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FESTISOL 2023 : l'ONG Save Our Planet sensibilise à la préservation des semences locales
La préservation des semences locales revêt une importance cruciale pour garantir la diversité génétique des cultures et la souveraineté alimentaire des communautés. L’ONG Save Our Planet, consciente de cet enjeu, a organisé, à l’occasion du FESTISOL COLLINES 2023, une sensibilisation grand public sur la nécessité de préserver les semences locales. Vue d’ensemble Festisol 2023 / ONG Save Our…
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#Biodiversité#CGLTE-Afrique de l&039;ouest#Collectif FESTISOL 2023#FESTISOL 2023#Journal Santé Environnement#Ministère du Cadre de Vie et du Développement Durable#ONG Save Our Planet#Sécurité alimentaire#Semences locales
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Viens prendre un verre, change toi les idées. J’en ai tellement changé que je ne les repère plus bien, sais plus bien où elles se trouvent. Dans un coin de l’après-midi, sur un banc du boulevard. Puis je les perds à nouveau vers dix-neuf heures. Alcool nitrites puis on s’amuse un peu, les rires éclatent on casse les verres et puis quand la nuit tombe c’est le début du jour. Des messages qui n’ont plus vraiment de sens, jusqu’à la réalité, qu’il a dit : terriblement vide de sens. J’ai dit d’accord, que dire d’autre. Mes supplications amoureuses étaient devenues paresseuses. Quoi d’autre ! Alcool nitrite alcool d’autres qui font la cour. Ça ne mène à rien, je n’ai pas le temps d’y penser. Rarement seule sans être questionnée, portée disparue, traquée… Même ici, jamais plus libre, il lit les entrées, regarde les photos, je n’ai rien fait contre, toute surveillée, partout, assumer ce qu’il faut dire, penser, comme si le secret c’était devenu le mensonge. Répétition. Rien à dire, que dire, tout le monde sauf lui, et ce n’est pas pour toi. Lui c’est : tu es pénible, perverse, sautes d’humeur, vivre sa vie. Répétition, rendez-vous, certificats. Mail : la vie ne vous aura pas épargnée. Des entrées de journal flasques, molles, déplaisantes à la relecture. Pas retranscri les fous rires idiots dans le métro, dans le taxi, autour de trois verres, folie commune, délire collectif : à deux moitiés de folles on forme un fou. Tout le monde nous veut et sent les pensées qui fusent de l’une à l’autre de l’autre à l’une comme les fils électriques très hauts dans le ciel, ils sont évidents et grossiers pourtant il faut penser à lever la tête. Hilarité lorsque la porte se ferme, souffle retenu ou joyeuse suffocation, yeux embués. Des idioties complètement oubliées dix minutes plus tard, qui ont secoué les joues, la gorge, un petit soleil dans tout le corps, le temps d’oublier tout, que tout fonde sous la chaleur. Tout se sent dans l’atmosphère, les pieds sur la table, pas assez de force pour déboucher la bouteille de vin, et c’est même heureux lorsque la fin du rire est commune. Cela je peux l’écrire, oui. C’est d’une jolie naïveté et douce et sincère, qui ne fera de mal à personne. D’autres choses sont cachées ailleurs, par exemple dans ma cervelle. C’est pour cela que je la mets en veille douze heures d’affilée en dormant la journée. Terriblement vide de sens. Il n’y a pas de bonne manière. Grandis.
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Journal d’un photographe
Dimanche 19 novembre 2023.
Un collectif de cinq cent artistes a organisé ce dimanche une marche pour la paix, voulue silencieuse et apolitique. Et ça a bien marché.
En photo, c’était un peu « people », ce qui n’est pas ma spécialité. Je n’ai pas reconnu les 9/10 ème des personnes présentes à la manifestation, sauf Jack Lang (depuis qu’il est sur la scène parisienne j’ai eu le temps de le reconnaître!) et Isabelle Adjani, que bien entendu j’ai été incapable de localiser, jusqu’à ce qu’un photographe me la décrive: « elle a un bonnet blanc, et se cache derrière la couverture d’un livre blanc comme son bonnet! Une fois ceci enregistré, j’ai essayé de bien la photographier, ce qui s’est avéré mission impossible. Tantôt le livre couvrait complètement son visage, tantôt ses voisins empiétaient sur mon angle de prise de vue, involontairement. Seules les vues générales permettaient de l’apercevoir, toute petite au milieu des autres personnes en tête de la marche.
Mais l’important aujourd’hui, c’était eux, les artistes et ceux qui les accompagnaient, et bien entendu nous les photographes, sans qui ces évènements resteraient invisibles, ce qui ne nous empêche pas de galérer pour enregistrer ces moments.
La situation épouvantable à Gaza a vite fait oublier que c’est un mouvement réactionnaire, totalitaire, le Hamas, qui a provoqué ce qui se passe maintenant en tuant plus d’un millier de civils israéliens, des enfants, des femmes, qui d’ailleurs ne comptent pas pour grand chose dans leur philosophie de la vie. Le Hamas savait que la réaction israélienne serait terrible. Il l’a fait en sachant qu’il enverrait à la mort des milliers de civils innocents, calcul machiavélique qui fait retourner l’opinion publique contre le pays attaqué, ce qui était sans doute un des buts de l’opération.
Quand je dis cela, j’ai conscience que la situation des palestiniens est très difficile en Cisjordanie, avec des colons fascisants et racistes, et qu’il faudra bien un jour réaliser que la solution à deux états est la seule viable pour tous. J’ai, et je vais continuer à documenter Gaza et la Cisjordanie dans ce journal avec des photos prises dans les années 90 et 2000. Mais ces photos ne vieillissent pas, même si la situation a empiré.
Quand Benyamin Netanyahou et ses ministres racistes partiront, il sera peut-être temps de négocier une solution juste.
