#j'aime pas la vie d'adulte
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Par contre j'ai fait faire ma carte grise de voiture j'ai payé 200 balles ils m'ont dit "non ça va pas payez 20 balles de plus et donnez nous tel papier" ce que j'ai fait et depuis 0 news ??? genre je leur ai écris ils me disent "réponse sous 48h" sauf que ça fait + de 48h à deux doigts de pleurer
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Je suis tellement bourrée, j'ai plus trop l'habitude, j'ai évidemment peur d'aller dormir. Jsuis vraiment bleu omg. En fait j'ai refumé un joint mais ça compte pas, c'est du récréatif, mais fiou être défoncée c'est un travail en lui meme. Mon mec boude mdr, c'est génial. Il essaie de me faire culpabiliser de sortir mais j'ai aucun remords. J'ai juste envie de le quitter parce que c'est tellement dénué de sens. J'ai l'impression d'avoir un plan cul, pas un mec. La dinguerie. Jsuis fatiguée en plus purée vraiment du mal à respirer et être en forme. Jdis n'importe quoi mais vraiment c'est dur la.vie d'adulte. J'aime pas toutes ces obligations. C'est trop compliqué pour moi toutes ces responsabilités. Jessaie d'avoir une vie correcte mais c'est chaud. Ya tout qui me rend triste et fatiguée.jen ai marre de m'inquiéter pour un rien, ça m'épuise trop
Je regretet trop de trucs mais jaim pas ça parce que les regrets c'est pas sensé autant impacter
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La seule étape de la vie d'adulte que je n'ai pas encore fait c'est d'avoir un appartement individuel non meublé.
J'ai géré mes papiers, j'ai eu un job, j'ai dit merde au job, je commence à apprendre mes limites, j'arrive à dire non, je dis merde à mes parents, j'aime bien être seule, j'apprends à me faire des potes en étant adulte, je sais faire des activités solo, je n'ai pas besoin des autres pour être bien, je me fais de bons petits plats, j'apprends à me foutre du regard des autres, j'essaye de garder mes ami.e.s de longue date, je sais baroudeur (c'est genre ma capacité n°1), j'ai appris à m'écouter, j'ai appris à prendre en main mes problèmes de santé, j'ai appris à appeler et parler au téléphone (mes millenials sûrs vous savez), j'ai une voiture et je l'entretiens, je vois une psy BREF il me reste plus que l'appartement non meublé qui m'a l'air d'être une montagne.
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TW : vent, 🇨🇭
Parfois, je me sens tellement mal que je commence à détester tout les gens que j'aime
Si seulement nos ami.es n'étaient pas aussi instable, si seulement on avait pas deux partenaires, si seulement nos petits frères n'existaient pas, si seulement notre mère n'était pas negligeante
C'est un cercle vicieux, on se s'attache à de nouvelles personnes, et on a de plus en plus de contraintes qui nous empêchent de mourir
Quand j'ai juste envie de crever et que je réalise que je peux pas me permettre de traumatisé encore plus mes proches-
Honnêtement, dans les moments les plus sombres, la seule personne qui nous retient c'est notre plus jeune petit frère, bien sûr on adore notre autre frère, mais dans c'est moment là on se dit qu'il est assez bien entouré et heureux pour surmonter notre mort
Alors que L.. déjà on est probablement sa figure parentale vu la période ou il est né et ce qui se passait à ce moment la dans notre famille
Les fois où on s'apprête à en finir, des images de son visage nous apparaissent, on l'imagine à notre enterrement, on l'imagine seul, dans son lit
Si on fait ça, il ne tiendra pas, si on fait ça il ne remontera jamais
Autant certaines personnes- que sa soit sur le moment ou en général on s'en fout un peu tbh- (ouai c'est cruel, mais quand t'es en crise paranoïaque ou maniaque tes rarement très cohérent)
Autant lui, peu importe notre état, on se refuse de lui infliger ça
Si un jour on se tue, c'est que L sera finalement assez heureux et assez bien entouré pour que notre mort soit plus surmontable, parfois j'en viens a espérer qu'il est des enfants juste pour que malgré notre mort on est une semi assurance qu'il ne tombera pas avec nous
Quand je pense à ce genre de chose, je me sens encore plus merdique qu'en temps normal
Au début de notre vie, je pensais qu'on était des monstres pour espérer ce genre de choses
Mais plus on avance dans notre vie, dans notre vie d'adulte surtout
Plus je me rends compte qu'en fait chaque être humain est pourri et qu'on est tous.tes de putain d'égocentrique sans compassion
J'ai juste envie de mourir
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for the original character ask! (you get to chose which OC you'd like to talk about)
2 - 7 - 12 - 20 - 26 - 31 - 37 - 50 - 51 - 60 :)
Original characters asks
Salut, merci pour les questions :)
Je vais choisir Zoé, l'héroïne de mon projet de roman !
2: What is your character’s favorite memory?
Au début de l'histoire, ses souvenirs les plus chers sont ceux liés à son défunt fiancé. Notamment le jour où ils ont décidé de se marier et tout ce qui suit cette période. Les moments simples où ils avaient l'impression que le monde leur appartenait.
Tout cela est bien sûr à double tranchant car la source de sa joie est devenue celle de sa plus grande douleur. Ces souvenirs laissent la place à des cauchemars où tout est distordu.
7: How does your character feel about their name?
Elle aime son prénom. Court, simple, efficace, jolie signification...que demander de plus ?
12: How would/does your character feel about roller coasters?
Elle a participé à des batailles, je pense que ça ne l'effraierait pas trop. Bon, elle n'est pas le genre à rechercher les sensations fortes pour les sensations fortes, mais elle n'aurait pas peur d'essayer.
(Enfin, passé le choc de la découverte si on imagine qu'elle se retrouve transposée d'un coup dans notre monde moderne).
20: What is the most surprising thing about your character?
Ce qui surprend ceux qui la côtoient est le fait qu'elle a l'air posée, mature et conciliante, mais elle est absolument sans pitié et effrayante quand elle s'énerve. Il n'y a plus qu'à s'accrocher. Surtout qu'elle a une personnalité très droite et terre à terre.
Certains s'imaginent en voyant sa blondeur et ses yeux clairs qu'elle est une étrangère. Son apparence reflète en effet les métissages qui peuvent avoir lieu dans une zone frontalière.
Sinon, je veux maintenir un effet de surprise sur son passé pour les lecteurs en dévoilant petit à petit les raisons de son départ (on évite l'info dumping, yeah !).
26: What is your favorite headcanon for your character?
C'est difficile d'en choisir un. J'aime tout : sa famille, son évolution, son adaptabilité, les liens qu'elle noue avec les autres personnes au palais...
31: What social media would your character use?
