#livres d'images
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Le Livre d'image, Jean Luc Godard
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Je veux, moi aussi, M'en aller pour ailleurs, Bien au-delà des mers, En oiseau migrateur ! — Mijo
Bonne semaine ♡
Pour vous abonner à La Lettre Dessinée, c'est ici : https://www.minikim.net/la-lettre-dessinee/
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サルカニガッセン
さるかに合戦は、日本の伝統的なおとぎ話または寓話です。物語は、サル(猿)とカニ(���)の間の知恵とトリックの競争を中心に展開されます。この物語は、動物の擬人化と道徳的な教訓で知られています。 さるかに合戦は、その道徳的な教訓で知られています。それはしばしば、狡猾さ、欺瞞、過度の欲求の危険性について語っています。物語は、動物の擬人化を通じてこれらの概念を探求し、聴衆に倫理的なレッスンを提供します。
手抜きイラスト集
#さるかに合戦(絵本)#Monkey Battle (picture book)#La battaglia delle scimmie (libro illustrato)#Batalla de monos (libro ilustrado)#Affenschlacht (Bilderbuch)#Monkey Battle (livre d'images)#手抜きイラスト#Japonais#bearbench#art#artwork#illustration#painting
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Les Écrits du du vent
Hans Silvester
Éditions de La Martinière, Paris 2003, 144 pages, 31x22,8cm, ISBN 978-2732429809
euro 20,00
email if you want to buy [email protected]
Les écrits du vent offrent pour qui sait les voir une nouvelle interprétation du monde. Au rythme des saisons, Hans Silvester a su saisir tout le mystère et la splendeur des paysages de Camargue, continuellement remodelés par le vent : ondoiement subtil à la surface d'un étang, infimes craquements terrestres, nuées d'oiseaux... autant d'images qui confondent notre perception de l'infiniment grand et de l'infiniment petit. Des textes issus de civilisations diverses accompagnent ces images surprenantes et explorent la poétique des éléments. En célébrant la beauté sauvage et le cycle éternel du monde, ils nous emmènent sur le chemin du rêve et de la méditation. Que nous révèlent et que nous enseignent ces paysages ? C'est à cette double et fascinante interrogation que veulent répondre Les Écrits du vent.
Né en 1938 en Allemagne, Hans Silvester fait ses premières photos à l'âge de douze ans. Défenseur inconditionnel de la nature, il publie en 1960 un livre remarqué sur la Camargue avec un texte de Jean Giono. Membre de l'agence Rapho, il a notamment publié aux Editions de La Martinière Les Chats du soleil, Les Chats du bonheur et Sieste et Tendresse, tous des succès internationaux. Les derniers reportages de ce grand voyageur l'ont mené en Inde, au Rajasthan, où il a photographié les peuples du désert de Thar et l'incroyable bestiaire des fresques du Shekhawati. Ce travail a donné lieu à deux livres, Les Filles de Mirabai et Les Cavaliers du Shekhawati. Son dernier ouvrage paru aux Éditions de La Martinière en 2002 s'intitule Chevaux de Camargue.
29/03/24
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10 collections d'images de jeux vidéos pour construire des inventaires/boutiques
Maplestory : près de 2300 items très variés en pixel art
Genshin Impact : items variés (objets, meubles, nourriture...)
Honkai Star Rail : items variés (objets, nourriture)
Elder Scrolls : armes, vêtements, objets, meubles, etc dans un style 3D
Dragon Quest VIII : 200 items divers en pixel art
Disco Elysium : 230+ items dans un style illustré en 2D/peinture
The Witcher : potions, livres, consommables, etc dans un style 2D
Baldur's Gate III : consommables, armures, gemmes, potions, etc
Dark Souls : items variés en style semi-réaliste
► Et pour aller plus loin, en respectant mieux le droit d'auteur :
itch.io est un site où des artistes proposent des assets pour des jeux indés, une catégorie est réservée aux items, dont beaucoup de packs sont gratuits (sélectionner Free dans la barre latérale) et en pixel art. Beaucoup sont aussi free to use !
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Autoportrait (fait avec usage de l'IA)
Voici mon premier autoportrait. Comme inscrit sur le titre, il y a en effet eu un usage de l'IA générative d'images (Craiyon & Bing Creator Image) dans ce collage, dans le cadre d'un projet d'arts plastiques.
Tous les éléments autour du personnage (moi, en l'occurrence) sont faits à partir de l'IA. Chaque élément correspond à une partie de ma personnalité et des activités qui me passionnent. Par exemple, les différentes étoiles correspondent à ma fascination pour le ciel étoilé, ou encore les différents personnages de style anime/manga correspondent à ma passion pour le Pays du Soleil Levant et sa culture.
J'ai fait plusieurs aller-retours avec l'IA afin d'atteindre le résultat que je souhaitais. Voici la liste des scripts que j'en demandé à l'IA, pour que vous vous rendiez compte de ces aller-retours :
"Donne-moi une jeune adolescente avec des yeux marrons, des cheveux ondulés courts marrons avec une frange, regardant vers le haut, et ayant du matériel d'art sortant de ses cheveux" : ce prompt-là me permettait d'avoir une image de référence concernant la composition et de m'aider à développer mes idées concernant le sujet.
