#communication authentique
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Cigognes* à l'Ecomusée d'Alsace*
Canon EOS R
24-105mm F4 DG OS HSM | Art
ƒ/5.6
105.0 mm
1/1000
iso 100
(FR)
Ecomusée d'alsace
L’Ecomusée d’Alsace est situé à Ungersheim, dans le Haut-Rhin, et il est considéré comme le plus grand musée vivant à ciel ouvert de France. Il est organisé comme un village alsacien du début du XXe siècle, avec des rues et des nombreuses bâtisses, dont plus de 70 maisons alsaciennes authentiques rassemblées sur le site.
Découvrez la vie des habitants des campagnes
Au sein du village, vous pouvez découvrir la vie des habitants des campagnes au début du XXe siècle. Les bâtiments sont aménagés pour montrer les différents aspects de la vie quotidienne, tels que l’habitat, l’artisanat, la cuisine, l’agriculture et la nature. Vous pouvez également visiter des ateliers d’artisans, des fermes, des écoles, des chapelles et des gares.
Cigognes
Les Cigognes : Les cigognes sont des oiseaux échassiers souvent migrateurs appartenant à la famille des Ciconiidés. Il existe plusieurs espèces, les deux plus connues étant la cigogne blanche et la cigogne noire. Les cigognes se caractérisent par leur bec droit et pointu et leur plumage principalement noir et blanc.
Caractéristiques : Ce sont de grands échassiers, d’environ un mètre de haut et 1,80 m d’envergure avec un long bec. Les jeunes sont de couleur plus brune et discrète que les adultes. Comportement : Les cigognes n’ont pas de muscle trachéo-bronchial autour du syrinx et ne peuvent ni chanter ni crier, et communiquent entre elles en claquant du bec. Les cigognes sont des oiseaux grégaires qui se reproduisent en colonies. Alimentation : Ces échassiers se nourrissent de grenouilles, d’oisillons, de lézards, de petits rongeurs, d’écrevisses, etc. Migration : Les espèces migratrices comme la cigogne blanche et la cigogne noire volent en planant, ailes étendues et immobiles, utilisant les courants chauds aériens pour les soutenir sur de longues distances. Répartition géographique : Six espèces sur sept sont des cigognes de l’Ancien Monde, seule la cigogne maguari se rencontre en Amérique du Sud.
(EN)
Ecomuseum of Alsace
The Ecomuseum of Alsace is located in Ungersheim, in the Haut-Rhin, and is considered the largest open-air living museum in France. It is organized like an Alsatian village from the beginning of the 20th century, with streets and many buildings, including more than 70 authentic Alsatian houses gathered on the site.
Discover the life of the inhabitants of the countryside Within the village, you can discover the life of the inhabitants of the countryside at the beginning of the 20th century. The buildings are arranged to show the different aspects of daily life, such as housing, crafts, cooking, agriculture and nature. You can also visit craft workshops, farms, schools, chapels and train stations.
Storks
Storks: Storks are often migratory wading birds belonging to the Ciconiidae family. There are several species, the two best known being the white stork and the black stork. Storks are characterized by their straight, pointed beak and their mainly black and white plumage.
Characteristics: They are large wading birds, about one meter high and 1.80 m in wingspan with a long beak. The young are browner and more discreet than the adults. Behavior: Storks do not have a tracheobronchial muscle around the syrinx and cannot sing or cry, and communicate with each other by clicking their beaks. Storks are gregarious birds that breed in colonies. Diet: These wading birds feed on frogs, chicks, lizards, small rodents, crayfish, etc. Migration: Migratory species such as the white stork and the black stork soar with wings outstretched and motionless, using warm air currents to support them over long distances. Geographic distribution: Six out of seven species are Old World storks, with only the maguari stork found in South America.
#VisitAlsace#SIGMA 24-105MM F/4 DG OS HSM ART#Lieux#Road-Trip#Alsace#écomusée d'Alsace#Canon EOS R#Grand Est#24-105MM F/4 DG OS HSM#flickr#outdoor#photographers on tumblr#original photographers#extérieur#elsass
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«Le Discord estant en l’Homme par la contrariété envers l’Esprit et la Chair» (Marguerite de Navarre)
«Seuls les morts auront vu la fin du combat.» (Platon)
Et si le véritable combat se livrait toujours à l’intérieur de l’ordre symbolique lui-même ?
N’est-ce pas là que se déroulent de toute éternité les luttes entre les représentants d’une humanité toujours déjà effondrée, se trahissant elle-même, et l’homme qui s’efforce de tenir debout, combattant pour conserver sa tenue, se fortifiant dans le combat?
Les combats spirituels de l'humanité européenne peuvent être abordés comme des combats entre des "philosophies", et compte tenu de l'approche psychanalytique de la perversion qui peut être dite comme celle du "déni de la dimension subjective à proprement parler", une véritable lutte à mort de pur prestige oppose:
• aux philosophies "perverses" qui font l'apologie de l'individu compris comme un être naturel, corporel, vivant, allant de soi, incarné dans un monde conçu comme le lieu "naturel" de son inscription, un "monde social" dans lequel il entretiendrait a priori des rapports avec ses semblables…
• la philosophie authentique, celle de l'hystérique, qui fut donc inaugurée par Socrate, et dont la caractéristique principale est de partir d'emblée d'un sujet travaillé intérieurement par son manque-à-être, un sujet divisé par la question de savoir ce qu'il est pour le désir de l'Autre, ce que l'Autre attend de lui, un sujet qui ne peut se concevoir que dans le retrait, une radicale extériorité par rapport à la prétendue "réalité objective" qui apparaît dès lors comme une contradictio in adjecto.
L'écart entre les deux conceptions tient au statut de la "réalité": dans un cas, la réalité est donnée par avance: "il faut faire avec", alors que pour la philosophie authentique, celle qui prend son essor avec Socrate, la réalité est constituée par la manière dont le sujet se trouvant toujours déjà lui-même pris dans un certain rapport à ladite "réalité", il en questionne les coordonnées…
Le moment inaugural de sa liberté consistant en un refus radical de se trouver lui-même intégré dans la chaîne des causes et des effets.
La structure élémentaire de la subjectivité repose en effet sur un "pas tout" de la causalité.
Pour le psychanalyste, l'acte véritable, le seul acte digne de ce nom, est celui d'une suspension de la réalité constituée, donnée par avance. La théorie analytique rejoint ici l’acmé de la pensée de Hegel pour qui la réalité apparaît comme posée, constituée par le sujet, et non pas simplement quelque chose qui s'impose à lui de l'extérieur…
Ce que la pseudo-psychanalyse, la psychanalyse d’institutions, la psychanalyse "molle" qui ressortit du Discours Universitaire (psychologie) a perdu, c'est cette dimension cruciale d'une réalité posée par le sujet, la conduisant à différer du sens commun (comme du "discours scientifique"…) qui accepte la "réalité externe" comme un postulat donné par avance, une "objectivité", une "normalité" à quoi l'appareil psychique devrait se raccorder, se connecter, "s'adapter"...
