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#bronchodilatateurs
omagazineparis · 2 months
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Bronchite chronique : votre guide pour respirer à pleins poumons
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La bronchite chronique ne devrait pas être une entrave à votre souffle de vie. Cette affection respiratoire, bien que commune, reste souvent méconnue. C'est pourquoi nous vous proposons un tour d'horizon complet pour vous aider à comprendre, à identifier, et à traiter la bronchite chronique. Comprendre la bronchite chronique : le poumon en péril La bronchite chronique se caractérise par une inflammation des bronches, ces tubes qui transportent l'air de nos narines à nos poumons. Elle est souvent causée par une exposition prolongée à des irritants respiratoires, comme la fumée de cigarette ou la pollution de l'air. Mais alors, comment distinguer cette affection d'une toux tenace ? Symptômes : quand la bronchite se fait sentir Dans la plupart des cas, la bronchite chronique se manifeste par une toux productive qui dure au moins trois mois et se répète sur deux ans consécutifs. Il n'est pas rare de ressentir une gêne respiratoire, voire un essoufflement à l'effort. Parfois, ces symptômes peuvent s'accompagner de sifflements respiratoires, de fatigue ou de crises d'asthme. A lire également : Infections urinaires récurrentes : la bataille méconnue de milliers de femmes Agir contre la bronchite chronique : quels traitements ? Il n'existe pas de traitement définitif pour la bronchite chronique. Cependant, plusieurs options peuvent aider à gérer les symptômes et à améliorer la qualité de vie. Médicaments et thérapies : l'alliance pour vos poumons Des médicaments, comme les bronchodilatateurs et les corticostéroïdes inhalés, peuvent aider à décongestionner les voies respiratoires et à réduire l'inflammation. Parallèlement, la rééducation respiratoire, associée à des exercices physiques adaptés, peut améliorer l'endurance et la capacité respiratoire. Habitudes de vie : votre impact au quotidien Au-delà des traitements médicaux, adopter certaines habitudes peut contribuer à prévenir les crises de bronchite chronique. Arrêter de fumer, éviter les environnements pollués, et maintenir une alimentation équilibrée sont autant de gestes bénéfiques pour vos poumons. Venez en discuter librement sur notre forum Votre parcours vers un souffle sain La bronchite chronique n'est pas une fatalité. En comprenant les causes, en reconnaissant les symptômes, et en adoptant les bons traitements, vous pouvez améliorer votre bien-être et votre respiration. Maintenant que vous avez toutes les clés en main, n'hésitez pas à en parler à votre médecin si vous suspectez une bronchite chronique. Il pourra vous aider à mettre en place un plan d'action adapté à votre situation. Alors, prêtes à respirer à pleins poumons ? Read the full article
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acheterventoline · 8 months
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Acheter ventoline sans ordonnance en France
La Ventoline sans ordonnance, dont le principe actif est le salbutamol, est un médicament bronchodilatateur couramment utilisé pour traiter plusieurs conditions respiratoires, en particulier l'asthme et la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO).
Voici certaines des indications courantes pour l'utilisation de la Ventoline :
Asthme : La Ventoline est fréquemment prescrite pour les personnes asthmatiques. Elle agit en relaxant les muscles des voies respiratoires, ce qui permet une dilatation rapide et temporaire des bronches. Cela facilite la respiration et soulage les symptômes tels que la toux, la respiration sifflante, l'oppression thoracique et l'essoufflement.
Bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) : La Ventoline peut également être utilisée pour les patients atteints de BPCO, une maladie pulmonaire obstructive chronique qui entrave le flux d'air dans les poumons. Elle peut aider à soulager les symptômes aigus tels que l'essoufflement et à améliorer la fonction pulmonaire.
Autres troubles respiratoires obstructifs : La Ventoline peut parfois être utilisée pour d'autres affections respiratoires caractérisées par un rétrécissement des voies respiratoires, comme la bronchiolite chez les jeunes enfants.
Prévention de l'effort induit par l'asthme : Dans certains cas, la Ventoline peut être utilisée avant l'exercice physique ou toute autre activité susceptible de déclencher une crise d'asthme, afin de prévenir ou de réduire les symptômes d'essoufflement et d'oppression thoracique.
Traitement d'urgence des crises d'asthme : La Ventoline peut être administrée en cas de crise d'asthme aiguë pour soulager rapidement les symptômes et rétablir la respiration.
Tests de fonction pulmonaire : Parfois, la Ventoline est utilisée dans le cadre de tests de la fonction pulmonaire pour évaluer la réactivité bronchique et diagnostiquer des problèmes respiratoires.
Acheter ventoline sans ordonnance et profitez de nos prix pas cher avec livraison rapide en France.
Quel est prix Ventoline
Vous trouverez Ventoline prix à partir de 20 € pour l’inhalateur et 0.56 € ventoline comprime prix.
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Sous quelles formes peut-on acheter Ventoline ?
La Ventoline, également connue sous le nom de salbutamol, est un médicament bronchodilatateur largement utilisé pour le traitement de l'asthme et d'autres affections respiratoires. Elle est disponible sous différentes formes pour répondre aux besoins et aux préférences des patients. Voici quelques-unes des formes courantes sous lesquelles la Ventoline peut être trouvée :
Ventoline inhalateur : C'est l'une des formes les plus courantes de la Ventoline. L'inhalateur Ventoline contient une solution de salbutamol qui est libérée sous forme d'aérosol lorsqu'il est activé. Le patient inhale ensuite cet aérosol pour que le médicament atteigne les poumons rapidement. Ventoline inhalateur prix est affiché a 20 € le flacon.
Solution pour nébuliseur : La Ventoline sous forme de solution pour nébuliseur est destinée aux personnes ayant des difficultés à utiliser un inhalateur traditionnel. La solution est transformée en un brouillard fin à l'aide d'un nébuliseur, ce qui permet au patient d'inhaler le médicament plus facilement.
Ventoline comprime : Bien que moins courants que les inhalateurs, des comprimés de salbutamol peuvent également être disponibles. Ils sont généralement utilisés dans des situations spécifiques où l'administration par inhalation n'est pas possible. Ventoline comprimé prix est de 0,53 € l'unité
Sirop : Le sirop de salbutamol est utilisé principalement chez les jeunes enfants ou les personnes qui ont des difficultés à utiliser les inhalateurs. Il permet une administration orale du médicament.
Formes injectables : Dans certaines situations d'urgence, la Ventoline peut être administrée par voie intraveineuse (IV) pour un effet rapide et puissant sur les voies respiratoires.