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CHAMPS DE RONCES N°6 Projet éditorial collectif et militant Champs de ronces est un journal autonome de textes et d’images, politiques et poétiques. Il accompagne les luttes, rurales et citadines, et leurs convergences. Il se positionne contre le capitalisme patriarcal, raciste et mortifère. Imprimé en risographie Atelier Mcclane Prix : 2€
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26 juin
j’ai répondu à ses messages et l’orage a éclaté, il pleut averse. je me suis assise sur le rebord de la fenêtre pour regarder la pluie tomber dans la cour. le ciel s’est assombri d’un coup et des plastiques se sont mis à voler en l’air et la voisine d’en face est sortie sur son balcon dans sa robe jaune pour mettre les fauteuils à l’abri. elle a la lumière allumée chez elle, il a l’air d’y faire très sombre. hier j’ai dit à n. que ça me rappelait mon dernier appart à paris et la dépression et elle a fait une grimace de compassion et je me suis de nouveau dit que j’étais too much dans ma misère.
ça va un peu mieux maintenant que je lui ai écrit, j’ai l’impression d’être sur la bonne voie. dans ses messages il dit que c’est pas la première fois que ça lui arrive, que quelqu’un développe des sentiments amoureux pour lui suite à une relation épistolaire, et qu’il commence à se poser des questions parce que ça le fait flipper de causer de la souffrance. il dit que c’est pour ça qu’il a mis autant de temps à me répondre et qu’il s’excusait si ç’avait été angoissant pour moi. je suis qu’à moitié convaincue par son excuse mais samedi soir ses longues réflexions et ses questionnements et ses excuses n’ont fait qu’empirer mon désespoir parce que je trouvais ça tellement gentil qu’il ait mis autant de soin et d’attention dans sa réponse. même si ça lui a pris quatre jours.
hier soir dans la cour ombragée de la pizzeria avec des grosses tables en bois on discutait d’écriture et je lui racontais comment avec le journal, la vie se transformait en fiction et comment les deux se nourrissaient l’un l’autre et comment c’était à double tranchant parce que 1. écrire est cathartique et permet de mettre de la clarté dans ses pensées/ne pas devenir folle, et puis ça donne de la forme aux choses, ça leur donne un sens, et donc c’est rassurant, mais 2. ça nourrit la bête du drame et ça monte les choses en épingle, et elle était tout à fait d’accord avec moi et c’est tellement cool de pouvoir discuter de ça avec quelqu’un qui sait de quoi je parle. elle m’a dit qu’elle m’enverrait le pdf de son roman d’autofiction. ça parle d’une fille de 27 ans qui se cherche à berlin. on a dit qu’on allait faire une performance pour le 48h neukölln de l’année prochaine, elle va essayer de devenir amie avec le collectif queer féministe qui a fait l’installation qu’on a vue ce matin avec les projections et le papier mâché et les phrases écrites au mur tout droit sorties de staying with the trouble de donna haraway, vocabulaire compris, et puis moi j’ai dit que je savais où gratter des soutiens financiers au luxembourg et c’est parti mon kiki. peut être que je devrais vraiment venir ici au lieu d’aller à bruxelles. mais berlin a trop de gens qui m’agacent. trop de gens tout court.
27 juin
bon j’allais plus ou moins bien et voilà que r. a répondu à mes messages de hier par yeah et merci de tes réponses et ç’a suffit à me faire retomber dans la spirale de l’angoisse, l’angoisse qu’il veuille plus rien avoir affaire avec moi, que j’aie tout fait foirer avec mes réponses, que c’était pas les bonnes, que j’aie pas répondu ce qu’il fallait, qu’il veuille même plus être mon ami maintenant, que je l’aie totalement perdu. comme a. everyone is always leaving. j’en ai marre qu’il monopolise toutes mes pensées. mais le pire c’est qu’il monopolise 85% de ce journal aussi. dans ses messages vocaux il se demandait s’il avait fait ou dit des trucs équivoques qui auraient pu me faire penser qu’il flirtait, et je lui ai dit non à posteriori non, et puis j’ai pensé à mon journal, où toute notre relation est documentée depuis le début et où on voit mon illusion se mettre en place, on voit mon cerveau dysfonctionnel à l’oeuvre, mon cerveau rempli de vers tout troué comme un vieux volcan.
30 juin
dernier jour de ce mois de juin très citadin mi figue mi raisin, le seul truc figue étant r. qui m’aime pas et le truc le plus raisin ma perf à la bellone évidemment. je mets quand même ma rencontre avec r. dans les trucs raisin aussi, malgré la nature différente de notre intérêt l’un pour l’autre, j’ai bien aimé le rencontrer. n. me disait qu’elle avait commencé à faire des demandes claires à l’univers et que les deux dernières fois ç’avait marché. mais peut être que le pouvoir de l’univers n’est pas assez grand pour faire tomber quelqu’un amoureux.se de moi. qu’est-ce qui est plus grand que l’univers alors? rien? on parlait de ses histoires d’amour malheureuses et elle disait qu’une histoire d’amour n’avait pas besoin de bien se terminer pour être belle et j’ai dit ohlala j’en demande pas tant, déjà un début ce serait bien, et elle m’a regardée avec un air de grande commisération. samedi soir je lui ai raconté que j’avais essayé de sentir l’amour de jésus à la messe polonaise mais que ç’avait pas marché et puis je lui ai raconté la fois où paule s. m’avait envoyée chez un prêtre parce qu’elle savait plus comment m’aider et qu’elle pensait que tout ce dont j’avais besoin pour guérir c’était peut être de l’amour. n. était morte de rire mais moi ça continue à m’angoisser cette histoire. je lui ai dit que j’avais peur de finir par mourir de manque d’amour et je lui demandais comment on en mourrait, concrètement? en développant un cancer? elle m’a dit qu’on pouvait mourir d’un coeur brisé aussi mais j’ai pas l’impression que c’est ça mon problème, ou alors c’est plutôt une histoire d’usure, à force de pas être aimée en retour. mais concrètement, comment on en meurt? à part le suicide?
