#la BD c'est sérieux
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Petite BD sans prise de tête (et surtout un gag)
Juste un petit gag que je trouvais marrant avec une fin mignonne, et Laeta, Pertinax et Simplex qui sont toujours les meilleurs conservi du monde qui s'entraident !
Je l'ai dessiné après avoir bien discuté de la BD Lore Olympus / Traditions d'Olympus avec Ladyniniane et un peu découvert cet univers et nom d'une aile, ce que ce truc sent mauvais ! Encore, pour l'art (au début), je n'ai pas grand chose à redire, c'est assez original (même si ça se détériore par la suite) mais bon, arriver à rendre tes "gentils" aussi antipathique, tout en faisant du perso de Zeus (soit un des pires connards de la mythologie grecque) un des personnages les plus attachants par accident bien malgré tous les efforts de l'autrice pour le rendre pire que tout (comme tous les autres méchants, ils ont l'air bien plus sympas que les "gentils" [juste la transformation de Menthé en vrai pot de menthe conscient... c'est juste horrible en fait]), c'est un sacré exploit.
L'idée est venue en voyant que pour combattre Cronos, roi des dieux et tyran enfermé depuis des siècles qu'Hadès a laissé s'échappé car il était triste que les fesses en formes de coeur de Perséphone ne soit plus sous ses yeux (vraie remarque de la BD et Hadès sexualise à ce point une fille de 19 ans qu'il vient de rencontrer, c'est aussi gênant que vous l'imaginer mais bon, apparemment, le film "Lolita est une grosse source d'aspiration de l'autrice alors, on ne s'étonne plus...), un des pouvoirs ultime de Perséphone était de... cracher des abeilles... ok on va appeler quelqu'un d'autres pour faire le boulot, n'importe qui sera plus compétent ! Et elle est aussi représenté comme ayant littéralement de vrais papillons qui tournent autour d'elle quand elle est gênée, manque plus que l'arc-en-ciel... c'est juste trop ridicule à ce niveau pour que je prenne cette histoire au sérieux (sauf l'histoire de Zeus, Menthé, Déméter et Thanatos qui ont l'air bien plus intéressantes).
Mais en voyant ça, je me suis demandé "comment réagirais un de tes personnages si des petits papillons volaient autour de lui ?" alors, je l'ai dessiné avec Laeta vu que ça collait un peu à ses pouvoirs (ça aurait aussi pu coller avec Siopelè [ma version de Maurice] qui est une sorcière dont les pouvoirs se basent sur la lumière alors, elle doit attirer les insectes de nuit avec ses fiertés) et les réactions de ses amis à ça, avec une fin qui donne une explication logique à ce phénomène pour qu'il s'arrête assez vite. Ce n'est pas vraiment canon mais, c'était amusant à dessiner !
#écriture de curieuse#dessin de curieuse#j'espère que ça vous plait surtout !#c'était amusant de dessiner ça !#Laeta serait furieuse si elle avait une fierté pareille qui apparaissait elle trouverait ça ridicule et peu utile#Des fleurs poussent déjà de temps en temps dans ses cheveux elle a pas besoin de truc mignons en plus- une sorcière doit faire peur !#Simplex comprendrait surement assez vite qu'elle est excédée par ce phénomène et essayerait de trouver une solution#Il est toujours là pour Laeta et Pertinax alors ce serait le premier à venir la rassurer et tenter de trouver une solution#Pertinax est plus blasé on va dire et ne se laisse pas décontenancé alors il essaye ce qui lui semble être une explication logique#Et même si là c'est un gag je pense que ça a été le premier à sentir que Laeta était enceinte vérifie comme ça et lui annonce#(avec autant de pincettes et de subtilités il va droit au but)#vu qu'il ne manipule pas vraiment le sang il sent surtout son écoulement ou pour soigner ça passe avec sa sorcellerie#et il a repris le rôle de médecin une fois qu'il est rentré chez lui alors il a l'habitude de ce genre de manoeuvre#surtout que je le voie bien avoir une bonne intuition pour ce genre de chose à la manière de quelqu'un que je connais#Et Pertinax et Simplex seraient absolument le genre d'ami... conservi qui aideraient autant qu'ils peuvent Laeta#même en vivant dans d'autres peuples et que c'est pas forcément bien vu étant donné qu'ils sont étrangers#(ce n'est pas des cadeaux de naissance en famille mais des présents diplomatiques attention !)#Ne vous en faites pas vous aurez un jour un univers où vous pourrez assumer que vous êtes les meilleurs amis du monde#et que Pertinax et Simplex sont ensembles jusqu'au bout avec Laeta qui les soutient à fond
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À l'école (ifsi) on fait des "jeux sérieux" sur les antithrombotiques avec nos profs déguisés en persos des bd Asterix j'te dis pas la lutte pour garder sa dignité pendant le pictionnary anticoagulants bref j'en ai marre je veux préparer mon équinoxe ouain
(oui maintenant je fais des posts Mathilde 🧡™ c'est comme ça j'ai la flemme)
(J'ai des mini pommes sauvages je vais faire un mini gâteau magique pour Ceux de la colline d'en face. )
Pendant ce temps, en grande forme...
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La BD francophone du jour est...
Année de sortie : 1979
Série et numéro : n°24 des Aventures d'Astérix le Gaulois
Pourquoi c'est une excellente BD :
Petit Caméo de Dupont et Dupond comme guerriers belges, Annie Cordy en femme de chef et, était-ce Eddie Mercx ? en coureur.
Références à Jacques Brel ("dans ce plat pays qui est le nôtre nous n'avons que des oppidums comme unique montagnes"), à Brueghel, et à Victor Hugo.
en parlant de Victor Hugo, vous rendez-vous seulement compte que cette BD a tout un passage en vers qui copie, en changeant les noms et évènements comme il faut, le poème de Victor Hugo sur Waterloo ?
Référence aux problèmes de langue en Belgique et au fait qu'il y a deux peuples qui cohabitent.
Invention des Moules Frites
Des tonnes de répliques cultes
Le décalage entre César qui est sérieux et les gaulois et belges qui sont là pour faire les clowns.
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Vendredi 19 Avril 2024 ❤ 🙏 Version audio: https://jmp.sh/vze5OT3W
Texte de l’encadré:
« L’amour parfait chasse la peur! » Réf: (1 Jn 4:18)
1 Corinthiens 14:1
« Recherchez l’amour. Aspirez aussi aux dons spirituels, mais surtout à celui de prophétie. »
Combien se refuseront d’approfondir et même de méditer la parole de peur d’être trompés dans leurs propre raisonnement? Il s’agit pourtant des choses de Dieu destinées à notre intention, puisqu’il s’agit en plus de la grâce en Jésus aussi dont il est question car oui: «[…] c'est en lui que tout se tient » (Col 1:17), il connaît notre nature pour avoir vécu avec nous en plus d’avoir antérieurement mis la main à la pâte pour ainsi dire, voir: (Gen 1:26-27). Rassurons-nous que son assistance nous incitera d’avancer dans la connaissance afin qu’en nous y abandonnant nous y trouvions l’assurance et la paix dans l’obéissance, il nous bénira pour amener à nous faire connaître son Onction véritable oui: « C’est Dieu, en effet, qui nous a fermement unis avec vous à Christ et qui nous a consacrés à lui par son onction. » 2 Cor 1:21(BDS). Donc oui (1 JN 4:18) dira aussi que: ‘’l’amour banni la peur’’, donc comprenons sa joie qui s’acquiert par sa parole qui s’enracine en nous oui: « Heureux plutôt ceux qui écoutent la parole de Dieu et qui la gardent!» Luc 11:28. De craindre en nourrissant la peur jusqu��à se détourner de la parole prophétique est un sérieux problème au sein de l’église, plusieurs se serviront des paroles de Jésus en vue de justifier l’inaction, voyez de plus près car tous savons et avec raison qu’à la base Jésus nous met en garde sur les faux prophètes et les loups ravisseurs, voyez (Mat7:15, 24:11,24), et nous n’en voulons pas, normal oui. Jésus rajoutera-t’il qu’il est préférable de se fermer aux autres et de rester dans ‘’l’ignorance’’ pour éviter d’être ravis? Jamais il fit allusion semblable bien que nous soyons exhortés au discernement et à la vigilance. N’oublions jamais que le diable s’infiltre là où règne la peur au sein de la pensée en cherchant à miner la foi. S’il cherche à ravir en gardant l’homme dans l’ignorance il marquera ainsi un point. La distraction et le monde est son allié, les attraits et le péché empêchent la communion véritable avec Dieu, maintenant ainsi de le garder dans l’ignorance. Le diable Satan ne change pas, cependant il évoluera avec le monde. Consultez ces quelques passages:(Marc 4:12,40,Osée 4:6). Maintenant nous comprenons que les chaînes se brisent une fois que nous nous abandonnons complètement à la parole de vie, voilà: « Faisons sauter tous leurs liens et jetons au loin leurs chaînes ! » Ps 2:3, voyez les deux versets qui précèdent, dans le contexte tout s’emboîte vraiment, oh oui que Dieu est grand et si puissant, Alléluia!
