah quoi ? J'ai dit une bêtise ?
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christian-dubuis-santini · 3 years ago
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La doctrine raciale des nazis a forgé le concept de «Aufnorden» [rendre plus nordique). A-t-elle réussi à donner à l'Allemagne et au peuple allemand le caractère nordique de l'origine idéalisée? Cela allait de noms de lieux débaptisés aux lois sur la «protection du sang allemand», en passant par le Lebensborn (association fondée en 1935 qui pratiqua l'«élevage» d'enfants allemands pour rendre les Allemands plus nordiques). Cette question est en dehors de mes compétences. Mais elle a certainement fini par rendre les Juifs plus juifs [Aufjudung] - et même ceux qui s'en défendaient. On était complètement incapable (d'enlever les lunettes juives, on voyait chaque événement, on lisait chaque communiqué, chaque livre, à travers elles. Sauf que ces lunettes n'étaient pas toujours les mêmes. Au début, et pendant très longtemps, leurs verres nous avaient fait voir les choses en rose. «Ce n'est pas si grave que ça !» Combien de fois ai-je entendu cette tournure réconfortante lorsque je prenais trop au sérieux les victoires et le nombre de prisonniers annoncés dans le communiqué de l'armée ! Mais ensuite, quand la situation s'aggrava (pour les nazis, quand ils ne purent plus voiler leur défaite, quand les Alliés se rapprochèrent des frontières allemandes et les franchirent, quand les unes après les autres, les villes furent écrasées par les bombes ennemies -seule Dresde semblait tabou-, à ce moment-là justement, les Juifs changèrent de verres. La chute de Mussolini avait été le demter événement qu'ils avaient vu avec les anciens verres. Comme la guerre cependant se poursuivait, leur confiance fut brisée et se transforma en son extrême opposé. Ils ne croyaient plus à une fin prochaine de la guerre, ils croyaient, contre toute évidence, le Führer doué de forces magiques, plus magiques que celles auxquelles croyaient ses adeptes tes devenus chancelants.
Nous étions assis dans la cave des Juifs de notre maison de Juifs, qui comprenait aussi une cave d'Aryens particulière; c'était peu de temps avant le jour de la catastrophe de Dresde. Assis, nous attendions, plus ennuyés et frigorifiés qu'effrayés, la fin de l'alerte maximale.
Nous savions par expénence qu'il ne nous arriverait rien, sans doute l'attaque visait-elle la ville de Berlin, alors martyrisée. Nous étions moins déprimés que cela ne nous était arrivé depuis longtemps; l'après-midi, ma femme avait écouté Londres chez de fidèles amis aryens; de plus, et surtout, elle avait eu connaissance du dernier discours de Thomas Mann, un discours sur la victoire, un discours beau et humain. En général, nous ne sommes pas convaincus par les sermons, d'habitude ils nous parlent de «sang pur» et, à partir de 1941, le rapt en vue de la «germanisation», dans les territoires occupés, d'enfants «de grande valeur raciale») nous mettent de mauvaise humeur -mais celui-ci était vraiment exaltant.
Je voulus partager un peu ma bonne humeur avec mes camarades d'infortune, je m'approchai de tel et tel groupe: «Avez-vous déjà entendu le bulletin d'aujourd'hui? Connaissez-vous déjà le dernier discours de Mann?» Partout, je me heurtai à un rejet. Les uns craignaient les conversations interdites: «Gardez ça pour vous, je n'ai pas envie d'aller au camp.» Les autres étaient amers: «Et même si les Russes sont aux portes de Berlin, dit Steinitz, la guerre va encore durer des années, tout le reste n'est qu'optimisme hystérique.»
Pendant tant d'années, chez nous, on avait divisé les hommes en optimistes et en pessimistes comme en deux races. À la question: «Quel genre d'homme est-il?»,on recevait invariablement cette réponse: «C'est un optimiste» ou «C'est un pessimiste», ce qui, dans la bouche d'un Juif, était naturellement synonyme de:«Hitler va tomber d'ici peu» et «Hitler va tenir bon». À présent, il n'y avait plus que des pessimistes. Mme Steinitz renchérit sur les paroles de son mari: «Et même s'ils prennent Berlin - ça ne changera rien. Alors la guerre se poursuivra en Haute-Bavière. Encore trois ans au moins. Et à nous, ça peut bien nous être égal qu'elle dure encore trois ou six ans. De toute façon, nous n'y survivrons pas.
Mais jetez vos vieilles lunettes juives à la fin !»
Trois mois plus tard, Hitler était un homme mort, et la guerre était fmie. Mais il est vrai que le couple Steinitz n'a pas pu le voir et bien d'autres non plus, qui jadis étaient assis avec nous dans la cave des Juifs. Ils sont ensevelis sous les décombres de la ville.
(Victor Klemperer - LTI, La langue du IIIe Reich)
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claudehenrion · 7 years ago
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Noël, c'est mieux avec ou sans Dieu ?
