#ceux qui font les révolutions à moitié n'ont fait que se creuser un tombeau
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mikrokritik · 8 years ago
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#77  Ceux qui font les révolutions à moitié n'ont fait que se creuser un tombeau   (Those Who Make Revolutions Halfway Only Dig Their Own Graves)
If you're revolting against decrepit structures you better start breaking the established boundaries of your chosen medium. In that respect the filmmakers behind Those Who Make Revolutions Halfway showcase higher consistency in form than in writing. Those Who Make Revolutions Halfway is a cacophonic multidisciplinary anarchist cinematic opera fuelled by theory and sparked alive by four electrifying leads lending their impressive physical presence to a set of revolutionaries just barely surpassing the clichee. Ultimately their self-flagellation in the name of revolution, their collective paranoia, their violence in reaction to provoked hostility is the long-familiar tale of a revolution fought out of privileged boredom as opposed to actual suffering.
--- laura
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vistavision · 7 years ago
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Mon top cinéma 2017
1-PATERSON de Jim Jarmush
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"Durant une semaine, dans une petite ville du New Jersey, la routine réglée au quart de tour d'un chauffeur d'autobus, poète à ses heures."
Le film parfait. C'est doux, mesuré, rien ne dépasse. Comme ces poèmes aux mots bien pesés par Patersen. Comme ce couple formé par les persos d'Adam Driver et de Golshifteh Farahani où l'harmonie semble régner d'un équilibre entre ce qui n'est pas dit, et ce qui est exprimé. Toute la simplicité de ce film vient de cette mesure subtile entre « taire l'inutile » et « exprimer le nécessaire ».
Ce film, c'est le calme absolu. Mais un calme qui réussi à te captiver par la menace sourde qu'il fait forcément exister, celle où un malheur hypothétique viendrait saboter ce ballet du quotidien. Du lundi au lundi, le week-end prend ici la valeur d'un doux climax. C'est la barre de métal prise dans l'engrenage du véhicule de ce chauffeur d'autobus la semaine. C'est le moment où tout s'arrête, où tout est possible, ou rien n'est possible. 2-SONG TO SONG de Terrence Malick 
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"Une guitariste d'Austin, qui a cédé aux avances de son producteur par opportunisme, tombe amoureuse du séduisant auteur-compositeur que celui-ci vient de prendre sous son aile." Encore une fois, Terrence Malick m'émeut. Après l’errance somnambulesque dans l'Hollywood de Knight of Cups, Song to Song s'intéresse de façon halluciné à l'univers du rock et à ses personnages désireux de toucher la flamme, hachant le temps d'un désir à un autre comme l'on passe d'une chanson à une autre, comme si rien à part les désirs consommés n'avait d'importance. On étouffe souvent de suivre cette caméra témoigner d'autant de vide, radotant la vie circulaire de victimes consentantes et de gens de pouvoirs manipulateurs. Mais le film finit par trouver grâce après une suffocation nécessaire en cohérence avec le propos.
3-THE SQUARE de Ruben Östlund
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"Alors qu'il prépare une exposition sur le thème de l'altruisme, un conservateur de musée subit un vol qui l'amène à prendre des décisions regrettables et à poser des gestes égoïstes." Dans ce film de Ruben Östlund, le Square fait parti d'une installation d'un Musée de Stockholm qui propose aux clients d'expérimenter une zone délimité par un carré blanc lumineux à l'intérieur duquel toute personne serait en paix, protégé du monde extérieur. Ruben Östlund utilise ce concept et l'applique au cinéma lui-même en recréant ce carré de sécurité entre le spectateur et l'écran. Sauf qu'il prend un malin plaisir à le briser dans chacune des scènes, jusqu'à créer l'inconfort. C'est un film résolument pervers qui s'amuse avec nous. Ça tire d'ailleurs dans tous les sens. Toutes les frontières sont brisés ; celle de l'art, des classes sociales, des médias, de la morale bien-pensante. L'exploit du film est de réussir à garder une direction assurée malgré les tirs disparates. Car tout est ramené à une chose, l'hypocrisie de nos rapports, autant entre humains qu'avec nos créations. Ces rapports sans cesse ballottés entre le désir de confort et celui d'être ébranlé. Qu'est-ce qui fait une œuvre d'art ? À qui l'art s'adresse ? L'art doit-il se faire plus grand que son peuple, ou bien doit-il rester à sa hauteur? Est-ce que l'art doit porter un message ? À quel moment l'art devient condescendant ou, à l'inverse, trop naïf? The Square à le courage de tenter d'y répondre tout en s'en amusant. Car le film se piégeait lui-même dès le départ en scrutant à la loupe ce qui motive la création. Il aurait pu paraître aussi prétentieux et racoleur que ce qu'il dénonce. Mais le film, tout en étant méchant, choquant et cynique, n'oublie jamais d'être humain et tendre. C'est cette parcelle d'humanité que The Square semble chercher dans ses personnages, piégés dans ce carré qui génère autant le confort que le chaos. Au fond, derrière sa posture parfois rebelle, The Square est plein d'espoir.