Vraiment très basique : Facebook et/ou Instagram pour suivre ses proches et communiquer avec eux. Elle aurait peut-être un Tumblr pour partager de belles images. Ce serait le genre à être assez discrète et à ne pas dévoiler sa vie privée. Elle ne serait pas fan de LinkedIn.
37: Do people have justified grudges against your character?
Pour commencer : ses ennemis (et ceux de la famille impériale) qui sont convaincus de leur cause et la voient comme quelqu'un qui se met en travers de leur chemin.
Ensuite, elle se heurte au début à une dame de compagnie plus âgée (Hélène ? Je n'ai pas encore décidé de son prénom). Il s'agit plus d'une incompatibilité de personnalités. Zoé se focalise plus sur leur rivalité mais ignore certains détails qui justifient le comportement d'Hélène.
50: What is your favorite thing about your character?
Le fait que ce soit un personnage adulte dans des situations d'adulte. Ce n'est pas une jeune ingénue en début de vingtaine qui rentre à l'école de magie (ou je ne sais quelle institution comme la romantasy en a le secret) et va avoir le coeur qui bat pour le beau ténébreux.
Elle découvre un nouvel environnement, mais elle le fait en tant que personne qui connaît le monde et a de la bouteille. C'est une femme qui a connu l'amour et la douleur de la perte.
Comme je disais aussi dans un autre questionnaire, j'aime la dualité des rôles qu'elle joue, à la fois guerrière et dame du palais. Beaucoup trop de discours sur Tumblr et internet vise à catégoriser les personnages féminins en : "femme douce et féminine traditionnelle" VS "Guerrière".
Ce qui est absolument réducteur vu que les vraies personnes rentrent rarement dans des cases. Ensuite, pour certains le fait qu'un personnage féminin sache se battre est une insulte envers les femmes qui ne le font pas...Ce qui est encore une fois très agaçant puisque cela sous-entend que seules les femmes qui se conforment aux normes arbitraires de la féminité sont dignes d'intérêt.
51: What is your character’s favorite animal?
Les chats et les chevaux ! J'en dis un peu plus sur son rapport aux animaux ici.
60: If you could title your character’s life, what would you title it?
C'est plus ou moins le titre du roman : "Zoé, dame du palais". Ou alors tout simplement "Impératrice Zoé" :D.
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Faut que je trouve l'énergie pour lâcher twitter et l'attaque du Hamas. J'y arrive pas. Mais comme toujours, les très gauchistes (de mon bord donc, en théorie) très sont toujours aussi cons.
Selon eux, Hamas = résistants. Ca laisse coi.
Ils sont incapables de penser que le Hamas est un cancer religio-fasciste tout en restant convaincus que l'état d'Israël est un état d'apartheid colonialiste qui par ses actions, galvanise les organisations terroristes de la région.
Les deux idées ne s'excluent pourtant pas l'une l'autre mais non, leurs opinions ne sont pas une question de réflexion, mais une question de dogme, d'idéologie, de ligne narrative. Avoir une opinion nuancée et risquer d'être vu comme un traître aux luttes? Jamais de la vie, voyons!
Je suis trop neurodivergent que pour pouvoir tolérer la pensée dogmatique. Elle me sort des yeux qu'elle soit d'extrême gauche ou d'extrême droite. Les moutons et moi ça n'a jamais fait bon ménage, pas en primaire, pas en secondaire, pas dans ma vie d'adulte. Peut-être que l'autisme joue un role dans le fait de pouvoir reconnaître le dogmatisme et d'y avoir développé une certaine immunité? Je me souviens déjà tout petit, de cette impression très claire d'être poussé dans certains schémas de pensées par les gens qui m'entouraient. Cela m'a toujours été très désagréable.
L'Ukraine et ce genre de situations comme ce weekend c'est ce qui m'a dégouté de la politique internationale des partis d'extrême gauche, que l'on peut tout à fait entendre lorsqu'il s'agit d'idées de justice socio-économique, mais alors, à l'international c'est la catastrophe.
Ils ont tous un cas de "vers de cerveau" (brainworms) anti-américain, par principe. USA=BAD donc tout ce qui est ANTIUSA=GOOD. C'est de la logique de bac à sable, c'est usant et ce n'est pas une question d'intelligence car ce genre de positions sont tenues par tellement de gens brillants aussi *tousse* Noam Chomsky, vieille crevure *tousse*.
Je crois que les élections qui viennent je serai plutôt à géométrie variable, entre vote utile (social démocrate) et vote pour des personnes dont j'aime le travail en général (peu importe leur parti). Mais le vote de protestation à gauche de la gauche, c'est terminé.
Les relents stalinistes et la myopie volontaire pour ne pas froisser son électorat, ça me sort par tous les pores.
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Hier soir j'écoutais De la douceur sur la balançoire et j'ai eu l'impression de voir tous les petits fantômes de moi
Je me suis revue toute petite quand je grimpais dans le noyer, quand je faisais le "cochon suspendu" sur la barre de la balançoire, quand je sortais de la piscine dégoulinante et que je courais pieds nus dans l'herbe, quand avec mon petit frère on jouait avec notre petit tracteur, quand je faisais du tape-cul avec mon cousin en chantant les ratz, quand je faisais des câlins à Moxi les soirs d'été chauds en écoutant des CDs sur mon poste, quand on jouait à cache-cache et que je jouais avec les escargots en attendant patiemment d'être trouvée
Je me suis revue jeune adolescente quand je fumais mes premières cigarettes en observant les étoiles, quand je faisais le mur pour rejoindre mon amoureuse au milieu des champs, quand je pleurais sur cette même balançoire en lui écrivant les mots les plus sincères qu'il m'ait été donné d'écrire, quand je contemplais avec tout l'émerveillement du monde chaque feuille et chaque fleur parce que je redécouvrais le vrai monde en dehors des hôpitaux, quand avec mon frère on se faisait rouler dans des tonneaux en pleurant de rire
Je me suis revue adolescente quand avec Lucie on sortait tôt le matin fumer avec 4 pulls dans l'escalier, quand on étendait des sacs de couchage dans l'herbe les nuits de pleine lune pour s'envoler avec nos joints, quand on s'installait dans la 205 et qu'on pleurait de rire, quand je sortais lire au soleil et que je suppliais l'univers de me laisser une chance d'étudier ce qui me passionnait vraiment, quand je tourbillonais sur moi-même jusqu'à tomber par terre parce que j'étais pompette, quand on est partis chasser les hautes lumières tout sourire en se tenant la main avec Thibault, quand on mangeait des gaufres dans la petite piscine avec Nathan, quand je me confiais à ma maman sur les difficultés auxquelles je faisais face
Et je suis là de nouveau