sous la photo où je mange une glace menthe chocolat que j’ai postée sur ig j’ai mis: lara mange une glace menthe chocolat à berlin 2 euros la boule le soleil vient de se coucher je suis en vie. c’était samedi soir, avant d’avoir écouté les messages de r., je sais plus pourquoi je me sentais vivante et j’étais un peu déçue qu’on rentre avant minuit, mais j’ose jamais proposer aux gens de sortir si ça vient pas d’eux parce que, comme je bois pas et je danse pas et je suis pas fun, j’ai toujours peur que la personne me dise mais tu veux faire quoi alors? on s’est assises sur le bord du trottoir de la admiralbrücke pour discuter, quand j’avais vingt ans c’était mon deuxième pont préféré de berlin (après la oberbaumbrücke) parce que j’étais fascinée par tous les gens assis par terre au milieu de la route et y avait toujours quelqu’un qui lisait ou qui jouait de la guitare perché sur un des piliers et je trouvais ça très cool parce que j’étais jeune et impressionnable. samedi j’ai trouvé ça un peu bof et j’en avais un peu marre d’être assise par terre. n. m’a demandé what kind of guys do you like? et j’ai dit tall and skinny with curly hair comme quand j’avais seize ans et puis je lui ai montré une photo de r. et elle a dit oh wow he’s so pretty! i thought you didn’t like pretty boys! et comme à ce moment-là j’avais encore un petit espoir, j’ai senti une petite pointe de fierté et j’ai dit well he’s cute, mais maintenant que j’y repense, je me sens complètement ridicule et tellement naïve d’avoir pu penser un instant qu’un mec comme lui puisse être attiré par une fille comme moi. même si je sais que c’est pas comme ça qu’il faut penser. mais est-ce que c’est pas comme ça que marche le monde? est-ce que je ne suis qu’une énième victime de la longue liste de filles qu’il a fait chavirer avec ses points d’exclamation et ses tiktok débiles?
et puis elle m’a demandé quel genre de filles j’aimais et j’ai dit toutes. je lui ai montré rebeka w. et elle a dit she looks old! et j’arrivais pas à croire que ce soit ça sa première réaction. old?? j’ai dit i like older women. lol. un jour je lui ai demandé comment elle pouvait pas aimer les filles et elle a dit i like the unknown. mais les filles c’est pas autant l’inconnu que les garçons? si ce n’est plus, puisqu’il existe à peu près un milliard de fois plus de représentations de sexe hétéro que lesbien. même si on a biologiquement le même corps, pour moi y a pas de territoire plus lointain et exotique que le sexe lesbien. c’est la jungle amazonienne, c’est les tropiques et l’hémisphère sud et l’arctique et l’antarctique en même temps, des endroits qui me semblent totalement inaccessibles mais je sais qu’ils existent et peut être qu’un jour j’irai, qui sait. peut être que le prochain date sera le bon. déjà si c’est un vrai, je serai contente. god is change. j’ai parlé d’ocatvia butler à n. et elle disait for me god is love et j’ai dit ok mais alors l’amour des arbres et des fleurs et de la mer et de la terre et tout ça et elle a dit yes of course.
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Gros Big Up - suite
@ Lolotte, qui me suggère "d'investir d'autres valeurs que le travail, comme la famille ou le couple ?" = >
Chère Lolotte, tu vois la mère et la sœur d'Hillary Swank, dans "Million Dollar Baby" ? Bon : si tu avais grandi avec ce genre là, l'idée "d'investir la famille"... voilà, voilà.
j'ai voulu mettre un gif pour te répondre, mais je ne veux pas transformer cette histoire en plaisanterie parce qu'il m'a fallu des années pour réparer les dégâts. Des années durant lesquelles j'aurais bien voulu faire autre chose : aller à l'Université, par exemple, devenir la scientifique que je rêvais d'être à 15 ans, fonder une famille, me marier, tout çà...
Quant à investir "le couple", je ne demande pas mieux. Un jour, peut-être, un miracle va se produire. Un jour, peut-être, les dieux me prendront en pitié et lèveront la malédiction ; car Céline avait raison, il est plus facile de renoncer à la vie que de renoncer à l'amour. En attendant, je fais comme tout le monde, je joue avec les cartes qu'on me donne.
J'investis la "valeur travail", comme tu l'appelles, parce que je pense qu'à la fin, c'est çà qui reste : la fierté d'avoir fait un bon travail. Et çà doit tenir tout seul, comme raison.
Et je suis sûre que Tyler, the Creator a vécu la même chose, avec "IGOR" : d'abord il tombe amoureux, l'élu de son cœur ne le lui rend pas - ou pas bien, pas comme il faudrait - alors il pleure des larmes de sang, et puis un jour il rentre en studio parce qu'il en a marre de soûler son entourage ; et un soir, sur le chemin du retour, il s'aperçoit qu'il est en train de faire quelque chose qui tient la route. Que le disque ait du succès ou pas, à ce stade, reste accessoire. C'est un bon travail parce que Tyler s'est donné du mal pour que ce le soit, il a été honnête avec les autres et exigeant avec lui-même. Et si j'ai plongé dans son album avec un tel enthousiasme, si je me suis sentie aussi proche d'un Afro-Américain bisexuel de 30 ans, c'est bien parce que le sentiment amoureux finalement est un peu le même partout sur la planète, et l'art sert à nous le dire.
@ leroiestnu, qui m'interpelle : "'Pourquoi tu m'as dit l'autre jour que ton blog n'était pas un journal intime ? Pourquoi tu ne veux pas admettre la réalité ?" =>
Bonne question, mon ami : pourquoi je prétendrais être la mieux placée pour caractériser ma forme, puisque c'est moi qui l'ai créée ?
Quand tu écoutes une chanson de hip-hop, les gars racontent leur vie, c'est souvent très salace, c'est saturé de samples de chansons, d'extraits de film, de discours, de sons non musicaux... Tu n'appellerais pas çà un journal intime, tu appellerais çà le summum de la virilité. Parce que, dans le jugement collectif, journal intime = truc féminin = idiot, narcissique et superficiel.
Pourtant, ces deux formes sont très proches l'une de l'autre.
Pour ne rien dire du désir, de la douleur, du grand amour, de la frustration, de la honte, du chagrin... dont j'ai repeint ce blog ; les journaux intimes des femmes en sont remplis, et - oh ! surprise - ces expériences humaines majeures sont constitutives de l'ethos de toutes les musiques qui ont fait avancer le schmilblick depuis un siècle : blues, jazz, rock, soul, disco...
