#le marquise s'amuse
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giallofever2 · 8 years ago
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1981 (Promotional shots) Il marchese del Grillo Il Marchese del Grillo Also Known As (AKA) Argentina El marqués del Grillo Spain El marqués del Grillo France Le marquis s'amuse Hungary Vaskos tréfa Poland Markiz Grillo Soviet Union (Russian title) Маркиз дель Грилло Europe (festival title) (English title) The Marquis of Grillo West Germany Die tolldreisten Streiche des Marchese del Grillo Directed by Mario Monicelli Music by Nicola Piovani Writing Credits Bernardino Zapponi ... (story) Leonardo Benvenuti ... (story) Piero De Bernardi ... (story) Monicelli Mario ... (story) Tullio Pinelli ... (story) Leonardo Benvenuti ... (screenplay) Piero De Bernardi ... (screenplay) Mario Monicelli ... (screenplay) Tullio Pinelli ... (screenplay) Alberto Sordi ... (screenplay) Release Dates Italy 23 December 1981 West Germany February 1982 (Berlin International Film Festival) France 29 September 1982 Hungary 27 March 1986 Germany 12 February 2011 (Berlin International Film Festival) Cast Alberto Sordi Alberto Sordi ... Onofrio Del Grillo / Gasperino Leopoldo Trieste Leopoldo Trieste ... Padre Sabino Flavio Bucci Flavio Bucci ... Fra' Bastiano Marc Porel Marc Porel ... Blanchard Caroline Berg Caroline Berg ... Olimpia Elena Fiore Elena Fiore ... Anita Paolo Stoppa Paolo Stoppa ... Papa Pio VII Isabelle Linnartz Isabelle Linnartz ... Genuflessa Cochi Ponzoni Cochi Ponzoni ... Rambaldo Giorgio Gobbi Giorgio Gobbi ... Ricciotto Marina Confalone Marina Confalone ... Camilla Del Grillo la sorella Angela Campanella Angela Campanella ... Faustina Andrea Bevilacqua Andrea Bevilacqua ... Polpeo Tommaso Bianco Tommaso Bianco ... Amministratore Riccardo Billi Riccardo Billi ... Aronne Piperno Elena Daskowa Valenzano Elena Daskowa Valenzano ... Marchesa del Grillo Isabella De Bernardi Isabella De Bernardi ... Figlia di Gasperino Elisa Mainardi Elisa Mainardi ... Moglie di Gasperino Camillo Milli Camillo Milli ... Segretario del Papa Gianni Di Pinto Gianni Di Pinto ... Maruccio Ettore Geri Ettore Geri ... High priest who presides over the execution Jacques Herlin Jacques Herlin ... Rabet Salvatore iacono Salvatore Jacono ... Bargello Renzo Rinaldi Renzo Rinaldi Pietro Tordi Pietro Tordi ... Monsignor Terenzio Salvatore Biondo Salvatore Biondo ... Monaco (uncredited) Mimmo Poli Mimmo Poli ... Oste (uncredited) Ivan De Paola Ivan De Paola Nicola di Marzio Nicola Di Marzio ... The boy on the cart Runtime 2 hr 15 min (135 min) (Italy) 1 hr 55 min (115 min) (Spain) 2 hr 15 min (135 min) (Argentina) filming locations Canale Monterano, Rome, Lazio, Italy Lucca, Tuscany, Italy (The palace) Rome, Lazio, Italy
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vincentdelaplage · 2 years ago
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Le Triomphe d'Amphitrite (1780) de Jean-Hugues Taraval (1729-1785) LES LUMIÈRES DE VERSAILLES #leslumièresdeversailles "- Vous aurez beau faire, Monsieur, dit la jolie Marquise, vous n'aurez jamais mon cœur. - Je ne visais pas si haut. " MOLIÈRE UNE MUSIQUE D'UN BONHEUR CONTAGIEUX Marin Marais -〈Alcyone〉 Marche pour les Matelots & Airs des Matelots I - II - III https://youtu.be/W--OjtoAV0w Marin Marais (31 mai 1656-15 août 1728) était un violiste ou gambiste (musicien jouant de la viole de gambe) et compositeur français de la période baroque. Après la mort de Jean-Baptiste Lully, qui donne aux compositeurs une plus grande liberté pour faire jouer leurs ouvres, Marais écrit Alcide (livret de Jean-Galbert de Campistron), en collaboration avec Louis Lully (fils aîné de Jean-Baptiste) qui sera représenté en 1693 avec un grand succès. Il se produit parallèlement comme violiste avec d'autres musiciens de la cour auprès de Louis XIV mais aussi de son entourage (duc de Bourgogne, Madame de Montespan ; Mme de Maintenon, etc.). C'est dans ces termes que Madame de Sévigné rendait compte à sa fille dans une lettre de 1696 d'une telle séance de musique: « Les jeunes gens, pour s'amuser dansèrent aux chansons, ce qui est présentement fort en usage à la Cour. Joua qui voulut, et qui voulut aussi prêta l'oreille au joli