#fumeuse
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Fumeuse D'Opium by Raphael Kirchner
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Scroller sur Leboncoin m'en fait voir des choses.
Vous connaissez la dynamisation de l'eau ? C'est faire tourner l'eau sur elle-même pour qu'elle ait un meilleur goût. Ou alors lui dire des mots doux avant de la boire, ou alors de la remuer avec un aimant... Juste ça... Il t'a des charlatans qui vendent des appareils à 600-900€ pour ça !

Quand tu marques ça sur ton site pour vendre tes machins à 600€... Ca n'a pas de bases scientifiques 🎶 mesurables et reproductibles.
Petit florilège de bêtises :




Je ne vais empêcher personne de dire des mots doux ou de passer de la musique (pastorale !) à son verre d'eau avant de le boire, ça coûte rien, mais qu'est ce que c'est con !
#quand je dis qu'il y a un manque d'éducation en terme de chimie...#la mémoire de l'eau... j'avais déjà entendu parler de cette théorie fumeuse il me semble
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'Lelie, Fumeuse d'Opium'. Raphael Kirchner. 1915–16. Color lithograph on card stock.
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NEWPORT, OREGON, 2024
city gangs criminels low fantasy (-18) équipe admin; bengal, lux, mongrel.
ocytocine sur pourpre de lippes, qu'haleine furieuse exalte en belle faim. rictus pourléché, au gré du satan(é)-battant; ô perles de ruine, font gémir ces saints, quand toxines en sanglots rincent les infâmes. et galopent, en fumeuses susurres, les échos d'une plèbe soufflée par pandore.
---- épicentre de la lutte universelle entre le bien et le mal; newport est le berceau mystique des 7 vices et vertus de l'humanité. chaque personnage pourra choisir un vice et une vertu exacerbés parmi la liste fournie (réadaptée), à choisir à l'inscription. les dynamiques personnelles ou organisationnelles seront fortement impactées par votre décision. l'hypocrisie de l'homme n'aura jamais connu pareil paroxysme, puisqu'ici, tous s'accusent des pires maux ou se gargarisent des meilleurs pensées. alors, qui serez-vous?
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MAJ DES 4 ANS
On approche de la fin, pas vrai ? Le combat final, la fin du monde, les réponses à toutes les questions. Des arcs narratifs importants approchent doucement de leur terme, et si on ne peut pas vous donner de dates avec certitude, les prochaines intrigues verront se clôturer beaucoup de choses. Si on avait su, en ouvrant NVM, qu'un jour, on en serait là, avec quatre ans d'intrigues, de lore, de découvertes, et surtout Quetzalcóatl aux portes de la ville, on aurait probablement fait une syncope. Ouais, il s'en est passé du temps, des histoires, des théories plus ou moins fumeuses et des dramas. Mais nous, on en redemande en fait. Alors stay tuned, parce que ça ne fait que commencer ! https://nelvespero.forumactif.com/ https://nelvespero.forumactif.com/ https://nelvespero.forumactif.com/
design par @soeurdelune, qu'on remercie encore du fond du coeur pour son travail artistique et son talent sans failles <3
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La fumeuse d'Opium 1970
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Le mensonge a cessé d’être un vice moral et intellectuel pour devenir un système de gouvernement. C’est un progrès considérable pour les mondialistes, car il a pour première vertu de faire disparaître toute notion d’éthique dans les sociétés dites “avancées”. Comment le mensonge généralisé – statistique, médiatique, étatique – est-il parvenu à effacer non une quelconque vérité, notion fumeuse et très discutable, mais plus radicalement, à escamoter la réalité toute entière ?
