#conseil d'administration
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【 KYANÓS — ORGANISATION ÉTATIQUE 】
RÉSUMÉ : Ancienne monarchie, Kyanós est une jeune république qui n'a été proclamée qu'en 513 seulement. Elle est gouvernée par un organe appelé le Haut Conseil, composé de quatre Révérendes Mères chargées de veiller au bon fonctionnement démocratique de l’État et d'assurer sa représentation à l’étranger. Officiellement, ce nouveau régime est présenté comme une variante de la démocratie participative : le Haut Conseil est censé agir main dans la main avec toustes les citoyen.nes en âge de s'investir dans la vie politique du pays car celleux-ci sont invité.es à s'exprimer sur des questions qui concernent l'ensemble de la population et à proposer des lois lors des grandes assemblées organisées dans la capitale, en y participant elleux-mêmes (si iels sont tiré.es au sort pour cette session) ou en transmettant leurs doléances à la gouverneuse de leur province. Mais ce système n'a de démocratique que le nom et le peuple kyanósien est davantage gouverné qu'il ne gouverne. L'ordre d’Hesychia dont font partie les Révérendes Mères, implanté absolument partout et ce depuis les origines de Kyanós, cherche en réalité à avoir la mainmise sur la gestion du territoire et œuvre dans le secret pour y parvenir.
◽️ Fonctionnement institutionnel
〖 POUVOIR ÉXECUTIF 〗
Le Haut Conseil (0/4 PNJ, F) : Il se compose de quatre politiciennes qui s’avèrent pour le moment être les Révérendes Mères d’Hesychia. D’abord à la tête d’un gouvernement provisoire, elles ont ensuite été élues pour un décennat au scrutin capacitaire majoritaire (seule la magistrature a voté). Officiellement, elles supervisent la mise en œuvre des mesures adoptées lors des assemblées et assurent la représentation de l’État à l’étranger. Elles ont toutes une spécialité différente (santé et éducation, diplomatie et affaires étrangères, économie et souveraineté alimentaire, sécurité et défense). Avant l'abolition de la monarchie, les membres du Haut Conseil appuyaient déjà lea monarque dans la gestion de Kyanós.
Les Gouverneuses (3/3, F) : Au nombre de trois, elles sont dépositaires de l'autorité publique et représentent les Révérendes Mères (par qui elles sont nommées pour un mandat de 7 ans) dans chacune des régions de Kyanós qu'elles sont chargées d'administrer. Elles veillent notamment à l'application des lois votées lors des assemblées et sont les interlocutrices privilégiées des citoyen.nes placé.es sous leur autorité.
Les Archontesses (autant d’archontesses que de villes, F) : Ce sont des magistrates qui, tout comme les gouverneuses de provinces, représentent les Révérendes Mères mais à échelle municipale, au sein des villes dans lesquelles elles sont élues au terme d’un scrutin uninominal majoritaire (un mandat dure 5 ans).
〖 POUVOIR LÉGISLATIF 〗
La Grande Assemblée (400 par session plénière, 50% F & 50% M) : Composée de citoyen.nes en âge de prendre part aux débats (+ 20 ans) ayant été tiré.es au sort pour la session (iels reçoivent une indemnité), l'assemblée se réunit pendant quatre semaines tous les 3 mois pour discuter d'affaires qui concernent tout le pays et pour voter les lois. Bien que les Révérendes Mères aient la responsabilité d'organiser les assemblées (elles se déroulent systématiquement dans la capitale, le trajet et le logement sont pris en charge), celles-ci sont présidées par un.e proèdre également tiré.e au sort à chaque nouveau rassemblement. La première partie de la réunion est consacrée à la discussion (toustes les participant.e sont libres de s'exprimer, il leur faut simplement demander la parole au/ à la proèdre) et la seconde à la délibération. Les mesures proposées sont soumises à un vote et sont adoptées à la majorité simple mais en cas d'égalité, le vote est reporté à une prochaine séance pour prolonger les débats. Si l'égalité persiste lors du nouveau vote, ce sont les Révérendes qui tranchent.
〖 POUVOIR JUDICIAIRE 〗
La Magistrature (∞ mais douze pour les juges suprêmes, F/M) : Les plus grands tribunaux sont situés dans les chefs-lieux de chaque province. La justice est rendue par des magistrat.es qui ont différentes fonctions et qui sont officiellement intronisé.es par les gouverneuses après avoir obtenu une certification (sauf les « juges suprêmes » qui sont nommé.es par les Révérendes Mères, et les archontesses, élues par le peuple). Leur prise de fonction peut être contestée lors des assemblées et annulée si un vote est organisé mais cette procédure demeure rare. La magistrature de Kyanós est protégée par le concept d'inviolabilité : iels sont censé.es bénéficier de la protection des divinités et s'en prendre à elleux constitue donc un acte très grave car cela revient à attaquer le panthéon divin.
→ Types de magistrat.es :
Les Juges Suprêmes (au sommet du système judiciaire, iels s’occupent des affaires de droit public et sont également chargé.es de contrôler la constitutionnalité des lois mais leur pouvoir de véto demeure moins important que celui des membres du Consistoire Sacré).
Les Archontesses (en plus d’administrer les cités où elles ont été élues, elles s’occupent des affaires de droit pénal)
Les Polémarques (iels s’occupent de toutes les affaires qui impliquent des étranger.ères)
Les Juges de Paix (iels s’occupent des affaires de droit privé de moindre importance, outre le droit pénal)
◽️ Instance consultative
Le Consistoire Sacré (9/10, F) : Chambre très sélective composée de dix hautes dignitaires de l'ordre d’Hesychia (des cardinales également membres du Sacré Collège) qui se réunissent à la demande des Révérendes Mères pour les assister, en général en amont et en aval d'une session parlementaire. Elles ont des oreilles partout et sont au courant d'absolument tout ce qui se passe à l'intérieur de Kyanós et en-dehors. On leur prête également une très grande spiritualité et un lien unique avec les divinités (elles sont surnommées les « logiades », celles qui portent la parole divine), une réputation utilisée par les Révérendes pour justifier le pouvoir de véto qui leur est confié : si les membres du consistoire s'opposent à une mesure votée précédemment lors d'une assemblée (en prétextant avoir reçu une mise en garde des déités), celle-ci n’est pas appliquée.
