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Guillaume Kessler strengthens Dentons’ M&A and Private Equity team in Paris
Paris—Global law firm Dentons has recruited partner Guillaume Kessler to strengthen its Public and Private M&A and Private Equity practices in France and more widely in Europe.
With this addition, the Corporate/M&A team in Paris, led by partner Olivier Genevois, now counts approximately 30 lawyers.
Kessler joins from Orrick, where he was a partner since 2016. He was previously Managing Partner of Olswang France (now CMS). A member of the Paris bar since 1997, he is involved in public and private mergers and acquisitions, private equity, restructuring and international joint ventures. He advises French and international strategic clients, both listed and unlisted, as well as investment funds, and covers a wide range of sectors.
He recently advised Groupe Bertrand, a leading hotel and restaurant group in France, on several transactions, including the acquisition of Groupe Flo, which owns a portfolio of more than 150 restaurants.
“The arrival of Guillaume will enable us to create new synergies with the Banking and Finance, Employment and Labor and Tax teams in France and Europe in order to meet the ever-increasing demand from investment funds, particularly in their search for international build-up transactions for their French holding companies,” said Séverine Hotellier, France Managing Partner at Dentons.
Olivier Genevois, Co-Head of the Europe Cross-Border M&A group and Head of the Corporate and M&A team in Paris, commented: “We are delighted to welcome Guillaume to the Corporate team in Paris. His recognized skills will enable Dentons to further strengthen its positioning in private equity and in cross-border M&A transactions, one of the team’s major strengths.”
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Le système Pierre-Alain Schmidt secoue l’Office des faillites de Genève
L’avocat Genevois déjà épinglé dans l’affaire « Petrobras » par le ministère public fédéral à la demande des autorités brésiliennes, se voit l’auteur présumé d’un nouveau dossier de corruption, à Genève cette fois-ci. Le système PAS (Pierre-Alain Schmidt) mis en place pour redistribuer les « pots de vin » des politiques sud-américains, ayant fait ces preuves durant de longues années perdure, et profiterait maintenant aux fonctionnaires genevois.
Pour servir l’industriel Charles BOEGLI de la société BOEGLI-GRAVURES SA à Neuchâtel, l’avocat « borderline » a de nouveau « managé » et reconduit son système mis en place destiné à la corruption d’officiers des services de l’Etat de Genève. Afin d’essayer de faire garder l’anonymat de son client, Pierre-Alain SCHMIDT a organisé la sortie des fonds de l’entreprise BOEGLI-Gravures par émission de fausses factures de la société de son frère Strategis & Management à Monaco, puis leur redistribution à travers son réseau.
Les fonds occultes générés par le « système PAS » auraient servi à missionner et à rémunérer une étude d’avocat genevoise Borel & Barbey pour corrompre un substitut et le sous-directeur de l’office des faillites de Genève.
L’étude Genevoise connue pour représenter habituellement de grandes Banques de la place aurait dépassé les limites de ses fonctions en acceptant de représenter l’office des faillites de Genève dans des procédures civiles et pénales pour le compte d’un mandant et payeur anonyme.
L’objectif de la mission serait d’acquérir des actifs sous gestion de l’office des faillites par l’industriel Charles BOEGLI leur client et commanditaire. Depuis plus de 3 ans le même Charles BOEGLI prend en charge non seulement les honoraires des conseils de l’office des faillites de Genève pour arriver à ses fins, mais aussi les « pots de vins » nécessaires à la pleine collaboration du substitut et de son supérieur pour « fermer les yeux » sur les procédures des plus « étonnantes » entreprises par un organisme d’Etat public. Obtenir par tous les moyens possibles les actifs appartenant aux sociétés faillies ainsi qu’au promoteur français Eric ARNOUX. D’après les documents en notre possession, l’Office des Faillites et son sous-directeur Olivier Crispin, essaieraient de « cacher » auprès des autorités civiles et pénales ainsi qu’aux créanciers l’anonymat du payeur et leurs avantages perçus.
L’avocat Pierre BYDZOVSKY au cœur de cette « affaire » effarante et effrayante a mené de bout en bout l’implication des fonctionnaires, mais surtout l’application scrupuleuse du système PAS pour gérer au mieux l’anonymat et les volontés turpides de leur client commun Charles BOEGLI. Malheureusement pour eux, le ministère public Genevois ne serait pas dupe, l’industriel entendu dernièrement sur cette affaire par le premier procureur, refuse de répondre à toutes questions et se cache derrière son conseil Pierre-Alain SCHMIDT, ce qui nous laisse imaginer de sa forte culpabilité. En réponse à nos questions le ministère public n’a fait aucune déclaration, l’instruction étant en cours.
