#montre suisse
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o-link · 3 months ago
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Tag Heuer Carrera
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montre-l-heure · 8 months ago
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Comment s'est déroulée la révision de la Zénith ?
On se retrouve pour un nouvel article consacré à la révision d’une montre mécanique. Cette fois, il s’agit d’une Zénith Vintage âgée d’une cinquantaine d’années, provenant d’une marque prestigieuse présente depuis de nombreuses années. Avant de nous plonger dans la révision proprement dite, je vous proposerai un bref résumé de l’histoire de cette marque depuis ses débuts. L’histoire de…
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comtessezouboff · 1 year ago
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La Galerie des Cotelles Set
A retexture by La Comtesse Zouboff — Original Mesh by @thejim07
At the very moment when Louis XIV wrote the first version of 《Manière de montre les jardins de Versailles》, he expressed his desire to recreate his words as images.
In 1688, he comissioned an outstanding set of 24 paintings describing the different groves in gardens with mythological allegories to be placed in the galerie at the Trianon de Marbre.
The ornamentation of the gallery linking Trianon to Trianon-sous-bois was entrusted to three painters between 1688 and 1689: Jean Cotelle painted twenty-one of the twenty-four canvases hung in this room, Etienne Allegrain two others, and Jean-Baptiste Martin.
This gallery, decorated around 1690, bears the name of the author of most of the paintings which appear there and which represent views of the groves of Versailles and Trianon, embellished with mythological figures.
This set remained in place until the First Empire. Napoleon I considered replacing them with paintings to his glory. The works will return to their original location in 1913 after being restored to 《La Colection Royale》 by Louis Philippe and can be seen there to this day.
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This set contains 24 paintings with the original frame swatches, fully recolourable. They are:
View of the Amphitheater of the Grove of the Théâtre d'Eau with the Toilette of Psyche.
View of the Bassin du Dragon and the Gutter of the Neptune Fountain with Apollo Slaying the Serpent Python.
View of the Colonnade Grove with Apollo Served by the Nymphs.
View of the Entrance of the Labyrinth Grove with Nymphs and Cupid Catching Birds in their Nets.
View of the Fountain of the Fifty-Two Jets, or Plat-Fond at the Trianon with Mars and Venus.
View of the Grove of l'Encelade with Jupiter Slaying Enceladus the Giant with the Feast of Lycaon.
View of the Grove of L'Étoile or la Montagne d'Eau with Diana Saving Arethusa from Alpheus.
View of the Grove of the Arc de Triomphe Towards the Fountain of La France Triomphante with Nymphs Chaining Captives.
View of the Grove of the Arc de Triomphe with Venus and Adonis on a Chariot Driven by Cupid.
View of the Grove of the Baths of Apollo or des Dômes with Diana and her Nymphs.
View of the Grove of the Labyrinth Showing the Fountain of the Fight of the Animals and the Two Fountains of the Fox and the Crane with Diana and the Nymphs.
View of the Grove of the Salle de Bal with Armide Crowning Renaud.
View of the Grove of the Théâtre d'Eau with the Toilette of Psyche.
View of the Marais or Chêne-Vert Grove with Nymphs Playing Various Games.
View of the Neptune Fountain, the Bassin du Dragon and the Allée d'Eau with the Judgement of Paris.
View of the Orangerie and the Palace from the Pièce d'Eau des Suisses with the Abduction of Helen of Troy.
View of the Orangerie of Versailles and the Pièce d'Eau des Suisses with Vertumnus and Pomona.
View of the Parterre d'Eau with the Apotheosis of Venus.
View of the Parterres of the Trianon de Marbre with Zephyrus and Sleeping Flora
View of the Trois-Fontaines Grove with Garden Loves.
View of the Trois-Fontaines Grove with Venus and the Nymphs.
View of the Feast or Council Room Grove in the Palace of Versailles.
View of the Grove of the Miroir d'Eau Fountain and the Île-Royale in the Palace of Versailles.
Perspective view of the Grove of the Galerie des Antiques.
Found under decor > paintings for 1.850§
(you can just search for "Cotelle" using the catalog search mod to find the entire ser much easier!)
Retextured from:"The virgin of the Rosary" found here
Disclaimer!
All of the paintings shown here aren't as blurry as in the screenshots and its colors are more vibrant in-game!
Cc shown here:
Walls, door and bench by @thejim07
Floor by @martassimsbookcc
Windows by @missyzim
Chandelier and garland by @hydrangeachainsaw
Pediment by Mutske (TSR)
Consoles by ShinoKCR (TSR)
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Drive
(Sims3Pack | Package)
(Useful tags below)
@joojconverts @ts3history @ts3historicalccfinds @deniisu-sims @katsujiiccfinds @gifappels-stuff
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c-comme-chat · 3 months ago
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Passe temps, écrit en Novembre 2018, retour d'Australie. Jamais fini.
J’ai pris conscience récemment de l’effet du temps sur les souvenirs. Quand on croit en l’instant, comme à une religion, on a tendance à trouver dans ce point de vie, dans cette fraction de mesure, l’éternité. Comme toute religion peut-être, en tout cas dans mon cas, il y a un temps pour la ferveur, le mythe, l’utopie, et puis un temps pour la désillusion. J’ai donc réalisé que l’instant n’était pas plus magie que la magie qu’on y percevait, que j’étais la magicienne capable de rendre mes instants mystiques, puis éternels.
D’où l’idée d’écrire. Je traverse l’une de ces périodes si rationnelles, où tout semble mécanique. Le temps ne semble être réduit qu’au Tic-Tac d’une montre suisse ou au va et vient hypnotique d’une horloge. Ma vie ne semble être qu’une marche oisive suivant scrupuleusement un « schéma social », essayant de mettre en pratique une théorie apprise dans le « Manuel du Bon Citoyen du XXIe siècle». Et mes souvenirs, mes souvenirs, j’aimerais m’en souvenir, en retrouver les émotions, les leçons de vie.
Dans ma chambre, à St Kilda, quartier de Port Philip, près de Melbourne. J’aime ce nom, c’est aussi celui de ma meilleure amie d’enfance, Coline Philip. Quelque chose de familier dans cet endroit, qui n’a pourtant rien à voir avec aucun des endroits où j’ai pu vivre avant. Mais c’est là que pour la première fois depuis des mois, j’ai une chambre, l’amour, mes affaires dans des placards, un tram pour aller au travail et faire les courses, une presque routine.