1 Thessaloniciens 5:20-21
« Examinez toute choses; retenez ce qui est bon, ne méprisez pas les prophéties »
1 Jean 4:18
« Il n’y a pas de peur dans l'amour; au contraire, l'amour parfait chasse la peur, car la peur implique une punition. Celui qui éprouve de la peur n'est pas parfait dans l'amour. »
Pour Jésus Christ Seul médiateur avec Dieu par le sang de son alliance
Texte illustration Denis LaPierre
@super
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Aujourd'hui, je préfère ne pas avoir ce que je veux sur terre, mais que je fasse véritablement plaisir à Dieu, selon ma conscience.
Que d'avoir tout ce que je désire humainement parlant, alors que je sais au fond de moi, que le Seigneur n'est pas du tout satisfait de la vie que je mène.
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Ne pas vivre en permanence pour préparer sa rencontre avec son Créateur est de la pure folie.
Connais-tu l'expression "Prépare-toi à la rencontre de ton Dieu" ?
En effet, vis-tu pour ne faire que ce que ta conscience te dit ?
Autrement dit, vis-tu pour ne faire que ce que tu es profondément personnellement convaincu au-dedans de toi, à chaque instant de ta vie ?
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Commences-tu enfin à comprendre, que ton seul véritable problème, ne seras pas sur terre ?
Mais que ton seul problème sera avec ton Créateur le jour où tu Le verras face à face ?
Commences-tu enfin à comprendre, que nos opinions humaines n'ont aucune valeur devant l'Éternel Dieu Tout-Puissant.
Et que la sagesse consiste à vivre en permanence rien que pour Dieu seul ?
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EN RÉALITÉ, TU NE DOIS DÉSIRER QU'UNE SEULE CHOSE DURANT TA VIE TERRESTRE.
À CHACUN DE NOUS, DE TROUVER LA RAISON POUR LAQUELLE IL OU ELLE VEUT VIVRE.
ET A CHACUN DE NOUS AUSSI, DE TROUVER LA RAISON POUR LAQUELLE IL OU ELLE EST PR��T(E) À TOUT SACRIFIER DURANT CETTE VIE TERRESTRE, COMME LE SEIGNEUR JÉSUS L'A FAIT BIEN AVANT NOUS.
LE SAVAIS-TU, CHER AMI(E) ?
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AS-TU QU'UNE SEULE DEMANDE OU AS-TU QU'UNE SEULE PRIÈRE OU AS-TU QU'UNE SEULE REQUETTE À FAIRE EN PERMANENCE AU SEIGNEUR DIEU TOUT-PUISSANT DURANT TOUTE TA VIE, CHER AMI(E) ?
QUEL EST LE SEUL SUJET QUI TE TIENS VÉRITABLEMENT À CŒUR, À CHAQUE INSTANT ?
SI TU NE L'AS PAS TROUVER, DEMANDE-TOI, SI TU ES VRAIMENT SINCÈRE ET SÉRIEUX DANS TA VIE PERSONNELLE.
DEMANDE-TOI AUSSI, SI TU VIS POUR ÊTRE SIMPLEMENT HEUREUX SUR TERRE, SANS JAMAIS PENSER AUX RÉPERCUSSIONS ÉTERNELLES DE TES ACTES DE CHAQUE INSTANT.
Aide-nous à nous rappeler que nos jours sont comptés, et aide-nous à interpréter nos vies correctement. Mets ta sagesse profondément dans nos cœurs afin que nous puissions accepter ta correction. - Psaumes 90:12 TPT
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Le Roi David, lui, par contre, avait trouver sa raison de vivre.
Voici ce que je désire ardemment de la part de Yahvé, ce que je recherche par-dessus tout : je veux vivre avec lui à chaque instant dans sa maison, contemplant la merveilleuse beauté de Yahvé, rempli d'admiration, me délectant de sa gloire et de sa grâce. Je veux contempler dans son temple. - Psaumes 27:4 TPT
J'ai demandé à l'Éternel une chose, et je la chercherai : J'habiterai dans la maison de l'Éternel tous les jours de ma vie, Je contemplerai la beauté de l'Éternel, Et je méditerai dans son temple. - Psaumes 27:4 AMP
J’ai présenté à l’Éternel un seul souhait, mais qui me tient vraiment à cœur : je voudrais habiter dans la maison de l’Éternel tous les jours de ma vie afin d’admirer l’Éternel dans sa beauté, et de chercher à le connaître dans sa demeure. - Psaumes 27:4 BDS
Je ne demande qu'une chose au Seigneur, mais je la désire vraiment : c'est de rester toute ma vie chez lui, pour jouir de son amitié et guetter sa réponse dans son temple. - Psaumes 26:4 BFC
Je demande à l’Éternel une chose, que je désire ardemment : Je voudrais habiter toute ma vie dans la maison de l’Éternel, Pour contempler la magnificence de l’Éternel Et pour admirer son temple. - Psaumes 27:4 LSG
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Pourquoi donc craindrais-je l'avenir ? Seules la bonté et la tendresse me poursuivent tous les jours de ma vie. Et après, au terme de ma vie, je retournerai en ta glorieuse présence pour être à jamais avec toi ! - Psaumes 23:6 TPT
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J'en ai pas reparlé de suite désolée j'étais en train de dormir pendant 2 jours mais du coup on m'a offert la BD de Rose.thr qui est une influenceuse beauté/lifestyle j'imagine? Je sais pas je suis trop vieille mais du coup j'ai besoin de faire ma vieille deux minutes (plutôt 40 probablement le temps de taper tout ça)
On suit donc Rose au lycée qui doit participer à une compétition de majorettes mais l'une des membres de l'équipe se casse une jambe pendant l'entraînement et donc Rose fait appel à ses copines pour trouver une remplaçante, sauf que la remplaçante est une méchante aux cheveux roses qui en veut à Rose d'avoir été meilleure qu'elle en 6e ou quelque chose et donc fait exprès de se faire engager pour saboter leur numéro.
C'est surtout une série de gags qui n'ont rien à voir avec la choucroute et qui ont l'air d'avoir été écrits par une équipe d'enfants de 14 ans ?? Genre les 3 premieres planches vest juste une blague sur le fait que son petit frère veut manger son pot de glace à la vanille. Ce que je suppose est une sorte de private joke avec sa commu mais qui pour moi occupe juste le début du récit pour rien puisque en fait l'histoire commence page 4.
En ensuite y a aucune tension parce que même pendant les moments un peu sérieux genre quand elles doivent emmener leur coéquipière blessée voir un médecin le gars fait des blagues nulles pendant qu'il leur explique qu'elle pourra pas participer. Il s'appelle docteur Boloss. Y a encore 2 pages au milieu pendant lesquelles la meuf doit aller acheter des lunettes pour son chat je vous laisse avec.
Encore une fois. J'imagine que si on a la réf on peut au moins se dire "haha j'ai la ref" mais pour moi qui ait zéro contexte c'est juste. Trop bizarre.
Aussi l'ennemie aux cheveux roses est le seul personnage vaguement réfléchi. Comme les autres filles sont je suppose, dessinées à partir de vrais gens, celles de l'équipe de majorettes sont au moins différentes les unes des autres mais les copines de Rose c'est vraiment juste des brunes aux cheveux longs
Pas aidée par le fait quaucune d'entre elles n'a de prénom en dehors de la préface, et ces filles là ont quelques lignes de dialogue mais pas plus que les personnes secondaire loufoques. Les autres majorettes parlent pas du tout elles sont juste là pour illustrer que Rose est majorette en fait. Bref le conflit est aussi pas vraiment résolu elles finissent par gagner quand même la compétition parce que le petit frère connaît la choré parce qu'il l'aide à répéter, et ensuite il peut manger la glace à la vanille. Mon résumé donne vraiment l'impression d'un ensemble plus cohérent et mieux écrit que ce que c'est, j'ai vraiment eu l'impression de lire un truc que j'aurais écrit à 12 ans quand je savais pas encore écrire et que j'avais le sens de l'humour d'une gamine de 12 ans, c'est publié par Jungle genre???? C'est ptet pas les éditeurs les plus regardants ou les moins cyniques mais ils font des bons trucs d'habitude, qu'est-ce qu'il se passe.
