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#jacques dudon#musique#instrument#chants de l'eau#musique de l'eau#ytb#reportage#concert#livre#edition#Youtube
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«Beaucoup sont décédés, ceux et celles qui sont toujours là sont appelé(e)s «les personnes âgées».
Nous sommes né(e)s dans les années 40-50-60.
Nous avons grandi dans les années 50-60-70.
Nous avons étudié dans les années 60-70-80.
Nous étions ensemble dans les années 70-80-90.
Nous nous sommes mariés, ou pas, et avons découvert le monde dans les années 70-80-90.
On s'aventure dans les années 80-90.
On se stabilise dans les années 2000.
Nous sommes devenus plus sages dans les années 2010.
Et nous allons fermement jusqu'en 2020 et au-delà.
Il s'avère que nous avons traversé HUIT décennies différentes...
DEUX siècles différents...
DEUX millénaires différents...
Nous sommes passés du téléphone avec un opérateur pour les appels longue distance, des cabines téléphoniques, aux appels vidéo partout dans le monde.
Nous sommes passés des diapositives à YouTube, des disques vinyles à la musique en ligne, des lettres manuscrites aux e-mails et Whats App.
Des matchs en direct à la radio, à la télévision en noir et blanc, à la télévision couleur, puis à la télévision HD 3D.
Nous sommes allés au magasin de vidéos et maintenant nous regardons Netflix.
Nous avons connu les premiers ordinateurs, les cartes perforées, les disquettes et maintenant nous avons des gigaoctets et des mégaoctets sur nos smartphones.
Nous avons porté des shorts tout au long de notre enfance, puis des pantalons longs , des pats d'eph ou des mini-jupes, des Oxfords, des Clarks, des foulards palestiniens, des combinaisons, et des jeans bleus.
Nous avons évité la paralysie infantile, la méningite, la poliomyélite, la tuberculose, la grippe porcine et maintenant le COVID-19.
Nous avons fait du patin à roulettes, du roller, du skate, du tricycle, du vélo, du cyclomoteur, de l'essence ou du diesel et maintenant nous conduisons des hybrides ou des électriques.
Nous avons joué aux petits
chevaux et aux dames, aux osselets et aux billes, au 1000 bornes et au monopoly, maintenant il y a candy crush sur nos smartphones
Et nous lisions...beaucoup
Et la religion de nos camarades d'école n'était pas un sujet...
Nous buvions l'eau du robinet et la limonade dans des bouteilles en verre, et les légumes dans notre assiette étaient toujours frais, aujourd'hui on se fait livrer les repas
Oui, nous avons traversé beaucoup de choses, mais quelle belle vie nous avons eu !
Ils pourraient nous décrire comme des «exannuels» ; des gens qui sont nés dans ce monde des années 50, qui ont eu une enfance analogique et une vie adulte numérique.
Il faudrait y ajouter la révolution Biologique à laquelle nous avons assisté. En 1960, la Biologie était très descriptive. On a assisté à l'avènement de la Biologie Moléculaire : les molécules de la Vie ont été decouvertes: ADN, ARN etc. Quand on voit tout ce qui en a découlé : thérapie génique, empreintes genetiques, et autres les progrès sont considérables.
Nous avons en quelque sorte «tout vu» !
Notre génération a littéralement vécu et témoigné plus que toute autre dans toutes les dimensions de la vie.
C'est notre génération qui s'est littéralement adaptée au «CHANGEMENT».
Un grand bravo à tous les membres d'une génération très spéciale, qui sera UNIQUE..»
Photo Woodstock 1969
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Une vie modeste, en toute modestie, avec des arbres et des fenêtres remplis de pluie, de nuit, de tonnerre ou d'oiseaux. Avec la main, le cœur, le pain à offrir, à partager, comme l'eau, le baiser, les bras. Et s'asseoir autour de la table, du feu, de la parole. Pour une vie simplement vie qui irait d'un moment à un autre sans haine et sans terreur. Vouloir être plusieurs, vouloir être seul, vouloir cette alternance de musique, de danse et de silence. Chercher ce qui réchauffe et fait rêver jusque dans les pierres et les absences. Accepter de n'être qu'un passager du monde, un voyageur qui s'émerveille un temps donné. Et puis repris ce temps ou plus précisément, offert à d'autres et comme ça sans fin. Simplement comme font les saisons, les ricochets, mais avec nos corps, avec nos vies. Simplement.
jacques dor
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Tu fais des films La musique des yeux Regard ouvert tout le temps Ça ne s'arrête pas Y a des lignes partout Des couleurs au ventre Couleuvres mentales Faut pas logiquer paniquer Rien de grave Le débile enfante l'agave Des jeux de sots C'est tout on s'en balance De ce qu'il en pense Le grand balèze Du haut de son trapèze Occidental crotale Va chier dans ta caisse Nous on se la ramène pas Bien je suis là C'est pas la même histoire Mais aussi dans la paume Le style il peut prendre des poses Pondre des psaumes Moi aussi la rime gratuite facile Je la donne au mur comme un miroir Pour me bien voir abstrait et flou Petit homme tout doux Trop de son pour de bon On laisse couler l'eau Faut que ça me sorte du ciboulot Que la balle au ventre Elle tire son coup franc Que je mette mes paillettes Au bord des pages douillettes À l'heure où je passe ma vie au placard Maintenant dans l’heure j’ai rencard Avec le feu qui s'éteint pas Tandis que la terre se couvre Ne coupe pas mes pas
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La rentrée
La semaine dernière c'était la rentrée pour les écoles au Québec. Bien que ces années soient loin derrière moi, je pense qu'un petit tour dans nos écoles est essentiel pour bien comprendre la société.
Le système d'éducation québécois est différent de celui en France, mais pas que! En effet, l'éducation étant un champ de compétence provinciale, chaque province est maître dans ses écoles. Vous trouverez donc des variantes d'une province à l'autre.
C'est la loi!