◽️ Forces armées
Les Stratèges (2/2, F/M) : Nommé.es par les Révérendes Mères pour prendre la tête des forces armées de l’État, iels forment avec leurs commandant.es en second et en troisième respectif.ves un « bureau ». L’un.e dirige spécifiquement la marine kyanósienne (lae navarque) et l’autre l’armée terrestre.

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La Fondation des hôpitaux pour laquelle Brigitte Macron récolte les pièces jaunes est une fondation PRIVÉE contrôlée par un conseil d'administration présidé par Brigitte Macron.
Parmi les membres: Cirelli, patron de BlackRock France.
Sans commentaire…
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LES ZARBI·ES
1994, ça a commencé par dix membres du Refuge de Bescel dans les bas fonds des catacombes. Aujourd'hui, les Zarbi·es siègent dans un beau bâtiment dans le 11e. On les définit parfois avec des métaphores bien guerrières, bien nobles : « le fer de lance de la cause altérée », « les premiers défenseurs de notre communauté ». Vrai ou pas, à chacun d'en juger : les Zarbi·es avant le deuxième mandat de Chirac, c'était comme un syndicat qu'organisait des manifs. Aujourd'hui, c'est un espèce de médiateur pour porter nos messages à Matignon.
Comme beaucoup d'asso' 1901, il y a un bureau, un conseil d'administration et une assemblée générale. L'AG a beaucoup de poids, les votes des membres participent énormément à la vie du groupe. Le conseil, lui, gère tout ce qu'est budget, sans vraiment de pouvoir exécutif, ce sont des petites mains et des petites têtes qui s'assurent que tout flotte bien, que le navire n'a pas de trou dans la coque. Et le bureau, ce sont les têtes d'affiches, élues par l'AG, ils représentent souvent le courant de pensée politique majoritaire au sein des altéré·es. Bref, c'est beaucoup de politiques, beaucoup de bla bla... mais sans eux, la plupart de nos droits resteraient au fond de l'eau avec nos autres bateaux.
LA PRÉSIDENTE — f / nb (libre) • +45 ans TW - mort.
Petite, c'était un monde cruel. Elle a connu toutes les conjugaisons du mot galère sauf au conditionnel. À l'époque, les psys, c'était pas trop ça. Alors, elle s'asseyait contre le tronc d'un arbre et elle parlait aux morts. Son but, c'est plus qu'aucune petite fille soit paumée, qu'aucun petit garçon n'ait à pleurer. Elle s'immobilise d'une rage froide, inflexible, à ne jamais plier sous les frappes de la majorité. Faut dire que l'opposition, c'est elle. Politicarde de renom, elle est apparue, il y a un peu plus de 5 ans, comme une solution à une politique trop laxiste. On a jamais bien avancé au 21e siècle depuis qu'on suit sa ligne directive. Les altéré·es ont réussi à atteindre l'Assemblée, à avoir leur voix à Matignon. Elle n'a pas peur d'employer les Misérables, elle n'hésite pas à rediriger les flux budgétaires vers le Refuge de Bescel. Son ton est convaincant, rafraichissant : c'est l'une des meilleures oratrices altéré·es depuis longtemps. Pour elle, cantonner la population altérée aux Catacombes, c'est un manque d'ambition.
Ouais, parfois elle fait un peu flipper. Mais faut bien que la peur change de camp.
FT. Indira Varma, ...
LE SECRÉTAIRE — m / nb (réservé) • +45 ans
Avocat qui raconte pas de salade (tu l'as ?). C'est le genre d'humour qu'il traine, un rire qu'égaie sa mâchoire tranchante. Il a des airs de daron, surtout avec ses tempes grisonnantes. Ce qu'il fait de mieux dans son métier : formé les autres, protégé les siens. Patient, agréable, pédagogue : beaucoup de gens se demandent pourquoi il enseigne pas à la FAC. C'est une belle âme, noble, d'un de ses hommes dont on se souviendra de la carrière. Il aurait pu être pote avec un Camus, une Louise Michel. Aujourd'hui, les tribunaux le voient moins, occupé par ses responsabilités dans l'asso. À l'époque des grands frères, c'était le cauchemar des réac'. C'était la terreur des parquets, le prédateur des privilégié·es. Reconnu pour avoir bouclé des dossiers super connus, son cabinet forme et embauche les prochaines figures du droit altéré. Entre autre, Glauque, défenseuse des Misérables, provient de sa formation. Un style élégant, une timbre calme et jamais déstabilisé : une douceur d'un type qu'aurait pu cultiver des plantes, les fleurs du mal.
FT. Cilian Murphy, ...
LA TRÉSORIÈRE — f / nb (libre) • ≈ 25 ans
Mioche, elle avait traité la future présidente des Zarbi·es de poule mouillée. Celle-ci n'avait pas le temps de jouer aux dames, la future trésorière s'en était vexée. Ça a commencé comme ça : des parties de dames. Puis, le futur secrétaire lui aussi a eu le droit aux mots doux de la gamine. Ce sont les deux figures principales dans sa vie, parce que la petite n'a connu que le Refuge de Bescel. Ils lui ont payé ses études de journalisme, sa première voiture et ses téléphones. C'est devenue l'une des meilleures têtes de son école, devenue l'une des meilleures reporters de sa génération. Elle travaille sur les altéré·es, a déjà coopéré avec des organismes internationaux. Son CV rote de mentions, de stages, de diplômes, de formations. Beaucoup de gens la critiquent pour sa position dûe à ses deux seules relations. C'est vrai que ça a accéléré les choses, mais penser qu'elle n'y serait jamais arrivé avec ses capacités : c'est vraiment s'étouffer avec sa putain de mauvaise foie. C'est une bosseuse, extravertie, l'envie de changer l'ordre établi : d'utiliser la vérité et sa plume pour y parvenir.