Après avoir obtenu ces images de référence, j'ai pu redemander à l'IA de générer les éléments qui allaient composer l'ensemble de l'œuvre (à l'exception du personnage, car il me semblait plus judicieux d'apporter de moi-même quelque chose à l'œuvre, plutôt que l'IA fasse tout à ma place). Voici les différents scripts que j'ai pu demandé à l'IA :
"Donne-moi un carnet à dessin"
"Donne-moi un crayon graphite et une gomme"
"Donne-moi des stickers japonais"
"Donne-moi une étoile"
"Donne-moi un set de crayons de couleur"
"Donne-moi une couverture de livre de romance
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PAPY A FAIT L'ALGÉRIE, par Maud Bachotet (1/2)
Première partie d'une chronique à la fois familiale et historique, du portrait d'un homme et d'une guerre, "Papy a fait l'Algérie" convoque un réseau d'images gardées secrètes que l'écriture se charge de donner à voir, de transmettre, relier, faire parler. C'est un voyage de recouvrance à la fois physique et mental aux deux pôles Nord/Sud. Maud Bachotet est écrivaine et éditrice, ses travaux d'écriture récents ont pour points de départ l'enquête psycho-géographique, l'imagerie populaire et anonyme, ou encore l'autofiction "psychopompe" (le récit intime se lovant dans celui d'une figure réelle dont l'écrit est leur point de rencontre). "Papy a fait l'Algérie" est sa première contribution au blog du Feu Sacré. Gooble Gobble, bienvenue à elle !
Les Parapluies de Cherbourg, Jacques Demy.
J’ai tant grandi que la maison d’enfance me semble devenue de poupée. Je déborde aussi bien du lit que de la baignoire, me cogne le crâne dans la largeur de la trémie chaque fois que je descends l’escalier et peux sans peine m’accouder à la table du séjour depuis le canapé tout en ayant un pied dans la cuisine. C’est un peu comme de vivre dans un voilier à jamais amarré.
Je me souviens du jour où la grande marée avait envoyé le fleuve valser dans les ruelles du village. Mon père, craignant le naufrage, avait pulvérisé de la mousse expansive sur le pas de la porte. Depuis la fenêtre, j’espérais que l’eau monte assez pour emporter notre bicoque au loin. Peut-être aurions-nous ainsi pu rendre visite à nos « cousins des îles ». Mais l’eau s’était arrêtée à une dizaine de centimètres seulement de notre porte. Comme pour me narguer. J’étais dévastée. Autant que je le suis aujourd’hui de me coucher bredouille dans mes draps de petit mousse. Après trois années passées sur les bancs de l’université à ne pas chercher à regarder plus loin que l’horizon de la licence (mes parents n’avaient pas su me payer de longue-vue en laiton ni me conseiller dans mon orientation), j’ai dû me résoudre à m’échouer sur le banc de sable bordant mon bled littoral. Me voici donc ensevelie sous une mer de cartons que je me refuse à ouvrir. Quitte à faire trois pas en arrière (un par année passée loin d’ici), je préfère encore m’immerger dans l’hier. Je retourne placards et tiroirs, relie chaque objet, vêtement ou feuille volante à une image de mon enfance ou de mon adolescence – je fais bien plus confiance aux récits de l’inanimé qu’à mes propres souvenirs. Dans la maigre bibliothèque, je tombe sur un livre de Jéromine Pasteur, Chaveta. Entre les pages, tournées à la volée, je feuillette ma mémoire qui se supplée à celles de l’exploratrice. C’est mon grand-père, dont je n’ai jamais vu le nez dans un bouquin, qui me l’avait donné à lire. Je me souviens d’un bateau construit des mains d’une jeune femme sans expérience. Je me souviens de ce même bateau engloutis quelque part sous l’Atlantique et des larmes de la jeune femme sans expérience. Je me souviens aussi d’un plan élaboré à la récré – au fil de ma lecture, peut-être ? – ayant pour dessein une virée à deux (pré-adolescentes sans autre expérience qu’une poignée d’heures de cours de voile) en catamaran. En revanche, je ne me souviens pas sur-le-champ de la forêt péruvienne, des Asháninkas ni des guérilleros. Ce n’était pas tant le prolongement de l’arrivée qui m’avait fascinée que l’urgence du départ.
Cette urgence, je l’avais toujours eue en moi. Enfant, j’avais vidé une valisette en plastique rouge (un jouet) de son contenu (des jouets) pour la remplir de ce qui me semblait nécessaire à la fuite, à savoir deux culottes blanches, un crayon télévision à double mines rouge et bleue et mon ours en peluche rose. Une fois sur le trottoir, tétanisée par le grondement des voitures, j’avais pris conscience qu’il n’était pas si simple de partir et étais rentrée affronter la peur de ma mère assourdie par le vrombissement du Moulinex. Plus tard, j’avais fini par accepter les vacances de la Toussaint, de Noël, d’hiver et d’été à demeure. Mes amies me postaient des cartes où tout était blanc, les pistes de neige comme les plages, et qui me réconfortaient lorsque le vert des champs, des dunes et de la mer me donnait la nausée.
Mon grand-père ne s’est jamais lassé des paysages de son enfance. Tous les matins, il prend sa voiture pour aller saluer la baie et prévoir le temps qu’il fera selon le niveau d’ennuagement du mont. Le samedi, il se laisse conduire par ma grand-mère jusqu’au sémaphore de Granville où il occupe son après-midi à inventorier les bateaux du port. À quoi pense-t-il depuis son banc de guet public ? Au jeune pêcheur en partance pour les grands bancs de Terre-Neuve ? Au jeune appelé sur le point d’embarquer sur l’El Djezaïr ? Au petit garçon rêvant de marcher dans les sabots de son grand-père ? Peut-être m’avait-il mis le livre de Jéromine Pasteur entre les mains pour cultiver chez moi ce désir héréditaire du grand large et qui semblait toujours sauter une génération.