Mode d’administration et posologie Ventoline
Le mode d'administration et la posologie de salbutamol dépendent de la forme sous laquelle le médicament est prescrit et de la condition médicale du patient. Il est essentiel de suivre les instructions de votre professionnel de la santé pour une utilisation appropriée et sûre.
Cependant, voici des directives générales pour l'administration et la posologie de la Ventoline sans ordonnance dans certaines de ses formes les plus courantes :
Aérosol-doseur (inhalateur) :
Agitez bien l'inhalateur avant chaque utilisation.
Tenez l'inhalateur droit et expirez complètement.
Placez l'embout buccal de l'inhalateur dans votre bouche et serrez les lèvres autour de celui-ci.
Commencez à inhaler lentement et profondément tout en appuyant sur l'inhalateur pour libérer une dose de médicament.
Retenez votre souffle pendant quelques secondes, puis expirez lentement.
Attendez environ 1 à 2 minutes entre les inhalations si vous devez en prendre plusieurs doses.
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a-room-of-my-own · 4 years
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Bon a priori j'ai le covid et je peux vous dire que c'est pas une grippette. C'est une sacrée saloperie. Je vais bien, mais je suis éclatée.
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ouyander · 2 years
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Des chercheurs français ont découvert une nouvelle cible thérapeutique en ce qui concerne le traitement de l'asthme allergique, qui représente la forme la plus importante de cette maladie. Des essais sont bientôt prévus chez des patients. L’asthme est une inflammation chronique des bronches, entrainant leur hyperréactivité à certaines substances. La maladie se manifeste par des crises, sous forme de sifflements et de gênes respiratoires. Selon l'association Asthme & Allergie, il y a plus de 4 millions d’asthmatiques en France et une cause allergique est retrouvée chez 70 à 80% des adultes et chez 95% des enfants atteints. C'est pourquoi des tests cutanés peuvent également être réalisés pour identifier l’allergène en cause. L'Inserm précise quant à lui qu'il s'agit d'un problème majeur de santé publique puisqu'il est responsable de plus de 250 000 morts par an. Des chercheurs de cet institut viennent de mettre en évidence le rôle essentiel d'une protéine appelée "Rac1" dans la contraction du muscle bronchique et dans l’hyperréactivité bronchique associée à l’asthme allergique. Il s'agirait même pour eux d'une piste prometteuse pour soigner les malades, après avoir trouvé comment inhiber cette protéine. Ils ont d'abord voulu déterminer le rôle de Rac1 dans l’hyperréactivité bronchique, en ayant recours à des souris asthmatiques sensibilisées à un allergène, les acariens. Les chercheurs leur ont fait inhaler un inhibiteur de cette protéine et ont constaté que ce geste pouvait prévenir l'hyperréactivité bronchique. De plus, l’inflammation bronchique et l’infiltration de certains globules blancs dans les poumons (qui favorisent l’hyperréactivité bronchique dans l’asthme allergique) sont aussi diminués par l’administration chronique de l’inhibiteur de Rac1. Un traitement en cas de crise mais aussi de fond Les chercheurs ont ensuite mené cette même expérience sur des échantillons de tissus bronchiques humains et ont observé une réduction de 70 à 80% de la contraction bronchique lorsque la protéine Rac1 est inhibée. "Bloquer l’activité de Rac1 permettrait à la fois de limiter la contraction bronchique en cas de crise d’asthme, mais aussi de réduire l’inflammation locale en traitement de fond", précise Vincent Sauzeau, responsable de ces travaux publiés dans The Journal of Allergy and Clinical Immunology. Mais les inhibiteurs utilisés dans ces expériences sont des outils de recherche utilisables uniquement pour des expériences en laboratoire car ils ne possèdent pas tous les critères de sécurité pour l'Homme. C’est pourquoi les chercheurs développent actuellement de nouvelles molécules en association avec le service de pneumologie de l’institut du thorax au CHU de Nantes. C'est dans ce cadre qu'ils viennent d’obtenir un financement pour vérifier ce lien entre l’hyperréactivité bronchique et l’activation anormale de Rac1. Cette fois leur étude portera sur les bronches de patients souffrant d’asthme allergique. Actuellement, 5 à 10% d'entre eux ne sont pas soulagés par les traitements usuels (anti-inflammatoires, bronchodilatateurs). "Si le lien est confirmé, cela validera l’intérêt de poursuivre le développement d’un nouvel inhibiteur de Rac1 à visée thérapeutique chez l’homme. Il serait alors administré par voie inhalée pour une action ciblée dans les bronches." conclut Vincent Sauzeau. Sur le sujet, l'Inserm précise qu'il existe d'autres approches en développement à l'instar de "l’immunothérapie spécifique". "Cette intervention est déjà possible par l’exposition du patient à des extraits protéiques mais les chercheurs tentent d’améliorer la spécificité de la désensibilisation.", explique-t-il. Les chercheurs explorent également la piste de la vaccination préventive qui consiste à injecter en intramusculaire de l’ADN de la substance allergisante, pour éduquer le système immunitaire à la tolérer.