#la surprise des feedbacks#jamais là où on les attend#jérôme fourquet#grande flemme#jérémie peltier#octavia spencer#viola davis#emma stone#abileen & minnie & skeeter#the help#célibataire#forever alone#tyler the creator#IGOR#the medium is the message#marshall mcluhan#moonstruck#cher#nicolas cage#my gifs#all time favourites
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L’article du journal sur mon activité dans le cadre de l’Anim’Est 2022 (les 19 et 20 novembre) a été sorti sur le web par Journal du Japon.
#calligraphie#calligraphy#art#art traditional#japan#japonais#japanese#traditional art#japon#evenement#anime#manga#journal
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Le salon Offprint regroupe des éditeurs le temps d’un weekend, qui travaillent dans une pluralité de domaines comme l’architecture, le design, ou encore la recherche. L’édition 2024 s’est tenue au Pavillon de l’Arsenal, dans le 4e arrondissement de Paris. Rythmé par diverses animations et interventions, Offprint est un événement qui réunit des personnes ayant pour point commun une appétence pour la création. En ce qui concerne le lieu, l’espace est plutôt vaste, réparti sur trois étages qui permettent de garder une place suffisamment large pour la circulation entre les stands. Les étages sont semblables à de grands balcons, créant une impressionnante hauteur sous plafond, et laissant entrer la lumière par le toit en verre.
Avant la visite, j’avais pour idée de trouver des travaux contemporains et plutôt engagés. J’ai commencé par survoler les stands du dernier étage afin de repérer les maisons d’éditions qui m’intéressaient le plus. Je suis rapidement tombée sur le collectif Women Cave, un studio axé sur le design et l’architecture basé à Montreuil. Composé de l’architecte Chloé Macary-Carney et de l’artiste Léticia Chanliau, le Women Cave Collective se montre polyvalent en travaillant la revue, le fanzine, ou encore la scénographie. C’est autour du Woman Journal que la discussion s’est lancée : les deux éditrices font tout elles-mêmes. De la couverture à la distribution en France, Léticia explique la naissance de cette revue, et comment son identité s’est créée au fur et à mesure des nouveaux numéros. Cet échange a révélé les différentes étapes nécessaires à la création d’une édition bi-mensuelle, mais aussi une économie de moyens de l’édition, c’est-à-dire les techniques et astuces mises en place pour dépenser le moins possible et se débrouiller. L’alternance avec l’édition de fanzines permet également aux deux créatrices de donner vie à des supports beaucoup plus spontanés
Offprint a mis en lumière des maisons d’éditions dont je n’avais pas connaissance, qui proposent des ouvrages singuliers et contemporains. Il m’a également permis de plonger totalement dans le monde de l’édition, et d’avoir le regard d’un grand nombre de professionnels, ce qui sera certainement très utile à l’avenir. J'ai apprécié de me retrouver dans un espace baignant dans une atmosphère aussi inspirante, et trouver des personnes partageant cet amour de la création.
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Un biologiste romand de renom licencié de l'UNIL après des accusations de harcèlement sexuel
C’est une figure de la recherche en Suisse romande. Laurent Keller, 61 ans, a quitté l’Université de Lausanne le 6 février 2023. Ce biologiste de l’évolution très réputé, spécialiste des fourmis, titulaire en 2015 du prix Marcel Benoist (le «Nobel suisse»), laisse derrière lui toute une équipe de recherche désemparée. Que s’est-il passé?
La revue Science lève une partie du voile sur les conditions de ce départ inattendu — en réalité, un licenciement. Le chercheur serait sous le coup d’accusations de comportements toxiques ou déplacés, voire de harcèlement sexuel, au travail. L’intéressé nie formellement les accusations et entend se pourvoir en justice.
Ce qui lui est reproché. Les allégations proviendraient d’«au moins trois» anciennes collaboratrices de Laurent Keller, rapporte Science. Elles concernent des faits d’injures, remarques désobligeantes, drague insistante, voire de harcèlement sexuel, auprès de collaboratrices ou d’étudiantes. Un signalement en particulier aurait motivé le licenciement du biologiste.
L’enquête, mandatée par l’université, n’a pas été confiée au groupe Impact, l’entité du canton de Vaud habituellement en charge de ces affaires – objet de récentes critiques – mais à deux avocates externes, Camille Maulini et Clara Schneuwly, membres du Collectif de défense, une étude spécialisée dans les affaires de harcèlement sexuel et qui ne fait pas mystère de son engagement.
Du côté de l’université. L’Université de Lausanne confirme que Laurent Keller ne travaille plus dans l’institution depuis le 6 février, mais indique ne pas pouvoir communiquer d’autres éléments, pour des raisons juridiques. Le laboratoire dirigé par le biologiste continue de fonctionner, et les contrats des doctorants seront respectés, précise sa porte-parole.
L’affaire intervient dans un contexte singulier pour l’UNIL, mise sous pression pour sa gestion d’affaires de harcèlement sexuel ou de sexisme entre ses murs, à la suite d’un audit externe rendu public en 2021, puis d’une enquête interne en 2022. L’institution affiche une politique de tolérance zéro sur le sujet.
Des témoignages en demi-teinte. Certains témoignages recueillis par la revue américaine confirment que le biologiste de l’évolution avait la réputation d’être très entreprenant lors des événements péri-professionnels. Deux autres ex-collaboratrices contactées par Science indiquent n’avoir jamais été victimes – ni même témoins – de comportements déplacés.
La NZZ, qui a aussi mené l’enquête, confirme que plusieurs anciens collaborateurs défendent Laurent Keller, «parfois avec véhémence». Sur la base d’une demi-douzaine de témoignages, le journal alémanique évoque un chercheur décrit comme pouvant se montrer «agressif» et ne reculant pas devant les critiques «personnelles». Mais aucun n’a été témoin de faits de nature sexuelle ou d’autres comportements pénalement répréhensibles.
Du côté du mis en cause. Laurent Keller nie ces allégations, indique sa volonté de se pourvoir en justice, et rappelle que beaucoup de chercheuses et d’étudiantes avec des carrières académiques brillantes sont passées par son laboratoire.