A l’exception prête que c’est une routine « d’immigré », pas de famille ou vraiment d’Amis, et que je suis incapable de garder un travail plus d’un mois. Non pas parce que je ne veux pas, mais parce que les conditions de travail ne sont pas habituelles pour moi. Premièrement, c’est beaucoup d’effort pour peu de retour, que ce soit financier (peu d’amusement donc), ou en termes de satisfaction personnelle. D’autre part ces emplois « casual » n’offrent aucune sécurité, on se fait renvoyer par un claquement de doigt, l’employeur est roi, mais lorsque l’on souhaite démissionner car l’environnement de travail nous rend la vie impossible, on peut ne pas être payé grâce à une simple close dans le contrat que bien sûr on a signé. Avec tout ça, on doit toujours venir au travail (un jour malade et c’est le renvoi) et être force de positivisme au sein de l’équipe afin d’entretenir le mensonge des employeurs, qui tend à faire croire qu’ils proposent tous le meilleur emploi de l’agglomération de Melbourne, pour mieux dissimuler la meilleure arnaque.
Ayant enfin terminés mes 5 ans d’études à Paris dans une autre routine assez angoissante également par son absurdité, me voilà, après 10 mois de voyage, de réponses et d’aventure, replongée dans la froideur et l’anonymat de la Ville. Le point positif, c’est que j’ai désormais le temps, pour me remémorer, ces petits morceaux d’éternité que sont mes souvenirs.
I. La décision
La décision était prise depuis 1 an, quand j’arrivai enfin au terme de mon contrat d’alternance avec l’entreprise ASSA ABLOY, leader mondiaux de systèmes d’ouverture (et fermeture attention) de portes. « Tintintinnn », aurait ajouté Renaud. Une belle proposition m’est alors offerte par le Directeur des Ressources Humaines, un alsacien dont l’humour restait assez incompris par la majorité des employés de l’entreprise, mais heureusement, quelques âmes détendues et tolérantes (en apparence du moins) dont moi-même, appréciaient. Cet homme donc, me le rendait bien et me proposa un Contrat à Durée Indéterminée, objet se faisant de plus en plus difficile d’obtenir de nos jours, et qui donne des tas de pouvoirs dans la société de consommation, comme avoir un crédit ou deux, ou trois, et aussi faire vraiment partie de l’Entreprise, de l’Équipe.
Ma décision de partir à l’étranger, autrement dit de fuir la société de frustration, était donc remise en question par ce qui me semblait être la question clef de mon existence : Faut-il ou non que je me conforme ? Tenter autre chose était terrifiant. Je pensais m’exposer à des regrets, des dettes, le désespoir de mes parents, l’indifférence de mes amis, l’échec. Je demandai donc bien sur l’avis de mes parents, de mes amis, plus pour me rassurer que pour vraiment influer sur ma décision. A ma surprise, ils me dirent tous de partir, comme s’ils avaient envie de me voir expérimenter ce qu’ils ne pouvaient pas faire puisqu’ils avaient, eux, choisi le CDI et la conformité. La différence, c’est qu’ils pensaient être heureux, je pensais être malheureuse. Pourquoi ce doute alors, la peur me tenait, j’étais terrorisée à l’idée de partir pour échouer, devoir revenir et faire face à la difficulté de trouver un travail, me remémorer mes choix et les regretter. J’avais en fait peur de tout ce dont tout le monde parle à la télévision, en soirée, cette peur de notre temps qui passe pour la normalité et qui se communique par le stress bien souvent. Plus que la peur du chômage, ou de vivre chez ses parents ou de manquer d’argent, la vraie peur c’est celle de l’anonymat. Être le petit perdant, celui qui passe inaperçu pendant que les autres sont occupés à consommer, à montrer, à s’occuper frénétiquement pour oublier l’absurdité de leur existence, ont un agenda, « une vie », et n’ont pas le temps de se préoccuper de ceux qui n’ont pas pris le train à l’heure.
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pallakschpallakschpallaksch · 7 months ago
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Des amours passantes et passagères
Dans l’un de tes poèmes, tu lui demandes de te parler des endroits où il a grandi, qu’il te montre sa maison, ses peines et ses souffrances, afin que ses souvenirs viennent tenir compagnie aux tiens. J’aimerais à mon tour te raconter, leur raconter, ce lieu où toi et moi avons grandi, où tes souvenirs sont devenus les compagnons des miens. J’aimerais raconter comment cette compagnie de souvenirs fusionna pour que ton souvenir vienne tisser la toile de ma mémoire. J’écris pour que la trace de ton souvenir ne puisse plus jamais quitter les miens. J’aimerais leur parler de cet endroit où a grandi notre romance contingente, éphémère, passagère, parisienne, printanière, tragique et dramatique.
Il existe au midi de Paris un endroit unique au monde, étonnant, cet endroit prend la forme d’un immense parc qui abrite en son sein différentes maisons liées à des pays ou à des institutions. Cet endroit, la Cité internationale universitaire de Paris, n’a comme unique cohérence que la bigarrure des architectures, où chaque maison trahit le souci d’exprimer un attachement à un temps, à un lieu, voire aux deux à la fois : ainsi cohabitent dans un même voisinage et en un même parc une « machine à habiter » brutaliste qui n’a de suisse que le nom et une maison aux allures de temple traditionnel japonais. Cet espace pas comme les autres, un espace autre, différent – différant – n’est pas une utopie. L’utopie c’est cet espace sans emplacement sur lequel nous projetons, fantasmons, rêvons, idéalisons une société parfaite. Cette cité puisque réelle – inscrite effectivement dans notre espace en un lieu donné – n’est pas une utopie, mais une hétérotopie. L’hétérotopie c’est un espace autre, une utopie effectivement réalisée comme nous le dit Foucault. Ce sont ces espaces autres ou différents qui sont hors de l’espace dominant. La Cité U est une hétérotopie en raison de la manière d’y habiter. Plutôt que de parler de résidentes, il nous faudrait parler de passagères : c’est un lieu où par définition nous y restons que de passage, le temps d’un échange académique, d’un stage, d’une résidence ou d’une thèse. Y venir, c’est déjà se préparer à partir. C’est un chez-soi qui ne sera jamais à soi. La résidente est nécessairement une passagère.