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omagazineparis · 2 months
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Bronchite chronique : votre guide pour respirer à pleins poumons
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La bronchite chronique ne devrait pas être une entrave à votre souffle de vie. Cette affection respiratoire, bien que commune, reste souvent méconnue. C'est pourquoi nous vous proposons un tour d'horizon complet pour vous aider à comprendre, à identifier, et à traiter la bronchite chronique. Comprendre la bronchite chronique : le poumon en péril La bronchite chronique se caractérise par une inflammation des bronches, ces tubes qui transportent l'air de nos narines à nos poumons. Elle est souvent causée par une exposition prolongée à des irritants respiratoires, comme la fumée de cigarette ou la pollution de l'air. Mais alors, comment distinguer cette affection d'une toux tenace ? Symptômes : quand la bronchite se fait sentir Dans la plupart des cas, la bronchite chronique se manifeste par une toux productive qui dure au moins trois mois et se répète sur deux ans consécutifs. Il n'est pas rare de ressentir une gêne respiratoire, voire un essoufflement à l'effort. Parfois, ces symptômes peuvent s'accompagner de sifflements respiratoires, de fatigue ou de crises d'asthme. A lire également : Infections urinaires récurrentes : la bataille méconnue de milliers de femmes Agir contre la bronchite chronique : quels traitements ? Il n'existe pas de traitement définitif pour la bronchite chronique. Cependant, plusieurs options peuvent aider à gérer les symptômes et à améliorer la qualité de vie. Médicaments et thérapies : l'alliance pour vos poumons Des médicaments, comme les bronchodilatateurs et les corticostéroïdes inhalés, peuvent aider à décongestionner les voies respiratoires et à réduire l'inflammation. Parallèlement, la rééducation respiratoire, associée à des exercices physiques adaptés, peut améliorer l'endurance et la capacité respiratoire. Habitudes de vie : votre impact au quotidien Au-delà des traitements médicaux, adopter certaines habitudes peut contribuer à prévenir les crises de bronchite chronique. Arrêter de fumer, éviter les environnements pollués, et maintenir une alimentation équilibrée sont autant de gestes bénéfiques pour vos poumons. Venez en discuter librement sur notre forum Votre parcours vers un souffle sain La bronchite chronique n'est pas une fatalité. En comprenant les causes, en reconnaissant les symptômes, et en adoptant les bons traitements, vous pouvez améliorer votre bien-être et votre respiration. Maintenant que vous avez toutes les clés en main, n'hésitez pas à en parler à votre médecin si vous suspectez une bronchite chronique. Il pourra vous aider à mettre en place un plan d'action adapté à votre situation. Alors, prêtes à respirer à pleins poumons ? Read the full article
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a-room-of-my-own · 4 years
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Incroyable les différences de traitement selon les médecins. Avec la super remplaçante de ma généraliste j'ai été tout de suite traitée et sous antibiotiques, une copine qui a eu les mêmes symptômes que moi n'a rien eu parce qu'elle n'est pas une patiente à risque. Du coup ça fait 3 semaines que ses poumons la brûlent et elle n'a même pas de ventoline.
Le conseil des glands là, au lieu de préconiser la réouverture des écoles où je ne sais quoi ils feraient pas mieux de mettre au point un protocole de soin ?! J'ai été sous augmentin qui est juste un des antibiotiques les plus connus pour les infections pulmonaires, ça et des bronchodilatateurs ça devrait être la base, avant même de parler de chloroquine !
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ouyander · 2 years
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Des chercheurs français ont découvert une nouvelle cible thérapeutique en ce qui concerne le traitement de l'asthme allergique, qui représente la forme la plus importante de cette maladie. Des essais sont bientôt prévus chez des patients. L’asthme est une inflammation chronique des bronches, entrainant leur hyperréactivité à certaines substances. La maladie se manifeste par des crises, sous forme de sifflements et de gênes respiratoires. Selon l'association Asthme & Allergie, il y a plus de 4 millions d’asthmatiques en France et une cause allergique est retrouvée chez 70 à 80% des adultes et chez 95% des enfants atteints. C'est pourquoi des tests cutanés peuvent également être réalisés pour identifier l’allergène en cause. L'Inserm précise quant à lui qu'il s'agit d'un problème majeur de santé publique puisqu'il est responsable de plus de 250 000 morts par an. Des chercheurs de cet institut viennent de mettre en évidence le rôle essentiel d'une protéine appelée "Rac1" dans la contraction du muscle bronchique et dans l’hyperréactivité bronchique associée à l’asthme allergique. Il s'agirait même pour eux d'une piste prometteuse pour soigner les malades, après avoir trouvé comment inhiber cette protéine. Ils ont d'abord voulu déterminer le rôle de Rac1 dans l’hyperréactivité bronchique, en ayant recours à des souris asthmatiques sensibilisées à un allergène, les acariens. Les chercheurs leur ont fait inhaler un inhibiteur de cette protéine et ont constaté que ce geste pouvait prévenir l'hyperréactivité bronchique. De plus, l’inflammation bronchique et l’infiltration de certains globules blancs dans les poumons (qui favorisent l’hyperréactivité bronchique dans l’asthme allergique) sont aussi diminués par l’administration chronique de l’inhibiteur de Rac1. Un traitement en cas de crise mais aussi de fond Les chercheurs ont ensuite mené cette même expérience sur des échantillons de tissus bronchiques humains et ont observé une réduction de 70 à 80% de la contraction bronchique lorsque la protéine Rac1 est inhibée. "Bloquer l’activité de Rac1 permettrait à la fois de limiter la contraction bronchique en cas de crise d’asthme, mais aussi de réduire l’inflammation locale en traitement de fond", précise Vincent Sauzeau, responsable de ces travaux publiés dans The Journal of Allergy and Clinical Immunology. Mais les inhibiteurs utilisés dans ces expériences sont des outils de recherche utilisables uniquement pour des expériences en laboratoire car ils ne possèdent pas tous les critères de sécurité pour l'Homme. C’est pourquoi les chercheurs développent actuellement de nouvelles molécules en association avec le service de pneumologie de l’institut du thorax au CHU de Nantes. C'est dans ce cadre qu'ils viennent d’obtenir un financement pour vérifier ce lien entre l’hyperréactivité bronchique et l’activation anormale de Rac1. Cette fois leur étude portera sur les bronches de patients souffrant d’asthme allergique. Actuellement, 5 à 10% d'entre eux ne sont pas soulagés par les traitements usuels (anti-inflammatoires, bronchodilatateurs). "Si le lien est confirmé, cela validera l’intérêt de poursuivre le développement d’un nouvel inhibiteur de Rac1 à visée thérapeutique chez l’homme. Il serait alors administré par voie inhalée pour une action ciblée dans les bronches." conclut Vincent Sauzeau. Sur le sujet, l'Inserm précise qu'il existe d'autres approches en développement à l'instar de "l’immunothérapie spécifique". "Cette intervention est déjà possible par l’exposition du patient à des extraits protéiques mais les chercheurs tentent d’améliorer la spécificité de la désensibilisation.", explique-t-il. Les chercheurs explorent également la piste de la vaccination préventive qui consiste à injecter en intramusculaire de l’ADN de la substance allergisante, pour éduquer le système immunitaire à la tolérer.