L’étude Borel & Barbey pour assurer leur million de francs d’honoraires durant ces années a directement reçu les fonds du système occulte mis en place par leur célèbre confrère Pierre Alain SCHMIDT. La question étant : comment et combien ont-ils rémunéré pour leur totale collaboration le sous-directeur et son substitut ?
Actuellement, sous le feu des projecteurs du coté brésilien pour le dossier international « Lava Jato » et l’enquête ouverte par le procureur brésilien, l’avocat genevois à l’origine du système PAS et son confrère Pierre Bydzovsky vont devoir répondre de leurs implications dans la rémunération des fonctionnaires de l’office des faillites de Genève pour le compte de leur mandant Charles Boegli.
Pourront-ils continuer à protéger leur client commun et continuer d’abuser de leur secret de fonction, pas si sûr.
L’avocat Pierre Alain SCHMIDT, après avoir donné les ordres et rémunéré au départ de son système mis en place une quantité considérable de personnes impliquées dans le dossier dont parmi elles le sulfureux Mario BRERO de la société Alps Services, lui-même impliquant la société française Avisa Partners, le notaire Elio Civitillo de la petite commune d’Aubonne située dans le canton de Vaud, les faux témoins et des faux plaignants. L’anonymat de l’industriel neuchâtelois devra obligatoirement ressortir quand les autorités s’intéresseront de prêt au cheminement des fonds utilisés au système de corruption mis en place par ses conseils.
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Les gardes du corps de Paul Biya arrêtés à Genève
Les gardes du corps de Paul Biya arrêtés à Genève
L’agression d’un journaliste de la RTS ne restera pas sans suite. Le Ministère public genevois annonce aujourd’hui l’arrestation de six membres du service de sécurité du président camerounais Paul Biya. Une femme, porteuse d’un passeport diplomatique, a été rapidement libérée alors que les cinq hommes étaient encore entendus et confrontés ce mercredi par le procureur général Olivier Jornot.
Plaint…
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Premiers résultats positifs pour le dépistage organisé du cancer du poumon dans la Somme
Le dépistage organisé du cancer du poumon par scanner thoracique faibles doses est faisable et donne des résultats encourageants, selon des données préliminaires d'une expérimentation menée dans la Somme présentées dimanche au Congrès de pneumologie de langue française (CPLF), à Lyon.
L'oncologie thoracique était la thématique principale de cette 22e édition du CPLF, avec notamment 15 sessions plénières et deux sessions orales qui lui étaient consacrées.
Lors de la session orale sur le cancer du poumon dimanche, la présidente de séance, le Dr Chantal Decroisette au CH d'Annecy Genevois à Epagny Metz-Tessy (Haute-Savoie) a introduit la communication sur l'expérimentation dans la Somme comme un "sujet sulfureux et très débattu".
Le dépistage du cancer du poumon par scanner thoracique à faibles doses est controversé en France notamment depuis l'avis défavorable de la Haute autorité de santé (HAS) publié en mai 2016 (cf dépêche du 19/05/2016 à 14:21) et ce, malgré les résultats d'études internationales de grande ampleur, particulièrement l'essai américain NLST montrant une diminution de la mortalité spécifique de 20% et de la mortalité générale de 7% (cf dépêche du 05/11/2010 à 10:56), rappellent le Dr Olivier Leleu du CH d'Abbeville (Somme) et ses collègues dans le résumé de leur communication.
Peu de temps avant la publication de cet avis, l'étude de faisabilité du dépistage organisé du cancer du poumon était lancée dans la Somme. "Cette étude est née d'une réflexion d'un groupe de travail de la filière oncologique, rassemblant des pneumologues, cancérologues, radiologues, médecins de santé publique, du public et du privé. Elle a bénéficié d'un financement de l'ARS [agence régionale de santé] de Picardie pour 2016 et de la Ligue contre le cancer pour 2016 et 2017", a indiqué le Dr Leleu, dimanche en session orale.
Dans un article paru fin mars sur le site de la mairie d'Abbeville, il expliquait que "la Somme fai[sait] partie des départements comptant le plus grand nombre de cancers du poumon rapportés au taux d'habitants" et que ce projet s'inscrivait dans le contrat local de santé élaboré par la municipalité. L'ex-Picardie présente une surmortalité par cancer du poumon de 18% par rapport à la moyenne nationale chez les hommes et une forte progression de l'incidence de la mortalité chez les femmes.