  Noël, mot galvaudé s'il en fut, est devenu synonyme de “n'importe quoi”, ce qui veut dire tout, mais surtout… plus rien ! Ce mot a toujours évoqué la naissance d'un enfant dans une crèche, incarnation d'un Dieu qui a aimé ‘’son’’ humanité au point de se faire homme, pour la sauver d'elle-même… Plus récemment, c’est Sainte Consommation qu’on fête, ni vierge, ni martyre, en théorie païenne, mais en pratique paillarde. En cette période qui a gardé son nom d'avant, l'Avent, est-il possible d'espérer encore… ou faut-il déjà redouter le pire devant les comédies tragiques où se perdent ceux qui demandent à des tribunaux des raisons, toutes déraisonnables, de détruire la vie en société ? La France est rongée, “paumée” par des extravagances mortifères, indignes d'elle, sur ce qui touche au “religieux”…
   Que l'on croie en quelque chose de “non exclusivement rationnel” ou que l'on dise ne croire en rien (ce qui est encore plus irrationnel, puisque c'est inconcevable !), la naissance d'un petit enfant juif, dont l’Histoire a conservé la trace, a ‘’secoué’’ l’humanité : vingt siècles plus tard, on comprend que cet événement, le plus important de tous les temps, a ébranlé le monde romain, polythéiste, a marqué le monde juif, monothéiste, mais a aussi guidé la suite des siècles, jusqu’au nôtre, imbu de sa pauvre technique et de son savoir en miettes, loin d’avoir tout compris. 
  Pour les chrétiens comme pour tous les hommes qui se souviennent encore de temps pas si lointains où les mots avaient un sens (chacun le sien, précis, fidèle, inaltérable), Noël est une fête religieuse… Pour d'autres, qui ont préféré plein de symboles païens (un beau sapin, un gros Père Noël, et des cadeaux à en mourir), c'est “la fête des enfants”, ce qui est mieux que rien… Car d'autres encore ont volontairement perdu ce qui qui faisait d'eux des “Hommes” (c’est à dire : des animaux… dotés d'un besoin ontologique “d'autre chose”. NDLR), et ceux-là croient pouvoir se libérer des limites de leur condition humaine dans la démesure, les excès et la boustifaille. Noël, pour eux, est un rite annuel dont ils ont égaré le sens et la raison d'être : ils font la fête, mais ils ne savent plus pourquoi… Ah ! Les nuls !
  Seule parmi les nations civilisées, la France a rétrogradé la “douce Nuit” de Noël au rang d’orgie athée (militantisme oblige). Mais comme il est impossible pour l'Homme de vivre sans “quelque chose de plus grand que lui”, il a fallu ressortir de la naphtaline les antiques “Saturnales”, nos “Fêtes de fin d'année”, qui sont parfois devenues la “fête des fins damnées” !  Au nom du progrès et de la nouveauté (sic !) et en souvenir de l'improbable “déesse Raison” (1793), on prétend remplacer une explication du monde qui avait fait ses preuves par un néant qui ne peut rien donner de bon… et on tente de justifier cet échec sans appel par des dindes farcies, du foie gras et des marrons glacés ! Le niveau artistique et poétique de l’événement le plus important de l’Histoire est-il sorti grandi de la transformation en fête athée (dite laïque) de ce qui était une fête religieuse –ce qu’elle est à jamais, dans son essence sinon dans son existence ? Pour faire oublier ce gâchis, il faut au moins des soldes d’hiver et des galettes des Rois (on a oublié pourquoi ce nom !)  
  Entre la folie meurtrière d'un islam perverti et la haine destructrice d'une laïcité tout aussi pervertie, c'est l'existence-même des chrétiens qui semble être un danger (eux, un peu partout, sont en danger !)… et provoquer des prurits sur des enfants perdus des “Lumières” qui confondent “laïcité” et  “athéisme” et qui rejettent tout ce qui leur paraît relever du “non-rationnel”… comme si quoi que ce soit, sur terre, ressortissait de la raison pure : laïcs, ils doivent respecter la séparation de l'église et de l'Etat (c’est ce que font la chrétienté et le judaïsme, respectueux de la Loi, et qui sont donc irréprochablement ‘’laïcs’’, eux !).                     Mais au nom de quoi des ayatollahs d'un laïcisme réinventé et en guerre font-ils de ce principe (qui se comprend), un combat contre toute forme d'irrationnel qui les dérange au nom d'un irrationnel plus grand encore, mais qui leur convient ?
  Au nom de la tolérance, des groupes d’intolérants ont demandé à Dieu de ne plus se montrer en public et de ne plus faire tinter les cloches : “ça pourrait heurter des gens”, nous expliquent-ils sans rire… à la différence, sans doute, des prières de rue et les ridicules burkinis, ’‘qui sont culturels”. Ces idiots inutiles demandent à des juges (incultes en la matière mais syndiqués à gauche) de dire, en droit, si la naissance du Christ a eu lieu ou non dans une crèche (’’culturel’’/‘’cultuel’’) !       Un néo-athéisme fondamentaliste refuse un Dieu dit indémontrable et une religion réputée par eux seuls factice, imposée, et trop structurée… Mais c'est pour mettre à leur place la Raison divinisée et une iso-religion tout aussi indémontrable, tout aussi factice, imposée par la force, et structurante plus encore que structurée…          Le fanatisme laïciste que nous avons laissé s'installer n'a même plus conscience que les humains ont un besoin essentiel de transcendance pour être pleinement Hommes —physique et métaphysique, esprit et âme, raison et foi, physiologie et ADN, inné et acquis, réel et rêve, histoire et présent, “soi-pensée” et conscience de ce “soi’'… ce que confirment aujourd’hui les neurosciences… Quel gâchis !
  On va m’opposer que bien des hommes vivent sans aide de nature religieuse, et on aura raison : il y a peu, nous avons même eu un Président qui était fier de son indifférence à toute référence chrétienne… jusqu’au jour où il a eu besoin de la culture et de la foi d'un Jean Guitton pour franchir le cap si difficile de la maladie sans espoir : le besoin d’une lumière qui brille pour nous, très loin dans la nuit, mais qui ne sera pas éteinte lorsque nous l’atteindrons, devient criant dans les moments où nous nous retrouvons seuls avec nos angoisses !      Cette absence visible de Dieu chez certains (sont-ils plus heureux ?) est vraie, mais il faut dire à ceux qui l'invoquent que plus nombreux encore sont ceux qui vivent démocratiquement et dans une paix sociale au moins égale à la nôtre sans avoir à de se référer à une ’'Loi” pour séparer l'Eglise et l'Etat’’, (NDLR : alors que les Etats au moins aussi démocratiques que le nôtre ne manquent pas, il n'est pas facile d'en citer un seul qui ait été tenté de suivre cette démarche si clivante !).