Première mise au point, indispensable : qu’est-ce que la réalité aujourd’hui ? Est-elle seulement définissable ? Fait vérifié : la réalité n’est plus le produit de l’observation individuelle, mais celui du discours collectif. D’où l’importance du contrôle permanent et méticuleux des médias classiques, à l’exclusion (très provisoire) des canaux présents sur Internet. Le discours collectif donc, est souvent résumé par l’appellation anglicisante de “narratif”. Les narratifs qui se succèdent, s’enchainent et parfois se chevauchent, ont pour fonction d’installer un climat dans l’opinion publique – euphorisant, anxyogène, consensuel, solidaire, etc. Les problèmes sont créés, les réactions contrôlées, les réflexions orientées, les solutions suggérées. Cela fait partie de l’ingénierie du “soft power”, concept directement sorti de l’esprit des publicitaires américains... et c’est ainsi que la réalité devient une vérité, celle de “On” qui prospère ainsi sous mille visages. C’est le consensus majoritaire : Monsieur Moyen et Madame Tout-le-Monde, qui ont du bon sens, adorent tout ce qui est très équilibré, donc central, et ne supportent pas les à-coups suggérés par les opinions radicales, trop réactives. L’affect collectif balance du paradis sucré des bons sentiments à l’entêtant pizzicato des situations stressantes. Des Jeux Olympiques à la variole du singe, si vous me suivez.
La force du discours collectif ne tient pas au fait qu’il soit collectif, c’est à dire reçu et relayé par la masse, mais plus par sa capacité de diffusion et de répétition. Ici aussi, on est dans la pure technique publicitaire. On comprend mieux la prise en charge, par l’État, de la santé financière des organes de Presse qui, dès lors, lui sont durablement redevables. Je dis bien “l’État” et non le “gouvernement”, ce qui souligne que le premier est l’expression directe du système qui désormais le contrôle, alors que le second n’a qu’un rôle illustratif, cosmétique.
Que reste-t-il alors de l’observation individuelle ? Eh bien elle ne puise sa valeur que dans celle des individus eux-mêmes. Celui qui ne veut pas voir ne verra pas, ni n’entendra, ni ne réfléchira. Celui qui constate que ce qu’il voit n’est pas ce qu’on lui raconte – pour peu qu’il ait un peu d’instruction et de courage – se sentira tenu de dire et de contredire, surtout. Très vite il deviendra l’emmerdeur, le facho, le complotiste, le parano... autant d’insultes qui deviendront des médailles. Celui qui s’isole dans sa bulle afin d’échapper au bruit ambiant, celui qui a renoncé au succès d’apparence, à l’audience, aux soutiens et aux relais, celui-là souffrira de la solitude et de l’incompréhension. Mais si un seul concitoyen peut, au final, être convaincu d’ouvrir les yeux, alors la journée se soldera par une victoire de plus puisque le discours collectif comptera une paire d’oreilles en moins.
J.-M. M.
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Marseille mi-janvier.
Au Musée Regards de Provence, une expo sur un artiste très éclectique, Jean-Jacques Surian.
"Orientalisme"
"Reliquaire Cézanne"
idem
"La Fumeuse de joints"
"Totem"
"Affirmation de l'Amour"
idem
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- suggestion de faceclaim pour le pré-lien traum und existenz
tw - mention d'alcoolisme
kaito ça date, kaito ça prend racine dans des vieilles théories du complot fumeuses et des jets de jouets par-dessus la balustrade pour voir lequel survivra à l'apesanteur. kaito c'est l'autre côté de la pièce, c'est un micmac complémentaire, lui aime pas lire, elle elle adore lire, lui passe mille ans sur l'instru, elle crache des paroles comme un missile qui fend la mer en deux. kaito ça a été aussi celui qu'a joué au plus con, qui s'est retrouvé alcoolo à force d'accepter les verres lors des soirées, qui finissait pété à midi, qui s'est retrouvé à pas pouvoir assumer un concert. lulu l'a dégommé, lulu l'a dézingué, lulu l'a embrouillé comme jamais, dans l'inquiétude pour son pote mais aussi le flippe que le contrat pète entre la maison de disque et eux. la semaine d'après il avait son cul bien enfoncé dans une chaise en plastique chez les AA, et elle l'a accompagné lulu, elle l'a accompagné en lui serrant parfois la main. lulu c'est à la vie à la mort, lulu c'est les résidus d'un chaos doux qui tape des fous-rires à deux heures du matin.
