#et j'aime pas les couleurs snif
Explore tagged Tumblr posts
Text
#spirou#fantasio#my art#q#spirou et fantasio#spip#marsupilami#ouuuuuuuuuuuu#il est niais celui ci </////3#et j'aime pas les couleurs snif
96 notes
·
View notes
Text
Salut la compagnie !
Au programme de la journée : tour en bateau dans les îles de Whitsunday 🥰 (traduction littérale : îles du dimanche de la Pentecôte. Devinez quel jour elles ont été découvertes ?)
Comme vous aurez pu le constater sur ces deux premières photos, nous n'avons pas eu le même temps le matin que l'après midi...Pas de pluie, heureusement, je ne me plains pas!
On a donc commencé par faire une heure et demie de bateau (pas de voilier, annulé à cause de la météo, snif) pour se poser sur une plage immense de sable blanc, qui a la particularité d'être composée de silice pure, et qui ne retient donc pas du tout la chaleur ... Ce qui évite de s'y cramer les petits petons en plein été ! (Bon, pas que ça s'appliquait vraiment aujourd'hui, mais l'anecdote est rigolote)
J'aime tout particulièrement les bancs de sable qui se sont créés à droite, ce sont si j'ai bien compris des dépôts d'origine volcanique, ça strie le paysage de façon très graphique !
Ensuite, une demi heure de galère à faire monter les touristes que nous sommes dans le bateau, puisque la marée a redescendu et que notre gros bateau est donc forcément un peu plus au large. Ben oui, du coup, il faut nous mettre dans un petit bateau gonflable 6 par 6, qui lui même racle le fond.
Mais du coup, pourquoi ne pas marcher plus loin, me direz vous ? Tout simplement parceque vous sous-estimez la capacité de l'Australie à chercher à vous assassiner tous les 4 mètres ! Un adorable petit coquillage se cache dans le sable, avec la fâcheuse tendance à injecter une neurotoxine aux touristes aux pieds baladeurs. Ce pays est terrifiant.
Une fois cette épreuve terminée, nous sommes donc partis faire du snorkeling (masque tuba) dans deux zones différentes, le soleil était sorti de sa cachette, et c'était super sympa !
Le premier était un spot à poissons, c'était très marrant puisque le guide nous balançait des croquettes à la tête, on se faisait donc sauvagement harceler par les poissons qui essayaient de les attraper :') j'avais déjà été au milieu d'un banc, mais de façon moins ... Active !
Le second spot était au milieu des coraux, c'était très joli aussi ! J'ai vu des coraux bleus incroyables, et les bénitiers sont de toutes les couleurs ici, bleus, violets, verts, marbrés, tachetés, c'est magnifique 🤩
Note : ces photos et cette photo sont la courtoisie d'un voisin de bord qui avait un téléphone submersible (la classe totale) ❣️
Voilaaaa, comme vous pourrez le constater, les derniers jours en Australie se passent bien 🥰
A noter que vous n'aurez sans doute pas de post demain : je serai dans un bus de 9h à 20h30, donc à part vous mettre une photo de mes genoux ...
Des bizouuuuuux !!
2 notes
·
View notes
Text
ACTE 26 : 3 Ans ...
Nous voilà à Baton Rouge depuis trois ans. Nous qui partions au départ pour une année de découverte. On avait l'idée de voir ce qu'il en adviendrait au fil du temps. Nous venons de signer pour une 4ème année. Un contrat Codofil est d'une durée de trois ans sur le papier, et comme nous sommes au bout de ce délai, je me devais bien de rédiger un petit bilan. Même si pour nous l'expérience n'est pas encore finie !
J'avais pas mal parlé de notre expérience dans un premier bilan de mi parcours publié en janvier 2016. La plupart des choses écrites y sont toujours d'actualité, je ne m'éterniserai pas dans ce nouveau billet. Nos habitudes n'ont pas réellement changé depuis. Nous connaissons mieux la région certes, parlons aussi mieux la langue et connaissons beaucoup plus de monde, mais pour le reste, ce bilan représentait déjà assez bien les choses. Baton Rouge est devenue depuis notre « vrai » maison. J'ai eu ce sentiment en rentrant en France il y a quelques semaines, pour la première fois cette impression de quitter mon « chez moi » (Baton Rouge) pour aller visiter mon pays d'origine, la France. Alors que lors des deux précédentes années, pour le retour estival au pays, j'avais plus le sentiment de rentrer visiter mon « chez moi » en France. La Louisiane ? on s’y attache à cette région ! Tout n'y est pas parfait, certes, mais qui peut dire que sa région est parfaite ?