FT. Simone Ashley, ...
LE CONSEIL D'ADMINISTRATION — f / nb / m (10/10 libres)
Iels sont comptables, avocats, notaires. Iels sont les fourmis de l'administration, chez eux il y a les imprimantes qui halètent, les agrafeuses qui claquent. Les chiffres, les emails, tout vient d'eux. Ce sont les merveilleux rouages, les merveilleuses pagaies de la barque.
LES MEMBRES — f / nb / m (∞/∞ libre)
Les membres de l'association, quoi de plus clair ? On va du simple militant au chargé de presse. Chacun à son rôle, chacun à son vote. Les Zarbi·es, c'est une voix démocratique directe. La présidente, le bureaux : iels ne servent que de gouvernail au décision du peuple.
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Si vous souhaitez réserver l'un de ses PLs, n'hésitez pas à passer dans nos asks ou de nous rejoindre sur le discord ! En espérant qu'ils vous inspirent !!
#projet forum#projet rpg#forumactif#rpg city#rpg fantastique#rpg forum#rpg francophone#rpg faceclaim#préliens
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Tribunal? Conseil d'administration? A.G.?
Dany ERDOCIO
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TEMOIGNAGE:
Il y a 10 ans , j’étais membre élue d'un Conseil d'administration de la MJC, ma maison.
Le président du CA a commencé à m''emmerder ( bisou proche de la bouche, bras autour de mes épaules, ou de ma taille...et moi qui bougeait, ne me laissant pas faire, à me mater la poitrine pourtant vêtue jusqu'au cou, ca a duré quelques années et un jour quelques jours avant la fin de mon mandat, je suis partie sans rien dire a quiconque, simplement en démissionnant mais sans explication.
Je me croyait parano, est ce que j'avais pas fabulé sur ces mains, ses regards libidineux , j'avais jusqu'à déserté la MJC, ses membre, son personnel.
Et 3 ans après, j'ai revu mumu ( la secrétaire du directeur) et je lui ai parlé, en la sondant sur le président...et la elle me dit : Toi aussi tu as été une victime de ce porc...j'ai tout raconté, les attouchements, les baisers foireux et pourquoi j'étais partie brusquement ( le regard des autres, l'idée que l'on ne puisse pas me croire.
On n'oublie pas, même le moindre geste équivoque.
directeur#du président ...mjc est une association
Puis elle m'a dit d'en parler à Alex, le directeur, qui malheureusement ne savait ce qu'il m'était arrivé
depuis 4 ans le gros porc, l'agresseur est parti ailleurs, prendre d'autres responsabilités au niveau de la fédération des MJC d'ile de france.
je me suis representée l'an dernier au CA, élue et appréciée.
Ce soir il y avait un CA, et le représentant de la fédération , je vous le donne en 1000....c'est le gros connard qui sera la.
Le directeur, m'a de suite envoyé l'info que le représentant c’était le connard. J'ai dis que je ne supporterai pas d’être dans la même piece que je preferais lui péter les couilles et refroidir sa cervelle
Il m'a dit qu'il ferai mention de mon absence pour cause d'incompatibilité irrémédiable, de debordement litigieux mempechant de sieger.
On oublie rien connard que la foudre te fracasse
MON CORPS MON CHOIX
VSS NO WAY
Cécile
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Je suis en train de regarder un entretien de De Gaulle en 68, qui estime que le communisme comme le capitalisme sont de mauvaises solutions, et qu'une équivalence, par loi, entre capital apporté et labeur, établie sous la forme d'un intéressement direct de tous les travailleurs aux bénéfices de leur entreprise au même titre que les investisseurs, et à leur représentation au conseil d'administration, serait la meilleure solution.
Je suis mort de rire.
#après plus sérieusement je peux imaginer que la vieille éducation aristo catholique de de gaulle#soit très loin du fric roi esprit années 80 de nos poulains actuels issus de l'ENA#je pense qu'un privilégié de sa génération avait plus de recul sur le néolibéralisme qu'une personne de gauche moyenne aujourd'hui
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quelques informations.
Bonjour, bonsoir, et merci jeune explorateur de l'inconnu de vous intéresser à mon projet de forum. Plus sérieusement, je pense qu'il est nécessaire de communiquer quelques informations supplémentaires sur la gestion d'Old Time Religion, peut-être pour attiser votre curiosité, peut-être pour voir si vous aimeriez rejoindre le forum une fois qu'il sera terminé.
Qui suis-je ? Alors déjà, salut, je suis Redylann ou Red sur les forums rpg, et si le nom Old Time Religion vous parle, c'est peut-être parce que vous êtes tombé sur (l'honteuse mais fun) première version. Sur le forum, lors de son ouverture, vous me trouverez sous le nom de Dante Castillo ((ft. Diego Luna)).
Fonctionnement du forum ; il sera simpliste afin que nous puissions nous concentrer principalement sur le jeu. Un recensement bimensuel tiendra lieu avec un minimum de 300 mots par post. Je suis actuellement toute seule (pas vraiment mais j'y viens juste après) au niveau de la gestion et du staff mais j'aimerais pencher vers un concept collaboratif par la suite avec des personnes matures et de confiance qui se succéderaient si elles ont le moindre empêchement, de même pour des animateurs qui, imprégnés du contexte, auraient des idées pour des events. Nos vies réelles passent avant tout, d'où l'importance de pouvoir faire confiance à des membres qui se sentiraient l'étoffe de modérer et d'administrer le forum lorsqu'un coup de pouce est nécessaire.
Avancement du forum ; et bien, je dirais que le plus gros est fait ! Il manque quelques parties au niveau du graphisme et du codage. Concernant celui-ci, j'utilise le thème en libre service de @poesiescendrees trouvable sur le forum Ghostly Daze.