Un jour, ma mère m’a dit : « Je ne comprends pas d’où te viens cette envie de voyager. Moi, je n’ai jamais eu envie de partir. » Je rêvais alors de contrées lointaines, de coutumes exotiques et de langues imprononçables. Je nourrissais une passion dévorante pour la Chine, ensuite détrônée par l’Inde, tandis que ma mère s’était contentée de ne jamais quitter le village qui l’avait vue grandir. Quant à mon père, il n’avait eu qu’à parcourir moins de quatre kilomètres pour l’épouser. La seule personne de mon noyau familial à n’avoir jamais franchi les frontières du village et du pays tout entier se trouvait être mon grand-père. Plus qu’une guerre, l’Algérie avait été pour moi un voyage dans sa jeunesse. Ce n’était pas la Chine, mais ça m’allait bien aussi. C’était un autre continent et on y parlait une langue qui se peint. Quelque part, j’enviais mon grand-père d’avoir « fait l’Algérie ». « Faire l’Algérie », à mes oreilles, ça ne signifiait pas « faire la guerre ». Avec l’innocence de l’enfance, je posais des questions sur le pays et il traçait devant mes yeux des paysages étrangers. Je posais des questions sur la langue et il posait sur la mienne des mots arabes. Je notais déjà sur des feuilles volantes à moitié noircies de dessins tout ce qu’il voulait bien me raconter. Mais j’ai beau fouiller la chambre de fond en comble, je ne parviens pas à mettre la main sur ces premiers témoignages recueillis à l’encre pailletée, peut-être même parfumée. Cette fois, il me faut me fier à ma mémoire.
Je repense à la boîte cartonnée. Plus tôt dans la semaine, mon grand-père m’a demandé au téléphone « dis, la boîte avec mes photos, sais-tu où qu’elle est ? » « C’est moi qui l’ai, papy. Rappelle-toi, tu me l’as prêtée… Je te la rends la prochaine fois que je passe ! » « Ah ! Bon, bon… » Je me suis demandée si ça lui prenait souvent de parcourir ces images. Avant de les lui rendre, je me lance dans un grand inventaire. Je dénombre un total de 190 photographies, 11 cartes postales et photos-cartes et 4 documents. Je distingue les photos de famille des photos que j’associe au service militaire. En attendant que mon grand-père accepte de poser des mots sur ces images, je me contente de les trier à l’estime :
FAMILLE (66)
· Baptême maman (14)
· Maman (15)
· Chantiers (5)
· Chiens (10)
· Fête de mariage (5)
· Autres (17)
SERVICE MILITAIRE (124)
· France (11)
· Algérie (113)
CARTES POSTALES & PHOTOS-CARTES (11)
· Deux femmes devant un décor peint (1)
· Carnaval (1)
· Le vieux pont (1)
· Rue du Pavé (1)
· Gavarnie (1)
· Algérois (1)
· Alger, casbah (1)
· Heureuse année (1)
· Souvenir de mon passage sur l’El Djezaïr (1)
· Souvenir de mon passage sur le Kairouan (1)
· Souvenir de mon passage sur le Ville de Tunis (1)
DOCUMENTS (4)
· Ordre de mission (1)
· Permission (1)
· Ticket de pesage de la grande pharmacie de Bab El Oued (1)
· Carte de prière Sœur Marie-Céline de la Présentation (1)
Les photos ainsi répertoriées, je les scanne une par une. Zoomées et rétroéclairées par l’écran de mon ordinateur, j’en découvre les détails.
Une vue en plongée du pont. Une mer vide occupe quasi entièrement la moitié supérieure du cadre. Au premier plan, deux rangées de valises bon marché, trop petites pour contenir des vies entières. Près des valises, trois hommes en uniforme. L’un d’eux a remarqué la présence du photographe. Il y a de la méfiance dans son regard. Ou peut-être est-ce un rayon de soleil. Sur la gauche de l’image, des civils, trois hommes et une fillette dont la tête est masquée par un foulard, s’appuient au garde-corps pour suivre du regard la trajectoire du bateau. Sur la droite de l’image, un jeune garçon et deux soldats les imitent. Au centre de l’image, deux autres soldats fixent l’objectif. Leur air penaud semble avoir été saisi par surprise. Sans doute le photographe les a-t-il sifflés depuis son nid perché avant de déclencher l’obturateur. Le mauvais cadrage donne à l’image une impression de mouvement.
À force de fixer la photo, je vois la houle onduler, les cheveux ondoyer, les corps tanguer. Surtout, je vois les valises. Le sujet de ce cliché, ce sont elles. C’est le départ. L’ailleurs. L’inconnu. Que met-on dans une valise quand on n’a rien ? Quand on nous somme de tout laisser derrière soi ? De ne prendre que le stricte nécessaire ? Une carte de prière confiée par les mains d’une mère inquiète et qui a marginé au dos « Réciter cette prière pendant neuf jours. N’oublie pas. » ? Moi, dans ma valise, je glisserai cette photo de deux inconnus surpris par le regard de mon grand-père. Il ne remarquera pas qu’elle a disparu.