  On a beau nous seriner le contraire (dans l'espoir de nous convaincre que c'est vrai ?), personne, hormis quelques poignées de gauchistes français, n'a besoin d'une telle loi, qui a été tripotée et modifiée plus de 50 fois en 112 ans –cf. Emile Poulat, Laïcité à la française - Fayard, 2010– alors qu'on nous raconte qu'elle ne doit être modifiée en aucun cas (les ‘’gauchos’’ nous prennent pour des cons !).        Concept honteusement confiscatoire à l’origine, ce n'est plus aujourd'hui qu'une idéologie liberticide et clivante… Et en plus, on sait depuis peu que son hostilité assumée et illimitée à la chrétienté (surtout catholique) a pour résultat démontré d'ouvrir toute grande la porte à la version la moins recommandable de l'Islam…
  Alors ? Dieu : avec nous, ou contre nous ? Et nous ? Avec, ou contre Lui?  Si, depuis quelque 3 siècles, les usines à gaz concoctées par l'humanité sans espoir avaient offert une alternative réelle, cela se saurait, et cette question serait inutile ! Qui plus est, dire, comme certains : “je ne crois pas en Dieu”, c’est admettre Son existence… en affirmant une posture personnelle par rapport à Lui.            Et enfin, s'il faut vivre avec notre temps, où tout va si vite, les “avancées” récentes de la science posent que “Dieu n’est plus seulement la conséquence d’une foi héritée d’ancêtres trop crédules, mais la conclusion de références enrichies par les progrès les plus récents des sciences” (cf. Yuval Noah Harari, Homo deus, 2017… et aussi, dans ce “Blog”, les 12 “billets” ( du 26 nov. au 17 déc. 2016) : les dernières avancées de la science sur les récits bibliques et la Révélation christique).
  Pour son malheur et le nôtre, la France est dirigée par des cuistres qui ignorent tout de notre culture judéo-chrétienne et notre histoire ! C'est grave, mais peut-être moins que le vide culturel qui accompagne cette vision des choses : se cachant derrière des problèmes qu'ils ne savent déjà pas résoudre (chômage, immigration, sécurité, éducation, économie), ils espèrent s'en sortir en donnant une mauvaise réponse à une question qui ne se posait pas. Mais être laïc n’est pas être athée !    Leur bêtise coupable, inexcusable, a fait perdre son sens à Noël, qu'ils ont remplacé par… un RIEN majuscule, sans profit pour personne. A nous de réagir, individuellement et collectivement, contre cette faute monstrueuse. Même si “une hirondelle ne fait pas le printemps” (pas plus qu'un sapin ou la suppression d'une crèche ne fait Noël), et si nous pouvons oublier un instant les menaces de la “Oumma” (= le monde musulman), osons fêter la Nativité comme elle le mérite. Ce petit début vaut mieux que leur néant systémique ! Joyeux Noël !
Voici revenu le temps des vacances scolaires, ce temps où, par convention, nos chemins, sans se séparer, vont un tout petit peu s'écarter  : mes journées vont se passer sans vous, et j'en suis triste par avance. J'espère vous retrouver en grande forme le mercredi 10 janvier 2018..(A vos agendas, pour reporter cette date !).
H-Cl
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afirstdraft-blog · 7 years ago
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Chronique #03 : A Court of Thorns and Roses
“There are those who seek me a lifetime but never we meet, And those I kiss but who trample me beneath ungrateful feet. At times I seem to favor the clever and the fair, But I bless all those who are brave enough to dare. By large, my ministrations are soft-handed and sweet, But scorned, I become a difficult beast to defeat. For though each of my strikes lands a powerful blow, When I kill, I do it slow... ”
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Auteur : Sarah J. Maas
Editions : De la Martinière jeunesse.
Nombre de pages : 528.
Genre : Fantastique.
Date de parution : 9 février 2017.
Résumé : En chassant dans les bois enneigés, Feyre voulait seulement nourrir sa famille. Mais elle a commis l'irréparable en tuant un Fae, et la voici emmenée de force à Prythian, royaume des immortels.Là-bas, pourtant, sa prison est un palais magnifique et son geôlier n'a rien d'un monstre. Tamlin, un Grand Seigneur Fae, la traite comme une princesse. Et quel est ce mal qui ronge le royaume et risque de s'étendre à celui des mortels ? A l'évidence, Feyre n'est pas une simple prisonnière. Mais comment une jeune humaine d'origine aussi modeste pourrait-elle venir en aide à de si puissants seigneurs ? Sa liberté, en tout cas, semble être à ce prix.
A Court of Thorns and Roses, c'est un sombre conte dans lequel l'auteur nous fait découvrir un monde où Faes et Humains vivent totalement séparés, ces derniers terrorisés par ceux qui étaient autrefois des monstres, des tyrans... des centaines d'années auparavant.
