#poulbot
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fidjiefidjie · 2 years ago
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Bonjour, bonne journée ☕️ 🌤
Poulbots à l'angle de la rue Vide Gousset et la rue d'Aboukir 🗼Paris 1950
Photo de Maurice Bonnel
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publicite-francaise · 1 year ago
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Bi-Borax Oriental nettoie, purifie, assainit, par Francisque Poulbot, 1898.
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nijinokanatani · 1 year ago
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Francisque Poulbot(1879-1946)
Emprunt National 1920. Banque de Paris et des Pays-Bas.
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tomoleary · 1 year ago
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Francisque Poulbot (1879-1946)
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recomendoler · 8 months ago
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inanetitter · 11 months ago
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Le Poulbot, Le Montmarte, Paris
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billybonesflint · 1 year ago
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Le Poulbot, Le Montmarte, Paris
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moonincapricorn · 2 months ago
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Lors de la répétition de notre second passage au Grand Concours des Régions spécial chants folkloriques pour France 3. Fréhel en compagnie des P'tits Poulbots, les tambours de Montmartre.
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paolo-streito-1264 · 2 years ago
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Sanford Roth. Impasse Trainée (now rue Poulbot, Montmartre), Paris, 1955.
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pedestriansteppers · 1 year ago
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Pierre Jahan. Petites poulbotes de Montmartre 1938. Paris France
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alexar60 · 2 years ago
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L’enfant des fées (4)
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Précédents épisodes
Personne ne comprenait les raisons qui poussaient Teagan O’hara à s’allonger pour écouter régulièrement le sol. Il collait l’oreille contre la terre et, après avoir retenu sa respiration, il fermait les yeux pour entendre ce que le commun n’entendait pas.
Fils d’un irlandais et d’une française, l’enfant Teagan vécut dans un folklore totalement méconnu. Il fut bercé par les contes et légendes de trolls, gobelins ou autre leprechaum, voleurs de bébés ou porteurs de chance à ceux qui leur offrent l’hospitalité. Il apprit très tôt à écouter les vibrations des peuples invisibles. Parfois, il étonnait en chantonnant une mélodie inconnue. D’autres fois, il soupirait bêtement comme s’il avait compris le sens d’une phrase triste.
Son amour pour l’Irlande poussa le jeune homme à intégrer l’IRA, l’armée clandestine d’un pays encore inexistant. Il participa à des exactions, des attentats contre les intérêts britanniques au nom de l’indépendance de son ile. Ses méfaits l’obligèrent à retourner en France, son pays natal puisqu’il était né à Paris. Malheureusement, la guerre obligea Teagan à intégrer un nouvel uniforme, un uniforme bleu horizon. C’est ainsi qu’il se retrouva au milieu des tranchées, à fermer les yeux lorsqu’une pluie de bombes tombait lourdement avec un bruit assourdissant. Il détestait cette guerre, regrettant la verte Irlande et la tourbe des champs de ses oncles. Il détestait les bombes alors qu’il avait appris à les fabriquer et les utiliser. Mais c’était contre les anglais, les mêmes avec qui il combattait dans les tranchées.
L’irlandais, comme l’appelaient ses camarades, parlait peu. Il préférait la lecture ou juste dormir, se reposer en fermant les yeux avec l’impression de quitter ce monde. Cette solitude l’approchait énormément de Louis. De plus, les deux hommes parlaient souvent en anglais, s’éloignant encore plus des autres soldats dont la langue se limitait au français ou au patois.
Cependant, cette étrange manie d’écouter le sol, devint une qualité aux yeux de ses supérieurs. Ainsi, il pouvait partir en éclaireur, entendre le mouvement de l’ennemi. Ennemi qu’il n’a pratiquement jamais vu, si ce n’est une pointe de casque avec l’éclat du soleil à travers la fumée. Il partait accompagné de deux ou trois camarades. Puis, il s’allongeait de temps en temps, collant l’oreille, utilisant la pointe de sa baïonnette pour sentir ces bruits que personne ne pouvait détecter. Il écoutait, comprenait et repartait ensuite, prévenir sa hiérarchie qui, faisait immédiatement un rapport à l’état-major.
Louis lisait une lettre de son épouse Armande lorsque Teagan réapparut avec Gaston Poulbot et Marcel Lequellec. En entrant dans l’abri, l’irlandais imposait par sa corpulence. Ses épaules frôlèrent les dormants de la porte. Le sommet de son crâne rasa la lampe à pétrole qui éclairait la pièce. Il faisait chaud, cela sentait horriblement le fauve, l’animal fatigué, usé de se battre. Il approcha de Louis, s’allongea sur le lit de camps vide à sa gauche, avant de souffler d’épuisement.
-          Quelles nouvelles ? Demanda Louis Macé.
-          Les boches n’ont pas bougé, répondit Marcel.
-          Ça, on le savait déjà ! s’écria Louis en levant les yeux vers le plafond.
Quelques bombes éclatèrent au loin. Elles tombaient aussi en pleine nuit. Le sergent Macé ne comprenait rien à l’écoute des sols. Par contre, il avait appris à reconnaitre le sifflement des bombes. Il savait que celles qui tombaient à ce moment, étaient de fabrication Krupp. Le bruit de leur chute résonnait plus que celle des français ou des anglais. Louis gratta sa barbe, pinça les poils comme pour extirper un insecte, puis, il s’allongea et retourna dans la lecture de la dernière lettre d’Armande. Elle sentait bon l’eau de parfum de rose. Elle écrivit sur la vie de Nantes. Sur son métier d’institutrice, car elle devait subvenir aux besoins des enfants qui grandissaient, et attendaient désespérément la première permission de leur père. Louis renifla en souvenant qu’il avait perdu cette fameuse permission pendant un bombardement. On lui refusa une nouvelle. Alors, il attendait la prochaine qui n’arrivait pas. Elle écrivit sur ses désirs, l’envie de l’embrasser, de le serrer dans ses bras. Elle écrivit tout ce qu’une femme souhaite de son mari parti à la guerre. Mais surtout, qu’il revienne en vie.