En ce qui concerne les parties manquantes du design, je tiens à remercier 100heartbeats. qui s'occupe de leur création, de me conseiller (grosse brêle du codage que je suis) ainsi que d'apporter un regard extérieur au forum et de me lire, merci fort, fort, fort à toi, tu es d'un énorme soutien à la création d'Old Time Religion et fais largement partie du forum.
Pour l'écriture des annexes, il manque encore certaines parties qui sont en cours de réflexion/de rédaction, de même pour certains prédéfinis. Je dirais que compléter ce qu'il manque du forum prendrait quelque chose comme un bon mois. Qui plus est, je dois me faire opérer du poignet d'ici peu, ce qui risque de retarder le tout, mais bon, autant soigner le forum avant qu'il n'ouvre !
Enfin, parlons de quelques points plus que primordiaux.
Le forum va traiter de sujets sombres, macabres, sérieux. De ce fait, il sera interdit aux personnes mineures et les fiches de présentation ainsi que les posts touchy devront être précédés par la mention de tw/cw. C'est le minimum pour un forum qui traite littéralement d'une secte en train de prendre le contrôle d'une ville en usant de méthodes peu scrupuleuses. Ainsi, considérez-vous prévenus du poids de l'univers d'Old Time Religion. ((encore une fois, le contexte est très largement inspiré du jeu vidéo far cry 5)) Une partie entière est dédiée sur le sujet dans le règlement alors je ne m'étalerais pas plus que nécessaire.
Mentalité no bullshit, no drama ; Alors sur ce point, je vais être intransigeante (voire chiante). Je ne veux pas de ça. Par ça, je veux dire, pas d'embrouilles stériles, de création de clan, de nian-nian. Je ne vais pas être votre mère et vous fliquer, parce que déjà, je n'ai pas le temps (comme tout le monde), et ensuite, parce qu'on est littéralement sur nos claviers en train de rédiger des p'tites histoires pour nos p'tits persos afin de se défouler. Ainsi, je compte sur vous afin de régler vos embrouilles en privé, si vous n'y parvenez pas, je peux venir modérer une discussion entre vous, encore une fois, si aucune entente n'est possible, je vous fais confiance pour vous ignorer.
Toute tentative de création de clan, d'intimidation, d'harcèlement, de chantage, de plagiat ou de drama pour faire du drama se soldera pas un ban définitif (ainsi que de l'ip du membre). Vraiment, je n'ai pas le temps de gérer les états d'âme de chacun et/ou la toxicité de certains qui ne savent pas vivre en communauté. Nous sommes là pour écrire en paix et laisser cours à notre créativité, pas pour se trouver des poux au moindre soucis.
Le consentement rpgique ? Ai-je réellement besoin d'en parler ? Bien qu'une grande liberté de jeu soit accordée, il est primordial, voire obligatoire de discuter avec votre partenaire pour toute action pouvant causer du heurt à son personnage et vice-versa.
C'était plus long que prévu, dites donc ! J'espère ne pas vous avoir fait peur, surtout sur la dernière partie. Je ne mords pas, promis, et je suis très ouverte sur beaucoup de sujets Je garde pour l'instant certains détails du contexte secrets, ce ne serait pas drôle sinon !
Plein de p'tites pensées positives.
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Voilà une semaine que le monde agricole exprime sa colère au grand jour et en acte : celui d'un métier devenu quasiment impraticable, croulant sous la brutalité des dérèglements écologiques qui s'annoncent et sous des contraintes économiques, normatives, administratives et technologiques asphyxiantes.
Alors que les blocages se poursuivent un peu partout, nous soumettons quelques mises au point sur la situation depuis le mouvement des Soulèvements de la terre.
Nous sommes un mouvement, d'habitant·es des villes et des campagnes, d'écologistes et de paysan·nes, installé·es ou en installation. Nous refusons la polarisation que certains essaient de susciter entre ces mondes. Nous avons fait de la défense de la terre et de l'eau notre point d'entrée et d'ancrage. Ce sont les outils de travail des paysans et des milieux nourriciers. Nous nous mobilisons depuis des années contre les grands projets d'artificialisation qui les ravagent, les complexes industriels qui les empoisonnent et les accaparent. Soyons clair·es, le mouvement actuel dans son hétérogénéité même, a été cette fois initié et largement porté par d'autres forces que les notres. Avec des objectifs affichés parfois différents, et d'autres dans lesquels nous nous retrouvons absolument. Quoi qu'il en soit, lorsque que les premiers blocages ont commencé, nous avons, depuis différents comités locaux, rejoint certains barrages et certaines actions. Nous sommes allé·es à la rencontre de paysan.nes et d'agriculteurs.rices mobilisé·es. Nous avons échangé avec nos camarades de différentes organisations paysannes pour comprendre leurs analyses de la situation. Nous nous sommes retrouvé·es nous-mêmes dans la digne colère de celles et ceux qui refusent de se résigner à leur extinction.
Nous ne pouvons que nous réjouir que la majorité des agriculteurs.rices bloquent le pays aujourd'hui. Qu'ils et elles soient représenté·es par la FNSEA et des patrons de l'agrobusiness dans les instances de négociation avec le gouvernement est consternant, à l'heure où les cadres du syndicat majoritaire sont copieusement sifflé·es sur certains blocages et où ce dernier ne peut plus retenir ses bases. De nombreuses personnes sur les barrages ne sont pas syndiquées et ne se sentent pas représentées par la FNSEA.