Pour le psychanalyste authentique, il ne s'agit pas de "faire changer la réalité", mais de rectifier les rapports du sujet au réel, de telle sorte que le sujet puisse changer les coordonnées à partir desquelles se constitue, pour lui, ce qu'il appelle "réalité" qu’il distinguera du réel qui n’en est que la grimace.
En témoigne le cas de cet analysant inconsolable à qui fut posée la question: "si vous pouviez recréer exactement la même femme, votre femme qui est morte, seriez-vous capable aujourd'hui de l'aimer en lieu et place de votre femme?", la réponse fut décisive: "non, elle ne pourrait pas être la même!"
En énonçant ces mots, l'analysant mît un terme à son "état dépressif". Il avait réalisé que la place vide ne pouvait être remplie par aucun désir.
Il s'était tenu au bord de l'impossible, l'impossible de remonter le temps, l'impossible de retrouver le passé, l'impossible qui structure et conditionne l'ordre des possibles…
Réel est l’un des noms de cet impossible.
Entre nous et le Réel, il y a la vérité…
Pour Freud, la vérité de la souffrance est d’avoir la vérité comme cause.
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La véritable attirance va au-delà du physique ou de l’intérieur, si difficile à définir...
L’authentique magie entre deux personnes s’inscrit dans la lecture émotionnelle de deux cœurs qui se paralysent et s’harmonisent, qui se comprennent...
C’est une attirance dont on ne se libère pas, même en fermant les yeux...
la clé de l’attirance se trouverait dans la compréhension mutuelle entre deux personnes...
L’attirance physique ne dure pas, elle est intense, vide et fugace, mais l’attirance de l’esprit et ce monde émotionnel qui bat au même rythme que notre musique intérieure fait de nous le plus beau couple de danseurs de l’amour...
“Je n’aime que celui ou celle qui me comprend”...
C’est sans aucun doute l’une des phrases les plus communes que nous lançons par désespoir quand nous échouons dans une relation affective...
Loin de demander l’impossible, notre requête est aussi logique que valide...
Car aucun amour ne sera authentique s’il n’existe pas cette empathie basée sur l’intuition des besoins et sur la correspondance des affects...
Au-delà du physique et de ces convulsions intérieures qui nous fait rester aux côtés de certaines personnes, nous cachons tous des besoins émotionnels qui soudain, sont identifiées, lus et même résolus avec la proximité de cette personne merveilleuse déguisée en personne normale...
Plus nous réussissons à être en harmonie avec le monde émotionnel de quelqu’un, au point de déchiffrer ses sentiments, plus l’attirance est forte...
Nous avons besoin d’une harmonie plus intime, où notre vocabulaire neuronal parle la même langue...
Où les besoins soient décodés à l’aide d’une lecture émotionnelle sage, intuitive et avant tout courageuse...
Capable de donner la réponse la plus pertinente à chaque moment et non pas celle qui est empreinte d’intérêts...
Nous avons besoin que l’autre fasse de nous de meilleures personnes et non pas des êtres incompris sous des carapaces solitaires...
Via "nos pensées"
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Lorsque vous planifiez un séjour, que ce soit pour affaires ou pour le plaisir, le choix du logement est une décision importante à prendre. Les logements meublés offrent de nombreux avantages par rapport aux hôtels traditionnels, notamment en termes de confort, de commodité et de flexibilité. Dans cet article, nous vous présentons 10 Avantages d’un Logement Meublé pour votre Séjour, afin que vous puissiez profiter pleinement de votre expérience de voyage.
1. Confort comme à la maison
L’un des principaux avantages des logements meublés parmi les 10 Avantages d’un logement meublé pour votre Séjour est le confort qu’ils offrent, avec des espaces de vie spacieux, des meubles confortables et des équipements modernes. Vous vous sentirez comme à la maison dès votre arrivée, ce qui rendra votre séjour plus agréable et relaxant.
2. Flexibilité de l’espace
Les logements meublés offrent une plus grande flexibilité d’espace par rapport aux chambres d’hôtel standard. Vous bénéficiez de plusieurs pièces séparées, telles que des chambres à coucher, un salon, une cuisine et une salle de bains, ce qui vous permet de vivre et de travailler confortablement pendant votre séjour.
3. Économies sur les repas
En choisissant un logement meublé, vous avez la possibilité de cuisiner vos propres repas dans une cuisine entièrement équipée, ce qui vous permet d’économiser sur les frais de restauration. Vous pouvez préparer des repas sains et savoureux à moindre coût, tout en profitant de la commodité de manger à votre convenance.
4. Intimité et tranquillité
Les logements meublés offrent une plus grande intimité et tranquillité par rapport aux hôtels bondés. Vous avez votre propre espace privé où vous pouvez vous détendre et vous ressourcer en toute tranquillité, sans être dérangé par les bruits des autres clients ou du personnel.
5. Services inclus
De nombreux logements meublés proposent des services inclus dans le prix de la location, tels que le ménage régulier, le changement des draps et des serviettes, et la connexion Internet haut débit. Vous pouvez profiter de ces services pour un séjour sans souci et en toute commodité.
6. Séjour prolongé
Les logements meublés sont idéaux pour les séjours prolongés, que ce soit pour des voyages d’affaires, des vacances en famille ou des déménagements temporaires. Vous bénéficiez de tarifs avantageux pour les séjours de longue durée, ce qui vous permet de prolonger votre séjour sans vous ruiner.
7. Adapté aux familles
Les logements meublés sont particulièrement adaptés aux familles avec enfants, offrant des espaces de vie spacieux et des équipements adaptés aux besoins des enfants, tels que des lits bébé, des chaises hautes et des jeux de société. Vous pouvez profiter d’un séjour en famille confortable et pratique, avec tout le confort de la maison.
8. Localisation centrale
De nombreux logements meublés sont situés dans des quartiers centraux et bien desservis, à proximité des attractions touristiques, des commerces, des restaurants et des transports en commun. Vous pouvez profiter de la commodité de séjourner dans un emplacement central, tout en bénéficiant de la tranquillité d’un logement privé.
9. Souplesse de réservation
Les logements meublés offrent une plus grande souplesse de réservation par rapport aux hôtels traditionnels, avec des options de location à la journée, à la semaine ou au mois. Vous pouvez réserver votre logement pour la durée qui vous convient, sans avoir à vous soucier des contraintes de disponibilité ou de réservation.
10. Expérience locale authentique
En choisissant un logement meublé, vous avez l’opportunité de vivre une expérience locale authentique, en vous imprégnant de la culture et du mode de vie de la destination. Vous pouvez explorer les quartiers locaux, rencontrer les habitants et découvrir les secrets les mieux gardés de la ville, pour un séjour inoubliable.
En choisissant un logement meublé pour votre séjour, vous bénéficiez de nombreux avantages qui rendront votre expérience de voyage plus confortable, pratique et mémorable. Que ce soit pour un voyage d’affaires, des vacances en famille ou une escapade romantique, les logements meublés offrent tout le confort et la flexibilité dont vous avez besoin pour profiter pleinement de votre séjour.