J’ai lu ce livre très vite. J’ai été happée par ma lecture après la barrière des cent premières pages. Feyre m’a transporté dans ses aventures et je n’ai plus décroché jusqu’à la dernière page. Les personnages sont tellement bien développés qu’on a l’impression de les connaître depuis des années. On connaît leur passé, on devine leur doutes et on est envoûtés par leur charme. J’ai adoré Feyre, même si elle m’a agacé parfois, Tamlin évidemment et Lucien,   le meilleur ami de Tamlin, ses piques et son humeur assez changeante. J’ai également beaucoup apprécié le personnage de Nesta (sans doute à la grande surprise de tous), la soeur de Feyre qu’on pourrait adorer détester mais qu’on apprend à découvrir au fur et à mesure du roman. Feyre est une héroïne sensible, intelligente et courageuse. Elle va peu à peu découvrir que tout ne va pas pour le mieux dans le monde des Faes. Des monstres traînent dans les bois, la magie n'est plus ce qu'elle était, et Tamlin... le beau et mystérieux Tamlin... cache de nombreux secrets. Par contre, j’ai détesté Rhysand dès la première ligne, alors il me tarde d’apprendre à le connaître un peu plus dans les prochains tomes.
L’univers paraît simple, mais on comprend au fil des pages qu’il est plutôt complexe. Le premier tome le présente tout au long du roman et même dans les derniers chapitres, on en apprend encore sur le monde des Immortels. Il faut dire que  la première partie de ce premier tome est vouée à une sorte de réécriture de La Belle et la Bête. Cependant, c’est tellement plus que cela ! Passé la moitié, on tombe dans un suspense haletant, des jeux de pouvoirs et on rencontre beaucoup d’autres personnages.  En effet, l’histoire prend un tout autre tournant. L’action se précipite, les révélations s’enchaînent, et nous sommes pris dans un tourbillon qui nous empêche de refermer ce livre avant la fin. Moi qui ne suis pas toujours fan des réécritures de contes (ayant été déçue par les Chroniques Lunaires) je suis vraiment conquise par le monde de Sarah J. Maas. Concernant la plume de l’auteur, je dois avouer qu’au début, j’ai eu du mal à rentrer dans l’écriture. Le vocabulaire était parfois assez lourd, mais je me suis vite habituée et j’ai appris à apprécier cette plume.  J’ai été globalement très surprise par le dénouement, les parallèles entre l’histoire et le conte original qui sont très bien trouvés, mais aussi par la fin (OMG CETTE FIN PLEASE). En refermant ce livre, je me suis sentie comme abandonnée par des personnages que j’avais appris à connaître, à aimer.
En conclusion, ce premier tome a été un véritable coup de foudre pour moi. Que cela soit grâce à son côté réécriture de conte ou son deuxième aspect davantage axé sur les jeux de pouvoirs et l’univers magnifique imaginé par l’auteure, ce livre est une pépite, avec un univers envoûtant et des personnages plus que réels. Et sachez déjà que le deuxième tome sortira en février 2018 en français, alors vous n’avez aucune excuse pour ne pas vous lancer ! 
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arnaudecours · 7 years ago
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extrait de Julien...
Paris, Le 22 mars 1990, 22h00
 Maman,
Julien m’a demandé de t’écrire. C’est toi qu’il réclamait. Après tout ce qui s’est passé, je le fais pour lui, un peu forcé par le destin.
Mon frère est mort.
Je veux te dire ici quel être lumineux il a été jusqu’au bout. Je l’ai aidé à partir en paix, je crois. Ces derniers temps nos discussions revenaient à l’enfance. C’est normal dans son état, je suppose. Tu sais, il vous avait pardonné, au fond, il s’en foutait. C’est comme s’il avait gommé les rancœurs ; il voulait garder un coté lisse des choses. J’en étais un peu surpris au départ, puis je l’avais encouragé à retrouver cette voie du bonheur perdu.
Mais je t'écris surtout sous l'impression du moment ; une impression complexe où toute mon énergie s'engouffre dans l'urgence du besoin vital d'écrire. Car Julien est parti en me laissant le plus beau des cadeaux ; il savait quel serait mon découragement et mon impossibilité à communiquer après sa disparition, tant les épreuves traversées ces derniers mois furent âpres. Alors, il a trouvé le moyen de transcender la mort et d'une certaine façon de rester présent. Après ce que je viens de lire et de relire la journée durant, J'éprouve ainsi le sentiment profond de prolonger le vivant de mon frère, et je me dis que c'est la vie qui compte.  Ce matin, comme je finissais de vider la chambre de Julien, j'ai découvert un petit trésor glissé entre deux livres. C'est un cahier bleu assez mince qui s'intitule : "coffee break, souvenirs de vie". Après l'avoir feuilleté, stupéfait, je me suis d'abord demandé comment il avait pu dissimuler pareille entreprise. Ces derniers mois je voyais mon frère tous les jours à heures plus ou moins régulières et je n'ai pas eu le sentiment de le déranger une fois ou l'autre. Ensuite, ces pages récentes tranchent avec sa souffrance et sa déchéance ; le style enjoué assume une autre identité, celle de la jeunesse passée, ce moment où l'on est en train de devenir un homme, sans avoir encore basculé dans la tragédie qui fut la notre. Ce n'est donc pas vraiment un journal intime. Quelques dates y figurent. Mais c'est plutôt le recueil pelle mêle des impressions et souvenirs heureux de Julien depuis l'enfance. Je suis bouleversé par son courage et suis assailli par une multitude d'émotions. Comment de si jolies pages peuvent remonter alors que la jeunesse continue de saigner. Je ne peux me l'expliquer, dans ce contexte, que par la souffrance du manque de l'enfance à une heure aussi grave, plutôt que par une quelconque volonté d'ignorer ou feindre d'ignorer ce qui allait lui arriver.