Sur la balançoire
J'écoute encore De la douceur
Et je me rends compte un peu tristement que Fred ne me connait pas
Il ne connait pas toutes ces petites filles que j'ai été, ces femmes que j'ai essayé d'incarner avant de trouver qui je suis pour l'instant
Il ne connait pas la vraie moi
Il ne me connait pas douce, généreuse, émerveillée
Il ne sait pas à quoi ressemblent les premiers rayons de soleil dans mes cheveux emmêlés sur l'oreiller, il ne sait pas à quoi ressemble mon sourire quand je me lève pour regarder le soleil en faire autant, il ne connait pas non plus la moi apaisée quand je me promène dans la forêt, ni à quoi ressemblent mes plus beaux souvenirs, ni la peinture partout sur mon corps quand la brise tiède fait danser les rideaux
Il ne connait pas l'odeur de ma chambre, il ne connait pas tous mes carnets et mes boîtes remplies de trucs farfelus, il ne connait pas les pâquerettes et les pissenlits dans mes cheveux, il ne connait pas le calme des soirées à écrire à la bougie, il ne connait pas tous les petits animaux qui ont été mes copains, il ne connait pas mes livres préférés, ni les musiques que j'aime écouter pour me maquiller
Il ne connait pas ma petite routine du soir, ni l'histoire de mes bijoux, ni l'histoire de mes cicatrices, ni la façon dont je préfère être touchée
Il ne connait pas mes dessins ni leurs significations/messages, il ne connait pas le goût sucré de mes lèvres après une journée ensoleillée à trinquer à la vie avec des vrais amis, il ne connait pas la chaleur et l'odeur de ma peau après la mer, il ne connait pas ce que j'aspirais être, il ne connait pas mes rêves
Il ne connait pas mon sourire sincère face à la liberté en teuf, ni à quoi je ressemble quand je danse, ni mes intérêts spécifiques, ni à quel point mes yeux scintillent quand je suis entourée de chats
Il ne connait pas mes peurs d'enfant, ni mes ambitions d'adulte, ni la colère que je peux ressentir, ni l'étendue des dégâts qu'il a causé
Il ne connait pas ma voix qui s'emporte et se casse un petit peu quand je scande des slogans en manif avec Nathan, ni mes larmes face au miroir quelques fois, ni le soulagement à chaque résultat d'examens
Il ne connait pas mon corps enroulé serré dans un plaid et entouré de doudous pour me calmer quand je suis en crise, ni mes yeux gonflés par les larmes qui coulent depuis des heures, ni les pages avec des tas d'additions pour compter ce que je mange
Il ne connait pas le bonheur sur mon visage quand je passe mes bras par les fenêtres en voiture l'été, ni les gribouillis du bonheur, ni les après midi à l'ancienne gare, ni le bruit de ma chaîne de vélo qui s'accroche dans les hautes herbes
Il ne connait pas le puzzle des gens qui m'ont aidé à devenir qui je suis, ni les endroits où je me suis vraiment sentie en vie, ni à quoi ressemble la maison de mes rêves
Il ne me connait pas
Il ne connait que la façade, la jolie façade que j'ai construite rien que pour lui au tout début
Il ne connait pas toutes ces émotions qui sont en combat permanent à l'intérieur de moi
Il ne connait que la fille stupide, sans conversation, qui prend de la drogue et aimait faire la fête, la fille qui fait des gros traits d'eye liner et essaie de s'habiller sexy pour plaire parce qu'elle est réduite à ça
Il ne connait que la fille qui laisse tout passer pour essayer d'être aimée, qui accepte en disant qu'il n'y a pas de problèmes
Il ne connait que cette fille-là
La façade, le personnage
Il ne connait que ça,
Parce que le reste ne l'intéresse pas.
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Histoire 6 / " Nous nous soulèverons et peut-être que notre colère sera aussi forte que les agressions. "
Chère Mathilde.... Je n'ai pas cherché justice, je savais que je ne la trouverais pas.
Ado, je voulais être criminologue pour... poursuivre les agresseurs sexuels sur mineur. Je mettais sur le compte de mon incroyable évitement de mon oncle, à 12 ans, qui cherchait à me toucher. Dommage pour lui, il était hémiplégique donc après ça j'évitais le côté valide. Et puis sont arrivés la horde d'adultes, avec les années, mon 1er patron qui achetait des tailles inférieures à son personnel féminin pour mieux passer ses gros doigts entre les boutons des chemisiers, ma hantise de travailler pour des hommes. En magasin, de les servir. J'ai mis 1 mois à refuser de vendre du prêt-à-porter Homme, je restais côté femme. Et finir par se retrouver avec un mec à poil dans sa cabine d'essayage alors qu'il te demande de regarder pour un conseil.
L'appréhension, toujours. Toute ma vie.
Dehors, avec l'impossibilité de faire 100 sans être emmerdée. Même passé 35 ans, toujours un imbécile pour sortir de la vitre passager et tendre les bras vers toi, sur le trottoir pour t'attraper les seins. Sortir et coucher avec quelqu'un qui nous héberge, parce que traquenard il y a eu entre 2 copains.
En relation, quand on ne nous a jamais parlé de consentement, mais de faire plaisir, nous les femmes, de s'adapter aux besoins de l'autre , de l'homme. Élever des filles, en refusant qu'il n'y ait pas de WC au rez-de-chaussé pour éviter aux invités de monter à côté de leurs chambres.
Et puis 2018, avec un patron évité pendant 1 an et demi. Alors c'était "juste" une agression sexuelle, juste un main qui attrape mon foulard posé sur mon sein, en le touchant. C'était juste ce qui m'a fait quitter la boîte dans laquelle je bossais, avec perte et tracas, ou fracas 😂😅. Commissariat le lendemain, une inspectrice géniale, formée aux VSS, qui voulait que je porte plainte quand de mon côté; je préférais laisser une trace mais ne pas perdre mon énergie pour perdre de toute manière. Me venger en le disant à tous les employés croisés... et qu'il sache que maintenant, il est fiché.
Et puis une colère noire, juste après mon mariage, 6 mois après. Colère contre un "ancien pote", disant des prostituées que "c'est leur choix et qu'elles n'ont qu'à écarter les cuisses". 3 semaines après, toujours en colère, toujours la rage au cœur... et la sensation que le problème est plus profond, plus viscéral.
Des mots résonnent, suite à un soin passé : "ton grand-père n'aime pas les femmes". 6 mois d'attente pour revoir cette praticienne, d'hypnose chez la psy, qui elle-même formule que vu mon passé gyneco, il s'est passé quelques chose, très jeune. Bien sûr, ne rien prouver, de toute façon, il est mort. Et puis, la famille qui sous-estime les faits (Moi aussi, ton oncle, après son Avc, il a essayé de me caresser => punaise tata, j'étais une enfant 😡). La famille qui ne te soutient pas et celle qui t'appelle pour t'insulter. Qui accuse que tu aies causé la mort de tes grand-parents, pour avoir parlé.
