#le voyage extraordinaire
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balu8 · 1 year ago
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Silvio Camboni
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haveyoureadthisscifibook · 10 months ago
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kingonews · 2 years ago
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SOMMET EXTRAORDINAIRE DE LA CEDEAO À ADDIS-ABEBA: LA CEDEAO ENTÉRINE DES INTERDICTIONS DE VOYAGE POUR LES DIGNITAIRES DES RÉGIMES DU BURKINA-FASO, GUINÉE ET MALI.
Réunis à Addis-Abeba en marge du Sommet des Chefs d’état et de gouvernement de l’Union Africaine, les dirigeants ouest-africains ont pris des décisions qui risquent d’enflammer la situation politique de trois de ses pays en transition. Il s’agit du Burkina-Faso, de la Guinée et du Mali. En plus d’avoir rejeté la requête de ces trois pays portant levée des sanctions qui leur sont appliquées depuis…
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siusoon · 8 months ago
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Un jour où la nuit sera claire
J’observerai les lumières
À travers un sommeil profond
Je sentirai les odeurs des fumées
S’évaporer dans les nuages de poussières
Puis après quelques bouffées de rêves
Voyage lunaire
Je me lèverai
Et tendrais ma main vers l’horizon
Pour une journée extraordinaire
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sofya-fanfics · 3 months ago
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Te revoir une dernière fois
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Fandom : Doctor Who
Relationship : Eleven x Rose
Voici ma participation pour le Aug-kissed 2024 pour le prompt : Un baiser sur la main.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : « Je suis fier de toi Rose Tyler. Je sais que tu feras des choses extraordinaires. -J’ai l’impression que vous êtes en train de me dire adieu. »
Il lui prit la main et la porta à ses lèvres.
« Tout ira bien Rose. Je te le promets. »
Il ferma les yeux, essayant de profiter de ces derniers instants avec elle.
Disclaimer : Doctor Who est une série de la BBC.
@aug-kissed
AO3 / FF.NET
Le docteur et Clara se dirigèrent vers le TARDIS. Ils venaient d'empêcher une invasion de Sontariens. Le docteur croyait bien qu'ils ne s'en sortiraient pas, mais heureusement le pire avait été évité et la Terre et ses habitants avaient été sauvés. Ils tournèrent au coin d'une rue, lorsque le Docteur entendit au loin :
« John ! »
Il se figea. Il reconnaissait cette voix. Même s’il ne l’avait pas entendu depuis des siècles, il savait qui venait de l’appeler. Alors que le nom de John Smith était le nom qu’il donnait lorsqu’il en avait besoin, une seule personne l’appelait ainsi sous cette forme. Clara se tourna vers lui et le regarda avec inquiétude.
« Docteur ? Tout va bien ?
-Tout va bien. Je vous retrouve au TARDIS. »
Clara acquiesça. Elle voyait bien qu’il se passait quelque chose. Mais si le Docteur ne voulait rien lui dire, elle n’allait pas le forcer. Elle continua son chemin vers le TARDIS, laissant le Docteur seul. Celui-ci prit une profonde inspiration et se retourna. Il sourit jusqu’aux oreilles, mais il espérait que son regard n’exprime pas la tristesse qu’il pouvait ressentir à cet instant.
« Rose Tyler ! S’exprima-t-il joyeusement. Mon élève préférée ! »
Il y a bien longtemps, il était devenu professeur particulier et il aidait Rose à faire ses devoirs lorsqu’elle était entrée au lycée. Il avait essayé de passer le plus de temps possible avec elle, mais il savait que cela ne pouvait pas durer. Alors un jour, il lui avait dit qu’il devait partir à l’étranger pendant un long moment et il était sorti de sa vie. Pour lui, tout cela c’était passé il y a plusieurs siècles. Pour Rose, cela devait faire à peine deux ans.
« Depuis quand êtes-vous revenu ? Demanda-t-elle. »
Elle avait un immense sourire aux lèvres, heureuse de le revoir après tout ce temps.