À faire défiler sur l’écran de mon ordinateur ces paysages en noir et blanc, l’urgence du départ se fait plus que jamais ressentir. Comme l’ont fait avant moi Jéromine, papy, Zachary – la première par défi, le deuxième par devoir, le dernier par nécessité –, je m’en vais prendre la mer. Par dérobade. À une vitesse de 21,5 nœuds, soit 39,8 km/h, il me semble que je pourrais mettre à bonne distance le futur qui s’entête à me rattraper.
Le choix de la destination est simple : 1) il me faut un pays où me rendre par bateau ; 2) il me faut un port d’arrivée au départ de Cherbourg. De tous les pays qui peuplent mes fantasmes d’ailleurs, il ne reste donc plus que la Grande-Bretagne et l’Irlande. Je choisis les rebelles aux colons, la république à la monarchie, la patate à la Marmite, les Pogues à Police.
Pour se rendre à Cork, il n’est pas nécessaire de construire son propre bateau, pas plus qu’il n’est requis de posséder un ordre de mission ou des compétences en matière de pêche à la morue. Il suffit simplement de sélectionner au clic avec ou sans cabine, standard ou supérieure, avec ou sans hublot. Parce que je rêve d’aventure – qui a l’avantage d’être plus à portée de porte-monnaie que le confort –, j’opte pour l’expérience du grand large sans cabine, option hublots à volonté, dix-sept heures de traversée. Débarquée à Rosslare Harbour, il ne me restera ensuite qu’à prendre un premier bus pour Waterford et un second pour Cork. Quatre à cinq heures de route, trois comtés (Wexford, Waterford, Cork), vingt-six arrêts.
Arrivée à Cherbourg, il pleut. Je ne m’en étonne pas. Car l’économie cherbourgeoise repose sur l’eau dans tous ses états. D’un côté la mer, dont quatre ports (militaire, de pêche, de commerce et de plaisance) permettent de tirer profit, de l’autre la pluie, que Jean-Pierre Yvon a l’idée (soufflée par Jacques Demy) d’exploiter en créant en 1986 « Le Véritable Cherbourg », un parapluie haut de gamme multiprimé qui voyagera jusqu’au Japon couvrir la tête de l’actuel empereur Hiro-no-miya Nahurito dont la notice Wikipédia nous apprend qu’il a été décoré Grand maître de l’ordre du Soleil levant mais malheureusement pas de celui de la Pluie tombante. L’Antibourrasque étant à 149 euros, le Pébroque à 299 euros et le Milady en Moire à 650 euros, je prends la pluie. Et je me demande si Geneviève (Catherine Deneuve) aurait pu se refuser à Roland (Marc Michel) et lui jeter ses pierres précieuses à la moustache si seulement elle avait fait une école de commerce et vendu des parapluies de Cherbourg à des princes héritiers.
Je pense à Guy (Nino Castelnuovo), appelé en Algérie dans la première partie du film, en novembre 1957. J’entends ses paroles : Oh... Tu sais, maintenant, ça n’a plus d’importance... / Nous avons même tout notre temps... / Ce matin, j’ai reçu cette feuille de route / et je dois partir pour deux ans... / Alors, le mariage, on en reparlera plus tard... / Avec ce qui se passe en Algérie en ce moment, / je ne reviendrai pas d’ici longtemps... Je pense alors à mon grand-père, Normand lui aussi, ouvrier lui aussi, appelé lui aussi, au même âge, à l’été 1959. C’est drôle, je cours à l’aveugle derrière cette histoire que personne ne veut regarder droit dans les yeux et la voilà qui me devance sur le quai du port de Cherbourg tandis que j’embrasse ma mère, comme tant d’autres l’ont fait avant moi.
Sur la passerelle d’embarquement, je me demande si, là-bas, du côté de la mer Celtique, je trouverais des réponses dans mon disque dur saturé de photos. Sans doute trouverais-je plutôt des questions à poser dans le micro de mon téléphone, que mon interlocuteur, rejetant la faute sur la mauvaise qualité du réseau, pourra ignorer comme bon lui semble.
Depuis le pont, j’observe le quai. Ça fourmille d’adieux en bas. Je distingue mon grand-père, dans son uniforme foncé. Nous ne sommes plus à Cherbourg mais à Marseille. Derrière lui se dresse La Major. Il n’a ni mère à consoler – elle tient son café en Normandie –, ni fiancée à qui chanter des adieux – il ne l’a pas encore rencontrée.
Je sens une présence à mon côté. C’est lui, qui s’accoude au bastingage. Il considère la cathédrale d’un œil déformé à la fois par les rayons du soleil et par un professionnalisme juvénile. À 20 ans déjà, il ne peut s’empêcher de détailler la structure d’un édifice aussi digne – lui qui s’apprête à rejoindre un conflit qui l’est si peu –, de se figurer, sans posséder aucune connaissance de l’histoire de l’art et de l’architecture, quelles techniques les ouvriers de l’époque ont-ils utilisées. Bien plus tard, lorsqu’il sera transporté par taxi à Reims pour qu’un spécialiste de renom pulvérise au laser la tumeur venue se loger dans son oreille, il rendra chaque jour visite (du lundi au vendredi, pendant plusieurs semaines) à la cathédrale de Reims, sans jamais laisser faiblir son admiration.