4-STAR WARS: THE LAST JEDI de Rian Johnson
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"Pendant que la Résistance se prépare à une nouvelle attaque de l'Empire, la jeune rebelle Rey, bien qu'attirée par le sombre Kylo Ren, part quérir l'aide du maître Jedi Luke Skywalker." La critique de Panorama Cinéma par Mathieu-Li Goyette est parfaite. Elle dit mieux que je ne l'aurais fait tout ce que je pense de ce Star Wars absolument stimulant. « "Le résultat est audacieux, à la fois choquant par sa nouveauté et émouvant dans son évidence ; Johnson nous explique patiemment qu’il faut savoir exister en dehors de ce qui nous aurait toujours défini (la famille, la religion, le genre, le style), qu’il faut non plus chercher la différence dans la répétition mais qu’il faut embrasser cette différence comme une force d’auto-détermination dans un monde nécrosé par la nostalgie. Il s’agit du premier Star Wars qui nous apprenne à vieillir plutôt qu’à grandir, le premier à intégrer les fans à son récit afin de leur montrer leurs tares et à faire de leurs obsessions des éléments réflexifs qui discourent à la fois sur la série et sur l’état actuel de la culture. Si The Last Jedi est le premier épisode à en accomplir autant, c’est justement parce qu’il sait agir et que, dans l’acte, il parvient à filmer la réunion du public et d’un récit, d’un héritage et de son avenir." http://www.panorama-cinema.com/V2/critique.php?id=1417 
5-LA RÉSURRECTION D'HASSAN de Carlo Guillermo Proto
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"Gagnant leur vie en chantant dans le métro de Montréal, un couple et leur fille, tous trois aveugles, suivent les enseignements d'un mystique russe, dans l'espoir de ressusciter le fils voyant de la famille, qui s'est noyé il y a 13 ans." Ce documentaire est weird! Mais c'est aussi l'une des belles curiosités de l'année 2016. Mon film choc. Par son dispositif de caméra direct filmant dans l'intimité des sujets marginaux qui ne peuvent percevoir du regard les caméras qui les suivent (ils sont aveugles), ce film nous montre paradoxalement une famille dans ce qu'elle a de plus naturelle (alors qu'au départ, elle nous apparaît rebutante et bizarre). Il faut dire aussi que les thèmes du film tournant autour de la foi et du deuil touchent à l'universalité. Ce qui rend le film si particulier, c'est que la foi y est abordée d'une façon très légitime à travers des personnages qui ne peuvent voir et qui par conséquent n'ont pas le choix de croire et de développer sans limites leur intellect et leur imaginaire, s'accrochant à la musique, mais aussi à l'idée de la résurrection, (poussés par l'incapacité d'accepter la mort d'un fils qu'ils n'ont pas vu mourir concrètement). Ce qui choque pour un voyant qui regarde ce film, c'est qu'il nous pousse à observer les limites de notre propre faculté de voir toutes choses (et ainsi de douter de tout).
