#journal collectif
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FESTISOL 2023 : l'ONG Save Our Planet sensibilise à la préservation des semences locales
La préservation des semences locales revêt une importance cruciale pour garantir la diversité génétique des cultures et la souveraineté alimentaire des communautés. L’ONG Save Our Planet, consciente de cet enjeu, a organisé, à l’occasion du FESTISOL COLLINES 2023, une sensibilisation grand public sur la nécessité de préserver les semences locales. Vue d’ensemble Festisol 2023 / ONG Save Our…

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#Biodiversité#CGLTE-Afrique de l&039;ouest#Collectif FESTISOL 2023#FESTISOL 2023#Journal Santé Environnement#Ministère du Cadre de Vie et du Développement Durable#ONG Save Our Planet#Sécurité alimentaire#Semences locales
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Dysfonctionnements des heures creuses/ heures pleines
Le collectif Stop linky Rivesaltes nous communique sous le titre Nouvelle stratégie d’ENEDIS ? avec prière d’insérer : “Depuis un certain temps nous parviennent différents témoignages. On a constaté dans de nombreuses communes ainsi qu’un certain nombres de départements, l’absence de déclenchement des Heures Creuses pour les anciens compteurs concernés. Un dysfonctionnement des heures creuses…

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#2023#Collectif Stop Linky#Enedis#Journal Catalan#Le compteur Linky n’est toujours pas obligatoire#Le Journal Catalan#Pyrénées-Orientales#Rivesaltes
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Journal d'un photographe
Samedi 8 mars 2025.
Journée internationale des droits des femmes. Beaucoup de monde. Beaucoup de drapeaux palestiniens. Les femmes juives françaises ont dû manifester à part et sous la protection de la police. Je croyais sans doute bêtement que cette marche était pour toutes les femmes, contre toutes les exclusions, contre tous les racismes. Sauf pour les juifs.
Seules les femmes du collectif iranien "femmes Azadi" ont défilé à côté de "Nous vivrons".
Je n'en écrirais pas plus mais je n'en pense pas moins.
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CHAMPS DE RONCES N°6 Projet éditorial collectif et militant Champs de ronces est un journal autonome de textes et d’images, politiques et poétiques. Il accompagne les luttes, rurales et citadines, et leurs convergences. Il se positionne contre le capitalisme patriarcal, raciste et mortifère. Imprimé en risographie Atelier Mcclane Prix : 2€
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26 juin
j’ai répondu à ses messages et l’orage a éclaté, il pleut averse. je me suis assise sur le rebord de la fenêtre pour regarder la pluie tomber dans la cour. le ciel s’est assombri d’un coup et des plastiques se sont mis à voler en l’air et la voisine d’en face est sortie sur son balcon dans sa robe jaune pour mettre les fauteuils à l’abri. elle a la lumière allumée chez elle, il a l’air d’y faire très sombre. hier j’ai dit à n. que ça me rappelait mon dernier appart à paris et la dépression et elle a fait une grimace de compassion et je me suis de nouveau dit que j’étais too much dans ma misère.
ça va un peu mieux maintenant que je lui ai écrit, j’ai l’impression d’être sur la bonne voie. dans ses messages il dit que c’est pas la première fois que ça lui arrive, que quelqu’un développe des sentiments amoureux pour lui suite à une relation épistolaire, et qu’il commence à se poser des questions parce que ça le fait flipper de causer de la souffrance. il dit que c’est pour ça qu’il a mis autant de temps à me répondre et qu’il s’excusait si ç’avait été angoissant pour moi. je suis qu’à moitié convaincue par son excuse mais samedi soir ses longues réflexions et ses questionnements et ses excuses n’ont fait qu’empirer mon désespoir parce que je trouvais ça tellement gentil qu’il ait mis autant de soin et d’attention dans sa réponse. même si ça lui a pris quatre jours.