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katakaal · 2 years
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Des chercheurs français ont découvert une nouvelle cible thérapeutique en ce qui concerne le traitement de l'asthme allergique, qui représente la forme la plus importante de cette maladie. Des essais sont bientôt prévus chez des patients. L’asthme est une inflammation chronique des bronches, entrainant leur hyperréactivité à certaines substances. La maladie se manifeste par des crises, sous forme de sifflements et de gênes respiratoires. Selon l'association Asthme & Allergie, il y a plus de 4 millions d’asthmatiques en France et une cause allergique est retrouvée chez 70 à 80% des adultes et chez 95% des enfants atteints. C'est pourquoi des tests cutanés peuvent également être réalisés pour identifier l’allergène en cause. L'Inserm précise quant à lui qu'il s'agit d'un problème majeur de santé publique puisqu'il est responsable de plus de 250 000 morts par an. Des chercheurs de cet institut viennent de mettre en évidence le rôle essentiel d'une protéine appelée "Rac1" dans la contraction du muscle bronchique et dans l’hyperréactivité bronchique associée à l’asthme allergique. Il s'agirait même pour eux d'une piste prometteuse pour soigner les malades, après avoir trouvé comment inhiber cette protéine. Ils ont d'abord voulu déterminer le rôle de Rac1 dans l’hyperréactivité bronchique, en ayant recours à des souris asthmatiques sensibilisées à un allergène, les acariens. Les chercheurs leur ont fait inhaler un inhibiteur de cette protéine et ont constaté que ce geste pouvait prévenir l'hyperréactivité bronchique. De plus, l’inflammation bronchique et l’infiltration de certains globules blancs dans les poumons (qui favorisent l’hyperréactivité bronchique dans l’asthme allergique) sont aussi diminués par l’administration chronique de l’inhibiteur de Rac1. Un traitement en cas de crise mais aussi de fond Les chercheurs ont ensuite mené cette même expérience sur des échantillons de tissus bronchiques humains et ont observé une réduction de 70 à 80% de la contraction bronchique lorsque la protéine Rac1 est inhibée. "Bloquer l’activité de Rac1 permettrait à la fois de limiter la contraction bronchique en cas de crise d’asthme, mais aussi de réduire l’inflammation locale en traitement de fond", précise Vincent Sauzeau, responsable de ces travaux publiés dans The Journal of Allergy and Clinical Immunology. Mais les inhibiteurs utilisés dans ces expériences sont des outils de recherche utilisables uniquement pour des expériences en laboratoire car ils ne possèdent pas tous les critères de sécurité pour l'Homme. C’est pourquoi les chercheurs développent actuellement de nouvelles molécules en association avec le service de pneumologie de l’institut du thorax au CHU de Nantes. C'est dans ce cadre qu'ils viennent d’obtenir un financement pour vérifier ce lien entre l’hyperréactivité bronchique et l’activation anormale de Rac1. Cette fois leur étude portera sur les bronches de patients souffrant d’asthme allergique. Actuellement, 5 à 10% d'entre eux ne sont pas soulagés par les traitements usuels (anti-inflammatoires, bronchodilatateurs). "Si le lien est confirmé, cela validera l’intérêt de poursuivre le développement d’un nouvel inhibiteur de Rac1 à visée thérapeutique chez l’homme. Il serait alors administré par voie inhalée pour une action ciblée dans les bronches." conclut Vincent Sauzeau. Sur le sujet, l'Inserm précise qu'il existe d'autres approches en développement à l'instar de "l’immunothérapie spécifique". "Cette intervention est déjà possible par l’exposition du patient à des extraits protéiques mais les chercheurs tentent d’améliorer la spécificité de la désensibilisation.", explique-t-il. Les chercheurs explorent également la piste de la vaccination préventive qui consiste à injecter en intramusculaire de l’ADN de la substance allergisante, pour éduquer le système immunitaire à la tolérer.
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laboratoriessalem · 3 years
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Bien que l'on ne sache pas guérir l'asthme, une 𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞 𝐞𝐧 𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞 appropriée permet de maîtriser la maladie et de conserver aux asthmatiques un bon équilibre. 
𝐀 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐜𝐞𝐫 𝐩𝐚𝐫 𝐥𝐞 𝐝𝐞́𝐩𝐢𝐬𝐭𝐚𝐠𝐞 : Une personne présentant des symptômes d’asthme, doit en premier lieu se faire dépister, en consultant un médecin, pour un diagnostic précis mais aussi pour ne pas le confondre à une autre maladie qui se manifeste par des signes similaires.  
𝐋𝐞 𝐭𝐫𝐚𝐢𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐥’𝐚𝐬𝐭𝐡𝐦𝐞 :- 𝑆𝑡𝑎𝑑𝑒 1 : Au besoin : Corticostéroïdes - Formoterol, à faibles doses. - 𝑆𝑡𝑎𝑑𝑒 2 : Au quotidien : Corticostéroïdes inhalés, à faibles doses.                      Au besoin : Beta 2 agonistes, à courte action.- 𝑆𝑡𝑎𝑑𝑒 3 : Corticostéroïdes inhalés – beta 2 agonistes à longue action, faible dose                                               𝐎𝐮 :                     Corticostéroïdes inhalés - beta 2 agonistes à longue action, à faible dose.                     Au besoin : Corticostéroïdes inhalés - Formeterol, à faible dose. 
𝐋𝐞 𝐭𝐫𝐚𝐢𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐫𝐢𝐬𝐞 𝐝’𝐚𝐬𝐭𝐡𝐦𝐞 : Les bronchodilatateurs qui permettent la réouverture des bronches.  
𝐏𝐫𝐞́𝐯𝐞𝐧𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥’𝐚𝐬𝐭𝐡𝐦𝐞 :• Prendre son traitement correctement et régulièrement• Savoir utiliser correctement son dispositif d’inhalation• Pratiquer une activité physique régulière• Faire un contrôle médical régulier tout les 3 à 6mois• Mesure du DEP (débit expiratoire de pointe) • Analyse de la gêne respiratoire du patient • Eviter le tabagisme passif et actif• Désensibilisation : pour l’asthme léger allergique (acariens, pollen, moisissures…) 
𝐔𝐧 𝐚𝐬𝐭𝐡𝐦𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐢𝐝𝐞́𝐫𝐞́ 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐞́𝐪𝐮𝐢𝐥𝐢𝐛𝐫𝐞́ 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐚𝐬 𝐬𝐮𝐢𝐯𝐚𝐧𝐭𝐬 :   Si les Crises sont peu fréquentes.Pas de visites aux urgences/hospitalisations.Dans ce cas le médecin peut procéder à une diminution de la posologie ou changement de traitement.
#labosalem #priseencharge #asthme #maladiechronique
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hermoulin · 4 years
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Des aliments qui luttent contre l’asthme
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L'asthme est une maladie très fatale et chronique causée par une obstruction des voies respiratoires et un rétrécissement des bronches. Cette maladie survient chez n'importe qui, que ce soit un enfant, stage de cuisine Valence un adulte ou un vieil homme. Il se manifeste sous différents types et présente des symptômes tels qu'essoufflement, des douleurs thoraciques, une sensation d'oppression thoracique, une respiration sifflante, une toux et une infection. De nombreux facteurs conduisent à l'exacerbation de l'asthme. La recherche a montré que de plus en plus de personnes sont diagnostiquées avec cette maladie mortelle, en particulier les enfants et les adultes.