Au Québec, tous les enfants dès l'âge de 6 et jusqu'à 16 ans doivent aller à l'école. C'est la loi. La chronologie académique se divise en plusieurs paliés et chacun de ces paliés est divisés en 2 sessions (automne, de fin août à fin décembre et hiver, de janvier à mai/juin):
-> Pré-Scolaire
Dès l'âge de 5 ans les enfants sont invités à fréquenter la maternelle. Sans être obligatoire, 98% des enfants s'y retrouvent chaque année. Le gouvernement tente depuis quelques années d'offrir la maternelle à partir de l'âge de 4 ans, mais le manque de ressource retarde le projet.
-> Le Primaire
Entre 6 et 12 ans, les élèves fréquentent le premier cycle d'éducation: le primaire. Les élèves restent dans le même groupe toute l'année et un professeur enseigne toutes les matières à quelques exceptions près (éducation physique (sport) ou musique par exemple).
-> Le Secondaire
Entre l'âge de 13 à 17 ans, c'est au secondaire que les enfants terminent l'enseignement obligatoire et général. À la fin de leur secondaire 5, un diplôme d'études secondaire (DES) est remis à ceux qui ont réussi à avoir plus de 60% dans chacune des matières obligatoires. Ce diplôme sert de tremplin afin d'accéder aux études supérieurs. Chaque matière est enseignée par un professeur spécialisé et pour certaines matières le groupe peut être divisé en fonction des matières (chimie, physique, mathématiques ou anglais sont des matières qui sont offertes en niveaux plus avancés pour certains élèves)
À partir du secondaire 3, certains élèves peuvent prendre une autre branche du cursus scolaire régulier et se diriger vers les études professionnelles. Les matières plus "traditionnelles" sont alors abandonnées au profit de l'apprentissage d'un métier. À la fin, l'élève se fera remettre un diplôme d'études professionnelles (DEP) qui le mènera sur le marché du travail.
-> Le CEGEP
Acronyme de "collège d'enseignement général et professionnel", il s'agit du premier palié des études supérieures. Il se divise en 2 groupes: le cursus technique qui dure 3 ans et qui, un peu comme pour le DEP mène au marché du travail en apprenant un métier en plus des matières de bases obligatoires et le cursus régulier (2 ans) qui mène à l'université. Dans chacun des cas les jeunes ressortent avec un diplôme d'études collégiales (DEC).
Le CEGEP n'existe qu'au Québec et, si mes informations sont exactes, correspondrait (plus ou moins) au BAC en France.
-> L'Université
Dernier palié d'étude au Québec. Il se divise en 3 niveaux: le baccalauréat (bac), la maitrise et le doctorat. Le nombre d'années peut varier en fonction du cursus choisi.
Lexique scolaire
Abreuvoir: fontaine pour boire de l'eau que l'on retrouve dans les écoles et autres lieux publics.
Bal de finissants: fêtes organisées par les étudiants (et l'école) pour célébrer la fin de leur études secondaires. De plus en plus, ce bal est aussi organisé pour le premier cycle, soit le primaire.
Brocheuse: agrafeuse. Dans laquelle au Québec nous mettons des broches pour brocher mes feuilles et en France vous mettez des agrafes pour agrafer vos feuilles 😋
Cahier Canada: Petit cahier comportant des lignes pleines seulement, celui-ci ne comporte PAS de lignes pointillées.
Cafétéria: Endroit où les élèves vont prendre leur repas
Cartable: classeur à anneaux
Couler: Rater, manquer, échouer (un cour, un examen, une session). Se dit aussi "pocher".
Crayon de plomb ou crayon à mine: crayon à papier
Duo-tang: classeur à attaches
Efface: gomme
Élève: Personne qui fréquente les 2 premiers cycles, c'est-à-dire: primaire et secondaire
Espadrilles: chaussure de sport, basket, tennis
Étudiant: Personne qui fréquente un établissement d'études supérieures (CEGEP, université)
Etui à crayons: trousse, coffre
Feuille de cartable: feuille mobile
Foxer: Faire l'école buissonnière, ne pas aller à ses cours.
Gymnase: Endroit où les cours d'éducation physique (sport) sont donnés.
Maitresse d'école: synonyme d'enseignante, de professeure. Ne s'utilise presque plus.
Papier collant: ruban adhésif. Se dit aussi Scotch tape (le nom d'une marque)
Polyvalente: établissement d'études secondaires.
Pousse-mine: Porte-mine
Sac d'école/sac à dos/pack sack: cartable
Je souhaite à tous une bonne rentrée! Tant aux petits qui vont retrouver leurs camarades, qu’à leurs parents qui vont avoir la sainte paix 8h par jour 🤣.
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Je viens enfin de voir le Comte de Monte Cristo, et je vais pas mentir, même si j'ai majoritairement passé un bon moment, pas mal d'aspects m'ont déçue.
Premièrement, contrairement à beaucoup de gens si je me réfère aux quelques posts que j'ai vu passer, j'ai pas assez ressenti le côté jouissif de la vengeance. Au contraire, le film prend clairement parti de dire que la vengeance a un coût, et que Monte Cristo a tort, quelque part (avant qu'il mette de l'eau dans son vin). Étrangement, la réputation de Morcerf n'est pas ruinée, c'est une vengeance privée, presque sordide, alors qu'il est le plus gros morceau des trois, et donc celui qui aurait dû ressentir la justice le plus fortement.
Mais surtout, il y a la vengeance, okay, mais où sont les récompenses, dont il parle dans le même souffle ? Elles sont tout aussi jouissives que la rétribution, normalement : le pouvoir de faire le bien, autant que de se faire justice. De tout le film, Dantès ne sauve personne. Il arrive toujours trop tard. Angèle meurt. Morell est mort, et, bien qu'on aie pris la peine de nous présenter son fils, qui sans doute est dans une situation difficile après la ruine de son père, il n'y a pas de scène où Monte Cristo arrive tel un deus ex machina pour le sortir de la misère avec ses diamants et ses faux documents. Puisqu'il n'y a pas de justice publique pour Morcerf, il n'y en a pas non plus pour Haydée.