hier soir dans la cour ombragée de la pizzeria avec des grosses tables en bois on discutait d’écriture et je lui racontais comment avec le journal, la vie se transformait en fiction et comment les deux se nourrissaient l’un l’autre et comment c’était à double tranchant parce que 1. écrire est cathartique et permet de mettre de la clarté dans ses pensées/ne pas devenir folle, et puis ça donne de la forme aux choses, ça leur donne un sens, et donc c’est rassurant, mais 2. ça nourrit la bête du drame et ça monte les choses en épingle, et elle était tout à fait d’accord avec moi et c’est tellement cool de pouvoir discuter de ça avec quelqu’un qui sait de quoi je parle. elle m’a dit qu’elle m’enverrait le pdf de son roman d’autofiction. ça parle d’une fille de 27 ans qui se cherche à berlin. on a dit qu’on allait faire une performance pour le 48h neukölln de l’année prochaine, elle va essayer de devenir amie avec le collectif queer féministe qui a fait l’installation qu’on a vue ce matin avec les projections et le papier mâché et les phrases écrites au mur tout droit sorties de staying with the trouble de donna haraway, vocabulaire compris, et puis moi j’ai dit que je savais où gratter des soutiens financiers au luxembourg et c’est parti mon kiki. peut être que je devrais vraiment venir ici au lieu d’aller à bruxelles. mais berlin a trop de gens qui m’agacent. trop de gens tout court.
27 juin
bon j’allais plus ou moins bien et voilà que r. a répondu à mes messages de hier par yeah et merci de tes réponses et ç’a suffit à me faire retomber dans la spirale de l’angoisse, l’angoisse qu’il veuille plus rien avoir affaire avec moi, que j’aie tout fait foirer avec mes réponses, que c’était pas les bonnes, que j’aie pas répondu ce qu’il fallait, qu’il veuille même plus être mon ami maintenant, que je l’aie totalement perdu. comme a. everyone is always leaving. j’en ai marre qu’il monopolise toutes mes pensées. mais le pire c’est qu’il monopolise 85% de ce journal aussi. dans ses messages vocaux il se demandait s’il avait fait ou dit des trucs équivoques qui auraient pu me faire penser qu’il flirtait, et je lui ai dit non à posteriori non, et puis j’ai pensé à mon journal, où toute notre relation est documentée depuis le début et où on voit mon illusion se mettre en place, on voit mon cerveau dysfonctionnel à l’oeuvre, mon cerveau rempli de vers tout troué comme un vieux volcan.
30 juin
dernier jour de ce mois de juin très citadin mi figue mi raisin, le seul truc figue étant r. qui m’aime pas et le truc le plus raisin ma perf à la bellone évidemment. je mets quand même ma rencontre avec r. dans les trucs raisin aussi, malgré la nature différente de notre intérêt l’un pour l’autre, j’ai bien aimé le rencontrer. n. me disait qu’elle avait commencé à faire des demandes claires à l’univers et que les deux dernières fois ç’avait marché. mais peut être que le pouvoir de l’univers n’est pas assez grand pour faire tomber quelqu’un amoureux.se de moi. qu’est-ce qui est plus grand que l’univers alors? rien? on parlait de ses histoires d’amour malheureuses et elle disait qu’une histoire d’amour n’avait pas besoin de bien se terminer pour être belle et j’ai dit ohlala j’en demande pas tant, déjà un début ce serait bien, et elle m’a regardée avec un air de grande commisération. samedi soir je lui ai raconté que j’avais essayé de sentir l’amour de jésus à la messe polonaise mais que ç’avait pas marché et puis je lui ai raconté la fois où paule s. m’avait envoyée chez un prêtre parce qu’elle savait plus comment m’aider et qu’elle pensait que tout ce dont j’avais besoin pour guérir c’était peut être de l’amour. n. était morte de rire mais moi ça continue à m’angoisser cette histoire. je lui ai dit que j’avais peur de finir par mourir de manque d’amour et je lui demandais comment on en mourrait, concrètement? en développant un cancer? elle m’a dit qu’on pouvait mourir d’un coeur brisé aussi mais j’ai pas l’impression que c’est ça mon problème, ou alors c’est plutôt une histoire d’usure, à force de pas être aimée en retour. mais concrètement, comment on en meurt? à part le suicide?