Quelques petites choses ont tout de même changé pour moi depuis le bilan de mi parcours, je travaille à temps plein depuis un an (j'étais à mi temps jusque là), et j'ai plus de responsabilités à l'école. J'ai même réussi à organiser et offrir aux élèves qui étudient le français la possibilité de préparer et passer le DELF, avec l'aide logistique de l'Alliance Française de Nola. Une première dans cet établissement privé. Un examen que tous mes élèves ont réussi avec brio, une réelle fierté vu le niveau de français dans cette école avant que j'y arrive. Sinon je continu à faire l'aller retour avec toujours autant de plaisir les weekends pour travailler à l'Alliance Française de la Nouvelle Orléans où j'enseigne pour des adultes. J'y reste souvent pour passer la nuit. C'est une véritable source d'oxygène pour moi d'aller dans cette ville tous les weekends. Non pas que je ne me sente pas bien à Baton Rouge, mais la vie culturelle et nocturne n'est sans aucune comparaison possible entre ces deux villes, et vous savez à quel point j'ai besoin d’émulation musicale et culturelle pour m'épanouir dans la vie. Je reste issu du milieu de la nuit avec la gestion du label et mon pied dans l’industrie de la musique. J’ai ça qui coule dans les veines. Je pense que s'il n'y avait pas ces parenthèses de fin de semaine à Nola, je n'aurais pas décidé de rester une année de plus à Baton Rouge.
En fait, c'est un tout, ce pour quoi nous continuons l’expérience ; la vie de tous les jours à Baton Rouge, plutôt calme et relaxante (quand nous avons du temps libre), la piscine, les bars de quartiers, les sorties tranquilles, le sport quotidien facile d'accès, nos jobs qu'on aime énormément, pas trop d'excès, et les loyers à un prix raisonnable pour le confort offert. Et la bulle de folie et d'oxygène culturelle et festive les weekend à New Orleans, les sorties, les concerts, la vrai vie urbaine qui me manque tellement à Baton Rouge. Une espère ce schizophrénie calculée entre semaine et weekend qui fonctionne à peu près bien jusqu’à présent, même si c’est un peu plus compliqué en période estivale car pas de vrai pied à terre à Nola.
Trois années donc. Si on m'avait dit il y a encore quelques années que je passerai autant de temps en Louisiane, j'aurais tout simplement ri à grands éclats. Pourquoi aurais-je envisagé de venir vivre autant de temps en Louisiane. Je ne connaissais pas du tout cette région. Je suis un amoureux des grandes villes du nord de l'Europe et du Canada. Je n'ai jamais eu d'affinité avant notre arrivée ici pour les pays tropicaux et les cultures chaleureuses de ces régions du sud. Ma créativité, mon énergie et mon envie d'agir, je les ai toujours puisé dans la lumière sombre des cités nordiques, des cités industrielles. Et me voilà en train de tomber amoureux de cette région aux antipodes de ce qui faisait mon attirance esthétique ! Les tropiques, les palmiers, les couleurs vivent, Mardi gras, le bayou, la chaleur, la transpiration, l'humidité, les épices, le jazz, le gumbo, les crawfishs, le blues, la joie de vivre... La Louisiane est haute en couleur ! Et ses habitants le sont tout autant. Nous avons beaucoup voyagé à travers le pays pendant ces trois années, et force est de constater que le peuple louisianais (et tout le peuple du sud en général, Alabama, Georgie, Mississippi) est de loin le plus chaleureux dans ce pays. Nous n'avons pas retrouvé cet accueil dans les États plus au nord.
Oui, je suis tombé amoureux de cette région. Et encore plus de La Nouvelle Orléans. C'est elle ma vrai maitresse. Et plus j'y passe de temps, plus je suis sous le charme. Elle ne me déçoit que très rarement, contrairement à Baton Rouge la conservatrice et religieuse qui arrive particulièrement à m'agacer à certains moments. Mais ça c’est une autre histoire.