#forum rpg#forums#rpg francophone#forumactif#rpg français#avatars rpg#faceclaim rpg#ressource rpg#pub rpg#nava mau#nava mau avatars
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Étant donné que ma mère a un cancer et qu'elle va subir des opérations lourdes, on lui a demandé vendredi d'arrêter de fumer. Mais arrêter de fumer du jour au lendemain, pas progressivement. C'est une fumeuse de longue date qui fume beaucoup depuis des années. Bien sûr que ça lui a mis un coup que les médecins lui demandent ça bien qu'elle s'en doutait. Encore une fois, savoir et entendre quelque chose, ça résonne différemment. Moi aussi je fume, bien moins mais, dans quelques années, ça finira comme elle. J'ai bien compris qu'en plus d'être cruel, c'est contre productif de fumer devant elle, ça la ramène à une notion de punition, de double peine. Pourquoi lui enlever l'un de ses rares plaisirs si en plus elle vit une période extrêmement dure et stressante ? Donc ce soir, j'y avais pas vraiment réfléchi avant, j'ai fini mon paquet avec elle et je lui ai dit que ni elle, ni moi allions en racheter car j'allais arrêter avec elle. C'est une pente glissante car je n'ai pas eu le déclic de l'arrêt, j'ai pas franchement envie d'arrêter mais si je peux faire une seule chose pour elle, alors je vais le faire et ça finira par venir la volonté d'arrêter. J'espère. Je sais que ce genre de chose, il faut le faire d'abord pour soi pour que ça fonctionne et que ça ait un réel impact, mais là, ce sera d'abord pour elle en attendant que je comprenne pourquoi il faut que j'arrête. Bonne chance à nous, puisse le sort nous être favorable.
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Emile Bernard, Fumeuse de Haschisch, 1900
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Logique du complotisme, compotisme de logique
Il y a encore des journalistes assez illettrés (attention: pléonasme inside) pour oser ânonner les mots "complotisme", "complotiste"...
Rappel : "complotiste" est un terme péjoratif employé par des sujets pour qui la difficulté de réfléchir a été évitée avec succès, c’est ainsi que l’accusation de "complotisme" (cf. "adepte de la théorie du complot") est censée frapper d’infamie, de discrédit et d’opprobre publique celui à qui elle s’adresse (tandis que celui qui la profère cherche tacitement l’assentiment des "gens de bien" qui se font fort de ramener toute pensée critique au rang d’une croyance aux martiens et à la platitude de la Terre). Comme disait Paul Valéry: «Qui ne peut attaquer le raisonnement attaque le raisonneur.»
En disant: «c’est celui qui dit qui l’est», la sagacité verbale des enfants rejoint la vérité en tant que contingente de la psychanalyse, la contingence, c’est que lorsque tu parles de quelqu’un d’autre, tu parles de toi parlant de quelqu’un d’autre, et tu en dis toujours plus sur toi que sur ce dont tu parles, ce que tu dis c’est toi, non seulement c’est toi qui le dis, mais c’est toi qui es parlé par ce que tu dis, car en vérité c’est de toi que tu parles, et tu ne le sais pas (en l’occurrence c’est toi qui y crois dans cette fumeuse et doublement mal nommée "théorie du complot"...)
La croyance est toujours croyance dans la croyance de l’Autre, personne ne peut croire "directement" quelque chose, croire présuppose toujours la croyance en quelqu’un d’autre qui y croit.
Cela tient d’une part à la structure du langage, la nécessité de la présence d’un Autre (qui garantit le sens de la parole), et d’autre part au noyau sémantique même du verbe croire, sa consistance logique que nous devons obligatoirement supposer: je ne peux pas croire si je ne peux pas croire d’abord que je crois croire, pouvoir croire (à quelque chose ou quelqu’un) présuppose nécessairement que je crois que je crois, cela s’appelle la réflexivité.
Le phénomène de la rumeur permet d’illustrer que la croyance est toujours croyance dans la croyance de l'Autre...
Une rumeur court par exemple qu'il va y avoir une pénurie de papier-toilette...