sous la photo où je mange une glace menthe chocolat que j’ai postée sur ig j’ai mis: lara mange une glace menthe chocolat à berlin 2 euros la boule le soleil vient de se coucher je suis en vie. c’était samedi soir, avant d’avoir écouté les messages de r., je sais plus pourquoi je me sentais vivante et j’étais un peu déçue qu’on rentre avant minuit, mais j’ose jamais proposer aux gens de sortir si ça vient pas d’eux parce que, comme je bois pas et je danse pas et je suis pas fun, j’ai toujours peur que la personne me dise mais tu veux faire quoi alors? on s’est assises sur le bord du trottoir de la admiralbrücke pour discuter, quand j’avais vingt ans c’était mon deuxième pont préféré de berlin (après la oberbaumbrücke) parce que j’étais fascinée par tous les gens assis par terre au milieu de la route et y avait toujours quelqu’un qui lisait ou qui jouait de la guitare perché sur un des piliers et je trouvais ça très cool parce que j’étais jeune et impressionnable. samedi j’ai trouvé ça un peu bof et j’en avais un peu marre d’être assise par terre. n. m’a demandé what kind of guys do you like? et j’ai dit tall and skinny with curly hair comme quand j’avais seize ans et puis je lui ai montré une photo de r. et elle a dit oh wow he’s so pretty! i thought you didn’t like pretty boys! et comme à ce moment-là j’avais encore un petit espoir, j’ai senti une petite pointe de fierté et j’ai dit well he’s cute, mais maintenant que j’y repense, je me sens complètement ridicule et tellement naïve d’avoir pu penser un instant qu’un mec comme lui puisse être attiré par une fille comme moi. même si je sais que c’est pas comme ça qu’il faut penser. mais est-ce que c’est pas comme ça que marche le monde? est-ce que je ne suis qu’une énième victime de la longue liste de filles qu’il a fait chavirer avec ses points d’exclamation et ses tiktok débiles?
et puis elle m’a demandé quel genre de filles j’aimais et j’ai dit toutes. je lui ai montré rebeka w. et elle a dit she looks old! et j’arrivais pas à croire que ce soit ça sa première réaction. old?? j’ai dit i like older women. lol. un jour je lui ai demandé comment elle pouvait pas aimer les filles et elle a dit i like the unknown. mais les filles c’est pas autant l’inconnu que les garçons? si ce n’est plus, puisqu’il existe à peu près un milliard de fois plus de représentations de sexe hétéro que lesbien. même si on a biologiquement le même corps, pour moi y a pas de territoire plus lointain et exotique que le sexe lesbien. c’est la jungle amazonienne, c’est les tropiques et l’hémisphère sud et l’arctique et l’antarctique en même temps, des endroits qui me semblent totalement inaccessibles mais je sais qu’ils existent et peut être qu’un jour j’irai, qui sait. peut être que le prochain date sera le bon. déjà si c’est un vrai, je serai contente. god is change. j’ai parlé d’ocatvia butler à n. et elle disait for me god is love et j’ai dit ok mais alors l’amour des arbres et des fleurs et de la mer et de la terre et tout ça et elle a dit yes of course.
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I asked my awesome friend psiten (https://bsky.app/profile/psiten.bsky.social) for help, and they were able to get some of the sources! They are not on tumblr, so asked me to pass along the stuff.
If that doesn't go directly to the page, you may have to enter p. 545 in the browser, but it's there, and there's an OCR of the text available.
They were not able to find a digitized version of this one, but someone is selling it on ebay:
You should not buy unless you can verify the month, because apparently this was a MONTHLY journal, and they think that you're going to want the one from October 1934, specifically.
Otherwise, they say they recommend searching a lot of used bookstores VERY carefully, and looking for french libraries that might have scanned copies for review, but it is not just hanging out on the internet.
The article you cite is in the July edition of 1934 volume. According to them,
I'm not in a position to translate this right now. They're going to need to find someone else who can do that. But based on a quick look, the section entitled "Die Hauskatze" (The Housecat, Felis catus domesticus) that starts on page 212 describes the fur on Paraguayan housecats as "more sparse" than on European housecats. So there's not a section specifically on the "paraguay scant-haired cat" as such. There's a section that describes how, after bringing housecats to Paraguay, their hair has grown scant.
