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#mobilier marbre
lipfordstreet391 · 10 months
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Contemporary Bedroom Paris Mid-sized trendy master light wood floor, beige floor, tray ceiling and wainscoting bedroom photo with beige walls, a standard fireplace and a concrete fireplace
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zaynmajor · 1 year
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Library Living Room in Le Havre Huge transitional open concept living room library image with a linoleum floor, beige walls, a wood stove, and a stone fireplace.
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visionify · 2 years
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Teen Kids Room Paris Ideas for a small contemporary boy's room remodel with blue walls and a light wood floor.
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zetsubonoheishi · 2 years
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Transitional Kids - Kids Room
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2t2r · 2 years
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Des meubles avec des statues antiques
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Des meubles avec des statues antiques
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l-works · 6 months
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Salle à Manger & Cuisine Mobilier utilisé : > Buffet « Milano », par Kare Design > Bibliothèque « Billy / Oxberg », par Ikea > Lampadaire « Asteria », par Umage > Suspensions « Hermanos B », par Nowodvorski > Lampe à Poser « Marbre », par La Redoute Intérieurs    et son Abat-Jour « Beige Bordé Noir », par Blanc d’Ivoire > Cache-pot sur Pieds « Florian », par AM-PM > Chaises, par Delamaison > Table « Bug », par Kare Design > Pot de Fleur Laiton, par Decoclico > Ensemble de Vases « Teresa », par Tikamoon > Sets de Table, par Sostrene Grene > Assiettes « Bleu/Vert Méridien », par Maison du Monde > Typique Mural « Copernic », par Maison du Monde > Ensemble de 3 Vases en Céramique, chez Temu > Panier « Veloudo », par La Redoute Intérieurs
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fullnft-fr · 3 months
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Élégance Lumineuse : Une Chambre de Luxe aux Détails Raffinés et Marbre Somptueux
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Élégance Lumineuse : Une Chambre de Luxe aux Détails Raffinés et Marbre Somptueux
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Découvrez une chambre de luxe somptueuse, baignée de lumière naturelle qui pénètre à travers de grandes fenêtres. Les murs sont habillés de textures raffinées, ajoutant une profondeur visuelle et une élégance subtile. Des touches de marbre somptueux ornent la pièce, créant un contraste saisissant avec les matériaux plus doux. Le mobilier, soigneusement sélectionné, allie confort et sophistication, offrant un espace à la fois accueillant et opulent. Les draperies délicates et les accessoires de design ajoutent une touche finale parfaite, transformant cette chambre en un véritable sanctuaire de luxe et de tranquillité.
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sweetdecoseo2023 · 7 months
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latribune · 7 months
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buro-ergo · 1 year
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darkpalmor · 2 years
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15 MARS 2023
Programme des Ides
1°) Accumulation (5-10 minutes) : Essai expérimental. Certains auteurs utilisent le principe de l’accumulation pour faire ressentir une atmosphère, tout en construisant une personnalité, par exemple dans la description d’un intérieur qui fait comprendre son occupant ou son propriétaire. On fera la description d’un intérieur familial en deux ou trois phrases très longues, qui feront comprendre à la fois l’occupant des lieux et sa mentalité par l’accumulation d’un grand nombre de détails concrets (mobilier, décoration, environnement sonore et olfactif, etc.). Contrainte : une famille bourgeoise jeune et récemment enrichie. Obligatoirement : une table ronde.
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Derrière les deux lourds canapés bleu roi en velours de chez Cinna, et autour de la grande table ronde en verre fumé et au piètement inox anguleux, un vrai casse-pattes, les huit chaises à l’assise en peau de buffle noir et grenu, au dossier plus raide que la justice, reposaient sur un tapis blanc imitation berbère en pure laine écrue, griffé de quelques initiales illisibles et au décor géométrique fait de losanges emboîtés les uns dans les autres, et à chaque place le couvert était mis, inox massif aux lignes pures, porcelaine chinée rue de Rivoli, et verres à pied sûrement très instables destinés à éprouver le savoir-vivre des invités attendus. Ceux-ci auraient de quoi se remplir les yeux autant que les papilles, car des plateaux de toasts s’alignaient sur de petites consoles tout au long des trois murs blanc nacré où les Dupont avaient accroché une douzaine de lithographies, chacune éclairée d’un petit spot qui mettait en valeur le modernisme et la signature de l’artiste, dans des cadres en aluminium brossé. Et dans un coin, la chaise de bébé, vide et très design, sur un tapis en fibre de coco, laissait bien comprendre qu’ils étaient une vraie famille, et que leur moutard dormait quelque part, surveillé par une baby-sitter à deux cents euros, si bien que les heureux parents Dupont, dans le vestibule, accueillaient sans façons les invités, tous hauts fonctionnaires et collègues de Jean-Jacques, qui étaient aimablement invités à déposer leurs manteaux dans le dressing et leurs fleurs sur une desserte Art Nouveau au plateau de marbre noir.