Il se dit «très affecté» et nous fait parvenir ce communiqué:
«Je fais l’objet d’allégations de comportement répréhensible que je conteste en totalité. En 2019, j’ai été blanchi d’une accusation similaire par un rapport d’enquête officiel. L’accusation nouvelle formulée à mon encontre ne repose sur aucun fait avéré. Rien ne justifie aujourd’hui la mesure de licenciement qui m’a été signifiée, après 32 années de bons et loyaux services, par le rectorat de l’Université de Lausanne. J’entends du reste ouvrir prochainement une action en justice contre cette procédure abusive.
Tout au long de ma carrière académique, j’ai attaché la plus grande importance à la science et à la transmission des savoirs dans un environnement d’études, de recherche et de travail ouvert et respectueux, sans distinction de genre, d’origine ou de hiérarchie. Ces valeurs m’ont toujours guidé, elles sont essentielles et je n’y ai jamais dérogé.»
«On dépose une action en dommages et intérêts contre l’UNIL auprès du Tribunal de prud'hommes de l'Administration cantonale», nous confirme Me Christian Bettex, l’avocat de Laurent Keller. «Les accusations sont absolument contestées et on fera valoir ça avec vigueur.»
Patricia Wimer
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Le Bureau des Affaires Lexicales, représenté par Sophie Cure, graphiste et artiste et Joseph Bourillon, performeur (collectif BIM)
Le temps de quelques semaines à l’été 2024, le B.A.L a installé ses quartiers généraux à Saint-Claude. Au travers de différents ateliers qui mettent en relation le corps et les mots, les agents du B.A.L ont récolté de précieuses données. Ces séances collectives ont pris plusieurs formes : conseil lexical, élection du mot du jour, discussions corporelles, chorégraphies à l’aveugle, excursions dans l’espace public, des gestes parlants, des sons détonnants et des choses ordinaires.
À l’issue de ces missions menées à bien, un grand journal a été imprimé sur nos presses en 80 exemplaires, journal qui accompagne la performance « journal - spectacle » du samedi.
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Par Johan de Moor La tentative d’assassinat de Donald Trump en plein meeting électoral, le 13 juillet, à Butler en Pennsylvanie, vient bouleverser la campagne électorale américaine. Un acte de violence politique qui n’est pas sans rappeler d’autres épisodes sombres de l’histoire américaine et qui fait de Trump un “symbole”. Courrier international
Les armes Aux Etats-Unis, une passion morbide et schizophrène
Dans Le Soir du 15 juillet 2024
Cela en deviendrait presque banal, s'il n'y avait ces vies fauchées en rafales et ces familles endeuillées. Les Etats-Unis restent le pays qui enregistre le plus de tueries de masse (au moins quatre victimes) au monde. Avec, à chaque massacre, cette question lancinante : comment la première démocratie de la planète accepte-t-elle que des fusils, pistolets et revolvers puissent être acquis en vente libre par ses citoyens alors qu'en 2022, le journal USA Today évaluait le nombre moyen de massacres à 24 par an ? Soit un tous les quinze jours. Un pic a même été atteint l'année passée avec 38 mass shooting et 197 victimes recensées, alerte Courrier international.
« En 2022, quelque 45.222 morts par arme à feu ont été recensées aux Etats-Unis, ce qui représente un nombre de morts par arme à feu par habitant nettement plus élevé que dans les autres pays industrialisés », relève Amnesty international. Quoi de plus surprenant ? Tous les Etats américains autorisent le port d'une arme dans un lieu public à condition que celle-ci soit dissimulée. Et si posséder une arme nécessite un permis dans une vingtaine d'Etats (dont tous ceux de la côte Ouest et une bonne partie de ceux de la cote Est), l'absence d'autorisation est la règle dans 27 autres. Et, selon le site Statista, 42 % des ménages américains possèdent une arme à feu.
L'imaginaire collectif américain s'est construit autour du rapport à la violence, et ce depuis la conquête de l'Ouest
Ce rapport aux armes à feu est inscrit dans la culture américaine, jusque dans l'acte de naissance du pays. Ainsi la Déclaration des droits, publiée en 1791, autorise les Américains à « porter et détenir des armes » et à constituer des milices. Et cela afin de permettre à chaque Etat de mobiliser une armée, dans l'hypothèse d'une attaque britannique, dont l'armée avait été vaincue en 1783. Longtemps interprété comme un droit collectif à se mobiliser pour faire face à une agression, cet amendement a reçu une autre lecture de la Cour suprême des Etats-Unis en 2008, consacrant le principe d'une liberté individuelle pour chaque Américain d'être armé.
L'influence de la NRA
Un principe auquel reste attachée une large part de la population. Et cela même si les tueries de masse perpétrées régulièrement aux quatre coins du pays font progresser sporadiquement l'idée, portée par les Démocrates, qu'il faut encadrer ce droit. Mais pas l'interdire. Car l'imaginaire collectif américain s'est construit autour du rapport à la violence, et ce depuis la conquête de l'Ouest (mythifiée dans les Western par l'industrie cinématographique). Et le choix de posséder une arme se nourrit également d'une méfiance « fédérée » à l'égard de l'Etat fédéral.
« Le gouvernement fédéral n'a pas la possibilité d'abroger ou de modifier ce texte sur le droit de s'armer. D'après le dixième amendement de la Déclaration des droits, les pouvoirs qui ne sont pas donnés à l'Etat fédéral par la Constitution appartiennent aux Etats fédérés », expliquait Le Monde sur son site internet, le 15 février dernier, au lendemain de la fusillade qui avait éclaté à Kansas City, en marge de la parade du Super Bowl. Toutefois, il peut inciter ceux-ci, via des subventions, à légiférer sur la question.