« Depuis peu, répondit rapidement le Docteur. Je ne suis que de passage, je dois repartir. »
Rose avait l’air à la fois déçue et triste. Le Docteur avait toujours détesté la voir ainsi. Il changea de sujet. Il voulait savoir où il se trouvait dans sa ligne temporelle. Est-ce qu'elle l'avait déjà rencontré, où devrait-il dire, a-t-elle rencontré une de ses anciennes régénérations ?
« Dis-moi, que deviens-tu ? Je veux tout savoir. »
Elle détourna légèrement le regard, gênée.
« À vrai dire, peu de temps après votre départ, j’ai arrêté le lycée. »
Elle ne voulait pas voir la déception sur son visage. Il n'arrêtait pas de lui répéter à quel point elle était intelligente et la première chose qu'elle avait fait après son départ était de se mettre en couple avec Jimmy Stone et d'arrêter le lycée. Le docteur prit son visage entre ses mains et la regarda droit dans les yeux.
« Rose, n'oublie pas ce que je te disais. Tu es intelligente et fantastique. N’en doute jamais. »
Un immense sourire illumina le visage de Rose.
« Quoi ? Demanda le Docteur.
-C’est juste que lorsque vous avez dit que j’étais fantastique, ça m’a fait penser à mon nouvel ami.
-Vraiment ? Dit-il en souriant à son tour. »
Rose acquiesça.
« Je l’ai rencontré... »
Elle se tut quelques secondes, cherchant ses mots.
« Au travail, finit-elle par dire. Cela fait peu de temps que l’on voyage ensemble.
-Vraiment ? Répéta le Docteur, en souriant de plus en plus. »
Rose ne put s’empêcher de rire.
« Vraiment. »
Le Docteur savait où il se trouvait dans la ligne temporelle de Rose. Ils venaient de se rencontrer, alors qu’il avait de grandes oreilles et portait un blouson en cuir.
« Je suis fier de toi Rose Tyler. Je sais que tu feras des choses extraordinaires.
-J’ai l’impression que vous êtes en train de me dire adieu. »
Il lui prit la main et la porta à ses lèvres.
« Tout ira bien Rose. Je te le promets. »
Il ferma les yeux, essayant de profiter de ces derniers instants avec elle.
« Je vais devoir partir et je suis sûr que ton ami t’attend.
-Est-ce que l’on se reverra ?
-Peut-être. »
Il lui mentait. Il ne devait plus la revoir, sinon il risquerait de changer quelque chose. Pourtant, cela lui serait tellement facile de tout changer pour que Rose reste auprès de lui. Pour toujours. Mais il ne devait pas. Il lui embrassa une dernière fois la main et la lâcha. Il recula doucement.
« Au revoir Rose Tyler.
-Au revoir John. »
Le Docteur s’éloigna. Il se retint de toutes ses forces pour ne pas se retourner et demander à Rose de partir avec lui. Il regarda au loin et vie sa précédente régénération. Celui-ci le regardait, surpris. Il l’avait reconnu. Le Docteur se souvint de ce moment. Il lui fit un clin d’œil et continua son chemin vers le TARDIS. Il devait continuer à avancer sans jamais s’arrêter, comme il l’avait toujours fait. Et il avait un autre mystère à résoudre. Découvrir qui était Clara. Il entra dans le TARDIS et programma une nouvelle destination pour lui et la fille impossible.
Fin
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machaonreads · 24 days ago
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Whumptober 18 : Revenge
Vengeance, Sherlock Holmes 2009
L’hôtel particulier dans lequel Mycroft Holmes s’était établi à Reichenbach était sans conteste l’un des plus beaux endroits où John avait jamais séjourné. Et il ne pensait pas se tromper en songeant qu’il en était de même pour Simza, qui s’était installée dans un fauteuil tourné vers l’une des grandes baies donnant sur la chaîne de montagnes enneigées. La majesté du paysage rappelait à qui la regardait la merveille qu’est la vie et l’imminence de la mort – John savait que ses plus riches compatriotes y séjournaient volontiers pour cultiver cet exaltant memento, mais lui n’avait guère besoin du tourisme pour lui raviver la mémoire, après les terrifiantes aventures qui avaient déraillé son voyage de noces.
Il avait vu sa femme jetée d’un train, il avait failli enterrer Holmes.