2°) Le feu de bois (5-10 minutes) : Ça vous dit quoi ? Écriture libre…
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Mon souvenir est chargé de deux sortes de feux de bois. D’abord le fourneau-cuisinière où l’on cuisait toute la journée, avec sa double porte en fonte qu’il fallait ouvrir au pique-feu pour allumer les deux feuilles de journal et le paquet de brindilles journalier avant d’y mettre une première bûche, et où on fourgonnait joyeusement, après avoir soulevé le petit couvercle troué en fonte, pour y ajouter un rondin ou remuer les braises et faire de belles étincelles. C’est mon premier, avec sa caisse à bois au tiroir basculant qu’on rechargeait régulièrement, sur laquelle il faisait bon s’asseoir et se chauffer. C’était le feu quotidien. Et puis il y avait les grands bûchers, les exceptionnels, en plein champ, que mon père et mon grand-père bâtissaient en y empilant troncs pourris, ronces raclées le long des haies et branches qui dépassaient de l’alignement, et parfois une souche arrachée à un buisson qu’on avait défoncé. Et là, c’était le vrai feu, avec le plaisir de l’allumette unique si on était un champion de l’allumage, et l’entretien à la fourche, pour remuer les branches, les repousser plus au centre si elles basculaient, le plaisir de la fumée grisante qui pique les yeux et s’incruste dans les vêtements, et la chaleur sur le visages, les poils des bras qui roussissaient quand on recevait une braise volante. Et surtout, à la fin, c’était le plaisir de piétiner dans le tas de cendres encore tièdes, gris-clair, où on avançait en produisant un tout petit bruit d’écrasement, et d’où on sortait avec les bottes grises jusque plus haut que la cheville. Mais je n’ai pas de souvenir de feu de bois en cheminée, sauf dans des inserts aseptisés et inoffensifs, chez des amis qui avaient eu les moyens de s’en faire construire une.
3°) Le cru et le cuit (5 minutes) : Vos préférences ? Texte libre ! Mais contrainte dure : quel que soit le choix, le texte devra comporter un nombre le plus élevé possible du son « cru » ou du son « cui ».
Moi, j’aime les aliments bien cuits, de préférence, pas mous comme ceux que l’autocuiseur permet de couper à la petite cuiller, les cuisses de poulet tellement recuites sur la cuisinière que les os se détachent tout seuls. Je préfère les cuissons à point, et même davantage : le bifteck comme du cuir de semelle ne me fait pas peur. Les casseroles en cuivre conviennent le mieux pour cela, excusez ma cuistrerie de cuistot retraité et outrecuidant ! Moi, je suis un dur-à-cuire, pas du genre à me contenter de salades vertes et de biscuit qu’on trempe dans sa tisane.
4°) Écriture longue (15 minutes) : Critique littéraire. Rédiger un article de critique littéraire d’un ouvrage, avec une identification du genre, de l’auteur, puis un bref résumé et un commentaire sur le style, le contenu, l’intérêt de l’œuvre dans la production de l’auteur, etc. Ou écriture de la dernière page ? Œuvre à commenter : La leçon du passé, Ozaku Katagawa, éditions / irrégulières, 2023.