6-LADY MACBETH de William Oldroyd
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"Dans l'Angleterre rurale du 19e siècle, une jeune femme mal mariée commet l'irréparable afin de pouvoir vivre librement sa liaison avec un palefrenier." Il s'agit peut-être ici d'une des meilleures « premiere oeuvre de réalisateur » que j'ai vu. « La caméra dans Lady Macbeth présente à plusieurs reprises des corps sans tête, le cadre coupant à hauteur du cou, insistant sur les postures (souvent raides) des personnages. Tout, qu'il s'agisse du décor, de l'intrigue ou de l'héroïne, rappelle le cinéma d'horreur - et pourtant Lady Macbeth n'est jamais traité comme tel. Dans cet univers froid comme un tombeau naissent pourtant un désir viscéral, une ouverture vers le romanesque avec la liaison passionnée de l'héroïne et d'un jeune homme bien plus avenant que son croque mort de mari. Encore une fois, Oldroyd a plus d'un tour dans son sac. L'une des grandes réussites du scénario écrit par Alice Birch est son habileté à jouer d'une part avec les attentes comme on l'a évoqué, mais aussi avec les ruptures de ton. C'est un film d'horreur qui n'en est jamais un ; c'est un drame costumé... qui ressemble de plus en plus à une comédie noirissime au très mauvais esprit. Car la méchanceté de Lady Macbeth semble sans limite. Elle n'est pas en roue libre pour autant: plus le film est méchant, plus son héroïne est ambiguë, et plus on s'attache à elle. Voilà un tour de passe-passe pas évident: le récit est à la fois glaçant et jubilatoire et, à partir de personnages enfermés dans leur condition, ne se limite jamais à une seule note - à l'image du dénouement où à la haine misogyne succède le mépris de classe. Porté par une jeune actrice épatante (Florence Pugh), Lady Macbeth est une belle révélation. » -Nicolas Bardot (filmdeculte) 7-LA PETITE FILLE QUI AIMAIT TROP LES ALLUMETTES de Simon Lavoie
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"Tu sais, notre père, il nous a façonné de ses mains dans l'argile." Extrait de ce monumental morceau de cinéma qu'est La Petite fille qui aimait trop les allumettes, adaptation libre de l'oeuvre de Gaétan Soucy par Simon Lavoie qu'on pourrait presque méprendre pour un conte des frères Grimm dans la ruralité québécoise d'antan, une sorte d'affabulation métaphorique de cette époque où on ne semblait reconnaître l'importance d'une mère au sein d'une société patriarcale . Au programme; une monstrueuse bête attachée dans le hangar à bois, des oiseaux enflammés, de l'inceste, de la répression teintée de religion, une illumination sexuelle à dos de cheval sur des chants mystiques, de l'esthétisme en noir et blanc flirtant avec l'expressionnisme allemand et le cinéma de Bergman. Tout de ce film est absolument enthousiasmant. J'en suis ressorti sur les fesses après plusieurs rebonds. Et Simon Lavoie est à partir de maintenant l'un des cinéastes québécois les plus importants à mes yeux. 8-YOUR NAME de Makoto Shinkai 
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"Mitsuha est une étudiante qui vit à la campagne et rêve de Tokyo. Taki est lui un étudiant de Tokyo qui travaille à temps partiel dans un restaurant mais s'intéresse à l'architecture et aux arts. Un beau jour (ou peut-être une nuit), Mitsuha rêve qu'elle est un jeune homme tandis que Taki rêve qu'il est une jeune étudiante vivant à la campagne. Quels secrets se cachent derrière leurs rêves ?" YOUR NAME, le nouveau japanimation de Makoto Shinkaï, peut aisément se glisser dans la liste des meilleurs films d'animation jamais produits (aux côtés des oeuvres les plus complexes de Miyazaki). De plus, ce film prouve une fois de plus que Shinkaï est un auteur à part entière avec ses broderies soigneusement reliés aux thèmes de ses films précédents, 5 Centimeters Per Second, Children who Chase Lost Voices et The Place Promised by Our Early Days. "Les cordes tressées que nous fabriquons sont l'art du dieu et représentent le flux du temps lui-même. Ils convergent et se forment. Ils se tordent, s'emboîtent, se démêlent parfois, se cassent, puis se relient. C'est le temps lui-même." 9-CEUX QUI FONT LES RÉVOLUTIONS À MOITIÉ N'ONT FAIT QUE SE CREUSER UN TOMBEAU de Simon Lavoie et Mathieu Denis
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"Au lendemain du printemps érable, quatre jeunes poursuivent à leur manière la lutte contre l'ordre établi et le néolibéralisme." À mon avis CEUX QUI FONT LES RÉVOLUTIONS À MOITIÉ N'ONT FAIT QUE SE CREUSER UN TOMBEAU de Mathieu Denis et Simon Lavoie percute en siouplaît! C'est comme un genre de péplum contemporain se déroulant au Québec après le printemps érable. On a les mêmes éléments que dans le péplum: le prologue musical de 5 minutes sur fond noir, la musique classique, la théâtralité de certaines séquences, l'esthétisme orgiaque, l'intermission. Tout ça à la sauce contemporaine: caméra portée, photo naturaliste. Ça dure 3 heures comme Spartacus, mais tu ne sens pas le temps passer tellement c'est intense et fascinant esthétiquement. Les acteurs, tous de nouveaux visages (dont une actrice transgenre), se donnent à corps déployé. C'est un film mal élevé, lucide, ambiguë, dur, qui a le mérite de ne pas prendre position et d'observer les révolutions de l'extérieur (au point où la production du film a dû essuyer le vandalisme d'anciens partisans du printemps érable qui aurait lu le propos du film à leur désavantage). 