Nous espérons de tout cœur que ces conseil ou que ce guide sur les 10 Avantages d’un Logement Meublé pour votre Séjour va vous aidez à choisir le logement parfait.
Suivez-nous également sur Facebook pour avoir toutes les actualités sur les tendances et les technologies dans le secteur de l’immobilier locatif, ou encore lisez d’autres articles de blogue dans la même thématique que “10 Avantages d’un Logement Meublé pour votre Séjour“.
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Chefs Africains
Article : Portrait d'un chef cuisinier Camerounais
Introduction:
Dans cet article, nous allons mettre à l'honneur un chef cuisinier africain talentueux et passionné.
Développement:
Portrait d'un chef engagé : Ndoc Bidi du Cameroun
Ndoc Bidi est un chef cuisinier camerounais qui s'est fait connaître pour sa cuisine engagée et sa volonté de valoriser les produits locaux. A travers ses plats et ses initiatives, il s'efforce de promouvoir la gastronomie camerounaise et de faire découvrir au monde entier la richesse et la diversité de ses saveurs.
Un parcours atypique:
Ndoc Bidi n'a pas suivi un parcours classique de chef cuisinier. Après des études en marketing et communication, il a décidé de se reconvertir et de se consacrer à sa passion pour la cuisine. Il a débuté son apprentissage auprès de grands chefs camerounais, avant de se lancer à son compte et de créer son propre restaurant.
Une cuisine engagée:
La cuisine de Ndoc Bidi est avant tout une cuisine engagée. Il s'attache à utiliser des produits locaux et de saison, en privilégiant les circuits courts et en s'approvisionnant auprès des petits producteurs camerounais. Il souhaite ainsi contribuer au développement de l'économie locale et à la promotion d'une agriculture durable.
Un ambassadeur de la gastronomie camerounaise:
Ndoc Bidi est un véritable ambassadeur de la gastronomie camerounaise. Il participe à de nombreux événements culinaires internationaux et partage ses recettes sur les réseaux sociaux, inspirant des millions de personnes à travers le monde. Il est également l'auteur de plusieurs livres de cuisine, dans lesquels il partage son savoir-faire et sa passion pour la cuisine camerounaise.
Recette signature : Ndolé revisité
Le ndolé est un plat traditionnel camerounais à base de feuilles de ndolé, d'arachides et de viande. Ndoc Bidi a revisité ce plat en y ajoutant une touche de modernité et d'innovation. Il utilise des feuilles de ndolé fraîches et sélectionne des viandes de qualité, comme le poulet fermier ou le bœuf. Il prépare également sa propre pâte d'arachide, ce qui donne à son ndolé un goût unique et authentique.
Ingrédients:
1 kg de feuilles de ndolé
500 g de viande de poulet ou de bœuf
200 g de pâte d'arachide
2 oignons rouges hachés
3 tomates pelées et concassées
1 cuillère à soupe de gingembre râpé
1 cuillère à café de cumin
1 cuillère à café de paprika
1 cuillère à café de piment en poudre
1 citron vert
Huile d'olive
Sel et poivre
Étapes de préparation:
Laver les feuilles de ndolé et les couper en fines lamelles.
Faire revenir les oignons hachés dans l'huile d'olive.
Ajouter la viande coupée en morceaux et faire revenir jusqu'à ce qu'elle soit dorée.
Ajouter les tomates concassées, le gingembre, le cumin, le paprika, le piment et le jus d'un citron vert. Laisser mijoter pendant 10 minutes.
Ajouter les feuilles de ndolé et la pâte d'arachide. Mélanger et laisser mijoter à feu doux pendant 30 minutes.
Servir avec du riz blanc ou du plantain braisé.
Conseils:
Vous pouvez ajuster la quantité d'épices selon votre goût.
Pour une sauce plus épaisse, vous pouvez ajouter une cuillère à soupe de farine de maïs.
Vous pouvez également ajouter d'autres légumes à la sauce, comme des carottes ou des poivrons.
N'hésitez pas à essayer cette recette et à découvrir la cuisine savoureuse et engagée de Ndoc Bidi!
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Just like we promised
À Mark,
Dans le tourbillon incessant de la vie, où chaque instant est un fil dans le tissu complexe de notre existence, nous nous trouvons souvent égarés dans les courants du changement. Ces courants nous ont façonnés, transformés, et parfois même éloignés l'un de l'autre. Pourtant, au cœur de ce flux perpétuel, nos souvenirs partagés et nos promesses demeurent, des phares inébranlables dans la brume du temps.
Notre histoire, Mark, est un récit toujours en cours d'écriture, une symphonie inachevée de moments et de mémoires. Nos chemins se sont croisés, se sont éloignés, puis se sont à nouveau entrelacés, un ballet de destinées qui nous a menés ici, à ce chapitre de notre vie.
Cinq années se sont écoulées, et maintenant, je te regarde, assis sur le canapé, jouant avec Anastasia, la préparant tendrement pour le sommeil. Ton sourire, empreint d'une chaleur véritable, brille dans la douce lumière du soir – un contraste frappant avec celui, autrefois forcé, dont la raison m'échappe encore. Ce sourire, authentique et plein d'amour, me rappelle la profondeur et la sincérité de ce que nous avons reconstruit ensemble.
Chaque jour passé, chaque épreuve surmontée, chaque joie partagée, a tissé la trame de notre histoire commune – une histoire marquée par la résilience, l'amour et la transformation. Nos vies, intimement liées, racontent une saga d'amour, de croissance et de renaissance.
Ce soir, alors que je t'observe avec notre fille, je suis envahie par une gratitude immense. La vie nous a offert une seconde chance, une opportunité de redécouvrir et de réaffirmer l'amour que nous partageons. Dans le silence apaisant de notre foyer, je réalise combien notre voyage ensemble est précieux et unique.
À toi, Mark, mon compagnon de vie, mon confident, mon ami. Notre amour, une constante à travers les tempêtes de la vie, est le socle sur lequel nous avons bâti notre présent et notre avenir.
Pour toujours et à jamais, dans chaque univers et dans chaque ligne temporelle, je t'aime, Mark, et je suis heureuse de pouvoir t'appeler mon mari.
Avec tout mon amour,
Alexander.
The moment I glimpsed you, nestled behind towering stacks of paperwork in the chaotic embrace of your office, a curious sensation stirred within me. Shadows played across the cluttered desk as the relentless ring of your phone punctuated the air, a discordant symphony to your rhythmic signing of documents. Was it a spark of love igniting at first sight, or a wistful melancholy seeping into my soul?
Years had lapsed into decades since our last encounter, and time had sculpted you anew. There you were, a mature man, your shoulders bearing the weight of youthful worries in a world indifferent to your struggles. As you concluded your task and surrendered to the insistent call, your voice unfurled into the room - smooth as velvet, warm as a glowing ember, sweet as the richest honey. But in that voice, I heard a stranger, not the person I once knew.