Et s’il n’avait perdu personne pour le moment, qu’avaient-ils gagné à ce harassant périple ?
Des informations, s’il fallait en croire les conciliabules de Holmes depuis qu’il avait quitté sa chambre, où John et Mycroft l’avaient enfermé de force pour qu’il se reposât au moins quelques heures après leur arrivée en Suisse. John l’avait surpris en train de conférer avec son frère, avec le secrétaire de ce dernier, et même en train d’écrire à Lestrade, ce qui l’avait évidemment empli d’une grande suspicion, car Holmes n’admettait pas souvent que ce dernier savait lire.
En ce moment, il voyait son ami penché au-dessus du dossier de Simza. Leur conversation se termina avant que John fût arrivé à leur hauteur et le détective s’esquiva avec un sourire pour John, manifestement à la poursuite du prochain rouage de son plan.
« Docteur Watson ! » salua Simza, avec un geste d’invitation en direction du tabouret qui flanquait son fauteuil. John s’assit de bonne grâce.
« Vous devez être rassuré d’avoir eu des nouvelles de votre femme.
– Et vous devez être inquiète de ne pas avoir encore retrouvé votre frère. J’espère que Holmes vous ménage ? Je sais qu’il peut… manquer de tact. »
Elle rit.
« Il… vise souvent au plus court. Mais je sais ce que c’est de protéger les siens : ça excuse beaucoup de choses. Et puis il a la vengeance au cœur, je crois. Moi aussi. Elle rend les femmes patientes… et les hommes encore plus impatients.
– Si vous le dites, acquiesça John, qui se sentait un peu perdu par la conversation.
– Vous la connaissiez ?
– Euh…
– La femme que Moriarty a tuée à Paris ? Miss Adler, je crois ? Tamas a entendu parler d’elle, mais il n’était pas sûr de son prénom. Ines ? Irma ?
– Irene, corrigea John doucement. Irene Adler. »
Holmes n’avait rien dit et John n’avait pas demandé, mais il s’était douté que le détective, qui collectait les articles et les photographies de l’aventurière, n’avait pu jeter son mouchoir – surtout s’il portait son monogramme ! – que pour lui dire adieu.
« Vous la connaissiez bien, alors ?
– Non. Pas vraiment. Elle était… c’est Holmes qui... était proche d’elle. »
L’expression le fit grimacer, tant elle semblait inadéquate.
« Mais elle était remarquable. Et si Moriarty… Il a tué une femme extraordinaire. »
Et Holmes n’avait sûrement pas besoin de cette motivation pour s’attaquer à un génie du crime, ni même de vouloir « protéger les siens » comme le résumait Simza, mais John ne doutait pas que sa tristesse le rendrait sans pitié.
« Tant mieux », songea-t-il avec férocité. Un homme qui avait commandité des assassins pour fusiller Mary ne méritait aucun compassion, et il était temps d’en finir : les brumes qui montaient des chutes du Reichenbach dissimulaient progressivement les sommets rocheux dans la froideur du soir.
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raisongardee · 5 months ago
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"[…] il devrait être clair, en effet, que les fractions supérieures de ces nouvelles "classes moyennes" des grandes métropoles (un ensemble qui correspond, en gros, à 10% de la population) appartiennent déjà toutes – de par leur niveau de revenu ou de diplôme, leur style de vie urbain et consumériste, et leur aptitude constitutive à voyager et travailler "à l’international" (y compris dans le cadre extraordinairement ambigu des différentes ONG "humanitaires") – à la classe dominante (autrement dit, à ce qu’on osait encore appeler, jusqu’en Mai 68, la bourgeoisie). Et en second lieu, on doit également tenir compte du fait que les fractions "inférieures" et "moyennes" de ces nouvelles classes urbaines – même s’il n’y a guère de sens à les inclure dans la classe dominante au sens strict du terme – ne s’en trouvent pas moins encore relativement protégées, du moins la plupart du temps, contre les effets les plus dévastateurs de la mondialisation libérale. Une situation qui ne les prédispose donc guère à formuler de cette mondialisation économique et culturelle une critique qui aille – pour reprendre une expression qui vous est chère – au-delà de la "dictature de bons sentiments". A la grande différence, par conséquent, de ces différentes classes populaires (ou de ces "premiers de corvée" que la classe dominante est toujours prête à dispenser de tout "télétravail") qui se retrouvent aujourd’hui majoritairement concentrées dans la France périphérique (c’est-à-dire, en simplifiant, dans la France des villes petites et moyennes, de la ruralité, ainsi que (on l’oublie trop souvent – dans la plupart des territoires d’outre-mer), tout en regroupant elles-mêmes près de 70% de la population."