10-MOTHER! de Darren Aronovsky
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"L'existence tranquille à la campagne d'un poète en panne d'inspiration et de sa jeune femme enceinte est perturbée par un afflux d'étrangers aux motifs divers." Ce film réalisé par Darren Aronovsky et interprété par sa femme Jennifer Lawrence synthétise de façon plutôt honnête tout ce qui peut lier pour le pire un créateur à sa muse. S'agit-il de l'aveu d'échec de la collaboration passée entre Aronovsky et son ancienne muse Rachel Weisz? Nous n'en saurons rien. "mother!" est-il un moyen pour Aronovsky de se dédouaner de quelques démons passés à l'aube d'un nouveau cycle créatif avec Lawrence ? Nous n'en saurons rien non plus. Mais ces questions troublantes planent certainement au long de ce film et le rendent aussi douteux que fascinant. J'ai trouvé très marrante et juste la critique de Sylvain Lavallée pour Panorama Cinéma : « Jennifer Lawrence, par sa manière de s’emparer des rôles qu’on lui présente, nous inspire et nous émeut par sa résistance extraordinaire à la médiocrité qui l’entoure (y compris la médiocrité de la grande majorité des films auxquels elle participe), et se dresse ainsi comme la représentante d’un nouveau monde qui s’oppose à la médiocrité de celui qui l’a vu naître : en se substituant à la mère absente/manquée, elle enfante notre devenir, et il en revient à nous de s’en montrer dignes. mother!, en ce sens, inverse très exactement tout ce que Jennifer Lawrence représente, en la montrant passive, incapable de résister à ce que le Poète lui impose, incapable de protéger son enfant, incapable d’opposer un projet d’existence personnel à celui, médiocre et vain, que le Poète suggère, alors la médiocrité s’empare du monde, dégénère et débouche sur un cataclysme cauchemardesque ne laissant aucune place à l’avenir, sauf à une vaine répétition du même cycle de destruction. En somme, mother! nous présente ce qu’il advient d’un monde qui ne sait pas reconnaître Jennifer Lawrence. » Les oubliés de mon top qui valent le détour: -TUKTUQ de Robin Aubert -THE SENIOR CLASS de Hong Deok-pyo -BABY DRIVER de Edgar Wright -THE SHAPE OF WATER de Guillermo Del Toro -ALIEN: COVENANT de Ridley Scott -PETIT PAYSAN de Hubert Charuel -AMERICAN MADE de Doug Liman -THE KILLING OF THE SACRED DEER de Yorgos Lanthimos -MA LOUTE de Bruno Dumont -THE DISASTER ARTIST de James Franco -LOGAN de James Mangold -NAPPING PRINCESS de Kenji Kamiyama -LA TORTUE ROUGE de Michaël Dudok de Wit
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motschoisis · 7 years ago
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Ceux qui font les révolutions à moitié n'ont fait que se creuser un tombeau, Simon Lavoie & Mathieu Denis, 2016.
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extrabeurre · 8 years ago
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Gala Québec Cinéma : JUSTE LA FIN DU MONDE et TWO LOVERS AND A BEAR partent en tête
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Les films Juste la fin du monde de Xavier Dolan, et Two Lovers and a Bear de Kim Nguyen, sont tout deux en tête avec 12 nominations. Québec Cinéma dévoilait aujourd'hui les nominations de l’édition inaugurale du nouveau Gala Québec Cinéma (animé le dimanche 4 juin par Guylaine Tremblay et Édith Cochrane) et de son prédécesseur, le Gala des artisans Québec Cinéma (animé le jeudi 1er juin par Léane Labrèche-Dor et Pier-Luc Funk), où seront remis les premiers prix Iris (une création du sculpteur Marc-Antoine Côté)
Ségolène Roederer, directrice générale de Québec Cinéma : 
« Nous sommes très heureux de proposer une formule Gala complètement renouvelée. Nouveau trophée, nouvelles catégories de prix et deux événements plutôt qu'un pour célébrer notre cinématographie et rejoindre davantage le public pour promouvoir nos talents. »
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Juste la fin du monde de Xavier Dolan et Two Lovers and a Bear de Kim Nguyen sont en tête avec 12 nominations. Suivent de près Embrasse-moi comme tu m'aimes d'André Forcier et Les mauvaises herbes de Louis Bélanger, avec chacun 9 nominations. Avant les rues de Chloé Leriche a quant à lui 8 nominations.
