#par contre ça je l'ai volé à quelqu'un qui lui avait volé pour lui rendre c'est différent (non)
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des fois les gens me prêtent des trucs et croient que je vais les rendre MDR (jamais)
#ça vaut pour des livres#des lunettes cœurs#des fringues#des objets bizarres...#des bagues hihi#des dvd aussi#etc etc etc#j'ai un handspinner depuis 2016 que je dois rendre à mon ex du lycée aussi je trouve ça bizarre#par contre ça je l'ai volé à quelqu'un qui lui avait volé pour lui rendre c'est différent (non)
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Les Chroniques de Livaï #432 ~ ABSENTS LES CHATS, LES SOURIS DANSENT (décembre 845) Livaï
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
Les rues de la capitale sont aussi ennuyeuses qu'à l'ordinaire. Ca nous a pris la moitié de la journée pour venir ici et je me doute bien qu'on va encore devoir crécher chez les bourges pour la nuit. Enfin, je peux pas en vouloir à Erwin, il m'a pas forcé à venir cette fois.
Il a eu beau m'expliquer que la réunion se tenait entre leaders, que je ne serais pas autorisé à y assister, qu'on ne me laisserait même pas entrer dans l'enceinte royale, j'ai pas hésité longtemps à m'imposer pour le voyage. Déjà parce que l'idée de le laisser pénétrer seul dans ce nid de vipères infesté d'ennemis du bataillon me plaisait pas du tout, mais aussi à cause de la binoclarde. J'ai bien grillé son petit manège des derniers jours et je sais qu'elle prévoit un truc pour la fin d'année, un genre de fête stupide. Elle m'aurait réquisitionné pour la journée pour mettre en place ses idées folles et j'étais prêt à tout pour échapper à ça.
Erwin ne me parle pas beaucoup depuis le début du voyage, sûrement occupé à récapituler en pensée ce qu'il va dire à ses collègues. J'ai pas encore la prétention de pouvoir lire dans sa tête, mais je me doute qu'il angoisse. Il le montre pas, évidemment. Parfois, je me dis qu'il préfèrerait se couper un bras plutôt que de nous révéler ses tracas. Alors c'est moi qui fait la conversation. Il arrête pas de me couper pour me rappeler que je serais obligé de rester dehors et que cela l'embête. T'inquiète pas, je ferais du tourisme. Je trouverais bien un truc à faire. Mais je t'accompagne jusqu'au bout, on sait jamais.
On est presque arrivé, j'aperçois la seconde enceinte de la capitale en me penchant par la fenêtre. A partir de là, c'est le territoire royal, personne ne peut y entrer sans être quelqu'un d'important. Si j'en crois les gros titres, je fais partie de ce genre de personnes maintenant. Si on me l'avait dit quelques années plus tôt, je me serais bien marré... Je me doute bien que mon statut ne me donnera pas le droit de passage. Alors je répète mes conseils à Erwin pour la forme : fais gaffe à ce que tu bois, à ce que tu manges ; évite les couloirs déserts, méfie-toi de tout le monde. Ouais, tu sais tout ça évidemment, mais ça me calme de le redire. Ils vont te juger, ces snobs, ils attendent que tu te plantes, alors...
Il répond que Moustache et Pixis sont des types réglos et qu'il n'a pas à s'en inquiéter. Ils seront peut-être pas seuls dans le coin. Et tu as dis toi-même que tu sentais pas trop Zackley. Moi non plus, d'ailleurs. Le roi crèche là. Ce qui signifie que tu peux tomber sur des types pas recommandables du genre que tu sais. Même sur des corbacs, alors gaffe à tes fesses. Mes recommandations sont inutiles, il est déjà paré. Et puis de toute façon, on doit descendre.
La diligence s'immobilise et Erwin descend lentement en faisant un peu pencher le véhicule. Il présente ses papiers aux gardes qui se trouvent devant l'enceinte, et ils s'écartent pour le laisser passer. Ok, j'ai pas envie de me faire humilier, mais après tout... Je sors aussi mes papiers et les soldats les examinent avec sérieux. Sur la gueule du plus jeune, je vois apparaître une expression émerveillée et j'ai pas de mal à croire que si ça avait tenu qu'à lui, il m'aurait laissé passer. Mais l'autre me refoule avec respect en m'informant que je ne peux aller plus loin. Relax, les gars, je le savais, j'ai juste tenté le coup.