Peering through the translucent barrier of the glass doors, my gaze found you, yet perceived a stranger. A tide of uncertainty swelled in my chest—had I mistaken you for another? Could I confuse you, the one whose eyes once soothed the fiercest tempests, with someone else? The one who wore the remnants of youthful trials like badges of honor—could such a soul be so easily mistaken? What began as a mundane errand, delivering documents to this local office, unexpectedly plunged me into introspection.
There, I witnessed your smile during the call, a gesture devoid of its genuine essence. It was a masquerade, a hollow imitation. In that moment, I realized the stark truth: the person before me bore your visage, but he was not You, the one I remembered.
Rooted in the doorway, a statue of indecision, I lingered, watching you, a silent observer waiting for the moment you would conclude your call. Yet, within me, a restless current urged me forward, propelled by an invisible force. You remained oblivious to my presence, your focus divided between the relentless scribbling on the documents before you and the conversation on the phone, all under the guise of that insincere smile. A question echoed in my mind, piercing the quietude of my confusion: Who was the target of your deception?
Was it me, a mere spectator to this uncharacteristic charade? Or was the performance tailored for the unseen participant on the other end of the line?
As the call drew to a close, you finally lifted your gaze. Your eyes, once brimming with life, now seemed hollow, devoid of the spark that once defined you. They met mine, yet it felt as though you were looking through me, into a void. In that moment, a poignant realization dawned upon me: the person before me was a far cry from the You I had once known.
Time, the relentless sculptor, alters us all, but with you, it was different. It wasn’t merely the passage of years that had reshaped you; it was something more profound, more elusive. You hadn’t simply been changed by time; you had been transformed by experiences unknown to me, experiences that had extinguished the light in your eyes and replaced it with an unfamiliar, distant gaze. The You I remembered seemed lost, perhaps forever, in the labyrinth of life’s unrelenting twists and turns.
Your voice broke the silence, inquiring my name, and I obliged, offering it to you like a relic from our shared past. You paused, a flicker of something unrecognizable crossing your face as you glanced at my document. A chuckle escaped your lips, tinged with disbelief or perhaps irony. Was it so hard for you to believe that I was the same person from your memories?
“I’m sorry, you have the same name and surname as an old friend,” you remarked, your words slicing through the air, laden with a casual dismissal. Those words lingered, heavy with implications. To you, was I merely an echo of a past connection, relegated to the realm of ‘just an old friend’? The simplicity of your statement belied the complexity of emotions it stirred within me, a poignant reminder of the distance that time and change had wedged between us.
Your words, seemingly innocuous, stung with an unintended insult. Indeed, I had transformed, no longer the carefree young girl who once frolicked alongside you in the park, who scaled trees with the fearless abandon of youth, who gleefully accepted oranges from the kindly old lady at number 32. Those days, imbued with innocence and laughter, seemed like fragments of another lifetime.
Was it my metamorphosis that rendered me unrecognizable to you, or was it your own profound change, morphing into a mere shell of the person I once knew? I grappled with these thoughts, a blend of indignation and sadness swirling within me. Change is the only constant, they say, yet the divergence of our paths had led us to this poignant juncture—a place where familiarity was overshadowed by the unfamiliarity of what we had become.
“Well,” I began, my voice steady as I endeavored to mask the turbulence within, “I did change a lot, so I guess you wouldn’t recognize me.”
As those words escaped my lips, a gentle smile graced your face, seemingly brushing aside the gravity of my admission. You continued with your task, your hand moving with practiced ease as you signed off on the document. But then, as you were about to add your final signature, I noticed a moment of hesitation. You clicked your pen twice, a nervous tic that time hadn’t erased. Some habits, it seems, are impervious to the ravages of years.
Your eyes, magnified behind the lenses of square glasses, finally met mine with a depth that was unmistakably familiar. It was a gaze that transported me back in time, to the boy I once knew, the boy who had remained etched in the recesses of my memory. In that fleeting exchange, the years seemed to peel away, revealing a glimpse of the past that still lived within you.
As my name resonated through the air, your voice breaking the office’s everyday hum, it felt like a crack in the universe. You didn’t just say it; you declared it, with a fervor that turned heads throughout the administration. The desk that had served as your fortress was no barrier for you now. You leaped over it, a sudden burst of emotion propelling you forward.
Your embrace enveloped me, a tangible memory, heavy yet comforting. It was like being wrapped in a blanket woven from nostalgia, but this nostalgia bore a bittersweet edge—tinged with pain and sorrow, rather than pure, blissful happiness. In that moment, reintroducing myself seemed the most natural thing to do, a bridge across the chasm of years and changes.
As I stood there, encased in your arms, I couldn’t help but wonder about the paths not taken. If I hadn’t spoken up, would I have turned and walked away, leaving behind another memory devoid of a proper farewell? Would I have returned to a city that once echoed with our laughter, now just a cold canvas against which our past played out?
In my contemplation, I thought of the multiverse, a tapestry of endless possibilities. In that vast expanse of ‘what ifs,’ I found a comforting thought. Perhaps, in every reality woven into that infinite tapestry, there is a version of us, an Alex and a Mark, forever finding their way back to each other, no matter the distance or the changes that life brings. In every universe, every story, every possibility, I hoped that our counterparts would always find their way home—to each other.
#A love letter to you#And in every universe#be it hell#heaven#or something inbetween#I will still find a way to find you#and I will find still find a way to find you oranges#you love so much#and peel them for you
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Les anarchistes de droite me semblent la contribution française la plus authentique et la plus talentueuse à une certaine rébellion insolente de l’esprit européen face à la “modernité”, autrement dit l’hypocrisie bourgeoise de gauche et de droite. Leur saint patron pourrait être Barbey d’Aurévilly (Les Diaboliques), à moins que ce ne soit Molière (Tartuffe). Caractéristique dominante : en politique, ils n’appartiennent jamais à la droite modérée et honnissent les politiciens défenseurs du portefeuille et de la morale. C’est pourquoi l’on rencontre dans leur cohorte indocile des écrivains que l’on pourrait dire de gauche, comme Marcel Aymé, ou qu’il serait impossible d’étiqueter, comme Jean Anouilh. Ils ont en commun un talent railleur et un goût du panache dont témoignent Antoine Blondin (Monsieur Jadis), Roger Nimier (Le Hussard bleu), Jean Dutourd (Les Taxis de la Marne) ou Jean Cau (Croquis de mémoire). A la façon de Georges Bernanos, ils se sont souvent querellés avec leurs maîtres à penser. On les retrouve encore, hautains, farceurs et féroces, derrière la caméra de Georges Lautner (Les Tontons flingueurs ou Le Professionnel), avec les dialogues de Michel Audiard, qui est à lui seul un archétype. Deux parmi ces anarchistes de la plume ont dominé en leur temps le roman noir. Sous un régime d’épais conformisme, ils firent de leurs romans sombres ou rigolards les ultimes refuges de la liberté de penser. Ces deux-là ont été dans les années 1980 les pères du nouveau polar français. On les a dit enfants de Mai 68. L’un par la main gauche, l’autre par la main droite. Passant au crible le monde hautement immoral dans lequel il leur fallait vivre, ils ont tiré à vue sur les pantins et parfois même sur leur copains.