Bref je vous laisse sur la seule page réellement drôle
Envie de m'excuser auprès des BDs que je veux renvoyer parce que je suis en train de lire un truc si nul que ça fait tout relativiser
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Jeudi 6 janvier 2022
Le nouveau psy
Aujourd'hui était un jour un peu spécial, celui de mon premier rendez-vous avec mon nouveau psy.
Par chance, son cabinet se trouve en centre ville, pas loin de la place de Jaude, alors je n'aurai pas à m'embêter à chaque fois à traverser la ville et prendre un bus et puis un tram...
Je suis arrivé pile à l'heure, mais je n'ai pas tout de suite trouvé l'immeuble en question. Après avoir tourné 5 minutes j'ai enfin localisée l'entrée.
C'est un grand bâtiment assez intimidant. Enfin, moi, je le trouve intimidant. Le genre d'endroit où on va lorsqu'on a des rendez-vous sérieux, et donc, souvent, contraignants.
J'ai pris l'ascenseur et je suis entré, il y avait une secrétaire à l'accueil, ah, tiens, c'est nouveau ça, mon ancien psy n'avait pas le luxe d'avoir sa petite secrétaire à lui.
Elle m'a envoyé dans la salle d'attente et à ce moment là j'ai un peu commencé à angoisser, mais très légèrement, pas de quoi m'enfuir ou m'écrouler.
Enfin, le psy est arrivé et m'a invité à entrer dans son bureau.
Tout de suite, j'ai observé le décor. Sur les murs, des peintures, dont une toile originale (je veux dire par là qu'il ne s'agissait pas d'une reproduction imprimée sur papier mais une vraie toile) qui m'a bien plu, on aurait dit du Matisse.
Les psy semblent friands de peinture, mon ancien psy avait lui aussi plusieurs reproductions de toiles dans son cabinet (dont une de Frida Kahlo qui m'a toujours plu, je la trouvais rassurante, oui, Frida c'est un peu la famille pour moi).
La suite n'est pas particulièrement intéressante à raconter, en gros il m'a posé quelques questions sur ma situation, je lui ai donné la lettre que mon ancien psy lui avait écrite pour lui parler de mon cas et nous avons décidé de conserver le même traitement et de nous voir tous les 2 mois environ (avec la possibilité pour moi de l'appeler avant si je ne vais pas bien).
Je suis sorti le cœur léger et mes angoisses évanouies, et puis je me suis rendu à la boutique de bds et j'ai acheté le volume 1 de Dragon Ball dont j'ai décidé de (re)faire la collection.
Hier j'ai beaucoup pensé à ma passion pour les livres. Je me suis demandé ce qui me plaisait tant en eux. C'est à un point que, sans mentir, la vision d'une étagère remplie de livres me fait un effet quasi érotique. J'ai envie d'y plonger les yeux. Et le nez.
Un livre est un objet plein de promesses. Tant qu'on ne l'a pas encore ouvert, on peut y projeter tous nos fantasmes. Un livre c'est tout un univers, et parfois ça te change une vie ! Ma quête du bon livre est sans fin, et c'est tant mieux.
Sinon, j'ai (encore) aussi songé à mon célibat (ça me travaille pas mal, depuis deux ans et demi).
Je me suis demandé comment est-ce que je pourrai sortir de cette situation.
Et j'étais à deux doigts de payer 20 balles pour avoir un mois de « Tinder plus », ce qui me permettrait de liker plus de profils dans divers villes de France et même du monde entier (tant qu'à faire).
Seulement, 20€ c'est une somme, pour quelqu'un comme moi qui ne roule pas sur l'or !
Ne serait ce pas un peu de l'argent foutu en l'air que de le donner dans cette appli qui ne me garantie pas l'amour ? J'ai finalement abandonner l'idée.
Pour le moment.
Ce que je recherche, c'est cette sensation si particulière que j'éprouve lorsqu'une fille s'intéresse à moi.
Je vis pour ça ! Je recherche ça !
Et comme le dit si bien Kool Shen : « mon équilibre dépend d'ça » !
Ainsi, je draguouille vaguement quelques filles qui me plaisent bien.
Mais il n'est pas simple de savoir si elles sont réceptives, puisque tout se déroule par écrans interposés.
Est-ce que tout ça ira quelque part ?
Je voudrais rencontrer celle qui me fera quitter ces maudites applis de rencontres ! Hé, si tu es là, manifeste toi, je t'en pris !
En attendant, je vous quitte en écoutant Here Comes The Sun, à la prochaine !
Bande son : Abbey Road, The Beatles
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Lorsque je fais des interventions à la fac pour parler d'éthique et d'éthique médicale aux étudiants j'ai toujours envie de passer par pleins d'exemples, de situations, d'exercices de pensées. Ma seule déception c'est que je peux par tirer mes exemples des bd Batman parce que ça ferait pas sérieux.
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Où vous parlez jeu de rôles
Le jeu de rôles sur table vous manque. A un point que vous n'auriez pas cru possible. Peut-être parce que votre point d'équilibre bancal de ces derniers mois s'est transformé en point de rupture, vous replongeant droit dans une dépression comme vous n'en aviez plus connue depuis votre première rupture. Non, c'est pire encore. Vous avez l'impression d'avoir le cœur brisé en permanence. Pour votre mère sans doute, l'élément catalyseur, où une énième phase complexe dans la gestion de sa schizophrénie la reconduite droit à l’hôpital psychiatrique alors qu'elle avait enfin eu une chambre sympa dans une bonne institution. Comme si vous faisiez soudainement le deuil de la personne qu'elle avait été, avec qui vous connectiez sur tous ces points qui vous rapprochaient tant : la lecture de sf et de fantasy, les bds, les séries que vous regardiez ensemble, les films Marvel qu'elle aimait tant et que vous alliez toujours revoir avec elle, et toutes vos discussions sur tous les sujets du monde, avec en face une femme réduite par la vie, mais qui n'avait jamais d'ouvrir son esprit et de s'intéresser à tout, avec le plus beau respect et la plus grande bienveillance du monde. Cette personne qui n'existe plus, à la mémoire fuyante et aux centres d'intérêts tordus, détruits. Cette personne avec qui vous ne savez plus comment connecter. Et votre dépression, votre myriade de troubles psychiques qui vous rendent la vie difficile depuis la préadolescence, sans parler de la fatigue chronique, qui se reprennent plus que jamais au jeu.
Mais vous vouliez surtout parler du jeu de rôles, et de son manque qui prend une place de plus en grande en ce moment, au point de contribuer méchamment à votre dépression. Le jeu de rôles sur tables, il fait partie de votre vie depuis au moins vingts ans. Vous vous rappelez, jeune ado, du jour où votre mère vous avait emmené dans la seule boutique de jeu de rôles de Lausanne de l'époque, et où vous étiez ressortir avec le coffret du débutant pour Donjons et Dragons. Vous avez dessiné votre première carte, créer vos premiers personnages, écrit votre premier scénario, donné votre première partie en tant que MJ (maître du jeu).
MJ que vous avez toujours été par défaut, certains de vos amis si essayant parfois brièvement quand un système ou un monde les intéressaient. Mais vous avez tenus bon ! Parce que cela permettait d'en faire, du jdr, ça permettait de faire vivre des histoires, de faire jouer des joueurs qui y prenaient du plaisir et qui n'auraient pas forcément souvent joué sinon. Vous avez fait de In Nomine Satanis / Magna Veritas votre jeu de prédilection : vous adorez son univers, plus sérieux et épique que l'on ne croit, et vous avez adoré ces campagnes avec différents groupes. Les fous rires bien sûr, mais aussi des arcs narratifs aussi inattendu que bienvenus, et des histoires magiques nées des improvisations aussi bien des joueurs que de votre part. Souvent, vous aimeriez bien remasteriser ce jeu, qui a été une part si importante de votre, l'univers et le système que vous connaissez mieux. Avec de nouveaux joueurs.euses, pour faire découvrir, revivre cet univers.
Vous, vous n'en avait jamais fait une seule partie en tant que joueur.
Vous vous rappelez des conventions, notamment les conventions Orc'Idées, chaque année au début du printemps, à l'université de Lausanne. Ces moments où vous avez découvert que dans le cadre du jeu de rôles, en tant que joueur, vous pouviez vous inscrire à n'importe quelle partie et jouer entouré d'inconnus...sans que cela ne soit un problème. Vous, qui êtes maladivement timide et souffrant d'une anxiété souvent paralysante, dès que vous vous glissiez dans la peau d'un joueur de jeu de rôles et de son personnage, ça disparaissait. Et purée, si ce n'est pas l'un des sentiments les plus puissants, agréables, plein de soulagement que vous ayez jamais connu. Enfin quelque instant de libération, de pure joie, de connexion immédiates avec des gens, que ce soient vos proches ou des inconnus.