Un comité scientifique a validé le protocole de dépistage, les algorithmes décisionnels, la charte de bonne pratique du scanner thoracique basse irradiation ainsi que des fiches d'interprétation des résultats, a poursuivi le Dr Leleu.
L'ensemble des 552 médecins généralistes, des 24 pneumologues et 28 radiologues de la Somme ont été sollicités par courrier pour participer à cette étude. Les critères d'inclusion sont ceux de l'étude NLST: des personnes de 55 à 74 ans habitant la Somme, toujours fumeuses ou sevrées depuis moins de 15 ans, avec une consommation équivalente à 30 paquets-années.
Selon les algorithmes, les nodules solides de moins de 5 mm sont considérés comme négatifs et une nouvelle convocation au dépistage est envoyée un an après; en cas de taille comprise entre 5 et 10 mm, un nouveau scanner est réalisé à 3 mois et en cas de doublement du volume de la lésion, le résultat est considéré comme positif; les nodules de plus de 10 mm sont d'emblée considérés comme positifs.
Pour les nodules en verre dépoli, le résultat est considéré comme négatif lorsque la taille était inférieure à 5 mm. Lorsque le nodule fait au moins 5 mm ou avait une composante solide, un traitement antibiotique probabiliste est initié et un nouveau scanner réalisé à 3 mois: le dépistage est négatif si la lésion régresse; positif si la lésion augmente, si une composante solide apparaît ou si cette composante dépasse 5 mm; et indéterminé si la lésion reste stable ou la composante solide reste inférieure à 5 mm.
Au total, selon ces résultats préliminaires à un an, 218 médecins généralistes, 17 pneumologues et 28 radiologues des 11 centres du département ont accepté de participer à cette étude et 76% ont inclus 824 participants. Parmi ces derniers, le scanner a finalement été réalisé chez 533 (254 patients ont notamment décliné l'examen, 291 ont finalement été exclus et dans 37 cas, les critères d'inclusion avaient été mal respectés).
Sur ces 533 examens, le résultat était négatif pour 88,5%, indéterminé pour 4,6% dans l'attente d'un nouveau scanner à 3 mois et positif pour 6,7%. Parmi ces 36 patients, 11 cas de cancer ont été confirmés: un était un cancer in situ, 6 de stade IA, 2 de stade IIB et 2 de stade IIIA; 8 étaient des adénocarcinomes et il y avait un cas de cancer épidermoïde, un cancer à petites cellules et un de cancer carcinoïde. Trois cas étaient encore en cours d'exploration et 22 n'étaient pas confirmés.
Dans ces données préliminaires, l'incidence du cancer du poumon est de 2,1%, ce qui est dans la fourchette haute des différentes études menées dans le monde sur le dépistage organisé (entre 0,9% et 2,4%), a observé le Dr Leleu.
Cette étude démontre la faisabilité et l’efficacité à l’échelon régional du dépistage organisé et structuré du cancer du poumon par scanner thoracique basse irradiation, avec un taux de participation de 65%, a-t-il conclu.
Dans l'auditoire, il a été demandé au médecin picard comment il a réussi à impliquer autant les généralistes. Le Dr Leleu a estimé que le recours à l'Association départementale de dépistage des cancers (Adema80) comme structure de gestion a été déterminante puisqu'elle gère déjà le dépistage organisé des cancers du sein et du côlon et "un gros travail de fond a été fait en amont avec les associations de médecins généralistes".
En session plénière, la veille, sur les politiques de santé publique en matière de cancer bronchique, le Dr Leleu avait estimé difficile de monter une étude nationale et qu'il était préférable de favoriser les études régionales, commentant la communication du Dr Sébastien Couraud des Hospices civils de Lyon sur le dépistage.
"Le dépistage a un coût", a ajouté le Dr Leleu, précisant que l'étude dans son département n'est plus financée par l'ARS. Or ce coût peut être financé par une hausse du prix du tabac, a souligné le Dr Couraud, s'appuyant notamment sur une étude présentée au CPLF 2016 (cf dépêche du 01/02/2016 à 14:50).
Les résultats de l'étude NELSON espérés en 2019
Dans son intervention, il a rappelé que l'une des problématiques dans l'essai NSLT, c'était le taux important de faux-positifs, avec un risque de complications pour des personnes n'ayant pas de cancer. Mais dans l'étude NELSON, le recours à un résultat de scanner "indéterminé", avec nouvel examen à 3 mois pour suivre le doublement de volume du nodule (stratégie suivie dans l'étude dans la Somme) a permis de réduire le taux de faux-positifs (68% vs 96% dans NSLT).