Jean-Claude Michéa, Extensions du domaine du capital, 2023.
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havaforever · 10 months ago
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PAUVRES CREATURES - L'année cinéma commence très fort avec "Poor Things", dernier bébé-monstre de Yorgos Lanthimos, qui nous livre ici une satire sous forme de conte initiatique, en mode relecture très inspirée de Frankenstein.
Dans une époque vaguement victorienne peut-être hybridée à celle des années 2075, un savant crée Bella, une femme adulte avec l'esprit d'un enfant. Créature qui va néanmoins très vite se développer. Bella découvrira le monde, les femmes, les hommes, et surtout le sexe.
La première demi-heure, en noir et blanc, nous plonge directement dans une ambiance très malaisante. Mêlant du body horror aux pires intentions humaines, elle nous invite à embarquer pleinement dans le coeur de ce récit initiatique coloré et passionnant.
Les acteurs sont fantastiques. Emma Stone incroyable dans le rôle cette "créature" qui grandit intellectuellement, et découvre son corps, son esprit, le monde, la place attendue de la femme. L'actrice donne par ailleurs allègrement de sa personne, on croule sous des scènes les unes plus trashs que les autres. Impossible de ne pas citer Mark Ruffalo, désopilant en séducteur invétéré, qui voit peu à peu son monde d'effondrer alors que sa "sex doll" mûrit et lui échappe.
La direction artistique est démente. On est dans une espèce d'univers steam punk avec de l'Art Nouveau à tous les étages. Yorgos Lanthimos utilise énormément les grands angles, montrant toutes les coutures de ce monde poétique, du moins tel que Bella le perçoit. Les costumes certainement tout droit sortis des ateliers des créateurs les plus fous, sont sublimes.
Le récit comporte pas mal de lourdeurs et de temps morts, trop longs pour être porteurs. Et pourtant malgré quelques détours largement inutiles du scénario, et la très grande créativité de sa mise en forme, c'est le propos qui prime très rapidement.
Certains (beaucoup) ont réduit Pauvres Créatures à un film féministe, mais ses thèses débordent largement cette apparence première. "Poor Things" parle de parentalité, de religion, et de relations entres les hommes et les femmes. Avec certes, la place des femmes dans la société, et la façon dont elles sont perçues et/ou contrôlées. Mais on est très loin du pamphlet stérile et redondant de tant d'autres films opportunistes.
Personnellement j'y ai surtout perçu une mise en scène très pertinente de ce que nous apprendrait l'intelligence artificielle sur le fonctionnement mécanique et désincarné des humains, et de nos sociétés dépourvues de leurs emballages moraux, changeants et relatifs. C'est très vite à travers ce prisme que le film m'est apparu captivant : une généalogie de notre morale, de nos comportements et de tous les travers d'un féminisme souvent contradictoire, vue non par Nietzsche, mais sous l'angle des ChatGPT et autres programmes qui nous "singent" littéralement…
Bref, "Poor Things" est riche d'idées, de sensations, de perspectives nouvelles, et remue le bide. C'est aussi un long-métrage très drôle. Comme dans les précédents films de Lanthimos, l'humour est absurde, noir, cruel, et souvent inattendu. Si vous adhérez au style du réalisateur, vous y trouverez très largement votre compte !
NOTE 17/20 - Ce voyage fantastique et fantasmatique regorge d'idées de génie, d'images sublimes et riches, le tout directement sorti du cerveau à la fois complexe, étrange et extraordinaire de Yorgos Lanthimos.
La génétique du réalisateur de The Lobster semble être composée de Mary Shelly et de Ruben Ostlund et de bien d'autres, dans une version remanipulée d'extravagance et de baroquisme flamboyants.