Au levant de cet immense parc se niche une maison blanche aux volets bleus, cette maison est la plus petite de toute la cité et peut-être aussi la plus hétérotopique de toutes. À en croire son directeur, elle serait la seule qui applique les souhaits de M. Honnorat de par son architecture. Hétérotopie dans l’hétérotopie, cette maison ne nous rappelle pas une usine, un hôpital, une école ou une prison. Les chambres ne sont pas juxtaposées le long d’un corridor, évoquant ainsi les couloirs lugubres et sans vie des architectures de l’enfermement, mais sont disposées de telle manière qu’elles encerclent le cœur de la maison qui devient véritablement un foyer. Chaque passagère, si elle veut rejoindre sa chambre, aller à la cuisine ou se rendre dans les salles d’eau devra nécessairement traverser la pièce commune. À chaque sortie ou entrée apparait la possibilité d’une rencontre – heureuse ou fâcheuse au gré de la passagère que l’on rencontrera.
Au cours des deux années passées dans cette petite maison blanche, pléthore de rencontres ont eu lieu: souvent celles-ci se limitaient à un seul et unique bonjour, un signe de tête ou un regard ; parfois s’établissait au fil des jours une forme de complicité pas tout à fait naturelle mais non plus pas feinte du simple fait de cette cohabitation nécessaire ; qu’en de rares occasions ces rencontres devinrent véritablement relations de telle sorte que le lien qui nous unissait n’était plus de l’ordre du passage mais de la pérennité de l’amitié excédant le bref temps de nos passages. Une seule et unique fois une passagère est devenue une amante.
Cette amante, c’était toi. Je te regarde et tu ne te doutes pas que je rédige ces lignes. Je vois ta gracieuse et fine silhouette, ta haute taille et ta démarche assurée. Je vois tes yeux bleus cernés de chaque côté par deux fines mèches de chaque côté de ton front, ces mèches se torsadent légèrement et prennent une courbe au niveau des joues roses et rebondies maculées de tâches de rousseur comme le reste de ton visage et qui te donnent un air espiègle. Ce que j’aime par-dessus tout dans ton visage ce sont tes rides qui témoignent d’une vitalité et une expressivité riche détonnant avec notre première impression de sévérité qui se dessine dans ton visage au repos. Il y a les rides de ton front : celles à la jonction du haut de ton nez et du coin intérieur de tes yeux. De l’autre côté, là où se torsadent tes mèches, des pattes d’oies se révèlent comme celle de ma tulipe noire. Si nous regardons ta bouche, tes fossettes nous sautent aux yeux ; celles-ci me ravissent à chacun de te sourires J’aime encore plus tes rides quand elles s’accentuent par une grimace, car je sais que tu délaisses un certain esprit de sérieux pour faire place à la malice et à la complicité. Ces rides sont d’autant plus touchantes car elles possèdent une certaine dimension dramatique, celle d’une perte qui t’a fait grandir trop vite à un moment, celui de l’adolescence, où le champ des possibles ne parait plus aussi infini qu’à l’enfance mais semble toujours marquée d’une incommensurabilité. Tes rides, dans la mesure où elles suggèrent un autre visage qui n’est plus, tracent sur ton visage la présence d’une absence, celle de la fin du monde, du monde qui t’a mis au monde. Celle-ci se devine aussi quand on observe ton petit nez d’une finesse délicate, ce nez minuscule orné de deux narines toute ronde encore plus prononcée par le contraste que produit ces rides. Il y a finalement ta bouche, cette bouche que tu tords et distords lorsque tu es prise par la cogitation ou la circonspection ; cette bouche aux lèvres roses et pulpeuses qui ne s’embrassent jamais réellement et de cette béance nous pouvons entr’apercevoir tes dents absolument blanches.
Nous oublions trop souvent d’écouter les mots, nous devons apprendre à entendre ce que les mots nous disent. Ta présence est ravissante, ravissante au sens le plus littéral du terme, je me suis senti comme pris de force par l’éclat de ton être, ton aura. Celle-ci m’a happé d’emblée. Puis nous nous sommes séduites et tu m’as ravie. Ton sens de l’écoute, ton sens de l’humour, ta curiosité et ta légèreté ont permis à un sentiment de confiance s’installer. Toute confiance véritable est une fiance, c’est-à-dire un engagement solennel et une promesse qui proclame : je veux que tu sois – je veux que tu existes (je veux que tu sois) et je veux que tu deviennes toi (je veux que tu sois). C’est dans le ravissement et la fiance que peut émerger le sentiment amoureux. Celui-ci émerge en s’abimant, ce n’est pas un hasard que l’on dit tomber amoureuse, car tomber amoureuse c’est s’abimer dans l’aura de l’être aimé, c’est désirer une errance infinie dans le paysage du corps de l’autre et s’aventurer dans le dédale des souvenirs de cet être afin que cette compagnie des mémoires puisse exister réellement. Le monde est chamboulé et l’on ne souhaite que l’être aimé devienne notre seul et unique cosmos.
Comment savoir si l’on est amoureux ? Est amoureuse, écrit Barthes, la personne qui attend. Force est de constater que chaque fois que je me rends dans le foyer de notre hétérotopie, c’est l’attente, ce tumulte d’angoisse, qui me submerge : seras-tu là ? Daigneras-tu discuter avec moi ? T’asseoir à mes côtés ? J’attends ta présence, mais plus encore j’attends un sourire, un regard et même une caresse ; je n’attends qu’un seul signe de tendresse ou d’affection qui à nouveau pourra me ravir et me rassurer. Chacune de mes venues dans les pièces communes s’accompagne de l’impatience de celle qui attend.
Cet amour, chère passagère, il doit être à la mesure du lieu où nous vivons, du lieu où je t’attends. Au sein de l’hétérotopie, je veux vivre avec toi une histoire inscrite dans un temps autre que celui des horloges et des calendriers, en dehors du temps physique et linéaire. Une romance authentique dans une hétérotopie doit s’inscrire dans une autre temporalité : une hétérochronie. Dans un lieu autre, penser un amour autre à partir d’un temps autre. Ce n’est pas l’amour des contes de fées que j’attends, je sais bien que nous ne vivrons pas heureuses jusqu’à la fin de nos jours et ayant beaucoup d’enfants. Toi et moi partirons au début de l’été dans nos contrées respectives et reprendrons le cours de nos vies comme ils s’étaient arrêtés le temps de notre passage. C’est évidemment un amour tragique car dès le moment de son éclosion il est voué à disparaitre à la fin de nos passages, il est par essence éphémère. C’est un amour qui jaillit, fleurit, éclot et périt. Cet amour sort du temps chronologique, ces successions de moments inscrits dans une linéarité, il est sans but hormis lui-même. Cet amour qui s’inscrit dans un temps autre, dans une hétérochronie, doit être kairologique pour qu’il puisse exister. Kairos dans la mythologie grecque prend la forme d’un petit dieu ailé, il représente l’occasion ou l’opportunité, ce petit dieu ailé ne se laisse apercevoir que par une touffe de cheveux au sommet de sa tête. Lorsqu’il passe devant nous, trois opportunités s’offrent à nous : ne pas le voir ; le voir et ne rien faire ; le voir et au moment de son passage tendre la main pour saisir l’occasion propice. Dans le cas d’un amour hétérochronique au sein de l’hétérotopie, il importe aux amantes de tendre la main à ce dieu ailé pour que les amantes puissent se tendre la main mutuellement, la prendre, la caresser et sentir la présence de l’autre en touchant et en étant touché. Cela exige d’être présent au moment présent, d’écouter son intuition et d’habiter l’instant dans une spatialité qui n’est pas linéaire. Dans le cas d’un amour passager, ce qu’il convient de cueillir est le sentiment amoureux propre dans tout son tragique et sa fugacité – Carpe amorem et qu’advienne l’amour passager.