"Les deux tiers des entreprises agricoles n'ont pas, en termes économiques, de raison d'être. Nous sommes d'accord pour réduire le nombre d'agriculteurs" - Michel Debatisse, secrétaire général de la FNSEA, 1968
Fondé après guerre, ce syndicat hégémonique a accompagné le développement du système agro-industriel depuis des décennies, en co-gestion avec l'État. C'est ce système qui met la corde au cou des paysan·nes, qui les exploitent pour nourrir ses profits et qui finalement les poussent à s'endetter pour s'agrandir afin de rester compétitif·ves ou disparaître. En 1968, Michel Debatisse, alors secrétaire général de la FNSEA avant d'en devenir le président, déclarait [1] : "Les deux tiers des entreprises agricoles n'ont pas, en termes économiques, de raison d'être. Nous sommes d'accord pour réduire le nombre d'agriculteurs". Mission plus que réussie : le nombre de paysan.nes et de salarié.es agricoles est passé de 6,3 millions en 1946, à 750 000 au dernier recensement de 2020. Tandis que le nombre de tracteurs dans nos campagnes augmentait d'environ 1000%, le nombre de fermes chutait lui de 70% et celui des actifs agricoles de 82% : autrement dit, ce sont plus de 4 actifs sur 5 qui ont quitté le travail agricole en seulement quatre décennies, entre 1954 et 1997. Et la lente hémorragie se poursuit aujourd'hui...
Alors que la taille moyenne d'une exploitation en France en 2020 est de 69 hectares, celle d'Arnaud Rousseau, actuel dirigeant de la FNSEA, ancien courtier et négociant tout droit sorti d'une business school, s'élève à 700 hectares et il est à la tête d'une quinzaine d’entreprises, de holdings et de fermes, président du conseil d'administration du groupe industriel et financier Avril (Isio4, Lesieur, Matines, Puget, etc.), directeur général de Biogaz du Multien, une entreprise de méthanisation, administrateur de Saipol, leader français de la transformation de graines en huile, président du conseil d'administration de Sofiprotéol...
Les cadres de la FNSEA tout comme les dirigeants des plus grosses coopératives agricoles - abondamment représentés par la "Fédé" et ses satellites - se gavent [1] : le revenu moyen mensuel des dix personnes les mieux payées en 2020 au sein de la coopérative Eureden est de 11 500 €.
Les revenus moyens des agriculteurs brandis sur les plateaux et le mythe de l'unité organique du monde agricole masquent une disparité de revenus effarante et de violentes inégalités socio-économiques qui ne passent plus : les marges des petits producteurs ne cessent de s'éroder tandis que les bénéfices du complexe agro-industriel explosent.
Dans le monde, le pourcentage du prix de vente qui revient aux agriculteurs est passé de 40 % en 1910 à 7 % en 1997, selon l’Organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO). De 2001 à 2022, les distributeurs et les entreprises agroalimentaires de la filière lait ont vu leur marge brute s'envoler de respectivement 188% et 64%, alors même que celle des producteurs stagne quand elle n'est pas simplement négative.
Une des raisons qui poussent le monde agricole à bloquer les autoroutes, à ouvrir des bouteilles de lait à Carrefour (Epinal-Jeuxey) ou à bloquer les usines Lactalis (Domfront, Saint-Florent-le-Vieil, etc.), à labourer un parking (Clermont-l'Hérault), à bloquer le port de la Rochelle, à vider des camions venus de l'étranger, à asperger de lisier une préfecture (Agen), à retourner un Macdo (Agens), à osrtir c'est que les industriels intermédiaires de l'amont (fournisseurs, vendeurs d'agroéquipements, semenciers industriels, vendeurs d'intrants et d'aliments) et de l'aval des filières (les coopératives de collecte-distribution comme Lactalis, les industriels de la grande distribution et de l'agroalimentaire comme Leclerc) qui structurent le complexe agroindustriel les dépossèdent des produits de leur travail.
C'est ce pillage de la valeur ajoutée organisé par les filières qui explique, aujourd'hui, que sans les subventions qui jouent un rôle pervers de béquilles du système (en plus de profiter essentiellement aux plus gros) 50% des exploitant·es auraient un résultat courant avant impôts négatif : en bovins lait, la marge hors subvention qui était de 396€/ha en moyenne entre 1993 et 1997 est devenue négative à la fin des années 2010 (-16€/ha en moyenne), tandis que le nombre de paysans pris en compte par le Réseau d'information comptable agricole dans cette filière passe sur cette période de 134 000 à 74 000 [2]...
Les accords de libre échange internationaux (que dénoncent et la Confédération paysanne, et la Coordination rurale) mettent en concurrence les paysanneries du monde entier et ont accéléré ces déprédations économiques. Nous savons bien que, aujourd'hui, lorsque l'on parle de "libéralisation", de "gains de compétivité", de "modernisation" des structures, c'est que des fermes vont disparaître, que la polyculture élevage va régresser (elle ne représente plus que 11% des exploitations actuellement), ne laissant plus qu'un désert vert de monocultures industrielles menées par des exploitant-es à la tête de structures toujours plus endettées de moins en moins maîtres d'un outil de travail et d'un compte en banque qui finit par n'appartenir plus qu'à ses créanciers.
Le constat est sans appel : moins il y a de paysan·nes, moins ils et elles peuvent gagner leur vie, sauf à agrandir toujours et encore leur surface d'exploitation, en dévorant au passage les voisin·es. Dans ces conditions, 'devenir chef d'entreprise' comme le promet la FNSEA, c'est en réalité se trouver dans la même situation qu'un chauffeur Uber qui s'est endetté jusqu'au cou pour acheter son véhicule alors qu'il dépend d'un donneur d'ordres unique pour réaliser son activité... Ajoutons à cela la brutalité du changement climatique (évènements climatiques extrêmes, sécheresses, incendies, inondations...) et les dérèglements écologiques entraînant dans leur sillage la multiplication de maladies émergentes et autres épizooties, et le métier devient presque impossible, invivable, tant l'instabilité est grande.