Voici la liste complète des nominations :
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MEILLEUR FILM
Avant les rues - Les Films de l'Autre - Chloé Leriche Ceux qui font les révolutions à moitié n'ont fait que se creuser un tombeau - Art & Essai - Hany Ouichou Juste la fin du monde - Sons of Manual - Sylvain Corbeil, Xavier Dolan, Nancy Grant | MK Productions - Elisha Karmitz, Nathanaël Karmitz, Michel Merkt Les mauvaises herbes - Coop Vidéo de Montréal - Lorraine Dufour, Luc Vandal Two Lovers and a Bear - Max Films - Roger Frappier | JoBro Productions - Jonathan Bronfman | North Creative Films - Ellen Hamilton
MEILLEURE RÉALISATION
Louis Bélanger - Les mauvaises herbes Bachir Bensaddek - Montréal la blanche Xavier Dolan - Juste la fin du monde Chloé Leriche - Avant les rues Kim Nguyen - Two Lovers and a Bear
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MEILLEUR SCÉNARIO
Louis Bélanger, Alexis Martin - Les mauvaises herbes Bachir Bensaddek - Montréal la blanche André Forcier, Linda Pinet - Embrasse-moi comme tu m'aimes Chloé Leriche - Avant les rues Kim Nguyen - Two Lovers and a Bear
MEILLEURE INTERPRÉTATION | PREMIER RÔLE FÉMININ
Karina Aktouf (Kahina) - Montréal la blanche Nathalie Baye (la mère) - Juste la fin du monde Emmanuelle Lussier-Martinez (Ordine Nuovo) - Ceux qui font les révolutions à moitié n'ont fait que se creuser un tombeau Mylène Mackay (Nelly) - Nelly Tatiana Maslany (Lucy) - Two Lovers and a Bear
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MEILLEURE INTERPRÉTATION | PREMIER RÔLE MASCULIN
Gabriel Arcand (Pierre) - Le fils de Jean Dane DeHaan (Roman) - Two Lovers and a Bear Antoine Olivier Pilon (Tim) - 1:54 Émile Schneider (Atilla) - Là où Atilla passe Gaspard Ulliel (Louis-Jean Knipper) - Juste la fin du monde
MEILLEURE INTERPRÉTATION | SECOND RÔLE FÉMININ
Céline Bonnier (Yvonne Sauvageau)- Embrasse-moi comme tu m'aimes Marion Cotillard (Catherine) - Juste la fin du monde Emmanuelle Lussier-Martinez (Francesca) - Les mauvaises herbes Léa Seydoux (Suzanne Knipper)- Juste la fin du monde Cynthia Wu-Maheux (Julie) - L'origine des espèces
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MEILLEURE INTERPRÉTATION | SECOND RÔLE MASCULIN
Guillaume Cyr (Benoît Charistéas) - La nouvelle vie de Paul Sneijder Martin Dubreuil (Michel)- Maudite poutine Tony Nardi (Elio Moreli)- Embrasse-moi comme tu m'aimes Luc Picard (Patenaude)- Les mauvaises herbes Simon Pigeon (Jean-Sé) - Prank
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RÉVÉLATION DE L'ANNÉE
Rykko Bellemare (Shawnouk) - Avant les rues Étienne Galloy (Stefie) - Prank Whitney Lafleur (Jessie) - Écartée Sasha Migliarese (Mérédith) - Mon ami Dino Kakki Peter (Sheriff John Tovok)- Two Lovers and a Bear
MEILLEURE DISTRIBUTION DES RÔLES
Lucie Robitaille (Casting Lucie Robitaille) | Heidi Levitt - Two Lovers and a Bear Emanuelle Beaugrand-Champagne | Nathalie Boutrie (Casting NB) - Les mauvaises herbes Xavier Dolan (Sons of Manual) - Juste la fin du monde
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MEILLEURE DIRECTION ARTISTIQUE
Jean Babin- Chasse-galerie : la légende Éric Barbeau- Ceux qui font les révolutions à moitié n'ont fait que se creuser un tombeau Patrice Bengle- Embrasse-moi comme tu m'aimes Dominique Desrochers- Nitro Rush David Brisbin, Isabelle Guay, Jean-Pierre Paquet- Race
MEILLEURE DIRECTION DE LA PHOTOGRAPHIE
Glauco Bermudez - Avant les rues Nicolas Bolduc - Two Lovers and a Bear Josée Deshaies - Nelly Tobie Marier Robitaille - Nitro Rush André Turpin - Juste la fin du monde
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MEILLEUR SON