Je me souviens de la présence de deux photos de La Major, la cathédrale de Marseille, dans la boîte, prises depuis le bateau. Il y en a également trois qui font le tour presque complet (nord, ouest, sud) de Notre-Dame-d’Afrique, à l’ouest d’Alger. Il n’y aucune piété chez mon grand-père. Ces édifices religieux sont pour lui comme des phares. Des points de départ. Et d’arrivée. Des témoins familiers parce que taillés dans le plus noble des matériaux : la pierre.
Je voudrais lui pointer du doigt le Mucem, ce cube posé sur la jetée et voilé d’une mantille de béton. Mais lui ne peut pas la voir. Il ne sait pas encore qu’un musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée verra le jour en 2013 à Marseille et qu’il s’enrichira en 2017 d’une collection d’œuvres et d’objets rassemblée en vue de l’ouverture d’un musée d’histoire de la France et de l’Algérie qui n’aura pas lieu. Alors je me contente de lui dire « est-ce que tu vas finir par me parler ? » Mais lui ne semble pas m’entendre. Son regard s’est posé à son tour sur le quai devenu celui du port de Granville. Il scrute un homme à l’accoutrement d’un autre temps : gros chandail, veste et pantalon cirés, bottes cuissardes, suroît en toile brune, mitaines en laine, baluchon. Zachary, le terre-neuvas. Un peu plus loin, une chorale d’hommes avinés entonne : Ceux qui ont nommé les Bancs / les ont bien mal nommés / ils en font des louanges / ils y ont jamais été. À son côté, une femme fixe la mer avec défi. Derrière eux, une fillette à qui l’on a dit de ne pas se retourner, sous peine de ne pas voir revenir son père, caresse un énorme chien à robe noire qui bientôt s’endort. Je me tourne vers mon grand-père. Je voudrais lui poser des questions sur Zachary, ce grand-père qu’il aimait tant. Mais il a disparu. Je suis de retour à Cherbourg. Et le ferry lève l’ancre.
La seconde partie sera publiée la semaine prochaine.
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PAUVRES CREATURES - L'année cinéma commence très fort avec "Poor Things", dernier bébé-monstre de Yorgos Lanthimos, qui nous livre ici une satire sous forme de conte initiatique, en mode relecture très inspirée de Frankenstein.
Dans une époque vaguement victorienne peut-être hybridée à celle des années 2075, un savant crée Bella, une femme adulte avec l'esprit d'un enfant. Créature qui va néanmoins très vite se développer. Bella découvrira le monde, les femmes, les hommes, et surtout le sexe.
La première demi-heure, en noir et blanc, nous plonge directement dans une ambiance très malaisante. Mêlant du body horror aux pires intentions humaines, elle nous invite à embarquer pleinement dans le coeur de ce récit initiatique coloré et passionnant.
Les acteurs sont fantastiques. Emma Stone incroyable dans le rôle cette "créature" qui grandit intellectuellement, et découvre son corps, son esprit, le monde, la place attendue de la femme. L'actrice donne par ailleurs allègrement de sa personne, on croule sous des scènes les unes plus trashs que les autres. Impossible de ne pas citer Mark Ruffalo, désopilant en séducteur invétéré, qui voit peu à peu son monde d'effondrer alors que sa "sex doll" mûrit et lui échappe.
La direction artistique est démente. On est dans une espèce d'univers steam punk avec de l'Art Nouveau à tous les étages. Yorgos Lanthimos utilise énormément les grands angles, montrant toutes les coutures de ce monde poétique, du moins tel que Bella le perçoit. Les costumes certainement tout droit sortis des ateliers des créateurs les plus fous, sont sublimes.
Le récit comporte pas mal de lourdeurs et de temps morts, trop longs pour être porteurs. Et pourtant malgré quelques détours largement inutiles du scénario, et la très grande créativité de sa mise en forme, c'est le propos qui prime très rapidement.
Certains (beaucoup) ont réduit Pauvres Créatures à un film féministe, mais ses thèses débordent largement cette apparence première. "Poor Things" parle de parentalité, de religion, et de relations entres les hommes et les femmes. Avec certes, la place des femmes dans la société, et la façon dont elles sont perçues et/ou contrôlées. Mais on est très loin du pamphlet stérile et redondant de tant d'autres films opportunistes.
Personnellement j'y ai surtout perçu une mise en scène très pertinente de ce que nous apprendrait l'intelligence artificielle sur le fonctionnement mécanique et désincarné des humains, et de nos sociétés dépourvues de leurs emballages moraux, changeants et relatifs. C'est très vite à travers ce prisme que le film m'est apparu captivant : une généalogie de notre morale, de nos comportements et de tous les travers d'un féminisme souvent contradictoire, vue non par Nietzsche, mais sous l'angle des ChatGPT et autres programmes qui nous "singent" littéralement…
Bref, "Poor Things" est riche d'idées, de sensations, de perspectives nouvelles, et remue le bide. C'est aussi un long-métrage très drôle. Comme dans les précédents films de Lanthimos, l'humour est absurde, noir, cruel, et souvent inattendu. Si vous adhérez au style du réalisateur, vous y trouverez très largement votre compte !
NOTE 17/20 - Ce voyage fantastique et fantasmatique regorge d'idées de génie, d'images sublimes et riches, le tout directement sorti du cerveau à la fois complexe, étrange et extraordinaire de Yorgos Lanthimos.
