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Aujourd'hui nous vous présentons quatre familles de chaebol ainsi que les entreprises qu'elles ont créée. Il s'agit des anciennes familles qui règnent depuis des décennies, mais aussi les plus riches et puissantes du pays (voir du monde).
CHAEBOLS LES PLUS CONNUS, PAR ORDRE DE RICHESSE ET DE PUISSANCE
DAEHAN MOTORS Création : 13 janvier 1952. Fondateur : Seol Byungchul.
Autres dirigeants : Seol Taejoon (fils du précédent), Seol Minkyu (actuel, fils du précédent).
Ce groupe d'entreprises était initialement spécialisé dans la fabrication de véhicules sous la marque Daehan. Aujourd'hui, Daehan Motors est réputé comme l'un des plus grands constructeurs automobiles mondiaux, et touche également à l'aérospatial mais aussi aux transports publics et à l'ingénierie. Devenu le groupe le plus riche du pays, sa famille est l'une des plus puissante au monde.
— FAMILLE SEOL
Famille traditionnelle et patriarcale de chaebols coréens, les Seol résident dans une villa ancestrale du quartier de Yeonhwa où les enfants sont élevés strictement, portant l'héritage d'une grande famille d'entrepreneurs sur leurs épaules. Dans cette famille, les hommes sont largement favorisés pour obtenir les meilleures places de Daehan Motors, les dirigeants de l'entreprise étant choisis de père en fils. A l'inverse, les filles sont élevées de manière à devenir les parfaites épouses au foyer d'un homme riche. Si son épouse est une femme douce et aimante, Seol Minkyu est un homme particulièrement sanguin, stricte, et exigeant, en particulier avec ses enfants. Certains d'entre eux ont docilement suivi la voie qui leur était toute tracée dans l'espoir d'obtenir, peut-être, l'amour d'un père antipathique. D'autres enfants en revanche, plus rebelles, préfèrent prendre un chemin différent, choisissant de dissimuler ou non leurs intentions à leur paternel, à leurs risques et périls.
Seol Minkyu (M, 56 ans). Marié à Cheon Eunjung (F, 52 ans). - Seol Prénom au choix (M, 32 ans). - Seol Prénom au choix (M, 30 ans). - Seol Prénom au choix (F, 27 ans). - Seol Prénom au choix (F, 24 ans).
MIDO GROUP Création : 26 novembre 1962. Fondateur : Ryu Jaehoon.
Autre dirigeant : Ryu Hyesoo (actuelle, fille du précédent).
Leader mondial dans l'industrie cosmétique et la mode, Mido Group détient un réseau exceptionnel de filiales couvrant tous les aspects du secteur. En plus de cela, Mido Group possède également AriL, une chaîne de magasins de cosmétiques omniprésente en Corée du Sud. Les magasins AriL sont réputés pour vendre une variété de produits, des plus abordables aux plus grandes marques de luxe, comme la marque Seora, filiale du groupe. Mido Group est aussi un acteur majeur dans l'industrie de la mode et possède plusieurs chaînes de magasins de vêtements dans le monde entier.
— FAMILLE RYU
Ryu Hyesoo, dirigeante actuelle de Mido Group, est une ancienne mannequin dont le visage a grandement participé à l'explosion de la marque de luxe Seora. Mère de deux jeunes femmes dont elle a fait de véritables princesses, poupées de porcelaines, toujours apprêtées et mises en beauté, elle est une femme de caractère, dirigeante ambitieuse et très acharnée. C'est elle qui a insisté pour que ses filles prennent son nom, plutôt que celui de leur père, afin de perpétrer l'héritage laissé par Ryu Jaehoon. Les filles de la famille Ryu, bien qu'ayant reçu une éducation stricte, ont eu la chance de ne jamais manquer de rien, y compris de l'amour d'une mère qui, bien qu'exigeante, a toujours cédé à leurs moindres caprices. On dit de ces filles qu'elles sont de vraies divas, extrêmement hautaines, et que personne ne peut résister à leur incroyable beauté. Cette façade parfaite cacherait-elle un hideux secret ?
Ryu Hyesoo (F, 52 ans). Mariée à Kang Sungmin (M, 53 ans). - Ryu Prénom au choix (F, 26 ans). - Ryu Prénom au choix (F, 23 ans).
CHEONGHWA CORPORATION Création : 13 août 1964. Fondateur : Cheon Daesik.
Autre dirigeants : Cheon Daehyun (frère du précédent), Cheon Taejin (actuel, fils du précédent).
Chaebol sud-coréen majeur possédant un grand empire commercial et touchant à divers secteurs de l'économie. Fondé dans les années 1960 par la famille Cheon, Cheonghwa Corporation englobe diverses activités allant de l'aviation à l'hôtellerie de luxe, le commerce et les loisirs et infrastructures. Cheonghwa Corporation est notamment à l'origine de la construction du plus grand stade de Corée du Sud qui accueille de grands événements sportifs et concerts, ainsi que de la Dojang Nexus Toxer, un centre de loisir révolutionnaire, devenu l'une des plus belles attractions touristiques de la capitale.
— FAMILLE CHEON
Cheon Taejin espère bientôt prendre sa retraite et compte sur son fils aîné pour prendre la relève. En tant que seul garçon et plus âgé de sa fratrie, Cheon Prénom au choix est au cœur des attentes de ses parents afin de reprendre l'entreprise familiale. Pourtant, le jeune homme au caractère bien trempé préfère profiter de sa jeunesse et ne s'établir sous aucun prétexte. Etant le fils préféré de ses géniteurs qui cèdent à tous ses caprices et le chouchoutent comme s'il n'était encore qu'un enfant, il ne cesse de s'enliser dans des situations compliquées et des scandales qui attisent les gros titres de la presse. Entre drogue, alcool, courses de voiture, bagarres, le couple Cheon ne sait plus comment calmer les ardeurs de ce garçon immature à qui ils n'ont pourtant jamais rien refusé. Ses quatre sœurs, pourtant plus sages, plus matures, peinent à obtenir la moindre attention de la part de leurs parents. La jalousie les poussera-t-elles à briser la future carrière de leur frère dont elles pourraient prendre la place, ou choisiront-elles de rester fidèles et honnêtes envers le clan Cheon ?
Cheon Taejin (M, 63 ans). Marié à Kim Mikyung (F, 54 ans). - Cheon Prénom au choix (M, 27 ans). - Cheon Prénom au choix (F, 25 ans). - Cheon Prénom au choix (F, 22 ans). - Cheon Prénom au choix (F, 19 ans). - Cheon Minji (F, 17 ans).
HYEONMI TECHNOLOGIES Création : 14 mai 1971. Fondateur : Hyeon Jiho.
Autres dirigeants : Hyeon Prénom au choix (actuel, petit-fils du précédent).
Chaebol fondé dans les années 1970, Hyeonmi Technologies est spécialisé dans les secteurs de l'électronique et des communications. Sa filiale, Hyeonmi Electronics, est un leader mondial dans la fabrication d'appareils électroniques, dont des téléphones portables, télévisions, ordinateurs, tablettes, consoles de jeux vidéos, et batteries. Hyeonmi Technologies possède également son propre opérateur de télécommunications : MiTelecom, l'un des principaux fournisseurs coréens, ainsi qu'une chaîne de magasins d'électronique, Mi Store.
— FAMILLE HYEON
Suite au décès de Hyeon Jiho en fin d'année 2023, Hyeon Prénom au choix a hérité de l'entreprise de son grand-père en lieu et place de son propre père, disparu 17 ans plus tôt. Soudainement propulsé à la tête d'une des entreprises les plus puissantes du monde alors qu'il n'était âgé que de 28 ans, le jeune homme a du faire des concessions et abandonner sa vie d'avant, ses amis, ses rêves et ses passions, afin de faire tenir le cap à Hyeonmi Technologies face à la concurrence, et de permettre à sa mère et ses frères et sœurs de continuer à profiter de tout le luxe et le confort que l'entreprise familiale leur permet. Heureusement pour lui, son grand-père, particulièrement dur et autoritaire, lui a enseigné tout ce qu'il avait besoin de savoir avant de lâcher son dernier souffle. Si aujourd'hui, beaucoup de personnes se plaignent du changement de personnalité soudain de Hyeon Prénom au choix, personne ne peut imaginer la difficulté de sa situation et la lourdeur de son fardeau.
Hyeon Minseok (M, 1969-2006). Marié à Yoon Seonhee (F, 53 ans). - Hyeon Prénom au choix (M, 29 ans). Dirigeant actuel. Marié à Nom et prénom au choix (F, âge au choix). - Hyeon Prénom au choix (M, 26 ans). - Hyeon Prénom au choix (F, 22 ans).
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Un oeil fermé
Quand Mattéo entra dans la bibliothèque, je me demandais s’il déconnait. Je regardais son air ahuri. Il paraissait complètement perdu comme s’il était choqué.
Il y a une dame dans la cours, dit-il.
Et ? réagis-je.
C’était normal de voir des gens se promener dans la cours. Le campus n’était pas fermé et il n’était que 20h. De plus, en hiver, la nuit tombe toujours tôt. Mattéo m’observait encore avec un regard perdu. Il ne savait pas comment expliquer. Il cherchait les bons mots. Certainement pour ne pas nous choquer ou, pour qu’on interagisse au plus vite.
Elle a un œil qui pisse le sang et l’autre est fermé. Elle marche dans la cours. Je crois qu’elle a besoin d’aide.
Aussitôt, Sophie, ma collègue se précipita vers la porte d’entrée. Elle regarda à gauche puis à droite. Mais elle ne remarqua pas cette étrange femme. Dès lors, elle rentra en fronçant les sourcils.
Es-tu certain d’avoir bien vu ? questionna-t-elle.