Dominique Venner
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Pour faire écho à un propos de Renaud Camus, je dirai qu’il n’y a effectivement aucune commune mesure aujourd’hui, sous nos latitudes, entre liberté de la Presse et liberté d’expression. J’irai même un peu plus loin que lui en avouant que je ressens la manifestation polymorphe des médias comme une atteinte directe à ma liberté d’expression. Car la Presse, dans l’écrasante majorité des cas, a vendu son âme à une kyrielle de diables fortunés, créatures malfaisantes incluant l’État lui-même par le biais du jeu des subventions. Elle a été bien incapable de préserver sa liberté de penser et d’agir, préférant devenir un produit profitable plutôt qu’un indispensable contre-pouvoir. Ralliée à toutes les verticalités, la voici donc prise par le vertige de la domination absolue. Elle n’exprime plus rien ; elle impose, à coups de marteau s’il le faut, son angle, son analyse, ses appréciations. L’actualité qu’elle commente est souvent peu attachée au réel, voire même au vraisemblable. Le réel de la Presse, sa réalité, est fabriquée à partir de postulats, de préconçus et de manipulations proprement obstétriques. Ce dont elle accouche est une vue de l’esprit, une sorte d’intelligence artificielle avant l’heure, une authentique fabrication. Le vacarme médiatique écrase nécessairement toute analyse honnête d’une question controversée. Ce qui compte, ce n’est pas l’exposé des évènements, mais la falsification, soit par décision soit par omission, du fait tangible et documenté. Le débat qu’une information honnête devrait susciter est de toute manière à éviter puisqu’il crée le doute, éveille la curiosité, implique la connaissance. Les médias ne sont plus que les relais de la puissance financière et globaliste. Ils viennent à la suite de la désertification éducative, de l’effondrement systématique des goûts, de la destruction de l’histoire et de la culture par l’industrie du loisir. La capacité de jugement de tout un chacun étant en cours d’éradication, on aura bientôt perdu jusqu’au souvenir du sens des mots “liberté d’expression”. J.-M. M.
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Portbail - Le port et le pont aux 13 arches - Février 2022
Portbail est une charmante commune située sur la côte ouest de la Normandie, en France. Nichée entre la mer et les terres fertiles, cette petite ville a su préserver son caractère authentique et son ambiance chaleureuse au fil des siècles. Elle attire les visiteurs avec ses paysages époustouflants, ses plages de sable fin, et son patrimoine historique unique. L'un des joyaux les plus remarquables de Portbail est le fameux pont aux 13 arches. Construit au XVIIIe siècle, ce pont en pierre relie la ville au reste de la péninsule du Cotentin. Sa conception audacieuse et sa taille imposante en font un monument emblématique de la région. Le pont aux 13 arches est le témoin silencieux de l'histoire mouvementée de Portbail. Il a survécu aux épreuves du temps, y compris aux conflits militaires qui ont marqué la région pendant les guerres. Aujourd'hui, il continue de servir de lien essentiel pour les habitants de la ville et les visiteurs qui traversent la région. Camera: Canon EOS 2000D Objectif: Canon EF-S 18-55 IS II Post-production avec Skylum Luminar 3 Shoot: En milieu d'après-midi en Février 2022. Ces photos ont été faites, d'abord sur le port, puis au niveau du parking en gravier qui se trouve à l'entrée de la marina. Pour finir, les dernières prises de vues ont été faites à partir de la rue Aubert, en face de l'église. Read the full article
#bateaux#Cotentin#France#Manche#maritime#Normandie#patrimoine#paysagecôtier#pêche#port#Portbail#touristes#touristique
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Le pouvoir d'une présentation bien articulée et percutante ne peut être surestimé, surtout lorsqu'il s'agit de convaincre et de séduire un public. Le fondateur émérite [Insérer le nom du fondateur] a partagé lors d'une session exclusive ses précieux secrets pour créer un pitch captivant et inoubliable. La Genèse des Révélations L'événement, qui a eu lieu [Indiquer le lieu et la date], a rassemblé une assemblée de professionnels, d'entrepreneurs et d'aspirants à la maîtrise de l'art du pitch. Ce fondateur renommé, reconnu pour ses succès dans [Indiquer le domaine d'expertise pertinente], a pris la parole pour partager son expérience inestimable. Les Piliers d'un Pitch Infaillible Au fil de son exposé, le fondateur a levé le voile sur les éléments clés d'une présentation réussie. Voici un aperçu des principaux enseignements : 1. La Clarté dans la Concision Un pitch doit être direct et concis. Il faut captiver l'audience en délivrant un message clair et percutant dès les premières secondes. 2. La Puissance de la Passion Transmettre de l'enthousiasme et une passion contagieuse pour son projet est essentiel. C'est ce qui rend le pitch authentique et engageant. 3. L'Émotion comme Pilier Les histoires et anecdotes personnelles sont des outils puissants pour émouvoir et captiver l'audience. Elles permettent de créer un lien émotionnel fort. 4. L'Importance de l'Adaptation Savoir s'adapter à son public est crucial. Adapter son discours en fonction des besoins, des attentes et du contexte de l'auditoire peut faire toute la différence. Impact et Réactions Les participants ont été unanimes quant à la valeur des conseils prodigués par ce visionnaire de l'entrepreneuriat. Nombreux sont ceux qui ont exprimé leur enthousiasme à l'idée d'appliquer ces stratégies dans leurs propres présentations. Le partage de ces secrets par le fondateur [Insérer le nom] a marqué un tournant pour de nombreux aspirants entrepreneurs et professionnels cherchant à améliorer leurs compétences en communication. Ces précieuses astuces sont désormais entre les mains de ceux qui aspirent à captiver leur public et à donner vie à des idées innovantes. En somme, le chemin vers un pitch parfait n'est plus un mystère, mais plutôt une série de pratiques éprouvées que chacun peut adopter pour briller dans l'art de la présentation.
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Jardin secret...
Dans l'univers secret des pensées intimes,
Un jardin fleurit, préservant les rêves sublimes.
Dans l'amour qui unit les âmes, les cœurs liés,
Un espace sacré, où le mystère est conservé.
Il est humain de posséder ce jardin secret,
Une parcelle qui appartient à chacun,
Sans regret.
Même dans une relation profonde, sincère et entière,
Il est essentiel de préserver cette individualité éphémère.
Cependant il faut veiller à ce que ce jardin secret ne soit corrompu par quelque mauvaise herbe,
Qui nuirait à l'éden voulu.
La sincérité et la solidité sont les maîtres-mots,
Pour faire grandir l'amour sur un chemin Résolument serein.