En septembre 2023, Joe Biden est parvenu à faire adopter le Bipartisan Safer Communities Act puis à créer le Bureau fédéral pour la prévention de la violence armée. Mais ces tentatives de restreindre la possession d'armes à feu se heurtent à ce secteur industriel (plus de 70 milliards de dollars de chiffre d'affaires annuel) et à la National Rifle Association of America, le plus influent des lobbies américains pro-armes. Forte de plus de quatre millions d'adhérents, la NRA dépense des dizaines de millions de dollars à chaque élection présidentielle pour soutenir le candidat républicain, lequel défend le maintien du deuxième amendement. En face, le mouvement «Marche pour la vie » et une série d'ONG se mobilisent. Et le mois dernier, Vivek Murthy, l'administrateur de la santé publique (Surgeon General) des Etats-Unis, a appelé à lutter contre ce fléau qualifié de « crise de santé publique ». Il y a des innovations dont on ne sait pas si on doit se réjouir ou non. Les Américains et les armes à feu, on sait que c'est une longue histoire et voilà que dans certains États, (Alabama, Oklahoma, Texas), on peut désormais acheter des balles à des distributeurs installés dans des épiceries.
Aux États-Unis, l’insécurité fait fuir de plus en plus de touristes
Longtemps perçu comme une valeur sûre, le voyage aux États-Unis attire moins. Parmi les causes, la violence par armes à feu, souvent spectaculaire, raconte “USA Today” dans un article qui fait la une du quotidien.
Courrier international
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Un biologiste romand de renom licencié de l'UNIL après des accusations de harcèlement sexuel
Le biologiste de l'évolution Laurent Keller, sommité mondiale dans sa discipline, vient de quitter l'Université de Lausanne. On en sait plus sur les dessous de ce qui s'avère être un licenciement.
C’est une figure de la recherche en Suisse romande. Laurent Keller, 61 ans, a quitté l’Université de Lausanne le 6 février 2023. Ce biologiste de l’évolution très réputé, spécialiste des fourmis, titulaire en 2015 du prix Marcel Benoist (le «Nobel suisse»), laisse derrière lui toute une équipe de recherche désemparée. Que s’est-il passé?
La revue Science lève une partie du voile sur les conditions de ce départ inattendu — en réalité, un licenciement. Le chercheur serait sous le coup d’accusations de comportements toxiques ou déplacés, voire de harcèlement sexuel, au travail. L’intéressé nie formellement les accusations et entend se pourvoir en justice.
Ce qui lui est reproché. Les allégations proviendraient d’«au moins trois» anciennes collaboratrices de Laurent Keller, rapporte Science. Elles concernent des faits d’injures, remarques désobligeantes, drague insistante, voire de harcèlement sexuel, auprès de collaboratrices ou d’étudiantes. Un signalement en particulier aurait motivé le licenciement du biologiste.
L’enquête, mandatée par l’université, n’a pas été confiée au groupe Impact, l’entité du canton de Vaud habituellement en charge de ces affaires – objet de récentes critiques – mais à deux avocates externes, Camille Maulini et Clara Schneuwly, membres du Collectif de défense, une étude spécialisée dans les affaires de harcèlement sexuel et qui ne fait pas mystère de son engagement.
Du côté de l’université. L’Université de Lausanne, contactée par Heidi.news, confirme que Laurent Keller ne travaille plus dans l’institution depuis le 6 février, mais indique ne pas pouvoir communiquer d’autres éléments, pour des raisons juridiques. Le laboratoire dirigé par le biologiste continue de fonctionner, et les contrats des doctorants seront respectés, précise sa porte-parole.
L’affaire intervient dans un contexte singulier pour l’UNIL, mise sous pression pour sa gestion d’affaires de harcèlement sexuel ou de sexisme entre ses murs, à la suite d’un audit externe rendu public en 2021, puis d’une enquête interne en 2022. L’institution affiche une politique de tolérance zéro sur le sujet.
Des témoignages en demi-teinte. Certains témoignages recueillis par la revue américaine confirment que le biologiste de l’évolution avait la réputation d’être très entreprenant lors des événements péri-professionnels. Deux autres ex-collaboratrices contactées par Science indiquent n’avoir jamais été victimes – ni même témoins – de comportements déplacés.
La NZZ, qui a aussi mené l’enquête, confirme que plusieurs anciens collaborateurs défendent Laurent Keller, «parfois avec véhémence». Sur la base d’une demi-douzaine de témoignages, le journal alémanique évoque un chercheur décrit comme pouvant se montrer «agressif» et ne reculant pas devant les critiques «personnelles». Mais aucun n’a été témoin de faits de nature sexuelle ou d’autres comportements pénalement répréhensibles.
Du côté du mis en cause. Laurent Keller nie ces allégations, indique sa volonté de se pourvoir en justice, et rappelle que beaucoup de chercheuses et d’étudiantes avec des carrières académiques brillantes sont passées par son laboratoire.
«Je fais l’objet d’allégations de comportement répréhensible que je conteste en totalité. En 2019, j’ai été blanchi d’une accusation similaire par un rapport d’enquête officiel. L’accusation nouvelle formulée à mon encontre ne repose sur aucun fait avéré. Rien ne justifie aujourd’hui la mesure de licenciement qui m’a été signifiée, après 32 années de bons et loyaux services, par le rectorat de l’Université de Lausanne. J’entends du reste ouvrir prochainement une action en justice contre cette procédure abusive.
Tout au long de ma carrière académique, j’ai attaché la plus grande importance à la science et à la transmission des savoirs dans un environnement d’études, de recherche et de travail ouvert et respectueux, sans distinction de genre, d’origine ou de hiérarchie. Ces valeurs m’ont toujours guidé, elles sont essentielles et je n’y ai jamais dérogé.»
«On dépose une action en dommages et intérêts contre l’UNIL auprès du Tribunal de prud'hommes de l'Administration cantonale», nous confirme Me Christian Bettex, l’avocat de Laurent Keller. «Les accusations sont absolument contestées et on fera valoir ça avec vigueur.»
Auteur : Federico Suárez
Courriel de contact : [email protected]
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Journal du mercredi 11 janvier 2023.
Vents d’Est : avril 1993-Avril 1999.
Les minorités dans l’ex-monde communiste d’Europe de l’est après la chute de l’empire soviétique. Je vais dans ce journal vous présenter dans le désordre des photos de ce travail initié en 1993 et terminé en 1999, prix Eugene Smith à New York en 1997.
Je suis en Crimée en 1998 pour travailler sur la minorité Tatar.