Il peut être prévenu par de nombreux médicaments et anti-inflammatoires. Même les bronchodilatateurs et les inhalateurs sont également utilisés pour traiter les symptômes. Les médicaments à base de plantes jouent également un rôle de soutien avec le yoga et l'exercice. Tout cela aide à guérir les crises d'asthme et à les contrôler.
Même les aliments que nous mangeons quotidiennement jouent également un rôle essentiel dans la guérison et la prévention de l'asthme. Les chercheurs ont découvert que les enfants qui boivent beaucoup de lait, mangent beaucoup de beurre et les produits laitiers ont moins de risques de développer de l'asthme. Il a également été découvert que ceux qui consommaient beaucoup de produits laitiers souffraient moins de respiration sifflante. Ainsi, il a été prouvé que les produits laitiers aident à lutter contre les crises d'asthme. Les grains entiers aident également à prévenir et à contrôler les poussées d'asthme, tout comme le pain de blé entier, les céréales, etc. Il est également prouvé qu'en mangeant de plus en plus de grains entiers, les risques d'asthme sont fortement réduits. Les fruits et légumes frais sont également les principaux facteurs contribuant au soulagement des symptômes de l'asthme. L'huile de poisson aide également à réduire les symptômes d'asthme. En outre, le régime végétarien pur est le meilleur régime pour les patients asthmatiques.
Les aliments que prennent les patients asthmatiques doivent comprendre des glucides, des protéines et des graisses qui sont des aliments acidogènes. Les aliments alcalins composés de fruits frais, de légumes verts, de graines et de graines germées sont également utiles. Un régime alimentaire approprié devrait être maintenu, notamment un petit déjeuner, un déjeuner et un dîner opportuns. Les habitudes alimentaires doivent être bonnes et l'asthmatique doit manger moins que la capacité. Ils devraient manger lentement et boire beaucoup d'eau. Le miel est considéré comme le meilleur traitement contre l'asthme.
Il est essentiel d'éviter le thé, les boissons alcoolisées, le café, les cornichons et les aliments transformés. Modifier le type de régime alimentaire et consommer des aliments qui atténuent les symptômes de l'asthme peut être extrêmement utile et aucun changement ne doit être effectué sans consulter le médecin concerné. Ainsi, l'asthme peut être contrôlé avec des soins et un régime appropriés.
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sexoblogue · 4 years
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8+3 conseils pour concilier asthme et sexualité
Un nouvel article a été publié sur https://sexoblogue.fr/8-plus-3-conseils-asthme-sexualite
8+3 conseils pour concilier asthme et sexualité
L'#asthme a un impact négatif sur la #sexualité : #fatigue, manque de #désir, difficultés d'#érection ou de #lubrification,#anxiété anticipatoire avec crainte de faire une crise d'asthme pendant le rapport sexuel...
L’asthme est une maladie respiratoire chronique fréquente, responsable de symptômes gênants, qui vont souvent altérer la qualité de vie des patients. Elle touche plus de 4 millions de personnes en France, avec une prédominance pendant l’enfance, la prévalence chez l’adulte étant estimée à 6,7%.
Source : ameli.fr
La maladie peut être grave quand elle n’est pas prise en charge correctement ou lorsqu’elle échappe au contrôle des traitements. En France, l’asthme sévère est directement associé à plus de 60 000 hospitalisations et à près de 900 décès par an. En outre, la maladie altère considérablement la qualité de vie. Elle entraîne des insomnies, une baisse d’activité et un absentéisme à l’école ou au travail.
Mais ce que l’on sait un peu moins, c’est que cette affection altère de manière significative la qualité de vie intime et sexuelle.
En effet, une enquête auprès de patients anglais[ref]« Sex as an Asthma Trigger », Asthma UK, consulté le 2 mai 2020, https://www.asthma.org.uk/advice/triggers/sex/[/ref] révèle que deux tiers des participants estimaient que l’asthme avait des répercussions négatives sur leur vie sexuelle.
Les études[ref]Ad A. Kaptein et al., « Sexuality in Patients with Asthma and COPD », Respiratory Medicine 102, no 2 (février 2008): 198‑204, https://doi.org/10.1016/j.rmed.2007.09.012[/ref][ref]Leanne Jo Holmes et al., « Sex and Intimacy in People with Severe Asthma: A Qualitative Study », BMJ Open Respiratory Research 6, no 1 (2019): e000382, https://doi.org/10.1136/bmjresp-2018-000382[/ref][ref]A. R. Maillé et al., « The Development of the “Quality-of-Life for Respiratory Illness Questionnaire (QOL-RIQ)”: A Disease-Specific Quality-of-Life Questionnaire for Patients with Mild to Moderate Chronic Non-Specific Lung Disease », Respiratory Medicine 91, no 5 (mai 1997): 297‑309, https://doi.org/10.1016/s0954-6111(97)90034-2[/ref][ref]A. Shah et M. Sircar, « Postcoital Asthma and Rhinitis », Chest 100, no 4 (octobre 1991): 1039‑41, https://doi.org/10.1378/chest.100.4.1039[/ref][ref]Ilan H. Meyer et al., « Asthma-Related Limitations in Sexual Functioning: An Important but Neglected Area of Quality of Life », American Journal of Public Health 92, no 5 (mai 2002): 770‑72, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1447159/[/ref] montrent quand à elles que le fait de vivre avec un asthme sévère peut entraîner :
Des difficultés respiratoires et un sentiment d’étouffement pendant les contacts intimes (depuis les baisers jusqu’à certaines positions sexuelles).
La crainte d’une exacerbation pendant les rapports sexuels, entrainant une anxiété anticipatoire et des conséquences négatives sur la relation. La peur et la gêne à l’idée de devoir appeler une ambulance étant parfois perçues comme pires que la crise d’asthme en elle-même.