Again, this was done by https://bsky.app/profile/psiten.bsky.social and you can reach out to them directly over there, but they are not able to do quick translations right now.
Hope this helps, @strange-aeons!
Looking for French, German, And Dutch speaking individuals to assist with research & translation
My ongoing research into the history of hairless cats has led me to some sources that i either cannot read or cannot even locate because i don’t speak the language. I’m posting them all here in the hopes that the people of tumblr may be able to help locate them for me!
French sources:
I need people to locate the full text of the following academic articles
1. Letard E. La Naissance Et La Disparition D'une Mutation Au Sujet D'un Couple De Chats Nus. Rev Vet J Med Vet 85: 545–552. 1933.
2. Carpentier, C. Un Chat Nu. Rev Zootech 10: 298–300. 1934.
3. Collet P, Jean-Blain M. Le Chat Nu: Étude Morphologique Et Hérédité De Cette Mutation. Bull Soc Sci Vet Lyon 37: 175–179. 1934.
Dutch sources:
I need ANY dutch language publications mentioning Dr Hugo Hernandez’s breeding program which began in 1980. newspaper archives. magazines. books. i would cry if you found archival news footage. he was VERY IMPORTANT and yet I can find almost nothing on him in english.
German sources:
I need someone who can locate and translate the specific passage pertaining to the “paraguay scant haired cat” in Naturgeschichte der Saeugethiere von Paraguay (Natural History of the Mammals of Paraguay) by J.R. Rengger
Secondary english sources report that Rengger observed a population of “scant haired cats” and suggested that they were the descendants of european house cats that had adapted to the hotter climate. The text has not been translated into english and I want to know exactly what it says.
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WOII: Week 1 - Phenomenology
Week 1 - AY24.25 World of Ideas & Imagination
Phenomenology in art is a philosophical approach that focuses on how art is experienced rather than on the form or meaning of the art. Art is not simply something to be seen or analyzed intellectually, but rather something to be felt through the body and senses.
Phenomenology shifts the focus from “What does this art mean?” to “What is it like to experience this art?”
Phenomenology reminds us that experience is central to understanding reality.

This week's study will explore the concept of 'shadow' or 'time'. It could be anything. It could be a painting, a photograph, an object, anything was allowed.
Many students took photographs or drew paints. So I tried to draw and briefly describe my work in words.

The picture above is the one I made. To explain this, I divided the concept of 'time' into three words. "Past", "Present", and "Future". For me, time can be expressed in these three words. We live in the present, and in order for this present to exist, we need the past and the future.
The past can be expressed as "forgettable", and the future can be expressed as "unpredictable". However, the present that we live in can only be expressed as "present".
The present time is our present.

Phenomenology in art and design reminds us that experience is the core of creativity. The more we experience, the more ideas we can have in our heads. This can also give meaning to the ideas we think about and live by.
While studying this week, I realized how much phenomenology and time can influence my studies. The term phenomenology was a very unfamiliar word to me, but after studying this, I was able to find a little bit of what it means.
Word count: 291 words
References Link:
Morley, James. "It's Always About the Epoché." Les Collectifs du Cirp, vol. 1, 2010, pp. 232-232.
Linde, Amelia. "Understanding of the Self Through Phenomenology in Art and Architecture." University of Florida Journal of Undergraduate Research, vol. 19, no. 1, Fall 2017, pp.
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L'hypnotisante Ravyn Lenae
Ravyn Lenae, c’est de la musique composée avec passion et intention dans une volonté de repousser les limites du R&B, en challengeant les sonorités, les visuels et les récits.
The Guardian décrit Ravyn Lenae comme étant un génie de la mélodie qui fait du R&B psychédélique, et c’est une bonne manière de résumer l’artiste en une phrase. Ravyn Lenae fait partie des 90’s kids de la scène musicale de Chicago qui challengent les sonorités depuis maintenant plus d’une décennie. On pense notamment à Noname, Mick Jenkins, Joseph Chilliams ou encore Saba, avec qui Ravyn a déjà collaboré. Ravyn Lenae fait aussi partie du collectif Zero Fatigue fondé par Smino et composé d’artistes et producteurs multiples dont monte booker pour ne citer que lui.