Une fois la lettre lue, il la posa contre sa poitrine, imbibant sa chemise trouée de son parfum de rose. Puis, il regarda la lampe à pétrole danser. Dehors, les bombes continuaient d’éclater. Quelques hommes discutaient à voix basse pour ne pas réveiller la majeure partie en train de dormir. Elle ne formait qu’un vulgaire tas d’ombre sur les murs, remuant au gré de la lampe.
Tout à coup, Teagan se releva. Son regard fixa la lampe. Il pencha le torse jusqu’à s’allonger sur le sol,  et, sans se soucier de la boue ni des crottes de rats, il colla son oreille. Sa réaction inquiéta Louis au point d’abandonner brusquement sa couche.
-          Qu’y-a-t-il ?
-          Chut ! répondit l’irlandais.
Son corps de bucheron parut encore plus imposant entre les paillasses. Certains soldats levèrent la tête pour observer le spectacle de leur collègue, mais très peu se soucièrent de son geste. C’était devenu une habitude ! Toutefois, ses yeux plissèrent, il se concentrait de plus en plus.
-          Des coups ! annonça-t-il brusquement.
-          Les allemands ? demanda Louis qui s’allongea à son tour en espérant entendre quelque-chose.
-          Non ! Cela vient de l’autre monde. Ils creusent la terre pour essayer de sortir.
-          De qui ?
Teagan ne répondit pas. Il soupira, Il demeurait inerte, étendu sur la terre battue, l’oreille toujours collée. Il écoutait, il entendait. Dès lors, Louis fit de même. Il écoutait sous les regards étonnés des autres militaires. L’un d’eux posa une question sans obtenir de réponse.
Le jeune sergent reconnut des chocs. Le sol semblait trembler sous son tympan. Un coup suivi d’un autre à intervalle régulier. Mais contrairement à Teagan, Louis Macé restait persuadé d’une attaque allemande via un sous-terrain. Ils avaient déjà fait sauter des tranchées grâce à un travail de sape. Ils avaient déjà enterré vivant des camarades.
-          Je les entends, ils ne sont donc pas loin ?
C’était Marcel qui venait d’écouter à son tour le sol. Tout le monde encerclait le trio étendu. Certains respiraient fort, angoissés par l’idée de sauter par en-dessous. D’autres interrogeaient Marcel ou Louis qui ne savaient pas quoi répondre pour les rassurer
-          Shut up ! Vociféra Teaghan. Ce ne sont pas les schleus ! C’est autre chose.
Le silence régna soudainement. Dehors quelques bombes tombaient telles des étoiles filantes peignant le ciel noir de filets d’or et de sang. Louis se releva, il s’éloigna. Les hommes s’écartèrent pour le laisser passer. Il se dirigea vers la sortie.
-          Je dois prévenir le lieutenant, dit-il.
A ce moment, une explosion souffla la casemate. Il n’entendit rien ni les hurlements des hommes, ni les flammes qui brulèrent tout à une vitesse effroyable, encore moins la détonation pourtant percevable à des lieux à la ronde. Il se retrouva sur le dos, les vêtements déchirés, la figure, les membres noircis par la saleté et les brulures. Une poutre coinça ses jambes, l’immobilisant au milieu de ce qui fut l’unique lieu de repos. Personne ne parlait, il était le seul survivant.
Dehors, le bombardement continuait. Louis comprit que l’une d’elle venait de tomber sur le bunker effondrant la toiture après l’avoir crevée. Il tendit l’oreille. Il cherchait à entendre autre chose qu’un sifflement continu. Toutefois, ses mains sentirent des vibrations. Elles provenaient de sous la terre. Il comprit que Teaghan avait raison.
Alex@r60 – juillet 2023
Photo : Britanniques écoutant le mouvement de l’ennemi (1914-1918)
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chansonsinternationales · 2 years ago
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Bertrand Blier, 60 ans de carrière : on a revu tous ses films, et il y a à boire et à manger
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parisies · 2 years ago
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Tout au sommet
De Ménilmontant,
Monter encore,
Même si c’est dur.
Dernier effort.
Pour pouvoir,
du haut de l’escalier,
Sur la petite terrasse,
Embrasser la ville,
Avoir Paris à ses pieds,
En cadeau.
S’émerveiller,
Et comme un Poulbot,
Dévaler la rue Robineau,
En riant aux éclats.
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Saviez-vous que la plus grande collection privée de Salvador Dalí se cachait à Montmartre?
Dalí Paris, 11 rue Poulbot 75018 Paris
@dali_paris_officiel
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gunnarsohn · 2 months ago
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Ein Aufbegehren der verlorenen Söhne – das Fest der letzten Patronen in Montmartre
Der 23. Mai 1913 – ein Datum, das in das Gedächtnis der Butte eingebrannt bleiben sollte, wie die letzten Funken in einem verglimmenden Feuer. In den Straßen von Montmartre hüllte sich die Nacht in jene besondere Unruhe, ein Vorzeichen für das „Fest der letzten Patronen,“ das Poulbot, der ewige Unruhestifter, als einen Akt des Trotzes vor seiner Ausweisung inszeniert hatte. Es war ein Fest, das…
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valkyries-things · 10 months ago
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AGNES POULBOT // RESEARCHER
“She is a French researcher who made improvements to car tires. Poulbot’s tire-tread design was responsible for their better strength and ability to last longer. The result is that the car uses less fuel while producing reduced amounts of carbon dioxide.”
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