On est choqués, éblouis, embarqués par une créativité aussi rare qu'impressionnante.
Ames sensibles, s'abstenir.
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pourlemeilleur · 4 months ago
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j'ai vraiment une bande d'Ami(e)s extraordinaire, mais alors POURQUOI il n'y a PERSONNE qui veut vivre à l'étranger (surtout Montréal) ?????? je rêve de ça, ou de voyage
puis Montréal je sais que vivre seule c'est compliqué parce que tu as un appartement pas terrible (ou avec de la chance) et j'ai mon chat, je veux pas taper dans mes économies parce que je veux garder assez de côté pour pouvoir tout quitter du jour au lendemain
et la colocation je crois que ça me gêne si je connais pas les gens, genre j'ai besoin d'être à l'aise
des fois je vois des appartements trop beaux pour deux et vraiment ça me rend triste de me dire que j'ai personne qui veut faire cette expérience là
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ckut-latinmusicmondays · 4 months ago
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~ The essential playlist, 3ème saison, 3ème épisode: Stephanie Osorio
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Branchez vous radio ce lundi 29 de 9h à 11h sur CKUT 90.3 FM et profitez d'une nouvelle édition spéciale de ~ The essential playlist ~ ~ The essential playlist ~, 3e saison, 3e épisode présente : Stephanie Osorio La chanteuse, musicienne et compositrice Stephanie Osorio présentera un voyage dans son inconscient musical, trouvant la racine même de son éveil musical. Depuis la première chanson qu'elle a voulu jouer, le premier instrument qu'elle a joué et sa première reprise de Shakira à l'école, Stephanie nous emmènera jusqu'à aujourd'hui, où au Canada elle émerge en tant que femme immigrante sur la scène musicale, produisant un album extraordinaire "Fruta del Corazón" et étant en 2022 et 2023 revendiquée artiste féminine de l'année dans le cadre du Canadian Latino Award ! Boom ! Dj The most high
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mescharmantsouvenirs · 1 year ago
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Lee Miller
1927 : New York : Possédante peut-être du visage et de la silhouette les plus classiques de sa génération...
1929 : Paris : Protégée et amante de Man Ray, elle invente avec lui sa technique de photographie solarisée...
1935 : Le Caire : Lassée de sa vie d'épouse d'homme d'affaires égyptien, elle voyage sans fin à travers l'Egypte...
1939-45 : Europe
Elle devient et accréditée correspondante de guerre américaine et couvre le siège de Saint-Malo et la libération de Paris...
Ce ne sont là que quelques-uns des vies de Lee Miller, intimement et entièrement enregistrées ici par son fils, Antony Penrose. C'est le premier livre à révéler son extraordinaire vision en tant que photographe.
Il donne également vie à l'histoire d'un femme qui a traversé de nombreux mondes -
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hana-ko56 · 1 year ago
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Les Étoiles de l’Amour
Dans un petit village pittoresque, entouré de collines verdoyantes et de champs dorés, vivait une jeune femme du nom d'Elara. Sa beauté était telle qu'elle illuminait les journées les plus sombres, mais derrière ses yeux envoûtants, se cachait une âme avide d'aventures.
Chaque soir, Elara se promenait sur les chemins de campagne, rêvant de voyages extraordinaires et de mondes inconnus. Elle écoutait les histoires des marchands ambulants et des voyageurs de passage, qui lui décrivaient des terres lointaines, remplies de magie et de mystères.
Un soir, alors que la lune se levait, elle entendit des murmures étranges provenant de la forêt qui bordait le village. Intriguée, elle décida de suivre ces sons mystérieux, portée par l'appel de l'inconnu.
Les arbres s'épaississaient à mesure qu'elle pénétrait dans la forêt, laissant place à un enchevêtrement de sentiers cachés. À chaque pas, la magie de l'obscurité grandissait, mais Elara ne ressentait aucune peur. Au contraire, une excitation nouvelle remplissait son cœur.
Au détour d'un chemin, elle aperçut une lueur émeraude, vacillant comme une étoile solitaire. Elle s'approcha avec prudence, mais aussi avec une étrange certitude que cette rencontre était le début d'une aventure extraordinaire.