Le jeune homme soupira. Il répondit qu’effectivement, il s’était surement trompé. Toutefois, son visage montrait une certaine inquiétude. Il retourna à sa place mais eut du mal à se remettre à étudier. Les autres étudiants ne s’intéressèrent pas à lui. Ils lisaient, prenaient des notes…Bref, ils préparaient leur examen partiel.
Je restais derrière mon bureau et enregistrais les livres rendus. Puis je les rangeais dans des casiers en fonction de leur classification. En même temps, je m’amusais à connaitre quelle catégorie avait le plus de succès dans la journée. Je me souviens que c’était l’histoire de l’art. Curieux, car il n’y avait pas de section histoire de l’art dans l’université.
Tout-à-coup, un cri retentit dans la salle. Je courus voir de quoi il s’agissait. J’entendais des ‘chuts’ des étudiants les plus proches de la porte. Seulement, tout le monde, c’est-à-dire, la vingtaine d’élèves restèrent muets en découvrant la femme dressée derrière la baie vitrée.
Elle portait un chignon. Sa taille longiligne et tordu déformait son corps. On aurait cru un mannequin fabriqué avec un grand cintre. Elle portait un bouquet de fleurs. Mais surtout, le plus horrible : du sang coulait de son œil gauche, tandis que le droit restait fermé. Le sang se mêlait à sa robe noire, son décolleté brunissait atrocement. Elle ne semblait pas avoir mal. Peut-être était–elle juste droguée ? Pendant que les étudiants la regardaient avec inquiétude, Sophie retourna vers la porte après m’avoir demandé d’aller chercher la trousse à pharmacie, et d’appeler des secours.
Je courus récupérer une boite contenant le minimum médical lorsque j’entendis hurler :
Elle n’a pas d’œil !
En effet, la jeune femme venait d’ouvrir sa paupière droite, dévoilant un trou béant. Les jeunes se sentirent mal, quelques filles hurlèrent. Et soudain, un énorme fracas provint en même temps qu’un hurlement glacial. J’entendais les bruits de verre rebondir sur le carrelage de la grande salle. Je restais dans la pièce utilisée comme salle de repos à me demander quoi faire.
La porte demeurait entre-ouverte. Cependant, je ne pouvais rien voir de ce qui se passait. J’entendais simplement quelques pas résonner dans la bibliothèque. Mais ce qui me choqua fut le silence long, pénible, angoissant. Un silence anormal car ils étaient encore nombreux à étudier dans cette salle. J’avais soudainement froid. Et plus je tendis l’oreille, plus j’entendis une voix douce, une voix de femme triste :
Et un…et deux.
Elle se tut tout en claquant ses talons sur le carrelage, puis elle recommença :
Et un…et deux.
Personne ne réagissait, personne ne parlait. Je n’osais pas signaler ma présence. Il y avait quelque-chose d’horrible dans sa façon de marcher. De même, il y avait de la terreur dans sa façon de parler et de toujours répéter :
Et un…et deux…Et un…et deux…Et un… et deux.
Sans faire de bruit, j’approchai de la porte. Je voulais voir. Je voulais comprendre. Et je l’ai vue. La dame marchait entre les étudiants. Sa figure rayonnait de grâce malgré son atroce blessure à l’œil. Elle gardait toujours le droit fermé. Cependant elle savait où elle avançait, évitant de marcher sur les corps étendus.
Je regardais les étudiants. Ils ne bougeaient plus. Ils ne remuaient pas. Je n’arrivais pas à voir s’ils respiraient, si leur poitrine gonflaient et dégonflaient. La dame se positionna devant une jeune fille. Elle sortit une des fleurs de son bouquet avant de l’enfoncer dans l’œil gauche.
Et un…
Puis, elle se pencha, et à l’aide de ses doigts longs et pointus, elle arracha le second œil en disant :
Et deux…
Elle marcha vers une nouvelle victime. Et elle recommença son manège :
Et un…et deux.
Je ne pouvais rester. Cette chose à l’apparence humaine avait réussi à tuer les étudiants d’un seul cri terrifiant. Je ne me voyais pas intervenir pour la combattre. Je fermais la porte le plus doucement possible afin de l’empêcher de grincer. Malheureusement, il n’y avait pas de fenêtre. Alors, je me cachais bêtement sous la table dans le noir complet. C’était le seul endroit possible. J’espérais qu’elle n’entrerait pas, qu’elle ne remarquerait pas ma présence. Et toujours cette douce voix pourtant horrible :
Et un…et deux…et un…et deux…
Plus j’écoutais, plus je réalisais qu’elle approchait. Je sentais mon cœur battre à cent à l’heure. Je sentais sa présence derrière la porte. Hélas, je ne voyais rien, si ce n’est une silhouette sous la porte, à cause de la lumière du hall. La poignée bougea…la porte s’ouvrit dans un silence absolu. Une lumière apparut rapidement cachée par une longue forme noire. Je me sentais paralysé par sa présence dans la pièce.
Le spectre marcha en claquant ses talons. Il s’arrêta brusquement devant la table. Je restais assis, les jambes recroquevillées pour protéger mon visage. Je ne voulais pas lever la tête. Je fermais les yeux, je retenais ma respiration et attendis. Mon sang se glaçait soudainement. Elle demeurait immobile telle une statue de glace. Puis elle sortit en fermant la porte.
Je restais toute la nuit, sans dormir dans le noir complet, et dans cette position fœtale. J’avais peur de l’entendre revenir ou de la revoir. J’avais peur qu’elle me crève les yeux. Le silence dura jusqu’au matin.
Il y eut d’abord des cris. Puis, il y eut des sirènes. Il y eut des voix, de nombreuses voix. Et la porte s’ouvrit, la lumière s’alluma. Un homme vêtu d’un uniforme de policier me regarda avant de m’adresser la parole. Je n’ai pas répondu à sa question. Je suis resté muet, le visage blême, les yeux remplis de fatigue et de peur. Avec un de ses collègues, il m’aidèrent à me relever. Puis, des pompiers m’ont assisté et installé sur un brancard
J’ai juste eu le temps de voir, les yeux posés sur la table. Tous les yeux arrachés me regardaient, ils me dévisageaient comme s’ils cherchaient à me culpabiliser d’être le seul survivant. Et lorsque je sortis de la bibliothèque j’entendis un policier dire à son collègue :
Il est bon pour l’hôpital psychiatrique. Mais comment et pourquoi a-t-il fait tout ce carnage ?
J'ai mis longtemps avant de fermer l'oeil et d'arrêter de répéter: 'et un...et deux'.
Alex@r60 – août 2023
Histoire très légèrement inspirée d’une légende urbaine coréenne appelé : one two, one two.
Artwork par Josephine Cardin
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La perfection me dégoûte, elle me repousse. " Toutes ces femmes et ces hommes qui cherchent la perfection dans les stéréotypes créés par la société Ils me donnent envie de vomir. Putains de mannequins de viande, pas de personnalité ou d'amour propre. Mêmes vêtements, même musique, mêmes expressions, mêmes aliments, Même baise, mêmes voitures, mêmes vies.. et à la fin ? Même suicides neuronaux de masse. Parce que vivre comme une automobile est sans aucun doute un suicide. Quand tout le monde est pareil, Tout le monde est personne. La perfection est un oiseau dans une cage qui vit, mange, fait caca et meurt dans le seul but d'être admiré. Je veux vivre libre, mousseux, froid, mal nourri mais libre.
Charles Bukowski
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Samedi 28 octobre 2024
Fashion Week de Paris.
"Deux fois par an, près de 100 défilés investissent tous les lieux de prestige parisiens. Le monde entier a les yeux rivés sur la Ville Lumière à l'occasion de la Fashion Week, un évènement incontournable dans le monde de la mode". C'est ce qu'écrit le site de la fashion Week*.
J'y suis allé samedi dernier après avoir réussi à trouver des lieux où auront lieu des défilés. Mais je n'essaierais pas de rentrer voir un défilé, impossible sans invitation. Le spectacle est ailleurs, dehors. Des influenceuses saluées par moment presque hystériquement par une foule d'admirateurs, comme si elles venaient d'avoir la palme d'or à Cannes ou le lion d'or à Venise, photographiées par des dizaines de personnes équipés des appareils les plus perfectionnés que l'on trouve sur le marché et que beaucoup de professionnels ne pourront jamais acheter. Des jeunes femmes et hommes qui posent comme s'ils étaient les plus célèbres des mannequins devant ces photographes. On entend parler anglais, espagnol, italien, français.
Le spectacle est vraiment dans la rue, pas à l'intérieur.
*https://www.france.fr/fr/evenement/defiles-haute-couture-printemps-ete-fashion-week-paris/
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Je te sauverai
Fandom : Tokyo Revengers
Relationship : Mikey x Takemichi
Voici ma participation pour le Tropetember 2023 pour le prompt : Major Character Death.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Mikey se demandait si Takemichi était revenu du passé. Est-ce qu’il essayerait de savoir ce qu’il était devenu ? Il savait qu’il chercherait à le retrouver. C’est pour cela qu’il lui avait laissé cette vidéo dans la capsule temporelle où il lui demandait de ne pas le retrouver. Il savait que Takemichi respecterait sa volonté. Après tout, qu’avait-il a offrir à part un monde de violence et de mort.
Disclaimer : Tokyo Revengers appartient à Ken Wakui.
@tropetember
AO3 / FF.NET
Mikey regarda au loin et mordit dans un taiyaki. On était le 19 juin. Douze ans jour pour jour que les membres du Toman avaient enterré la capsule temporelle et qu’ils avaient prévu de se retrouver. Mikey redoutait cette date depuis plusieurs jours. Il savait que ses amis seraient présents, se demandant sûrement où il était et s’il viendrait. Mais il ne devait pas se rendre au rendez-vous. S’il avait dissout le Toman et s’il avait brisé tous les liens avec eux, c’était pour les protéger et protéger leur avenir. Il devait les protéger de celui qu’il était devenu.