Pendant près de deux ans, vous aviez trouvé un groupe dans votre région, prenant la place d'un ami qui avait dû arrêter à cause de son nouveau boulot. Vous avez donc pu jouer pendant cette période, en joueur, et vous en gardez de bons souvenirs, même si ce n'étaient pas forcément les univers qui vous intéressaient le plus. Et puis vos chemins se sont séparés.
Vous avez remasterisé ici et là, du INS principalement. Et quand la cinquième édition de Donjons et Dragons est sortie, le coup de cœur ! Une simplification des règles tout en permettant plus de possibilités de personnages et de role play que jamais, dans des univers fantastiques ! Vous avez essayé d'en donné un peu ici et là, avant de réaliser que vous étiez un peu à plat. Ces dernières années, l'énergie a baissé de plus en plus, rendant l'écriture de quoi que ce soit toujours difficile (ne serait-ce qu'un post de forum rp pouvant vous vider de votre énergie pour la journée alors même qu'ils vous faut moins d'une heure pour en pondre un). Et l'idée de masteriser devenait de plus en plus épuisante, frustrante parce que vous vouliez jouer, frustrante parce que vous vous en vouliez d'empêcher des gens de jouer en ne portant pas la casquette du MJ.
Puis, ici et là à nouveau, par chance, vous avez trouvé trois tables Donjons et Dragons où vous avez pu joué. Aucune d'elle n'a duré plus de quatre sessions, les Mjs abandonnant ou disparaissant. Vous n'avez jamais joué comme vous le voudriez tellement : une table avec des séances régulières, avec la possibilité de faire évoluer un perso et ses interactions avec les autres sur la durée. Vous en rêvez la nuit. Le manque en est épuisant, presque physique. Vous êtes bombardés de contenu rôliste de toute part, qu'il s'agisse des bouquins sur lesquels vous craquez, des émissions sur le sujet, ou de toutes ces parties qui se mettent en place loin de vous (l'association suisse de Donjons et Dragons se concentrant beaucoup sur la Suisse-allemande). Vous avez tellement de personnages dans la tête qui ne peuvent pas sortir. Quand la dépression ne vous cloue pas au lit, à écouter de la musique pour essayer de ressentir quelque chose (et même la musique ne vous fait parfois rien ressentir du tout, ce qui ne vous étais encore jamais arrivé), ou à essayer de dormir pour passer le temps, vous pensez jeu de rôles. Vous rêves de vous y trouver une place, de jouer, de vivre ces instants de grâces où, le temps d'une partie, chaque semaine (ou toutes les deux semaines, bref, régulièrement), vous pouvez juste jouer un rôle dans un système qui vous éclate, réussissant à connecter avec des gens avec qui vous n'auriez osé causé en temps normal.
En tant que MJ, quand vous aviez encore la foi et la force, cela permettait de tenir le coup. Rien que de voir les réactions de joueurs heureux, qui s'éclatent à leur table, qui font vivre leurs persos, qui improvisent des situations que vous n'aviez jamais vues venir (dieu que INS vous manque...)...c'était que du bonheur. Et vous espérez retrouver un peu de ça, un peu d'énergie au moins pour masteriser, pour des potes ou simplement des gens qui n'ont pas l'occasion de jouer autrement. Parce que vous vous sentez coupable de les laisser tomber.
Mais plus que tout, vous avez envie, vous avez besoin de jouer. D'être pendant quelques heures, de temps en temps, ce personnage qui vous permettra de vivre quelque chose, et de partager ce quelque chose merveilleux qu'est une campagne de jeu de rôles avec d'autres personnes. De vous sentir enfin capable à nouveau de créer des liens, même l'espace d'une partie chaque semaine. D'être, enfin, bien. De remonter la pente.
Mais là, cette bouée de sauvetage vous l'avez perdue, et vous ne savez plus comment la rattraper.
Version blog ici: http://plumederenard.hautetfort.com/archive/2021/07/17/ou-vous-parlez-jeu-de-roles-6327491.html
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Jeu de questions sur l'auteur
Merci à @ladyniniane de m'avoir taggué ! C'est toujours intéressant de faire ce genre d'exercice, même si c'était parfois un peu difficile de tout répondre.
Sur moi :
Quand as-tu commencé à écrire ?
Je crois que j'en avais déjà parlé mais, avant d'écrire, j'ai surtout beaucoup dessiné depuis la fin de la primaire. Je dessinais des personnages que j'imaginais, qu'on imaginait avec des copines ou en m'inspirant des histoires que j'aimais bien. Ce qui m'a le plus poussé à dessiner plus intensivement, c'est quand une copine voulait faire une BD où elle voulait juste faire les personnages et l'histoire alors, elle voulait que je fasse les décors (ce qui est ironique vu que c'est ce que j'aime le moins dessiner maintenant, je crois que ça se voie dans mes BD...), même si ça ne s'est jamais fait au final. Pour ma vraie première histoire écrite en texte, ça date de mes grandes vacances de seconde. Je voulais me débarrasser d'une idée que je n'arrivais pas à m'ôter de la tête alors, je l'ai mis sur papier et depuis, je suis accro et je ne me suis jamais arrêté, là où j'avais des petites pauses plus ou moins longues pour le dessin, mais les deux sont vont assez ensemble à présent.
Y a-t-il des genres/thèmes que vous aimez lire et qui sont différents de ceux que vous écrivez ?
Alors, je ne lis pas beaucoup de romans, je suis bien plus BD et manga (enfin, surtout manga vu que ça coute moins cher que la BD franco-belge et je préfère leur état d'esprit). Sinon, je lis plutôt des manuels historiques ou des histoires un peu anciennes que j'ai envie de découvrir.
Pour ce qui est des types d'histoire, c'est surtout des histoires fantastiques ou qui sont détachés du monde réel. Pour ce qui est des histoires historiques, je suis assez... difficile on va dire pour ce type d'histoire : soit il faut que ça soit hyper proche de la réalité et que ça ne fasse pas trop d'écart avec la réalité (ou alors assumer quand on fait des écarts car on est pas à l'aise avec certains sujets) sinon, ça me sort de l'histoire ou alors, il faut assumer à fond que l'auteur prend la réalité pour en faire ce qu'il veut et raconter l'histoire qu'il veut. Ce que je n'aime pas trop, c'est quand c'est superficiel, ça me donne l'impression que l'auteur dit "Je fais de l'historique car je suis ultra sérieux ! Mais par contre, ça, c'est chiant à raconter alors, je vais tout refaire à ma sauce pour juste avoir une histoire qui pourrait se passer au XXIe siècle mais, avec un vernis ancien".
C'est une des raisons que j'aime bien écrire de la fantasy et que je ne fais jamais d'univers sans magie, même si je m'inspire souvent des époques anciennes : ça permet de faire ce que je veux en justifiant les différences avec la réalité car, ce n'est pas la réalité, et ça me donne plus de liberté.
Y a-t-il un auteur que vous aimeriez imiter ou auquel on vous compare souvent ?
Etant donné que je ne lis pas trop de romans, mes références sont plutôt des dessinateurs et auteurs.
Pour ce qui est de la création des personnages et d'histoires, j'aimerai arriver à faire des personnages aussi diversifiés et équilibrés que Yusei Matsui, l'auteur d'Assassination Classroom et The Elusive Samurai. Il arrive toujours à trouver le bon équilibre entre le sérieux et l'humour dans ses personnages, avec des personnages comiques qui vivent des histoires tragiques et difficiles, et ses méchants... aux noms des dieux, ses méchants peuvent être tellement terrifiants et impressionnants ! J'aimerais bien arriver à arriver à être aussi bonne pour mélanger ses deux extrêmes comme il le fait !
Sinon, ceux que j'admire le plus dans le dessin sont Kaoru Mori (autrice de Bride Stories) qui a un dessin magnifique et avec des détails impressionnants tout en conservant une rigueur historique absolu, le tout en racontant une excellente histoire, et Makoto Yukimura (auteur de Vinland Saga) qui sait vraiment faire des images symboliques retranscrivant tous les enjeux et les tensions entre les personnages de son histoire.
Pouvez-vous me parler un peu de votre espace d'écriture ?
J'écris toujours sur mon ordi à mon bureau, simple et efficace. C'est assez rare que j'écrive ailleurs ou sur papier à part dans les transports ou quand je m'ennuie.
Pour le dessin, je peux dessiner vraiment n'importe où, je trimballe mon bloc partout avec moi et dès que je me pose, je dessine un peu.
Quelle est votre manière la plus efficace de trouver de l'inspiration ?