À mes futures amours, ce sera cette saga que je narrerai quand je parlerai des lieux où j’ai grandi afin que mes souvenirs viennent tenir compagnie aux leurs. C’est cette même saga qui, à la fin de nos passages hétérotopiques, viendra à jamais hanter notre mémoire et les murs de cette singulière maison blanche aux volets bleus, où fugacement mes souvenirs ont tenu compagnie aux tiens.
L’attente amoureuse est l’attente que l’autre sache aussi saisir cet amour en attrapant la touffe du dieu ailé pour qu’advienne en l’hétérotopie la romance hétérochronique. La première fois que je t’ai pris la main chère passagère, j’ai cru que tu avais toi aussi aperçu ce dieu ailé, que tu l’avais attrapé par sa maigre touffe. Que les nuits d’amour qui suivirent cet évènement de la première caresse étaient la preuve que le dieu de cet autre temps était passé et que dyadiquement nous avions su le saisir. De simple amante, tu serais devenue l’amoureuse passagère. Les semaines s’écoulent et plus je passe du temps en ta compagnie, plus je me rends compte que certes Kairos est passé mais tu ne l’as pas saisi.
Le drame de cette romance est que toi mon amante, tu n’es pas devenue l’amoureuse passagère mais simplement la passante. La passante c’est l’incarnation de l’irréel du passé, de la contingence, de ce qui aurait pû ne pas arriver. En ne cueillant pas mon amour chère amante, il ne me reste que ta figure comme passante. Et mélancoliquement, je porterai ta présence de passante, dont la réminiscence sera teintée à la fois les souvenirs effectifs, ceux où les tiens ont tenu que trop brièvement compagnie aux miens, et les souvenirs du non-évènement de tout ce que nous aurions pu vivre mais que nous ne vivrons pas. C’est la compagnie de ces souvenirs réels et contingents qui viendront habiter mon cœur.
« Ô toi que j’eusse aimée ».
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carretera-de-mis-suenos · 7 months ago
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Esquel, petite pause bien méritée 😌
Hola todos,
Après le spectacle fabuleux de la Cueva de Las Manos, nous avons mis le cap en direction d’Esquel avec l’idée d’y séjourner 2-3 jours. Nous avons trouvé une cabaña incroyable, si confortable qu’elle nous a même poussé à prolonger le séjour. En tout, nous avons passé 5 jours sur place.
Esquel c’est un petit havre de paix entouré de montagnes avec un paysage très vert. On avait la vague impression de retrouver la Haute-Savoie et nous n’aurions pas été surpris de trouver le Mazot de Charles au détour d’une ruelle.
Durant nos quelques jours sur place nous avons été nous balader dans les environs de la ville, nous avons enfin dégusté la viande Argentine si réputée pour ses saveurs (sans surprise, elle était excellente) et nous avons été au Parque Nacional Los Alceres qui offre de sublimes randonnées au bord d’un lac bordé de montagnes. En bref, un séjour très doux, reposant et qui nous en a mis plein les mirettes une fois de plus.
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Après Esquel nous avons repris la route et nous avons fait une pause d’une nuit à San Carlos de Bariloche. On nous avait décrit la ville comme étant la Suisse de l’Argentine mais, honnêtement, je n’ai pas du tout eu cette impression. Pour accéder au cœur de la ville il faut d’abord traverser un véritable bidonville (ici ils appellent ça « villas ») dans lequel nous avons pu être confronté à la vraie misère que subit le pays depuis la crise économique. Si le centre-ville et la partie plus huppée de la ville servent de cache misère, nous n’avons cependant pas eu l’impression d’être au milieu d’un environnement suisse, plutôt réputé pour sa richesse, ses montres et son chocolat. L’énorme différence entre la partie pauvre et la partie plus riche de la ville nous a néanmoins donné cette petite claque nécessaire, celle qui nous rappelle notre chance d’être deux touristes européens plutôt aisés. La ville est assez sujette aux vols et cela n’a rien d’étonnant, nous nous sentions un peu coupables en déambulant dans les rues touristiques du centre, gavées de gringos venus dépenser leur argent. Nous sommes repartis avec un goût un peu amer en bouche, même si nous avons passé une super soirée en amoureux avant le départ. Point important cependant, nous avons vu notre tout premier Gauchito Gil, une figure sainte pour les argentins. Plusieurs histoires ont fait sa légende mais certains miracles après sa mort l'ont issé au rang de divinité.
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Nous sommes désormais en direction de Mendoza, les températures remontent peu à peu et c’est à nouveau agréable de dormir en tente. Nous avons fait une halte près d’une jolie rivière cette nuit.
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Nous sommes actuellement dans un petit bled perdu appelé Zapla. Charles est tombé un peu malade, il a une vilaine crève, on a donc pris une cabaña pour qu’il puisse se reposer ! Il sera sûrement sur pieds demain, il se sent déjà mieux après une bonne douche chaude.
Je vous tiens au courant de la suite !
Besitos,
Luna
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claudehenrion · 1 year ago
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Complotisme...
 L'état de ''non-santé'' de mon épouse me tient plus sédentaire que je ne l'ai jamais été de toute mon existence. Mais comme il faut toujours ''po-si-ti-ver'', j'ai décidé d »utiliser ce repos forcé à ''cultiver mon jardin'' (c'est bien LA fois de ma vie où je m'inspire d'une idée de Voltaire... On aura tout vu !), en conséquence de quoi et je travaille beaucoup... soit à des recherches pour enrichir et étayer les éditoriaux de ce Blog... soit à relire des auteurs anciens et des livres que j'ai aimés, en d'autres temps... soit à réfléchir (enfin... on se comprend ! Ce que j'appelle ''réfléchir'', c'est ressasser mes idées de mirliton et mes conclusions de comptoir de bistro...) pour avoir ''du grain à moudre'' pour le week-end, ce temps béni pour ressasser...