Il s’était quand même renseigné sur ce qu’ils étaient devenus. C’était plus fort que lui, il devait savoir. Ils avaient été les personnes les plus importante de sa vie et même s’il refusait de se l’avouer, il tenait toujours à eux.
Il avait appris que Draken avait ouvert un atelier motos. Chifuyu avait ouvert une animalerie et Kazutora l’aidait depuis sa sortie de prison. Pachin, qui venait de se marier, avait repris l’entreprise de son père et était secondé par Peyan. Mitsuya était devenu styliste et commençait à se faire un nom dans le milieu de la mode. Hakkai était un mannequin international et sa sœur était son agent. Quant-à Takemichi, il était gérant d’une boutique de DVD et allait bientôt épouser Hinata. Ils étaient tous heureux sans lui et s’était mieux ainsi.
Il se demandait si Takemichi était revenu du passé. Est-ce qu’il essayerait de savoir ce qu’il était devenu ? Mikey savait qu’il chercherait à le retrouver. C’est pour cela qu’il lui avait laissé cette vidéo dans la capsule temporelle où il lui demandait de ne pas le retrouver. Il savait que Takemichi respecterait sa volonté. Après tout, qu’avait-il a offrir à part un monde de violence et de mort.
Il y a douze ans, il savait comment les choses risquaient de finir. Sa pulsion finirait par le rattraper et Takemichi serait une de ses victimes. Il le tuerait, comme il tuait tous ceux qui le gênaient ou qui ne lui étaient plus d’aucune utilité.
Il y a bien longtemps, les seules personnes capable de l’aider à combattre cette pulsion avaient été Shinichiro, Emma et Baji. Mais tous les trois n’étaient plus de ce monde. Puis Takemichi était entré dans sa vie. Il avait cette force et ce courage qui avait donné envie à Mikey de combattre cette pulsion. Avec Takemichi à ses côtés, la noirceur qu’il avait en lui disparaissait. Il était devenu son héro et il l’aimait. Et c’est parce qu’il l’aimait qu’il devait le laisser retourner à son époque. Il savait qu’à l’instant où Takemichi disparaîtrait, sa pulsion noire reprendrait le dessus. Il était plongé bien trop profondément dans les ténèbres et plus personne ne pouvait le sauver. Pas même Takemichi.
Il mordit à nouveau dans son taiyaki lorsqu’il entendit quelqu’un arriver derrière lui. Il savait qu’il s’agissait de Sanzu, son fidèle second.
« Tu es sûr de ne pas vouloir t’y rendre ? Demanda Sanzu.
-Oui, répondit Mikey avec indifférence. »
Cette date faisait partie de son passé et cela devait rester ainsi.
******
Cela faisait plusieurs jours que Mikey entendait des rumeurs sur un homme qui cherchait des informations sur lui et sur le Bonten. Qui pouvait être cet idiot qui le cherchait alors même que les autorités le craignaient ? Pendant une seconde, le visage de Takemichi lui vint à l’esprit. Mais c’était impossible. Il devait se marier avec Hinata dans quelques jours et il ne risquerait pas de tout perdre pour le retrouver.
Mikey regarda Rindo se débarrasser du cadavre d’un des membres du Bonten qu’il venait d’exécuter. Il l’avait trahi, alors Mikey devait l’éliminer. Il ne ressentait rien. Ni regret, ni peine, ni plaisir comme les membres de son gang. Il était vide. Il vit du coin de l’œil Sanzu arriver. Il l’avait envoyé se renseigner sur cet homme.
« Tu as appris quelque chose ? Demanda Mikey.
-Il s’agit de Takemichi Hanagaki. »
Alors c’était bien lui, pensa Mikey. Il ne l’avait pas écouté et il l’avait recherché. Pourquoi fallait-il qu’il continue à jouer au héro ?
« Tu sais où il se trouve ? »
Sanzu acquiesça. La main de Mikey se crispa sur le pistolet.
« Amène-moi à lui. »
Mikey savait déjà ce qui allait se passer. C’était pour ça qu’il ne voulait pas revoir Takemichi. Pourquoi les choses devaient-elle se terminer ainsi ?
******
« Je te sauverai ! »
Pourquoi ? Pourquoi alors que Mikey venait de lui tirer dessus et qu’il était sur le point de mourir, Takemichi voulait toujours le sauver ? Il n’avait pas compris qu’il était trop tard pour lui. Cela faisait des années qu’il ne pouvait plus être sauvé. Pourquoi continuait-il d’insister ? Il lui avait dit lui-même qu’il ne pouvait plus retourner dans le passé.
Mikey n’en pouvait plus de cette vie. Il s’avança vers le bord et se laissa tomber dans le vide. C’était enfin terminé. Il sentit sa chute s’arrêter. Takemichi l’avait rattrapé par le bras. Comment était-ce possible ? Avec les balles qu’il lui avait tiré dessus, il devrait être entrain de se vider de son sang, incapable de bouger. Et pourtant, Takemichi refusait de le lâcher. Il continuait d’insister en disant qu’il pouvait encore être sauvé et pour la première fois, il l’appela par son prénom.
Quelque chose dans le cœur de Mikey changea. Il avait envie de croire en Takemichi et croire qu’il méritait d’être sauvé. Il lui attrapa la main et le regard de Takemichi changea. Mikey connaissait ce regard. Il l’avait déjà vu douze ans auparavant quand le Takemichi du futur voyageait dans le passé. Est-ce que c’était ce qui venait de se passer ? Est-ce que Takemichi venait de voyager dans le temps ?
Tout à coup, le corps de Takemichi bascula et tous deux tombèrent dans le vide. Malgré leur chute, Mikey ne voulait pas lui lâcher la main. La chute ne dura que trois secondes, qui semblait lui durer des heures.
Ils s’écrasèrent sur le sol. Le corps de Mikey avait amorti celui de Takemichi. Pourtant, il ne bougeait plus, il ne respirait plus. Mikey comprit qu’il était mort. Lui-même était au plus mal. Tous les os de son corps étaient brisés. Ses poumons devaient être perforés, il avait de plus en plus de mal à respirer. Jamais il n’avait eu aussi mal. Il voulait hurler de douleur, mais il n’y arrivait pas.
Il pouvait entendre un attroupement se former autour d’eux, mais il ne voyait rien. Le choc l’avait rendu aveugle. Sa main qui tenait celle de Takemichi se desserra peu à peu. Il se sentit partir et il comprit qu’il lui restait peu de temps. Il rassembla le peu de force qui lui restait pour lever son bras et le passer autour de Takemichi. Il n’avait jamais eu peur de mourir, mais cette fois, c’était différent.
« Takemitchy, réussit-il à murmurer. »
Takemichi lui offrait une seconde chance et Mikey espérait la passer auprès de celui qu’il aimait. Auprès de son héro, auprès de Takemichi.
Fin
#tropetember#tropetember 2023#tokyo revengers#takemikey#takemichi x mikey#sano manjiro#takemichi hanagaki#my writing
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Gal Gadot s’exprime sur son enfance “protégée” en Israël
Gal Gadot, star de « Wonder Woman », s’est exprimée cette semaine sur son enfance israélienne « protégée » et sur l’inspiration qu’elle a tiré de son grand père, survivant de la Shoah, pour incarner la super-héroïne emblématique du film.
C’est Gadot qui fait la couverture de l’édition du mois de septembre du magazine américain de pop culture Rolling Stone.
« Gal Gadot : Le triomphe d’une Wonder woman dure à cuire », annonce le titre, tandis que le journal consacre six pages aux années passées en Israël par la jeune femme de 32 ans et à son nouveau statut de super-star.
« J’ai eu une vie très protégée », explique au magazine Gadot, qui a grandi à Rosh Haayin. « On ne regardait pas la télé. C’était tout le temps : Prends un ballon et va jouer dehors. »
« En général, j’étais une fille bien, une bonne élève, j’étais agréable et j’étais un garçon manqué. Toujours avec des blessures et des égratignures aux genoux », ajoute-t-elle.
Gadot, devenue Miss Israël avant de faire son service militaire, déclare également au magazine avec fierté qu’elle a délibérément perdu le concours de Miss Univers.
« Je savais que je ne voulais pas gagner Miss Univers. Ce n’était pas mon truc. Pour une jeune fille de 18 ans, cela faisait trop de responsabilités », dit-elle.
« Et j’ai totalement perdu, ajoute-t-elle. J’ai victorieusement perdu. »
Gadot évoque également son grand-père, adolescent en Tchécoslovaquie durant la Shoah et dont la famille a été tuée à Auschwitz.
« Sa famille entière a été assassinée, c’est impensable, dit Gadot. Cela m’a beaucoup touchée. Après toutes les horreurs qu’il avait vues, il était comme un oiseau blessé mais il gardait toujours espoir, il était positif et rempli d’amour. Si j’avais grandi dans un endroit où ces valeurs n’avaient pas été si fortes, les choses auraient été différentes. Mais il a été très facile pour moi de me relier à toutes les valeurs pour lesquelles Wonder Woman se bat. »
Depuis le début de l’année 2016, la star israélienne est passée d’un quasi-anonymat international au statut de star mondiale, de célébrité d’Hollywood et d’héroïne féministe.
« Les gens me demandent tout le temps : ‘vous êtes féministe ?’ et je trouve cette question surprenante parce que je pense que oui, bien sûr. Toute femme, tout homme, tout le monde devrait être féministe. Parce que celui qui n’est pas féministe est sexiste », explique Gadot.
La couverture du magazine Rolling Stone avec l'actrice israélienne Gal Gadot, Septembre 2017. La couverture du magazine Rolling Stone avec l’actrice israélienne Gal Gadot, Septembre 2017. Gadot est depuis longtemps une célébrité en Israël, où elle a été mannequin après avoir remporté le titre de Miss Israël en 2004, alors qu’elle avait 18 ans.