Une faible estime de soi, secondaire à la fatigue chronique (liée à la prise de corticostéroïdes et à la diminution des capacités physiques à cause de la maladie), et une charge émotionnelle considérable, responsable d’une diminution de la fonction sexuelle et d’un mauvais état psychologique[ref]T. Jaarsma et al., « Sexual Function in Patients with Advanced Heart Failure », Heart & Lung: The Journal of Critical Care 25, no 4 (août 1996): 262‑70, https://doi.org/10.1016/s0147-9563(96)80061-6[/ref]. Cela peut entretenir un cercle vicieux, le manque d’intimité résultant d’une mauvaise santé influençant négativement le désir[ref]Thomas F Cash, « Body Image: Past, Present, and Future », Body Image 1, no 1 (1 janvier 2004): 1‑5, https://doi.org/10.1016/S1740-1445(03)00011-1[/ref].
Un sentiment de culpabilité et d’inutilité lié au sentiment de ne pas satisfaire le/la partenaire. Certains allant même jusqu’à proposer à leur partenaire d’aller chercher une activité sexuelle extra-conjugale, par culpabilité.
Ces difficultés ne concernent pas uniquement les patients souffrant d’asthme sévère : une comparaison des évaluations sexuelles des femmes souffrant d’asthme léger par rapport à une cohorte en bonne santé a également démontré une perte de désir et une plus grande prévalence de problèmes émotionnels avec un impact sur l’intimité[ref]M. Murad Başar et al., « Female Sexual and Hormonal Status in Patients with Bronchial Asthma: Relationship with Respiratory Function Tests and Psychological and Somatic Status », Urology 69, no 3 (mars 2007): 421‑25, https://doi.org/10.1016/j.urology.2006.12.001[/ref].
8 conseils pour les patients
1 – Avoir un asthme équilibré
L’asthme ne se guérit pas : il persiste toute la vie même si des phases de rémission peuvent durer plusieurs années, faisant parfois oublier la maladie. Le contrôle de la maladie repose sur un traitement de fond quotidien et un traitement de crise, uniquement en cas de symptômes. Il est en outre fondamental d’éliminer les facteurs déclenchants de son environnement, pour limiter les crises.
Les traitements de fond permettent de limiter la fréquence et la sévérité des crises d’asthme. Il s’agit d’anti-inflammatoires, corticostéroïdes inhalés ou anti-leucotriènes pouvant être associés à un bronchodilatateur de longue durée d’action. Leurs effets sont parfois longs à se manifester, entrainant souvent une mauvaise utilisation, voire un arrêt précoce du traitement.
Les traitements de crise, des bronchodilatateurs d’action rapide, permettent quant à eux de limiter l’intensité des symptômes.
Un suivi médical régulier est important, même quand on se sent bien. Les sociétés savantes préconisent un contrôle tous les 3 mois par le médecin traitant et au moins 1 fois par an par le pneumologue[ref]« Recommandations pour la prise en charge et le suivi des patients asthmatiques », consulté le 5 mai 2020, http://splf.fr/recos/recommandations-pour-la-prise-en-charge-et-le-suivi-des-patients-asthmatiques/[/ref].
2 – En parler avec son médecin
Aborder le sujet de la sexualité est difficile et la plupart des gens pensent que cela ne concerne pas les médecins : c’est faux ! Si peu de médecins posent des questions autour de la sexualité à leurs patients, c’est surtout par peur d’être intrusif.
Si la question vous travaille, parlez-en à votre médecin comme pour n’importe quel autre problème de santé.
Bon à savoir : n’attendez pas la dernière minute de la consultation pour aborder le sujet. L’idéal étant de prendre un rendez-vous spécifique pour en parler.
3 – En parler avec son/sa partenaire
Lors d’une nouvelle rencontre, le premier moment d’intimité sexuelle est excitant mais toujours un peu stressant. Il faut découvrir le partenaire, on se demande si on va lui plaire, si on va bien s’entendre sexuellement. Si à cela s’ajoute un stress supplémentaire à l’idée de faire une crise d’asthme, qu’on ne sait pas comment aborder le sujet ou qu’on a peur de le faire fuir en lui parlant de notre maladie, cela peut devenir invalidant.
Cette vidéo traduite depuis le site https://www.asthma.org.uk/advice/triggers/sex/ avec leur aimable autorisation vous donnera tous les outils pour aborder le sujet avec votre partenaire.
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4 – Avoir son inhalateur à portée de main
La Ventoline® peut vous sauver la vie ! Il faut toujours avoir un inhalateur à portée de main, c’est-à-dire sur la table de nuit. C’est plus pratique que de le laisser au fond d’un sac à main (celui-dans-lequel-on-ne-retrouve-jamais-rien) ou dans la poche de son pantalon abandonné à l’entrée de la chambre.
5 – Utiliser un traitement en préventif
Après avis de votre médecin, il est possible de prendre 2 bouffées de Ventoline® avant le rapport sexuel. La durée d’action bronchodilatatrice du salbutamol par voie inhalée est de 4 à 6 heures : de quoi vous offrir le temps d’initier un rapport intime sans aucune précipitation…
6 – Connaitre la conduite à tenir en cas de crise
Dès les premiers symptômes de crise d’asthme (essoufflement, oppression thoracique, toux, etc) il est recommandé de :
se redresser et s’installer dans la position où l’on se sent plus à l’aise pour respirer (en général en position assise)
prendre immédiatement deux bouffées de Ventoline® (salbutamol) ou d’un autre bronchodilatateur bêta-2 mimétique d’action rapide.
Après dix à quinze minutes, si la gêne persiste, on peut reprendre deux bouffées.
Après dix à quinze minutes de plus et si les symptômes n’ont toujours pas disparu, on peut prendre de nouveau deux à quatre bouffées.
Une crise simple doit s’arrêter après la prise de six à huit bouffées.
7 – Savoir reconnaitre les signes de gravité de l’asthme
Si la crise d’asthme persiste : troubles de la vigilance, agitation, impossibilité de parler, orthopnée, pauses respiratoires, sueurs, cyanose, silence auscultatoire, fréquence cardiaque > 110 battements/min, polypnée > 30/min
8 – Ne pas avoir peur d’appeler le 15
Rapellez-vous ce chiffre édifiant : 45 % des décès dus à l’asthme surviennent avant que les patients ne demandent de l’aide[ref]Rebecca O’ Kane, « WHY ASTHMA STILL KILLS », The Ulster Medical Journal 86, no 1 (janvier 2017): 44, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5324182/[/ref] !
Ce n’est pas parce que la crise est foudroyante… mais parce que les patients n’osent pas appeler les secours :
par peur de les déranger,
par peur d’aller à l’hôpital
ou par gène de devoir expliquer le contexte de la crise d’asthme : une partie de jambes en l’air un peu trop intense.