Comme il serait honteux de ma part de ne pas t'écrire. Et puis, être seul avec Julien et le voir jour après jour est une expérience extraordinaire qui va me faire un bien fou. Je tiens près de moi son petit cahier bleu. Je ne le perds pas de vue ce petit miracle ; je sens que je dépends totalement de ces effusions de pensée qui me viennent en relisant mon frère. Paradoxalement, si la souffrance que me cause la disparition de Julien est incalculable, inacceptable et inexplicable sur le papier, le petit cahier bleu compose dans mon esprit une fête ininterrompue depuis ce matin qui se mue pour moi en bonheur. Mais assez de jérémiades, d'abord parce que je n'y vois plus clair et que ma main tremble.
Ce soir, j'entreprends cette lettre avec détermination mais j'en ignore le déroulement de bout en bout. Et si l'ensemble de sa vérité m'est encore caché, je me dis qu'elle n'a de raison d'être que dans cette frange d'incertitude. Elle me permettra en tout cas de dépasser le coté morbide et désastreux de la situation, et surtout mon plus ardent désir est qu'elle réhabilite Julien dans ton amour maternel le plus sincère, ainsi qu'aux yeux du monde entier.
Julien a encaissé en même temps une rupture et le choc de sa maladie ; Romain est sans doute à l’origine des deux. Romain est touché lui aussi mais s’en tire plutôt bien jusqu’à présent. Il a une nature robuste. J’aime bien ce grand gaillard un peu dadet, qui tient plus du jeune bucheron cévenol que du titi parisien. Un gars franc et entier, tout d’une pièce. Comment imaginer notre Julien, frivole et rêveur, aux mains puissantes de cet Hercule.
Il y a près d'un an, peu après sa rupture avec Romain, mon frère a appris qu’il était malade. Il était abattu, perdu, et serai bien revenu à la maison chercher du réconfort. Il sortait éperdument. Son dernier emploi en tant que barman lui offrait des opportunités. Il écumait les bars, les boites, en quête de l’aventure d’un soir. Il évitait désormais tout attachement. Dans ses confidences, subsistaient des morceaux de souvenirs hachés liés à ses pulsions, des gouttes de sueur perlant sous une aisselle, des cheveux couleur d’ébène tombant dans des yeux trop bleus, une peau cuivrée, des mots sales, des parfums, pas grand chose.  
A cette époque, Julien venait épisodiquement chez moi. Quand j’ai appris pour lui, je savais ce que cela signifiait ; mon premier réflexe a été immédiat, instinctif et silencieux, m’emparer de lui, le garder dans mes bras, l’emprisonner, l’étreindre à n’en plus finir. Je l’ai senti frémir contre moi. Il m'a regardé. L’imminence de son visage, de toute sa jeunesse est plantée devant moi. En particulier, je me souviens de la jeunesse incroyable de son rire et j'entends les mots de son enfance : « Eh oh ! Doucement Abel, tu m’écrases, il est fragile le petit ! ». Oui, fragile et éphémère comme le parfum de sa peau. Quel bonheur! Mélange frais et suave, subtil, essence d’une vie exubérante et pressée. Depuis ce jour, j’ai pris le plus grand soin de lui.
Bien entendu, notre exil parisien nous avait déjà considérablement rapprochés ; le mot est faible. Je t'en reparlerai plus tard. Mon propos vise le début de sa maladie ; nous savions tous les deux ce que cela recouvrait, les conséquences et les échéances. Le nom de cette épidémie avait commencé à circuler dès 1981 et de nos jours le processus pathologique était bien cerné. Mais entendre sonner ces deux syllabes nous épouvantait toujours autant. Aussi, sans attendre, il y a un an, j'ai décidé instantanément de nous octroyer des moments de grande liberté et de grande intimité ; une sorte de rituel s’est donc instauré chez moi tous les mercredis soir et les dimanches midi. Il détestait les dimanches, tu te souviens ?
Julien arrivait une bouteille à la main. On la sirotait autour d’un bon plat de pâtes, le plus souvent accommodé avec courgettes et pistaches, celles qu’il te réclamait tout le temps. Il n’a pas quitté sa sale habitude de piquer dans les plats encore au feu. Bref, c’est là qu’il se laissait aller à remonter le temps, avec une précision et une mémoire du détail admirables. Bavarder ainsi me ravissait d'autant plus que je retrouvais toute mon enfance. De nouveau, il m'entrainait dans le paradis des vacances lointaines où les fantômes d'hier semblaient maintenant nous faire des signes d'amitié.