Peuple puni par Staline, accusé de collaboration avec l’armée allemande pendant la seconde guerre mondiale, les Tatars furent déportés massivement vers l’Oural, la Sibérie, le Kazakhstan et l’Oubekistan les 17 et 18 mai 1944.
Les tatars furent les derniers des « peuples punis » à être rentrés d’exil, à partir de 1989.
Retours isolés d’abord, le retour collectif a commencé avec la dislocation de l’Union Soviétique à partir de 1989.
Mal accueillis par les russes majoritaires dans la péninsule, les tatars furent vite soupçonnés de séparatisme. Ils s’installèrent souvent dans des petits villages sans eau ni électricité.
Depuis 1991, la défense des intérêts des Tatars est prise en charge par une organisation, le Mejlis (assemblée) des Tatars de Crimée qui, le 30 juin de cette même année, déclara la souveraineté des Tatars de Crimée et adopta un hymne national, ainsi qu'un drapeau, le Qırımtatar bayrağı ou Kök bayraq. Depuis 1998, l'organisation envoie 14 députés au parlement ukrainien (Rada), dont son leader, Mustafa Abdülcemil Qırımoğlu. Elle est soutenue financièrement par la Turquie.
La Crimée fut annexée illégalement par la Russie en février 2014 et son rattachement à la Fédération de Russie le 18 mars.
Le 17 avril 2014, l'une des figures politiques des Tatars, Moustafa Djemilev, se voit interdire par Vladimir Poutined'entrer sur le territoire de la Crimée. En 2015, la chaine de télévision ATR des Tatars de Crimée est fermée par le régulateur des médias russe.
En 2016, l'Assemblée générale des Nations unies condamne les mesures et pratiques de discriminations à l'encontre des Tatars de Crimée ainsi que d'autres groupes ethniques et religieux par la Russie. Elle réclame également que la Russie révoque la décision de considérer le Mejlis comme une organisation extrémiste.
De nombreux Tatars, traditionnellement hostiles à Moscou se sont réfugiés en Turquie, mais ils représentent encore 13% de la population en Crimée. Depuis la mobilisation forcée avec la guerre, les jeunes Tatars se retrouvent massivement convoqués pour aller combattre en Ukraine au point même d’accuser le Kremlin de vouloir les éliminer. Dans certains villages, il ne reste que des personnes âgées. (Journal de 13 heures de France Culture, lundi 9 janvier 2023). « C’est un moyen de se débarrasser des Tatares de Crimée. En les mobilisant de force, on les envoie se faire massacrer en Ukraine »déclare un tatar exilé en Turquie.
Photo du journal d’aujourd’hui : Peuplement tatar de Ajigol. Il y a beaucoup de pauvreté parmi les nouveaux arrivés. Environ 70 familles vivent dans ce peuplement. Les hommes vont travailler en Russie, laissant seuls et avec très peu de ressources femmes et enfants.
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CHAMPS DE RONCES N°5 Projet éditorial collectif et militant Champs de ronces est un journal autonome de textes et d’images, politiques et poétiques. Il accompagne les luttes, rurales et citadines, et leurs convergences. Il se positionne contre le capitalisme patriarcal, raciste et mortifère. Imprimé en risographie Atelier Mcclane Prix : 2€
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5 mars
aujourd’hui j’ai fait une banana cream pie pour l’anniversaire de manon et en remuant ma crème pâtissière à la noix de coco, comme depuis a., à chaque fois que je fais une crème pâtissière maintenant dans ma tête je la fais pour une fille, plus ou moins inaccessible, je pensais à laura a. je fais de la crème pâtissière pour mes amantes imaginaires. ça rime. je vais le mettre dans ma chanson. celle qui n’existe pas encore mais qui dit aussi les filles existent et moi je pleure. j’ai brièvement imaginé ma vie de couple avec laura dans son appart de jette, moi derrière les fourneaux en train de remuer ma crème pâtissière, elle qui rentre du studio où elle vient de répéter toute la journée, elle travaille trop, elle a pas le temps de cuisiner alors c’est moi qui lui cuisine des bons petits plats. dans mes fantasmes je suis la femme au foyer d’une danseuse de 46 ans. je sais pas si c’est normal. elle me donne tellement envie de savoir danser, c’est tragique que je sois pas gracieuse ni coordonnée, ça me tue, la danse est la plus belle chose du monde (avec la musique) et je suis tellement triste de pas pouvoir en faire partie. de devoir me contenter de regarder.
à part ça ce weekend j’ai découvert les mochis et à chaque fois que j’en mange je suis morte de rire, je sais pas pourquoi. j’ai regardé un doc sur l’univers et ils parlaient des naines blanches qui risquent en permanence de s’autodétruire à cause de la force gravitationnelle qui émane de leur centre et ça m’a fait penser à mon rêve de la mort avec la ferraille et les coulisses du temps, et puis j’ai commencé à lire le texte de r. sur lequel elle veut travailler pour la performance, elle y parle du taoïsme et d’une maison qui représente l’univers et le cosmos, devant et derrière la maison c’est le futur et le passé et y a une rivière qui coule qui représente le temps et les souvenirs, je crois. aussi: j’ai vraiment envie de me replonger dans l’écriture de mon livre là. c’est cette histoire avec laura qui m’a redonné envie. cette histoire de littérature mêlée à la vie. mais pour qu’il y ait littérature, il faut écrire.