Gadot avait obtenu le rôle d’une ex-agente du Mossad dans le quatrième film de la série « Fast and Furious » au cinéma en 2009 — en partie, raconte-elle, parce que le réalisateur Justin Lin avait été impressionné par ses expériences militaires.
Après avoir tenu plusieurs petits rôles dans des films à Hollywood, comme « Crazy night » avec Steve Carell et Tina Fey, sa première apparition sous les traits de la princesse Diana de Thémyscira (le vrai nom de Wonder Woman) a eu lieu dans « Batman v. Superman : L’Aube de la Justice » avec Ben Affleck et Henry Cavill en 2016. ET c’est là que la super-star est née.
« Wonder Woman » a engrangé cette semaine un total de 404,1 millions de dollars de recettes aux Etats-Unis depuis sa sortie, et a dépassé les 800 millions de recettes dans le monde.
L’œuvre est ainsi devenue le 23e film le plus rentable de tous les temps sur le marché américain, le septième film tiré d’une bande dessinée ayant rapporté le plus d’argent à Hollywood et le film numéro un de tous les temps si on ne compte pas les suites des œuvres originales, selon un classement effectué par le journal Forbes.
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Willow Part 3 - Jade
Fanfiction
Seule assise sur les rochers du Labyrinthe du Canyon où elle avait pour habitude de s’entraîner avec Kit, Jade observait l’immensité du royaume de Tir Asleen.
Elle avait grandit avec cette vengeance en elle de détruire ceux qui avaient assassinés sa famille, The Bone Reavers. Elle avait appris à canaliser toute sa colère dans le but de l’utiliser le jour où elle se retrouverait devant ces meurtriers. Mais sa vie entière n’était que mensonge.
Elle entendait encore les dernières paroles de sa mère : « Jade, cours !!!! ». Ces paroles qui n’avaient jamais quitté son esprit ni les terribles images de cette journée. Elle ne put abandonner sa mère et resta, assise aux côtés de son corps sans vie, en pleurs, tenant ses mains. Puis, au milieu des cadavres, elle le vit, cet homme en armure, s’approcher d’elle.
- N’aie pas peur.
Tout en douceur, il la prit dans ses bras. Cette voix et cette chaleur humaine qui l’enveloppait, l’apaisa et la réconforta. Se sentant en sécurité, elle ferma les yeux et sombra dans le sommeil.
L’enfance de Jade se passa à nettoyer les écuries, s’occuper des chevaux et se battre afin de se faire accepter dû à sa différence dans un monde qui n’était pas le sien. Jusqu’au jour où elle fit cette rencontre qui changea sa vie.
La petite Kit comme à ses habitudes, s’amusait avec son frère en dehors du palais, au moment où elle vit une fille étrange se battre avec les garçons du royaume.
Kit : Qui est-ce ?
Airk : On dit que c’est une sauvage. Elle ne laisse personne l’approcher.
Kit : Il faut l’aider.
Airk : Non ! Kit attends !
Trop tard, la petite princesse était déjà partie pour défendre cette fille étrange.
Kit : Laissez la tranquille !!!!
Tout le monde se mit à rire et continua la bagarre.
Kit : Je suis Kit Tanthalos, ma mère est la reine !
Tous se figèrent et partirent en courant.
Airk : Oui c’est ça fuyez !!!!
Jade : Je n’ai pas besoin d’aide. J’aillais tous les massacrer !!!
Kit : Ce n’est pas ce que j’ai vu !!!!
A l’instant même Ballantine arriva. «Jade ça suffit. Excuse-toi auprès de la princesse !!!»
Jade : Mais…
Le regard de son mentor, suffisait à la faire céder.
Jade : Pardon.
Ballantine : Vas m’attendre aux écuries. Quant à vous 2 je vous ramène au palais.
Sorsha ne cacha pas sa colère : Qu’est ce qui vous a pris !!!
Kit : Ils se moquaient d’elle !!! Je ne pouvais pas laisser faire !!!
La reine donna l’ordre à une gouvernante d’emmener les 2 jumeaux dans leur chambre.
Sorsha s’adressa à Ballantine une fois seuls : Plus elle grandit, plus elle ressemble à son père. Qu’allons nous faire de la petite Jade ?
Ballantine : Ma reine, je sais comment canaliser sa colère et la rendre utile.
Sorsha acquiesça d’un signe de la tête.
De retour aux écuries, Ballantine s’assit aux côtés de Jade et entama la discussion.
Ballantine : Tu ne peux pas frapper tout le monde.
Jade : Je n’ai pas ma place !!!! Les gens ne m’acceptent pas !!! Je ne suis pas comme eux !!!
Ballantine : Viens avec moi.
Il l’emmena sur le terrain d’entraînement des chevaliers et lui donna un bâton.
Ballantine : Frappe ce mannequin de paille. Libère toute ta colère sans limite.
La petite Jade laissa exprimer toute sa colère. Elle frappa et frappa sans s’arrêter, de plus en plus violemment ce mannequin sous le regard de son mentor. Puis elle s’écroula à terre et se mit à pleurer.
Ballantine la prit dans ses bras : Je te donnerai ta place dans ce royaume et ta colère t’aidera.
C’est ainsi que commencèrent les entraînements qui firent de Jade la meilleure chevalier de Tir Asleen.
*******
Kit avait rejoint son amie au Labyrinthe du Canyon : Je savais que je te trouverais ici.
Jade la regarda, sourit mais ne dit mot. La jeune princesse posa sa main sur le bras de sa bien aimée.
La jeune chevalier se tourna vers celle qui comptait le plus dans sa vie.
Jade : Je… Je ne me suis jamais excusée de t’avoir menti sur nos entraînements.
Kit haussa les épaules, tout cela n’avait plus d’importance : Tu obéissais aux ordres.
Jade : Oui, les ordres. Toute ma vie je n’ai fait qu’obéir… Aux ordres.
La jeune princesse était si blessée de voir son amie en souffrance, qu’elle aurait voulu partager cette tristesse et la soulager.
Kit : Et si on allait chevaucher jusqu’à l’arbre de vie. La première qui arrive a gagné.
Jade : Une compétition. Elle gagne quoi ?
Kit lui sourit et partit : On se retrouve là-bas.
Arrivées à l’arbre de vie, les 2 amies se blottir l’une contre l’autre, adossées à ce gigantesque arbre de magie qui, suivant la légende, apportait la vie à Tir Asleen.
Jade : Te rappelles-tu notre 1re rencontre ?
Kit : Comment oublier tu m’as crié dessus.
Toutes 2 se mémorisaient cette amitié grandissante, devenant au fil des ans de plus en plus intense, inséparables l’une sans l’autre. Une force qui les unissait si puissamment. Toutes ces nuits qu’elles passèrent dans la chambre de Jade à refaire le monde, à vivre d’aventures épiques. Ces moments d’entraînements que l’une et l’autre chérissaient plus que tout, les seuls instants où elle se retrouvaient seules, loin du palais, loin de tous ces devoirs princiers que Kit avait toujours rejetés. Cette nuit où la petite princesse, allongée sur le lit, aux côtés de son amie, s’éclata en sanglots à cause du départ de son père sans en connaître les véritables raisons. Ce soir là, Jade lui offrit le collier de sa défunte mère, qu’elle porta à son cou et firent le serment de ne jamais s’abandonner.
Jade : Il appartenait à ma mère. Je l’ai pris sur son corps afin de ne jamais oublier. Je te le donne, en guise de notre amitié. Toi et moi, jamais nous ne serons séparées. Quoiqu’il arrive.
Kit : Toi et moi, toujours présentes l’une pour l’autre. Quoi qu’il arrive.
*******
Jade : Tu… Tu as changé ma vie. Pendant que tous me rejetaient, toi, princesse de Tir Asleen, tu m’as acceptée telle que je suis. Avec mes différences. Tu as été la seule dans ma vie qui ait comptée.
Kit se releva et plongea son regard dans celui de Jade : Tu as comblé le vide qui subsistait en moi. Tu as été et tu es ma seule et unique dans ma vie.
Puis, d’abord hésitantes, leurs lèvres se rejoignirent. Mais à l’instant où Kit devenait plus demandeuse, Jade la stoppa tout en douceur.
Jade : On ferait mieux de rentrer.
*******
De retour chez-lui, Wiilow fut accueilli comme il se devait en tant que grand Aldwin ainsi qu’Elora, impératrice.
Mims se jeta dans les bras de son père : Popa !!!
Willow : Tu… Tu vas bien.
Le sorcier se retourna vers la jeune femme, tous 2 comprirent, sa vision lors de la traversée de Shattered Sea n’était qu’un leurre. Son village, sa fille, tout le monde étaient sains et saufs. Puis elle s’approcha de la jeune impératrice qui se mit à sa hauteur et la prit dans ses bras.
Mims : Soyez la bienvenue.
Quelques heures plus tard, Elora se retrouvait seule dans les jardins privés de Wiilow, tenant la flûte de Graydon dans ses mains. Mais lorsque Mims la rejoignit, elle s’essuya aussitôt les larmes qui coulaient sur son triste visage.
Mims : Il n’y a pas de honte à pleurer. Nous ne pouvons pas tout le temps être fortes.
Elora : Je… Tout ce pouvoir et je n’ai pas pu le sauver.
Mims : Il n’a pas agit pour être sauvé.
Elora lui sourit : Vous êtes tellement tous gentils et accueillants à mon égard. (Elle regarda la flûte). Je ne veux plus de sacrifices. Je dois apprendre à maîtriser cette magie.
Mims : Popa vous aidera. Maman s’est occupée de vous bébé avant de vous confier à Tir Asleen, je le ferai aujourd’hui. Même si vous n’êtes plus un bébé.
Toutes 2 se sourirent.
Lorsque Willow se retrouva seul avec Mims, il lui fit part de ses doutes.