Pierre-Jules Audet, Luc Boudrias, Claude La Haye - Race Claude Beaugrand, Bernard Gariépy Strobl, Claude La Haye - Two Lovers and a Bear Sylvain Bellemare, Stéphane Bergeron, Martyne Morin - Avant les rues Stéphane Bergeron, Martin Desmarais, Marie-Claude Gagné - Nitro Rush Olivier Calvert, Stephen De Oliveira, Hans Laitres - Maudite poutine
MEILLEUR MONTAGE
Jean-François Bergeron - Les 3 p'tits cochons 2 Richard Comeau - Two Lovers and a Bear Mathieu Denis - Ceux qui font les révolutions à moitié n'ont fait que se creuser un tombeau Chloé Leriche, avec la collaboration de Natalie Lamoureux - Avant les rues Jules Saulnier - Écartée
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MEILLEURS EFFETS VISUELS
Artifex Animation Studios - Marc Hall - Le cyclotron Fly Studio - Jean-Pierre Boies, Mathieu Jolicœur, Jean-François Talbot - King Dave MELS - Martin Lipmann, Cynthia Mourou, Benoît Touchette - Race Rodeo FX - Daniel Lavoie, André Montambeault - Two Lovers and a Bear John Tate - Embrasse-moi comme tu m'aimes
MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE
Guy Bélanger - Les mauvaises herbes Thierry Amar, David Bryant, Kevin Doria - Maudite poutine Frannie Holder, Charles Lavoie, Vincent Legault (Dear Criminals) - Nelly Martin Léon - Embrasse-moi comme tu m'aimes Robert Marcel Lepage - Avant les rues
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MEILLEURS COSTUMES Caroline Bodson- Boris sans Béatrice Francesca Chamberland- Chasse-galerie : la légende Mario Davignon- Race Sophie Lefebvre- Les mauvaises herbes Madeleine Tremblay- Embrasse-moi comme tu m'aimes
MEILLEUR MAQUILLAGE Djina Caron- Nelly Claire De Ernst- Embrasse-moi comme tu m'aimes Nicole Lapierre- Chasse-galerie : la légende Maïna Militza- Juste la fin du monde Marlène Rouleau- Nitro Rush
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MEILLEURE COIFFURE Marie-France Cardinal, Véronique-Anne Leblanc- Chasse-galerie : la légende Réjean Goderre- Race Martin Lapointe - Nelly Marcelo Padovani- Embrasse-moi comme tu m'aimes Denis Vidal- Juste la fin du monde
MEILLEUR FILM DOCUMENTAIRE Callshop Istanbul - Hind Benchekroun, Sami Mermer (Les films de la tortue – Hind Benchekroun, Sami Mermer) Chez les géants - Aude Leroux-Lévesque, Sébastien Rist (MC2 Communication Média – Jean-Simon Chartier) Gulîstan, terre de roses - Zaynê Akyol (Périphéria Productions – Yanick Létourneau, Sarah Mannering, Fanny Drew | Office national du film du Canada – Nathalie Cloutier, Denis McCready | mîtosfilm – Mehmet Aktaş) Manoir - Martin Fournier, Pier-Luc Latulippe (Cheval Films – Martin Fournier, Pier-Luc Latulippe) Parfaites - Jérémie Battaglia (Les Productions du Rapide-Blanc – Sylvie Van Brabant)
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MEILLEURE DIRECTION DE LA PHOTOGRAPHIE | FILM DOCUMENTAIRE Jérémie Battaglia - Parfaites John Price - I Am the Blues Sébastien Rist, Aude Leroux-Lévesque - Chez les géants Etienne Roussy - Gulîstan, terre de roses Olivier Tétreault - Manoir MEILLEUR MONTAGE | FILM DOCUMENTAIRE Mathieu Bouchard-Malo - Gulîstan, terre de roses Catherine Legault - La démolition familiale Jean-François Lord - Manoir Sami Mermer - Callshop Istanbul René Roberge - Chez les géants