concert de Vizé, Marais, Descoteaux et Philibert. Après cela on attrapa minuit et le mariage fut célébré dans la chapelle de l'hôtel de Créquy. » Un livre publié en 1692, Pièces en trio pour les flûtes, violons et dessus de viole, montre le répertoire utilisé par Marais pour ces concerts à la cour. https://www.facebook.com/groups/716146568740323/?ref=share_group_link https://www.instagram.com/p/CebgOFxq8Y1/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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M. de Cambremer ne ressemblait guère à la vieille marquise. Il était, comme elle le disait avec tendresse, « tout à fait du côté de son papa ». Pour qui n'avait entendu que parler de lui, ou même de lettres de lui, vives et convenablement tournées, son physique étonnait. Sans doute devait-on s'y habituer. Mais son nez avait choisi, pour venir se placer de travers au-dessus de sa bouche, peut-être la seule ligne oblique, entre tant d'autres, qu'on n'eût eu l'idée de tracer sur ce visage, et qui signifiait une bêtise vulgaire, aggravée encore par le voisinage d'un teint normand à la rougeur de pommes. Il est possible que les yeux de M. de Cambremer gardassent dans leurs paupières un peu de ce ciel du Cotentin, si doux par les beaux jours ensoleillés, où le promeneur s'amuse à voir, arrêtées au bord de la route, et à compter par centaines les ombres des peupliers, mais ces paupières lourdes, chassieuses et mal rabattues, eussent empêché l'intelligence elle-même de passer. Aussi, décontenancé par la minceur de ce regard bleu, se reportait-on au grand nez de travers. Par une transposition de sens, M. de Cambremer vous regardait avec son nez. Ce nez de M. de Cambremer n'était pas laid, plutôt un peu trop beau, trop fort, trop fier de son importance. Busqué, astiqué, luisant, flambant neuf, il était tout disposé à compenser l'insuffisance spirituelle du regard ; malheureusement, si les yeux sont quelquefois l'organe où se révèle l'intelligence, le nez (quelle que soit d'ailleurs l'intime solidarité et la répercussion insoupçonnée des traits les uns sur les autres), le nez est généralement l'organe où s'étale le plus aisément la bêtise.
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basbleus · 8 years ago
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Cette fois où j’aurais peut-être pu signer à nouveau chez un éditeur (ou la meilleure façon de se saborder) #MazarineBookDay #AmazonPublishing #Librinova
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Il y a des passages de lecture de l'enfance qui reviennent vous hanter longtemps après, quand on est trop adulte pour les utiliser comme référence inter-littéraire dans un essai; par exemple. Quand je repense à Astérix, il y a d'abord le fromage corse grouillant de vers, mais il y a surtout ce gag où les pirates préfèrent se saborder à l'avance, plutôt que d'attendre l'hypothétique attaque des Gaulois. On n'est jamais mieux servi que par soi-même, surtout s'il est question de se faire du mal [...]
et pour cela j'ai développé des dizaines de stratagèmes tous plus tordus les uns que les autres :
je m'arrache les cheveux, très littéralement (moins qu’avant certes)
je me griffe la peau (il fallait bien trouver une torture de remplacement)
je me ronge les cuticules (quand la peau, recouverte d'une armure de biafine n'est pas disponible)
quand je rencontre quelqu'un qui me plait, je me transforme en une personne totalement irrationnelle pour qui trois jours sans nouvelle équivaut à cent ans de solitude, un genre de monstre d'émotions qui ferait même flipper Mère Thérésa.   
je ne sais presque pas prendre de l'avance sur mon travail. Pourtant je reconnais le confort du planning bien tenu et justement mon cerveau a très vite découvert la délicieuse habitude de m'obliger à attendre la dernière limite pour rendre des dissertations, les textes de mes bouquins, les commandes de mes clients etc.
de la même manière, tout ce qui touche à l'administratif semble disparaître de la surface de la Terre jusqu'au moment, où j'atteins une situation critique à la limite de l'inextirpable, où j'ai de nouveau besoin de m'arracher les cheveux. En terme de cercle vicieux, je me pose là, ma méthode d'échec est infaillible.