Si ce jardin secret est cultivé sans jamais le séparer du jardin commun,
Sans que le mensonge, n'en soit l'engrai,
Celui-ci ne peut que prospérer.
Reflet parfait de l'amour grandissant,
Espace où les deux âmes s'épanouissent intensément.
Mais avant tout, aucun sujet tabou,
Ne doit subsister entre deux êtres qui s'aiment authentiquement.
Social, existentiel, aucun thème qui rendrait flou la relation sur le fond.
Et surtout pas le sexe, cet ingrédient précieux,
Une supposée complète osmose, où les corps s'unissent harmonieusement, sur le profond.
Texte PascalN
Droits d'auteur protégés
09/01/24
" Scènes de vie "
Illustration Pinterest
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Cigognes* à l'Ecomusée d'Alsace*
Canon EOS R
24-105mm F4 DG OS HSM | Art
ƒ/8.0
46.0 mm
1/250
iso 100
(FR)
Ecomusée d'alsace
L’Ecomusée d’Alsace est situé à Ungersheim, dans le Haut-Rhin, et il est considéré comme le plus grand musée vivant à ciel ouvert de France. Il est organisé comme un village alsacien du début du XXe siècle, avec des rues et des nombreuses bâtisses, dont plus de 70 maisons alsaciennes authentiques rassemblées sur le site.
Découvrez la vie des habitants des campagnes
Au sein du village, vous pouvez découvrir la vie des habitants des campagnes au début du XXe siècle. Les bâtiments sont aménagés pour montrer les différents aspects de la vie quotidienne, tels que l’habitat, l’artisanat, la cuisine, l’agriculture et la nature. Vous pouvez également visiter des ateliers d’artisans, des fermes, des écoles, des chapelles et des gares.
Cigognes
Les Cigognes : Les cigognes sont des oiseaux échassiers souvent migrateurs appartenant à la famille des Ciconiidés. Il existe plusieurs espèces, les deux plus connues étant la cigogne blanche et la cigogne noire. Les cigognes se caractérisent par leur bec droit et pointu et leur plumage principalement noir et blanc.
Caractéristiques : Ce sont de grands échassiers, d’environ un mètre de haut et 1,80 m d’envergure avec un long bec. Les jeunes sont de couleur plus brune et discrète que les adultes. Comportement : Les cigognes n’ont pas de muscle trachéo-bronchial autour du syrinx et ne peuvent ni chanter ni crier, et communiquent entre elles en claquant du bec. Les cigognes sont des oiseaux grégaires qui se reproduisent en colonies. Alimentation : Ces échassiers se nourrissent de grenouilles, d’oisillons, de lézards, de petits rongeurs, d’écrevisses, etc. Migration : Les espèces migratrices comme la cigogne blanche et la cigogne noire volent en planant, ailes étendues et immobiles, utilisant les courants chauds aériens pour les soutenir sur de longues distances. Répartition géographique : Six espèces sur sept sont des cigognes de l’Ancien Monde, seule la cigogne maguari se rencontre en Amérique du Sud.
(EN)
Ecomuseum of Alsace
The Ecomuseum of Alsace is located in Ungersheim, in the Haut-Rhin, and is considered the largest open-air living museum in France. It is organized like an Alsatian village from the beginning of the 20th century, with streets and many buildings, including more than 70 authentic Alsatian houses gathered on the site.
Discover the life of the inhabitants of the countryside Within the village, you can discover the life of the inhabitants of the countryside at the beginning of the 20th century. The buildings are arranged to show the different aspects of daily life, such as housing, crafts, cooking, agriculture and nature. You can also visit craft workshops, farms, schools, chapels and train stations.
Storks
Storks: Storks are often migratory wading birds belonging to the Ciconiidae family. There are several species, the two best known being the white stork and the black stork. Storks are characterized by their straight, pointed beak and their mainly black and white plumage.
Characteristics: They are large wading birds, about one meter high and 1.80 m in wingspan with a long beak. The young are browner and more discreet than the adults. Behavior: Storks do not have a tracheobronchial muscle around the syrinx and cannot sing or cry, and communicate with each other by clicking their beaks. Storks are gregarious birds that breed in colonies. Diet: These wading birds feed on frogs, chicks, lizards, small rodents, crayfish, etc. Migration: Migratory species such as the white stork and the black stork soar with wings outstretched and motionless, using warm air currents to support them over long distances. Geographic distribution: Six out of seven species are Old World storks, with only the maguari stork found in South America.
#VisitAlsace#SIGMA 24-105MM F/4 DG OS HSM ART#Lieux#Road-Trip#Alsace#écomusée d'Alsace#Canon EOS R#Grand Est#24-105MM F/4 DG OS HSM#flickr#outdoor#photographers on tumblr#original photographers#extérieur#elsass#storks
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Philosophie, dialectique et psychanalyse
Pour peu que nous considérions le terme de perversion dans son acception originelle de détournement, de déviation d’une tendance par rapport à son but dit "naturel", nous partirons du «déni de la dimension du sujet à proprement parler», pour opposer:
• aux philosophies "perverses" car elles font l'apologie de l'individu compris comme un être corporel, vivant, allant de soi, incarné dans un "monde" conçu comme le lieu "naturel" de son inscription (un monde dans lequel il entretient des rapports avec les autres)…
• la philosophie authentique, qui est celle de l'hystérique, celle inaugurée par Socrate, dont la caractéristique principale est de partir d'emblée d'un sujet travaillé intérieurement par son «manque-à-être», un sujet divisé par la question de savoir:
1/ ce qu'il est pour le désir de l'Autre et
2/ ce que l'Autre semble attendre de lui ;
un sujet véritablement sujet, assujetti donc, ne pouvant se concevoir a priori que dans le retrait subjectif, une radicale extériorité par rapport à la prétendue réalité dite "objective".
Ainsi, l’homme, l’être, l’individu, la personne, le da-sein, le sujet… ce sont des mots qui chacun définissent un certain horizon de sens. Et de non-sens.
• Dans la tradition philosophique pré-lacanienne, ce qui s’appelle sujet (cf L’herméneutique du sujet de Foucault) n’est pas en soi sexualisé, la "sexualisation" c’est quelque chose qui se passe au niveau empirique, contingent, pour cette pensée, il y aurait ainsi d’abord un sujet, et ensuite interviendrait sa sexualisation…
• Dans la théorie psychanalytique, c’est l’inverse, c’est la sexuation (la coupure) qui est la condition formelle a priori de la constitution d’un sujet, raison (entre autres) pour laquelle le sujet de l’inconscient, le sujet de la psychanalyse, est toujours a priori un sujet divisé, un sujet clivé, un sujet barré, inconsistant, qui se note $ (S barré).
Le $ujet c'est tout le contraire d'un individu, puisque l'indivision est le contraire de la division.