Si nous nous soulevons, c'est en grande partie contre les ravages de ce complexe agro-industriel, avec le vif souvenir des fermes de nos familles que nous avons vu disparaître et la conscience aiguë des abîmes de difficultés que nous rencontrons dans nos propres parcours d'installation. Ce sont ces industries et les méga-sociétés cumulardes qui les accompagnent, avalant les terres et les fermes autour d'elles, accélérant le devenir firme de la production agricole, et qui ainsi tuent à bas bruit le monde paysan. Ce sont ces industries que nous ciblons dans nos actions depuis le début de notre mouvement - et non la classe paysanne.
Si nous clamons que la liquidation sociale et économique de la paysannerie et la destruction des milieux de vie sont étroitement corrélées - les fermes disparaissant au même rythme que les oiseaux des champs et le complexe agro-industriel resserrant son emprise tandis que le réchauffement climatique s'accélère - nous ne sommes pas dupes des effet délétères d'une certaine écologie industrielle, gestionnaire et technocratique. La gestion par les normes environnementales-sanitaires de l'agriculture est à ce titre absolument ambigüe. À défaut de réellement protéger la santé des populations et des milieux de vie, elle a, derrière de belles intentions, surtout constitué un nouveau vecteur d'industrialisation des exploitations. Les investissements colossaux exigés par les mises aux normes depuis des années ont accéléré, partout, la concentration des structures, leur bureaucratisation sous contrôles permanents et la perte du sens du métier.
Nous refusons de séparer la question écologique de la question sociale, ou d'en faire une affaire de consom'acteurs citoyens responsables, de changement de pratiques individuelles ou de "transitions personnelles" : il est impossible de réclamer d'un éleveur piégé dans une filière hyperintégré qu'il bifurque et sorte d'un mode de production industriel, comme il est honteux d'exiger que des millions de personnes qui dépendent structurellement de l'aide alimentaire se mettent à "consommer bio et local". Pas plus que nous ne voulons réduire la nécessaire écologisation du travail de la terre à une question de "réglementations" ou de "jeu de normes" : le salut ne viendra pas en renforçant l'emprise des bureaucraties sur les pratiques paysannes. Aucun changement structurel n'adviendra tant que nous ne déserrerons pas l'étau des contraintes économiques et technocratiques qui pèsent sur nos vies : et nous ne pourrons nous en libérer que par la lutte.
Si nous n'avons pas de leçons à donner aux agriculteur·rices ni de fausses promesses à leur adresser, l'expérience de nos combats aux côtés des paysan·nes - que ce soit contre des grands projets inutiles et imposés, contre les méga-bassines, ou pour se réapproprier les fruits de l'accaparement des terres - nous a offert quelques certitudes, qui guident nos paris stratégiques.
L'écologie sera paysanne et populaire ou ne sera pas. La paysannerie disparaîtra en même temps que la sécurité alimentaire des populations et nos dernières marges d'autonomie face aux complexes industriels si ne se lève pas un vaste mouvement social de reprise des terres face à leur accaparement et leur destruction. Si nous ne faisons pas sauter les verrous (traités de libre-échange, dérégulation des prix, emprise monopolistique de l'agro-alimentaire et des hypermarchés sur la consommation des ménages) qui scellent l'emprise du marché sur nos vies et l'agriculture. Si n'est pas bloquée la fuite en avant techno-solutionniste (le tryptique biotechnologies génétiques - robotisation - numérisation). Si ne sont pas neutralisés les méga-projets clés de la restructuration du modèle agro-industriel. Si nous ne trouvons pas les leviers adéquats de socialisation de l'alimentation qui permettent de sécuriser les revenus des producteurs et de garantir le droit universel à l'alimentation.
Nous croyons aussi à la fécondité et à la puissance des alliances impromptues. A l'heure où la FNSEA cherche à reprendre la main sur le mouvement - notamment en chassant de certains des points de blocage qu'elle contrôle tout ce qui ne ressemble pas à un agriculteur "syndiqué fédé" - nous croyons que le basculement peut venir de la rencontre entre les agriculteur·ices mobilisé·es et les autres franges du mouvement social et écologique qui se sont élevées ces dernières années contre les politiques économiques prédatrices du gouvernement. Le "corporatisme" a toujours fait le lit de l'impuissance paysanne. Comme la séparation d'avec les moyens de subsistance agricoles a souvent scellé la défaite des travailleur-ses.
Peut-être est-il temps de faire céder quelques murs. En continuant à renforcer certains points de blocage. En allant à la rencontre du mouvement pour celles et ceux qui n'y ont pas encore mis les pieds. En poursuivant ces prochains mois les combats communs entre habitant·es des territoires et travailleur·euses de la terre.
Les Soulèvements de la Terre - le 30 janvier 2024 source
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MIGRANTS + RELIGIONS + BIG BUSINE$$ = CRISE FRONTALIÈRE (ET AVANT-HIER)
"En plus de l'ONU qui offre des trousses sanitaires et MSF avec ses cliniques (carte ci-haut), d'importants groupes caritatifs religieux sont derrière cette vague (ce tsunami) de migrants illégaux : Catholic Charities/US Conference of Catholic Bishops + Lutheran Immigration and Refugee Services + Church World Services + World Relief + HIAS Hebrew Immigrant Aid Society + Episcopal Migration Ministries qui affichent des revenus annuels de plus de US$2 milliards (non imposables, bien sûr). "Ces migrants proviennent d'Amérique du Sud mais aussi du Moyen-Orient (Istanbul et vols vers la Colombie), Chine avec leurs réseaux de passeurs professionnels, Venezuela (Iraniens parfaitement hispanophones) et autres contrées surexploitées par des criminels et autres extrémistes de la droite subversive. "Ces masses surtout masculines (où sont les femmes et les enfants ?) passent aussi par le Canada "la plus vaste frontière au monde."