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MEILLEUR COURT MÉTRAGE | FICTION Mutants - Alexandre Dostie (Art & Essai - Hany Ouichou, Gabrielle Tougas-Fréchette) Oh What a Wonderful Feeling - François Jaros (La Boîte à Fanny - Fanny-Laure Malo, François Jaros) La peau sauvage - Ariane Louis-Seize (Art & Essai - Hany Ouichou, Jeanne-Marie Poulain) Tout simplement - Raphaël Ouellet (Annick Blanc - Annick Blanc) La voce - David Uloth (Productions Sure Shot - David Uloth | L'Unité centrale - Galilé Marion-Gauvin, Dominique Noujeim) MEILLEUR COURT MÉTRAGE | ANIMATION Casino - Steven Woloshen (Steven Woloshen) J'aime les filles - Diane Obomsawin (Office national du film du Canada - Marc Bertrand) Mamie - Janice Nadeau (Office national du film du Canada - Marc Bertrand, Julie Roy | Folimage - Corinne Destombes) Oscar - Marie-Josée Saint-Pierre (Office national du film du Canada - Marc Bertrand | MJSTP Films - Jocelyne Perrier, Marie-Josée Saint-Pierre) Vaysha l'aveugle - Theodore Ushev (Office national du film du Canada - Marc Bertrand)
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PRIX DU PUBLIC 1:54 - Les Films Séville - Cinémaginaire (Denise Robert) | Diane England - Yan England Les 3 p'tits cochons 2 - Les Films Christal - Christal Films Productions (Christian Larouche) - Jean-François Pouliot Juste la fin du monde - Les Films Séville - Sons of Manual (Sylvain Corbeil, Xavier Dolan, Nancy Grant) | MK Productions (Elisha Karmitz, Nathanaël Karmitz, Michel Merkt) - Xavier Dolan Les mauvaises herbes - Les Films Christal - Coop Vidéo de Montréal (Lorraine Dufour, Luc Vandal) - Louis Bélanger Votez Bougon - Aetios Distribution | Remstar Films | Entract Films - Aetios Productions (Fabienne Larouche, Michel Trudeau) - Jean-François Pouliot IRIS HOMMAGE Dévoilement en mai
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FILM S'ÉTANT LE PLUS ILLUSTRÉ À L'EXTÉRIEUR DU QUÉBEC Boris sans Béatrice - Denis Côté (Metafilms - Sylvain Corbeil, Nancy Grant) Juste la fin du monde - Xavier Dolan (Sons of Manual - Sylvain Corbeil, Xavier Dolan, Nancy Grant | MK Productions - Elisha Karmitz, Nathanaël Karmitz, Michel Merkt) Maudite poutine - Karl Lemieux (Metafilms - Sylvain Corbeil, Nancy Grant) Nelly - Anne Émond (Go Films - Nicole Robert) Two Lovers and a Bear - Kim Nguyen (Max Films - Roger Frappier | JoBro Productions - Jonathan Bronfman | North Creative Films - Ellen Hamilton)
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lefilmquimanque-blog · 8 years ago
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Cycle «Pays» dans le cinéma québécois.
Entre le pays et la politique:
Laurentie (2011) de Mathieu Denis et Simon Lavoie ★★☆☆☆
Nuit #1 (2011) d’Anne Émond ★★★★☆
Corbo (2015) de Mathieu Denis ★★☆☆☆
Guibord s’en va-t-en guerre (2015) de Philippe Falardeau ★★★★☆
Miron: un homme revenu d’en dehors du monde (2014) de Simon Beaulieu ★★★☆☆
Pays (2016) de Chloé Robichaud ★★1/2☆☆
Ceux qui font les révolutions à moitié n'ont fait que se creuser un tombeau (2016) de Mathieu Denis et Simon Lavoie ★★1/2☆☆
Les arts de la parole (2016) d'Olivier Godin ★★★★☆ + <3
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vimooz · 8 years ago
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Berlin Film Fest Celebrates 40 Years of Film Programming for Young Audiences, Unveils Kplus Lineup
Charlotte Aubin in Ceux qui font les révolutions à moitié n’ont fait que se creuser un tombeau (Those Who Make Revolution Halfway Only Dig Their Own Graves) von / by Mathieu Denis, Simon Lavoie © Eva-Maude T-Champoux Forty years after the Berlin International Film Festival launched the festival program for the young cineastes, a grand total of 62 short and feature-length films will take part in…
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shiningwizard · 6 years ago
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Those Who Make Revolution Halfway Only Dig Their Own Graves (Mathieu Denis & Simon Lavoie, 2016) corny.