En attendant la publication des résultats définitifs de NELSON, "courant 2019, on l'espère", le médecin lyonnais a présenté un tableau récapitulatif des autres essais cliniques randomisés évaluant le dépistage organisé par scanner faibles doses et "tous ont une puissance insuffisante". "Ces études sont négatives mais elles ne sont pas taillées pour répondre à la question."
La réponse pourrait venir, peut-être en 2020, de l'analyse poolée des données de ces sept études (dont NELSON), avec une baisse espérée de 25% de la mortalité en prenant en charge les cancers bronchiques diagnostiqués précocement grâce au dépistage organisé.
Le Dr Couraud a par ailleurs fait le point sur les trois principaux axes de recherche pour améliorer le dispositif: mieux caractériser les populations à risque, optimiser le test et caractériser les lésions.
Il existe un nombre important de scores de risque clinique, assez hétérogènes, comprenant différentes variables. "Globalement, ça marche mais aucune étude, randomisés, prospective, comparative n'a été réalisée pour déterminer lequel est le meilleur. Il faudrait ensuite le tester sur le risque de décès." Par ailleurs, les biomarqueurs paraissent de plus en plus intéressants dans la stratification des patients, en particulier les micro-ARN, mais leur place reste à définir.
Concernant le scanner, il reste encore à déterminer l'intervalle optimal des examens, selon les stades du cancer, et l'intérêt de les prolonger. Un suivi à 10 ans montre que les scanners itératifs permettent de détecter de nouveaux cancers après un premier, a poursuivi le Dr Couraud.
Enfin, l'analyse des nodules peut encore être améliorée pour distinguer les bénins des malins. Le score de McWilliams a permis d'augmenter la sensibilité par rapport au score Lung-Rads mais est plus difficile à manier en routine. Là aussi, des apports sont attendus des biomarqueurs, comme les cellules tumorales circulantes et les micro-ARN.
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LIVE broadcast 23 mars : Matinale SAP Demain Le...
LIVE broadcast 23 mars : Matinale #SAPDemainLeMonde | Nouvelles technologies : quels enjeux pour l’humain ? Modérateurs : Frédéric Encel, Ruth Elkrief, jean-dominique Merchet, Fabrice Lundy. Visionnaires, chefs d'entreprise participant aux tables rondes : Jacques Attali, Jérôme Clément, Nicolas Arpagian, Philippe Keryer, Marc Bonnefoi, Juliette de Maupeou, Olivier Sevillia, Christophe Habas, Alexander Eggermont, Franck Cohen, Laurent Alexandre, Franck Gervais, Yves Bernaert, Christian Blanckaert, Emmanuelle Duez, Emmanuel Hoog, Bruno Mamer, Brigitte Acoca, Arnaud Merlet, Marc Genevois.
LIVE broadcast 23 mars : Matinale SAP Demain Le...
Demain le Monde est un forum initié par SAP qui rassemble les acteurs de la société qui se profile avec pour objectif d’appréhender de la manière la plus pertinente et la plus humaine possible les nombreux bouleversements sociétaux et technologiques que nous vivons. Participez au débat sur twitter avec le hashtag #SAPDemainLeMonde Visionnez la conférence EN DIRECT et en REPLAY sur www.youtube.com/SAPFrance à partir de 8h45 le jeudi 23 mars !
SAP Social Matters Program
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ROBIN Claude
Né le 10 Décembre 1960 à Saint-Julien-en-Genevois (Haute-Savoie)
DEPF en
Parcours Joueur (défenseur) : FC Vesoul (1993-1996) FC Gueugnon (1990-1993) Grenoble Foot 38 (1987-1990) Olympique Lyonnais (1986-1987) Lille OSC (1983-1986) Racing Besançon (1979-1983) FC Servette (1978-1979)
Parcours Entraîneur : Red Star FC (depuis janv 2017 remplace Rui Almeida) ES Troyes (déc 2015-fév 2016 remplace Jean-Marc Furlan et est remplacé par Michel Padovani, Mohamed Bradja et Olivier Tingry) ES Troyes B (2011-déc 2015) ES Troyes (2007-2011 directeur centre de formation et U18, avr 2009-2009 intérim de Ludovic Batelli) AS Saint-Etienne B (2005-2007) FC Vesoul (1993-2005) Palmarès : Champion de France CFA 2 (2001, 2014)
Coach fréquenté :Christian Dalger, Patrick Parizon (Grenoble), Robert Nouzaret (Lyon), Arnaud Dos Santos, Georges Heylens (Lille), Péter Pázmándy (Servette)
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