#inspirer d'une fanfiction anglaise
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Un peu différent mais l'idée est là.
The idea is there but kid of different.
#pjo oc#percy jackon and the olympians#heroes of olympus#greek posts#poseidon#disaster twins#percy jackson#percy is happy to have a brother that doesn't want to kill him and is human#percy est content d'avoir un frère humain et qui ne souhaite pas sa peau#dessin#drawing#andrew est pas habitué que sang-mêlé de l'apprécié#andrew is not used to half-bloods to like him#he is a little ankward#il est un peu gèner#inspirer d'une fanfiction anglaise#inspired of a english fanfic
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Histoires d’éternité - 6
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Fanfiction inspirée par la série tv anglaise Torchwood (2006-2011)
Tous les personnages restent évidemment la propriété de la BBC
Chapitre 6 : Adieu
Un grondement, profond, sourd et vibrant, semblant venir des entrailles même de la Terre, lui coupa la parole.
Tous trois se regardèrent. Milenko sauta sur ses pieds.
Et puis … tout explosa.
Galaxie Alpha, Planète-capitale Zéphyr, 51e siècle
Jack se tut et jeta un coup d’œil en biais au Docteur.
Ce dernier poussa une sorte de rugissement scandalisé :
-Comment ça, "exploser"?! Qu'est-ce que tu me chantes là?? Continue, explique-toi !
Jack ne put empêcher un sourire de fleurir sur ses lèvres devant l'implication du Docteur.
-Le Second grand incendie de Londres, ça ne te dit rien? lâcha-t-il.
Le Docteur en resta comme deux ronds de flan.
-Oh non, Jack... souffla-t-il, affligé.
-Près de trois quartiers ont entièrement disparu de la surface de la Terre, lui rappela Jack. On sait toujours pas exactement à quoi était due l'explosion à l'origine de la catastrophe. L'hypothèse la plus probante est que le taux d'ozone ait atteint un degré tel qu'il aurait fait exploser d'importantes poches de gaz, situées pourtant à plusieurs kilomètres de la surface de la Terre. L'épicentre de l'explosion était à quelques centaines de mètres du centre d'archives. Je te laisse imaginer le temps qu'il a fallu pour que les débris soient déblayés et le nombre de résurrections/morts par étouffement qu'il a fallu que je me coltine en attendant ...
Le Docteur lui posa la main sur l'épaule, compatissant.
-C'est incroyable, non? reprit finalement Jack. Que je sois tombé sur cette photo, à peine une ou deux minutes avant qu'elle ne soit pulvérisée avec le reste des dernières sources historiques sur Torchwood ! Franchement, tu arrives à croire à une coïncidence, toi?
-Non, évidemment !
Les deux hommes échangèrent un regard.
-Je devais être là, souffla Jack. Avant que la seule preuve, le seul moyen de comprendre ne disparaisse à jamais.
Le Docteur hocha lentement la tête, profondément pensif.
-Ce que t'a fait comprendre cette photo, comment tu l'analyses désormais? voulut-il savoir.
Jack prit une inspiration et dévisagea un instant le Docteur.
-Même maintenant, j'ai encore du mal à mettre des mots sur cela. Tous les Ianto, les Julian, les Youssef et les autres ne sont pas la même personne. Ils ont des histoires différentes. Ils se ressemblent mais ce ne sont pas des copies conformes. Il y a des éléments qui reviennent. Neuf fois sur dix, ils ont les yeux bleus. Des cheveux sombres. Un prénom qui commence avec une sonorité en "I". Mais évidemment, chacun est unique à sa manière. Ils ont des personnalités proches mais il y a toujours des différences parce qu'on est forcément façonné par son passé, son milieu social, sa culture. Maintenant, je le reconnais dès que je le rencontre, souffla-t-il, comme un aveu. Évidemment. Il me suffit de croiser son regard pour cela. Tu comprends ?
Le Docteur hocha doucement la tête.
-C'est une malédiction, jeta Jack. Pire que cela même. Où que j'aille, quoi que je fasse, je tombe sur lui. J'ai beau essayer de l'éviter, j'ai beau recourir à tous les stratagèmes possibles et imaginables, je me mets à l'aimer comme un fou. Je ne peux tout simplement pas m'en empêcher. Et puis, il meurt. Souvent d'une mort violente d'ailleurs, comme si l'univers essayait de corriger son bug avec un train de retard. Parfois je n'ai que quelques heures avec lui. Quelques semaines. D'autres fois à l'inverse, des années.
Il exhala un long et douloureux soupir.
-Imagine-toi, rien qu'un instant, ce que ça peut être. Avoir aimé puis perdu puis vu mourir l'être aimé plus de 50 fois dans ces circonstances ...
-A peu près une fois par siècle, remarqua le Docteur.
-Oui. Moi aussi, je me suis fait la réflexion. Là encore, je ne pense pas que ce soit un hasard. Tu sais, on pourrait croire que c'est génial. Que quand il meurt, je sais que je vais le retrouver sous une autre forme. Mais non. Parce que chaque version de lui est unique. Je m'attache à chacune individuellement. Et chaque mort me déchire un peu plus le cœur. Chaque réapparition est à la fois un soulagement et une torture. A chaque fois, je trahis le précédent. C'est infernal. Il faut que ça s'arrête.
-Qu'as-tu décidé ? demanda le Docteur d'une voix basse.