Au milieu des feuillages, apparut un homme vêtu d'une cape sombre qui semblait se fondre avec la nuit. Ses yeux brillaient d'une lueur magique, et un sourire énigmatique étira ses lèvres. Il se présenta comme Aiden, un voyageur venu d'un royaume lointain.
Aiden avait parcouru des terres enchantées et des contrées mystiques, et il avait une aura d'aventure qui captiva Elara. Il lui raconta des histoires incroyables, des créatures fantastiques et des paysages à couper le souffle. Elle était suspendue à ses paroles, plongée dans un univers où les rêves devenaient réalité.
Au fil des heures qui s'écoulèrent comme des étoiles filantes, Elara et Aiden parlèrent de tout et de rien, comme s'ils se connaissaient depuis toujours. Une complicité singulière se tissa entre eux, et l'étrange sensation de se sentir à la maison en présence d'un inconnu les envahit.
La nuit s'achevait doucement, mais le soleil ne se leva jamais aussi magnifiquement qu'il le fit ce matin-là, illuminant leur nouvelle amitié. Alors que le jour se levait, ils se séparèrent, mais Elara savait que ce n'était qu'un au revoir.
Les jours qui suivirent, Elara ne pouvait s'empêcher de penser à Aiden et aux merveilles qu'il lui avait décrites. Une impulsion irrépressible la poussa à le retrouver, à vivre des aventures en sa compagnie, et peut-être, juste peut-être, à découvrir un amour qui dépasserait les frontières du réel.
Elara prit une décision audacieuse : elle partirait à l'aventure avec lui pour découvrir le royaume légendaire des étoiles. C'était un voyage risqué et incertain, mais elle sentait que son cœur l'appelait vers cette destinée magique.
Sans dire un mot à sa famille et à ses amis, Elara se prépara en secret pour ce périple. Elle remplit un sac avec des provisions, prit quelques vêtements chauds et attacha son carnet de voyage autour de son cou. C'était un cadeau de sa grand-mère, qui croyait aux pouvoirs mystiques des étoiles.
Une nuit, alors que la lune était pleine, Elara retrouva Aiden à l'orée de la forêt. Il lui sourit chaleureusement, resplendissant comme un astre dans l'obscurité. Ensemble, ils se lancèrent dans l'inconnu, suivant les étoiles scintillantes qui semblaient les guider vers leur destinée.
Leur voyage les mena à travers des paysages éblouissants, des montagnes majestueuses aux sommets enneigés, des forêts mystiques où des créatures fantastiques dansaient à la lueur de la lune, et des rivières scintillantes qui chantaient une mélodie enchanteresse.
Au fil du voyage, l'amitié entre Elara et Aiden s'épanouit en un amour profond et sincère. Chaque moment passé ensemble renforçait leur lien, et ils partageaient leurs rêves, leurs espoirs et leurs peurs, créant ainsi des souvenirs inoubliables qui seraient gravés dans leur cœur pour l'éternité.
Un soir, alors qu'ils campaient près d'un lac aux eaux miroitantes, Aiden prit la main d'Elara et la regarda dans les yeux avec tendresse. "Je t'aime, Elara, plus que tout au monde," murmura-t-il. "Depuis le moment où nos chemins se sont croisés, j'ai su que tu étais celle qui illuminerait ma vie."
Les yeux d'Elara s'emplirent d'étoiles, et elle répondit doucement : "Et moi, je t'aime, Aiden. Tu as fait naître en moi un amour pour l'aventure et la magie, et je ne pourrais plus me passer de toi."
Les mots d'amour semblaient se fondre dans le paysage céleste qui les entourait. À ce moment précis, une étoile filante traversa le ciel, éclairant leur amour d'une lueur étincelante. Ils savaient que leur amour était béni par les étoiles elles-mêmes.
Enfin, après de longues péripéties, ils atteignirent le sommet d'une montagne élevée, où ils découvrirent une étrange étoile filante, plus grande et plus brillante que les autres. Sans hésiter, ils la touchèrent ensemble, et une magie incroyable se déchaîna.
Un tourbillon de lumière les enveloppa, et ils se retrouvèrent soudainement dans un royaume inconnu, où les étoiles semblaient danser autour d'eux. C'était le légendaire Royaume des Étoiles, où le temps semblait s'arrêter et où l'amour régnait en maître.