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Je planche dur pour limiter ces sabordages permanents, mais à la seconde où je réfléchis à la possibilité d'échouer, au moindre petit grain de sable, ou pour rester dans la métaphore du naufrage au moindre petit glaçon qui apparaît sur l'horizon de ma traversée tranquille, je crie TITANIC au lieu du EUREKA providentiel, je sors des haches imaginaires et je défonce le plancher de mes possibilités. Je lamine précautionneusement TOUTES les options de réussite.  Et tandis que je me noie dans un tsunami de faible estime de soi et de dégoût de ma personne, mon cerveau, qui joue alors le rôle du second cynique jubile :
- BAM, tu vois, j'avais raison, on a tout râté. J'AVAIS RAISON depuis le début.
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C'est d'autant plus idiot qu'à force d'envisager le pire, je suis devenue plutôt douée pour prévoir et prévenir tout écueil et donc éviter n'importe quel accident de parcours. Mais un grand pouvoir nécessite une grande volonté d'action et bien souvent, je préfère rester pétrifiée dans la salle de bal de mon paquebot intérieur pendant que tout espoir s'enfonce autour de moi. Un peu comme si Cassandre avait tous les pouvoirs publics pour empêcher la Guerre de Troie, mais préférait se poser sur une chaise avec un petit verre de rouge, pendant que les Grecs débarquaient pour mettre la ville à sang. « Bah j'sais pas, je me suis dit que personne ne me croirait si je vous parlais d'un grand cheval de bois plein de guerriers huileux. »
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Grâce à la thérapie, à mes amis formidables qui sont un soutien sans faille alors que je ne leur rends pas la vie facile (imaginez la croisière s'amuse mais sans fun, sans alcool et avec beaucoup de pleurs au téléphone.) j'arrive de temps en temps à ligoter les neurones insubordonnés dans la cale, en refermant derrière moi et en hissant des voiles ridiculement larges pour compenser le retard perdu.
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C'est durant un de ces moments-là que j'ai décidé de présenter non pas un roman, mais deux durant les nombreux speed-datings éditoriaux organisés durant le Salon du Livre. Histoire de bien multiplier le nombre d'icebergs potentiels, vous comprenez.  
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Toute histoire n'est pas forcément noire et décevante : sur les deux, un des livres, le premier tome de mon roman jeunesse (Lady Marmelade, sous le pseudonyme de Lucie Béluga) a trouvé un premier refuge chez Librinova, dont l’équipe a semblé être emballée par mon pitch répété 246 fois devant mon citronnier incrédule (J'aurais pourtant dû me douter du manque d'enthousiasme d'un arbuste destiné à terminer justement en confiture, pour les aventures d'une héritière de gelées fruitières). Un jour, je vous raconterai comment j'ai réussi ce tour de maître comme une pro, mais pour le moment, mes neurones dissidents me soufflent qu'il s'agissait plutôt d'un tour de passe-passe et que je ne suis qu'un imposteur qui n'a toujours pas sorti son putain de tome de fiction sucrée pour adolescent(e)s.
En attendant, il me semble nécessaire de partager avec vous ce qui aurait pu être un autre succès, le grand chelem des speed-datings, et qui s'est soldé à nouveau par de grandes eaux (moi en train de chouiner sur le canapé de ma psy). J'avais un autre roman à présenter, l'adaptation d'un scénario sur lequel j'avais beaucoup bossé et qui comptait bien plus pour moi que Lady M. L'illustrateur qui en avait eu l'idée m'avait donné sa bénédiction puisque notre opportunité d'en faire une BD s'était faite la malle. Bon certes, les éditeurs demandaient un roman potentiellement terminé et le matin des entretiens, j'avais péniblement cravaché pour écrire deux pages du premier chapitre, cependant, le reste du dossier et le découpage de la BD était suffisamment solides pour que j'imagine avoir toutes les chances de remporter la mise. Le vent de l'égo était très favorable ce jour-là.