Souvent, je dirais que ce qui m'inspire le plus, c'est ce que je lis ou alors, quand j'apprends des choses en histoire. Je trouve un cadre intéressant et je tente de trouver une histoire qui corresponds à l'ambiance. J'essaye aussi de dessiner les personnages ou les images qui me viennent quand je tente de m'imaginer l'histoire. Les dessins arrivent souvent avant l'écrit, histoire d'au moins visualiser les choses.
Par exemple, il y a ces quelques gribouillis qui sont représentent un test d'apparence pour Rosine von Lamine pour une histoire avortée, et la première image d'ambiance de mon idée de roman en train de bouillir qui m'est venu.
Les endroits où vous avez grandi ont-ils influencé les personnages et les lieux sur lesquels vous écrivez ?
Peut-être pour la gestion de la foule et du peuple. Je suis de Saint-Etienne alors, c'est une ville avec une grosse histoire ouvrière et de lutte pour les droits et où le collectif a pu obtenir beaucoup, que ce soit seulement pour travailler ou pour conquérir des droits (on a quand même une préfecture en béton armée avec des trous pour faire passer des fusils car, on a tué un préfet tellement on a pas aimé quand le précédent préfet s'est fait dégagé de force et qu'il y avait tellement d'ouvriers que les bourgeois avaient la trouille d'eux). ça a dû m'influencer pour représenter les foules et le peuple en général comme une force en soi, une menace en soi pour le pouvoir lorsqu'il fait n'importe quoi, un groupe qui a son importance et peut influencer le pouvoir grâce à la pression qu'il exerce sur le pouvoir grâce à son nombre jusqu'à le faire tomber quand ça va trop loin.
Y a-t-il des thèmes récurrents dans votre écriture, et si oui, vous surprennent-ils ?
Pour les thèmes qui reviennent souvent, c'est la famille et son importance pour tenir, la force qu'on peut avoir ensemble, la résilience face aux épreuves pour rester une bonne personne malgré toutes les crasses et les personnes / situations qui tentent de te faire comprendre "le monde est pourri, tout le monde est pourri alors, c'est pas grave d'être pourri, on s'adapte", lutter ensemble pour renverser les personnes malveillantes, une institution censé être positive récupéré par de mauvaises personnes pour justifier de mauvaises actions mais qui finit par retrouver son sens originale grâce à un groupe, et la révolution qui arrive toujours pour chasser un mauvais souverain pour établir une démocratie ou au moins un début avec l'espoir qu'on y arrive (oui, c'est précis mais, ça arrive toujours dans mes histoires, je crois qu'il n'y en a pas une un peu longue où ça n'arrive pas).
Alors... je suis pas du tout étonnée d'avoir ce genre de thème récurrente, ça ressemble bien à ma façon de penser, même dans la vie de tous les jours.
Mes personnages :
Pourriez-vous s’il vous plaît me parler de votre personnage préféré actuel ?
Question épineuse vu que souvent, j'aime autant tous mes personnages à peu près de la même manière, même si je préfère des facettes différentes des personnages ou leur dynamique de groupe...
Mon personnage préférée doit être Aura (voir le dessin en bandeau, c'est elle), une petite extraterrestre haute de trente centimètres capable de voler et d'utiliser le feu, travaillant sur Terre pour rapporter ce qui se passe chez nous mais, c'est de la triche. C'est mon premier personnage, un que j'ai toujours gardé avec moi et qui a évolué pendant que je grandissais, et parti comme c'est parti, elle va surement rester avec moi jusqu'à ma mort (et je l'espère un peu aussi). Chaque étape d'elle correspond à ma propre évolution alors, elle est vraiment particulière pour moi.
Si je devais dire le groupe que je préfère hors Aura, je dirais que c'est la famille qui sera au centre de l'histoire que je suis en train d'essayer de mettre en place et qui est très inspiré de ma vision des Fraldarius mais, sans devoir me trimbaler avec le canon comme un encombrant boulet où on suivrait les parents (avec un petit peu la grand-mère, même si elle va surement mourir assez vite), les enfants et un peu les petits-enfants à travers leurs vies. C'est une famille très unie, très aimante, se serrant toujours les coudes alors qu'ils ne sont pas dans la meilleure des situations (c'est la toute petite noblesse qui ressemble plus à des roturiers) et les épreuves. J'aime autant leur caractère individuel où chacun à sa manière de réagir mais, malgré toutes les différences de caractère entre eux, ils s'aiment et se soutiennent toujours pour former un groupe uni qui arrive à avancer jusqu'au bout.
Avec lequel de vos personnages pensez-vous que vous seriez ami dans la vraie vie ?
Surement Félicia vu qu'elle est très positive malgré les difficultés, même si je m'inquièterais pour elle à chaque instant. J'aimerai aussi beaucoup entendre Ivy raconter ses histoires et sa force de caractère, et j'aimerai bien rencontrer Héléna étant donné qu'elle est calme tout en étant sociable et sachant discuter sans problème.
Lequel de vos personnages détesteriez-vous le plus si vous le rencontriez ?
Surement mes méchants, j'écris souvent mes méchants comme des personnes que je ne pourrais pas supporter ou que je rejetterai de toutes mes forces, sauf exception évidemment. Je détesterai Lambert s'il existait vraiment, surtout s'il était en position de pouvoir !
Parlez-moi davantage du processus de création de vos personnages.
Alors là... honnêtement, je crois que c'est un peu au petit bonheur la chance : soit j'ai le cadre que je veux utiliser et les personnages viennent après pour s'adapter à ce cadre au mieux, soit j'ai l'histoire en premier qui arrive et les personnages vont avec. Je garde mes idées d'histoire dans ma tête pendant un moment pour voir si l'idée reste sur le long terme tout en la structurant dans les grandes lignes avec l'évolution des personnages, avant de commencer à dessiner des esquisses de l'histoire et une fois que j'ai la forme à peu près établi, je commence à écrire l'histoire.
Etant donné que je ne prend jamais de note, la caractérisation des personnages peut pas mal changer au cours de l'histoire et de l'écriture alors, dans ses cas-là, si ce n'est pas encore posté nulle part, je peux revenir en arrière et tout modifier d'un coup pour adapter l'histoire à une nouvelle idée ou à un changement d'avis soudain. Par exemple, je peux changer le nom d'un personnage d'un coup car, j'ai rencontré une personne qui porte le même nom. Je ne m'inspire pratiquement jamais de mes proches pour mes personnages, je veux pas projeter quelque chose sur eux ou les mettre dans des situations de vie ou de mort alors, je ne donne jamais leur prénom à un de mes personnages (sauf un seul qui revient tout le temps pour des personnages de mentor / modèle / adulte responsable mais, il est toujours modifié) et je peux faire un grand ménage dans mes canons pour cette raison, ce qui a failli arriver pour un de mes personnages vu que les deux prénoms sont très proche.
Donc, pas très structuré mais, ça passe alors, je continue comme ça.
Remarquez-vous des thèmes/traits récurrents parmi vos personnages ?
La famille est toujours très importante pour mes personnages, et mes protagonistes font souvent partie de la même famille. Quand j'avais commencé, c'était même toujours des triplés qui suivait le même modèle (l'ainé aux cheveux longs calme et sage, le cadet aux cheveux courts plus tête brûlé et impulsif, et la benjamine qui a une personnalité qui varie plus que celle de ses frères d'une histoire à l'autre). Ils se serrent également toujours les coudes et s'il y a des problèmes dans la famille, ils finissent par se réconcilier et se retrouver.
Je crois que je fais à peu près autant de personnages masculins que féminins mais, les traits de personnalités ne sont pas genrés. Beaucoup de mes héros ont des traits de personnalités et des capacités traditionnellement attribués aux femmes, les femmes ont des caractéristiques qu'on attribue traditionnellement aux hommes sans distinction (vu qu'il n'y a pas en avoir), et si elles vivent dans une société sexiste, elles explosent les règles misogynes en aidant les autres femmes à faire de même.
Ils ont également souvent un métier artisanal ou manuel ou ils prennent soin des autres, et ils mettent souvent leur travail au service de la communauté.
Comment imaginez-vous vos personnages ?
Ils apparaissent souvent à peu près comme ils sont dans l'histoire quand je commence à écrire mais, ils deviennent plus clair quand je les dessine. ça me permet de mettre mes idées au clair et préciser leur manière dont je les visualise (notamment quand je dessine les yeux).
Mon écriture :
Quelle est la raison pour laquelle vous écrivez ?
Parce que j'aime ça ^^ Question suivante ?
Blague à part, j'aime beaucoup écrire et dessiner car ça me permet de m'exprimer, de sortir mes histoires de la tête sans les perdre ou les oublier, et tout simplement parce que j'aime ça.