Michael Yon, le plus expérimenté des correspondants de guerre états-uniens; ex Green Beret durant son entrevue avec Del Bigtree, l'animateur de The Highwire le 1er février 2024 - Borderline Episode 357 "Les organismes de bienfaisance catholiques sont partout au-delà de la frontière au Texas. Certains embauchant des voyous fascistes en uniforme, à la fois de la sécurité privée et des flics corrompus, pour protéger leur opération de traite des êtres humains dans la vallée du Rio Grande. "HIAS est PARTOUT au Panama, construisant des camps pour envahisseurs avec le soutien de Mayorkas (patron de Homeland Security), ancien membre du conseil d'administration avec Sergey Brin (fondateur de Google), qui sont derrière ce projet avec leur massif pouvoir politique et médiatique. "Rappelez-vous, la lutte contre les tenants du HIAS soutient en fait les Juifs orthodoxes. Le « H » de Hebrew dans HIAS est aléatoire car il ne représente que les sionistes et non pas les Juifs. La lutte contre les « Catholic » Charities soutient les catholiques traditionnels. Et ce sans compter sur l'entreprise privée (ci-bas, les "partenaires corporatifs du HIAS).
"Le marxisme adore les techniques de viol de l'esprit conçues pour vous embrouiller.
"Ne vous méprenez pas. Développez votre propre vision et la persévérance de « David » contre ces satanistes Goliath. " Michael Yon - substack. (captures d'écran © the highwire/michael yon)
#frontières ouvertes#migrants illégaux soutenus par les religions#del bigtree#michael yon#mayorkas#HIAS#sergey brin#the highwire
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Poutine: les élites européennes «sont lâches, mais les citoyens européens commencent à prendre conscience»
«Tout se passe depuis l'autre côté de l'océan», a résumé le dirigeant russe lors d'une réunion du conseil d'administration élargi du ministère de la Défense.
«La génération de politiciens européens d'aujourd'hui est dans une dépendance colossale» aux Etats-Unis.
Dès leur plus jeune âge, dès leurs études, les services secrets recrutent leurs partisans. Et ils travaillent avec eux, les poussant vers l'Olympe politique des pays européens
«Les citoyens européens commencent à voir ce qui se passe. Ce n'est pas seulement dans les manifestations, c'est dans les faits. Les principales économies industrialisées d'Europe sont entrées en récession.»
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#Sénégal #Politique #Gouvernance #Fondation La récente nomination de l'ancien président sénégalais, Macky Sall, au sein du conseil d'administration de la Fondation Mo Ibrahim, organisation reconnue pour son engagement envers la promotion de la bonne gouvernance en Afrique, a immédiatement déclenché une vive controverse au sein du Sénégal et au-delà de ses frontières. Si l'Alliance pour la République (APR), son parti politique, a exprimé sa satisfaction face à cette désignation, une vague d'indignation s'est rapidement propagée parmi ses opposants et une partie de la société civile. Un collectif d'intellectuels et d'universitaires sénégalais a rendu publique une critique virulente, qualifiant l'ancien chef de l'État de figure ayant fragilisé les fondements démocratiques du pays. Cette prise de position remet en question la crédibilité et la cohérence éthique de la Fondation elle-même, au regard du passé politique de M. Sall. L'ancienne Première ministre Aminata Touré a également exprimé son désaccord de manière catégorique, qualifiant cette décision de profondément choquante. Elle a rappelé le contexte des manifestations qui ont été durement réprimées durant son mandat présidentiel, évoquant un bilan humain lourd avec de nombreux décès et arrestations. Cette nomination a suscité de nombreux commentaires négatifs sur les plateformes en ligne, contrastant fortement avec les éloges de ses réalisations passées exprimées par ses partisans. Cette polémique met en lumière les profondes divisions qui subsistent au sein de la société sénégalaise à la suite des dernières années de la présidence de Macky Sall. Ce qui aurait pu être perçu comme une nomination honorifique s'est transformé en un débat politique majeur, centré sur l'héritage contesté de son passage au pouvoir et sur les critères qui définissent la notion de bonne gouvernance. Cette situation préfigure des tensions potentielles concernant la question de la redevabilité pour la période allant de 2021 à 2024. L'accueil réservé à cette nomination au sein d'une institution dédiée à la promotion de la bonne gouvernance souligne la complexité de l'évaluation des bilans politiques et la diversité des perspectives au sein de la société sénégalaise. La controverse soulève des questions importantes sur les critères d'évaluation des anciens dirigeants et sur le rôle des organisations internationales dans la promotion de la démocratie et des droits humains sur le continent africain. Les réactions passionnées qu'elle suscite témoignent de l'importance de ces enjeux pour l'avenir politique du Sénégal. Read the full article
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Logiciel de comptabilité pour églises : Un outil essentiel pour une gestion financière efficace
La gestion des finances d’une église peut être une tâche complexe, surtout lorsque l’on considère le nombre de dons, les dépenses pour les événements ou les projets communautaires, ainsi que le suivi des contributions des membres. C'est là qu'un logiciel de comptabilité pour églises devient un outil précieux pour simplifier ces processus et offrir une visibilité claire sur l'état financier de l'église. Un bon logiciel permet non seulement de suivre les finances, mais aussi de générer des rapports détaillés, d'améliorer la transparence et de faciliter la gestion des ressources. Si vous êtes intéressé par un logiciel adapté à votre église.
Pourquoi un logiciel de comptabilité pour églises est-il nécessaire ?
La comptabilité dans une église ne se limite pas uniquement à l'enregistrement des recettes et des dépenses. Les églises doivent également se conformer à diverses régulations fiscales, gérer les salaires des employés, préparer des rapports financiers pour les conseils d'administration, et assurer une traçabilité des fonds pour les donateurs. Sans un système adapté, ces tâches peuvent rapidement devenir accablantes et sujettes à des erreurs.
Un logiciel de comptabilité spécialisé pour les églises prend en compte ces spécificités et propose des fonctionnalités adaptées. Il facilite la gestion des dons en ligne et hors ligne, le suivi des campagnes de collecte de fonds, la gestion des subventions et des dépenses opérationnelles, tout en offrant des outils pour le reporting et la planification budgétaire.