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Ah et donc c'est là que ça a foiré ? Même pas. Sur l'échelle de Titanic, on en est au moment où Rose danse la gigue au troisième sous-sol. J'ai eu la chance de tomber sur des personnes qui ont su apprécier mon univers excentrique (Solène Bakowski sur le stand Amazon Publishing et Sophie Charnavel pour le Mazarine Book Day, que j'en profite pour remercier). Et même si j'ai vite réalisé que mon bouquin n'entrait pas vraiment dans les lignes édito recherchées et qu'a priori aucun de mes entretiens ne porterait ses fruits, j'étais contente de l'expérience et j'avais de toutes façons d'autres confitures à fouetter.
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Le souci quand on est sujet à de grandes vagues de dépression, c'est que le mirage de l'espoir est assez vif pour vous faire plonger depuis le pont du navire dans des eaux pas forcément très cleans (imaginez la Seine, si la Seine était une piscine fermée. Bref : imaginez une piscine parisienne, emplie de miasmes, de crachats de personnes âgées et de pipi de bambins surexcités... Voilà à quoi ressemble l'espoir chez moi). L'oasis de bonne nouvelle a commencé à prendre forme en voyant toutes les participantes recevoir une a une leurs lettres de refus (Désolée les filles, mais ne niez pas, vous aussi, vous auriez été rassérénées par ces mauvaises nouvelles, « in the Game of Throne, you either win or you die » comme dirait l'homme qui m'a pillé mon prénom et ruiné ma vie amoureuse.) . 
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Et puis c'est arrivé, un email ressemblant clairement à un lagon des Marquises. THE ÉDITRICE de chez Mazarine, qui me disait que j'avais fait mon petit effet et qu'elle voulait lire le livre en entier. J'étais tellement heureuse que j'ai plongé dans l'espoir comme Perrette dans un pot au lait olympique. Dans ma tête, j'étais déjà signée, on allait me permettre de transformer mon vilain petit canard de scenario en trois tomes gracieux et tout le monde serait fier de moi, moi la première, l'illustrateur en second et mes parents juste après (caution intellectuelle impossible à obtenir en temps normal puisqu'ils n'ont tout simplement pas les mêmes goûts que moi en matière de fiction.). J'imaginais déjà la fête de sortie du livre, jusqu'aux petits fours vegans que je commanderais aux couleurs de l'histoire. Oui, Perrette à côté de moi est une nageuse amatrice, ce qui est plutôt drôle quand on connait mon intolérance au lactose.
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Alors je me suis mise à écrire comme une malade, à ramer le long des rivages A4 sans fin de mes google docs, pieds et points liés dans le froid polaire de Beaubourg. La température ambiante de la Mecque de la concentration aurait dû me mettre la puce à l'oreille : l'iceberg, enfin ce crevard de petit glaçon minuscule qui devait me faire échouer, n'était sûrement plus très loin. Une fin d'après-midi productif, après avoir changé ma routine et fait une pause pour voir une amie qui passait dans les parages du sanctuaire bibliothécaire, je me suis fait voler mon téléphone et par la même occasion des pages de ce roman-là et ma confiance absolue en ce havre de productivité.
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C'était pile l'excuse dont avait besoin mes neurones pirates pour aller ressortir leurs haches :
- Bon Capitaine, ça fait deux semaines que l'éditrice attend, c'est foutu là, non ? De toutes façons, on n'a plus d'endroit pour écrire et refaire tout ce boulot, c'est pas possible, on y arrivera jamais.
Et moi de remettre une paire de boules quiès pour me concentrer sur le rangement de tous les documents de tous mes disques-durs. 
- Dites, là ça fait un mois, elle vous a relancée et tout, moi je dis, les femmes et les manuscrits d'abord, à la flotte !
Et moi d'enfoncer des livres audios dans mes oreilles et d'aller marcher 207 kilomètres (vrai quota mensuel) après des bestioles virtuelles plus sympathiques que mes propres hallucinations cérébrales.
- Hey ! Là ça fait six mois et deux relances, on a de l'eau jusqu'au cou, il serait peut-être temps de raccrocher le tricorne et la plume, vous croyez pas ?