Ensuite, et c'est adjacent, on ne la sent pas, la fortune de Monte Cristo. Certes, ils ont tout donné dans les demeures, les décors, mais montrez-nous de l'or, des diamants, du pognon ! Le diamant à peine montré à Caderousse devrait faire l'amour à la caméra, qu'on sente vraiment le poids, la valeur, de ce diamant, ce qu'il représente pour changer la misérable vie de Caderousse. Montrez-nous les extravagances de Monte Cristo, son pouvoir. Il est austère, sinistre, comme dans le livre, certes, très bien, mais là tout ce qui l'entoure l'est aussi.
Où sont ses serviteurs ? C'est à peine si son bras droit, qui est censé être son portier (un rôle d'une importance capitale, et qui fait que normalement on n'entre pas chez lui comme dans un moulin, faut pas déconner), a un rôle dans le film, et il n'y a littéralement personne d'autre.
Où est sa science ? L'abbé Faria lui a enseigné bien plus que juste l'italien, l'anglais et le roumain (dont par ailleurs, Pierre Niney a fait une excellente performance !). Je sais bien qu'il n'y avait pas le temps pour la science et les poisons et la philosophie, mais je le regrette.
Autre point qui me dérange : tout le monde est blanc. Haydée, le serviteur à peine aperçu, absolument tout le monde. C'est bien dommage quand on est en train d'adapter une œuvre de Dumas, et une histoire aussi cosmopolite.
En parlant de ça, où est Marseille ? Où est la Provence ? Pas une trace d'accent ou de cigales, on sent à peine qu'on est dans le sud, je trouve ça vraiment dommage :/ Même Mercédes est blanche et française (et déjà noble ??).
Autrement, Pierre Niney est très bien, la musique superbe, et c'est certain qu'on doit faire des choix drastiques pour adapter une histoire aussi fournie, simplement je trouve que le scénario aurait pu être un poil plus cohérent avec une dernière passe. Cela dit, il y a eu des moments où on ricanait joyeusement de ce que le Comte manigançait donc tout n'était pas décevant dans l'exécution de la vengeance...
Et puis j'ai adoré quand ils ont fait du Comte une figure Draculesque en lui donnant ses loups qu'il commandait en roumain ! Et, même si c'était par force maladroit (manque de temps) ils ont inclu explicitement Eugénie et Suzanne.
Mais enfin, mon adaptation préférée reste la série de téléfilms avec Gérard Depardieu pour l'instant.
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Lundi 8 juillet 2024
Comment lui dire adieu
Ce n'est pas la grande forme. Je veux dire, mentalement, parce que physiquement, je vais pas trop mal, enfin, je grossis, les gens pensent que je ne fais rien de mes journées mais c'est faux : je grossis.
Mais je déprime pas mal, épisodiquement. Là ça m'a encore repris hier, dans la nuit, envie de crever. J'ai réfléchi et j'ai pensé qu'il fallait que j'aille manger, alors je suis allé manger du Saint Nectaire avec du saucisson, ça m'a remonté le moral, la bouffe, ça fait du bien.
Je souffre un peu, oh, c'est rien par rapport aux gens qui ont de vrais raisons de souffrir (malades et handicapés, je les surnomme les infortunés lorsque je les croise, et je que me réjouis d'être bien portant). Mais voilà, c'est la misère affective qui provoque mon désarroi. Quand est-ce que je vais arriver à être heureux tout seul ?
J'essaye de rencontrer des filles, ça me coûte même pas mal de pognon, sur Tinder... je match avec des filles et puis on discute, quand elles daignent me répondre mais ça ne va jamais plus loin. Mais enfin, de quoi je me plains, après tout cela ne fait que 10 mois que je suis célibataire ! Whatever...
Je me suis forcé à écrire ce soir, j'ai eu raison, parce qu'au fur et à mesure où s'écrivent ces lignent ma peine s'envole, le pouvoir de l'écriture...
Il faut que je vous dise, le mois dernier, il est arrivé un malheur, malheur prévisible hélas, mais voilà, Françoise Hardy est morte.
Et, un peu sur un coup de tête, j'ai décidé de me rendre à ses obsèques.
Alors me voilà une semaine plus tard à Paris, où j'ai loué un Airbnb, et je suis allé au Père Lachaise (que je commence à connaître, parce que ce n'est pas la première fois que je m'y rendais).
Que dire de l'événement... au début, j'ai trouvé que c'était un peu un cirque digne de Cannes en période de festival, tous ces gens qui commentaient l'arrivé des people... il en est arrivé un paquet, de Nicolas Sarkozy (avec la fidèle Carla) à Mathieu Chedid, en passant par Etienne Daho qui est passé à côté de moi, arrivant par le côté du public, reconnaissable malgré son bonnet et ses lunettes noires, et puis la première dame, Brigitte Macron, et puis bien sûr Thomas et Jacques Dutronc, qui ont été applaudis.
Et puis le cerceuil est apparu et en l'apercevant ma gorge s'est serrée, je l'avoue.
Ensuite retentit une musique : Et Si Je M'en Vais Avant Toi, j'ai trouvé ça très beau.
J'avais acheté une fleur, une rose blanche, et je me trouvais un peu bête parce que je ne savais pas où la déposer, de plus, bizarrement, quasiment personne n'est venu avec des fleurs... J'ai fini par la déposer quelque par à côté d'une photo de Françoise et de quelques fleurs qui avaient été accrochées là.
Je ne me suis pas éternisé. J'ai dû rester une heure et demi. Et puis je suis reparti, après la cérémonie. Je n'ai pris aucune photo, je pensait bêtement que ce serait indécent en telles circonstances mais j'avais probablement tort puisque la plupart des gens prenaient des clichés à tout va.