Je sais bien que c’est une rumeur, et donc que c’est probablement faux, mais comme il y a des gens qui y pensent, je me dis qu'il vaut mieux quand même que j'aille acheter du papier-toilette, parce que s'il y en a d'autres assez stupides pour y croire vraiment, à cette ridicule histoire de pénurie de papier-toilette, il n'y aura plus de papier-cul en magasin pour moi quand j’en aurai vraiment besoin !
Ce faisant, j'aurai contribué à rendre vraie la rumeur de la pénurie tout en prétendant ne pas y croire.
Voilà pourquoi la croyance — et c'est encore plus vrai lorsqu'elle se manifeste dans sa détermination oppositionnelle : l'incroyance — opère toujours par procuration, c’est toujours d’abord croire qu'il y a quelqu'un d'autre qui y croit... à ma place! Quelqu’un qui en soupçonne un autre de croire fanatiquement en son Dieu est donc nécessairement un croyant qui s’ignore, puisqu’il croit (et donc ne sait pas) que quelqu’un croit à sa place.
Le langage, avant de signifier quelque chose, signifie toujours d’abord pour quelqu’un.
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Les nanoparticules et nanotechnologies dans les injections Covid est-elle une autre théorie du complot fumeuse ? — NON — En 2015, Pfizer annonçait son partenariat avec l’Université Bar Ilan pour évaluer l’injection de médicaments via des nanorobots à ADN : https://bityl.co/PMTN
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Quel étrange petit livre que ce Sein de Philip Roth, écrit en 1972. Variation érotique de La Métamorphose de Kafka, Le Sein s’inscrit dans la veine grinçante de l’auteur, celle du célèbre roman Portnoy et son complexe. Du jour au lendemain, un professeur de littérature se voit transformé en un énorme sein qui peut penser et parler. Cet état quelque peu original va bien sûr avoir de grandes répercussions psychologiques sur notre malheureux protagoniste qui va passer par différentes phases pour tenter d’expliquer cette inexplicable situation.
Le Sein joue malicieusement avec son postulat grotesque et nous régale de scènes incongrues comme seul Philip Roth en a le secret. L’érotisme bizzaroïde qui se dégage de ce récit ancré dans la réalité, accentuant ainsi le décalage comique de la situation, est hélas délaissé en fin de parcours pour laisser places à des digressions littéraires qui m’ont peu convaincu. Ajoutons à cela un fantasme pédophile qui vient s’ajouter en toute fin et qui ternit furieusement le plaisir de cette lecture. Enfin la préface psychanalytique de Théodore Solotaroff, lue évidemment après le récit, ne m’a pas convaincue, je l’ai trouvé même fumeuse.
Le Sein n’est donc pas une lecture indispensable, mais une curiosité littéraire intéressante à découvrir, quand même très loin derrière le chef-d’œuvre absurde et inquiétant de Kafka.
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“La société totale qui est la nôtre s’engouffre partout et sature tous les instants. Je me souviens des optimistes qui, au tournant des années 1980-90, tablaient sur une obsolescence rapide du fatras managérial qui commençait alors à encombrer les entreprises : hélas, ce sabir de la pseudo-rationalité, ces "concepts" arrogants importés d’outre-Atlantique, ces méthodologies fumeuses, ces "boites à outils" qui se confrontaient à des "problématiques" qu’elles avaient forgées de toutes pièces, loin de se réduire à une écume passagère, étaient le fond même, la visée ultime du monde qui commençait à se mettre en place. Ce fatras a vite débordé le cadre de l’entreprise. Il a tiré sa force principale de ce que rien ne lui a été opposé : il régente à présent jusqu’à nos manières de penser et notre sensibilité la plus intime. Vous avez raison de dire qu’il s’est introduit dans les espaces qu’on aurait pu croire les plus capables de sanctuarisation. Prenons un exemple entre mille. Je ne lis quasiment plus de romans français contemporains, mais depuis que je suis tombé sur cette phrase : "L. était devenue pour moi, à cette époque, une personne-ressource", mon refus s’est enrichi d’une nouvelle raison : la littérature dont on parle fait désormais cause commune avec l’empire du Management.”
Pierre Mari, « La langue, les paysages et les visages de Pierre Mari. Un mécontemporain capital », in la revue éléments n°202, juin-juillet 2023.
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