Elara et Aiden savaient qu'ils avaient trouvé leur vrai foyer. Ils vécurent heureux pour toujours dans ce royaume féérique, explorant ses merveilles et partageant leur amour éternel. Ils savaient qu'ils étaient liés par les étoiles, et rien ne pouvait briser leur connexion magique.
Et ainsi, dans le Royaume des Étoiles, Elara et Aiden vécurent leur conte romantique fantastique, une histoire unique qui illuminerait le ciel de mille éclats et serait racontée aux générations futures, inspirant l'amour, la magie et l'aventure.
Fin.
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matutinachicofficiel · 8 months ago
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Dans le charmant pays la France, où les rues résonnent de l’histoire et de la mode, se trouve une boutique en ligne pas comme les autres : Matutina-Chic. C’est un monde où chaque article raconte une histoire, où les vêtements sont plus que de simples tissus, et où les accessoires sont les héros silencieux de votre quotidien.
L’Histoire de Matutina-Chic
Il était une fois, dans un coin lumineux d’internet, une boutique qui voulait faire la différence. Matutina-Chic n’était pas seulement un site de vente, c’était un créateur de tendances, un conseiller de style, et un fournisseur de joie.
Chaque vêtement était choisi avec soin pour refléter la personnalité unique de celui ou celle qui le porterait. Les accessoires n’étaient pas de simples compléments, mais des pièces maîtresses qui transformaient le banal en extraordinaire. Les cartes de jeux n’étaient pas de simples divertissements, mais des portails vers des mondes inexplorés. Et chaque objet de décoration était une invitation à créer un espace qui vous ressemble.
La Promesse de Matutina-Chic
Si vous cherchez à ajouter une touche de magie à votre garde-robe, à trouver le cadeau parfait, ou à redécorer votre espace avec élégance, Matutina-Chic est votre destination. Avec une sélection qui allie qualité et originalité, chaque visite est une nouvelle aventure.
Alors, n’attendez plus. Venez découvrir l’histoire qui vous attend sur Matutina-Chic.com, et laissez-vous emporter dans un voyage où la mode rencontre l’imaginaire. 🌟
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chicinsilk · 2 years ago
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US Vogue January 1, 1959
At left, an unidentified model wears a silk-lined pink wool tweed coat, over a printed silk dress, all by Ben Zuckerman. On the right, the new Imperial travel case designed by Elizabeth Arden contains; Velva Moisturizing Film, Skin Lotion, Veiled Radiance Foundation, Extraordinary Cream, Cleansing Cream, Eyeshadow, Mascara, Eyebrow Pencil and Rouge Cream. Lipstick, Memory Cheri Perfume and Invisible Veil Compact. In the background, in a pink livery, the Imperial model 1959.
À gauche, un modèle non identifié porte un manteau en tweed de laine rose doublé de soie, sur une robe en soie imprimée, l'ensemble par Ben Zuckerman. À droite, le nouvel étui de voyage Imperial conçu par Elizabeth Arden contient; le film hydratant Velva, la lotion pour la peau, le fond de teint Veiled Radiance, la crème extraordinaire, la crème nettoyante, le fard à paupières, le mascara, le crayon à sourcils et la crème rouge. Rouge à lèvres, Parfum Mémoire Chéri et Compact Voile Invisible. En arrière plan, dans une livrée rose, l'Imperial modèle 1959.
vogue archive
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alain-keler · 9 months ago
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Madrid, 30 janvier 1976.
Franco est mort le 20 novembre 1975. Un peu partout en Espagne, les forces démocratiques tentent de faire entendre leurs voix. Ici une réunion d'ouvriers grévistes se déroule dans une église. Cette photo n'a jamais vu le jour. Elle est restée sagement sur sa planche contact pendant 48 ans. C'est en regardant mes planches restées dans une de mes nombreuses boîtes que je l'ai trouvé. De temps en temps je retourne sur mon passé de photographe. J'aime bien cette photo, la position de ces deux hommes, le contexte politique. Je n'ai pas trouvé mon carnet de l'époque, seule cette légende laconique au dos de la planche contact "réunion dans une église d'ouvriers grévistes", avec la date. J'avais un copain à l'AFP qui me donnait ces informations. 