Quelques temps plus tard après ma sortie, j'étais sur un banc non loin de l'entrée du Père Lachaise, lorsqu'on m'a abordé. Il s'agissait de Benoît, une homme que je connais via les réseaux sociaux (et particulièrement par le forum « Sugar Montain »). Cela fait trois fois en un an que je me fait accoster comme ça par une connaissance des réseaux. C'est plutôt agréable, parce que ça me fait socialiser. Benoît était accompagné d'un jeune ami à lui et ça m'a permis de faire aussi sa connaissance. Depuis, nous nous suivons mutuellement sur Instagram.
J'avais parlé de Berlin, ici, il y a quelques temps. Ce projet est tombé à l'eau, comme souvent, en fait. Avec mes amies on fait des plans excitants et au final ils ne se réalisent pas, c'est une habitude. Mais je garde cette envie de voyage. J'ai réfléchi et il me semble qu'en économisant seulement quelques mois (c'est à dire en cessant de dépenser des centaines d'euros en bouquins chaque putain de mois) je pourrais facilement me payer un autre séjour à New York. Ca me trotte dans la tête depuis un moment. J'ai rêvé de New York pendant toute ma vie, et puis j'y suis allé, et depuis, je ne rêve que d'y retourner. Ce projet se concrétisera t il ? Ou sera t il empêché par ma tendance maladive à procrastiner ? J'aurai voulu y aller avec mon frère, histoire qu'il s'occupe de régler toutes les choses pratiques que j'ai la flemme de prendre en main, mais selon lui, il ne peut plus se rendre aux USA pendant plusieurs années parce qu'il a fait un voyage à Cuba. Cette idée me semble surprenante mais c'est en tout cas ce qu'il prétend. Et si j'y allais seul ? Justine, ça ne l'intéresse pas. Mais peut être que Canel serait encore enthousiasmé par cette idée, alors je pourrais y aller avec elle...
On verra, mais en tout cas si ça se fait ce sera en 2025.
Je me suis rendu qu'on d'une chose, récemment : je suis un artiste sans œuvre, et ça, c'est une vraie tragédie.
Dans 3 jours je me rendrai à nouveau à Lyon pour le concert de Cat Power, donc je vous parlais dans la dernière note, vous savez, celui où je suis censé rentrer gratuitement sur invitation en échange d'un papier. Ca me remontera peut être le moral.
Allez, je vous laisse, j'ai écris deux pages, c'est déjà pas mal, non ?
Bande son : The River, Bruce Springsteen
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Mardi 12/09 - Le royaume des capybaras
Pac a pris les médicaments. Il est très souriant, très heureux. Il a cependant oublié ce qui est arrivé à Mike et à WalterBob. Il pense que Richarlyson est toujours en train de dormir. Néanmoins, quand il entends parler de WalterBob, il revient à lui, il se rappelle, se sent malheureux et préfère reprendre les médicaments.
Fit et Tubbo sont allés voir Pac pour voir comment il allait. Ils ont pu se rendre compte de l'état mental de Pac sous médicaments. Pendant la conversation, Pac a dit hésiter a prendre à nouveau une pilule, les voix dans sa tête lui disant de ne pas le faire. Fit en a profité pour lui rappeler qu'il souhaitait trouver un antidote à la base. Pac a dit ne pas pouvoir faire ça, car il n'a pas trouvé la recette du médicament pour l'instant. Il réalise maintenant que les médicaments sont la solution à ses problèmes. Tubbo lui a conseillé d'écrire ses pensées dans un journal pour documenter tout ça.
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https://clips.twitch.tv/InquisitiveEnchantingHamsterArsonNoSexy-Gaf9vSUuBdGtnE-Q
Tubbo souhaitait que Fit lui montre l'entrée de la base de la fédération. Fit lui a dit qu'il la connaissait, mais qu'il ne pouvait pas lui montrer, car il risquait son boulot. Tubbo lui a demandé pourquoi il s'en souciait, la santé de ses amis et peut-être même la vie de Ramon est en jeu. Fit lui a expliqué qu'il y avait des choses bien au dessus de tout ça qui entrait en jeu, et qu'il ne pouvait pas lui en dire plus.
Pac est tombé sur un livre qu'il s'était écrit avant de prendre les médicaments. Il a hésité sur l'action a entreprendre, entre continuer a prendre les médocs ou pas. Il a décidé de prendre son courage à deux mains, et d'en livrer à Cellbit. Il en a quand même gardé sur lui, et n'a pas la force de s'en passer totalement.
QuackityStudios a posté un tweet sortant de l'ordinaire : il n'est lié à aucun évènement se déroulement au moment du post, le nombre de jour est en décimal, et il y a un message caché à droite de l'image.
Pac a rencontré Foolish, et lui a proposé de prendre un cachet pour tester les effets sur lui. Il est très intrigué de savoir ce qui va lui arriver s'il en prend, et a décidé d'en discuter avec sa version chaotique dans le château de cellbit pour savoir ce qu'il doit faire. Son alter-égo lui a dit qu'il n'est pas une chochotte et qu'il doit les prendre. Il est aussi tombé enceinte d'un monstre.