C'est dans ce dernier cadre que je tourne depuis plusieurs semaines autour d'une ''idée'' qui me turlupine et m'enquiquine, car je lui trouve des tas de réponses... toutes fort dérangeantes. La question est simple : ''POURQUOI TOUT VA T-IL SI MAL ?''', mais on peut la décliner : Pourquoi les faux problèmes sont-ils promus prioritaires et les ‘’vrais sujets’’ passés sous silence ? Pourquoi toute décision semble-t-elle prise ''en dépit de tout bon sens'' –quand ce n'est pas ''à l'envers de tout ce qu'il faudrait faire'' ?  Pourquoi le gouffre, que chacun constate et déplore, entre un personnel politique qui veut imposer ses ''dadas'' et un peuple qui ne comprend pas qu'on refuse de l'écouter et de lui répondre ? Pourquoi nos élus sont-ils plus occupés à nous imposer des contraintes inutiles (impôts, vitesse, ''transition climatique'', immigration, taxes, école, famille, mœurs, zônes dites ‘’de circulation’’, confinements, masques, vaccins...) qu'à nous simplifier la vie ?
Oh ! Je sais ! On va me dire : ton truc, il est vieux comme le monde, et chaque nouvelle génération s'est révoltée contre le décalage des priorités entre le Père et son Fils... A ceci près que je n'ai pas grand chose à voir avec une ''nouvelle génération'', et que mes enfants, à la soixantaine pour les aînés, ont vu  leurs préoccupations se mettre peu à peu à ressembler aux miennes. Alors ? Alors, si vous en êtes d'accord, je vous propose de partager l'état actuel de mes trouvailles : aucune n'est géniale, vous vous en doutez, mais (1)- elles ont le mérite d'exister... et (2)- je suis en mesure de les exposer clairement.... mieux qu’il y a trois mois.
Le premier écueil sur lequel on bute, c'est l'existence indéniable d'une constante non-exprimée, mais indéniable, persistante, permanente et perpétuelle : vouloir détruire ce qui a fait l'existence des ''peuples'' à travers le monde . On a l'impression qu'une espèce de volonté qui se croit supérieure (nous y reviendrons) cherche, à coup de lois scélérates, de contraintes insupportables, de bobards éhontés et de campagnes de pub mensongères, à détruire ''tout ce qui fait que la France était habitée de franco-gaulois, l'Allemagne de teutons, l'Angleterre de british, l'Espagne d'hidalgos, la Suisse d'horlogers, les Etats-Unis de cow-boys et la Russie... de russkis''...  Tout ce qui se passe un peu partout semble n'avoir qu'un seul but : uniformiser la population de l'Occident… puis, une fois la citadelle ''Europe'' tombée (la vraie, pas l'usine à gaz liberticide que les déconstructeurs  bruxellois nomment ainsi), seul l'islam pourra présenter une résistance, et ''on lui réglera son compte, le moment venu, à celui-là... ''. (NDLR : il leur a fallu 3 siècles pour entamer un peu la chrétienté. Alors, l'islam... Ils ne savent pas ce qui les attend !). Le mythe mortel de l'Homme nouveau n'a jamais été si prégnant, même sous les marxistes, comme le montre, H-24, tout macronien qui se respecte --sans être respectable pour autant !.
La cohérence d'action des dirigeants des ''G – 7... 8... ou 20'', semble pousser dans le même sens : Biden, Macron, Trudeau, Scholtz, Sànchez, Lula, Charles Michel... = même combat que Ursula Von der Leyen et sa grosse Commission bruxelloise, unis contre tous ceux (Italie, Hongrie, Polpgne, Tchéquie, Suisse, Slovaquie, Danemark, Royaume Uni... et tous les autres) qui se battent contre un ennemi invisible qui, se sentant porté par une mode mortifère, se permet tous les coups.... ce qui amène une seconde ''découverte'' : tout un système de lois dites ''sociétales'' , en vérité ''scélérates'', votées par des parlements acquis à cette forme dévoyée de modernisme ravageur, vont dans le même sens : couper les citoyens de toute leur histoire, des bases de ce qui leur a donné naissance en tant que ''Nation'', de tout système de référence auquel se raccrocher si la tempête souffle trop fort : la Nation est l'ennemi, puisqu'elle protège le Citoyen, cette victime ciblée de l'Etat anthropophage, et il faut donc l'abattre sans en avoir l'air, avec tout ses ''appuis'' : religion, us et coutumes, traditions, programmes scolaires, habitudes, bon sens, sagesse, culture, Histoire, modes de vie, etc... NB : Et ces salopards ont le front d' accuser les autres de ''complotisme'' ! Le ridicule ne tue plus !
Car ne vous laissez pas prendre par leur phraséologie et leurs serments sans suite : pendant tout le temps où vous travaillez, où vous prenez un café avec des copains en parlant ''foot'', où vous regardez pousser les carottes super- bio de votre jardinet... des hordes de gnomes qui ne peuvent être que très vilains (compte tenu de ce qu'ils font !) travaillent sans relâche à inventer de nouvelles manières, plus vicelardes que les précédentes, de piquer vos sous et vos biens, de vous asservir, de vous voler les quelques bribes de liberté qu'ils vous ont laissées (un oubli, sans doute !)... et de vous emmerder –s'ils sont chefs... leur seul but, dans la vie, étant que le Léviathan, leur Etat-dieu, possède tout, contrôle tout, régente tout, ait et soit tout... Et le plus fort, c'est qu'ils font semblant de croire qu'ils œuvreraient pour le bien public, ajoutant un mensonge énorme à leur perversité et à notre malheur !