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extrabeurre · 8 years ago
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Neuf nominations pour JUSTE LA FIN DU MONDE de Xavier Dolan aux prix Écrans Canadiens
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Les nominations ont été annoncées en vue du prochain gala des prix Écrans canadiens, qui sera animé par Howie Mandel en direct à CBC le dimanche 12 mars 2017 à 20 h. 
Comme d’habitude, plusieurs films québécois sont finalistes dans différentes catégories, dont Juste la fin du monde de Xavier Dolan (le représentant du Canada aux Oscars), qui a reçu 9 nominations : Meilleur film, Meilleure réalisation, Meilleure adaptation, Meilleure interprétation féminine dans un rôle de soutien (Nathalie Baye),  Meilleure interprétation masculine dans un rôle de soutien (Vincent Cassel), Meilleures images (André Turpin), Meilleurs maquillages (Maïna Militza, Denis Vidal), Meilleur son d’ensemble (François Grenon), Meilleur montage sonore (Sylvain Brassard, Guy Francoeur, Benoit Dame, Guy Pelletier).
Huit nominations pour le film Race de Stephen Hopkins : Meilleur film, Meilleure direction artistique (David Brisbin, Isabelle Guay, Jean-Pierre Paquet), Meilleurs costumes (Mario Davignon), Meilleurs maquillages (Natalie Trépanier, Réjean Goderre), Meilleur son d'ensemble (Claude La Haye, Luc Boudrias, Pierre-Jules Audet), Meilleur montage sonore (Pierre-Jules Audet, Jérôme Décarie, Michelle Cloutier, Stan Sakell, Jean-François Sauvé, Mathieu Beaudin, François Senneville, Luc Raymond, Jean-Philippe Saint-Laurent), Meilleurs effets visuels (Martin Lipmann, Cynthia Mourou, Benoit Touchette, Jonathan Piché-Delorme, Frédéric Breault) et Meilleure interprétation masculine dans un premier rôle (Stephan James). 
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Parmi les autres films québécois qui se distinguent, il y a aussi Ceux qui font les révolutions à moitié n'ont fait que se creuser un tombeau de Mathieu Denis & Simon Lavoie (Meilleur long métrage canadien au TIFF), en nomination dans les catégories Meilleur film, Meilleure réalisation et Meilleure interprétation féminine dans un rôle de soutien (Gabrielle Tremblay).
Mentionnons également Avant les rues de Chloé Leriche, en lice pour les prix du Meilleur film, de la Meilleure réalisation, de la Meilleure interprétation féminine dans un rôle de soutien (Kwena Bellemare Boivin), de la Meilleure interprétation masculine dans un rôle de soutien (Jacques Newashish), des Meilleures images (Glauco Bermudez) et de la Meilleure chanson originale (Nikan Boivin – “Sokecimoyekw”).
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Les Mauvaises herbes de Louis Bélanger est pour sa part nommé dans les catégories Meilleur film, Meilleure direction artistique (André-Line Beauparlant), Meilleur montage (Claude Palardy) et Meilleur son d’ensemble (Marcel Chouinard, Philippe Lavigne, Stéphane Bergeron, Shaun-Nicholas Gallagher, Louis Collin).
Quatre nominations pour Two Lovers and a Bear de Kim Nguyen : Meilleur montage (Richard Comeau), Meilleure direction artistique (Emmanuel Fréchette), Meilleure musique originale (Jesse Zubot), Meilleurs maquillages (Kathryn Casault)
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Trois nominations pour King Dave de Daniel Grou : Meilleur son d'ensemble (Sylvain Brassard, Michel Lecoufle, Stephen De Oliveira, Nicholas Gagnon), Meilleur montage sonore (Sylvain Brassard, Guy Pelletier, Christian Rivest) et Meilleure chanson originale (Camille Poliquin, Laurence Lafond-Beaulne – “Natalie”).
Deux nominations pour Nelly d'Anne Émond : Meilleures images (Josée Deshaies) et Meilleurs costumes (Patricia McNeil).
Nathalie Doummar représente Pays de Chloé Robichaud en décrochant une nomination dans la catégorie Meilleure interprétation féminine dans un premier rôle.
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Une des catégories les plus excitantes est celle du Meilleur court métrage dramatique où les géniaux Star d’Emilie Mannering, Oh What a Wonderful Feeling de François Jaros et Mutants d'Alexandre Dostie font face à deux autres cours que je n’ai pas encore vus, La Peau sauvage d'Ariane Louis-Seize et A Funeral for Lightning d'Emily Kai Bock.
La liste complète des nominations
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