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O. Katagawa, récemment disparu, avait déposé un manuscrit chez son éditeur, que celui-ci a choisi de publier avec ce titre étonnant, La leçon du passé. Ce roman d’initiation, qui lance dans le monde de la finance internationale et les aventures sentimentales un jeune homme inexpérimenté, se serait mieux appelé Sans avenir, ou Le présent qui ne passe plus, car ce jeune cadre bancaire n’a pas de parents, ne vit que dans l’instantané des traders et les aventures sans lendemain et sans souvenirs : il brasse du dollar, et il en meurt frustré. Quant au monde où l’auteur le fait survivre, c’est le Tokyo des affaires, et Katagawa met si longtemps à en décrire les rues, les façades, le mobilier, qu’il n’en reste après lecture que la vague impression d’avoir parcouru, sur papier glacé, des catalogues d’ameublement et d’architecture intérieure. C’est un enterrement de première classe que l’éditeur a infligé à son auteur, pas pour la valoriser, mais pour en tirer la plus-value inévitable en librairie quand on y colle le bandeau « Les derniers mots d’Ozaku. » Donc, à ne pas lire. Le patron des éditions / irrégulières s’enrichira sans vous.
5°) Scrabblacrostiche de mots (5 minutes) : Initiales obligatoires. On tire les lettres qui détermineront la contrainte, mot après mot : la lettre tirée est l’initiale du premier, du deuxième, etc. On tire le nombre de lettres qu’on veut. Et on essaie de faire une petite phrase qui tienne debout ! Lettres tirées par une main innocente : E N I I C A P D U E
Elle Nous Interrogeait Insidieusement : Catherine Aurait Pu Devenir Une Enseignante !
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zoeobdura · 5 months
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La Grenouillère
La maison s'appelait la grenouillère.
Normal, d'avril à septembre on entendait les cris d'amour d'un millions de batraciens - au moins - qui s'adonnaient à ces plaisirs que les humains simulent si souvent.
La maison était construite sur une pente. Vu de l'extérieur, on distinguait trois pièces de troglodytes dont l'une ressemblait à une soucoupe volente. La légende dit qu'à l'époque, on pouvait ouvrir le toit de la soucoupe et manger à l'air libre dans cette salle à manger ronde si atypique où tous les meubles traditionnels juraient et semblaient posés là par erreur. Parmi eux : un ancien buffet cassé, transformé en meubles à jeu de sociétés adapté à la famille de deux adultes et quatre enfants que nous formions. Un autre meuble blanc récupéré d'une succession quelconque dans lesquels trônaient royalement tous ces ustensiles, outils et objets empoussiérés qu'on ne savait pas où ranger. Enfin, sur l'appui de fenêtre, quelques figurines de magistrats et d'avocats, cadeau classique à offrir aux jeunes avocats des années 80 et, juste à côté, semblant illustrer le surréalisme belge, d'autres figurines de jazzmen : un trio formé d'un pianiste, un batteur et un contrebassiste. Et, pour parfaire l'absurdité de l'ensemble, un canard qui aurait mangé tous ces personnages haut la main vu son diamètre, autre héritage d'une manie de la grand-mère que je n'ai pas connue pour cet animal.
Il faut dire qu'il y avait aussi les baffles reliés à la chaîne stéréo du salon, parce que la musique avait sa place dans la famille. Entre les disques de jazz qui agrémentaient les soirées mondaines, les compils de rap gravées et gueutées d'un nom illisible de Colin, qui sautaient un morceau sur deux, les disques pop de Britney, Gwen ou Alicia sur lesquels Candice et moi inventions des chorés auxquelles les adultes faisaient semblant de s'intéresser dans les années 2000-2010, et enfin, et surtout, les disques américains de chansons de Noël qui ne restaient jamais bien loin de l'appareil pour être tout prêts à la période adaptée.
Dans le salon : quelques reliques du papa disparu : un jeu de scrabble aux lettres plaquées or, un spot digne des plateaux de cinéma Hollywoodien et, sur l'armoire dite "le bar" bien que dénuée depuis longtemps de tout alcool mais remplie de verres qu'on n'utilise jamais, un écran plasma qui traînera surement là jusqu'à la nuit des temps. Parmi le mobilier de base, un piano à queue de l'Arts-Ô-bases comme symbole de la jeunesse de Laurence et des écarts de Maman, des canapés marqués par le temps et, par endroit aussi, par mes frasques nocturnes. Une table basse en marbre du meilleur goût. Une bibliothèque ronde aux allures de la Belle et la Bête où Maman lit des livres à Ounayssa.
Envoyer valser la Mort - dans le décor.