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https://clips.twitch.tv/BlindingBashfulNikudonPeteZarollTie-K_BlweRf4m1pdoso
Foolish Fit et Tubbo ont suivi une nouvelle piste d'oranges, qui a mené vers une plateforme aérienne. Là haut, ils ont retrouvé Abuelito, qui lui a demandé d'emmener toutes les recherches sur Mr Mustard avec lui. Il lui a ensuite montré une warp plate, et les 3 compagnons sont allés au royaume des capybaras ! Là bas, ils ont rencontré quasiment tous les capybaras existant, ainsi que quelques nouveaux. Abuelito lui a expliqué qu'ils ne laissaient jamais rentrer personne ici, mais qu'ils faisaient une exception pour quelqu'un comme lui qui a toujours cherché a protéger les capybaras. Il lui a montré la maison de Mr Mustard, et lui a expliqué ce qui lui est arrivé : il a essayé de préparer une potion et elle a explosé, rendant le capybara invisible. Néanmoins, ils pensent qu'en versant de l'eau de piscine sur un feu bleu, il pourra peut-être réapparaître. Une fois fait, Mr Mustard est effectivement réapparu, et tous les capybaras ont construit un trône pour Foolish et lui ont donné une couronne, le déclarant officiellement roi des capybaras ! Lui et ses nouveaux sujets sont allés faire la fête au spawn, provoquant beaucoup d'explosions sous couvert de nombreuses musiques. Foolish a aussi pu nommer les nouveaux capybaras : SNIPYBARA, Tango et Reyna !
twitch_clip
https://clips.twitch.tv/MoralEndearingHeronAMPTropPunch-toZh2RJlCzCbmPPE
Foolish en a profité pour leur demander s'ils avaient entendu parler de l'absence des oeufs, mais les capybaras ne savaient même pas de quoi il parlait. Ils ont tout de même accepté, si besoin était, de participer à une opération spéciale pour aller les récupérer.
Il y a deux nouveaux travailleurs de la fédération ! L'un porte un casque bleu, l'autre un casque jaune. Tubbo a nommé le casque bleu "Fred", et le casque jaune "Jed". Ils ne connaissent pas WalterBob et n'ont aucune idée du principe d'émotion non plus.
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https://clips.twitch.tv/BoredAbstemiousPeppermintCclamChamp-_bODMFMYzf19Qmf1
BadBoy a perdu toutes ses couleurs. Il est désormais dans des nuances de gris et de noir. Par moment, son personnage ne voyait plus les couleurs non plus.
BadBoy s'est confié à Aypierre : il lui a dit tout ce qui s'était passé la veille avec Forever (sa crise de somnambulisme, son saut dans le vide…) et les deux ont décidé de contacter Roier pour tenter de traduire le livre portugais. Roier a donné une version similaire à la traduction de Pol : Forever demande de l'aide, car il n'en peut plus. Les 3 compères se sont accordés sur le fait qu'il faut tuer Forever le plus vite possible pour le débarasser de la drogue.
BadBoy a entrainé Foolish a dire non à la drogue si Forever ou Pac lui en propose. Foolish a ensuite expliqué ce qui s'était passé avec les capybaras à BadBoy. Celui-ci pense que Foolish est drogué. Aypierre pense que ce sont les capybaras qui sont drogués.
twitch_clip
https://clips.twitch.tv/RespectfulSmallChickpeaDancingBanana-FcagLZ72aH0KM3f9
Forever est parti du serveur en jouant une nouvelle vidéo : le parallèle entre lui, et ce qu'il souhaiterait faire dans sa tête. La vidéo alterne donc entre des scènes normales où Forever se balade puis les même scènes où Forever fait tout brûler et exploser. BadBoy est parti aussi, après avoir lu la lettre que Pomme a laissé à Baghera.
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31 août
je viens de me baigner en culotte dans une rivière et comme à chaque fois que je me baigne dans une rivière (jamais) je me disais: je fais des progrès en nature!! j'avançais assise dans l'eau en me servant de mes bras parce que j'avais peur de glisser debout sur mes jambes incertaines. l'eau était agréablement fraiche et je suis allée m'assoir sur un caillou sur l'autre rive pour réfléchir à l'ombre. pourquoi je me baigne pas plus souvent dans des rivières? à chaque fois que je le fais c'est une histoire d'amour.
quand on est arrivées sur le plateau de l'aubrac ce matin j'avais envie de pleurer en voyant les grandes étendues vertes et dorées et les rochers sérieux parsemés entre les murs de pierre et les vaches. et puis y a la musique de para one de bande de filles qui est passée et j'ai commencé à pleurer comme une fontaine, en silence parce que je savais que maman ne comprendrait pas et je voulais pas qu'elle gâche tout. j'ai dit ah il me tarde de venir vivre ici!! et elle a fait un petit pff au lieu de rêver trouve des solutions réalistes lara. je pensais qu'elle serait contente de voir qu'il existe un avenir qui me donne envie parce que pour moi c'est une bonne nouvelle. personne me prend au sérieux quand je dis que je veux vivre à la campagne mais c'est dans la nature que je me sens le mieux et comme j'ai pas de plan de vie ni de carrière ni d'enfants ni rien, pourquoi me forcer à aller vivre en ville alors que la campagne me rend heureuse?
hier à moulins à la visite guidée de la maison mantin j'avais un petit crush sur un type blond qui faisait la visite avec sa fille qui devait avoir le même âge que la fille de r. on attendait le début de la visite sur un banc dehors sous le grand cèdre et il arrêtait pas de me jeter des coups d'oeil. le guide lui a dit je vous ai déjà vu vous et il lui a dit qu'il avait fait la visite il y a dix ans mais que peut être il l'avait croisé au crédit agricole et ça a emballé mon imagination. un jeune père blondinet en short bleu pétrole et baskets en toile blanche immaculés employé du crédit agricole de moulins, what if?? tellement exotique après berlin. dans la chambre de monsieur mantin on était tous les deux dos au grand lit en bois massif avec des têtes de diables sculptées dans les poteaux du baldaquin. j'ai frôlé son bras avec mon coude pendant que le guide nous expliquait que le mot flirt venait de compter fleurette. y a rien que j'aime plus dans la vie que les petits flirts discrets comme ça. tellement discrets qu'ils existent à peine. ce serait comment la vie à moulins avec un garçon qui travaille au crédit agricole et une petite fille de cinq ans? ma vision de l'enfer à priori, mais hier au musée ça me semblait être une vie potentiellement très très douce. il avait l'air incroyablement doux. et puis bon il avait une fille ce qui me rappelait r. j'avais envie qu'elle m'aime bien. je lui faisais des petits sourires comme si j'étais déjà sa belle-mère essayant de se faire adopter. je pensais au décalage entre moulins et berlin et je me suis dit que je pourrais pas aimer moulins sans berlin comme je peux pas aimer berlin sans moulins. je dis moulins parce qu'on y était et parce que ça rime, mais ça s'applique à n'importe quelle ville ou village de province. j'ai besoin du kontrapunkt.