J'avais une grosse panne d'écriture depuis deux semaines à cause de la fin de mon contrat, de la fatigue accumulée au travail et du "mal des vacances" on va dire et honnêtement, je ne me sentais pas bien d'arriver à aussi peu écrire. J'arrivais encore à dessiner ma BD, surtout pour faire l'enrobage des croquis mais, je trouvais que mes mots sonnaient faux ou mal et ce que j'écrivais du texte pur (le billet sur Pyrkaïa et l'histoire sur la Pierre de Résurrection, oui je ne l'ai pas oublié mais je me suis lancé dans dix trucs en même temps), tout sonnait très mal et j'avais l'impression d'avoir tout perdu, ce qui était extraordinairement frustrant. Maintenant, ça va mieux mais, je ne suis juste pas bien si je n'arrive plus à écrire alors que j'ai du temps pour le faire et l'envie mais, juste pas l'énergie.
C'est peut-être que je suis complètement droguée à l'écriture mais pour le coup, je vais pas me blâmer pour ça. J'aime juste trop écrire pour lâcher ça et ça ne fait de mal à personne.
Y a-t-il un commentaire ou un type de commentaire spécifique que vous trouvez particulièrement motivant venant de vos lecteurs ?
Pas facile... je dirais ceux où la personne dit simplement que l'histoire lui a fait du bien et / ou sourire. J'écris aussi pour avoir les histoires que j'aime et qui font du bien, et on a déjà la réalité pour être complètement déprimée alors, ça fait un bon échappatoire et si on est deux à pouvoir oublier deux secondes la réalité pour pouvoir rêver un peu, ça me suffit amplement.
Pour le dessin, j'ajouterai aussi les gens qui me disent que je dessine bien. Honnêtement, je me trouve assez moyenne comme dessinatrice et j'ai appris à dessiner sur le tas (je n'ai jamais pris de cours, de peur de tomber sur un idiot qui tente de me faire perdre mon style manga) alors, ça me fait toujours plaisir quand quelqu'un me dit qu'il aime ma manière de dessiner.
Comment voulez-vous être perçu par ceux qui lisent votre travail ?
Comme une histoire agréable à lire, avec des personnages attachants et qui fait du bien. Et mention spécial si les gens se souviennent de mon histoire sur le long terme.
Quelle est, selon vous, votre plus grande force en tant qu’écrivain ?
Mes personnages ? Peut-être... j'espère en tout cas vu que j'essaye toujours de les faire attachant à leur manière (ou qu'on ait envie de leur donner des claques pour les méchants)
Ah ! Et les scènes de rêve ! J'adore les écrire vu qu'il n'y a pas vraiment de règles dans un rêve à part celle du rêve en lui-même et du rêveur alors, je m'éclate pour en faire des scènes étranges chargés de sens et de symbole où les personnages affrontent leur subconscient et en voyant ce dont ils ont besoin / mérite.
Que pensez-vous de votre propre écriture ?
Je n'ai pas trop de regret (sauf un truc mais j'en parlerai après) et maintenant que ça va mieux avec le blocage de fatigue qui passe, j'aime plutôt ce que j'écris. Je fais ce qui me plait, et même si on est juste trois à aimer, je suis déjà contente qu'on soit trois à aimer mes trucs parfois assez bizarres. C'est peut-être pas très ambitieux de ma part mais, je me dis que rien n'est perdu si au moins une personne aime aussi et que je peux continuer à faire ce que je veux tranquillement de mon côté.
Si vous étiez la dernière personne sur terre et saviez que vos écrits ne seraient jamais lus par un autre être humain, écririez-vous quand même ?
Euh... question un peu bizarre vu qu'honnêtement, j'essaye de ne pas penser à cette possibilité. Je préfère garder espoir sur le fait qu'on va tenir et qu'on en arrivera jamais à une calamité pareille (surtout que vu comment je suis, j'ai dû mal à m'imaginer être la final girl de l'histoire...)
Enfin, si ça devait arriver, je dirai que oui, je continuerai à écrire encore et encore, que ce soit pour avoir quelque chose à faire en plus ou pour continuer à exprimer ce que je ressens (et puis qui sait, ça pourrait intéresser la prochaine espèce intelligente qui peuplera la planète après les humains ou si les aliens existent, ça pourrait aussi peut-être les intéresser ^^)
Lorsque vous écrivez, êtes-vous influencé par ce que les autres pourraient aimer lire, ou écrivez-vous uniquement ce que vous aimez ? Si c'est un mélange des deux, qu'est-ce qui a le plus d'influence ?
En dehors des critiques quand j'ai des doutes sur comment tournés une situation et que je demande des avis autour de moi, ou des gens qui critiquent un point mal fait où là, oui, je les écoute, je ne prend pas tant en compte que ça ce que me réclament les gens et j'écris juste ce qui me plait, quitte à ce que je sois la seule à aimer ce genre de délire.
Honnêtement, j'ai déjà essayé de me forcer à écrire une histoire afin de faire comme tous mes amis de lycée et la publier sur Wattpad en écrivant chapitre par chapitre sans plus de réflexion, et résultat des courses, c'est la seule histoire que je regrette avoir écrite car juste, elle était très mal pensée et pas très réfléchie vu que j'improvisais complètement tout sans aucun fil directeur et que je faisais un style que je n'aimais pas (une histoire dans un cadre pseudo-moderne centré autour d'une mafia, même si en réalité, il s'agissait d'un groupe d'exclu chassé par le gouvernement qui rejetais les personnes extraordinaires car il ne rentrait pas dans le moule, et travaillait ensemble afin de réussir à avoir une vie aussi normal que possible).
Les seuls éléments qui était bien dans cette histoire, c'était les figures d'anti-héros / antagoniste quand même un peu du bon côté de la barrière mais qui ont un code moral très tordu, des triplés étant en réalité l'incarnation même du temps intervenant parmi les mortels en étant les parrains de la mafia car, ils s'ennuient pendant leur éternité d'existence et qu'ils peuvent le faire, tout en tentant d'empêcher le vrai méchant de mettre leur dimension en pièce pour devenir immortel. Je les adorais justement pour leur côté surpuissant imprévisible que pratiquement rien n'arrêtait avec dix coups d'avance car ils connaissaient le futur... puis une copine de fac à qui j'avais raconté leur concept m'a dit que ce genre d'archétype était en gros pourri de base et que tous les auteurs commençait par des personnages un peu nuls comme ça (bref, que j'avais fait des sortes de Mary Sue). C'était pas très agréable à entendre, surtout que j'étais plutôt fière d'eux à ce moment-là et que je n'avais pas encore jeté cette histoire aux oubliettes mais, d'un autre côté, ça m'a blindé : tant pis s'ils sont nuls. Personnellement, je les aime, j'adore mettre les paramètres à fond avec eux tant pis s'ils deviennent surpuissant et c'est le principal !
Alors, je ne pense pas que je referai des histoires par pression sociale ou en écrivant ce que les autres pensent être "bien" ou "mieux" que mon scripte de base, encore plus si c'est le tribunal du bon gout selon le public d'internet ou un questionnaire pourri qui pense qu'on ne peut pas être badass quand on a plus 50 ans ou qu'on ne peut pas jouer de la musique sans être un surhomme irréel qui décrètent que ce n'est pas correct (je te regarde très, TRES fort le test sur les Mary Sue !). J'ai déjà donné et j'ai pas voté pour ce tribunal du bon gout selon internet ou je ne sais qui. Personne n'a les mêmes gouts, personne n'aime les mêmes choses alors, on ne pourra jamais contenter tout le monde alors, j'écris simplement ce que j'aime et ce qui me plait en me souciant seulement de si c'est bien écrit ou non. C'est déjà bien assez !