Je ne cherchais pas la justice des hommes, mais au moins le soutien de ma famille. De ma mère. Elle à qui je demandais, petite, ce qu'elle avait subi. Elle qui oublie son enfance pour effacer la douleur. Alors c'est sans fin.
Aujourd'hui, le toucher de l'homme que j'aime est un problème. Réminiscence de cette vie, de vies passées. Son incompréhension et ma colère quand il ne saisit pas que oui, nous les femmes, nous sommes oppressées et qu'un jour, faute de justice, nous nous soulèverons et peut-être que notre colère sera aussi forte que les agressions.
Alors ce témoignage ne sera sans doute pas suffisamment lié à la justice, mais il m'a permis d'écrire, de poser des mots pas juste dans ma tête. Merci Mathilde. Vraiment. Pour ton courage, ta force, tes failles et de ne pas te conformer aux Injonctions. Tu es une voie , en plus d'une voix.
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Mercredi 16 Aout.
22h09. Wow, ca fait longtemps et autant dire qu'il y a en a des choses qui se sont passées. Pour parler d'Yv, j'ai dis devant les thérapeutes de couple que je voulais me séparer de lui parce que rien avance et moi j'ai besoin d'avancer. Yv fuit la situation, il est toujours absent et il ne cherche pas forcement le dialogue. Il continue a me dire qu'il veut avoir une vie de famille avec moi dans cette maison mais pourtant il persiste a dire que je serais une mauvaise mère et ne supporte pas ma relation avec ces parents.
J'ai beaucoup grandit ces derniers temps dans ma tête. Aujourd'hui je suis prête à me séparer d'Yv, trouver un nouveau logement, changer de travail, prendre soin de moi, me fixer des objectifs, profiter des personnes que j'aime, respecter mes valeurs et mes idées !
Aujourd'hui, j'habite encore dans la maison. Une agente immobilière est venue estimer la maison, maintenant c'est à Yv de faire les démarches pour savoir s'il peut assumer la maison.
Les papiers de la dissolution du pacse sont remplis et signés de ma part. Maintenant ils sont posés sur la table dans l'attente d'Yv.
Je continue mon bilan de compétence, je cherche un nouveau logement, je cherche une nouvelle voiture.
J'ai envie d'être une nouvelle personne : plus responsable, plus attentionnée, plus passionnée !
ET quelque chose est arrivé !!!!!
Lundi 07 Aout, un gars m'a envoyé un message sur une appli de rencontre centrée sur la musique. Sa photo de profil était avec un cheval. On a commencé à parler et rapidement la conversation est devenue très fluide. On a abordé plein de sujet super profond (que jamais je n'ai abordé avec Yv). Mardi, il m'a proposé qu'on se rencontre. Alors Samedi, il est venu me chercher et on est allé au lac de Chalain. Très rapidement j'ai été moi et même le contact oculaire était très simple. En fin d'après-midi, on est allé tremper nos pieds dans l'eau et au bout de quelques minutes il m'a demandé s'il pouvais me prendre dans ses bras. J'ai fondue, ca faisait au moins deux heures que j'avais trop envie de ça. Puis on est revenu sur la plage et j'ai mis ma tête sur ses jambes et on c'est embrassé. La nuit tombée, on est allé se poser a un belvédère puis on est allé chez lui. Et il c'est passé ce qu'il c'est passé... Il me couvre de bisous, calin, massage, surnom. Alors évidement au lit, c'était aussi très fluide et je me suis senti rapidement à l'aise. Le dimanche matin, on a pris une douche ensemble, puis j'étais en petit culotte avec son pull sur sa terrasse. Ensuite, on est allé à la source du Doubs, puis on c'est arrêté boire un verre en terrasse, puis on a pris des pizzas a emporter et on c'est posé prêt d'une rivière.
J'aimerais tout raconter en détail, mais ca serait beaucoup trop long ! J'aime son sourire, ses yeux, quand il est heureux il le montre, il a regarder pour moi les offres d'emploi. On a des conversations d'adulte, on se dit tout avec bienveillance, on ne se prend pas la tête, vraiment quand je suis avec lui je suis légères, sans stress et j'oublie tout.
J'avais un peu peur de l'annoncer a Mel et Ev. Et en faite, quand je leur ai dit qu'il c'était passé un truc que je n'assumais pas forcément elles ont tout de suite compris et on fait la danse de la joie !!!! Elles voulaient tout savoir dans les moindres détails. Elles m'ont rassuré sur le faite, que ce n'était pas forcément trop tot, que si ca c'est passé c'est que ca devait ce passé. En partant, Mel m'a chuchoter à l'oreille : "je suis trop contente pour toi !"
Bref, aujourd'hui je suis comblée en amitié, en amour et j'ai hâte de trouver un logement pour me créer mon petit nid et changer de voiture pour me sentir plus libre : faire des concerts, retrouver Jerem, etc... Vraiment quand je pense a cette nouvelle vie, j'ai hâte !
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J'ai été sélectionné pour participer à une enquête nationale en terme de vécu et de ressenti de la sécurité nationale et je suis là en mode non merci j'ai pas envie laissez moi tranquille
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1 toute petite vodka légère dans le sang et les bourdons de l'amour sont revenus dans mon ventre ça me dégoûte
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Janvier.
J'aime pas ce mois, c'est le mois du décès de mon papa. Il y a...
Attends je calcule.
2022-1996.
26 ans. Plus que la moitié de ma vie. Pense à moi le 28 janvier, je serai à l'état d'épave. Mon corps se rappelle. La sensation de sa peau froide sur mes doigts, les allées et venues des ambulanciers dans la maison, les reflets des gyrophares, les voisins qui passent leur tête, le bruit, le froid qui s'est installé dans la maison parce que personne ne ferme la porte, devoir suivre la voisine dans sa maison "pour ne pas voir" et perdre des minutes loin de ce qu'il restait de mon père après son arrêt cardiaque.
Le temps efface la peine, dis-tu ? Non, pas du tout, c'est du bullshit qu'on sert aux personnes qui ont perdu un proche. Ça te déculpabilise de dire ça, c'est tout.
Le temps passe. On passe le temps. On fait d'autres choses en grandissant. On grandit sans.
Puis un jour, on se rend compte qu'on vieillit sans. On se rend compte qu'on était ado lorsqu'il est décédé, qu'on a vécu en imaginant ce qu'un père dirait à son ado de fille dans telle ou telle situation. Ma petite voix quand ça ne va pas.
Sauf que je ne sais pas ce que dit un père à son adulte de fille, quand j'ai des préoccupations d'adulte. C'est infiniment douloureux. Ça me plonge parfois dans une solitude infinie, froide et rêche.