Willow : Comment puis-je l’aider, je n’ai plus ma pierre, ma magie ?
Mims : Popa, Fine Raziel et Cherlindrea avaient foi en toi. N’oublie pas Elora t’a choisi.
Willow : Et si j’avais tout perdu. Elora serait la seule. Tant de responsabilités reposeraient sur elle.
Mims : La magie est en toi. Tu es le grand Aldwin. Et s’il en restait d’autres quelque part. Le monde est vaste.
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⛔𝐕𝐀𝐍𝐈𝐓É 𝐃𝐄 𝐕𝐀𝐍𝐈𝐓É, 𝐋𝐄 𝐕𝐑𝐀𝐈 𝐁𝐎𝐍𝐇𝐄𝐔𝐑 𝐂'𝐄𝐒𝐓 𝐄𝐍 𝐂𝐇𝐑𝐈𝐒𝐓.‼️
Matthieu 16:26
Si une personne gagne toutes les richesses du monde, mais si elle perd sa vie, à quoi cela lui sert-il ? Qu’est-ce qu’on peut payer en échange de la vie ?
⛔ 𝐒𝐇𝐀𝐋𝐎𝐌 À 𝐓𝐎𝐔𝐒 ‼️
𝐏𝐀𝐑 𝐋𝐄 𝐒𝐄𝐑𝐕𝐈𝐓𝐄𝐔𝐑 𝐌𝐈𝐊𝐀 𝐈𝐒𝐀𝐀𝐂 👋
⏯ 𝐄𝐗𝐇𝐎𝐑𝐓𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍
⛔𝐂𝐎𝐍𝐍𝐀𝐈𝐒𝐒𝐄𝐙-𝐕𝐎𝐔𝐒 𝐂𝐄𝐓𝐓𝐄 𝐅𝐄𝐌𝐌𝐄 𝐀𝐍𝐈𝐓𝐀 𝐄𝐊𝐁𝐄𝐑𝐆 𝐋'𝐈𝐂Ô𝐍𝐄 𝐃𝐄 ▪️𝐋𝐀 𝐃𝐎𝐋𝐂𝐄 𝐕𝐈𝐓𝐀 🇮🇹▪️ (𝐋𝐀 𝐃𝐎𝐔𝐂𝐄𝐔𝐑 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐕𝐈𝐄 🇲🇫 )❓
L'ICÔNE DE "LA DOLCE VITA"
UNE PENSÉE POUR ANITA EKBERG (1931-2015),
⏯née Kerstin Anita Marianne Ekberg le 29 septembre 1931 à Malmö en Suède et décédée le 11 janvier 2015 à Rocca di Papa en Italie à l'âge de 83 ans.
Mannequin et actrice italienne d'origine suédoise.
⏯-L’actrice suédoise Anita Ekberg est décédée en 2015 à l’âge de 83 ans. Elle a été une grande star et l’une des plus belles femmes du monde, notamment célèbre pour son rôle emblématique dans La Dolce Vita de Federico Fellini, où elle immortalise la scène de la fontaine de Trevi.
⏯-elle était la plus belle femme du monde dans son époque.
⏩-elle était très belle de taille et de fugure.
⏯-elle était reconnue mondialement.
⏩-elle était mannequin célèbre
⛔Voyez vous cet actrice, ANITA EKBERG elle a eu beaucoup de voitures, la gloire, l'argent le succès mais la voilà aujourd'hui dans son tombeau, avant sa mort la femme était dans un état méconnaissable , le diable te donne la gloire mais derrière cette gloire se trouve la mort. La vraie richesse c'est JÉSUS CHRIST et non pas les matériels.
*elle, Était une des Femmes influentes dans son époque, actrice, mannequin, miss en Suède en Italie et bien au-delà dans le monde entier.
*Rien dans ce Monde n'est plus vrai que la mort.*
*elle a vais, les voitures les plus chères du monde dans son parking.*
*Mais aujourd'hui actuellement dans son tombeau morte!*
*elle a vais toutes sortes de vêtements chers, chaussures chères, d’accessoires chers._*
*Elle a vais l'habitude de manger dans les Restaurants les plus huppés à travers le monde_*
*_elle voyageais à travers le Monde en Jet privé ou en 1ère classe, Mais aujourd'hui, dans son tombeau morte !!
MON FRÈRE, MA SŒUR : C'EST VANITÉ DE VANITÉ JE T'EXORTE DÈS MAINTENANT TROUVER PLAISIR DANS L'ŒUVRE DE JÉSUS-CHRIST , ET MARCHER DANS LA CRAINTE ET LA SANCTIFICATION POUR HÉRITER LE ROYAUME DES CIEUX.
MAIS EN REGARDANT CETTE, FEMME LÉGENDAIRE ANITA EKBERG J'AI RÉALISER QUE , LA MORT NE CRAINT PERSONNE ELLE N'A PAS PEUR DE VOTRE TAILLE, NI BEAUTÉ, NI TON ARGENT.
⏩𝙏𝙐 𝙋𝙀𝙐𝙓 Ê𝙏𝙍𝙀 𝘽𝙀𝙇𝙇𝙀
⏯𝙏𝙐 𝙋𝙀𝙐𝙓 Ê𝙏𝙍𝙀 𝘾É𝙇È𝘽𝙍𝙀
⏯𝙏𝙐 𝙋𝙀𝙐𝙓 𝙀𝙏𝙍𝙀 𝙁𝙊𝙍𝙏
⏩𝙏𝙐 𝙋𝙀𝙐𝙓 Ê𝙏𝙍𝙀 𝙍𝙄𝘾𝙃𝙀
⏯𝙏𝙐 𝙋𝙀𝙐𝙓 𝙏𝙊𝙐𝙏 𝘼𝙑𝙊𝙄𝙍 𝘿𝘼𝙉𝙎 𝘾𝙀 𝙈𝙊𝙉𝘿𝙀
👉SACHE-LE QUE TOUT EST VANITÉ
DONNÉE VOTRE VIE À JÉSUS LORSQUE TU ES ENCORE VIVANT{E}
ÊTRE A LA MODE CE REVÊTIR LE CHRIST COMME HABIT DU SIÈCLE PRÉSENT
TON COPRS QUE TU UTILISE POUR COUCHER DE PARTS ET D'AUTRES AVEC LES HOMMES ET MARIS D'AUTRUIS LÀ, UN JOUR POURRIRA MAIS OÙ IRA TON ÂME ❓
TON COPRS QUE TU UTILISE POUR EXPOSER TES PARTIRS INTIMES POUR SÉDUIRE LES HOMMES, UN JOUR PÉRIRA, MAIS OÙ IRA TON ÂME ❓
TON COPRS QUE TU UTILISE POUR METTRE LES MAQUILLAGES, LES FAUX CHEVEUX, FAUX CILS, FAUX ONGLES, TOUT EST FAUX, UN JOUR CETTE FAUSSE BEAUTÉ NE DEVIENDRA QUE POURRITURE, MAIS OÙ IRA TON ÂME❓
Et que sert-il à un homme de gagner tout le monde, s’il perd son âme? Que donnerait un homme en échange de son âme?
Marc 8:36-37
C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu’à ce que tu retournes dans la terre, d’où tu as été pris; car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière.
Genèse 3:19
Et comme il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement,
Hébreux 9:27
VANITÉ SUR VANITÉ, IL N'Y A RIEN QUI NE DURE ÉTERNEL DANS CE MONDE , TOUT PASSERA SAUF LA PAROLE DE DIEU DEMEURERA À PERPÉTUITÉ...
TANT QUE TU RESPIRE, QUITTEZ LA VIE DE PÉCHÉ ET DONNÉE VOTRE À JÉSUS-CHRIST POUR QUE TU PUISSES SAUVER TON ÂME AU SÉJOUR DE MORT...
𝐄𝐍𝐅𝐄𝐑 𝐎𝐔 𝐋𝐄 𝐂𝐈𝐄𝐋❓𝐏𝐑𝐄𝐍𝐃𝐒 𝐀𝐔𝐉𝐎𝐔𝐑𝐃'𝐇𝐔𝐈 𝐋𝐀 𝐃É𝐂𝐈𝐒𝐈𝐎𝐍 ❗
𝐒𝐇𝐀𝐋𝐎𝐌 𝐏𝐀𝐑 𝐋𝐄 𝐒𝐄𝐑𝐕𝐈𝐓𝐄𝐔𝐑 𝐌𝐈𝐊𝐀 𝐈𝐒𝐀𝐀𝐂 👋
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Charlie Hunnam grimpe avec confiance au sommet d'Hollywood, obtenant des rôles dans des films au box-office et des séries télévisées dans lesquels le monde entier l'a reconnu
Ayant accepté la gloire, l'acteur de la vie reste un homme travailleur qui aime la solitude et ne se soucie pas de l'opinion des autres. L'Anglais aux yeux bleus est intéressant pour son charisme et son charme, ainsi que pour son approche consciente du développement de carrière. Charlie est né sous le signe du zodiaque du Bélier en 1980 au Royaume-Uni. Les parents n'ont pas vécu longtemps ensemble. Le père du futur artiste, engagé dans le recyclage de la ferraille, a laissé sa femme avec deux enfants lorsque le garçon avait 2 ans.
Selon Hunnam, sa mère, danseuse et femme d'affaires, a bien assumé le rôle de mère célibataire et 10 ans plus tard, elle s'est remariée. Bientôt, la future star eut deux frères plus jeunes. Enfant, Charlie souffrait de dyslexie. À l'école, le gars était un peu rebelle, se bagarrant souvent avec ses pairs, il a donc dû quitter le gymnase et suivre une éducation à la maison.
Il entre ensuite au Collège d’Art et de Design, où il étudie le cinéma. Très jeune, il reçoit une offre pour devenir mannequin professionnel, mais le destin le conduit au cinéma.