1er septembre
j'ai rêvé du jeune père de moulins. il habitait dans un appart tout neuf très grand très moderne et quand il a essayé de m'embrasser il était plus doux du tout et j'ai du me réveiller pour pas me faire agresser. ensuite le ciel s'est rempli de tornades, c'était très sérieux, un gros engin moderne s'est écrasé devant nous et je me demandais s'il était pas inquiet pour sa fille. il m'a demandé si je pouvais lui passer des poils de ma moustache pour se les rajouter à sa barbe inexistante. il ressemblait à ted de schitt's creek.
2 septembre
à la plage. le pain est mou, ça veut dire que c'est marin. je suis déjà nostalgique de l'aubrac et de l'herbe et des rochers et de la rivière et du pont au dessus de la rivière et des vaches et des collines rondes vertes et dorées. c'est un peu les mêmes que celles en auvergne en 2019 où je disais qu'elles ressemblaient à des seins parce que j'étais dans ma période écoféministe. après ma baignade dans la rivière j'ai écrit à f. pour lui souhaiter son anniversaire je lui ai envoyé un selfie en mettant joyeux anniversaire de moi et de l'aubrac (my girlfriend). je crois que j'ai un rapport amoureux avec les endroits. la mer reste mon amante numéro un mais avec la nature c'est pas comme avec les humains, je peux aimer plusieurs endroits à la fois. je me suis baignée en chantonnant le générique de h2o mais dans ma tête j'étais encore dans l'aubrac à me faire embrasser sur la bouche par une abeille en chantant mes chansons toute seule au milieu des pâturages. hier matin au marché de saint-urcize maman a demandé à la maraichère bio s'ils prenaient des saisonniers en précisant c'est pas pour moi c'est pour ma fille.
je viens de sortir de l'eau. c'est moyen l'amour là. peut être que je l'ai trop fantasmée à berlin. je me fantasmais sur ma serviette le matin avec maman cécile et hélène à leur raconter mes malheurs berlinois mais ce matin dans l'eau quand hélène m'a demandé si je me plaisais à berlin j'ai dit moyen et j'ai pas développé et on est passées à autre chose. hier soir quand cécile m'a posé la question sur le parking j'ai dit qu'y avait trop de monde trop de bruit et trop de gens bizarres. je sais pas pourquoi j'ai dit ça. pourquoi c'est ça qui me vient à l'esprit et j'oublie complètement l'autre moitié de moyen, la moitié bien, la moitié culture excursions dans la nature bords de la spree écriture au cimetière coloc sympa tout ça.
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La lumière des installations baignait Lyon d'une lueur féerique, et la foule autour d'eux semblait s'effacer. Julien avançait lentement, fasciné par les reflets dans l'eau et les éclats dorés qui dansaient sur le visage de Lucas.
« Tu regardes les lumières ou moi ? » demanda Lucas en se tournant vers lui, un sourire en coin.
Julien sentit ses joues s'empourprer, mais il n'y avait plus de raison de cacher la vérité. Pas ce soir. Pas ici.
« Toi, » répondit-il, presque dans un souffle.
Leurs regards se croisèrent, et l'espace entre eux sembla disparaître. La musique douce au loin, les rires des passants, tout devint une toile de fond. Lucas tendit la main, ses doigts effleurant ceux de Julien.
« Alors regarde-moi bien, » murmura-t-il. « Parce que je n’ai pas l’intention de te laisser détourner les yeux. »
Dans cet instant suspendu, sous les étoiles et les lumières de la ville, le monde semblait leur appartenir.
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ENTIERRO PARISINO
Por medio las barracas discurría el entierro.
Llovía y en los charcos el fango se rizaba. Llegaba desde lejos, en levantisca furia, el mallar de los tigres, rugir de los leones. El murrio bulevar, desigual e infinito, chillón de gaiterías y cobres machacones; en el cielo algún mástil alongaba su trazo… y aquello que no andaba, y sin fin parecía. El ojo, sin querer, con la mente a la zaga, se volvía a mirar lo que dejaba a un lado, y por doquiera, frío, turbio entre el aguacero, pasmaba un pormenor, un pictórico lejos: bajo una bambalina, entre los bastidores, un niño, de pierrot, miraba enharinado; o, marcando el compás, la gente por el aire, rodaba el balancín su gran orbe de yerro. Como una fijación que ahuyentada retorna, tan parisino y triste, el contraste era eterno.
Saliendo de la feria, aun hubo que pasar por medio la comparsa, lista para salir. Allí estaban los hombres, tensa la malla rosa, y, con mirada ausente, las mujeres también, de belleza sacada no se sabe de dónde, que su cuello ceñían con jirones de tul; bufaba el viejo clown bajo su afeite grana. Y, fueran luchadores de lucha a mano abierta, bailarinas temblonas en falda de abalorios, niños que el oropel endosaban felices, pisaverdes ajados, currutacos rabiosos, damas del Directorio o del Primer Imperio, todos, como de acuerdo, deteniendo en los labios la risa que estallaba, saludaron la muerte.
*
ENTERREMENT PARISIEN
L'enterrement passait au miUeu des baraques.
Il pleuvait, et le vent ridait la boue en flaques. On entendait, bruyants dans leurs rébellions, Des tigres miauler et rugir des lions. Le morne boulevard, défoncé, long à suivre, Éclatait d'oripeaux et de refrains de cuivre. Sur le ciel quelque mât effilait un trait fin, Et l'on allait toujours, et l'on allait sans fin. Malgré soi, le regard que suivent les pensées Se retournait pour voir les choses dépassées, Et, de chaque côté, froid et brouillé par l'eau, Surprenait un détail, tout un coin de tableau : Dans l'écart d'une toile et d'un portant de planche Un enfant en pierrot montrant sa face blanche ; Ou, tournée en musique, avec des gens en l'air, La bascule allongeant son grand orbe de fer. Comme une obsession qu'on chasse et qui persiste, Le contraste durait, parisien et triste.