Pour y accéder ? Deux entrées : l'une où chaque marche vous offre une discothèque triée, classée, choisie, derniers vestiges de l'époque où les ordinateurs et même les gens possédaient encore de quoi lire des disques. L'autre souvent bordée de bougies avec la vision élégante d'un tableau côté d'une digue de la mer du nord, en dessous duquel on peut voir une désserte en verre, cassée par on ne sait qui lors d'on ne sait quelle nuit agitée. Trois étages, beaucoup de souvenirs de voyage, de cadeaux de mariage et une boîte à cigares.
Dans l'inventaire du salon, il manque la horde de vinyles et le "parc". Dieu sait depuis quand il encercle des enfants pour que les Grands puissent discuter, mais la couleur délavée des dessins sur ses parois de plastique semble jurer qu'il ne date pas d'hier.
Ici, tout est choisi. Tout nous expose, tout est un titre de noblesse que s'est donné une famille simple à travers la culture, la sensibilité à l'Art. La Grenouillère est devenue une fourmilière ou un cabinet de curiosités. Qui anime bien peu de curiosité... Mais la mienne se questionne encore : d'où vient ce tableau entre la bibliothèque et l'escalier de gauche et que représente-t-il ? On dirait un amas de maisons sur lesquelles on veut construire un deuxième étage, dans le ciel, léger et insensé, et bien pour moi ça a du sens.
Le jardin n'est pas rangé ni tondu - pourtant mon grand-père avait DEUX tondeuses! - et franchement, il s'en est fallu de peu qu'en 2023 on n'y retrouve pas encore un tricycle en décomposition que même ma soeur et moi, dernières nées de la familles, ne sommes plus aptes à utiliser depuis 1998. Les restes d'un potager d'un mètre carré construit par mon frère et moi pendant le confinement - comme tout le monde.
Dans ma famille, on laisserait bien tout mourir. Ma mère n'était pas une bonne mère au foyer, Dieu Merci, et mon père ne comblait pas ce manque car il ne connaissait rien au Foyer, trop traumatisé par le couple âgé et bien pensant qui l'avait adopté au début des années 60.
Ici, rien qui ferait bon genre dans les émissions d'RTL, des lasnois peu ordinaires, mais une histoire unique en son genre dont je me sens Enfin faire partie.
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OC n°4.
Nom : aucune idée, voir la liste de noms, mais peut-être un truc en rapport avec le rouge. Ashvini, sajala, sanvari, sarayu, satya, Shirina... Je cherchais des noms indiens, mais j'aime bien Cinabre aussi.
(Homestuck aspect : space. Rust blood. Argo.)
Genre : féminin. Il m'en fallait bien une...
Couleur de peau : originaire d'inde.
Couleur des yeux : un noir et un rouge. Le rouge (gauche) est une lentille de contact, elle est borgne de l'œil gauche, à cause d'une infection qui a mal tourné. Extérieurement ça ne fait pas grand chose à part un léger voile gris, donc elle a mis une lentille rouge pour le cacher (et aussi parce qu'elle trouve les yeux rouges super cool).
Cicatrices ou tatouages : à part son œil borgne... Une petite cicatrice sur l'index venant d'une coupe de cuisine. Pour les tatouages, un œillet rouge juste en dessous du creux de la clavicule.
Cheveux : noirs avec des mèches rouges, raides, aux épaules mais généralement portés en chignon lâche... Attachés avec un ruban rouge bien sûr.
Autres : pas de boucles d'oreille ou autres, n'aime pas ça. Ni vraiment de bijoux, à cause de son métier (à part un bracelet en cuir rouge). Vernis rouge sang (quand elle ne travaille pas) et rouge à lèvres écarlate. Eye-liner rouge très foncé presque noir.
Vêtements : là est la base du personnage : j'ai juste pensé "je veux faire un personnage obsédé par la couleur rouge". Donc, Beaucoup trop de rouge. Débardeur col V rouge sang, jean rouge tomate, longue veste (à manches longues) rouge foncé avec quatre grandes poches où elle met un peu n'importe quoi, chaussettes pourpres, baskets entièrement rouges vif (même les semelles et les lacets). Lunettes rouges- l'œil épargné par l'infection est légèrement myope.
Âge général : 25-30 ans.