Aujourd’hui Ravyn Lenae c’est 3 EP très solides : Moon Shoes, Midnight Moonlight et Crush ainsi que 2 albums studio : HYPNOS sorti en 2022 et acclamé par la critique et Bird’s Eye disponible ce vendredi 6 août et dont le rollout est impeccable. Son deuxième album compte déjà 4 singles forts sur 11 titres : “Dream Girl” en featuring avec Ty Dolla $ign, “Love Me Not”, “Love Is Blind” et enfin le tout dernier dont on ne se passe déjà plus : “One Wish” en featuring avec Childish Gambino.
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Pour aller un peu plus loin, on vous donne cinq raisons de monter dans le train de Ravyn Lenae afin de vivre l’era Bird’s Eye avec les gens qui ont du goût.
#1. Sa capacité à incorporer une multitude de genres à sa musique
Ravyn Lenae est le parfait exemple de comment le R&B peut être vaste et multiple musicalement. Dans sa musique, on peut passer de sonorités electro puis funk, à des inspirations reggae, en repassant par une pop alternative pour revenir à la soul ou encore la house tout en gardant l’âme R&B qui fait d’elle l’artiste qu’elle est. Elle a d’ailleurs confié au média Pitchfork à ce sujet : "Je pense que ma musique conserve les racines traditionnelles du R&B mais en la poussant un peu plus loin pour qu’elle paraisse nouvelle et inattendue.” et à The Guardian : “J’ai placé beaucoup d’attentes et de règles étranges sur ce que le R&B est supposé être. Maintenant, je fais de la musique un peu plus librement…"
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#2. L’intention mise dans son écriture
Ravyn Lenae se démarque par des textes hyper-intentionnés dans lesquels elle met beaucoup de son âme afin de les rendre les plus honnêtes et vrais possible. Dans “One Wish” par exemple, elle aborde la relation compliquée qu’elle entretient avec son père qui l’a eue alors qu’il était très jeune. Elle raconte comment son absence dans sa vie et spécifiquement à son 10e anniversaire a été traumatisante pour elle. Sur son compte Twitter, elle a partagé une page manuscrite de son journal où elle entre dans les détails de cette chanson et explique pourquoi c’est le titre le plus important de son album Bird’s Eye : "One Wish’ est l’une des chansons les plus importantes de l’album car elle met en lumière la relation complexe que j’ai avec mon père. […] Il était important pour moi d’aborder ces émotions accumulées dans la chanson afin que nous soyons désormais sur un beau chemin d’apprentissage mutuel et de renouveau."

#3. Sa voix hypnotisante
Elle une voix d’oiseau chanteur totalement envoûtante, en témoigne cette vidéo qu’elle a postée récemment et dans laquelle elle interprète a cappella son titre “One Wish” en featuring avec Childish Gambino. Sa voix fluette fait grandement penser à Janet Jackson que Ravyn cite d’ailleurs comme étant l’une de ses plus grandes inspirations.
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#4. Ses cheveux roux, sa signature et la clé de sa confiance en elle
Ravyn Lenae se démarque par sa chevelure rousse qu’elle challenge de coiffure en coiffure depuis une décennie : tantôt lisse, tantôt avec ses boucles naturelles, tantôt sous faux locs, tantôt sous tresses et perles. Une versatilité symbolique et qui fait définitivement partie de sa signature visuelle (bien qu’on ait également adoré la parenthèse blonde platine). C’est l’icône Kelis qui a inspiré Ravyn à passer au roux alors qu’elle était en cinquième. Au sujet de ses cheveux, Ravyn a confié à Vogue : “Les cheveux et la beauté ont toujours été au cœur de ma créativité. Même lorsque je ne fais pas de musique, mes cheveux sont pour moi un moyen de m’exprimer à l’extérieur et de montrer ce qui se passe à l’intérieur.”