A l'enterrement, j'ai posé des tulipes blanches sur la tombe, parmi les dizaines de gerbes et de bouquets. Le froid, le gel, je ne sais pas la raison, mes tulipes sont restées indemnes un mois, alors que les autres fleurs étaient fanées depuis longtemps. A l'époque j'avais pris ça pour un signe, elles lui avaient tenu compagnie alors que je ne pouvais pas rester continuellement dans le cimetière. Elles avaient pris le relais.
Je me souviens de la déchirure et de cette sensation d'abandon quand j'ai quitté le cimetière, le laissant seul dans le fond.
Je te laisse avec ça et avec des tulipes blanches, du coup.
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Écrit lors d'un effondrement en pleine insomnie
J'ai toujours été à la quête d'être humain pour faire des trucs. Proposer, proposer, proposer des trucs aux humains que j'aime bien. C'est ce que j'avais appris en Erasmus. Mais aujourd'hui je suis fatiguée. Aujourd'hui j'en ai marre. Aujourd'hui j'en ai marre de proposer en me prenant des non et bâches. Parce qu'ils sont tous en couple, qu'ils tous une programmation des 20 prochains week end. Oui les 20 prochains week end car ils ont des trucs de couple et des trucs de famille. J'ai rien des deux. J'en ai marre de me plier en quatre pour que le planning rentre dans l'emploi du temps des autres. C'est donc ça la vie d'adulte. Les gens ont des priorités prioritaire et je n'en ai pas.
J'ai donc décidé que je préférais rien faire de ma vie. Je vais faire de la céramique avec mon chat (qui est décédé il y a un an) et ma dépression pour les 20 prochains week end de l'année. Techniquement ce n'est pasveaiment des week end pour moi vu que je n'ai pas de travail.
J'irai bien faire des trucs par moi même. Je sais le faire. Mais j'habite dans une ville de merde où il n'y a rien à faire. La semaine dernière je suis allée voir le seul film potable qui passe pour le mois entier.
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Alors je tente un p'tit Merlin/Elias en 8! Je sais que c'est pas spécialement ta came mais je tente! (Et si rien te viens un Alzagar/Venec sera très bien ! 💖)
Une chanson que j'aime particulièrement et le problème c'est que j'ai bcp de chansons un peu soft/witful donc ça part souvent en bittersweetness... Anyway, SURPRISE, tu connais la chanson. Des bisous surtout, je t'aime. En voyant le titre tu te doutes du ton que ça va avoir... J'ai fait du mieux que j'ai pu.
Forever Young, Youth Group. Merlin/Elias.
(Send me a pairing and a number between 1-100 and I’ll write a short scene based on my Spotify Top 100 playlist)
Arthur disait souvent que Perceval, c'était comme un môme. Elias ne comprenait pas ce qu'il laissait passer à Perceval, et pas à Merlin.
Merlin, si l'on y regardait de plus près, c'était un enfant avec des responsabilité d'adultes.
Ils se font tous les deux appeler des enchanteurs de Bretagne, mais dans le cercle social de la magie, ils ne pourraient être plus éloignés. La pratique magique, c'est tout ce qui les lie. L'un est enchanteur, l'autre druide.
L'un est de descendance humaine.
Pas l'autre. Pas vraiment. Loin s'en faut.
Les années passent comme les disputes. Rapidement, à parler trop vite et à oublier de dire ce que l'on pense vraiment. À quitter la maison en colère et en se rendant compte à mi-chemin qu'on a oublié de dire à ceux qu'on aime qu'on les aime. Les Royaumes se succèdent, les coups d'Etat, les tyrans, les meilleurs efforts de résistance. La distance, l'inconnu, la reconquête, la reconstruction.
Ils sont là. Une présence magique, un mot glissé à l'oreille, la chaleur d'une aura.
Il n'y a pas de baisers volés, de rires inavoués ou de pieds sous la table. Ils n'avaient ni l'âge, ni le tempérament. Les années étaient faites de présence, de cohabitation, de complicité, de soirées passées dans un silence silencieux.
Merlin grandit. Elias vieillit.
Tout le monde regarde Merlin avec la considération dédiée aux vénérables. Elias le regarde et il sourit. Il le voit s'émerveiller, écoute ses découvertes, dépose un baiser sur son front. Elias l'écoute et se déride ; il réapprend à apprécier l'humour que les loups n'ont jamais eu.
Merlin ne sera peut-être pas toujours jeune, mais il va encore l'être un sacré paquet d'années.
Elias s'est toujours dit qu'il fallait partir avant de s'être installé. C'est un mantra qu'il s'est imposé à lui, pour lui. C'est la première fois qu'il ne le respecte pas - et c'est la première fois qu'il réalise que c'est un autre qui sera blessé, parce qu'il n'est pas parti. Un autre, qui va le voir vieillir.
Après cela, la déperdition n'est pas loin.
Elias préférerait partir jeune, ou vivre pour toujours.
Hélas, il n'a pas en ses pouvoirs la seconde possibilité.
Il devrait partir, et chaque jour, chaque matin où il s'éveille à ses côtés, chaque soir où ils s'endorment sur leurs grimoires ensemble, Elias est convaincu de rester un jour de plus.
Il ne faut pas s'y tromper : ce ne sont pas là des considérations secrètes. Elias manigance, mais Elias n'a pas quinze ans ; les drames adolescents, merci bien. Il lui a dit, à Merlin. Il lui a dit : "tu verras, tu m'enterreras." Un jour, comme une blague. Le jour suivant, droit dans les yeux, pour que ce jeune homme prenne la pleine conscience de ce qui l'attendait.
Mais merlin est comme l'eau et le chaud, comme le son et comme le temps. On n'y résiste pas.
Ils ont discuté. Ils ont négociés. Ils ont chanté Beltaine. La vie a suivi son cours. Elias est toujours là. Son corps vieillit.
Mais il reste jeune.
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2020 a laissé beaucoup d'entre nous se sentir impuissants, mais avec cette nouvelle année il y a une chance de récupérer nos pouvoirs. Il n'y a pas de meilleure façon d'accueillir cette énergie en regardant la nouvelle série Fate: The Winx Saga , mettant en vedette Abigail Cowen , qui joue le rôle de Bloom dans cette nouvelle série Netflix. Bloom nous montre à tous que ce sont nos différences qui font de nous une force avec laquelle il faut compter. Si vous avez du mal à découvrir votre propre pouvoir unique, lisez la suite de notre entretien avec Abigail, qui discute avec nous de son expérience de travail sur le tournage de Fate: The Winx Saga , de son parcours en tant qu'actrice et de sa passion pour le mental. plaidoyer pour la santé.
𝐶𝑜𝑚𝑝𝑟𝑒𝑛𝑒𝑧 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑔𝑢𝑒́𝑟𝑖𝑠𝑜𝑛 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑙𝑖𝑛𝑒́𝑎𝑖𝑟𝑒. 𝐶𝑒 𝑛𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑝𝑎𝑠 𝑚𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒𝑚𝑎𝑖𝑛. 𝐶'𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 𝑣𝑜𝑦𝑎𝑔𝑒 𝑒𝑡 𝑢𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑏𝑎𝑡. 𝑉𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑣𝑒𝑧 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑏𝑎𝑡𝑡𝑟𝑒.