Le sujet de l'inconscient, qui n'est autre que le sujet du Cogito cartésien, non transparent à lui-même, comme l'a démontré Lacan, est rigoureusement exogène à l'univers des statistiques, et n'a rien à voir avec les élucubrations universitaires pseudo-égalitaristes abstraites des Gender Studies ou des études de marché. «La science est une idéologie de la suppression du sujet» note Lacan…
Le sujet de l'inconscient ne parle pas "directement", mais ça parle de lui dans le strict cadre de l'énonciation productrice d'un énoncé, et c'est seulement par là qu'il s'appréhende, notamment par la médiation du psychanalyste capable d’en entendre quelque chose dans une écoute dite "analytique", ce qui implique le recours à la dialectique.
La dialectique consiste à repérer le point commun dans ce qui constitue a priori les oppositions dans leur apparence inconciliable.
Dans le cas du jugement esthétique (par exemple: qu’est-ce que le Beau?), nous avons:
- le premier temps (thèse) qui est celui du jugement dogmatique: ce qui est beau, c’est ce que je connais déjà comme objet que je trouve beau
- dans un deuxième temps (antithèse), je me rends compte que c’est la culture spécifique du sujet qui prédétermine ce qui est beau pour lui, et j’en arrive donc au jugement sceptique qui aboutit au relativisme culturel: tout se vaut, il n’y a pas de beau en soi, chacun sa vérité…
- le troisième temps (synthèse) permet de poser le problème de manière différente, le jugement dialectique permet de saisir le point commun entre les deux temps précédents: dans les deux cas, le beau semble dépendre de quelque chose d’externe au sujet, cependant si je ressens un plaisir esthétique, ce n’est pas dans l’objet extérieur qu’il s’agit de chercher les critères décisifs du beau, mais bien chez le sujet lui-même.
Or s’il y a plaisir (esthétique) c’est qu’il y aura eu un désir (subversion du sujet et dialectique du désir), si j’ai du plaisir à boire, c’est que j’aurai eu soif, le plaisir de boire présuppose la soif (sauf pour les boit-sans-soif...) car nous dit Spinoza, nous ne désirons pas une chose parce qu’elle est belle mais nous trouvons des choses belles parce que nous les désirons.
La synthèse au plan dialectique intègre donc les deux propositions qui précèdent (thèse et antithèse) et reprend la position de l’antithèse mais en lui faisant faire un pas de plus, le pas décisif, qui consiste à réintégrer le sujet de l’énonciation dans son énoncé.
Le problème s’en trouve déplacé et ne se pose plus de la même manière, la question ne peut plus se poser comme «qu’est-ce que le Beau» mais: «qu’est-ce que, toi, tu appelles le Beau?»
C’est la manière de questionner propre à Socrate qui fait passer la question du plan objectif «qu’est ce qu’une chose?» au plan du sujet «qu’appelles-tu, toi, cette chose?», rappelant que ce sont toujours à des mots que nous avons affaire a priori, et que chaque sujet est à considérer dans sa singularité absolue.
Voilà pourquoi Lacan considère Socrate comme le premier psychanalyste («l’hystérie géniale de Socrate») et Hegel comme «le plus sublime des hystériques»...
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Romancier, critique, historien..., Léon Bloy est surtout connu comme polémiste. Son œuvre apparaît comme celle d'un poète, formé par le romantisme et contemporain des grandes ambitions symbolistes.
Né à Périgueux, Léon Bloy alla très tôt vivre à Paris, mais ne publia son premier ouvrage qu'à près de quarante ans, en 1884. Il vécut jusque-là d'un modeste emploi de dessinateur, tout en fréquentant le petit groupe d'écrivains qui gravitait autour de Barbey d'Aurevilly. Il fut aussi, alors, l'ami de Huysmans, de Villiers de l'Isle-Adam, de Verlaine... Converti par Barbey en 1869, initié par l'abbé Tardif de Moidrey aux méthodes exégétiques, dont il tire tout un « symbolisme » de l'histoire, il prépare lointainement, dès cette époque, certains de ses ouvrages. Aussi sa carrière littéraire, pour brève qu'elle soit, est-elle marquée par une trentaine de livres importants.
Ses difficultés financières ont fait naître une sorte de légende, qu'il entretenait volontiers, celle du « mendiant ingrat ». L'homme était bon, en réalité, mais passionné, hanté par l'absolu, d'une intransigeance farouche. Dans ses dernières années, il exerça une influence profonde sur un petit groupe d'amis, parmi lesquels on pourrait citer Jacques et Raïssa Maritain, Georges Rouault, Georges Auric...
On peut aborder son œuvre par ses grands thèmes, ou la décrire d'abord dans sa variété. Critique littéraire, par nécessité, Léon Bloy a pratiqué, avec une étonnante vigueur, l'« éreintement », condamnant pêle-mêle Zola, Huysmans, Renan, Coppée, Bourget, Barrès, réservant son admiration à Barbey d'Aurevilly, à Verlaine, à Villiers, à Baudelaire. Ses articles ont été repris, en particulier, dans les Propos d'un entrepreneur de démolitions et dans Belluaires et Porchers. Romancier et conteur, il le fut de manière très personnelle, inventant peu, reprenant sa propre vie dans Le Désespéré (1887) ou La Femme pauvre (1897), utilisant dans les Histoires désobligeantes des événements réels, des personnages qu'il avait connus, dans Sueur de sang des épisodes authentiques de 1870 ; l'imagination transfigure plus qu'elle ne transpose et, derrière l'anecdote, suggère une interprétation. Son goût le plus profond le portait vers l'histoire, qu'il traite d'une manière romantique et symbolique, allant aux héros malheureux, Christophe Colomb, « le Révélateur du Globe », Napoléon, Jeanne d'Arc, Louis XVII ou Marie-Antoinette, cherchant à leur vie une signification religieuse et presque prophétique. Grand peintre au reste, éblouissant souvent dans L'Âme de Napoléon, Constantinople et Byzance, Le Fils de Louis XVI. D'autres œuvres sont plus nettement religieuses, mais toujours enracinées dans la réalité immédiate d'où jaillissent l'élan poétique et l'exégèse : Le Sang du pauvre, réflexion sur la misère, Les Méditations d'un solitaire en 1916, Dans les ténèbres. Il a enfin publié, régulièrement, depuis 1892, son Journal, reprise fragmentaire d'un « journal intime » demeuré inédit.