La génétique du réalisateur de The Lobster semble être composée de Mary Shelly et de Ruben Ostlund et de bien d'autres, dans une version remanipulée d'extravagance et de baroquisme flamboyants.
On est choqués, éblouis, embarqués par une créativité aussi rare qu'impressionnante.
Ames sensibles, s'abstenir.
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Assis sur mon siège
je me fais un monde,
d'images et de mots.
Assis sur mon siège
que je tiens encore,
je picore.
Assis sur mon siège
j'hésite sur les chemins à prendre,
je me lasse,
je malaxe des verbes
jusqu'à l'amertume.
Alors!
En levant mon siège,
j'interpelle les livres
qui font barricade,
tout autour
de mon siège éjectable.
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Parodie d'images de couvertures de livres dont vous êtes le héros. Source FB
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Le Livre d'image, Jean Luc Godard
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''Terre Sainte'', vraiment ?
Après les lignes écrites hier, il ne m'est pas possible de passer à côté du 'énième' chapitre de la version moderne de la Guerre de Cent ans qui, le progrès technologique aidant, se déroule dans nos salons et nos chambres à coucher. Tant de fausses analyses ont été déversées depuis une semaine sur les victimes (consentantes, souvent, hélas !) des chaînes dites ''main stream'' qu'Il ne va pas être facile d'échapper aux lieux communs, aux clichés et aux fausses évidences (sans oublier les bobards auxquels nos politiques et nos organes de presse nous soumettent... Mais je vais essayer de me libérer de cette fausse impression d'honnêteté qu'on appelle ''le direct''...
1 - Il est inutile de rappeler les faits : depuis samedi dernier, les chaînes tournent en boucle sur des images épouvantables et, comme toujours, sur les explications biaisées de nos grands hommes si petits, sur des commentaires d'images qui s'en passeraient bien, tant elles sont terribles... et aussi sur l'engagement physique digne d'admiration de quelques jeunes femmes (pour la plupart ravissantes, ajoute le macho qui sommeille en moi), qui se révèlent comme de vraies journalistes, elles, et de superbes informatrices (NB : pourquoi ne vont-elles pas plus souvent en Ukraine ou en Arménie? On saurait, enfin, ce qui s'y passe, au lieu d'être soumis au tir à répétition en forme de psittacose de Pujadas et des experts en désinformation qui rendent LFI in-regardable !). Et inutile, aussi, de revenir sur le bilan, atroce déjà et qui risque de devenir cauchemardesque dans les jours qui viennent, des deux côtés, cette fois : nous sommes dans le royaume des grands chiffres !
2 - Devant les images et les récits, il m'est impossible de ne pas penser à un ouvrage –dire un ''brûlot'' serait plus précis-- dont je vous ai souvent parlé dans ce Blog : ''La Gestion de la barbarie'', qui est le livre de chevet des djihadistes, des terroristes et des islamistes lorsqu'ils deviennent fous : leur haine féroce pour tout ce qui n'est pas ''eux'' s'appuie sur une lecture officielle du Coran qui précise clairement que n'a droit au qualificatif d'Homme qu'un ''croyant''. Les autres, tous les autres humains à qui on nie ce titre, qu'ils soient chrétiens, juifs, athées, animistes, shintoïstes..., ne sont bons qu'à (ou doivent être) tués, ''juste parce que'' ... ou réduits en esclavage pour les deux premiers, en tant qu'appartenant à une ''religion du Livre''.
3 - Il faut bien comprendre qu'un esprit simple, endoctriné, façonné ''de traviole'' pendant toute sa courte existence dans ce qui est la plus grande prison à ciel ouvert du monde, conçue et imaginée par le Hamas mais maintenue en l'état par Israël (trop content !) finit par se sentir libre d'enlever, torturer et (pardon) tuer avant de pisser dessus... des ''choses'' qui ne sont pas des humains (des insectes ? des animaux ? des ''machins'' ?) puisque le Livre sacré le dit, mais qui sont des ennemis , puisque l'émir du jour l'affirme. Des ''cadres'' bien à l'abri dans leurs beaux hôtels de Téhéran ou de Qatar calculent des plans de Comm' qui vont forcer le monde à demander à Israël d'arrêter –après un ''baroud d'honneur'', le même depuis 40 ans : spectaculaire mais court, pour ne pas faire de ''dégâts collatéraux'' qui pourraient émouvoir certains de nos fournisseurs d'hydrocarbures...Déjà, au nom des otages ''bi-nationaux'', les Chancelleries tricotent, fantasment, et supplient.
4 - Un autre sujet d'étonnement concerne l'occurrence-même de cet événement, mais il relève d'une forme de ''complotisme'' : Israël dispose, de très loin, de la meilleure couverture en matière de Services Secrets, maillage très fin entre les services de la sécurité intérieure, appelés le Shin Beth, la branche du renseignement militaire, dite l'Aman, le renseignement extérieur (le célèbre Mossad), et les forces dites ''spéciales'' de Tsahal, le Sayerot, qui s'appuient sur une communauté séfarade originaire d'Afrique du nord qui parle l'arabe bien mieux que l'hébreu et dont chaque membre trompe facilement n'importe qui quant à son appartenance et son origine...