Vers le bout de la fête, on dut encor passer Devant une parade en train de commencer. Les hommes étaient là, gonflant leur maillot rose ; Et les femmes, semblant penser à quelque chose, Belles d'une beauté prise je ne sais où, Ramenaient un lambeau de gaze sur leur cou. Le vieux pitre crevait dans sa peau d'écarlate ; Et tous, lutteurs campés pour la lutte à main plate, Danseuses frissonnant dans leur jupe à paillons, Enfants heureux d'avoir ce clinquant de haillons, Incroyables fanés, muscadins en délire, Dames du Directoire et du premier Empire Arrêtant sur leur bouche, en un commun accord, Le rire commencé, saluèrent la mort.
Albert Mérat
di-versión©ochoislas
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L'eau me manque. Peu importe que ce soit la mer, l'océan, un lac où encore une rivière mais l'eau manque à ma vie. Sa douce musique, le parfum qu'elle procure aux choses qui l'entourent, la lumière changeante qu'elle renvoi ainsi que le calme et l'apaisement que l'on ressent quand on la contemple en silence. L'eau est l'un des 4 éléments que je ressens comme faisant parti de ma nature profonde.
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La Tremblade, Poitou-Charentes, France
Quelques paysages de mer qui me fascinent : les couleurs, les lumières, et cette vibration de l'air contre les tympans du coeur, cette musique de l'eau qui va dans l'âme profonde, une vraie parole d'amour donnée dans le silence...
#au-jardin-de-mon-coeur
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Épisode 4
Dans la chambre, Ray et Blotin se déplacèrent sur la trame usée d'un vieux tapis persan , en soulevant le matelas Ray trouva un dvd dans une pochette plastique.
Ray mit le dvd dans le lecteur en compagnie de Blotin ils regardaient évoluer Amelie nue lançant des paroles un peu cochonnes à destination d'un inconnu qui était certainement celui qui filmait. Ils voyaient déambuler Amelie dans l'appartement, elle prenait des poses, poussait des soupirs, faisait des clin d'œil invitant l'inconnu à s'approcher du lit. Elle invitait à haute voix son inconnu à quelques hardiesse.
Les yeux fixés sur l'écran Blotin marmonait :
- putain ! putain ! incroyable !
- là ! là ! clama Ray en souriant
Ils arrêtèrent le visionnage du dvd pour l'emballer dans un sac pour le laboratoire.
- ouais je veux la revoir ! dit Blotin
-d'accord ! on prend l'ordinateur et les appareils connectés.
Au commissariat Ray et ses collègues visionnèrent encore la vidéo, Ginette restait bouche bée devant le défilé d'Amelie toujours promettant monts et merveilles à son vidéaste muet elle fit remarquer qu'il y avait en arrière fond une musique de guerrier Amérindien.
Maintenant la musique devenait très agressive et Amelie défilait une machette à la main, elle reitera ses promesses en brandissant la machette en direction de l'inconnu. Puis plus rien sur la vidéo.
- il a de la chance ce vidéaste !s'exclama Blotin
- ouais il faut le retrouver ! dit Ginette
Ginette ajouta qu'elle allait fouiller dans l'ordinateur d'Amelie.
Ray ajouta :
- est-ce que la famille était au courant des activités de leur fille ?
- je ne pense pas répondit Blotin
Il ajouta qu'elle avait une sœur et que généralement deux sœurs se parlent beaucoup, il faut vérifier cela, même les parents et l'entourage ce serait bien.
Ray intervint :
- je vais en parler à Santenax illico...
En revenant avec l'accord du boss , Ray répartit les tâches et fixa un nouveau rendez-vous pour le lendemain matin.
L'équipe but un dernier café avant de se séparer.
Ray marchait tranquillement vers son domicile, profitant des derniers rayon de soleil.
Il pensait brièvement à Simone à son fouet,ses menottes, il en souriait quand même.
Il monta les escaliers deux par deux pour travailler son souffle. Arrive devant sa porte il expira un grand coup puis introduisit la clé dans la serrure. Quand il eut refermé, il s'adossa contre la porte en soufflant .
Machinalement il se remplit un verre , un vieux disque de Basie tournait, Ray l'appreciait beaucoup, son regard parcourait le salon avec une certaine fatigue.
Plus tard il se confectionna un sandwich qu'il garnit avec du salami, de fromage râpé et de cornichons. Il fit bouillir de l'eau pour y jeter une poignée de pâte.
Il engloutit le tout en buvant de la bière.
Installé sur le canapé il fuma une cigarette en pensant à cette nouvelle enquête.
De son canapé Ray voyait déjà les faisceaux des réverbères, le jour baissait doucement ce qui plongea son salon dans l'obscurité petit à petit. Finissant un reste de café froid il contempla fixement le mur en face lui.
Il s'endormit profondément sur son canapé les mains sur sa poitrine.
Le lendemain dans le bureau de Ray, Santenax était présent et accueillait toute l'équipe en serrant les mains vigoureusement. Assis autour d'une table chacun fit le point sur les investigations qu'ils avaient à faire pour la journée, Santenax avait disposé du papier et des stylos pour prendre des notes sur la table.
Santenax se fit préciser le contenu du dvd, il voulait savoir se que l'on pouvait en tirer comme indices , ol dit qu'il fallait récolter le plus de renseignements possible sur cette vidéo.
- ça nous permettra peut-être avec un peu de chance de la retrouver dit le boss
Les autres restèrent dubitatifs.
- enquêter discrètement là-dessus même chose pour les parents et l'entourage , des pincettes et du doigts ! je compte sur votre discrétion dit Santenax.
