#maraboutage définition
Explore tagged Tumblr posts
Text
vrai marabout portefeuille,portefeuille magique,temoignage sur le portefeuille du marabout, bedou magique,les avantages du portefeuille,je cherche un vrai marabout au monde,marabout puissant...
vrai marabout portefeuille,portefeuille magique,temoignage sur le portefeuille du marabout, bedou magique,les avantages du portefeuille,je cherche un vrai marabout au monde,marabout puissant…
youtube
View On WordPress
#ACTIVATION DES PORTEFEUILLES MAGIQUES NON ACTIVER#bedou magique a abobo#bedou magique a bondoukou#bedou magique benin#bedou magique korhogo#COMMENT ACTIVER LA CALEBASSE MAGIQUE#COMMENT ACTIVER LA VALISE MAGIQUE#COMMENT ACTIVER SON PORTEFEUILLE MAGIQUE#COMMENT ACTIVER UN PORTEFEUILLE MAGIQUE#comment avoir le portefeuille magique#comment avoir son portefeuille magique#Comment fabriquer un portefeuille magiquecomment avoir un porte monnaie magique en rdc#comment utiliser le portefeuille magique#définition maraboutage#definition marabout#grand marabout wordpress#le porte-monnaie magique togo#le secret du portefeuille magique#magie blanche en rdc#MARABOUT EFFICACE#MARABOUT EN FRANCE#marabout en suisse#marabout kinshasa#MARABOUT PUISSANT#marabout puissant sérieux#marabout satisfaction#marabout très puissant gratuit#portefeuille magique explication#temoignage sur le portefeuille du marabout#vrai valise magique
0 notes
Text
Marabout honnête et Sérieux
Marabout honnête et Sérieux
MARABOUTAGE Cet article parle : de la définition du maraboutage, de la pratique du maraboutage, des vrais marabouts , de comment les faux marabouts agissent et des compétences d’un vrai marabout Africain honnête d’origine Béninoise Au Benin, un marabout est un mot qui désigne une personne dotée de pouvoirs mystiques liés à la pratique de la magie noire ou blanche soit en Afrique ou en Haïti et…
View On WordPress
0 notes
Text
BOUTEILLE ZOUNCTHE DU MAITRE
C’est une bouteille pas comme toute autre car elle est spécialement conçue au temple de la divinité DAN avec la collaboration des grands maîtres africains de la divinité FA.
Cette bouteille mystiquement préparée est très puissante et à un double effet compte tenu de l’utilisation.
1er rôle : elle intervient dans la lutte et la protection définitive contre la sorcellerie, l’envoutement, la magie et tous esprits malfaiteurs. Ainsi une fois vous l’utilisez vous et votre famille serez épargné de tout cela. Toute arme mystique forgée contre vous sera de nul effet.
2ème rôle :elle vous permettra d’avoir la chance et vous allez réussir tout ce que vous entreprenez après l’utilisation. De grandes opportunités s’offriront à vous et vous aurez toujours la facilité dans votre quotidien.
MODE D’EMPLOI : mettre la boisson de votre choix dans la bouteille et laisser pendant 07jours avant de commencer à boire tous les matins.
NB : toujours tenir les 02 faces portant les cauris avant de mettre la boisson dans le verre à boire. Le Maraboutage, la Géomantie et le Vaudou contiennent des pouvoirs redoutables. Nul ne peut prospérer, réussir dans cette vie sans le pouvoir des Sciences Occultes ou être assister spirituellement par les divinités
Voici mon site web : http://www.maitrelaterre.com
E-Mail: [email protected]
Tel: 00229 9857 4889 / 00229 9113 7379
Whatsapp : 0022998574889
0 notes
Link
L'ancienne présidente du Syndicat de la magistrature est jugée cinq ans après
Il y a cinq ans, la France découvrait, accroché à la paroi du Syndicat de la magistrature, le « mur des cons », auquel étaient épinglés un certain nombre de justiciables et de personnalités. Aujourd’hui s’ouvre le procès de sa présidente de l’époque. Mais la justice a trop tardé, le mal est fait.