J'ai envie de rester positif dans ce bilan, Je ne m'attarderai pas sur ce qui m'agace. Il y a tellement d’autres blogs de concitoyens expatriés qui le font tellement mieux que moi. Quand je réfléchi bien, c'est beaucoup de choses positives que de vivre une telle expatriation, et c'est ça que j'ai envie de transmettre dans ce blog ; de plus, avoir trouvé un travail en totale immersion, alors que j’étais un peu voué à la vie à la maison du dépendant J2 c'est encore plus positif. Donc continuons dans cette optique.
J'aime toujours autant mon job à Runnels. Certes, je suis (beaucoup) moins bien rémunéré que si je travaillais dans le public. Un point qui peut être frustrant par moment par rapport à l'investissement en temps et en énergie dans mon travail. Mais j'ai une totale liberté d'action, mes horaires de travail sont parfaites, mes élèves sont des crèmes, je n'y ai jamais aucun problème de discipline, la direction me fait vraiment confiance dans tous les projets que je propose. Et avoir la responsabilité de la classe de FRENCH AP, c'est une réelle fierté, j'ai l'impression de servir profondément à quelque chose, l'impression aussi de créer des vocations de futurs voyageurs francophiles amoureux de cette culture que j’aide à transmettre par mon expérience de natif. Bref, je m'y sens bien. Nous avons vécu une période douloureuse en août dernier quand l'école a été totalement détruite par les inondations, les 5 mois suivants ont aussi été difficiles pour tout le monde à l'école car nous avons dû transférer les activités sur le campus d'une église à l'autre bout de la ville. Mais depuis que nous sommes revenus sur le campus d'origine entièrement remis à neuf en janvier, les choses sont revenues à la normale. Cet événement a rapproché tout le monde, ce qui fait de tous les acteurs de cette école, professeurs, élèves, administrateurs, une grande famille (même si je ne partirai pas en vacances avec eux, on se comprend). C'est très plaisant. Je me lève toujours avec autant de plaisir le matin pour aller travailler !
Salima a elle aussi signé pour une nouvelle année à Westdale. Elle s'y plait toujours autant. Elle parlera certainement plus tard dans ce blog de son expérience.
Nous avons renouvelé pour deux ans de plus notre visa de travail qui au départ était de trois ans. Les choses depuis 2015 ont été facilités pour les visas J et permettent maintenant d'entrevoir des périodes d'expatriation de 5 ans, contrairement aux trois ans initiaux lorsque nous sommes arrivés en aout 2014. Ce qui change un peu la donne pour certain. Mais des fois je pense aussi au départ et je me dis que plus on passe de temps ici et plus le départ sera difficile ! Nous travaillons respectivement sur d'autres projets afin de nous préparer à cette éventualité qui s'approche à grands pas. À oui, une chose importante à savoir, renouveler son J2 ( je parle de mon cas précis) ça a un certain coût ! 800 dollars en tout (renouvellement du permis de conduire, du permis de travail, du visa à l'ambassade (je ne compte pas les frais de transport pour s’y rendre), de la plaque d'immatriculation et autant de papiers à remettre à jour. C'est un point à savoir, on ne prend pas à la légère la décision de renouveler son Visa quand on a un salaire de professeur dans le privé...
Nous habitons toujours dans la même résidence, dans le midcity ; et avec du recul, maintenant que nous connaissons parfaitement la ville et la région, nous avons eu extrêmement de chance de trouver cet appartement à cet endroit dans la ville. Un endroit stratégique qui permet d'avoir accès à tout ce dont nous avons besoin très facilement, un quartier “safe”, un quartier où l'on peut faire du vélo et notre sport quotidien, et qui est très proche de nos lieux de vies respectifs, travail, vie nocturne, shopping etc.