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#5. Des visuels recherchés
Que ce soit en photos ou en vidéos, Ravyn accorde une importance particulière à sa narration visuelle. Si l’era HYPNOS était plutôt cosmique et futuriste avec un fort usage de la 3D (qui a pas mal perturbé ses fans), pour Bird’s Eye, Ravyn revient à une proposition plus humaine et cinématographique avec un grain rétro et s’essaye également à la direction vidéo. Le clip de “One Wish” dirigé par Andre Muir est somptueux. Un visuel qui utilise la voiture pour dépeindre différents moments de la vie de l’artiste. Les émotions transpercent l’écran et la palette de couleurs impose une nostalgie tantôt lumineuse, tantôt mélancolique. On aurait presque envie que l’univers du clip soit adapté en film ou en série pour pouvoir l’expérimenter un peu plus longtemps. Pour le clip de “Love Me Not” sorti en mai dernier, c’est Ravyn Lenae elle-même qui a dirigé le clip où elle nous entraîne dans une journée tourmentée dans laquelle elle peine à se défaire l’esprit d’un garçon en particulier. À seulement 25 ans, Ravyn continue de s’essayer et de se challenger avec tous les moyens d’expression à sa disposition et le résultat fait un grand bien au paysage musical actuel.
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Article rédigé pour Konbini le 7 aout 2024.
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Haïti en déroute : les organisations des droits humains dénoncent les dérives autoritaires
La violence qui caractérise le pays interpelle plusieurs organisations de défense des droits humains. Dans une note transmise à la rédaction du journal, ce mardi 11 février 2025, « le Forum provincial des droits de l’homme, l’ordre des défenseurs des humains et le collectif Défenseurs Plus » appellent les conseillers présidents soupçonnés des actes de corruption et de trafic d’influence à se…
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La vie dans la solitude d'Adib Ishaq (1856-1886)

Notes
(1) - Explosion,éruption
(2) - Le soleil (et non la gazelle)
(3) - Pl. de hatra : souffles passagers et légers
(4) - Collectif de hama : sommets (de la tete, des branches, des monts,etc...)
(5) - Pl. de nagam, syn. ici de nagma : mélodies
(6) - On s'attendait de trouver ici David (Daoud) à la place d'Isaac
(7) - Pl. de sadiha : chantants
(8) - Vers du mètre kamil
(9) - Adiyat az-zaman : syn. de awadi ad-dahr : les coups hostiles du sort.
(10) - Lisan haliha : "la langue [muette] exprimant la situation", c'est-à-dire : les montagnes du Liban semblaient dire. Lisan hal ou lisan ajouté de nos jours, à un nom de journal ou de périodique, signifie : organe.
(11) - "Mugissant de douleur, écumant de rage"
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Stop à la privatisation des crèches municipales de Perpignan ! Acte 2
En septembre 2020, planait la menace de l’externalisation sur la crèche du Moulin à vent. Menace vite démentie par Louis Aliot, arguant qu’il s’agissait d’une décision antérieure de l’ancien maire Jean-Marc Pujol. Le collectif « Stop à la privatisation des crèches municipales de Perpignan» avait alerté la population du danger d’une privatisation. Et grâce à son action le processus avait été…

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#2023#collectif#crèche#FONCTIONNAIRES#Jean-Marc Pujol#Journal Catalan#Le Journal Catalan#Louis Aliot#moulin à Vent#perpignan#privatisation#Pyrénées-Orientales#Sud
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Journal d’un photographe
Dimanche 19 novembre 2023.
Un collectif de cinq cent artistes a organisé ce dimanche une marche pour la paix, voulue silencieuse et apolitique. Et ça a bien marché.
En photo, c’était un peu « people », ce qui n’est pas ma spécialité. Je n’ai pas reconnu les 9/10 ème des personnes présentes à la manifestation, sauf Jack Lang (depuis qu’il est sur la scène parisienne j’ai eu le temps de le reconnaître!) et Isabelle Adjani, que bien entendu j’ai été incapable de localiser, jusqu’à ce qu’un photographe me la décrive: « elle a un bonnet blanc, et se cache derrière la couverture d’un livre blanc comme son bonnet! Une fois ceci enregistré, j’ai essayé de bien la photographier, ce qui s’est avéré mission impossible. Tantôt le livre couvrait complètement son visage, tantôt ses voisins empiétaient sur mon angle de prise de vue, involontairement. Seules les vues générales permettaient de l’apercevoir, toute petite au milieu des autres personnes en tête de la marche.