Histoire : possède un restaurant nommé Carmin, qui est, sans surprise... Très rouge. Les volets, les murs, la porte... Tous en différentes nuances de rouge, les mettre tous dans la même nuance serait trop agressif. Par contre, le sol est blanc (marbre) et le mobilier est marron clair (tables, chaises...) et tout est en bois (sauf les verres, couverts, assiettes, etc...). Elle met du colorant alimentaire rouge (bio) dans tous ses plats, du coup ils sont tous rouges, c'est un peu la moitié de l'attrait du restaurant. Elle se spécialise en cuisine indienne (surtout les épices) mais s'y connaît aussi en cuisine italienne, francaise, japonaise et russe.
Autres : elle a un diplôme de chimiste (puisque de toute façon ces temps-ci la gastronomie est assez chimique). Elle n'a pas une relation très étroite avec sa famille. Elle est ce qu'on pourrait appeler un  « disaster gay™», elle devient très maladroite en présence d'une jolie fille. Elle est aussi très asexuelle. Elle est plutôt forte aux basket et joue avec une équipe de rue pendant les week-ends. Elle a un niveau correct de taekwondo. C'est pas une pro, mais elle se débrouille. Elle aime bien les fleurs, tant qu'elles sont rouges. Son obsession pour le rouge n'a pas de base particulière : elle trouve ça extraordinairement joli, c'est tout. Elle aime les agrumes, les fruits en général, mais surtout les agrumes. Elle sait faire des pâtisseries, même si elle est plus cuisine. Elle est calme et affectueuse mais pas super bavarde. Elle a une très faible tolérance aux idiots. Elle n'a pas son permis de conduire, parce qu'elle n'en voit pas l'utilité, elle a son vélo et ça lui suffit. Elle aime lire des bandes dessinées. Son passe-temps pendant son temps libre est de créer de nouvelles recettes de cuisine avec des aliments exclusivement rouge (elle essaie de faire des plats naturellement rouges pour éviter d'avoir à racheter une tonne de colorant alimentaire rouge bio toutes les semaines). Elle a un tablier rouge vif pour cuisiner (avec des motifs de couteaux). Elle va tous les ans à toutes les Prides à proximité de chez elle (où se situe ce chez elle, ça reste à voir... Mais ce sera en Amérique) et a un t-shirt aux couleurs du drapeau (rouge orange blanc rose pourpre), il est juste assez rouge pour rentrer dans sa collection de t-shirt rouges unis. Parle anglais, français, italien (l'hindi est sa langue maternelle donc...) et le code morse. Elle aime insulter les gens qu'elle n'aime pas en code morse (généralement ils ne se rendent pas compte que les claquements de doigts répétitifs sont plus qu'un tic). Elle adore faire un nid de couverture et d'oreillers pour dormir. Elle est plutôt douée avec les couteaux (faut bien, elle est cuisinière). Elle a un sens de l'orientation particulier : quand l'endroit est nouveau pour elle, elle pourrait se perdre dans un couloir/une rue en ligne droite. Mais des qu'elle s'est perdue précisément 14 fois dans un endroit, elle peut s'y repérer parfaitement pour le restant de ses jours. Quand elle arrive dans un nouvel endroit, elle fait un sorte de se perdre très rapidement, qu'on en finisse. Elle adore les grenades... À cause de la couleur, bien sûr... Mais elle aime aussi le goût, et la légende associé (elle a toujours eu un petit crush sur Perséphone). Elle aime la mythologie grecque (surtout Perséphone et Hadès). Son odorat et son goût sont très développés mais son ouïe et sa vue ne sont pas super, sa vue parce que hum, elle est borgne et légèrement myope, et son ouïe, et bien elle n'entend pas particulièrement bien, mais elle n'est pas malentendante non plus.
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alexar60 · 5 years
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Le miroir brisé
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Depuis la mort de la reine, elle hérita du royaume l’associant ainsi à celui de son époux. Elle entra dans le château après un défilé inoubliable à travers la capitale dans un carrosse d’or et d’argent, éblouissant les gens venus pour la saluer. Les cris de joie résonnèrent longtemps dans ses oreilles, touchant son cœur. Elle oubliait cette période humiliante, vécue ici-même telle une souillon dans des tenues modestes pour une princesse. Elle n’était pas la Cendrillon des contes de fées mais vécut presque la même chose. D’ailleurs, elle n’oublia pas cette promenade avec le chasseur de la reine, l’obligeant à fuir dans une forêt sombre et dangereuse. Toutefois, elle resta reconnaissante à ce brave homme et le nomma Duc à titre posthume parce que sa belle-mère l’avait fait écarteler pour ne pas avoir exécuté ses ordres. Sa tête gisait encore sur un pieu à l’entrée de la ville.