La nouveauté effroyable que porte ce quinquennat est que les tenants de cette destruction de toute vraie humanité au seul profit d'un catastrophique ''homme nouveau'' fantasmé, peu changé dans son apparence physique mais entièrement reprogrammé dans son système de références et son mode de vie, d'une manière qui le rapprochera des ''insectes sociaux'', sont désormais sortis des assemblées et hémicycles dédiés aux lois et aux règlements, pour se translater dans un mode d'action directe : on sait, en sociologie que lorsqu'un certain pourcentage de nouveaux entrants fait tanguer l'équilibre d'une foule, tout peut basculer en un clin d’œil. Le confinement-prison-sans-condamnation et, plus généralement, toutes les âneries ''majuscules'' qui ont entouré le covid et nous ont forcés à nous conduire en clowns ridicules, ont constitué le dernier ''test en grandeur réelle'' : ''ils'' savent désormais qu'ils peuvent tout se permettre, avec ou sans ''49-3''. De Gaulle avait raison : ''Les français sont des veaux'' (peut-être même le sont-ils plus encore !).
En fait, ils ne sont pas si nuls que ça, au fond. Ils savaient où ils allaient : là où aucun de nous ne veut aller ! Vu les circonstances, ils ont estimé que ce moment était atteint : plus besoin de se cacher, de prendre des précautions ou d'avancer masqués : désormais, les queers et les ''drag-queens'' ont leurs entrées dans nos écoles où les petits flirts ne sont tolérés qu'entre adolescents du mêle sexe, où la demande de changement de sexe vaut ''tableau d'honneur '' et encouragements du corps professoral, et où la norme est à l'homo-sexualité : partis comme ils nous contraignent, et si on ajoute à ces errements le nombre de stérilités post-covid (qu'il fallait tester avant, sur les ''vaccins-sic''. Mais personne ne l'a exigé !),...   dans 2 générations, il n'y a plus un seul bébé français. Une chute folle de notre natalité a commencé, à la fois en fanfare et sans tambours ni trompettes : elle est, peut-on dire, silencieuse mais on peut s’en réjouir.  ''Silence, l'Occident meurt ! Youpiii !''
Si vous trouvez que j'exagère, re-parcourez donc les ''brèves'' de ces dernières semaines : vous  constaterez l'audace conquérante de tous les destructeurs de civilisation, tueurs de familles, montreurs de cochoneries, incitateurs à la débauche et pousse-au-crime divers qui sont occupés à plein temps à ravager l'équilibre psychique, moral, mental et social des enfants... Et dites-moi si les innombrables ''marches blanches'', cette nouveauté inutile, ne vous ont jamais fait penser à ces défilés de fourmis qui marchent, sans autre finalité apparente que marcher...
Ce qui nous fait cruellement défaut, c'est un ''iso-Zola'' qui fulminerait dans un ''J'accuse'' version 2023 et qui ferait exploser en plein vol leur plan machiavélique, cet authentique ''complotisme'' dont nous détournons le regard pour prétendre que nous ne l'avons pas vu arriver, en douce...  Mais le plus incompréhensible est que derrière ce véritable ''complot'' –le seul qui mérite ce titre-- il semblerait qu'il n'y ait aucune vraie ''tête pensante'' : rien que des exécutants sans génie (les Attali, Minc, Schwab, Mélenchon, tous les macronistes, les écolos et les insoumis), ici, et les patrons des  ''Gafam'', ici et ailleurs). Il est vrai que, pour parler de leur grand complot, planétaire, total, infini, ils parlent de ''projet politique'', ce qui n'a pas plus de sens que son contenu. Un complot est un complot. Le leur, un méga complot.
Leur seul trait de génie  –qui commence à faire long feu-- a été de faire porter le chapeau de ''complotiste'' par tous ceux qui se mettent en travers de leur œuvre de destruction, ceux qui avertissent le monde de leurs turpitudes, et qui sonnent le tocsin avant que leur rêve –qui est le cauchemar du reste (= 99,99 %) de l'humanité ne soit vraiment devenu la seule porte ouverte... qui se fermera à tout jamais à l'espoir, au Beau, au Bon, au Vrai, à Nous… ''Complotiste !'', accusent ces super-comploteurs en parlant de ceux qui pensent encore ''droit'' ? Français, réveillez-vous, ne vous laissez pas avoir, je vous en prie : il est ‘’moins une’’ !
H-Cl.
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lemondeabicyclette · 2 years ago
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Le bruit causé par les transports augmenterait le risque de suicide, selon une étude de l'Institut tropical et de santé publique suisse. La circulation routière est en cause et dans une moindre mesure les chemins de fer.
Les troubles psychiques touchent près d'un milliard de personnes dans le monde. En Suisse, on estime qu'environ 1,4 million de personnes souffrent de problèmes de santé mentale et que près de 1000 personnes mettent fin à leurs jours chaque année, a indiqué mercredi l'Institut tropical et de santé publique suisse (Swiss TPH) dans un communiqué.
L'étude, publiée dans la revue Environmental Health Perspectives, a analysé les données de 5,1 millions d'individus de la Swiss National Cohort de 2001 à 2015, âgés de 15 ans et plus. Elle montre que pour chaque palier supplémentaire de 10 décibels du bruit moyen à domicile causé par la circulation routière, le risque de suicide augmente de 4%.
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Bonjour de Suisse 🇨🇭. Une approche intégrée pour  protéger l’eau
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Voici le cycle de l'eau dans la région d’Henniez
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Ce schéma conceptuel montre une partie du cycle de l'eau dans la région agricole autour d'Henniez (1) : la pluie qui tombe sur le bassin versant du Domaine d’Henniez s'infiltre à travers différentes couches de roches (2). Elle est filtrée de manière naturelle et enrichie en minéraux. Mais elle est également soumise à des menaces potentielles liées aux activités de surface. C'est pourquoi nous devons la protéger et appliquons un cahier des charges très stricte. Au bout d'une dizaine d'années, elle émerge des sources souterraines, où elle est recueillie sous forme d'eau minérale naturelle HENNIEZ (3).
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jojobegood1 · 1 year ago
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Suisse: Ils torturent un chaton en se marrant, les internautes choqués - 20 minutes
🇨🇭⚠️🐈‍⬛😈 JUSTICE SÉVÈRE
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o-link · 3 months ago
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Tag Heuer Mikrotimer vol 1000 en acier inoxydable noir
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montre-l-heure · 1 year ago
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Montre mécanique à remontage manuel de plus 50 ans
On se retrouve pour un nouvel article sur la révision d’une montre mécanique à remontage manuel. Elle faisait partie des 7 montres proposées dans cette vidéo. Cette montre, c’est la UNIC, avec son calibre Suisse Peseux 7000 malheureusement à l’arrêt. Je vous détaille comment s’est passé cette révision ! Un simple nettoyage a-t-il été suffisant ? Un peu d’histoire pour commencer Le calibre…
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marciamattos · 2 years ago
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LA LUMIÈRE DANS LA NUIT CHEZ Jakub Schikaneder. Czech (1855 - 1924)
Né le 27 février 1855, à Prague, Jakub Schikaneder est issu d'une famille de douanier qui encourage très tôt son goût prononcé pour les arts. Que ce soit la musique, la peinture ou le théâtre, Jakub se montre talentueux et touche à tout. Un de ses parents de Vienne, n'est autre qu'Emmanuel Schikaneder, grand acteur comique et auteur du libretto de la Flûte enchantée de W.A. Mozart. C'est néanmoins pour la peinture que Jakub montre une plus grande attirance ; dès sa plus tendre enfance, il se consacre beaucoup au dessin.