Mais l’important aujourd’hui, c’était eux, les artistes et ceux qui les accompagnaient, et bien entendu nous les photographes, sans qui ces évènements resteraient invisibles, ce qui ne nous empêche pas de galérer pour enregistrer ces moments.
La situation épouvantable à Gaza a vite fait oublier que c’est un mouvement réactionnaire, totalitaire, le Hamas, qui a provoqué ce qui se passe maintenant en tuant plus d’un millier de civils israéliens, des enfants, des femmes, qui d’ailleurs ne comptent pas pour grand chose dans leur philosophie de la vie. Le Hamas savait que la réaction israélienne serait terrible. Il l’a fait en sachant qu’il enverrait à la mort des milliers de civils innocents, calcul machiavélique qui fait retourner l’opinion publique contre le pays attaqué, ce qui était sans doute un des buts de l’opération.
Quand je dis cela, j’ai conscience que la situation des palestiniens est très difficile en Cisjordanie, avec des colons fascisants et racistes, et qu’il faudra bien un jour réaliser que la solution à deux états est la seule viable pour tous. J’ai, et je vais continuer à documenter Gaza et la Cisjordanie dans ce journal avec des photos prises dans les années 90 et 2000. Mais ces photos ne vieillissent pas, même si la situation a empiré.
Quand Benyamin Netanyahou et ses ministres racistes partiront, il sera peut-être temps de négocier une solution juste.
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CHAMPS DE RONCES N°5 Projet éditorial collectif et militant Champs de ronces est un journal autonome de textes et d’images, politiques et poétiques. Il accompagne les luttes, rurales et citadines, et leurs convergences. Il se positionne contre le capitalisme patriarcal, raciste et mortifère. Imprimé en risographie Atelier Mcclane Prix : 2€
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5 mars
aujourd’hui j’ai fait une banana cream pie pour l’anniversaire de manon et en remuant ma crème pâtissière à la noix de coco, comme depuis a., à chaque fois que je fais une crème pâtissière maintenant dans ma tête je la fais pour une fille, plus ou moins inaccessible, je pensais à laura a. je fais de la crème pâtissière pour mes amantes imaginaires. ça rime. je vais le mettre dans ma chanson. celle qui n’existe pas encore mais qui dit aussi les filles existent et moi je pleure. j’ai brièvement imaginé ma vie de couple avec laura dans son appart de jette, moi derrière les fourneaux en train de remuer ma crème pâtissière, elle qui rentre du studio où elle vient de répéter toute la journée, elle travaille trop, elle a pas le temps de cuisiner alors c’est moi qui lui cuisine des bons petits plats. dans mes fantasmes je suis la femme au foyer d’une danseuse de 46 ans. je sais pas si c’est normal. elle me donne tellement envie de savoir danser, c’est tragique que je sois pas gracieuse ni coordonnée, ça me tue, la danse est la plus belle chose du monde (avec la musique) et je suis tellement triste de pas pouvoir en faire partie. de devoir me contenter de regarder.
à part ça ce weekend j’ai découvert les mochis et à chaque fois que j’en mange je suis morte de rire, je sais pas pourquoi. j’ai regardé un doc sur l’univers et ils parlaient des naines blanches qui risquent en permanence de s’autodétruire à cause de la force gravitationnelle qui émane de leur centre et ça m’a fait penser à mon rêve de la mort avec la ferraille et les coulisses du temps, et puis j’ai commencé à lire le texte de r. sur lequel elle veut travailler pour la performance, elle y parle du taoïsme et d’une maison qui représente l’univers et le cosmos, devant et derrière la maison c’est le futur et le passé et y a une rivière qui coule qui représente le temps et les souvenirs, je crois. aussi: j’ai vraiment envie de me replonger dans l’écriture de mon livre là. c’est cette histoire avec laura qui m’a redonné envie. cette histoire de littérature mêlée à la vie. mais pour qu’il y ait littérature, il faut écrire.