Pour les tags en réponses... mwezina a déjà répondu, LadyNiniane a déjà taggué les gens à qui je voulais poser la question... alors, on va dire toutes les personnes qui passent et qui veulent répondent sont la bienvenue. D'ailleurs, n'hésitez pas à vous manifester si vous voulez que je vous tague, je ne sais jamais qui mettre ^^'
#jeu de questions#écriture de curieuse#dessin de curieuse#merci beaucoup pour le tag !#allez un peu pour le dessin les deux vont ensembles pour moi
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𝑩𝑰𝑶𝑮𝑹𝑨𝑷𝑯𝑰𝑬
→ Cal est né en -32 avant la bataille de Yavin. On ne sait pas sa planète d'origine, comme on ne sait pas comment il a été repéré pour intégrer l'académie de l'Ordre Jedi sur Coruscant. On sait juste certaines bases, ici et là, comme être allé sur la planète Ilum pour aller chercher son cristal qui l'appelait. → Cal était le padawan de Jaro Tapal, un lasat. C'était un grand jedi et Cal était très proche de lui, prenant son entraînement très au sérieux. C'est sur le vaisseau jedi de son maître qu'il apprendra tout ce qui est en lien avec la force, tout comme utiliser correctement la force et y faire totalement confiance. Il était d'ailleurs très ami avec les clones présent à bord. → Cal avait 13 ans environ quand l'ordre 66 fut donné. Il assista alors après un entraînement, à la mort de l'un des clones tentant de tuer son maître par-derrière. Il fuira à travers le vaisseau pour atteindre les capsules. C'est en arrivant à destination, que son maître le protégea des tirs blasters. Celui-ci étant mourant, pour les sauver, Cal fit ralentir la troupe de clones grâce à la force. Jaro mourra alors dans ses bras. Cal récupère donc le sabre laser brisé de son maître et gagne une cicatrice dans le cou. → Bracca finira par devenir la planète de l'empire, servant tout simplement de poubelle, d'endroit où démanteler les vaisseaux des clones et autres. Cal est donc un garçon qui grandit sur cette planète. Intelligent, rusé et discret, il sut se cacher de l'empire et ne pas user de la force pour rester cacher. Il terminera alors ouvrier dans ces usines malgré son jeune âge. → Cal a des à présent 18 ans, devenu grand, encore plus débrouillard qu'avant le jeune homme est doué de ses 10 doigts pour rafistoler des choses et d'autres. Mais tout bascula alors qu'il devait juste aller faire des petites réparations de câble, la plate-forme lâche et Cal est obligé d'utiliser la force, chose qu'il a cherché à cacher depuis des années pour sauver son ami. Malheureusement, l'empire l'a détecté, étant donné que le deuxième soeur vient sur Bracca. C'est donc ainsi que Cal perdit Prauf, son ami. Fuyant alors, il se battra un moment contre la deuxième soeur avant de tout simplement être sauvé par Cera et Greez. → Direction Bogano. Planète calme, où vivent uniquement différentes créatures hostiles comme dociles. C'est ici que Cal fera la rencontre de BD-1, un petit droïde qui l'accompagnera dans ses aventures. C'est d'ailleurs dans le temps des Zeffo, qu'il apprit qu'un holocron possédant des informations sur des enfants sensibles à la force est caché. Mais bonjour les futurs les voyages. → Cal parti alors pour visiter différentes planètes, commençant d'abord par Zeffo, afin d'y trouver d'autre indice afin d'avancer. Il réapprendra d'ailleurs la projection de force pour ainsi pousser les objets, ennemis ou les missiles. Ensuite Kashyyyk pour trouver un chef wookie et ainsi, libéré aussi des wookies, avant de repartir pour Zeffo, mais alors qu'il approche doucement, il doit se battre contre la seconde soeur, qui se révèle être l'ancienne padawan de Cere Junda. Et durant le reste de sa mission..il en apprendra plus sur elle. Il en voudra alors Cere de lui avoir menti. Cependant, il sera capturé par des chasseurs de primes appartenant à la guilde d'Haxion. Arène de combat, défi, il gagne. → Retour sur Kashyyyk et un long chemin pour atteindre le chef Tarfful et ainsi avoir plus d'informations et aussi, confectionner un double sabre. C'est là aussi qu'il tuera la Neuvième soeur après un rude combat. Cependant, la planète où il partit, allait être encore plus dangereuse. Dathomir. Autant dire que cette planète ne le réussi pas, entre Soeur de la nuit, frère de la nuit et un temple qui lui met une belle pression, il finir par briser son sabre laser et se sentira au plus bas. Mais il partir sur Ilum après un peu de motivation par Cere. → Ilum, planète des cristaux kyber, là où les jeunes sensibles à la force viennent pour tout simplement faire leur sabre. Ici la force l'aide alors beaucoup pour donc avancer, pour réussir ce qu'il souhaite, suivant l'appel du cristal. Celui-ci se brisant malheureusement, et après une courte pause, il se reprend, répare son sabre laser malgré tout et créer ainsi un double sabre pouvant se décrocher. → Retour sur Dathomir, il rencontre officiellement Merrin après avoir croiser de nouveau son maître durant une méditation. Merrin est une soeur de la nuit, celle-ci laissant alors Cal allait défier Malicos. Merrin l'aidera durant son combat avant de rejoindre l'équipe de Cal. Devenant ami. Retour sur Bogano pour récupérer l'Holocron, mais Cal voit ce qui se passera, il voit tout simplement que s'il fait ça, recueillant les jeunes, l'empire viendra, les kidnappera et Cal se rendra avant de finir par devenir inquisiteur. Il affrontera la seconde soeur de nouveau avant découvrir tout l'enfer qu'elle a vécu et ainsi...Comprenant l'histoire de Cere. Il sera d'ailleurs fait Chevalier Jedi par Cere, ayant finit son apprentissage par lui même. → C'est sur Inquisitorius qu'ils se rendirent pour défier alors l'inquisitrice, récupérant l'Holocron juste avant, cependant, une fuite se fit, surtout avec un Dark Vador derrière soit !
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Fiction & réalité
Rappelez vous: il y a quelque temps, Tonton Fox vous expliquait que tout ce que certain connaissaient du Ouija venait des films d'horreur.
Malhaureusement, il en va ainsi de beaucoup de choses. On n'en finirait pas de citer tout ce que racontent les films, les romans, les BD... Mais si la fiction peut parfois contenir une parcelle de vérité, il ne faut pas tout prendre pour argent comptant.
Cettain récits ne sont que des métaphores ou des symboles. Souvent, le récit fantastique n'est qu'une éxagération d'un problème psychologique ou d'un phénomène de société. C'est particulièrement visible dans ces séries où les héros font un long voyage, dans des univers paralèlles par exemple, dont chaque étape est une aventure. Bien entendu, cette aventure a une morale édifiante dans le monde réel. N'en déduisons pas que ce sont des vérités ésotériques.
Une série comme "Charmed" a popularisé la sorcellerie. Pour autant, il faut bien admettre que ça ne se passe pas comme dans le manoir des Hallywell. Il ne suffit pas de faire de grands gestes avec les mains pour faire bouger les objets, les faire exploser, ou se téléporter. Le problème, c'est que certain prennent ça pour argent comptant. Je me souviens d'une demande d'une apprentie sorcière qui demandait un sortilège pour changer sa couleur de cheveux comme dans "The craft". On croit rèver.
Tout les lecteurs de Lovecraft savent, le nécronomicon est un livre imaginaire. C'est un ressort de l'intrigue dans les œuvres se rapportant aux "grands anciens". Toutefois, on trouve en librairie plusieurs versions de ce livre qui n'a jamais été écrit par un arabe dément du nom Abdul al Azrhed. Le pire étant que sur des groupes FB, il y en a qui prennent ça au sérieux.
Il en va de même de beaucoup de livres qui sont sorti de l'imagination de l'auteur et sont sensés être de grands enseignements. Il faut faire la part des choses.
Un autre soucis est qu'une foule de gens croit tout savoir et font les mariols en prenant de grands airs afin de prodiguer conseils et avertissement tous plus ineptes les uns que les autres. Régulièrement, ils se permettent de prévenir de dangers inexistant sur les tarots ou autres pour faire l'important sur l'air de "Je vous aurais prévenus". Consulter les tarots, fut-ce le tarot des sorcières, est innofensif. On ne parle pas de discuter avec Lucifer en personne.
Le conseil de Tonton Fox est le suivant: faites la part des choses et profitez bien de la fiction et de la magie en les séparant bien l'une de l'autre.
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— La première règle du Detection Club : on ne parle pas du Detection Club.
— Hé bien, cette règle-là (joyeux anniversaire, Fight Club! ), on va la transgresser. Et d'ailleurs, cette règle n'est pas une règle du Detection Club.
— Commençons par le début : tout d'abord, qu'est-ce que le Detection Club ?
— Le Detection Club, qui compte entre autres dans ses rangs G. K. Chesterton, Agatha Christie, est en quelque sorte l'amicale des auteurs de romans policiers anglophones spécialistes du "whodunit", c'est-à-dire le roman à énigme avec la recherche d'un meurtrier à la clé. Poe en a jeté les bases au début du XIXème, ces romanciers pour la plupart britanniques vont le codifier au début du XXème, dont notamment Ronald Cox, qui va écrire les dix commandements du romancier de whodunit.
— C'est aussi implacable que les tables de la loi, dis donc !
— Tu ne crois pas si bien dire, les amateurs de romans policiers l'appellent le "Décalogue de Knox". Comme j'aime bien participer à ton édification personnelle, je te le livre tel quel :
1/ Le criminel doit être quelqu'un mentionné plus tôt dans l'histoire, mais pas quelqu'un dont le lecteur a pu suivre les pensées.
2/ Le détective ne doit pas utiliser de techniques surnaturelles pour résoudre une affaire.