La diversité apparente masque l'unité réelle et profonde de cette œuvre, qui réside dans la notion même d'« exégèse », d'interprétation du « réel » ; aussi rejoint-elle par ses intentions tout un courant littéraire. S'appuyant sur l'affirmation répétée dans la Bible que tout est image, symbole, Léon Bloy poursuit à l'extrême les conséquences de cette idée : tout événement, tout être, toute chose « signifie » ; nous vivons dans un univers qui est autre qu'il ne paraît, nous contemplons « le grand miroir aux énigmes ». L'art et la littérature ne peuvent se fixer d'autre but que cette tentative, proprement désespérée, pour « déchiffrer les signes ». L'histoire, les œuvres des autres, sa propre vie même (dans son œuvre romanesque ou son Journal), les aphorismes de la sagesse bourgeoise, dans L'Exégèse des lieux communs, sont la matière de cette recherche, les apparences qui cachent la seule réalité. Mais Léon Bloy n'a pas l'outrecuidance, ou la simplicité, de croire que l'homme, fût-il artiste et chrétien, peut comprendre ; tout au plus peut-il, par les mots, suggérer, rendre sensible la « présence du mystère ». Sa conception de la littérature est donc celle d'un poète ; il en avait pleinement conscience : « Personne n'a dit que je suis un poète, rien qu'un poète, que je vois les hommes et les choses en poète tragique ou comique et que par là tous mes livres sont expliqués. Je vous livre ce secret. »
Le mot peut étonner lorsqu'on connaît seulement de Bloy ce qui frappe à la première lecture : sa violence. Elle est bien le trait le plus constant de son œuvre et le fond même de sa sensibilité ; ne se reconnaît-il pas « une nature incendiaire » ? Mais il avoue aussi « une surprenante avidité de tendresse humaine ». Cette violence n'est pas brutalité, mais passion, et naît d'un constant conflit entre le désir et la réalité, entre ce qu'il rêve et ce qu'il obtient, entre ce qu'il se rêve et ce qu'il est. Le Désespéré et La Femme pauvre éclairent mieux que toute autre œuvre ces réactions et en font saisir les aspects les plus contradictoires. La polémique même, aussi brutale soit-elle, vient d'une déception plus que d'une opposition qu'on pourrait croire systématique. La tendresse contrariée fixe quelques-uns des thèmes clés de son œuvre : la souffrance, la révolte, l'impatience, l'attente, le rêve d'une apocalypse, en même temps qu'elle détermine une esthétique.
Poète, Léon Bloy l'est dans la véhémence, l'exagération. « Pour dire quelque chose de valable, aussi bien que pour donner l'impression du Beau, il est indispensable de paraître exagérer, c'est-à-dire de porter son regard au-delà de l'objet. » Ce texte définit une vision du réel qui est, selon Bloy, celle de l'artiste, accentuant les traits, forçant les oppositions. On y trouve aussi l'indication d'un style. Il aimait, pour parler du sien, en évoquer « la richesse barbare », « l'exaspération », « la frénésie », ce qui en marque assez justement les rythmes, le vocabulaire, les contrastes qui constituent pour lui un effet fondamental : de l'extrême recherche à l'expression basse, de la vulgarité voulue à la noblesse. Il s'agit pour l'écrivain, disait-il, rejoignant par là nombre de ses contemporains, de retrouver « la puissance des mots humains ».
— Jacques PETIT
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Comment obtenir des tonnes de match sur OK Cupid
Si vous êtes à la recherche de l'amour en ligne, vous avez probablement déjà entendu parler de OK Cupid. Cette plateforme de rencontres en ligne est populaire pour sa large base d'utilisateurs et son algorithme de compatibilité sophistiqué qui permet de trouver des personnes partageant les mêmes intérêts et les mêmes valeurs. Cependant, avec tant de profils sur la plateforme, comment pouvez-vous vous assurer que votre profil se démarque et attire l'attention des autres utilisateurs ? Dans cet article, nous allons partager avec vous quelques astuces pour obtenir des tonnes de matchs sur OK Cupid.
Utilisez des photos de qualité
La première chose que les utilisateurs de OK Cupid voient de votre profil sont vos photos. Il est donc essentiel de choisir des photos de qualité qui vous mettent en valeur. Assurez-vous de choisir des photos claires et nettes qui montrent votre visage, votre corps et vos centres d'intérêt. Évitez les selfies flous ou les photos de groupe confuses, car cela pourrait donner une mauvaise impression à vos matchs potentiels.
Remplissez votre profil avec soin
Un profil complet et bien rempli augmente vos chances d'obtenir des matchs sur OK Cupid. Profitez de l'occasion pour partager votre personnalité, vos passe-temps et vos centres d'intérêt. N'ayez pas peur d'être honnête et authentique, car cela peut aider à attirer des personnes qui partagent les mêmes valeurs que vous.
Soignez votre bio
Votre bio est l'occasion de vous présenter de manière concise et amusante. Utilisez votre bio pour montrer votre personnalité et votre sens de l'humour. Évitez les clichés et les généralités, car cela ne vous aidera pas à vous démarquer de la foule. Écrivez une bio originale qui vous montre sous votre meilleur jour.
Utilisez des filtres de recherche
OK Cupid propose une variété de filtres de recherche pour vous aider à trouver des matchs qui répondent à vos critères. Utilisez ces filtres de manière stratégique pour affiner votre recherche et trouver des personnes qui partagent les mêmes intérêts et valeurs que vous. Cela vous aidera à éviter les correspondances qui ne sont pas pertinentes pour vous et à trouver des personnes avec qui vous avez de véritables points communs.
Soyez actif sur la plateforme
Pour obtenir des tonnes de matchs sur OK Cupid, vous devez être actif sur la plateforme. Assurez-vous de consulter régulièrement votre profil, de répondre aux messages et de rechercher de nouveaux matchs. Cela montre aux autres utilisateurs que vous êtes intéressé par la recherche de relations amoureuses et que vous êtes prêt à investir du temps et de l'énergie dans le processus.
En conclusion, obtenir des tonnes de matchs sur OK Cupid n'est pas une tâche facile, mais avec ces astuces, vous pouvez augmenter vos chances de trouver des personnes qui partagent les mêmes intérêts et valeurs que vous. Assurez-vous de choisir des photos de qualité, de remplir votre profil avec soin, de soigner votre bio, d'utiliser des filtres de recherche et d'être actif sur la plateforme. Bonne chance dans votre quête pour trouver l'amour en ligne !
Gardez également à l'esprit que la patience est essentielle lorsqu'il s'agit de rencontres en ligne. Trouver la bonne personne peut prendre du temps, alors ne vous découragez pas si vous ne trouvez pas immédiatement des correspondances qui répondent à vos critères.En fin de compte, le succès sur OK Cupid dépend de la façon dont vous vous présentez sur la plateforme. En choisissant soigneusement vos photos, en remplissant votre profil avec soin, en écrivant une bio intéressante et en étant actif sur la plateforme, vous augmenterez vos chances d'attirer l'attention de personnes qui partagent les mêmes intérêts et valeurs que vous. Avec un peu de patience et de persévérance, vous pourriez bien trouver l'amour de votre vie sur OK Cupid.
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Du reste, mes exaltations étaient et demeurent authentiques, elles n'avaient, elles n'ont plus, rien de littéraire. Des affres de ma solitude, je n'ai jamais tiré une ligne, je ne m'en suis jamais réjoui. Je n'en avais pas besoin ; quand I'expérience est profonde, elle ne cherche pas l'expression refléchie, la communication. Je n'ai jamais pensé non plus être la seule personne sujette à de tels états. Le phénomène doit etre ancien, puisqu'en des temps lointains on parlait déja de " péché pour lequel il n'existe pas de pardon".
Dissipatio H.G - Guido Morselli
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