Ray et ses collègues acquiecèrent ensemble.
Le boss avait mis son costard bleu anthracite avec une belle cravate jaune pâle agrémentée de rayures bleues.
Le boss allait avoir plein de réunions avec les autres fonctionnaires, ça voulait dire plein d'emmerdes en perspective. Blotin et Ginette regardèrent Ray, celui-ci compris qu'il devait aborder le volume d'heures d'enquête, les éventuelles heures supplémentaires, ce qui avait le don de faire sortir de ses gonds le boss.
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Camille Monfort, la légende du "Vampire de l'Amazonie" (1896).
En 1896, Belém s'enrichit en vendant le caoutchouc amazonien au monde entier, enrichissant du jour au lendemain les paysans qui construisent leurs riches demeures avec des matériaux venus d'Europe, tandis que leurs femmes et leurs filles envoient leurs vêtements se faire laver sur le vieux continent et importent de l'eau minérale de Londres pour leurs bains.
Le "Theatro da Paz" était le centre de la vie culturelle en Amazonie, avec des concerts d'artistes européens. Parmi eux, l'un d'entre eux attirait particulièrement l'attention du public, la belle chanteuse d'opéra française Camille Monfort (1869 - 1896), qui suscitait des désirs inavouables chez les riches seigneurs de la région, et une jalousie atroce chez ses épouses en raison de sa grande beauté.
Camille Monfort a également suscité l'indignation pour son comportement affranchi des conventions sociales de son époque. La légende raconte qu'on l'a vue, à moitié nue, danser dans les rues de Belém, alors qu'elle se rafraîchissait sous la pluie de l'après-midi, et la curiosité a également été attisée par ses promenades nocturnes solitaires, lorsqu'on l'a vue dans ses longues robes noires et fluides, sous la pleine lune, sur les rives du fleuve Guajará, vers l'Igarapé das Almas.
Bientôt, autour d'elle, des rumeurs se créent et des commentaires malveillants prennent vie. On disait qu'elle était l'amante de Francisco Bolonha (1872 - 1938), qui l'avait ramenée d'Europe, et qu'il la baignait avec de coûteux champagnes importés d'Europe, dans la baignoire de son manoir.
On disait aussi qu'elle avait été attaquée par le vampirisme à Londres, à cause de sa pâleur et de son apparence maladive, et qu'elle avait apporté ce grand mal à l'Amazonie, ayant une mystérieuse envie de boire du sang humain, au point d'hypnotiser les jeunes femmes avec sa voix lors de ses concerts, les faisant s'endormir dans sa loge, pour que la mystérieuse dame puisse leur atteindre le cou. Ce qui, curieusement, coïncidait avec des rapports d'évanouissements dans le théâtre pendant ses concerts, expliqués simplement comme un effet de la forte émotion que sa musique produisait dans les oreilles du public.
On disait aussi qu'elle avait le pouvoir de communiquer avec les morts et de matérialiser ses esprits dans des brumes éthérées denses de matériaux ectoplasmiques expulsés de son propre corps, lors de séances de médiumnité. Il s'agit sans aucun doute des premières manifestations en Amazonie de ce que l'on appellera plus tard le spiritisme, pratiqué dans des cultes mystérieux dans des palais de Belém, comme le Palacete Pinho.
À la fin de l'année 1896, une terrible épidémie de choléra ravagea la ville de Belém, faisant de Camille Monfort l'une de ses victimes, qui fut enterrée dans le cimetière de Soledade.
Aujourd'hui, sa tombe est toujours là, couverte de boue, de mousse et de feuilles sèches, sous un énorme manguier qui la fait plonger dans l'obscurité de son ombre, seulement éclairée par quelques rayons de soleil projetés à travers les feuilles vertes.
Il s'agit d'un mausolée néoclassique dont la porte est fermée par un vieux cadenas rouillé, d'où l'on peut voir un buste de femme en marbre blanc sur le large couvercle de la tombe abandonnée, et attachée au mur, une petite image encadrée d'une femme vêtue de noir.
Sur sa pierre tombale, on peut lire l'inscription :
« Ci-gît
Camille Marie Monfort (1869 - 1896)
La voix qui a charmé le monde ».
Mais certains affirment encore aujourd'hui que sa tombe est vide, que sa mort et son enterrement n'étaient rien d'autre qu'un acte visant à dissimuler son cas de vampirisme, et que Camille Monfort vit toujours en Europe, aujourd'hui à l'âge de 154 ans.
(L'image originale a été retouchée pour extraire les détails. Et non, ce n'est pas un téléphone portable qu'elle tient dans ses mains, mais un petit carnet).
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" Danser sous la pluie est plus que danser. Il y a là quelque-chose de l'ordre du sublime, du transcendant. C'est un acte à la fois d'acceptation et d'insoumission, un baiser et un pied-de-nez adressé aux forces du ciel. Danser sous la pluie est insensé et prophétique, une grande déclaration d'amour qui préfère le corps aux mots, un ballet sans autre musique que ces airs intérieurs que redonnent notre coeur. C'est le défi de la joie que lance l"humanité au ciel, comme une valse amoureuse dans les bras de la vie.On offre son visage à la caresse de l'eau et on se laisse tourner la tête dans l'incongru manège du ciel qui ne nous tombe plus dessus puisqu'il nous mêle à lui, puisque nous l'épousons dans cette étrange noce. Que cette folie est douce et qu'elle est enivrante. Se dessaisir de soi-même pour être soi-même saisi dans la ronde joyeuse qui d'un petit bout de caillou tournoyant dans le vaste univers, nous fait une terre où virevoltent nos pas.
Laissez vous inviter à danser sous la pluie, c'est l'âme agie du monde qui vous prend par la main pour faire tourner le monde aux battements des coeurs. Et invitez le monde à venir dans vos bras pour entrer tous les deux dans un même amour".
Tydé
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