Charlie est apparu pour la première fois à la télévision à l'âge de 17 ans. Cela s'est produit à cause d'une rencontre fortuite la veille de Noël. Ce jour-là, Hunnam s'est rendu dans un magasin de sport pour acheter des baskets comme cadeau pour son frère. De bonne humeur (non seulement à cause de l'anticipation des vacances, mais aussi à cause de l'influence de l'alcool), le jeune homme a commencé à danser et à agir étrangement. Et bientôt, remarquant qu'une dame l'observait depuis la rue, il lui envoya un baiser.
#cinéma#unfilmcouleur#film#comportementhumaines#actionshumaines#joie#plaisir#aventures#lesdessinsanimés#buxberg
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JEAN HELION - La Prose du Monde,
au Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris.
Riche de plus de cent cinquante pièces et présenté de manière chronologique, cette rétrospective au musée d’Art moderne dévoile l’œuvre dense du peintre, faite d'inventions, de ruptures et de changements de cap, et au final d'une créativité d'une vitalité exceptionnelle.
Nombre d’artistes évoluent de la figuration à l’abstraction. Jean Hélion (1904-1987) fait le contraire. Il introduit l’abstraction en Amérique dans les années 1930 avant de revenir en France et de retourner à une figuration toute personnelle.
Ce retour à la figuration dans les années 1960 sera incompris du public, ce qui explique sûrement la méconnaissance de son oeuvre aujourd’hui.
Né en Normandie, Jean Hélion étudie d’abord l’architecture à Paris puis se tourne vers la peinture. Il se lie avec Piet Mondrian, dont l’influence se retrouve dans ses toiles des années 1930 (Composition orthogonale).
Parallèlement, ses formes géométriques s’appliquent à la figure humaine. Ses portraits d’Édouard, Charles, Émile, sont composés de cercles, ovales, et carrés qui s’agencent avec des aplats de couleur, dans un cadrage serré.
Les oeuvres ne sont pas dénuées de dualité comme dans À rebours (1947) : homme/femme, intérieur/extérieur, endroit/envers. Ou dans Grande Mannequinerie (1951) qui oppose un homme gisant au sol, devant une vitrine de mannequins élégants. Cette scène de rue située à New York fait écho à Figure tombée et met en miroir le monde du rêve face à celui du réel.
Dans les années 1950, Hélion dépeint des Chrysanthèmes et les toits de Paris. Ses peintures prennent une charge de plus en plus érotique avec des citrouilles ouvertes aux formes suggestives ou dans Le Goûter (1952) avec les restes d’un repas sur une table, un pantalon et une nuisette laissés nonchalamment sur une chaise.
Hélion subit une perte progressive de la vue jusqu’à la cécité complète mais il continue de peindre, avec urgence, dans une gamme chromatique plus contrastée. « Sa peinture oscille entre dérision et gravité (Le Peintre piétiné par son modèle, 1983), rêve et éblouissement heureux », conclut Sophie Krebs, commissaire de l’exposition.
Le parcours de l’exposition met en valeur le style original du peintre, son avancée à contre-courant pour réinventer la figuration. Une rétrospective éclairante.
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Simon Porte Jacquemus, le parcours d'un self made man
« Je m’appelle Simon, j’aime le bleu et le blanc, les rayures, le soleil, les fruits, les ronds, la vie, la poésie, Marseille et les années 80. » Voilà comment se présente le fondateur de la marque Jacquemus. Depuis quelques années, cette marque française, mi luxe mi prêt-à-porter, connaît un succès fulgurant. Que ce soit pour son défilé de mode dans un champs de lavande ou pour son célèbre mini-sac à main, Chiquito, Simon Porte Jacquemus est LE créateur en vogue qu'il faut suivre. Simon who? Simon Porte Jacquemus naît le 16 janvier 1990 en Provence Côte d’Azur où il passe toute son enfance. Élevé par ses parents agriculteurs, Simon grandit dans un milieu modeste, au milieu des champs dont il garde un souvenir tendre. « J'ai grandi dans les champs, pieds nus, libre de jouer avec les vêtements » confit-il au New York Times magazine. En 2008, à dix-huit ans, il quitte le sud de la France et monte à Paris pour intégrer l’Ecole supérieure des arts et techniques de la mode. Il n’y reste que quelques mois. La même année, la mort de sa mère, son "amour”, le pousse à réaliser son rêve : devenir styliste. À seulement dix-neuf ans, pas un sou dans les poches mais le cœur rempli de passion et la tête pleine d’idées, Simon crée sa marque. Sans un doute ce sera JACQUEMUS, le nom de jeune fille de sa mère. Simon Porte Jacquemus ©Views Une ascension fulgurante Avec persévérance et culot, Simon se fait remarquer en 2011 en s’invitant au défilé Show Dior. Il y fait défiler ses amies, habillées de sa collection automne-hiver 2011, avec une banderole “JACQUEMUS EN GREVE”. Son premier défilé officiel se tient l’année suivante, à la Fashion Week de Paris. Repéré par de grands groupes de l'industrie de la mode, ses créations se vendent partout dans le monde; Londres, Paris, New York. En 2014, il collabore avec La Redoute. En 2015 il gagne le prix spécial du jury LVMH Prize qui récompense les nouveaux créateurs. Il gagne en popularité et bientôt les plus grandes stars, Rihanna, Beyoncé et Kendall Jenner s’arrachent ses créations. Pour fêter les 10 ans de sa marque, de grands mannequins, notamment les soeurs Hadid, participent à son défilé "Le coup de soleil". Au milieu d’un champ de lavande, dans le sud de la France, des journalistes et des célébrités (Emily Ratajkowski, Eddy de Pretto, Jeanne Damas...) se sont spécialement déplacés pour assister à ce show féérique. Défilé à l'occasion des 10 ans de Jacquemus ©Marechal Aurore Ses inspirations Marqué par sa terre natale, Simon imprègne ses créations des saveurs de la Provence : le soleil, le lin, le blanc. Ses collections, même hivernales, restent très solaires. Passionné par les images, il essaie de raconter des histoires et de représenter des tableaux lors de ces défilés. Mais sa plus grande inspiration reste sa mère, ses longues robes blanches du soir et sa liberté. Muse de la poésie féminine, elle lui lègue une fascination pour les femmes, pour leur sensibilité et leur force. Sans jamais se fermer de portes, Simon s'autorise tout : des imprimés fleuris aux tons unis, c'est avant tout la surprise et la spontanéité qui priment dans ses collections. Il avait d'ailleurs surpris tout le monde en incluant, au dernier moment, une collection homme pour son défilé de 2018. Malgré son jeune âge, Jacquemus a déjà marqué la fashion industry par des pièces fortes. Nous pouvons citer, entre autres, le sac à main Chiquito, le chapeau Bomba, les tongs "coeur" ... sac à main Chiquito ©Jacquemus le chapeau Bomba portée par Kylie Jenner © Kylie Jenner Tongs "Cœur" rose bonbon ©Jacquemus Nous espérons que cet article vous a plu et si vous souhaitez en savoir plus sur le monde de la mode, n'hésitez pas à lire notre dernier article sur les cinq collections de mode iconiques. Read the full article
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Jeudi 27 juin 2024.
Paris fashion Week haute couture juin. Dans une cour place Vendôme.
Je n'ai jamais cherché à photographier les défilés. J'y suis arrivé une fois presque par hasard il y a deux-trois ou quatre ans. Mais le spectacle le plus intéressant est bien dehors, devant le lieu où se produisent où ils se produisent. Il y a foule, hommes ou femmes rêvant de devenir mannequins, de se faire remarquer. Il y a des influenceurs habillés par des couturiers, du moins c'est ce que l'on m'a dit. Je ne sais pas si cela existe pour les photographes, mais par contre dans le monde de la photo ce sont souvent d'anciens élèves de l'école d'Arles qui jouent ce rôle avec des pouvoirs exorbitants.
Il y a aussi des photographes, pour la plupart amateurs passionnés. Certains sont d'ailleurs excellents. La vie leur a fait faire un autre métier et ils renouent avec la photo après leur retraite.
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Megan fox 38 ans actrice & mannequin amoureuse
mon amour l'homme qui fais battre mon cœur le seule homme qui ma redonné gout a l'amour le vrais je suis tomber amoureuse de toi dés l'instant ou je t'es revu a cette soirées je ne croyais plus vraiment en amour bien que je l'es connus mais sa sais toujours mal terminé puis tu es apparus dans ma vie tu ma fais sourire j'ai passé la plus belle des soirées en ta compagnie un homme adorable gentille merveilleux qui sais trouvé les mots pour faire chaviré le cœur d'une femme comme moi je t'aime plus que tout au monde mon trésor je ne regrette absolument rien de notre rencontre de nos moment ensemble il en aura tant d'autre je t'aime aujourd'hui demain et pour toujours mon amour tu es l'homme de ma vie avec qui je veux pass�� mon existence je t'aime plus que ma propre vie je donnerai importe quoi pour toi tu es mon amour ma raison de sourire chaque jours chaque moment avec toi es précieux pour moi sais les plus beau moment de ma vie on ne sais plus se quitté on ne sais plus se passé l'un de l'autre toi et moi sais toujours a jamais mon trésor adorer je t'aime tu es l'homme qui me rend heureuse chaque jours passé je continuerai de t'aimer tout les jours de ma vie mon amour tu fais parti de moi de ma vie je t'aime
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Symphonie de Couleurs et de Rêves 🌹
Chapitre 1 : Les Couleurs de l'Avenir
Le soleil couchant baignait les rues animées de Séoul d'une douce lueur orangée. Min-Jun, un jeune Coréen de dix-sept ans, marchait d'un pas vif, emportant son carnet à dessin comme s'il s'agissait de son bien le plus précieux. Ses doigts effleuraient les pages épaisses, caressant les esquisses qui donnaient vie à ses rêves.