5 - Qui peut croire une seconde qu'une opération d'une telle importance ait pu être montée, lancée et réalisée sans que le moindre signal ait pu être perceptible par ces armadas de professionnels aguerris ? Il s'agit de plus de mille hommes lourdement armés, de pick-ups par dizaines, de motos plus nombreuses encore, de matériel lourd de destruction du ''Mur''... donc d'une logistique très importante et bien huilée (car elle a parfaitement soutenu les objectifs guerriers). Il va bien se trouver quelqu'un pour s'en étonner et remarquer que cette crise a transformé une dangereuse partition potentielle du peuple d'Israël en un peuple soudé devant l'horreur... la taille de la menace ayant, elle, été sous-évaluée. Il n'est pas interdit de se poser cette question, d'autant que l'Egypte vient de faire savoir qu'elle avait prévenu Israël de la proximité ''d'une action de grande ampleur''.
6 - Reste une question-choc : ''Et maintenant'' ? Des bombes, même en nombre effrayant, n'ont jamais arrêté un mouvement d'idées. Une opération terrestre lourde pose le drame des otages (cent cinquante? plus ? dont combien de multi-nationaux ?), tout comme un nettoyage par le vide --rejeter à la mer (car l'Egypte en crise économique ne va pas vouloir ni pouvoir les accueillir) dans les 2 millions d'arabes, pour la plupart très pauvres (dont un pourcentage conséquent de tueurs prêts à tout)-- ne va pas de soi, et la ''communauté internationale, prompte à déconner, va s'en donner à cœur-joie, dans le genre ''faux bons sentiments''. Décidément, entre l'horreur inracontable vécue samedi, les non-solutions réellement disponibles et la menace du Hezbollah sur le front nord, je n'aimerais pas être un dirigeant israélien, ce soir moins encore que d'habitude !
H-Cl.
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« Quand la bile noire est froide, l'esprit du mélancolique devient « émoussé et obtus ». L'indolence et la pâleur de Saturne s'abattent sur lui. Il perd soudainement la faculté de voir. Comme si quelqu'un avait actionné quelque interrupteur gigantesque, la lumière déserte le monde visible. Tout ce qu'il contemple est fixe, livide, spectral: vide comme l'enveloppe d'un coquillage ou une maison brûlée de l'intérieur. Le monde est opaque, immobile, funèbre, terriblement silencieux: comme si personne n'avait jamais risqué un mouvement, jamais éclaté de rire, n'avait jamais connu le moindre instant de joie ou de tension. La vie s'est immobilisée. Le ciel pèse comme la pierre d'un sépulcre. Tout devient irréel : des ombres et des silhouettes hasardent des gestes factices, sur un fond qui sent le décor de carton et de plâtre d'un horrible avant-spectacle de banlieue, sous un éclairage lunaire. Alors, le mélancolique perd tout désir de vivre. Il est apathique, indifférent à tout, abattu: la dernière étincelle s'est éteinte dans son âme obnubilée. Rien de ce qui attire les autres ne lui plaît; tout ce qu'ils aiment l'emplit d'ennui; et le printemps lui pèse comme l'automne, l'hiver et l'été semblent pareils à ses yeux. S'il lit un livre, il ne parvient pas à fixer ses regards sur la page: les lettres ne forment plus de mots, les mots n'évoquent plus d'images, les images ne défilent plus devant ses yeux. Il lit sans participer, sans comprendre, sans éprouver de joie, sans que s'allume en lui cette lumière intérieure qui lui assure qu'il a compris. Les cieux ouverts, les allées bordées d'arbres, la joie des mers et des fleuves ne l'attirent plus. Il reste enfermé chez lui, assis dans son fauteuil, sans rien faire, sans penser à rien d'autre qu'à son interminable maladie, environné d'une ombre qui s'étend continuellement, au milieu des fantômes du jour, des cauchemars de la nuit, de sommeils toujours plus tourmentés. Il connaît à chaque instant la morsure de l'ennui. Nul geste ne parvient à l'en débarrasser. Quand l'ennui se déchire, son cœur s'emplit de soupçons, de craintes, de terreurs innommables, insensées; son moi se transforme, se multiplie, devient un obscur ennemi qui l'attaque de tous les côtés à la fois; cet assaut ne connaît pas de répit; et le malheureux fond en larmes, tant l'ennemi semble inexorable et proche de la victoire. Chaque matin, devant son miroir, il est tenté de se trancher la gorge; s'il résiste à l'idée du suicide, c'est seulement parce qu'il est certain qu'après sa mort, il pénétrera dans un univers plus désolé encore. Il traverse le monde accompagné de cette ombre noire qu'il perçoit dans la saveur même de ce qu'il mange. Il ne parvient pas à s'aimer, il a l'impression que les autres le soupçonnent, le détestent ou préparent contre lui pièges et embûches. Parfois, un élan d'euphorique frivolité le pousse vers eux: il voudrait les serrer contre son cœur mort; plus souvent, il n'éprouve pour eux qu'une hostilité glacée, une amère rancoeur, et rit, dans leur dos, d'un rire amer. »
Pietro Citati - La lumière de la nuit
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イナイイナイバア
「いないいないばあ」は、日本の作家である松谷みよ子によって書かれた絵本です。この絵本は、同名の伝統的な日本の遊びに基づいており、子供と大人の間で行われるインタラクティブなゲームをキャプチャします。この絵本は、日本の子供向けの絵本として広く人気を博し、世代を超えて読み継がれています。それは、子供の成長と発達を促進する楽しくインタラクティブな方法を提供し、親子の絆を強化するのにも役立ちます。
手抜きイラスト集
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Samedi 16/09 - Welcome to QSMP Bagi !