3/ L'usage de plus d'un passage secret ne saurait être toléré. Même dans le cas d'un seul passage secret, il faudrait que l'action se passe dans une maison où la présence de ce type de dispositif était prévisible.
4/ Des poisons inconnus ne peuvent être utilisés, ni aucune machine, de telle sorte que le lecteur ne soit pas embarrassé par une longue explication scientifique en conclusion.
5/ Aucun Chinois ne doit figurer dans l'histoire.
6/ Aucun accident ne doit aider le détective. De même, on ne doit avoir recours à aucune intuition divine inexplicable. Toutes ses intuitions doivent avoir une origine et se confirmer par la suite.
7/ Le détective ne doit pas commettre lui-même le crime.
8/ Le détective ne doit pas utiliser des indices qui n'ont pas été présentés au lecteur pour résoudre l'affaire.
9/ Les observateurs ont le droit de tirer et présenter leurs propres conclusions.
10/ Il ne doit pas être fait usage de jumeaux et d'habiles déguisements.
— C'est marrant, le coup du Chinois.
— J'étais certain que tu n'allais retenir que cette règle-là.
— Et donc, l'album d'Harambat ?
— Il commence en 1936, avec l'intronisation du premier romancier américain, John Dickson Carr, et l'invitation mystérieuse des membres du Club par un milliardaire à passer le ouiquende sur son île privée au large des Cornouailles. Celui-ci, très antipathique, leur annonce leur fin programmée avec la mise au point d'un robot-détective qui ne laissera plus place à l'intuition humaine, qu'il considère comme une faiblesse, évidemment. L'homme a des visions du futur assez radicales, comme la disparition des besoins matériels pour l'humanité, puisque les machines les combleront dans la minute, voire même par anticipation, avec des programmes leur permettant de prévoir ce qui les satisferait.
— Euh...
— Oui, voilà. C'est totalement loufoque, comme vision du futur, hein ?
— Bon. Mais, l'intrigue ?
— Eh bien, évidemment, le soir-même, le milliardaire passe par la fenêtre de son manoir qui donne au-dessus de l'océan.
— Whodunit ?
— Exactement : l'enquête commence.
— Donc, si ce sont des membres du Detection Club qui la mènent, l'histoire va scrupuleusement suivre le "Décalogue de Knox".
— Si je te dis qu'il va y avoir des passages secrets, des jumeaux, des machines, des accidents révélateurs et que le majordome du milliardaire est un Chinois, que peux-tu en déduire ?
— Mais ?
— C'est un album bondissant, joyeux, élégant, (comme tout ce qu'écrit ou dessine Harambat, décidément), qui ne se prend pas au sérieux, qui célèbre l'imagination et l'esprit, celui qui carbure au désir et à la curiosité, faillible par essence, mais tellement plus palpitant qu'un rapport d'algorithme. Et la relation entre G. K. Chesterton et Agatha Christie est un régal d'humour, étincelant. Harambat, après "Opération Copperhead" un autre très bon album, prouve qu'il est le plus britannique des auteurs de BD français.
— Tu conseilles à qui ?
— Je conseille aux lecteurs de romans policiers, évidemment, mais aussi aux amateurs d'esprit anglais. Et, plus généralement, aux curieux de tout poil.
#Harambat#dargaud#bandes dessinées#comics#detection#Detection Club#detective comics#private detective#whodunnit#agatha christie#gk chesterton
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Aujourd'hui c'était étrange à la fac. J'ai mangé un panini, lu en haut du pont et acheté une BD de Bastien Vivès. J'aime vraiment le naturel des dialogues dans ses BD, ça m'inspire pour écrire. C'est difficile d'emprunter la parole aux gens de tous les jours. Aussi, j'ai parlé à deux personnes. Emelyne est américaine et vient de New York - je suis cependant toujours sur la réserve quant à la véracité de propos si stylés. Yacine, quand je lui ai demandé s'il aimait les filles ou les garçons, a fait le coup du poignet cassé et m'a dit "sérieux ?". Il a aussi dit que j'avais de beaux cheveux que je ne mettais pas assez en valeur, s'est targué de s'y connaître en coiffure grâce à sa facukté de gay, et m'a demandé si je cultivais mon côté enfantin, ce qui m'a un peu surprise car aujourd'hui j'avais plutôt l'impression d'être habillée comme une meuf insta grunge un peu basique (il faut croire que les couettes, toutes tailles et toutes couleurs de chouchous confondues, n'ont pas leur place dans le monde des coiffures normales).
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Interview de Yoon-sun PARK par Jérôme LACHASSE : LES AVENTURES DE HONG KILTONG (Image : Ex-libris pour la librairie Super-Héros) - Pourquoi avez-vous choisi d’adapter l’histoire de Hong Kiltong? Comme je l'ai écrit dans l'introduction du livre, je connaissais un peu cette histoire de Hong Kiltong mais je ne l'avais jamais lue en entier (comme la plupart des coréens, je crois). C'est mon copain qui a découvert ce livre (en version française) dans une librairie en France, où j'habite. C'était le seul livre de littérature "classique" coréenne du rayon. Mon copain a voulu l'acheter, et je lui ai dit : "Si c'est pour moi, c'est pas la peine car je connais l'histoire ! " Et en fait, non... c'était un mensonge... Finalement mon copain l'a acheté, lu, et m'a dit que ça pourrait me plaire. Il l'a laissé sur la table du salon, et au bout d'un moment, je l'ai lu aussi. Et quelle surprise ! J'ai bien rigolé ! En Corée, quand j'ai étudié cette histoire à l'école, ça m'avait l'air très sérieux... Les injustices sociales de l'époque, l'invention par Kiltong d'un pays qui serait plus juste... Mais je connaissais pas du tout les côtés plus fantaisistes du livre, et c'est ça qui m'a surtout plu, et étonnée. Dans cette fantaisie, je me suis un peu retrouvée. Je veux pas le dire trop solennellement mais c'est comme une espèce de racine commune, quoi. Je venais aussi de regarder le film "Sacré Graal !" des Monty Python et ce film m'a donné envie de faire une bonne adaptation d'un classique, moi aussi ! - La scène où Hong Kiltong réduit le paysage est-elle présente dans le roman d’origine? Avez-vous ajouté des scènes par rapport au roman d’origine? Le paysage que Hong Kiltong réduit avec ses doigts, ça existe, je crois... Si j'ai bien compris le texte français... (Si vous voulez, je peux vérifier dans le livre, il doit être encore au salon mais je sais pas où exactement...) En fait, j'ai lu le roman une fois, et après j'ai fait tout ce que j'ai voulu ou que je croyais me rappeler. J'ai pas tout vérifié. Il y a beaucoup de magie dans le roman originel mais j'ai parfois un peu transformé. Par exemple, dans ma version, à un moment Kiltong incendie les montagnes avec un faux feu magique qui ne brûle pas, pour qu'on lui ouvre la porte de la ville. Mais dans le roman d'origine, il met vraiment le feu... J'ai changé ça, parce que personnellement, je n'aime pas les incendies dans les montagnes... Aussi, Kiltong se transforme en canard dans mon livre, mais à l'origine, il n'y a pas de canards (ni d'âne, ni de kaki séché...) Je ne sais pas pourquoi mais j'aime bien mettre des canards dans mes BD... Par contre, dans le roman il y a bel et bien un type qui se fait magiquement enfermer dans un sac et accrocher à un arbre... C'est rigolo non ? - Pourquoi avez-vous choisi de moderniser les dialogues des personnages? Comme j'ai fait une bande dessinée en français, je ne peux pas "vraiment" garder les dialogues d'origine qui sont coréens, n'est ce pas ? Ce serait bizarre de faire faussement "à l'ancienne", je devrais faire comme si ces personnages parlaient en vieux français... De toute façon, c'est une fiction fantastique, pas un documentaire historique. J'ai fait ce qui m'était le plus naturel. - Pourquoi avez-vous choisi des couleurs très vives et privilégié les tons bleus, roses, verts et jaunes? Est-ce de l’aquarelle? Oui, c'est de l'aquarelle. J'ai encore une grande boîte d'aquarelles que ma maman m'a achetée au collège... Je ne décide pas en avance quelles couleurs je vais utiliser. Je prends des couleurs qui me paraissent jolies sur le moment. Mais c'est vrai que pour cet album, j'ai essayé de changer un peu ma gamme. Il y avait beaucoup de jaune et de vert dans "Le Club des Chats". Alors peut-être pour éviter faire ressemblant à ça, j'ai mis plus de bleu et rose cette fois-ci, et puis cela me semble bien aller avec cet univers un peu fantastique. http://www.misma.fr/?Les-aventures-de-Hong-Kiltong https://www.bfmtv.com/diaporama/ces-bd-a-lire-pendant-les-vacances-4924/pour-les-fans-des-monty-python-6/
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