Il a toujours eu ce penchant pour la rêverie. Il faut dire que toute sa petite enfance a été placée sous l’influence du rêve. Tout jeune, les « voyages de Sindbâd le marin », « Les Mille et Une Nuits » ou « Aladin et la lampe merveilleuse » le fascinaient et le plongeaient dans un vaste firmament imaginaire. Mais il ne se contenta pas longtemps de cette rêverie passive. Une fois absorbée, Julien eut le courage de l’assumer et de la vivre. Et je retrouve dans son carnet des preuves de ce temps merveilleux. En lisant, je suis surpris d'entendre raisonner sa voix dans l'écrit aussi clairement que si mon frère était assis à mes cotés. Son style est saisissant, direct, jeune et vigoureux. Je savoure au hasard l'un des premiers passages où mon jeune fou, âgé d'une dizaine d'années songe au rêve d'Icare. Il ne m'en a jamais parlé, mais à la lecture je suis troublé et incapable de dire s'il a simplement retranscrit son rêve ou bien s'il a vécu son rêve. Et je ne comprends pas tout de suite qu'il puisse écrire avec tant de jubilation et force détails au moment le plus douloureux de sa vie perdue, d'une douleur que personne ne peut comprendre, d'une douleur qui ne se partage pas. Ce qui me rassure un peu est de pouvoir partager ici avec toi ces morceaux choisis, cet extrait que je trouve intense et poétique :     
"Je me réveille au beau milieu de la nuit. La maison est endormie. Dehors le ciel est clair, d'une clarté nouvelle. L'air vif balaie le haut de la colline et frissonne dans les herbes. J'avance nu face au vent. Je ne cherche pas à lui résister. Je suis jeune et frêle. Lui, est couleur du temps, celui qu'on espère ou qu'on redoute plus que tout. Sous ma peau, s'aiguisent, palpitent, tressaillent, mes sens alertés. Il redouble à ma vue ; je m'incline, il retient son souffle. Aucune pensée ne me retient. Je me sens libéré de mon enveloppe fragile. Je suis la feuille détachée de l'arbre. C'est le moment que j'attendais et je suis capable de tout. Je m'élance ; il se presse aussitôt dans mon dos. Plus bas, j'abandonne. Mes forces me lâchent, je défaille et me contente de glisser au dessus de lui. Il m'enlève comme un rien puis me précipite très haut sans jamais me lâcher. Il se contracte, je cabriole. J'ai soif, il m'envoie gouter à la rosée des nuages. Enfin je pique pour aller caresser les graminées. Je reviens à moi. Ma frénésie de vitesse et sa puissance m'enivrent, je chavire dans la verdure, je ris, je vole. Personne ne saura. A demain, c'est promis."
Comme j’aurai aimé que ces moments ne finissent jamais. Et comme tu aurais aimé l’écouter. Il mettait tant de cœur et de vie à tout ce qu’il faisait. Tout y passait ; il alternait entre passé et présent, joies et souffrances. Je te raconterai plus tard le Julien que tu ne connais plus, le Julien devenu homme, le Julien humble et digne que j’ai accompagné jusqu’au bout.
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futuristiclover-x · 8 years ago
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LA FONDATION DU TEMPLE.
Castelobruxo est fondé en 1753 par le couple Juarez Oribe et Alba Caldaso. Le temple était à l'origine fondé en l'honneur d'Alba – et c'est un des rares édifices construits par les natifs et non par les colons. Juarez décida d'édifier un temple à la demande de sa femme qui ne rêvait qu'à une école de magie, pour elle qui ne pouvait pas avoir d'enfants. Elle est celle qui tint par ailleurs la première place de directrice de l'École. La tradition veut désormais que le Temple soit constamment dirigé par une femme, même si les professeurs font preuve d'une plus grande mixité. Le Temple mit trois ans a être totalement construit (il revêt l'apparence d'un immense carré doré), et il accueillit ses premiers élèves Sud-Américains en 1758 – à l'aide d'un Sortilège Multilingue enveloppant le temple, chaque élève se comprend bien que venant de toute l'Amérique du Sud.
Les premiers élèves acceptés n'étaient que des natifs-Américains, constituant ce qui est nommé aujourd'hui les Trente-Cinq Familles Sang-Purs, d'origine Aztèque, Maya, ou Inca (ainsi que toutes les civiisations andines comme les Chibchas et les civilisations autochtones comme les Olmèques). Aucun colon, jusqu'à l'indépendance totale de l'Amérique du Sud (soit 1825), n'était accepté, et était systématiquement renvoyé à Ilvermorny, peu importait s'il se voyait refuser ou non. Calqué sur le modèle de Poudlard, Castelobruxo est protégé derrière un sortilège qui lui donne une apparence de bâtisse en ruine inaccessible.
Enfin, c'est encore une fois pour Alba que les maisons sont des fleurs, et non pas des animaux – pour cette femme qui était fascinée par la botanique. Les noms des maisons correspondent donc chacun à une fleur – selon le principe de classification donnée par le Ministère Britannique.
        2. L’HISTOIRE DU TEMPLE
En 1825, les enfants colons sont acceptés à Castelobruxo, ce qui amène alors une plus grande diversité. Pour autant, cela ne rompt pas le principe des familles sacrées qui continuent de s'installer au Temple. Chacune des maisons s'inscrit dans une spécialité, mais ce qui ressort du Temple est sa spécialisation dans la magizoologie et la botanique. Depuis 1912, Castelobruxo propose un programme d'échanges avec le reste des écoles dans le monde. Même s'ils sont de l'autre côté de l'Atlantique, Castelobruxo n'est pas épargnée par aucune des guerre des Sorciers, notamment parce l'ancienne Directrice Shayane Ortiz, donnera son soutien direct à Gellert Grindelwald; si le nom devient condamné au Temple par la suite, il est la source de la plus grande désertion de Sorciers, puisque tous les Nés-Moldus et les Sangs-Mêlés, ainsi que ceux qui ne supportaient pas le Mage Noir n'étaient plus acceptés au sein du Temple. C'est également donc à ce moment-là également que la plupart des élèves ont été forcés de redoubler, ou de choisir de suivre un autre cursus.
Si les liens se resserrent entre les Écoles, notamment avec Ilvermorny puisque depuis 1948 est organisé le Tournoi des Écoles d'Amérique, avec Poudlard, la situation revient au beau fixe, notamment avec la nomination de Benedita Dourado en tant que Directrice, qui instaurera de nouveaux liens avec Armando Dippet. Pourtant, ces nouveaux liens se rompent à nouveau avec la montée de Voldemort – il sera par alors supposé que le Mage Noir se serait même caché dans les recoins du Temple. À la fin de cette guerre, des dommages sont constatables au Brésil, où se trouve le Temple – puisqu'il est à reconstruire de moitié, toutes les protections ayant été abattues, et les fondations effondrées.