Devant le château, elle ne put garder ses larmes ; ils glissèrent sur ses joues roses, son prince charmant lui prit la main pour montrer qu’il était avec elle. Elle posa sa tête sur son épaule en signe de remerciement. Le carrosse entra dans la cour et s’arrêta sous les applaudissements et les ‘Vive la reine, vive le roi !’ qui la surprirent, elle n’était encore habituée à ce titre. En compagnie de son mari, elle avança d’un pas lent, elle voulait profiter pour reconnaitre les domestiques. D’ailleurs, la majeure partie lui était restée fidèle car l’ancienne reine était détestée. Certains serviteurs pleuraient même de bonheur en revoyant la petite Blanche puisqu’ils revoyaient dans le visage de leur nouvelle souveraine, les yeux ainsi que le sourire de sa mère. Elle était joviale, gratifiante et affectueuse, n’hésitant pas à montrer beaucoup de générosité envers les défavorisés. D’ailleurs, la mère de Blanche avait institué la tradition d’offrir un repas chaud par jour aux nécessiteux de la ville, inventant en même-temps le concept de restau du cœur.
Il ne restait rien des affaires de son père encore moins ceux de sa mère si ce n’est une couronne assortie de diamants. Blanche parcourut les appartements royaux, espérant retrouver un souvenir plus personnel que cette couronne. Seulement, elle comprit que la belle-mère avait ordonnée la destruction de tous ce qui ne lui appartenait pas, incluant la broderie sur laquelle trois gouttes de sang reposaient après une piqure au doigt de sa maman. Son père le gardait précieusement dans un coffre. A la place, elle découvrit une malle pleine de robes et de produits en tout genre. Sa première idée fut d’ordonner de changer le lit et le mobilier ; il n’était pas question que quelqu’un dorme dans le lit occupée par cette cruelle sorcière. Elle allait appeler un domestique quand elle aperçut le miroir. Il était brisé fendu en plusieurs endroits comme frappé par une brosse après une colère. Garder ce miroir cassé serait absurde, cependant, elle crut voir deux petites lumières derrière son reflet. Elle s’approcha et demanda s’il y avait quelqu’un. Elle sursauta quand une voix ténébreuse répondit. Dès lors, elle recula sur la défensive prête à hurler si un monstre surgissait. Pourtant, elle ne fuit pas, sentant une étrange attirance pour le miroir. Une conversation s’engagea entre Blanche-Neige et la glace magique. Cette dernière l’informa de son utilisation par l’ancienne reine, principalement sur sa beauté. Alors, par curiosité, Blanche-Neige demanda qui était la plus belle du royaume. Le miroir répondit indubitablement qu’elle était la plus belle. Un léger sourire timide marqua le visage angélique de Blanche. Par modestie, elle n’osa pas regarder son reflet, préférant admirer ses souliers.
Pendant les années suivantes, Blanche-Neige vécut heureuse dans son château. Avec le roi Charmant, son prince de toujours, elle eut quatre beaux enfants et autant de mort-nés parce que la vie n’était pas un conte de fées. Son mari scella une alliance version ancienne tradition proposant un mariage entre son fils ainé et la fille d’un royaume voisin. Heureuse de cet événement, elle exprima sa joie en chantant et amusant ses sujets rencontrés dans les couloirs du château. En entrant dans sa chambre, elle annonça la bonne nouvelle au miroir qu’elle avait gardé bien qu’il fut toujours détérioré. Elle avait conservé le miroir pour des conseils politiques et économiques. Il était bien plus fiable qu’un politicien véreux. Elle chanta la nouvelle quand il s’exprima ainsi : « Alors, ma reine, tu ne seras plus la plus belle du royaume car ta future bru est bien plus belle que toi. » Blanche-Neige resta de marbre, ne voulant pas montrer son pincement au cœur. Elle émit juste qu’elle s’en moquait. Toutefois, elle ne dormit pas de la nuit, inquiète de se savoir reléguée au second plan derrière une inconnue. Durant les jours suivants, elle émit quelques doutes quant au mariage auprès de son époux. Mais la situation politique exigeait cette alliance donc le mariage ; ses conseils ne furent pas écoutés.