Min-Jun avait toujours été fasciné par le monde des arts. Chaque coup de pinceau, chaque mélange de couleurs, était pour lui une aventure dans un royaume de possibilités infinies. Son appartement était un véritable atelier, où toiles et croquis s'entassaient dans un joyeux désordre. Parmi tout ce tumulte créatif, son fidèle compagnon à quatre pattes, Mochi, un Chihuahua à poils longs, observait avec curiosité.
La vie de Min-Jun n'était cependant pas seulement faite de pinceaux et de toiles. Malgré son jeune âge, il avait atteint la taille remarquable d'1m79. Cela n'avait pas échappé à l'œil attentif d'un agent de mannequins qui, un jour, avait repéré le jeune artiste dessinant sur le trottoir d'une rue achalandée.
C'était un moment clé dans la vie de Min-Jun. L'agent l'avait convaincu de tenter sa chance dans le monde de la mode, et les séances photos et défilés s'étaient rapidement enchaînés. Il était devenu l'incarnation d'une élégance naturelle, sa grâce déployée sous les projecteurs rivalisant avec la beauté des chefs-d'œuvre qu'il créait sur toile.
Pourtant, derrière le glamour des apparences, Min-Jun nourrissait un rêve secret. Chaque nuit, lorsque la ville s'endormait, il se glissait dans un studio de danse désert, s'entraînant en secret aux mouvements complexes de la K-pop. Il avait l'ambition de devenir une idole, de charmer le monde avec sa voix et sa présence magnétique.
Les jours passaient, entre les poses figées devant l'objectif et les pas de danse répétés à l'abri des regards. Min-Jun jonglait habilement entre ces deux mondes, chacun nourrissant sa passion et sa détermination.
Le soir suivant, alors que la lune se levait timidement dans le ciel de Séoul, Min-Jun s'installa devant son carnet, laissant les idées flotter sur le papier. Son esprit était un tourbillon d'émotions, une toile vierge prête à accueillir les rêves qui ne demandaient qu'à prendre forme.
Ainsi commença la quête de Min-Jun, un voyage où la toile blanche de sa vie se remplirait de couleurs vibrantes, mêlant la grâce du mannequinat à la passion de la K-pop, avec pour toile de fond la ville électrique de Séoul.
Chapitre 2 : Harmonie en Couleurs
Les semaines s'écoulaient, rythmées par les pas cadencés des répétitions et les flashes des séances photos. Min-Jun jonglait entre deux mondes, chacun exigeant sa propre dose d'engagement et de créativité. Pourtant, il savait que sa véritable passion résidait dans l'art de créer.
Un jour, alors qu'il se promenait dans les rues animées de Hongdae, Min-Jun fit une découverte qui allait changer sa vie. Un petit atelier d'arts ouvrait ses portes, animé par un maître de la peinture traditionnelle coréenne. Là, les pinceaux caressaient la soie, donnant vie à des paysages empreints de poésie.
Min-Jun entra, absorbé par l'atmosphère sereine qui régnait dans ce lieu. Le maître, un homme aux traits sages et aux yeux rieurs, leva les yeux de son œuvre en cours et accueillit Min-Jun d'un sourire chaleureux. Une connexion instantanée sembla se tisser entre les deux âmes créatives.
Au fil des semaines qui suivirent, Min-Jun se plongea dans l'apprentissage de cette forme d'art ancestrale. Il apprit à manier les pigments avec délicatesse, à laisser l'encre glisser avec grâce sur la toile, à capturer l'essence même de la nature.
Chaque instant passé dans l'atelier était une bouffée d'inspiration. Les pigments vibrants se mêlaient aux couleurs de ses rêves, créant des tableaux qui semblaient respirer. Min-Jun découvrit une nouvelle dimension de sa créativité, un mariage parfait entre tradition et innovation.
Pourtant, dans le secret de la nuit, il continuait à danser. Les mélodies enivrantes de la K-pop résonnaient dans l'obscurité, ses mouvements devenant plus fluides, plus assurés. Il ressentait la musique dans chaque fibre de son être, laissant son corps s'exprimer dans une symphonie de mouvements gracieux.
Les mois passèrent, et Min-Jun devint un artiste accompli dans chaque facettes de son être. Le mannequinat le propulsait sous les projecteurs, la peinture traditionnelle le ramenait à ses racines, et la danse le laissait libre d'exprimer l'émotion qui brûlait en lui.
Chaque jour était une toile blanche, prête à accueillir les couleurs de son imagination. Min-Jun savait que son chemin était unique, que sa destinée se dessinait dans une palette infinie d'opportunités. Et il était prêt à les saisir, à faire vibrer le monde de son art, à laisser son âme s'épanouir en une symphonie de couleurs et de mouvements.
Chapitre 3 : Éclats de Scène
Alors que l'automne peignait les rues de Séoul d'une palette de rouges et d'or, Min-Jun se trouvait à un tournant de sa vie. Son talent éclatait dans chaque toile et se révélait sur chaque scène. Le jeune homme avait conquis les cœurs par sa grâce et sa créativité, devenant une étoile montante dans le monde du mannequinat et de l'art.
Cependant, son rêve ultime, celui de devenir une idole de la K-pop, restait enfoui dans les replis de son âme. Chaque nuit, les mélodies résonnaient dans sa tête, l'appelant à un destin qu'il n'avait pas encore saisi.
Un soir, alors que les lumières de la ville étincelaient comme des étoiles lointaines, Min-Jun reçut un message qui allait tout changer. C'était une invitation à participer à une audition pour une agence de divertissement réputée. Son cœur s'emballa, l'excitation mêlée à une pointe d'appréhension.
Dans l'intimité de sa chambre, il s'entraîna avec ferveur, perfectionnant chaque mouvement, chaque note. Il savait que cette audition était l'opportunité qu'il avait attendue toute sa vie.
Le jour J arriva, une brise légère portant l'effervescence de l'occasion. Min-Jun se tenait devant les portes de l'agence, son cœur tambourinant dans sa poitrine. À l'intérieur, il découvrit un univers effervescent, où la musique résonnait dans chaque recoin.
Quand vint son tour, il monta sur scène, les projecteurs illuminant son visage déterminé. Chaque pas, chaque note était une offrande de son âme, une promesse faite à lui-même.
Lorsque la dernière note s'éteignit, une pause suspendue dans le temps, l'audience resta silencieuse, suspendue à l'émotion qui flottait dans l'air. Puis, un tonnerre d'applaudissements éclata, accompagné de sourires bienveillants et de regards émerveillés.
Min-Jun avait conquis la scène, il avait prouvé au monde, et à lui-même, qu'il était capable de briller dans chaque aspect de son art.
La nouvelle se répandit comme une traînée de poudre, et bientôt, Min-Jun devint une sensation, mêlant mannequinat et K-pop avec une grâce inégalée. Il était devenu la preuve vivante qu'on pouvait réaliser ses rêves les plus fous, que la persévérance et la passion pouvaient ouvrir les portes de l'inimaginable.
Ainsi, sous les feux des projecteurs et les étoiles de Séoul, Min-Jun dansait au rythme de sa propre symphonie, éclairant le monde de son talent et de sa détermination. Chaque chapitre de sa vie était une promesse d'éclats et d'émerveillements, une ode à la puissance des rêves qui brûlent dans le cœur d'un artiste.
Chapitre 4 : Harmonie en Scène
La vie de Min-Jun était devenue une danse incessante entre les plateaux de tournage, les studios d'enregistrement et les galeries d'art. Chaque jour apportait son lot d'émerveillements et de défis, et pourtant, Min-Jun n'avait jamais été aussi épanoui.
Son appartement était devenu un sanctuaire de créativité, où les pinceaux s'entrechoquaient avec les partitions, et où les toiles dévoilaient des mondes de plus en plus vibrants. Mochi, son fidèle Chihuahua à poils longs, était toujours à ses côtés, un témoin silencieux de cette symphonie de vie.
Au fil des saisons, Min-Jun avait conquis le cœur du public, devenant une icône de l'expression artistique sous toutes ses formes. Sa peinture, oscillant entre tradition et modernité, était exposée dans des galeries prestigieuses à travers le monde. Ses performances scéniques, fusion de grâce et de puissance, électrisaient les foules.
Pourtant, au plus profond de lui, un rêve persistait. Min-Jun avait toujours voulu créer sa propre musique, composer les mélodies qui résonnaient dans son cœur. Chaque nuit, il se retirait dans son studio, les notes s'élevant doucement dans l'obscurité.
Un jour, alors qu'il travaillait sur une toile inspirée par les couleurs d'un coucher de soleil, Min-Jun reçut un appel qui allait bouleverser son univers. C'était l'agence de divertissement qui l'avait découvert, proposant de produire sa première chanson en tant qu'artiste solo.
L'excitation et l'appréhension se mêlèrent à nouveau dans son cœur. C'était le défi ultime, la chance de donner vie à une autre facette de son âme artistique. Il se lança tête baissée dans cette nouvelle aventure, entouré d'une équipe de talents qui partageaient sa vision.
Les semaines passèrent dans une fièvre créative, les mélodies prenant forme sous ses doigts agiles. Chaque note était une émotion, chaque refrain une promesse de liberté. Lorsque la chanson fut enfin prête, Min-Jun se retrouva en studio, le cœur battant la chamade.
La première fois qu'il entendit sa voix s'élever dans l'obscurité du studio, ce fut comme une révélation. Il réalisa que cette chanson était bien plus qu'une simple mélodie. C'était son âme mise en musique, une partie de lui-même offerte au monde.
Lorsque la chanson fut finalement partagée avec le public, l'accueil fut incroyable. Les fans découvraient une nouvelle facette de Min-Jun, une harmonie qui venait compléter la symphonie de son art.