Votre nouvelle série Fate , basée sur la série Winx Club , sortira très bientôt. Que pensez-vous de la sortie? Je suis très excité, mais je suis aussi très nerveuse. C'est mon premier rôle principal dans quelque chose. C'est un mélange d'émotions. C'est de l'excitation et des nerfs! Vous jouez Bloom. Pouvez-vous nous parler un peu de son personnage dans la série? Bloom est un étrangère. Le spectacle se déroule dans l'Autre Monde, mais elle est née dans le monde des humains. Elle a découvert vers 16 ans qu'elle avait des pouvoirs et elle a été envoyée dans l'Autre Monde pour apprendre à les contrôler. Elle est têtue, il s'agit donc en quelque sorte de son parcours d'apprentissage sur elle-même et de développement d'amitiés, tout en essayant de contrôler ces pouvoirs de feu. En quoi pensez-vous que vous êtes semblable et différent de Bloom? Je dirais certainement que je suis lié à sa personnalité têtue. J'ai été un peu têtu et dur toute ma vie. Je me rapporte beaucoup à Bloom en fait, surtout à cet âge et aux choses qu'elle traverse, à découvrir qui elle est et à s'entendre avec elle-même. Vous savez, les choses typiques que vivent la plupart des adolescents. Je me rapporte à sa volonté et à son entêtement maintenant dans ma vie. Je dirais que la différence est… je ne sais pas vraiment. Je dirais peut-être juste les pouvoirs de feu. Je n'en ai pas. Quelle a été selon vous la plus grande leçon que vous avez tirée de Bloom? J'ai tellement appris de Bloom. Ce qui vous différencie, c'est votre superpuissance. C'est ce qui vous rend spécial et beau. C'est ce qui fait de vous, vous. Mais cela peut être effrayant au début. En la jouant en tant que personnage et en passant par ces émotions avec elle, je pense que tout le monde peut comprendre cela. Toute la série apprend à accepter ce qui vous rend différent et ce qui vous distingue. Je n'ai regardé que les premiers épisodes, donc évidemment, les fées apprennent encore à se connaître et il y a un peu de tension, mais comment cela fonctionnait-il avec autant de femmes formidables dans les coulisses? C'était incroyable! C'est tellement spécial quand vous avez une émission centrée sur les femmes comme celle-ci. Cela crée un environnement merveilleux sur le plateau et à l'écran. Le casting a juste ces femmes formidables et fortes qui se soutiennent toutes et s'encouragent les unes les autres. C'est formidable de travailler et d'être là. Nous sommes tous devenus de très bons amis et nous nous sommes bien entendus dès le premier jour. En vous donnant une seconde pour vous vanter, que pensez-vous avoir apporté à la table sur le tournage de Fate: The Winx Saga ? Vous savez, je pense que tout le monde a apporté quelque chose de différent. C'était le thème principal pour tout le monde. J'ai définitivement des manières étranges. Je ne sais pas si c'est une bonne chose. Je sais que c'est ce qui m'a été mentionné. C'était quelque chose dont je n'étais pas sûr de moi parce que quand je parle, je pense que j'ai des manières idiotes. Mais comme je l'ai dit, étant sur le plateau avec tant de gens qui aimaient et soutenaient vraiment ce qui vous rend différent, j'ai en quelque sorte pensé que cela pourrait être intégré à Bloom. J'ai pensé que c'était une belle réalisation pour moi. J'espère que cela répond à votre question, mais je ne sais pas si c'est un moment de vantardise. * rires* De quelles manières ce spectacle ou cet ensemble particulier vous a-t-il défié en tant qu'acteur? De toutes les manières possibles, pour être honnête. C'était mon tout premier rôle principal. C'était mon premier rôle lourd. Cela ne veut pas dire qu'il existe un petit rôle ou un petit acteur. C'était juste un rôle avec une responsabilité plus lourde. J'avais l'impression de travailler jour après jour, de longues heures dans des conditions météorologiques folles. Avoir cette quantité de responsabilité et les différentes émotions à représenter dans différentes scènes en une journée était beaucoup. J'étais très nerveux à l'idée de m'y mettre, et j'ai dû surmonter ces nerfs et sortir de ma tête, n'ayant jamais joué un rôle principal auparavant. J'ai vraiment dû me forcer à y aller et aussi simplement chercher le soutien et les conseils des gens sur le plateau. Avoir cet environnement favorable sur le plateau a été utile. Mais oui, cela m'a mis au défi de toutes les manières possibles - en tant que personne, en tant qu'acteur, en tant qu'ami. De toute évidence, cette version est un peu plus pointue que le Nickelodeon Winx Club . Mais d'une certaine manière, je pense que cela rend les choses plus faciles à comprendre pour les personnes de mon âge, les jeunes adultes. Quels types de leçons ou de moments espérez-vous que les téléspectateurs retiennent vraiment de ces épisodes? C'est définitivement différent. J'aime le dicton: «The Winx le public a grandi et nous aussi. Je pense que nous nous sommes vraiment concentrés là-dessus pour la série. C'était le programme pour cela. Il y a tellement de leçons à tirer. Je pense que l'aspect de l'amitié est merveilleux et important à embrasser. La plupart du temps, cela peut être une lutte dans le monde. Je pense que la façon dont la série décrit ces amitiés est spéciale car elle ne montre pas seulement cinq filles s'entendant avec des papillons et des arcs-en-ciel. Cela montre les inconvénients, mais que grâce à l'amitié, vous pouvez en sortir. Il montre les différents types de femmes dans l'amitié et l'acceptation, l'autonomisation et l'inclusion. Il est si important d'en faire partie et d'en tirer des leçons. Pour les personnes de l'âge des filles, elles peuvent regarder cela et être encouragées à s'accepter pour qui elles sont. A cet âge, c'est dur parce que tu veux t'intégrer. Je sais qu'à cet âge, je voulais être tout le monde, et je détestais ce qui me rendait différent. J'adore le fait que cette émission le montre, et cela montre l'amitié qui en découle. J'ai lu que vous avez grandi dans une ferme, souvent en jouant et en créant vos propres histoires. Rétrospectivement, comment pensez-vous que ces simples moments ont influencé votre jeu d'acteur maintenant? Oh mon Dieu, de toutes les manières possibles! En repensant beaucoup ces derniers temps, je réalise à quel point cela a affecté ma méthode. Je me souviens avoir joué à Barbies tout seul, ou je sortais avec mon frère et créais des histoires. Je mettais en scène sur des spectacles avec différents scénarios. Je créais constamment. C'était incroyable d'avoir cette liberté en tant qu'enfant de s'exprimer comme tu le voulais et comme tu l'entends. Cela permet également des possibilités infinies dans votre vie d'adulte, car vous vous habituez à permettre à votre cerveau d'aller où il veut. Quand j'étais jeune, je jouais aux Barbies et je créais ces histoires. Je commençais à pleurer sur l'histoire. Je me souviens avoir pensé: «Oh mon Dieu. Je peux pleurer comme ça? Peut-être que je peux être une actrice. J'étais tellement dans les émotions de ça. Je tire de ces moments maintenant, étant en contact avec différentes émotions. C'est comme un muscle que j'ai entraîné depuis que je suis enfant. Changement de vitesse… Je sais que vous êtes un ardent défenseur de votre santé mentale. 