Pour la deuxième guerre des Sorciers, Castelobruxo est mieux préparé sur le plan des forces, mais pour autant, certains élèves, notamment issus des Trente-Cinq Familles pour la plupart, comme les Flores ou les Delgado (qui consituent, avec les Espinosa, les trois familles les plus influentes du monde sorcier sud-américain), décident de montrer leur soutien au Mage Noir, en changeant leur robe de sorcier habituellement verte en cape noir jais. Si cette révolution intérieure n'aura pas d'impacts physiques à proprement parler (on parle de quelques élèves qui ont pris la décision d'aller se battre en Angleterre, Castelobruxo n'a jamais connu de bataille), la directrice Leticia Pernasgrandes appliquera un nouveau traitement radical pour tout éléve qui montrerait un signe d'une quelconque magie noire.
            3. LA CÉRÉMONIE DE RÉPARTITION.
La cérémonie de répartition se fait au début de la première année de chaque élève, à l'âge, donc, de onze ans. Les élèves sont soumis à un parcours qui permet de tester leur traits de caractères (le courage, la loyauté, la fourberie, l'altruisme et la raison) pour déterminer la maison future. Il s'agit en réalité d'un parcours d'orientation, afin de retrouver l'entrée du temple – où sont situées les cinq fleurs gigantesques, emblèmes des maisons, ainsi que les professeurs principaux de chaque maison. Les élèves, avant d'être lancés dans le parcours, sont répartis en groupe – afin de tester notamment la loyauté et l'altruisme.  Les élèves doit traverser le Lac enchanté qui entoure le temple et échapper au Caipora. Il est possible qu'une fois arrivé devant les fleurs, plusieurs s'ouvrent (trois au maximum), auquel cas, c'est l'élève qui peut choisir dans quel maison il souhaite être intégré. Chaque élève reçoit par ailleurs une fleur miniature – enchantée et donc éternelle – qui sera le symbole de sa maison, servant de broche.
Voici la description offerte par les fondateurs eux-mêmes sur les différentes maisons :
a) LIVESTICA, et ses livesticiens.
Livestica représente les élèves les plus altruistes, et par conséquent les plus inoffensifs d'entre tous. Représentés par une fleur jaune, les livesticiens sont décrits comme ayant la main sur le coeur. De manière générale, les livesticiens sont des Nés-Moldus, ou bien des Sang-Mêlés, mais très peu de Sang-Purs rejoignent cette maison. De la même façon, la plupart des élèves de Livestica suivent des études de Médicomagie par la suite, ou bien de Magicozoologie. La professeur référente de cette maison est celle du Soin aux créatures magiques.
b) CRANSON, et ses cransoniens.
Cranson représente les élèves les plus studieux, ceux qui utilisent davantage leur raison que tout autre instinct primitif. Représentés par une fleur jaune et une fleur blanche entremêlées (ils sont les seuls à avoir deux fleurs), les cransoniens sont décrits comme étant souvent plongés dans leur livres, et ceux obtenant généralement les meilleurs résultats aux examens de fin d'année. De manière générale, les cransoniens sont des Sang-Mêlés, mais on peut y compter tout de même un bon nombre de Sangs-Purs. De la même façon, la plupart des élèves se destinent à de hautes fonctions dans le système politique magique, telle qu'une présence au sein du ministère de la magie brésilien. Le professeur référent de cette maison est celui des Potions.
c) ASPHODELIUS, et ses asphodèles.
Asphodelius représente les élèves les plus courageux, ceux qui pensent avec leur coeur avant de penser avec leur tête. Représentés par une fleur blanche, les asphodèles sont décrits comme étant très souvent casse-cous, ce sont les plus difficiles à gérer et canaliser. De manière générale, les asphodèles sont des Sang-Mêlés, mais on peut y compter un bon nombre de Né-Moldus. De la même façon, la plupart des asphodèles se destinent à se rediriger dans des études de défenses, semblables aux Aurors anglais – on peut noter des divergences de carrière comme dans toutes les maisons. Le professeur référent de cette maison est celui des Défenses contre les Forces du Mal.
d) ELLEBORIA, et ses elléboriens.
Elleboria représente les élèves les plus loyaux, ceux qui protègent leur maison avant tout. Représentés par une fleur bleue, les elléboriens sont les plus proches des livesticiens, et peuvent par conséquent être assez souvent confondus, bien qu'ils soient décrits plus souvent comme moins sages que les élèves de Livestica. De manière générale, les elléboriens sont des Sang-Purs, mais on peut y compter un bon nombre de Sang-Mêlés. De la même façon, la plupart des elléboriens se destinent à des études de Magicozoologie. Le professeur référent de cette maison est celui de Botanique.
e) BELLADONIA, et ses belladoniens.
Belladonia représente les élèves les plus dangereux, les plus traditionnels, et souvent qualifiés d'indépendants, tirant sur la plus grande fourberie. Représentés par une fleur pourpre, les belladoniens sont souvent décrits comme membres de la maison la plus prestigieuse, et la mieux classée de Castelobruxo, malgré leur caractère belliciste. De manière générale, les belladoniens sont des Sangs-Purs, on compte très peu de Sang-Mêlés et encore moins de Né-Moldus. De la même façon, la plupart des belladoniens se destinent à des études de haute fonction politique, ou bien encore dans le commerce. La professeur référente de cette maison est celle des Enchantements.