Il commence à étudier à l'Académie des beaux-arts, à Prague, à l'âge quinze ans et se fait tout de suite remarquer par son talent exceptionnel. Les jeunes artistes de l'époque essaient de sortir du style classique enseigné à l'Académie, et Jakub Schikaneder, Frantisek Zenisek, Mikolas Ales, Maximilian Pirner ou Emanuel Krescenc Liska suivent plutôt les tendances dégagées par les idées de la Commune de Paris.
Le jeune Schikaneder expose pour la première fois au Salon de Zofin à Prague en 1876 : 'La Dernière Oeuvre' (Posledni Dilo), tableau égaré dans le temps. La critique est positive, Jan Neruda notamment (poète et critique Tchèque très connu) s'exprimera en des termes très favorables sur la toile, représentant un jeune peintre mourant devant son dernier tableau.
Jakub Schikaneder part pour Paris en 1878, et est fasciné par la richesse culturelle et esthétique de la capitale en cette fin de siècle. Il part pour Munich peu après. Il continue ses études aux Beaux Arts chez le professeur Gabriel Max. Il passera plusieurs années en Bavière, mais revient souvent à Prague, notamment pour participer à la décoration de la loge royale au Théâtre National. Les tableaux représentent trois moments importants de l'Histoire de la Bohême : l'époque des Premyslides, le règne des Habsbourgs. Malheureusement, ils sont détruits dans l'incendie du Théâtre. Vaclav Brozik sera chargé de décorer la loge lors de sa reconstruction.
Il termine ses études à Munich et en profite pour voyager beaucoup en Europe : France, Italie, Suisse, Angleterre, Ecosse etc. Le peintre Frantisek Zenisek propose à Jakub Schikaneder de devenir son assistant à l'Ecole supérieure des arts décoratifs, en 1885. Il devient professeur de peinture décorative en 1891. Le style du peintre change durant cette période, ses tableaux deviennent plus mélancoliques, souvent peints dans un cadre automnal.
En 1890, il peint 'Meurtre dans la Maison' (Vrazda v Dome), une de ses oeuvres les plus connues représentant une jeune femme assassinée allongée sur le sol de la cour d'une maison praguoise, entourée de badauds. Jakub Schikaneder situe souvent ses tableaux dans ces petites ruelles sombres de la la ville de Prague, au crépuscule ou au petit matin, souvent en hiver. Schikaneder se replie sur lui-même et ses tableaux sont le reflet de son âme, triste, mélancolique. Il ne reçoit presque plus personne et voit très peu ses amis, il passe son temps à peindre et à jouer de l'harmonium, sa grande passion. Il se rend souvent au bord de la mer adriatique ou à l'île Helgoland où il peint quelques tableaux poignants.
Jakub Schikaneder meurt à l'Automne 1924, alors qu'il jouait de l'harmonium.
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preparedpublic · 2 years ago
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« Quant à la façon dont je suis arrivé ici, elle a été accidentée et rafraîchie de temps en temps par la saison. Sur la ligne droite des Ardennes en Suisse, voulant rejoindre, de Remiremont, la correspondance allemande à Wesserling, il m'a fallu passer les Vosges ; d'abord en diligence, puis à pied, aucune diligence ne pouvant plus circuler dans cinquante centimètres de neige en moyenne et par une tourmente signalée. » 
(Lettre d’Arthur Rimbaud à sa famille, Gênes, le 17 novembre 1878)
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À quel endroit Arthur Rimbaud a-t-il franchi les Vosges ? Combien de kilomètres a-t-il parcouru « par une tourmente signalée » ?
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La ligne ferrovière Mulhouse-Thann est ouverte en 1839. En 1863, la prolongation de Thann à Wesserling rapproche les voyageurs du col de Bussang, qui n’est plus qu’à 9 km. Ces deux communes situées sur le flanc alsacien des Vosges, deviennent allemandes après la guerre de 1870. Le col de Bussang devient un poste frontière et le restera jusqu'en 1918. 
Il se trouve dans la partie sud du tracé de la nouvelle frontière franco-allemande, issue du traité de paix de Francfort (10 mai 1871). Cette ligne plantée de 4056 bornes, valide la cession du Haut-Rhin, du Bas-Rhin et de la Moselle à l’empire allemand. Elle descend le long du bassin lorrain, rejoint la crête des Vosges, qu'elle suit du nord au sud, traverse le Territoire de Belfort pour atteindre la Suisse. Le col de Bussang se situe à environ 50 km à vol d’oiseau de la Suisse, au niveau de la borne frontière n°3100.
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Dans le sens Vosges-Alsace, Rimbaud monte dans le train à Épinal pour en descendre à Remiremont, le terminus, à 35 kilomètres du col. La diligence le conduit à Bussang, en longeant la Moselle sur 31 km. C’est la dernière commune française avant la montée vers le col où cette rivière prend sa source. C’est donc là que Rimbaud entame très certainement son périple « dans 50 cm de neige en moyenne et par une tourmente signalée. » 
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Après 4 km de marche, il atteint la douane française, à l’entrée ouest du tunnel construit sous le col de Bussang. Sur la carte postale, le photographe est perché à son sommet. Les douaniers français sont au premier plan, leur guérite en rondins à droite. À la sortie du tunnel, du côté alsacien, Rimbaud passe le poste frontière allemand et montre ses papiers. Derrière les  gendarmes à casque à pointe, on aperçoit un poteau frontière allemand que Rimbaud n'a pas pu voir, ce modèle datant de 1889. Celui qu’il a pu voir est moins spectaculaire.
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Rimbaud entre dans une Alsace allemande. La guerre de 1870 a joué un rôle essentiel dans son parcours de poète, peut-être aussi dans sa décision de partir loin de son pays. Le poète qui a fréquenté la Commune, qui a écrit l’un des plus beaux poèmes de la langue française en hommage à un soldat mort en 1870, est le bref témoin d’une déchirure territoriale qui a coûté la vie à 200 000 hommes. En traversant les provinces perdues, il foule une terre étrangère, une utopie dérisoire, un lieu qui n’existe pas sinon dans le cerveau de l’empereur Guillaume Ier, du chancelier Bismarck et du général Moltke. 