En cas de crise d’asthme sévère, il faut surmonter cette peur et appeler le 15. Les pompiers, les ambulanciers et les médecins du SAMU sont là pour vous soigner sans jugement, n’ayez aucune crainte.
3 conseils pour le/la partenaire
Vivre avec un partenaire qui présente une maladie chronique peut être source d’inquiétudes et de nombreux questionnements. 
1- Fatigue ne signifie pas manque de désir
Si votre partenaire dit qu’il est fatigué, ce n’est pas qu’il cherche une excuse pour ne pas avoir de rapports sexuels, en effet, les patients souffrant d’asthme grave présentent souvent une fatigue chronique liée à la prise de médicaments et bien entendu à la maladie en elle-même. Apres une journée « normale », il peut se sentir épuisé comme si la journée avait été très intense.
Pour favoriser les rapports intimes le soir, mieux vaut donc se mettre au lit de bonne heure plutôt que de préférer regarder d’abord votre série préférée.
2- Essayer de privilégier les positions les plus favorables
Dans les cas où l’asthme n’est pas parfaitement équilibré, certaines positions sont assez compliquées pour la personne concernée, surtout si elle se retrouve « coincé(e) » en-dessous ou « étouffé(e) » sous les couvertures.
Les positions les plus confortables pour la personne asthmatique sont celles où elle est au-dessus (par exemple : andromaque pour une femme asthmatique, missionnaire ou levrette pour un homme asthmatique).
3- Ne pas méconnaitre ses propres difficultés
Il n’est pas rare que les difficultés sexuelles de l’un des partenaires entrainent un retentissement sur l’autre. A titre d’exemple, suivant les études, la moitié des femmes dont le partenaire souffre d’un problème d’érection évoquent des troubles du désir, du plaisir et des phénomènes douloureux lors des rapports. L’une des causes de cette souffrance chez la femme est le manque de communication (18%) et de caresses pour compenser (18%) bien plus que l’absence de pénétration (3%) ou de rapport abouti.
N’hésitez pas à contacter un professionnel de santé pour vous informer.
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omagazineparis · 7 months
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Bronchite chronique : votre guide pour respirer à pleins poumons
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La bronchite chronique ne devrait pas être une entrave à votre souffle de vie. Cette affection respiratoire, bien que commune, reste souvent méconnue. C'est pourquoi nous vous proposons un tour d'horizon complet pour vous aider à comprendre, à identifier, et à traiter la bronchite chronique. Comprendre la bronchite chronique : le poumon en péril La bronchite chronique se caractérise par une inflammation des bronches, ces tubes qui transportent l'air de nos narines à nos poumons. Elle est souvent causée par une exposition prolongée à des irritants respiratoires, comme la fumée de cigarette ou la pollution de l'air. Mais alors, comment distinguer cette affection d'une toux tenace ? Symptômes : quand la bronchite se fait sentir Dans la plupart des cas, la bronchite chronique se manifeste par une toux productive qui dure au moins trois mois et se répète sur deux ans consécutifs. Il n'est pas rare de ressentir une gêne respiratoire, voire un essoufflement à l'effort. Parfois, ces symptômes peuvent s'accompagner de sifflements respiratoires, de fatigue ou de crises d'asthme. A lire également : Infections urinaires récurrentes : la bataille méconnue de milliers de femmes Agir contre la bronchite chronique : quels traitements ? Il n'existe pas de traitement définitif pour la bronchite chronique. Cependant, plusieurs options peuvent aider à gérer les symptômes et à améliorer la qualité de vie. Médicaments et thérapies : l'alliance pour vos poumons Des médicaments, comme les bronchodilatateurs et les corticostéroïdes inhalés, peuvent aider à décongestionner les voies respiratoires et à réduire l'inflammation. Parallèlement, la rééducation respiratoire, associée à des exercices physiques adaptés, peut améliorer l'endurance et la capacité respiratoire. Habitudes de vie : votre impact au quotidien Au-delà des traitements médicaux, adopter certaines habitudes peut contribuer à prévenir les crises de bronchite chronique. Arrêter de fumer, éviter les environnements pollués, et maintenir une alimentation équilibrée sont autant de gestes bénéfiques pour vos poumons. Venez en discuter librement sur notre forum Votre parcours vers un souffle sain La bronchite chronique n'est pas une fatalité. En comprenant les causes, en reconnaissant les symptômes, et en adoptant les bons traitements, vous pouvez améliorer votre bien-être et votre respiration. Maintenant que vous avez toutes les clés en main, n'hésitez pas à en parler à votre médecin si vous suspectez une bronchite chronique. Il pourra vous aider à mettre en place un plan d'action adapté à votre situation. Alors, prêtes à respirer à pleins poumons ? Read the full article
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a-room-of-my-own · 4 years
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Quelles sont les symptômes ? Est-ce que c’est supportable ?
Fatigue, diarrhée, courbatures et essouflement. Je tousse un peu et j'ai pas de fièvre, mais j'ai des symptômes légers depuis 2 semaines. C'est supportable avec les médicaments, notamment le bronchodilatateur qu'on m'a prescrit. Je pense que le corps met longtemps à s'en remettre !
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laboratoriessalem · 3 years
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𝐋'𝐚𝐬𝐭𝐡𝐦𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐥𝐞𝐱𝐞 𝐞𝐭 𝐧𝐞́𝐜𝐞𝐬𝐬𝐢𝐭𝐞 𝐮𝐧 𝐝𝐢𝐚𝐠𝐧𝐨𝐬𝐭𝐢𝐜 𝐩𝐫𝐞́𝐜𝐢𝐬.  Si des 𝐬𝐲𝐦𝐩𝐭𝐨̂𝐦𝐞𝐬 respiratoires sont présents, le médecin cherche ensuite : • Des antécédents familiaux d'allergie, d'asthme, d'eczéma...• L'existence et la durée de l’allaitement maternel ;• Prescriptions d'antibiotiques, des paracentèses et l'ablation des végétations adénoïdes ;• La récurrence d'épisodes respiratoires selon un mode stéréotypé ;• Le déclenchement de crises lors d'une exposition à des allergènes ;• L'amélioration de l’état du patient avec prise de médicaments actifs : corticoïdes, béta-stimulants ;• Le peu d'efficacité des antibiotiques et des antitussifs. 
𝐋’𝐞𝐱𝐚𝐦𝐞𝐧 𝐜𝐥𝐢𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞 cherche à savoir s’il y a : - Distension du thorax,- Sonorisation à la percussion,- Sibilants à l’auscultation. 