8 mars
j’écris dans le train parce que j’ai peur de pas avoir le temps à genève. j’adore dire que je vais à genève pour travailler. travailler sur un projet. travailler avec mon collectif. je vais faire une résidence. je vais “bosser sur une créa” comme cybille. “do some research” comme magdalena dans le studio de danse de molenbeek. je fais des trucs d’artiste. j’ai trouvé une conversation de deux heures entre laura a. et son ami bruno que j’avais rencontré au studio et que j’avais trouvé incroyablement chaleureux, je crois qu’il est brésilien. j’en ai regardé la moitié lundi soir alors que je voulais regarder recherche maison ou appartement spécial bord de mer, mais stéphane plaza ne tenait pas le cap face à laura a. j’ai appris plein de de choses sur la danse, c’était trop bien, ok j’arrive plus à me concentrer deux femmes écoutent du métal mongol à côté de moi.
je suis chez r. et je dors seule, quel soulagement. s. est pas encore arrivée à cause des grèves. j’étais brièvement de retour dans l’appart de f. à zurich cet après-midi, enveloppée dans une grande couverture jaune sur le canapé à lui poser des questions sur sa vie et à écouter ses réponses sans qu’elle m’en pose en retour donc je lui ai pas pipé mot de laura ni du workshop à bruxelles ni de rien du tout. laura ça reste une affaire entre moi et mon journal. je regardais la grande armoire en bois encastrée dans le mur avec la grande plante verte devant et ça me donnait terriblement envie d’avoir un appartement à moi, avec une grande armoire en bois pour mettre ma petite collection de vaisselle dépareillée et pouvoir y inviter mes ami.es et mon amoureuse pour faire des dîners et mettre la table et préparer des playlists et leur faire des gâteaux avec de la CRÈME PÂTISSIÈRE. j’ai décidé de dédier un chapitre de mon livre à la crème pâtissière. elle mesure pas sa chance f. je lui ai dit que je voulais déménager à bruxelles parce que j’étais amoureuse, et puis j’ai ajouté de bruxelles, parce que bon je suis pas amoureuse de laura a. à ce point non plus, et elle a dit qu’elle trouvait que c’était un peu crade à son goût et que ça craignait trop. moi aussi je trouve que c’est crade bruxelles mais je veux être plus comme laura a. et trouver ça excitant. même si j’adore secrètement me sentir safe dans les rues cossues de genève.
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Les secrets sociaux de Dunatothrips aneurae : entre coopération et égoïsme dans l’aridité australienne
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Chez les Thrips australiens Dunatothrips aneurae, certains individus n'interviennent pas dans les activités de la colonie, comment sont-ils conservés dans le systèmes social ?
janvier 7, 2025
Par Benoît GILLES
"Au sein des étendues arides de l’Outback australien, où la végétation résiste aux extrêmes climatiques, la survie repose souvent sur des mécanismes collaboratifs. Parmi ces stratégies émergent les fascinants comportements sociaux de Dunatothrips aneurae.
Ces minuscules thrips vivent en symbiose avec l’Acacia aneura, construisant des domiciles collectifs à base de soie pour protéger leur progéniture et elles-mêmes de la dessiccation (figure 1). Mais un mystère persiste : certaines femelles ne participent ni à l’entretien des domiciles ni à la reproduction.
Ces « non-aidantes » remettent en question les lois classiques de la coopération. Sont-elles inutiles, opportunistes ou jouent-elles un rôle que nous peinons encore à cerner ?
Investigating the role of non‐helpers in group living thrips - Gilbert - 2024 - Journal of Animal Ecology - 05.11.2024 https://besjournals.onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1111/1365-2656.14204
[pdf] https://www.biorxiv.org/content/biorxiv/early/2023/09/08/2023.09.08.556834.full.pdf
Figure 1 : colonie de Dunatothrips aneurae dans une phyllode d’Acacia aneura (Source : hull.ac.uk)
→ Down under, University of Hull researcher finds 'world's laziest insect' | University of Hull, 06.11.2024 https://www.hull.ac.uk/work-with-us/more/media-centre/news/2024/down-under-university-of-hull-researcher-finds-%27world%27s-laziest-insect%27
Bernadette Cassel's insight:
"Cet article plonge au cœur des comportements de ces thrips sociaux et explore les subtilités de leur organisation collective, à l’interface entre égoïsme individuel et bénéfice collectif."
Benoît GILLES
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