Erwin se retourne pour me regarder et me dit qu'il en aura sûrement pour deux bonnes heures, voire un peu plus. Hmm, tu as un point de rendez-vous ? Il me dit de le retrouver dans les jardins du musée. Le musée ? C'est où ? Le jeune soldat se précipite avec enthousiasme pour me donner l'information et me montre du doigt un grand bâtiment carré adossé à l'enceinte. Je vois. Dans deux heures ou un peu plus alors. Je salue Erwin de la tête et le regarde s'éloigner dans un inconnu dont je ne distingue pas grand chose. Mec, les laisse pas t'intimider, faut leur en mettre plein la vue...
Je reste un moment sur place jusqu'à ce qu'Erwin disparaisse de mon champ de vision, et je vois le jeune soldat danser d'un pied sur l'autre devant moi. Il demande si j'ai besoin d'aide pour me diriger et j'ai le réflexe nécessaire pour m'éviter de me retrouver en tête à tête avec cet admirateur qui se cache mal. Ca ira, je vais aller un peu par là, et... et puis par là aussi. En fait, si, j'ai besoin de savoir un truc. Il y aurait pas des... "salons de thé" ici ? Le jeune hoche la tête avec fierté et m'indique un autre coin de rue, pas trop loin du musée, en précisant que c'est le meilleur salon de thé du Royaume. D'accord, je vais d'abord aller me balader au musée - je sais plus très bien ce que c'est - et me prendre un thé après. Les deux gardes me saluent à leur tour, et je m'éloigne, les mains dans les poches.
Je me dirige vers l'entrée du musée, en haut d'une grande volée de marches. Le fronton, supporté par des colonnes, m'écrase de toute sa masse et je me demande un instant comment de simples humains peuvent construire des choses pareilles. Et pourquoi ? A croire qu'on laisse passer aucune occasion de se faire mousser...
Sitôt entré, j'aperçois quelques visiteurs qui flânent, surtout des couples, ainsi qu'un grand double escalier qui monte à l'étage. Je sais pas trop où aller alors je laisse mes pieds me guider au hasard. Je parcours des salles gigantesques remplies de tableaux et de statues qui ne me disent rien ; quoique certains d'entre eux me semblent familiers... J'ai dû en lire des descriptions dans mes bouquins. Je comprends pas trop l'utilité de stocker tout ce fourbis... On pourrait loger des gens ici plutôt que ces bibelots. A croire que ces vieilles croûtes ont plus de valeur que les vivants...
Je m'arrête devant quelques pièces bizarres et me marre en cachette en scrutant les bourges qui se croient intelligents ; ils prennent un air si important en hochant la tête devant ces mochetés que j'ai vraiment l'impression que nos yeux fonctionnent pas pareil. Et je suis sûr que ça coûte une blinde, en plus. Mais qui a du fric pour s'offrir des trucs si inutiles, sérieux ? Tcchh, cet endroit me plaît pas, je perds mon temps. Autant vider les lieux. Je me dirige vers un escalier qui monte - merde, je veux descendre - en espérant trouver une sortie ailleurs, ou bien une salle plus intéressante. Je me retrouve alors sur le palier supérieur, dans le hall, et m'apprête à enfiler les marches centrales quand je tombe en arrêt devant une peinture trônant sur le mur principal, face à l'entrée du musée. Je l'avais pas vraiment remarqué en arrivant, pourtant elle fait bien plusieurs mètres de large.
Sur ce tableau figure un homme avec une barbe, assis sur ce qui ressemble au trône royal. Je me souviens du jour où je l'ai vu, avec le même décor. On aperçoit un bout du tapis rouge et les rideaux derrière sont fermés pour cacher la lumière. L'homme se tient droit sur son siège, mais semble ennuyé d'être là. Il ne se dégage rien de ce type, il me donne la même impression que ce jour-là, pendant qu'il débitait son discours sans intérêt. Non, il a un petit truc en plus : des poils moins gris et l'air d'avoir un truc coincé dans le... enfin, pour ce que j'en sais. Pas étonnant que le vieil Hadulfo croit sérieusement que ce guignol ne règne pas réellement. C'est pas dur d'imaginer que le Parlement fait tout à sa place. On dirait une vraie chiffe molle. Et c'est à lui qu'on doit rendre des comptes ?