Les fonctionnalités clés d’un logiciel de comptabilité pour églises
Suivi des dons et contributions : Un logiciel adapté permet de suivre facilement les dons des membres de l’église, qu’ils soient faits en espèces, par chèque ou en ligne. Il peut aussi générer des reçus de dons pour les membres qui en ont besoin pour leurs déclarations fiscales.
Rapports financiers personnalisés : Que ce soit pour un rapport mensuel, trimestriel ou annuel, un bon logiciel peut générer des rapports financiers détaillés qui aident à surveiller les flux de trésorerie, les dépenses et les revenus.
Gestion des bénévoles et des employés : Un logiciel complet inclut souvent un module de gestion des ressources humaines, permettant de suivre les heures de bénévolat, de calculer les salaires et d’assurer la conformité avec la législation du travail.
Comptabilité multi-campagnes : Les églises organisent souvent plusieurs campagnes de collecte de fonds ou événements spéciaux. Un logiciel de comptabilité spécialisé permet de suivre facilement ces différentes campagnes, de gérer les fonds alloués et de produire des rapports précis.
Sécurisation des données : La sécurité est un aspect essentiel de la gestion financière. Un bon logiciel garantit la confidentialité des données financières et personnelles, tout en respectant les normes de sécurité en vigueur.
Comment choisir le bon logiciel de comptabilité pour votre église ?
Le choix d'un logiciel de comptabilité pour votre église dépend de plusieurs facteurs, notamment la taille de votre communauté, le volume des transactions et les fonctionnalités spécifiques dont vous avez besoin. Il est important de choisir un logiciel intuitif et facile à utiliser, tout en offrant suffisamment de personnalisation pour répondre aux besoins uniques de votre église.
Assurez-vous également que le logiciel est conçu pour évoluer avec votre église. Par exemple, il devrait permettre l'intégration avec d'autres outils que vous utilisez, comme des systèmes de gestion des membres ou des plateformes de dons en ligne.
Conclusion
Investir dans un logiciel de comptabilité pour églises est un choix stratégique pour garantir une gestion financière efficace et transparente. Il permet aux responsables d’église de se concentrer sur leur mission principale, en sachant que la gestion des finances est bien prise en charge. Un logiciel adapté facilite non seulement la conformité aux obligations fiscales, mais aussi l'optimisation des ressources et la fidélisation des membres grâce à une gestion claire et précise des dons.
N'oubliez pas de consulter les options disponibles et de choisir un logiciel qui s’aligne avec les besoins spécifiques de votre église, en prenant en compte la simplicité d’utilisation et la sécurité des données.
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Comment préparer votre fintech à une introduction en bourse ? Comment préparer votre fintech à une introduction en bourse ? 1. Préparation financière - Assurez-vous d'avoir au moins 3 ans d'états financiers audités - Mettez en place des contrôles financiers robustes et des processus de reporting - Préparez des projections financières détaillées sur 3-5 ans - Optimisez votre structure de capital et de dette - Constituez une équipe finance solide, incluant un CFO expérimenté 2. Préparation juridique et réglementaire - Réalisez un audit juridique complet (due diligence) - Assurez-vous d'être en conformité avec toutes les réglementations (KYC, AML, etc.) - Obtenez les licences et agréments nécessaires - Préparez les documents juridiques requis (prospectus, etc.) - Constituez un conseil d'administration conforme aux exigences boursières 3. Préparation opérationnelle - Mettez en place une gouvernance https://fr.fintechpolicies.com/comment-preparer-votre-fintech-a-une-introduction-en-bourse/?utm_source=tumblr&utm_medium=social&utm_campaign=fintech+policies+templates
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Guadeloupéennes, Guadeloupéens, en vos rangs, grades, fonctions et qualités,
Pourquoi ne pas faire venir M. Teddy RINER dans notre Gouvernement s'il accepte son caractère premier qui est de transition. Et notre positionnement qui est de gouvernement.
Le CNG-PIG, Congrès National Guadeloupéen Pour l'Indépendance de la Guadeloupe https://www.facebook.com/cngpig/ ;
https://t.me/+zkwDVwqbbLRmNDY5
qui est de conception démocratique, concessionnaire dérivé où les femmes, les hommes, les groupes de travail, les faîtières d'artisans, les structures y sont représentées lors de réunions mensuelles non permanentes. C'est-à-dire, un conseil d'administration de la société guadeloupéenne,
La présidence de la Guadeloupe
M. Gilbert Mathieu ÉDINVAL
Président de l'Alliance de la Caraïbe Libre
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L'Ademe débourse pour quatre projets locaux à Mayotte, Marseille, Soissons et Agen
À l'occasion de son conseil d'administration du 6 mars, l'Ademe a validé un financement pour quatre nouveaux projets situés à Mayotte, Marseille, Soissons et Agen. L'agence apportera ainsi une aide de 1,36 million d'euros (M€) au Syndica
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Allemagne les mondialistes gagnent à nouveau. Le nouveau chancelier Friedrich Merz est leur choix parfait.

▪️Ex Président de Blackrock Allemagne
▪️Dédié à une intégration plus poussée de l'UE
▪️membre du Conseil d'administration du WEF
▪️ adhésion régulière au WEF à Davos
▪️ assisté aux réunions du Groupe Bilderberg
▪️Sports de vaccins contre le Covid
▪️Restrictions souhaitées sur les non vaccinés
▪️ plaidé pour l'identification numérique en Allemagne
▪️Soutenu les politiques d'asile à l'échelle de l'UE
▪️ssupporte les marchés du carbone
La pénétration des cabinets se poursuit. Vous ne pouvez pas aider les gens si les gens ne s'aident pas eux-mêmes. Bonne chance à l'Allemagne 24 février2025.

Je tiens à remercier les 14 millions d’électeurs de l’Union pour leur confiance. Nous avons reçu 3 millions de votes de plus que lors des dernières élections fédérales. Avec le résultat des élections de 28,6% nous avons clairement le mandat de gouverner et nous l'acceptons.
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