Ainsi, cinq ans après le scandale lié à l’existence, dans un local syndical ouvert à tous les vents, d’un panneau ou étaient épinglées des photos de justiciables et d’autorités de l’État affublés du qualificatif de « cons », le tribunal correctionnel de Paris va devoir enfin donner une suite à ce qui constituait dès le départ un étonnant scandale. Scandale qui a laissé dans l’opinion une trace cuisante et indélébile.
Fillon, lui, n’a pas attendu cinq ans
Tranquilles, les organisations syndicales de magistrats, tout en psalmodiant le mot « indépendance », continuent à revendiquer la partialité pour les magistrats qu’ils prétendent représenter. Comme ils l’ont montré en approuvant bruyamment la destruction par les voies judiciaires du principal candidat à l’élection présidentielle, favorisant ainsi le triomphe d’Emmanuel Macron. Pour assister ensuite, sans piper mot, à l’instrumentalisation politique de l’appareil judiciaire, d’abord mobilisé contre l’opposition, et ensuite pour protéger les équipes au pouvoir.
A lire aussi: Justice: la juge mise en examen pour le mur des cons bénéficie d’un traitement bienveillant
On se permettra quelques observations à titre liminaire. Tout d’abord, on peut constater que l’urgence utilisée à l’encontre de François Fillon, et dont on nous prétendait contre l’évidence qu’elle était normale, est donc bien à géométrie variable. Ensuite, lorsque l’on voit comment le parquet s’est battu bec et ongles pour éviter toute suite judiciaire – obéissant sûrement à des réflexes de protection corporatiste et allant probablement au-devant des souhaits du pouvoir en place – on se dit que le mal est vraiment profond.
Les magistrats nous prennent pour des…
Initialement, ce qui était parfaitement logique, le Conseil supérieur de la Magistrature (CSM), avait été saisi par Christiane Taubira, garde des Sceaux, de l’aspect éventuellement disciplinaire de l’invraisemblable manquement. Par un communiqué long et juridiquement charpenté, celui-ci a soigneusement refusé de se saisir du problème. On pouvait sourire de cette circonspection à la lecture de la tribune libre publiée au moment du scandale dans le journal Le Monde, sous la signature de Nicolas Blot (juge d’instruction, ancien secrétaire général de l’Union syndicale des magistrats) et d’Evelyne Sire-Marin (vice-présidente, ancienne présidente du Syndicat de la magistrature). Intitulé « Mur des cons, les raisons d’un affichage », cet article, au-delà de l’habituel plaidoyer pro-domo, nous offrait un assez joli collier de perles, dont certaines méritaient vraiment enchâssement. Reflet d’un état d’esprit partagé chez nos amis magistrats, à qui on rappellera quand même qu’ils officient, jusqu’à nouvel ordre, au nom du peuple français. Jetons à nouveau un coup d’œil sur ce texte en rappelant d’abord, que les deux signataires s’expriment, non pas, au nom de leurs organisations syndicales respectives, mais en tant que magistrats en exercice.
On retrouve, pour commencer, la mise en cause, quasi-routinière, de l’activité législative du Parlement. Montesquieu, connais pas ! « Une vingtaine de lois s’empilent ainsi jusqu’en 2012 : à chaque fait divers sa loi, à chaque problème de société sa sanction pénale, sans réflexion. » C’est vrai ça ! Ces parlementaires de la République élus au suffrage universel pour élaborer et voter la loi, ils ne réfléchissent pas !
SOS magistrats en danger !
Et puis, la justification de l’existence du totem : « Ce ‘mur des cons’ n’est-il pas la réaction affective, hystérique, magique, d’une partie de ce corps social en danger, celui des magistrats ? N’est-il pas une sorte de maraboutage de l’ennemi, un peu comme on enfonce des aiguilles dans la photo de son adversaire ? » Un corps social en danger ? Certes, tout est relatif, mais il semble pourtant qu’il en est d’autres, dans ce pays, nettement plus menacés, et qui ont d’ailleurs commencé à le faire savoir. Les magistrats céderaient-ils à la concurrence victimaire ? Ensuite, il s’agirait d’une réaction affective, hystérique et magique. Houlà, on est carrément dans le syndrome. J’ai connu (il y a longtemps) un magistrat qui, présidant une chambre correctionnelle, tirait le thème astral des gens qu’il allait juger. Je le pensais minoritaire, mais constate que ce n’est pas le cas. Il y aurait donc des cours de vaudou à l’Ecole nationale de la magistrature, des marabouts sénégalais ou haïtiens comme enseignants ? Et si l’on comprend bien, les représentants de l’exécutif de l’époque, du législatif et les justiciables, tous présents sur le mur, sont des adversaires ?