          4. LE TEMPLE EN LUI-MÊME ET LES ÉLÈVES.
Castelobruxo a une capacité d'accueil d'environ 4000 élèves. Le Temple est semblable à une île – il est situé au milieu d'un lac enchanté, habité par quelques créatures, et sur lesquels se trouvent d'énormes nénuphars sur lesquels les élèves peuvent se reposer. En ce qui concerne les créatures : si tout fantôme a été chassé du Temple, pour autant, on trouve un certain nombre de créatures qui l'habitent. Tout d'abord, les Caipora, qui gardent le Temple, accompagnés, parfois de Curupira (les deux créatures sont extrêmement semblables). Ces créatures, farceuses, malicieuses, et parfois emplies de mauvaises intentions, sont réputées pour très bien garder le périmètre. De plus, il n'est pas rare d'obsever quelque chevaux sans tête dans l'enceinte du Temple. La forêt amazonienne est également gardée par des Boitatà, serpents de feu qui empêchent les étrangers d'approcher. Enfin, on peut trouver une colonie de sirènes dans le Lac, ainsi que quelques dauphins roses (qui sont ici en tant qu'espèce protégée puisqu'ils sont en disparition).
Chaque maison a sa salle commune dans un coin reculé du temple. Les Livesticiens se trouvent dans l’angle Nord du Temple, leur salle commune étant décoré selon un camaïeu de jaune, et est réputée pour son caractère chaleureux. Les Cransoniens, eux, se regroupent dans une salle qui se situe sous la bibliothèque, et elle se caractérise surtout par ses ouvrages massifs décoant tous les murs. Les Asphodèles ont leur salle commune dans l’angle Ouest de l’École - c’est la salle la plus caractérisée par une atmosphère “détendue”.  Les Elleboriens se trouvent dans l’angle Sud, leur salle commune étant décorée selon un camaïeu de bleus, et c’est celle la plus facilement accessible. Enfin, les Belladoniens ont leur salle dans l’angle Est- et c’est la salle la plus froide, malgré les couleurs po Castelboruxo urpres. Chacune des salles communes sont accessibles avec un mot de passe spécifique qui change tous les mois.
Les repas se tiennent à heure fixe, que ce soit le matin, le midi et l’après-midi, soit 06h-08h, 12h-14h, et 18h30-20h, accompagné d’un couvre-feu à 21h30, où chaque élève doit se trouver dans sa salle commune. La seule exception est lors des pluies torentielles, où tous les cours à l’extérieur sont annulées et les heures de repas élargies pour laisser le temps aux élèves de profiter de la journée. La bibliothèque, elle, ferme tous les soirs à 21h15.
          5. LES COURS.
Au sein de Castelobruxo sont enseignées différentes matières, telles que les Défenses contre les Forces du Mal, les Enchantements, les Métamorphoses, les Potions, la Divination, l'Astronomie, l'Études des Runes Anciennes, l'Étude des Non-Maj, ainsi que le Vol, mais la Botanique et les Soins aux créatures magiques (ou magicozoologie) sont les spécialités de l'École. Enfin, les cours d'Histoire de la Magie sont dispensés aux élèves à partir de la troisième année et apparaissent simplement comme une option, car ils sont majoritairement considérés comme trop théoriques – et donc trop rébarbatifs. Enfin, en plus du club de Quidditch, Castelobruxo propose également un club de Potions avancées, un club de Duel, un club de Botanique, et un club pour les Matières Divinatoires.
En ce qui concerne les examens, comme Poudlard, Castelobruxo fait passer des examens (BUSE) en fin de cinquième année. Ils y passent obligatoirement la Botanique, les Soins aux Créatures Magiques, les Défenses contre les Forces du Mal, les Potions, les Enchantements, et les Métamorphoses et l’Astronomie, ainsi que les options choisies par les élèves. Le même principe est organisé pour leur septième année, même si les élèves passent une matière en majeure, afin de choisir leur études et leur projet de métier, dans laquelle ils doivent obligatoirement avoir un Optimal.
          6. LES RELATIONS INTERNATIONALES.
Les élèves de Castelobruxo possèdent pratiquement tous des correspondants dans les dix écoles magiques du reste du monde, bien que se trouvant principalement en cohésion avec Durmstrang, Poudlard (Grande-Bretagne), et Mahoutokoro (Japon). Par ailleurs, le temple accueille des élèves du continent latino-américain en entier – et pas seulement du Brésil.
Tous les ans, une rencontre des Écoles d‘Amérique est organisée, entre Ilvermorny et Castelboruxo, le lieu d’accueil changeant d’une année sur l’autre. Si cette rencontre se place sous le symbole d’une amitié entre les écoles, des activités compétitives sont tout de même organisées - Castelobruxo a remporté d’ailleurs six fois de suite la Coupe, ce qui est un record.
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Jessica Thivenin : Complètement nue, elle choque les internautes !
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La fin d'année 2018, et le début 2019 ont remplis de bonnes nouvelles pour Jessica Thivenin . En décembre dernier, elle a dévoilé la demande en mariage de son chéri sur patinoire à New-York. Puis la belle a publié une photo de son couple avec Thibault Garcia.
"Je vous souhaite une bonne année 2019, une bonne santé surtout, une année remplie de bonheur et d’amour et de joie je vous souhaite le meilleur !! Merci à vous de me suivre et de m’apporter autant d’amour. Mon année 2018 a était une merveilleuse année, je n’en demande pas plus ; ma famille mon mari mes amis vont bien, je suis épanouie comblée d’amour, de bonheur pour ce passage à la nouvelle année je vous partage mon plus beau moment de 2018... Pleins de nouveaux projets pour 2019... je vous embrasse je vous aime", avait-elle déclaré en légende de sa photo de mariage prise au Consulat général de France à Dubaï.
Après ces moments mignons, la bimbo a récemment posté une photo dans un cadre...
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