Je vous disais au début que j'ai un sens inné pour faire mon travail au dernier moment, un peu comme pour prédire les catastrophes diverses et variées, ne soyez pas jaloux, c'est de naissance. C'est donc en décembre que j'ai ressorti mes brouillons pour de bon, bien décidée à terminer ce roman pour le soumettre à (une foule munie de perches, de torches enflammées) l'éditrice.
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Et hasard du calendrier (si vous suivez, vous aurez compris que je ne crois pas au hasard, mais plutôt à des coincidences qui ont un sens de l'humour foireux), c'est pile à ce moment que l'éditrice m'a envoyé un courrier ultra cordial m'expliquant que finalement, mon projet ne correspondait sans doute pas à leur ligne éditoriale.
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J'ai eu honte, tellement honte en lisant cette lettre. Je n'en ai quasiment pas parlé, comme si en gardant cette expérience pour moi, je pouvais l'enterrer aussi profond que l'épave de ma volonté. J'avais peur de décevoir une nouvelle fois mes parents, peur de perdre la confiance de l'illustrateur qui m'avait donné la garde de son bébé de pitch, peur de passer pour une grande mythomane auprès de tous les gens à qui j'avais déjà raconté comment j'étais « en discussion pour un de mes romans » (oui, je m'arrange avec la réalité, c'est un peu la base de mon travail en même temps, mais promis j'oeuvre à être plus authentique cette année.) et surtout j'avais peur en admettant la vérité tout haut, d'écouter pour de bon le corsaire clandestin et rabat-joie qui ne vit dans ma tête que pour me voir me noyer dans un verre d'eau « Je suis une ratée, je ne sais même pas pourquoi j'essaie encore et encore de faire vivre mes livres, mes histoires et mes ambitions littéraires. » Le corsaire lui aussi s'arrange avec la réalité. 
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Alors voici les faits :
j'ai presque terminé un roman que j'aime beaucoup et qui plait à la personne qui en a eu l'idée (c'est déjà pas mal.)
j'ai eu le courage de présenter ce livre durant trois oraux terrifiants qui m'auront appris plein de choses sur l'importance d'une ligne éditoriale, la difficulté de se changer en plein salon du livre (grands fou rires avec mes meilleurs potes qui étaient là pour le soutien moral), la nécessité d'être non seulement prêt dans la tête, mais aussi sur le papier quand on s'engage sur un tel projet, la gentillesse des inconnus qui vous verront en larmes dans le tram parce que tout ça c'était beaucoup trop d'émotions et de déception pour votre petit corps et que vous n'arrivez pas à trouver vos mouchoirs dans les kilos de livres qui vous raccompagnent à la maison...
j'ai redécouvert qu'écrire 7 heures par jour pour moi est non seulement faisable, mais aussi nécessaire pour arriver au bout de mes 15 millions de projets.
Je n'ai présenté au final cette histoire qu'à trois maisons, alors qu'il en existe des tas et étant donné les points positifs soulignés par Alexandrine Duhin (merci encore), il y a fort à penser que ce n'est pas si médiocre que ça.
Je me suis fait de bons contacts éditoriaux, qui sauront se souvenir de moi quand je leur amènerai un roman plus solide.
Au pire des cas, je n'ai pas peur de l'autoédition et je suis certaine que l'histoire rencontrerait son public avec ou sans caution contractuelle.
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Voilà, j’avais besoin d’exorciser l’échec, de faire fondre le glaçon, et j’espère que mon exemple pourra peut-être faire déculpabiliser l’un/e d’entre vous si jamais vous vivez également ce genre de sabotage. Je suis sûre que l’on finira par s’en sortir, hauts les coeurs moussaillons !