Quelques lieux que nous aimions fréquenter ont fermé ces derniers mois, le restaurant Chelseas que je regrette énormément (et c’est peu dire), Lagniappe records pour les disques aussi, le Lock and Key mon bar à jazz préféré (double snif), mais d'autres ouvrent. Comme cette impression que Baton Rouge s'ouvre tout doucement sur des commerces et restaurants plus modernes, là où il y a encore deux ou trois ans il était difficile de trouver un restaurant qui n'était pas une chaine. Des pistes cyclables commencent à voir le jour, des nouveaux festivals culturels se créent, et la revitalisation du midcity et de grandes artères commerçantes comme Perkins road et Government street sont une véritable aubaine pour les trentenaires non casaniers que nous sommes. Mais ça reste toujours une ville trop petite (d'esprit?) pour moi, et la diversité, la mixité culturelle (oui je sais, je me répète) peinent à prendre leur envol rapidement. Il faudra encore quelques années pour que Baton Rouge soit une vrai ville moderne pouvant rivaliser avec les cités de la même taille au nord du pays. Mais elle est sur la bonne voie, j’ose l’espérer pour les prochains arrivants, on a très clairement vu l'évolution depuis trois ans.
En fait, je crois que si mon école se trouvait à la Nouvelle Orléans, à aucun moment j'aurais envisagé de partir de Louisiane ! Des fois je me fais cette réflexion, même si la petite voix pragmatique me rappelle que le visa J n'a pas vocation à l'immigration dans le pays, mais juste à vivre une expérience temporaire (c'est ce qui est écrit sur le papier, bis)
J'ai des centaines d’anecdotes qui s'accumulent et que je pourrais raconter sur la vie d'un français expatrié en Louisiane, mon rapport à l'anglais qui est devenu courant (mon accent français est toujours aussi prononcé, ce qui n'aide pas avec certaines communautés) et qui a été en grande partie perfectionné en échangeant avec mes élèves, mes relations avec les autochtones, mon rejet catégorique face à la religion omniprésente, le rapport à la politique qui a rendu fou une partie de la société et qui a créé un réel hiatus entre pro et anti Trump lors des dernières élections présidentielles, mes relations avec les collègues qui amènent des fois des quiproquos assez loufoques en raison des différences d’us et coutumes au travail, mes relations avec les amis que je me suis fait ici qui sont aussi différentes de ce qu’on peut retrouver dans les liens amicaux à l’européenne, mon rapport à la bouffe locale que je n'arrive toujours pas à assimiler (et c’est pas faute d’avoir essayé en optimiste têtu que je suis), ma tristesse face aux discriminations sociales qui sont flagrantes dans la vie de tous les jours, mon rapport au système médical qui continue à être tendu (moi qui ait reçu un diagnostique de maladie auto immune l’an passé), mon rapport aux voyages et aux road trips qui sont toujours aussi plaisant dans ce pays et qui aident à se ressourcer, cet amour croissant pour Austin qui est devenue mon autre amoureuse urbaine, ce ressenti complètement différent sur la France mon pays d'origine et ce qu'il s'y passe actuellement politiquement et socialement. Je suis plus le même qu’il y a trois ans, c’est certain. J’ai vieilli. Pris du recul sur tellement de choses. Relativisé aussi sur d’autres.
L’expatriation est une expérience enrichissante, qui nous en apprend beaucoup sur les autres mais encore plus sur nous même. Des fois je me dis qu’on devrait imposer l’expatriation d’une année ou deux à tous nos compatriotes français, ils se rendraient compte à quel point notre pays est magnifique, à quel point notre système social est une belle leçon d’humanisme (même si on peut toujours l’améliorer, même s’il y a trop de chômage, même si certains en profitent, même si, même si, même si...), à quel point notre culture rayonne dans le monde, à quel point on devrait être fière d’être français et du pays dans lequel on vit. J’ai lu cette phrase de Sylvain Tesson il y a tout juste une heure avant de finaliser ce post, et cela représente à perfection ce que je pense et qui se confirme dans mon regard d’expatrié en observant mon pays et mes compatriotes de loin : “La France est un paradis peuplé de gens qui pensent qu’ils vivent en enfer”
Voilà, j'ai tellement à raconter, je n'arrive pas toujours à trouver le temps et la motivation à mettre à jour ce blog durant l’année scolaire. Mais promis, j'y reviendrai ! Il y a tellement à dire et surtout à partager ! En tout cas, au bout de trois ans, je peux dire que c'est une des plus grandes et belle aventure de ma vie, en attendant les prochaines !
1 note
·
View note