Malheureusement, ce n’est pas fini, car vient la définition de l’impartialité portée par les deux plus grandes organisations syndicales. « Une fois de plus, cette affaire va servir à défendre une conception abstraite et surannée de l’impartialité du juge, que sous-tend le code de déontologie des magistrats publié en 2010 par le CSM (Conseil supérieur de la magistrature) : le juge doit être transparent, sans sexe, sans opinion et sans engagement. » Comment des magistrats formés, disposant de hautes responsabilités peuvent-ils proférer de pareilles énormités et revendiquer ainsi une impartialité à géométrie variable ? Mais, chers amis magistrats, nous ne vous demandons pas d’être personnellement transparents, asexués ou sans opinions politiques. Mais que vos décisions le soient ! Vous ne les rendez pas à titre personnel, en tant que femmes (ou hommes), en tant qu’électeurs, ou en tant que militants, mais au nom du peuple français. Mesurez-vous le caractère fondamental de cette formule ?
Cette sidérante revendication de la subjectivité et de la partialité, qui se nourrit d’une négation des principes qui fondent l’organisation de la justice, est aussi inquiétante que révélatrice.
Circulez, c’est du passé !
On ajoutera un dernier bijou qui, derrière la désinvolture d’expression, est quand même assez effarant. Par l’intermédiaire de leurs anciens dirigeants, les organisations syndicales donnent les consignes. « Bien sûr, les plaintes en diffamation, injure publique ou privée des malheureux nominés du ‘mur des cons’ n’aboutiront à aucune condamnation pénale du SM, car il n’avait nulle intention de diffuser ces images strictement privées. » C’est donc plié, il n’y a plus rien à voir ?
Le droit de la presse (puisque c’est de lui qu’il s’agit) est particulièrement délicat à manier et à interpréter. Les spécialistes de cette matière sont partagés sur son application à ce cas d’espèce. Diffamation ou injure ? Bonne ou mauvaise foi ? Diffusion publique ou privée ? Sachant que la diffusion privée est également pénalement répréhensible, il y a quand même matière à discussion judiciaire, et il appartiendrait au juge de trancher. Eh bien non, c’est tout vu. Deux éminents magistrats, qui se réclament de leurs précédentes responsabilités syndicales nous ont déjà donné la décision. Il n’y aura « bien sûr » pas de condamnation pénale. Parce qu’il ne doit pas y en avoir ? C’est vrai ça, à quoi bon un débat judiciaire contradictoire ? De son côté le parquet a scrupuleusement appliqué la consigne en se battant pour éviter que cette affaire vienne à une audience correctionnelle.
Le mal est fait
Ce qui est quand même un peu étonnant, c’est cette constance dans l’expression de telles énormités. On comprendrait que les « épinglés » soient un peu hésitants lorsque qu’on leur demande de faire confiance à la justice de leur pays. La seule véritable réponse de la République aurait dû être de donner à ce qui constitue un véritable scandale les suites disciplinaires qu’il méritait. Cinq ans après, la décision à venir quelle qu’elle soit, de relaxe ou de condamnation ne servira à rien.
Il y a 13 ans, après l’affaire d’Outreau, j’avais publié dans Libération, un article pour déplorer la tentation autiste des magistrats : « La tentation de l’autisme est pourtant une stratégie risquée pour le corps lui-même. Est-il sûr que l’opinion publique française s’en contente, alors qu’elle se méfie désormais de sa propre justice ? »
Clairement, les choses ne se sont pas arrangées.
0 notes