Ainsi, Min-Jun continua son voyage artistique, chaque chapitre de sa vie apportant son lot de découvertes et d'émotions. Il avait compris que l'art était une danse infinie, une exploration constante de soi-même et du monde qui l'entourait. Et dans chaque note, dans chaque coup de pinceau, il trouvait une harmonie qui le comblait.
Chapitre 5 : L'Éclat du Destin
Alors que les années s'écoulaient, Min-Jun avait conquis le monde de l'art sous toutes ses formes. Ses toiles ornaient les murs des plus grandes galeries, ses performances scéniques électrisaient les foules, et ses chansons résonnaient dans les cœurs de millions de fans à travers le globe.
Il avait réalisé son rêve, mais il savait que son parcours était loin d'être terminé. Chaque jour apportait son lot de défis et de nouvelles inspirations. Min-Jun avait appris que l'art était un voyage sans fin, une exploration constante de soi-même et du monde qui l'entourait.
Un matin d'été, alors que le soleil inondait la ville de sa lumière dorée, Min-Jun se tenait sur le balcon de son appartement, contemplant l'horizon qui s'étendait à perte de vue. Il se sentait empli d'une gratitude profonde pour tout ce qu'il avait accompli, mais il savait qu'il y avait encore tellement à découvrir, à créer.
C'est alors qu'une idée germa dans son esprit, comme une graine prête à éclore. Il décida de retourner à ses racines, de se replonger dans l'art de la peinture traditionnelle coréenne. Il avait évolué depuis ses débuts, mais il sentait que cette forme d'art avait encore tant à lui offrir.
Min-Jun se rendit chez son ancien maître, celui qui lui avait enseigné les premiers rudiments de la peinture traditionnelle. Il fut accueilli à bras ouverts, comme un fils prodigue revenu à la maison. Ensemble, ils se plongèrent dans la création, laissant les pinceaux danser sur la soie blanche, donnant vie à des paysages empreints d'émotion.
Les semaines qui suivirent furent une évasion dans un univers de couleurs et de symboles, une réconciliation avec ses origines et une redécouverte de lui-même. Min-Jun sentait que chaque coup de pinceau était une révélation, une fusion de passé et de présent.
Lorsqu'il dévoila sa nouvelle série de peintures lors d'une exposition, la réaction fut unanime. Les œuvres de Min-Jun étaient un témoignage de son évolution en tant qu'artiste, une fusion harmonieuse de tradition et de modernité.
À travers ce retour aux sources, Min-Jun avait trouvé une nouvelle force, une nouvelle perspective. Il comprenait désormais que l'art était un voyage continu, une exploration infinie de soi-même et du monde qui l'entourait.
Ainsi, Min-Jun continua de créer, de danser, de peindre, et de chanter, laissant son âme s'exprimer à travers chaque geste, chaque note, chaque coup de pinceau. Son parcours était devenu une symphonie en constante évolution, une célébration de la vie et de l'art dans toute leur splendeur. Et dans chaque chapitre de son histoire, l'éclat de son destin brillait d'une lumière plus vive encore.
Chapitre 6 : Toiles de l'Avenir
Les années avaient passé, et Min-Jun avait atteint un nouveau sommet dans sa carrière artistique. Ses œuvres étaient désormais convoitées à travers le monde, et son nom était devenu synonyme d'innovation et d'émotion. Pourtant, malgré la renommée, il restait humble et avide de nouvelles découvertes.
Un jour, alors qu'il déambulait dans les ruelles étroites d'un quartier historique de Séoul, Min-Jun tomba sur une petite boutique d'antiquités. Il fut attiré par une vieille boîte en bois richement décorée, qui semblait renfermer des trésors du passé.
En l'ouvrant avec précaution, Min-Jun découvrit une collection de parchemins et de pinceaux d'une époque révolue. L'émotion l'envahit, comme si ces objets anciens lui chuchotaient des secrets oubliés. Il savait qu'il tenait là quelque chose de précieux, une source d'inspiration inestimable.
De retour dans son atelier, Min-Jun déploya les parchemins centenaires, découvrant des paysages et des scènes de vie figées dans le temps. Les pinceaux anciens semblaient vibrer d'une énergie vieille de siècles, prêts à reprendre vie entre ses mains.
Il se mit au travail, mêlant son style contemporain à l'essence même de ces œuvres anciennes. Chaque coup de pinceau était un hommage au passé, une célébration de l'art qui transcende les époques.
Les semaines passèrent dans une frénésie créative, Min-Jun se nourrissant de cette fusion entre hier et aujourd'hui. Les toiles qui prenaient forme sous ses mains étaient des ponts entre les époques, des fenêtres ouvertes sur des mondes oubliés.
Lorsqu'il présenta sa nouvelle collection, l'accueil fut unanime. Les critiques et les amateurs d'art étaient éblouis par cette réinterprétation magistrale du passé. Min-Jun avait réussi à capturer l'âme de ces anciens artistes tout en y insufflant sa propre vision.
À travers cette nouvelle série, Min-Jun avait trouvé une connexion profonde avec les générations d'artistes qui l'avaient précédé. Il avait compris que l'art est un langage universel, transcendant les frontières du temps et de l'espace.
Ainsi, Min-Jun continua d'explorer les infinies possibilités de l'art, chaque toile devenant une invitation au voyage à travers les époques. Son atelier était devenu un sanctuaire où passé et présent se rencontraient dans une danse intemporelle.
Dans chaque coup de pinceau, dans chaque œuvre qui prenait vie sous ses doigts, Min-Jun rendait hommage à ceux qui avaient tracé la voie avant lui, tout en laissant son empreinte unique sur la toile de l'histoire de l'art. Et dans chaque chapitre de cette aventure, les toiles de l'avenir se déployaient avec une promesse d'éternité.
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Swinging
Pendant quelques années dans les années 60, Londres fut la capitale mondiale du cool. Lorsque le magazine Time a consacré son numéro du 15 avril 1966 à Londres : la Swinging City, il a cimenté l'association entre Londres et tout ce qui est branché et à la mode qui avait grandi dans l'imaginaire populaire tout au long de la décennie.
La métamorphose remarquable de Londres, d'une capitale sombre et crasseuse d'après-guerre en un épicentre brillant et brillant du style, était en grande partie due à deux facteurs : la jeunesse et l'argent. Le baby-boom des années 1950 signifiait que la population urbaine était plus jeune qu’elle ne l’était depuis l’époque romaine. Au milieu des années 60, 40 % de la population avait moins de 25 ans. Avec la suppression du service national pour les hommes en 1960, ces jeunes avaient plus de liberté et moins de responsabilités que la génération de leurs parents. Ils se sont rebellés contre les limitations et les restrictions de la société d’après-guerre. Bref, ils voulaient faire bouger les choses…
De plus, les Londoniens disposaient d’un revenu disponible plus élevé que jamais – et cherchaient des moyens de le dépenser. À l'échelle nationale, dans les années 60, les revenus hebdomadaires dépassaient le coût de la vie de 183 % : à Londres, où les revenus étaient généralement supérieurs à la moyenne nationale, ce chiffre était probablement encore plus élevé.
Cette combinaison enivrante de richesse et de jeunesse a conduit à un épanouissement de la musique, de la mode, du design et de tout ce qui pourrait bannir la morosité de l’après-guerre. Des boutiques de mode ont surgi bon gré mal gré. Les hommes se sont rassemblés à Carnaby St, près de Soho, pour découvrir les dernières modes « Mod ». Tandis que les femmes étaient attirées vers King's Rd, où les mini-jupes radicales de Mary Quant ont déraillé des rails de son magasin emblématique, Bazaar. Même les modes les plus choquantes ou carrément farfelues ont été popularisées par des mannequins qui, pour la première fois, sont devenues des superstars. Jean Shrimpton était considéré comme le symbole du Swinging London, tandis que Twiggy était surnommé The Face of 1966. Mary Quant elle-même était la reine incontestée du groupe connu sous le nom de The Chelsea Set, un mélange socialement éclectique et socialement éclectique de « toffs » en grande partie oisifs et des acteurs talentueux de la classe ouvrière.
La musique jouait également un rôle important dans le swing londonien. Alors que Liverpool avait les Beatles, le son londonien était un mélange de groupes qui ont connu un succès mondial, notamment The Who, The Kinks, The Small Faces et The Rolling Stones. Leur musique était le pilier des stations de radio pirates comme Radio Caroline et Radio Swinging England. Des types créatifs de toutes sortes gravitaient vers la capitale, des artistes et écrivains aux éditeurs de magazines, photographes, annonceurs, cinéastes et concepteurs de produits. Mais tout n’était pas rose dans le jardin de Londres. L'immigration était une patate politique brûlante : en 1961, il y avait plus de 100 000 Antillais à Londres, et tout le monde ne les accueillait pas à bras ouverts. Le plus grand problème était l’énorme pénurie de logements pour remplacer les immeubles bombardés et les bidonvilles insalubres et faire face à une population urbaine en plein essor. La solution mal conçue – d’immenses lotissements de tours – et les problèmes sociaux qu’elle a créés ont changé à jamais le visage de Londres. Dans les années 1970, avec le déclin de l’industrie et la hausse du chômage, le Swinging London semblait n’être qu’un souvenir très sombre et lointain.
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Jordan Smith -- 27 ans -- Célibataire -- Influenceur, Mannequin et Surfeur.
Ce dernier est mannequin depuis de nombreuse annee maintenant étant reconnu par les plus grande marque.
En plus de cela ce dernier et surfeur avec plusieurs médaillé a sn actifs la seuls qui lui manque et l'or olympique y arriverais t'il.?
C'est un homme a femmes enchaînant les conquêtes d'un soir, semaine ou parfois mois, mais sans véritablement ce pose sérieusement avec une femmes, autant s'amuse avec le plus de monde possible. Tel est sa devise.
Ce dernier et casse-cou adorant prendre des risques plus fou des un-des-autres. ¡¡¡
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