2020 n'a pas été facile pour nous tous, alors comment avez-vous veillé sur vous-même? Je me suis assuré d'être patient avec moi-même et de me donner la grâce. Avec cela, cela m'a aidé à ne pas être si en colère contre moi-même de ne pas vouloir être social ou de me sentir déprimé pendant une journée. Je pense que beaucoup de gens se sentent comme ça en ce moment et se sentent en colère contre eux-mêmes pour se demander ce qui ne va pas avec eux. Je pense qu'être patient avec soi-même est la chose la plus importante en ce moment. Et en réalisant que nous ne sommes pas les seuls à vivre cela. Nous sommes tous là dedans. Rien ne va pas avec nous. C'est juste la main que la vie nous a donnée en ce moment. Même avec ça, ça n'aide pas toujours. Je pense qu'il est important de faire de l'exercice, de bien manger et de se confier aux gens. Dites-leur que vous ne vous portez pas bien aujourd'hui. Le simple fait de le dire et d'être audacieux est, je pense, la chose la plus importante à faire, car c'est la plus effrayante. Je pense que c'est le plus effrayant parce qu'il y a une telle stigmatisation autour de la santé mentale et la stigmatisation autour de se sentir triste dans la journée. La stigmatisation dit que si vous vous sentez triste, déprimé, déprimé ou anxieux, cela signifie que vous êtes faible ou que quelque chose ne va pas avec vous. Ce n'est pas du tout le cas. Avec cette stigmatisation, les gens n'en parlent pas, et ils le refoulent. Ensuite, ils entrent simplement dans une spirale, et la situation empire. Je pense qu'en ce moment, être patient avec soi-même et demander de l'aide est la chose la plus courageuse que vous puissiez faire. Et la chose la plus importante. et ça empire. Je pense qu'en ce moment, être patient avec soi-même et demander de l'aide est la chose la plus courageuse que vous puissiez faire. Et la chose la plus importante. et ça empire. Je pense qu'en ce moment, être patient avec soi-même et demander de l'aide est la chose la plus courageuse que vous puissiez faire. Et la chose la plus importante. En entrant seulement dans les détails avec lesquels vous êtes à l'aise, qu'est-ce qui a déclenché votre passion pour parler de santé mentale? Quand j'ai traversé une période difficile au collège - après avoir été victime d'intimidation pour avoir les cheveux roux - cela m'a coûté très cher. J'ai été scolarisé à la maison en huitième à cause de cela. J'ai beaucoup appris sur comment m'aimer moi-même. C'est un long, long voyage. Cela va être un voyage pour le reste de ma vie, et je dois utiliser les outils dont je dispose pour m'accepter, m'aimer et me donner la priorité. Je dirais que cela en a déclenché beaucoup. Cela a vraiment frappé il y a quelques années lorsqu'un de mes amis proches s'est suicidé. Après cela, cela a frappé quelque chose en moi [d'être] aussi ouvert et vocal que possible sur les choses. Cela m'a ouvert les yeux de réaliser que tant de gens traversent cela en silence. Si une personne peut parler et dire: «Hé, tu n'es pas seul», ou simplement expliquer le processus chimique en cours dans le cerveau… il ne s'agit pas de dire aux gens qu'ils peuvent être «réparés», c'est de dire: «Hé, il existe une solution à votre douleur en ce moment. Ce n’est pas la fin, tout est tout. Faire ces choses est important. Si je peux être la seule personne à aider une autre personne, cela en vaudrait vraiment la peine pour moi. Je sais que les gens souffrent tout le temps, la douleur de subir les effets du suicide. Je pense que c'est l'une des choses les plus importantes dont il faut parler. Pour les jeunes qui vous admirent, quels conseils pouvez-vous offrir à quelqu'un qui ne sait peut-être pas comment défendre ses besoins mentaux? C'est difficile parce que certaines personnes qui passent par ces choses ne se tournent pas parce qu'elles ont l'impression de n'avoir personne à qui s'adresser. Mon conseil est qu'il y a toujours des lignes d'assistance à appeler. J'ai entendu des gens les appeler. Je sais que c'est quelque chose que vous pouvez atteindre. Mais même le simple fait de le publier et de toucher une seule personne et de parler à l'existence peut vous aider à l'accepter. C'est plus facile à dire qu'à faire. Vous pouvez même l'écrire ou un journal à ce sujet. Le sortir et ne pas avoir l'impression que c'est un sale secret est un premier pas important. Rappelez-vous qu'en ce moment, vous pouvez vous sentir désespéré et que cela ne va peut-être pas automatiquement, mais que demain est un nouveau jour pour que quelque chose de nouveau se produise dans votre vie. Cela vaudra la peine de rester dans les parages. Rappelez-vous qu'il y a de meilleurs moments à venir, car le principal problème de la dépression et de l'anxiété est que cela provient en grande partie du désespoir. Trouvez-vous quelque chose pour vous donner un peu d'espoir. Comprenez que la guérison n'est pas linéaire. Ce ne sera pas mieux demain. C'est un voyage et un combat. Vous devez vous battre. Je pense qu'il existe de nombreuses ressources différentes et j'espère qu'il y en aura d'autres à l'avenir qui seront plus accessibles.
𝐿𝑒 𝑚𝑜𝑡 𝑞𝑢𝑖 𝑚'𝑒𝑠𝑡 𝑣𝑒𝑛𝑢 𝑎̀ 𝑙'𝑒𝑠𝑝𝑟𝑖𝑡 𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡« 𝑒𝑠𝑝𝑜𝑖𝑟 ». 𝐺𝑎𝑟𝑑𝑒𝑧 𝑙𝑎 𝑓𝑜𝑖 𝑒𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑖𝑛𝑢𝑒𝑧 𝑎̀ 𝑡𝑟𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑦𝑒𝑛𝑠 𝑑'𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑑𝑒 𝑙'𝑒𝑠𝑝𝑜𝑖𝑟 𝑠𝑢𝑟 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑒𝑡 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑒̂𝑡𝑟𝑒
Enfin, quelle est selon vous une bonne intention ou un objectif que tout le monde peut se fixer à l’entrée de cette nouvelle année? Je pense avoir de l'espoir. Le mot qui m'est venu à l'esprit était «espoir». Gardez la foi et continuez à trouver des moyens d'avoir de l'espoir sur ce que le monde sera et peut être. C'est beaucoup de ce que les gens vivent en ce moment, perdant espoir de trouver une solution à cette pandémie. Je pense qu'il est important de garder espoir et de manifester cela.