J'étais jeune photographe pour l'agence Sygma. Je venais de passer deux mois au Portugal, partageant un appartement avec des journalistes débutants, un cameraman pour Visnews, une révolutionnaire italienne qui, même révolutionnaire, cuisinait des pâtes extraordinaires, à l’italienne ! Mon séjour au Portugal se termina par une tentative de lynchage sur ma personne. Une foule conservatrice me prenant pour un agent cubain. Il faut dire que j'avais une moustache à la sud-américaine, conservée après un long voyage en Amérique latine. *
* Voir le livre America Americas, latina, publié aux éditions de juillet en 2022.
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auboutdespages · 9 months ago
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Un supplément parce que sincèrement? Je commence à m'attacher à vous!
Jamais deux sans trois dit-on mes papivores 2.0! Je me devais absolument de vous partager cette dernière pépite avant notre prochain rendez-vous. On continue de surfer sur la même vague que celle de Louise Mey mais cette fois-ci avec une romancière et militante, d'un courage étonnant et même glaçant: Betty MAHMOODY qui nous raconte l'histoire de sa vie, une histoire qui a pour but de sensibiliser au maximum le public aux dangers des mariages binationaux et aux situations d'enlèvement parental à l'international.
Le PITCH d'abord!
L'histoire commence en 1984, lorsque Mahmoody, son mari , Sayyed Bozorg Mahmoody, et leur fille, Mahtob, se rendent en Iran pour rendre visite à la famille de Sayyed. Alors qu'ils sont en Iran, la révolution iranienne a eu lieu et Sayyed devient de plus en plus radical dans ses croyances religieuses. Il commence à maltraiter Betty et Mahtob et leur interdit de quitter le pays. En 1986, Betty décide de s'enfuir d'Iran avec Mahtob. Avec l'aide d'un passeur, ils traversent la frontière en Turquie et retournent aux États-Unis. Le livre raconte le voyage dangereux et difficile de Betty et Mahtob et leur lutte pour retrouver leur liberté. JAMAIS SANS MA FILLE est un récit puissant et inspirant( et encore le mot est faible!) du courage et de la persévérance. C'est aussi un exposé sur les dangers des mariages binationaux et la situation radicale des femmes en Iran. Le livre a été salué pour son honnêteté et son émotion, et il a contribué à sensibiliser aux questions des droits des femmes et de la violence domestique.
Mon avis, vous le savez HUMBLEMENT!
Betty Mahmoody nous plonge dès les premières pages dans son histoire extraordinaire. Son récit est captivant et haletant, nous tenant en haleine et en panique surtout jusqu'à la conclusion finale. On vit au rythme de son combat pour retrouver sa liberté et celle de sa fille, face à un mari violent et manipulateur. Jamais sans ma fille est bien plus qu'un simple récit d'évasion. C'est un témoignage poignant et courageux sur la violence conjugale, l'oppression des femmes en Iran et les dangers des mariages binationaux. La romancière nous livre ses émotions avec une sincérité bouleversante, nous faisant ressentir sa peur, sa douleur et sa rage. Betty Mahmoody décrit avec précision les injustices et les privations dont les femmes là-bas sont victimes, soulignant leur courage et leur force face à l'adversité. Ce qui nous permet d'avoir un regard lucide sur la condition des femmes en Iran. Elle utilise un langage clair et direct qui permet au lecteur de s'identifier facilement à son expérience. Son récit est ponctué de moments d'espoir et de lumière, qui contrastent avec la violence et l'oppression qu'elle subit.
Jamais sans ma fille honnêtement est un livre qui marque durablement. Il nous confronte à la complexité des relations humaines et à la force de l'esprit humain face à l'adversité. C'est un récit poignant qui ne se résume pas à une simple histoire d'évasion, mais qui nous invite à réfléchir sur les injustices et les inégalités qui persistent dans le monde.
Celui ci je l'ai découvert dans la bibliothèque de mes parents, mais je pense que vous pouvez le commander sur @amazon. Régalez vous!
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