𝐍𝐁 : il ne faut pas confondre asthme chez l’adulte avec :- Insuffisance cardiaque,- Broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO),- Tumeur bénigne de la trachée ou des bronches,- Cancer trachéal ou bronchique. Des 𝐞𝐱𝐚𝐦𝐞𝐧𝐬 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐥𝐞́𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 peuvent s’imposer :- Exploration fonctionnelle respiratoire (EFR),- Téléthorax et/ou scanner thoracique,- Tests cutanés,- Débitmètre.
𝐑𝐞𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚𝐬𝐭𝐡𝐦𝐞 𝐛𝐫𝐨𝐧𝐜𝐡𝐢𝐪𝐮𝐞/𝐜𝐨𝐯𝐢𝐝-𝟏𝟗 : Les signes les plus courants de l’𝐚𝐬𝐭𝐡𝐦𝐞 : - Essoufflement,- Difficulté à respirer,- Toux.Ces signes sont rapidement soulagés par l’inhalation d’un bronchodilatateur. Les symptômes de la 𝐂𝐨𝐯𝐢𝐝-𝟏𝟗 : - Fièvre,- Maux de tête, - Perte d’odorat et/ou de goût sans obstruction nasale,- Fatigue.
#labosalem #santé #asthme #COVID19 #maladiechronique
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azveille · 5 years
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Asthm e sévère : quand la m aladie résiste aux traitem ents conventionnels
La grande majorité des asthmes demeure bien contrôlés par les traitements médicamenteux conventionnels inhalés. Cependant, dans moins de 5% des cas, des formes sévères persistent. Des progrès récents ont été réalisés dans la prise en charge de ces formes cliniques. Dr Aurélien Justet*, pneumologue à l’Hôpital Bichat - Claude-Bernard à Paris, répond à nos questions.
Egora - Le Panorama du médecin : La découverte de mécanismes (ou endotype) gouvernant les différents phénotypes d’asthme sévère a permis de nettes avancées thérapeutiques. La première biothérapie est arrivée sur le marché il y a une dizaine d’années... Où en sommes-nous aujourd’hui dans le développement de ces thérapies biologiques ciblées ?
Dr Aurelien Justet : L’omalizumab fut en effet la première immunothérapie ou biothérapie à arriver sur le marché. Ce traitement, qui cible l’'immunoglobuline E (IgE), a nettement amélioré la prise en charge des personnes souffrant d’asthme sévère allergique, en renforçant le contrôle de la maladie et en diminuant la fréquence des exacerbations. Depuis, plusieurs cibles thérapeutiques ont été identifiées chez des patients souffrant d’asthme sévère et présentant une éosinophilie sanguine > 300 polynucléaires éosinophiles/mm 3. Des anticorps ciblant les interleukines IL5 ou leurs récepteurs ont ainsi été récemment commercialisés, comme le mépolizumab et le benralizumab. De nombreux essais thérapeutiques sont également en cours afin de développer de nouvelles molécules, comme le dupilumab ciblant l’IL4 et l’IL3, ou le tezepelumab (ciblant une cytokine appelée TLSP) avec des résultats préliminaires extrêmement intéressants concernant l’asthme sévère éosinophilique et non éosinophilique. C’est très encourageant, d’autant qu’à ce jour les biothérapies demeurent réservées aux patients présentant un asthme sévère éosinophile, soit la moitié de la population asthmatique sévère. L’autre moitié, c’est à dire celle ne présentant pas cette caractéristique biologique, ne peut donc actuellement pas bénéficier de ces traitements. Il s’agit pour beaucoup de patients obèses, de fumeurs anciens ou actifs. L’objectif, durant les prochaines années, sera de mieux caractériser les mécanismes impliqués dans l’asthme sévère de ces patients.
Qu’en est-il de la thermoplastie bronchique ?
La thermoplastie bronchique est une technique qui peut avoir un intérêt en l’absence d’autres options thérapeutiques, comme l’absence d’indication à une biothérapie disponible ou l’impossibilité d’inclusion dans un essai thérapeutique. Ce traitement vise à diminuer l’hypertrophie des cellules musculaires lisses bronchiques. Il est réalisé, en plusieurs séances, par voie endoscopique. Via une sonde, une forte température est appliquée à la surface des différentes bronches des lobes inférieurs et supérieurs droits et gauches.
L’émergence de ces nouveaux traitements ne doit pas faire oublier l’importance du suivi du patient au long cours…L’asthme demeure en effet une maladie chronique qui implique souvent un suivi et un traitement au long cours, en particulier dans le cas de l’asthme sévère. Quel que soit la sévérité de la maladie, nous savons que l’observance au traitement inhalé reste médiocre. Le rôle du médecin traitant et du pneumologue est de vérifier la prise des traitements, aussi bien en termes de fréquence que de technique de prise. L’appréciation régulière du contrôle de la maladie est également primordiale pour décider d’une intensification thérapeutique ou d’un allégement du traitement. Le score ACT est un outil très simple à utiliser dans la pratique quotidienne et extrêmement utile. Un asthme est considéré comme contrôlé si ce score est supérieur à 20. L’autre rôle central du médecin traitant et du pneumologue dans le suivi des patients atteints d’un asthme sévère est le dépistage et la prise en charge des complications induites par la corticothérapie orale. Outre le dépistage du diabète et de l’ostéoporose cortico-induite, il est extrêmement important de dépister les maladies cardio-vasculaires, très prévalentes chez les patients atteints d’un asthme sévère.
L’asthme sévère en bref
L’asthme sévère toucherait près de 200 000 personnes en France. Une forme d’asthme qui demeure non contrôlée malgré un traitement médicamenteux de fond et bien observé, associant des corticostéroïdes inhalés à forte dose et un bronchodilatateur d’action longue sur une période de 6 à 12 mois. Le diagnostic est souvent long et difficile. Il doit être discuté et confirmé de manière collégiale lors d’une Réunion de Concertation d’Asthme (RCA) avant le recours à un traitement additionnel de pallier 5 : biothérapie, corticothérapie orale, thermoplastie bronchique…
Source : D’après un entretien avec le Dr Aurelien Justet*, pneumologue à l’Hôpital Bichat -Claude-Bernard (Paris).
* Le Dr Justet déclare participer ou avoir participé à des interventions ponctuelles (actions de formations) pour l’entreprise Astra Zeneca
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blogcannabis · 7 years
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Du cannabis contre la sinusite https://www.blog-cannabis.com/2017/03/03/cannabis-traitement-sinusite/?utm_source=dlvr.it&utm_medium=tumblr
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