▪ source ▪ traduit par ACFR.
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lettres à Kristen Stewart #4
Chère Kristen,
Vingt-deux ans c'était un dimanche et ma grand-mère m'a demandé ce que ça faisait d'être une enfant du dimanche. A Sunday child. Je me suis dit que ça ferait un bon titre pour mon prochain post sur mon blog. J'ai parlé à personne au téléphone parce que j'avais mes règles et parce que j'en avais marre qu'on me demande comment ça se passait à Amsterdam parce que la vérité c'était que je sortais pas de ma chambre et que j'étais déjà nostalgique de ma vie nulle à Paris. J'étais ravie de vieillir, tout ce que je voulais c'était de sortir de cette obscure transition de l'adolescence à l'âge adulte et le plus vite possible. À Amsterdam je mangeais uniquement du pain mou, des carottes crues, des yaourts pomme-cannelle et du Cruesli Christmas Edition aux brownies parce que j'avais peur de croiser des gens dans la cuisine. J'y suis allée trois fois. La deuxième fois c'était le soir de la Super Exchange Erasmus Party, je m'étais dit que j'aurais la paix, j'ai attendu dix heures le temps que tout le monde soit parti mais j'ai été surprise par deux retardataires qui m'ont gentiment dit bonsoir pendant que je surveillais l'eau des pâtes assise sur la table avec mon livre de Philip Roth. J'ai à peine levé les yeux de mon livre.
Les seules personnes à qui je parlais étaient mon amie Lulu, un garçon de Breda qui s'appelait Christian, et un anglais du nord qui s'appelait Kiernan dont je comprenais pas la moitié de ce qu'il me disait. Le garçon qui s'appelait Christian m'avait ramenée au campus sur son vélo le premier jour de cours. Il était gentil avec moi, il m'avait fait visiter la fac, il m'aidait à faire marcher la photocopieuse, il me complimentait sur mes tenues, il avait même noté son numéro de téléphone dans mon classeur pour qu'on aille voir Tame Impala au Paradiso ensemble, mais moi ça me faisait peur qu'on soit gentil avec moi et j'ai préféré y aller toute seule. Un soir il a tenté de danser avec moi, ils avaient organisé une petite fête un peu nulle sur le campus pour nous souhaiter la bienvenue et y avait un groupe de reggae qui jouait sur une scène, doublement horrifiée je me suis tournée vers mon amie Lulu et j'ai dit bon on va se coucher? En attendant l'ascenseur dans le hall de l'immeuble je lui ai dit que je buvais pas d'alcool parce que j'avais peur de perdre le contrôle et que j'avais jamais été soûle. Elle m'a dit qu'elle non plus elle avait jamais été soûle. Elle venait de Chine et je crois que ça rendait les choses plus simples. J'avais moins honte parce que c'était pas les mêmes codes, c’était comme un terrain neutre, j'avais l'impression que je pouvais tout lui dire et qu'elle me jugerait pas. Elle a fêté son anniversaire un peu avant moi dans la cuisine de la résidence, quelques étages en dessous de la mienne. Elle avait invité ses deux amis chinois et on a mangé du chou rouge dans une grande marmite.
Cette année-là Kristen tu présentais le film de Jack Kerouac à Cannes avec tes lunettes de soleil sur la tête et moi j'avais envie d'avoir une vie d'adulte sophistiquée comme cet homme qui pédalait sous la pluie en costume avec une seule main en tenant son parapluie de l'autre. La nuit j'entendais mon voisin du dessus qui jouait du tam-tam en écoutant Bob Marley jusqu'au petit matin et je pleurais dans mon coussin parce que je voulais pas être là, sur ce campus moche entourée d'étudiants insouciants qui me laissaient pas dormir tranquille. A la tombée du jour je me promenais dans les rues tranquilles autour du campus et je regardais les gens rentrer chez eux, je les observais à travers leurs grandes fenêtres à l'intérieur de leurs maisons en briques rouges en me disant que j'aurais du passer directement du lycée à femme au foyer. Je bâclais tous mes devoirs dans l'espoir qu'on me renvoie à Paris parce que je respectais pas ma partie du contrat. Je ratais systématiquement le cours d'urbanisme parce qu'on faisait des excursions en vélo et que j'avais pas de vélo parce que ça me faisait peur et puis je cachais mon téléphone au fond de mon tiroir à chaussettes pour pas voir les messages de la prof qui me trouvait vraiment pas sérieuse. Je connaissais tous les trains qui faisaient le trajet entre Luxembourg et Amsterdam: ceux à compartiments, les normaux, ceux avec les vieux compartiments comme dans le train d'Harry Potter avec les sièges marrons tout râpés, le Thalys, le Fyra bleu et jaune, et le train à étage qui allait jusqu'à Zurich. C'est ma grand-mère qui me finançait mes trajets. Je passais par Bruxelles et je mangeais une gaufre chaude en attendant ma correspondance, c'était mon petit rituel rassurant.
Au mois de décembre j'ai fini par ne plus retourner à Amsterdam du tout. J'allais descendre des assiettes de soupe à ma grand-mère et elle me disait Encore t'es là? Elle me racontait que mon père aussi à vingt-deux ans il avait eu des problèmes avec la fac, ah des problèmes ton père il en a eu des problèmes à vingt-deux ans, il a arrêté ses études pendant deux ans et il est parti faire le tour du monde. Moi j'étais trop occupée à survivre pour penser à voyager. Le jour où je devais reprendre le train pour finir le semestre comme il faut j'avais pas encore fait ma valise et à midi quelque chose a cassé et j'ai fait ma première crise. J'avais jamais autant pleuré de ma vie. J'ai pleuré dans toutes les pièces de la maison. Je disais que je voulais qu'on m'interne dans un hôpital pour plus avoir de responsabilités. J'avais l'impression d'être dans un film dramatique comme j'aime. J'ai pas fait ma valise je suis pas allée à la gare et quand l'heure du dernier train est passée j'ai retrouvé la vieille sensation de victoire douce qui m'envahissait quand je séchais les cours au lycée. La victoire sur les obligations et la réalité chiante. Dans l'après-midi quelqu'un est venu livrer un colis, je lui ai ouvert la porte en pyjama avec les cils encore humides et les verres de mes lunettes constellés de larmes séchées, il a dit Je me dépêche avant que vous n'attrapiez une grosse pneumonie et j'avais l'impression d'être une convalescente fragile. Une rescapée.
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