8 mars
j’écris dans le train parce que j’ai peur de pas avoir le temps à genève. j’adore dire que je vais à genève pour travailler. travailler sur un projet. travailler avec mon collectif. je vais faire une résidence. je vais “bosser sur une créa” comme cybille. “do some research” comme magdalena dans le studio de danse de molenbeek. je fais des trucs d’artiste. j’ai trouvé une conversation de deux heures entre laura a. et son ami bruno que j’avais rencontré au studio et que j’avais trouvé incroyablement chaleureux, je crois qu’il est brésilien. j’en ai regardé la moitié lundi soir alors que je voulais regarder recherche maison ou appartement spécial bord de mer, mais stéphane plaza ne tenait pas le cap face à laura a. j’ai appris plein de de choses sur la danse, c’était trop bien, ok j’arrive plus à me concentrer deux femmes écoutent du métal mongol à côté de moi.
je suis chez r. et je dors seule, quel soulagement. s. est pas encore arrivée à cause des grèves. j’étais brièvement de retour dans l’appart de f. à zurich cet après-midi, enveloppée dans une grande couverture jaune sur le canapé à lui poser des questions sur sa vie et à écouter ses réponses sans qu’elle m’en pose en retour donc je lui ai pas pipé mot de laura ni du workshop à bruxelles ni de rien du tout. laura ça reste une affaire entre moi et mon journal. je regardais la grande armoire en bois encastrée dans le mur avec la grande plante verte devant et ça me donnait terriblement envie d’avoir un appartement à moi, avec une grande armoire en bois pour mettre ma petite collection de vaisselle dépareillée et pouvoir y inviter mes ami.es et mon amoureuse pour faire des dîners et mettre la table et préparer des playlists et leur faire des gâteaux avec de la CRÈME PÂTISSIÈRE. j’ai décidé de dédier un chapitre de mon livre à la crème pâtissière. elle mesure pas sa chance f. je lui ai dit que je voulais déménager à bruxelles parce que j’étais amoureuse, et puis j’ai ajouté de bruxelles, parce que bon je suis pas amoureuse de laura a. à ce point non plus, et elle a dit qu’elle trouvait que c’était un peu crade à son goût et que ça craignait trop. moi aussi je trouve que c’est crade bruxelles mais je veux être plus comme laura a. et trouver ça excitant. même si j’adore secrètement me sentir safe dans les rues cossues de genève.
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"La vieille Espagne se transformer," Le Petit Journal. October 1, 1933. Page 4. --- Problèmes et conflits du travail. - Propriétés confisquées. - Salaires de misère. --- Voici le troisième et dernier article, d'une série consacrée à l'étude de la situation actuelle en Espagne. Au lendemain de sa révolution, ce pays se trouve en présence de difficultés communes au monde entier, et aussi de difficultés particulières. Nous avons traité des difficultés particulières, tout au moins des principales mouvement autonomiste catalan; question religieuse. Il est intéressant de voir maintenant comment la république s'efforce de résoudre des difficultés économiques créés par la crise.
UN DEMI-MILLION DE CHOMEURS L'Espagne compte environ 450,000 chômeurs, officiellement. Le chiffre réel est forcément plus élevé encore. Mais en outre, le niveau des salaires de ceux qui travaillent est un des plus bas du monde civilisé, de sorte que bien des ménages d'ouvriers vivent dans une situation proche de la misère.
L'homme que l'on a chargé d'améliorer cet état de choses est Don Francisco Largo Caballero, ministre du travail depuis la chute de la mo- narchie. Un homme grisonnant de 64 ans, qui a milité toute sa vie dans les unions ouvrières et aussi dans le parti socialiste. Anti-monarchiste notoire, il s'est aussi, sous l'ancien régime, livré à des manifestations qui lui valurent de brefs séjours en prison. Il y rencontra même Alcala Zamora, aujourd'hui président de la république.
CODE DU TRAVAIL Caballero a fait voter 125 lois. constituant une sorte de code du Travail. Mais la clef de voûte de cet édifice est une loi règlant les rapports entre patrons et employes. Son but est de substituer aux contacts personnels des deux parties les contrats collectifs. Ces contrats ne sau- raient contenir de clauses inférieures aux minima fixés par les lois. Des jurys mixtes, composés de six patrons et six employés, sont constitués dans chaque région pour aplanir les conflits. Et des deux côtés l'on doit s'en remettre à ces jurys. Le gouvernement espagnol tend à prohiber le recours à la grève. En certaines régions, où la situation politique est la plus tendue, la grève est formellement interdite.
Signalons que la loi accorde aussi au personnel un droit de regard sur les comptes de l'entreprise et une participation aux bénéfices. Mais les ouvriers de leur côté sont soumis à certaines obligations de travail effi- cace, de fidélité à leur entreprise, et de discrétion quant aux secrets de celle-ci. Les adversaires les plus résolus de ces lois sont les communistes, ce qui est singulier et intéressant à noter.
Nous avons dit que les salaires sont faibles en Espagne. Il y a il est vrai certaine contre-partie dans le bon marché de la vie. Le salaire moyen d'un ouvrier agricole est de 70 cents à un dollar par jour. Celui d'un ouvrier d'industrie est d'environ $1.50. Les métiers exigeant des ouvriers qualifiés une certaine technique, comme par exemple l'imprimerie paient de $1.70 à $1.80. Les employés de commerce touchent des traitements analogues.'
PROBLEME AGRICOLE Le problème agricole est, lui aussi, très sérieux, et bien différent de celui qui se pose aux Etats-Unis ou au Canada par exemple. Les trois quarts des Espagnols vivent à la campagne. Et des millions d'entre eux sont comme des serfs attachés à la glèbe qu'ils ne possèdent pas. Là encore le chômage sé durement pour chaque poste duvrier agricole, il se présente ving, candidats.
La propriété est peu divisée en Espagne, et de grands propriétaires fonciers possèdent d'immenses étendues de terrain. C'est à cela surtout que s'est attaqué M. Marcelino Dominguo, ministre de l'Agriculture dans le cabinet présidé, et vigoureusement dirigé par M. Azana. On a créé un Institut de réformes agraires. Cet Institut a dressé v'inventaire des propriétés foncières, et l'on a confisqué nombre de res vistes domaines. L'Etat reste propriétaire de ces terres, et les loue à bon compte aux paysans. Quel sera le fruit de cette politique ? On le sauradans quelques années. Si les paysans sont satisfaits, la jeune république sera consolidée. Si au contraire l'ex- périence échoue, les masses paysannes apportant leur soutien aux éléments restés monarchistes, la face des choses pourra changer. Image caption: Voici, au-dessus d'un maigre fleuve, un pont en dos d'âne dans on paysage encerclé de montagnes. Le tout, inondé de soleil, constitue un aspect typique de la campagne espagnole. A gauche un marchand d'habits dans une rue du vieux Madrid.
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