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alainlesourd-14 · 6 years ago
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Madame de La Fayette. La Princesse de Clèves (1725)
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LA FAYETTE (Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de) LA PRINCESSE DE CLÈVES. Paris, Par la Compagnie des Libraires, 1725 4 parties en 1 volume in-12 (16,7 x 10 cm) de (6)-207, 1 feuillet blanc, 1 feuillet de titre (tome III), 210 pages. Reliure de l'époque plein veau havane ganité, dos à nerfs orné, tranches mouchetées rouges. Coiffe supérieur restaurée. Fente sans gravité au mors inférieur sur 3 cm (solide). Dos légèrement frotté, dorures légèrement passées. Intérieur très frais. Complet. NOUVELLE ÉDITION. Ouvrage classique s'il en est, l'un des plus connus de la littérature française du XVIIe siècle, publié pour la première fois au printemps 1678. Ce roman historique passe pour souvent pour être un prototype du roman d'analyse psychologique. De 1655 à 1680, elle sera étroitement liée avec La Rochefoucauld (l’auteur des Maximes), dont elle dira : « M. de La Rochefoucauld m’a donné de l’esprit, mais j’ai réformé son cœur. » Leur fidèle et constante amitié fera écrire à Madame de Sévigné, leur amie à tous deux, au moment de la mort du duc de La Rochefoucauld : « ... rien ne pouvait être comparé à la confiance et aux charmes de leur amitié. ». La mort de La Rochefoucauld en 1680 puis du comte de La Fayette en 1683 la conduit à mener une vie sociale moins active dans ses dernières années. Elle s'est clairement retirée de la vie mondaine, afin de se préparer à la mort (25 mai 1693). Elle meurt à peine plus d'un mois après le comte de Bussy-Rabutin, cousin de la marquise de Sévigné. « L'autre jour, je m'amusais - on s'amuse comme on peut - à regarder le programme du concours d'attaché d'administration. Un sadique ou un imbécile avait mis dans le programme d'interroger les concurrents sur La Princesse de Clèves. Je ne sais pas si cela vous est arrivé de demander à la guichetière ce qu'elle pensait de La Princesse de Clèves. Imaginez un peu le spectacle ! » (Nicolas Sarkosy, Ministre de l'Intérieur, Candidat à l'élection présidentielle, 23 février 2006, Lyon, déclaration devant des fonctionnaires de l'Etat). https://librairie-hugonnard-roche.blogspot.com/2017/05/madame-de-la-fayette-la-princesse-de.html
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giallofever2 · 8 years ago
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1981 Il marchese del Grillo Il Marchese del Grillo Also Known As (AKA) Argentina El marqués del Grillo Spain El marqués del Grillo France Le marquis s'amuse Hungary Vaskos tréfa Poland Markiz Grillo Soviet Union (Russian title) Маркиз дель Грилло Europe (festival title) (English title) The Marquis of Grillo West Germany Die tolldreisten Streiche des Marchese del Grillo Directed by Mario Monicelli Music by Nicola Piovani Writing Credits Bernardino Zapponi ... (story) Leonardo Benvenuti ... (story) Piero De Bernardi ... (story) Monicelli Mario ... (story) Tullio Pinelli ... (story) Leonardo Benvenuti ... (screenplay) Piero De Bernardi ... (screenplay) Mario Monicelli ... (screenplay) Tullio Pinelli ... (screenplay) Alberto Sordi ... (screenplay) Release Dates Italy 23 December 1981 West Germany February 1982 (Berlin International Film Festival) France 29 September 1982 Hungary 27 March 1986 Germany 12 February 2011 (Berlin International Film Festival) Cast Alberto Sordi Alberto Sordi ... Onofrio Del Grillo / Gasperino Leopoldo Trieste Leopoldo Trieste ... Padre Sabino Flavio Bucci Flavio Bucci ... Fra' Bastiano Marc Porel Marc Porel ... Blanchard Caroline Berg Caroline Berg ... Olimpia Elena Fiore Elena Fiore ... Anita Paolo Stoppa Paolo Stoppa ... Papa Pio VII Isabelle Linnartz Isabelle Linnartz ... Genuflessa Cochi Ponzoni Cochi Ponzoni ... Rambaldo Giorgio Gobbi Giorgio Gobbi ... Ricciotto Marina Confalone Marina Confalone ... Camilla Del Grillo la sorella Angela Campanella Angela Campanella ... Faustina Andrea Bevilacqua Andrea Bevilacqua ... Polpeo Tommaso Bianco Tommaso Bianco ... Amministratore Riccardo Billi Riccardo Billi ... Aronne Piperno Elena Daskowa Valenzano Elena Daskowa Valenzano ... Marchesa del Grillo Isabella De Bernardi Isabella De Bernardi ... Figlia di Gasperino Elisa Mainardi Elisa Mainardi ... Moglie di Gasperino Camillo Milli Camillo Milli ... Segretario del Papa Gianni Di Pinto Gianni Di Pinto ... Maruccio Ettore Geri Ettore Geri ... High priest who presides over the execution Jacques Herlin Jacques Herlin ... Rabet Salvatore iacono Salvatore Jacono ... Bargello Renzo Rinaldi Renzo Rinaldi Pietro Tordi Pietro Tordi ... Monsignor Terenzio Salvatore Biondo Salvatore Biondo ... Monaco (uncredited) Mimmo Poli Mimmo Poli ... Oste (uncredited) Ivan De Paola Ivan De Paola Nicola di Marzio Nicola Di Marzio ... The boy on the cart Runtime 2 hr 15 min (135 min) (Italy) 1 hr 55 min (115 min) (Spain) 2 hr 15 min (135 min) (Argentina) filming locations Canale Monterano, Rome, Lazio, Italy Lucca, Tuscany, Italy (The palace) Rome, Lazio, Italy
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giallofever2 · 8 years ago
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1981 (France Promo Post Cards & on set shots) Il marchese del Grillo Il Marchese del Grillo Also Known As (AKA) Argentina El marqués del Grillo Spain El marqués del Grillo France Le marquis s'amuse Hungary Vaskos tréfa Poland Markiz Grillo Soviet Union (Russian title) Маркиз дель Грилло Europe (festival title) (English title) The Marquis of Grillo West Germany Die tolldreisten Streiche des Marchese del Grillo Directed by Mario Monicelli Music by Nicola Piovani Writing Credits Bernardino Zapponi ... (story) Leonardo Benvenuti ... (story) Piero De Bernardi ... (story) Monicelli Mario ... (story) Tullio Pinelli ... (story) Leonardo Benvenuti ... (screenplay) Piero De Bernardi ... (screenplay) Mario Monicelli ... (screenplay) Tullio Pinelli ... (screenplay) Alberto Sordi ... (screenplay) Release Dates Italy 23 December 1981 West Germany February 1982 (Berlin International Film Festival) France 29 September 1982 Hungary 27 March 1986 Germany 12 February 2011 (Berlin International Film Festival) Cast Alberto Sordi Alberto Sordi ... Onofrio Del Grillo / Gasperino Leopoldo Trieste Leopoldo Trieste ... Padre Sabino Flavio Bucci Flavio Bucci ... Fra' Bastiano Marc Porel Marc Porel ... Blanchard Caroline Berg Caroline Berg ... Olimpia Elena Fiore Elena Fiore ... Anita Paolo Stoppa Paolo Stoppa ... Papa Pio VII Isabelle Linnartz Isabelle Linnartz ... Genuflessa Cochi Ponzoni Cochi Ponzoni ... Rambaldo Giorgio Gobbi Giorgio Gobbi ... Ricciotto Marina Confalone Marina Confalone ... Camilla Del Grillo la sorella Angela Campanella Angela Campanella ... Faustina Andrea Bevilacqua Andrea Bevilacqua ... Polpeo Tommaso Bianco Tommaso Bianco ... Amministratore Riccardo Billi Riccardo Billi ... Aronne Piperno Elena Daskowa Valenzano Elena Daskowa Valenzano ... Marchesa del Grillo Isabella De Bernardi Isabella De Bernardi ... Figlia di Gasperino Elisa Mainardi Elisa Mainardi ... Moglie di Gasperino Camillo Milli Camillo Milli ... Segretario del Papa Gianni Di Pinto Gianni Di Pinto ... Maruccio Ettore Geri Ettore Geri ... High priest who presides over the execution Jacques Herlin Jacques Herlin ... Rabet Salvatore iacono Salvatore Jacono ... Bargello Renzo Rinaldi Renzo Rinaldi Pietro Tordi Pietro Tordi ... Monsignor Terenzio Salvatore Biondo Salvatore Biondo ... Monaco (uncredited) Mimmo Poli Mimmo Poli ... Oste (uncredited) Ivan De Paola Ivan De Paola Nicola di Marzio Nicola Di Marzio ... The boy on the cart Runtime 2 hr 15 min (135 min) (Italy) 1 hr 55 min (115 min) (Spain) 2 hr 15 min (135 min) (Argentina) filming locations Canale Monterano, Rome, Lazio, Italy Lucca, Tuscany, Italy (The palace) Rome, Lazio, Italy
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