Erwin n'obéit pas à ce mec. Il se bat pour l'humanité et contre les titans, c'est tout. On doit juste lui plaire assez pour qu'il détruise pas le bataillon. Ttchhh ! Va te faire. Je me retiens de lui faire un doigt. Je préfère partir d'ici et retrouver l'air frais.
Une fois dehors, je cherche le salon de thé qu'on m'a indiqué mais je le trouve pas. J'erre un peu par les rues désertes ; je croise à peine quelques passants. Cette ville semble morte, et j'ai du mal à imaginer que c'est cette vie morne et sans intérêt que j'ai perçue d'en bas. Oh merde, quand on en parle...
Je distingue en face de moi, à quelques mètres, un véritable trou noir et béant, plongeant dans les entrailles de la ville. Je n'ai pas besoin de me rappeler ce que c'est, ni la première fois que je me suis tenu ici, les mains entravées, les yeux plantés dans le dos d'Erwin, attendant le moment de lui sauter dessus pour l'étrangler avec mes entraves... C'est là aussi que je l'ai revu, m'attendant près de sa diligence, certain que j'allais reparaître à la surface après ma seconde escapade... Il s'est passé tant de choses ici, entre le ciel et l'enfer...
J'ose pas approcher de cette ouverture, de peur qu'elle m'aspire à nouveau. Une curiosité malsaine veut me pousser en avant, mais ma volonté refuse de se laisser faire. Ils sont encore en bas, en train de trafiquer, de survivre, de baiser, de mourir... Rien n'a dû changer, alors que moi je suis plus le même. Je dois pas regarder, ni écouter. Me casser d'ici, ouais, c'est le mieux. Je sens presque l'odeur qui a accompagné toute mon enfance me sauter à la gorge et m'étouffer...
Non, non, le salon de thé. Du thé de luxe, le plus cher, c'est ce qu'il me faut. J'ai du fric sur moi.
Je sors du quartier, fais le tour d'un pâté de maisons toutes pareilles et me retrouve près du musée. Je distingue alors la devanture de l'établissement que je cherchais. C'était pas si loin, j'ai juste tourné du mauvais côté. Kenny m'a toujours reproché mon mauvais sens de l'orientation... Ta gueule, toi, j'avais juste la tête ailleurs. Je vais me poser dans cet endroit charmant une heure ou deux, siroter le meilleur thé des Trois Murs, peut-être même boulotter quelques gâteaux bien gras si j'en ai envie, et rejoindre Erwin aux jardins. Ouais, un programme parfait que, même toi, tu aurais apprécié, vieux lâcheur.
C'est la vision de l'entrée des bas-fonds qui te ramène dans mes pensées ? Où es-tu ? Es-tu seulement encore vivant ?...
Je passe le seuil du salon et une soubrette au grand sourire vient m'accueillir. Tout est propre, net et rangé ici. Les fauteuils moelleux couleur pêche, les murs jaune pâle, les tables rondes aux pieds fins et délicats... Au diable les bas-fonds, au diable Kenny ; je sens que je vais me plaire ici. La fille m'entraîne vers une table isolée au fond - je vois bien qu'elle lorgne mon écusson - et m'assure qu'elle va s'occuper de moi tout de suite. Je suis pas seul dans le salon ; un couple âgé est déjà occupé à consommer et l'odeur de leurs tasses embaume la pièce. Ils me jettent à peine un regard. Tant mieux, je suis pas venu pour faire de la pub mais pour me détendre.
La fille revient avec une carte à la main et je parcours des yeux la liste des propositions. Putain, y a un nombre de thés considérable ! Je savais pas qu'il y'en avait autant ! Je sais pas lequel choisir... Vous avez un truc à me conseiller, parce que j'suis paumé, là... Je dois lui paraître con mais elle se montre prévenante. En serrant son carnet contre elle, elle me demande pourquoi je suis si nerveux. Ca se voit ? J'ai pas l'habitude de traîner dans de tels endroits, c'est vrai. Elle réplique malicieusement que c'est sans doute plus agréable que de tuer des titans. Vous avez l'oeil... Elle répond que si je veux me détendre, il n'y a pas mieux que le thé blanc à la camomille. Ok, je vous fais confiance, commençons avec ça. Mais je pense que j'en essaierai d'autres après, j'ai du temps à tuer.
Elle me fait une révérence un peu gênante et s'éloigne afin de passer commande. Et aussi... vous avez des pâtisseries, c'est ça ? Qu'est-ce que vous avez de moins sucré ?
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