A l’annonce de son arrivée, la salle du trône était blindée de nobles et courtisans venus accueillir la jeune princesse. Pour la première fois, Blanche-Neige stressait comme jamais. La dernière fois qu’elle ressentit cette sensation fut le jour de son empoisonnement. Elle avait vu sa vie défiler en l’espace d’une demi-seconde, réalisant en même-temps qu’elle venait de faire une terrible connerie en avalant un morceau de cette belle pomme juteuse. Son mari gardait la splendeur de sa jeunesse ; seuls ses cheveux poivre-et-sels montraient sa vieillesse, ou plutôt son expérience puisque c’est un homme. Il restait calme, discutant avec son sénéchal et un ambassadeur dont le parfum embaumait entièrement la salle. Elle regarda son fils qui était  à la fois excité et émut de rencontrer sa future épouse, puis engueula la petite dernière car elle se curait le nez avec son index. La petite rebelle rota même volontairement en représailles, elle aimait ne pas respecter les protocoles.
Soudain la porte s’ouvrit, tout le monde se tut ! Un homme cria haut et fort l’entrée de la princesse Rouge-Rose. Durant sa marche, le public exclamait son émerveillement en voyant sa grâce et sa beauté, inquiétant Blanche-Neige dont la vue baissait avec l’âge. Elle constatait simplement une espèce d’aura rouge-orangé qui avançait vers elle. La jeune fille marchait silencieusement, baissant la tête. Sa chevelure rousse bouclée était si épaisse qu’elle permettait au diadème princier de tenir sans difficulté. « Elle n’est pas bien grosse ! » dit Blanche-Neige en plissant les yeux tout en mordillant ses lèvres rouges et en serrant les poings. Elle put voir la longue robe rouge de la princesse, faite de soie et d’étoffes orientales. Elle eut du mal à garder son émotion en découvrant le minois sublime de la jeune fille. Des yeux verts comme des émeraudes, une petite bouche charnue et rouge à souhait, des joues qui pétillent de vie, un sourire irrésistible qui montre une dentition parfaite. La princesse charma aussi par sa timide éloquence. Elle était très belle, trop belle, elle était parfaite ! Dès ce moment, Blanche-Neige sentit la jalousie envahir ses émotions. Au-delà de ne plus être la plus belle du royaume, elle devait partager son logement avec celle qui lui piquait son fils.
Elle ferma les paupières et l’espace d’un instant, elle imagina payer son chasseur pour lui ordonner de la tuer dans la forêt. Elle voulut payer une sorcière afin de l’empoisonner. Elle chercha si elle connaissait un ogre pour la faire dévorer. Elle rêva de la faire endormir dans une chambre au sommet d’une tour pendant cent ans. Elle méprisa cette gamine, préférant l’ignorer durant le banquet. Par moment, elle surveillait du coin de l’œil son fils qui s’émerveillait, buvant les mots de l’adorable princesse. Elle remarqua même des étoiles dans leurs yeux, les mêmes que ceux de son mari quand ils se sont rencontrés. Dès lors, elle sut que l’amour serait plus fort. Mais dans sa chambre, une fois seule, nuit et jour, elle fulminait quand elle demandait au miroir magique qui était la plus belle. A chaque fois, la réponse était la même : « La princesse Rouge-Rose ».
Dès lors, Blanche-Neige changea devenant de plus en plus méchante envers le monde. Elle montrait parfois quelques rides autours de sa bouche qui semblait noircir. Petit-à-petit, elle délaissa les vêtements colorés pour des tenues plus sobres, sombres et noires. Elle ne riait plus, ne s’amusait plus, ne chantait plus. Elle ordonna même l’exécution de centaines de prisonniers, réinstaurant la peine de mort qu’elle avait fait abolir en devenant reine. Elle n’avait qu’une idée en tête faire disparaitre Rouge-Rose pour redevenir la plus belle du royaume. Elle ne supportait plus ses rires simples et éclatants, ses jeux qui égayait la cour du roi ni ses chants charmant et envoutant tout le monde même les animaux. Mais ça c’est un conte qui n’est pas encore inventé !
Alex@r60 – janvier 2020
Photo de Michael Thompson
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theblackgreyhound · 4 years
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Rick Owens, entre sculpture et mobilier de marbre
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