-Je pense que toutes ces versions de lui partagent une même âme. Et que, d'une manière ou d'une autre, par le destin ou je ne sais quoi, cette âme est liée à la mienne. Du coup, l'univers la recycle encore et encore puisque je suis toujours dans le coin. Il doit y avoir une version originelle de lui. Celle que j'aurais rencontrée si j'avais suivi le cours normal de ma vie. Si je n'étais pas tombé sur toi et qu'il n'y avait pas eu...
-Le Bad Wolf, souffla le Docteur. Et donc, tu ...
-Nous sommes au 51e siècle, expliqua Jack en regardant l'écran de contrôle du TARDIS. Quelque part dehors, il y a mon jeune moi. Il est paumé parce qu'il vient de se réveiller un beau matin avec un trou de mémoire de 2 ans. Du coup, il part en vrille et va devenir un petit arnaqueur de l'espace.
Le Docteur hocha la tête, le visage sérieux.
-Demain, poursuivit Jack, il va tomber sur les vestiges d'une armée Chula et piquer un vaisseau individuel et une ambulance. Puis, il va partir à la recherche de pigeons à arnaquer avec. Ce qui aura les conséquences que tu connais...
L'ombre d'un enfant terrifiant, en quête désespérée de sa "Mummy" et errant au milieu du chaos du Blitz plana un instant entre eux.
-J'ai l'intention de l'en empêcher, reprit Jack d'une voix ferme. De faire en sorte qu'il n'aille jamais sur Terre durant la période qu'il préfère entre toutes : la Seconde Guerre mondiale. Il ne deviendra pas Jack Harkness, ne te rencontrera pas et ne deviendra donc jamais immortel. Il poursuivra sa destinée originelle et, si le sort lui est favorable, il rencontrera cet ... cette autre âme, ou peu importe comment tu veux l'appeler. Les choses rentreront dans l'ordre. Tu l'as dit toi-même, plaida-t-il. Je suis une aberration. Je n'aurais jamais dû exister. En faisant cela, je ne ferais que restaurer le cours normal des choses.
Jack et le Docteur échangèrent un regard d'une intensité rarement égalée. Puis, un léger sourire apparut sur les lèvres du Seigneur du temps et il hocha lentement la tête.
-Ça me paraît juste, dit-il finalement. Il s'agit de ta destinée. C'est un choix que tu es le seul à avoir le droit de prendre.
-Merci, souffla Jack en laissant échapper un long soupir.
Le Docteur secoua la tête.
-Je vais rester avec toi, si tu veux, offrit-il.
Jack approuva d'un signe de tête.
-Ce serait bien.
.
Cela avait été simple, en fait.
Profitant d'une absence momentanée de son jeune lui en escale sur Sajamine, une planète commerciale grouillante de vie, Jack avait saboté le vaisseau Chula. Puis, avec l'aide du Docteur, il avait interceptée et neutralisée l'ambulance.
Et Jack avait été pris d'une nostalgie soudaine au souvenir d'un magnifique couple, une jolie blonde avec l'Union Jack sur son tee-shirt et un beau brun en uniforme, en train de danser sur Glenn Miller, en apesanteur près de Big Ben...
.
Ils étaient désormais dans le TARDIS, flottant dans l'espace au milieu de nulle part. Jack n'avait pas souhaité suivre la version jeune de lui-même mais il savait que ce ne serait pas bien long. Dès qu'il passerait assez près d'une planète pour être attiré par l'orbite de celle-ci, le vaisseau irait s'y crasher. Jack avait suffisamment confiance en ses propres talents de pilote : il devrait s'en sortir sans trop de mal... Et irait enfin à la rencontre de son véritable destin.
-Est-ce que tu te souviendras de moi ? demanda-t-il au Docteur qui tourbillonnait autour de sa console, plus nerveux que Jack ne l'avait jamais vu.
Le Docteur stoppa net et planta ses yeux dans ceux de Jack.
-Oui, affirma-t-il.
Et Jack le connaissait assez bien pour savoir qu'il ne mentait pas.
-Il peut exister plusieurs versions d'une même réalité, expliqua le Docteur. La plupart des gens ne s'en aperçoivent pas, bien sûr. Ils ne perçoivent que la réalité dans laquelle ils évoluent et n'ont pas conscience des autres. Mais parfois, il existe certains êtres exceptionnels qui perçoivent les différentes réalités auxquelles ils ont été confrontés. Et comme tu le sais, Jack, je suis un être exceptionnel...
Jack eut un grand sourire.
-Moi aussi, Docteur ! affirma-t-il en lui faisant un clin d'œil.
Le Docteur leva les yeux au ciel en retenant un sourire. Il s'apprêtait à rembarrer Jack d'un « Arrête ça ! » mais les mots moururent sur ses lèvres. Le TARDIS était vide. Il n'y régnait que l'habituel écho qui, pour le Docteur, était devenu synonyme de solitude. Jack Harkness était parti. Son désir était accompli, son véritable destin était en marche.
Le Docteur ferma les yeux, la gorge serrée, le cœur douloureux. Ses mains se crispèrent sur la console du TARDIS.
-Adieu, souffla-t-il.
Puis, les mains serrées sur ses instruments de pilotage, le Docteur releva brusquement la tête.
Il réfléchit, pianota sur son tableau de commande, et le TARDIS se mit en marche en tourbillonnant sur lui-même.
A SUIVRE ...
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