Tubbo a expliqué à Fit tout ce qui s'était passé la veille. Fit lui a parlé des bâtiments abandonnés, prouvant qu'il y a une histoire passé à l'île. Il se demande si les œufs de l'histoire du labyrinthe ne font pas aussi parti de ce passé. En retournant à la maison de WalterBob, Fit s'est interrogé sur pourquoi il n'arrivait pas a se souvenir de cette fameuse personne dans la photo. En allant au musée des œufs, il a vu un panneau de Ramon dépasser dans des caisses de patates disant "Toutes les choses finissent par arriver avec le temps, qu'elles soient bonnes ou mauvaises". Fit a voulu aller dans sa salle secrète pour utiliser son ordinateur, mais s'est ravisé en se disant qu'il devait d'abord comprendre ce qu'il se passe. Il est parti se coucher en concluant qu'il ne voulait pas l'assumer, mais que quelque chose ou quelqu'un sur l'île joue avec sa mémoire. Il est allé sur l'île pour récupérer les données utilisateur des habitants, mais il n'arrive pas à se souvenir qui lui a demandé cette tâche, et sans Ramon, il n'arrivera pas a contacter cette personne.
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https://clips.twitch.tv/UnsightlyKnottyRaccoonImGlitch-jImmK7ysYDZJMSJ6
Forever s'est réveillé de son coma ! Cellbit et BadBoy l'ont accueilli, et l'ont mis à jour sur ce qui s'était passé pendant son absence.
Le canard a fait une apparition en vidéo pour proposer aux joueurs d'accueillir correctement l'invitée du président Forever : Bagi ! Les joueurs ont eu un point de rendez-vous où se trouvait la roue aux 8 chiffres romains sur une scène. Quackity l'a faite tourner, et est tombé sur le chiffre 2, le même que celui de Bagi. Les joueurs ont été téléportés à un endroit spécial, et ont été prévenu des règles du jeu : Ils ont 3 puzzles a résoudre, ils doivent mettre la solution au bâtiment du centre, et doivent finir avant que la lave ne monte.
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https://clips.twitch.tv/KitschyPreciousClipsmomKippa-scRJfUX_iH-3Tl50
Bagi de son côté est avec WalterBob. Il a des tâches a accomplir, et lui a proposé de les faire avec lui pour occuper son temps. Ces quêtes sont orientés pour un nouveau joueur, comme créer des toasts à l'avocat, ou faire un backpack. Bagi s'est faite attaquer plusieurs fois par des araignées, mais WalterBob l'a défendue. Les deux se sont lié d'amitié, et Walter lui a remit un livre à destination de Pac, ainsi que les accès au "canal principal". WalterBob est apparemment en enquête et ne peut donc pas passer du temps avec eux en ce moment.
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https://www.twitch.tv/bagi/clip/PoorFineFloofBIRB-nCBPl2aUKGF35gWt
Pendant ce temps, les joueurs se sont répartis en 3 groupes. Le premier groupe s'est occupé de reformer une suite d'image contenant deux chiffres en filigrane. Le deuxième groupe a du récupérer les deux chiffres suivant en reformant un message codé via plusieurs livres. Enfin, le dernier groupe a effectué un parcours d'obstacle pour récupérer les derniers chiffres, et accéder à un ascenseur relié à la salle où Bagi et Walter étaient. Les joueurs ont pu enfin faire connaissance avec elle, et avoir la preuve que WalterBob est encore vivant.
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https://www.twitch.tv/badboyhalo/clip/RoughProtectiveCoyoteSpicyBoy-ZO5wRIeUh230vfF7
La lave continuant de monter, les joueurs ont du se dépêcher de résoudre l'énigme. Après une tentative infructueuse de passer par une porte verrouillée à l'aide d'un code breaker, les joueurs se sont rendus au centre de la carte, et ont écrit les chiffres qu'ils ont trouvés dans un livre posé sur un pupitre. L'énigme étant résolu, un message disant "Félicitations - C'était rigolo" s'est affiché, et les joueurs ont été téléportés au spawn.
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https://clips.twitch.tv/ClearEndearingOwlLeeroyJenkins-ILHfQsQTRjsNt38c
Bagi a eu un tour de la carte avec Cellbit, et lui a remis le livre reçu de Walter concernant l'accès au canal principal, en supposant que ça lui sera utile dans le futur.
Forever a demandé à discuter avec Quackity en privé dans son bureau. Il lui a dit qu'il pense qu'il est la clé pour retrouver les œufs et fuir l'île, et qu'il était prêt a l'aider à retrouver sa capacité à lire et écrire. Quackity lui a avoué que la première fois qu'il l'avait rencontré, il souhaitait le tuer, et avait déjà commencé a préparer un plan pour cela, mais que s'ils travaillaient ensemble, il n'aurait plus a faire ça. Forever lui a dit qu'il pouvait toujours essayer, il a 3000 totems, il peut donc mourir 3000 fois avant d'avoir des problèmes. Les deux se sont quittés, et Forever est allé dans la chambre du faux richarlyson, pour casser son lit.
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Tubbo de son côté est allé voir s'il y avait des changements dans le labyrinthe. Vu qu'il n'y avait rien de nouveau, il a décidé de laisser un message à Fred pour lui demander des clarifications à propos de ce qu'il s'était passé. De son point de vue, Fred les a emmené vers la mort, alors qu'ils sont censé être amis et qu'il croit encore en lui.
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