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Encore 9 km de marche et Rimbaud atteint la « correspondance allemande à Wesserling ». Il aura donc marché 13 km. Le train quitte la vallée de Thann, atteint bientôt Mülhausen (Mulhouse). Il fait quelques pas dans cette ancienne république protestante longtemps rattachée à la Suisse, aperçoit le Klapperstein, figure grimaçante que les condamnés pour médisance devaient porter autour du cou. Il se réchauffe au café Moll, où il écoute parler un dialecte étrange. Par la vitrine, il contemple le triangle rare d'une jolie place des années 1820, encadrée d'arcades qui encerclent un jardin. Puis il monte dans le train pour Bâle. On le retrouvera bientôt à Chypre, puis en Abyssinie.
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valloninfo · 17 days ago
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Ce week-end, Val-de-Travers et toute la Suisse passeront officiellement à l’heure d’hiver. Dans la nuit de samedi 28 à dimanche 29 octobre, à 3 heures du matin précisément, il faudra retarder vos montres d’une heure. Ainsi, à 3h, il sera en fait 2h. Résultat ? Une heure de sommeil en plus, un petit réconfort avant l’arrivée des journées plus courtes et des températures hivernales. Le changement d’heure : comprendre le mécanisme Le passage de l’heure d’été à l’heure d’hiver se produit chaque année le dernier dimanche d’octobre. Ce mécanisme a été instauré pour optimiser l’utilisation de la lumière naturelle en fonction des saisons, réduisant ainsi les besoins en éclairage artificiel. En repoussant l’horloge d’une heure en arrière, le soleil se lèvera plus tôt, une petite consolation pour les lève-tôt, tandis que les soirées seront plus sombres. Pour le Val-de-Travers, cette transition rime avec un léger ajustement de nos habitudes. Le matin sera plus lumineux, ce qui peut être bénéfique pour les écoliers et les travailleurs matinaux. Cependant, les soirées plongeront dans l’obscurité plus tôt, marquant l’arrivée des mois d’hiver. Comment se préparer au changement d’heure ? Ce changement peut perturber notre rythme biologique. Pour une transition en douceur, voici quelques conseils simples : Ajustez vos activités : profitez de la lumière naturelle en planifiant des activités extérieures le matin. Préparez-vous au sommeil : essayez de décaler votre heure de coucher d’environ 15 minutes les jours précédant le changement. Reposez-vous bien ce week-end : avec cette heure de sommeil en plus, c’est l’occasion parfaite pour recharger vos batteries. Changement d’heure : ce que cela implique pour vous Le principal avantage ? Une heure de sommeil en plus ! En retardant l’horloge, chacun peut profiter d’un repos supplémentaire sans se soucier d’être en retard. De plus, pour ceux qui utilisent des montres mécaniques, il sera nécessaire de manuellement régler l’heure. Une manipulation simple mais essentielle pour éviter toute confusion. En résumé, que devez-vous retenir ? Quand ? Dans la nuit du samedi 28 au dimanche 29 octobre, à 3 heures du matin. Action à effectuer ? Retardez votre montre d’une heure (à 3h, il sera 2h). Résultat ? Une heure de sommeil en plus. Nous vous souhaitons à tous un passage à l’heure d’hiver en douceur. Que vous soyez amateur de grasse matinée ou lève-tôt, profitez de cette heure bonus pour un repos bien mérité !
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blickarmenie · 2 months ago
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Jour 14
Un jour dédié à l'incompréhension fracturante
Elle est chilienne. Il est espagnol. Ils sont heureux. De leurs souriantes dents ultra blanches, ils me demandent l'adresse d'un endroit joli et agréable pour manger. J'arrête mon stylo qui dessine un entrelacs de drapeaux et de Vierges fièrement arrimés à l'intérieur d'une Lada. Je regarde leurs larges sourires de feuilleton américain. Ben il n'y a rien ici. Juste les petites boutiques pour s'approvisionner. Peut être en bas, sur la route où défile les camions. Et que faites vous par ici? 
Nous? On voyage avec notre 4x4. On va en Iran puis en Inde. "Just relax you know"
Je suis bouche bée. Oui, effectivement, l'on peut traverser les paysages de ce point de vue là. Juste en surfant au dessus des humains. Pourquoi pas.
Une rieuse jeune fille rencontrée la veille m'arrête. Elle veut que je montre mes dessins aux diverses mamies assises sur le marches. On partage une chanson et je continue en suivant un petit dédale. 
Oh ci donc une vue falaise pouvant donner la sensation d'empilement des maisons locales. Je m'installe contre un mur et croque. Sur un balcon surgit une mamie.
Je crois comprendre des remontrances type... Que faites vous là? C'est quoi ça?
J'y montre mon dessin en souriant.
Le son indique: on veut pas de ça ici... arrêtez et cassez vous.
J'y remontre le dessin... il est joli non?
Cassez vous. C'est quoi ça de dessiner nos vies?
Je repars un peu bousculé. Comment est ce possible de point être sensible au dessin?
Et pourtant oui.
Cette valse de point de vue d'incompréhensions réciproques se répercute avec la confrontation des fractures intérieures au pays.
Au matin, je recroisa Carlos avec ses 2 cannes. Le conducteur dont le taxi arboré vierges et drapeaux. Non non Carlos est bien un prénom hispanique et non suisse. 
Peux tu m'emmener visiter ce cimetière perché dans village qui semble perdu sur la carte. Nous concluons, nous y allons, nous gravissons une route aride surmontée de monts aux dents acérées. Il s'arrête nulle part. Carlos me baragouine une importance. Je sors le traducteur automatique. Quoi, là dans ce monticule recouvert de plantes arides, il y a un vieux cimetière azerbaïdjanais! Entre épines et herbes rèches, je découvre des stèles brisées, une statue sans tête, des restes cassée, des coups de marteau sur du granit funéraire, autant de fractures de voisinage incompréhensible.
Plus haut, après le village, dans le cimetière qualifié d'arménien, là je découvre un rituel réparateur. Des verres et des bouteilles de vodka sont disposés face à la stèle. La fracture abrupte du départ d'un être cher est suturé par des salutations alcooliques. 
Et si la solution suturante aux multiples fractures serait un vaste banquet...?
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