#bougie avec fleurs
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ltalaynareor · 6 months ago
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L'anniversaire de mariage
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Contexte: Le roi Baudouin IV de Jérusalem n'a pas la lèpre. Alix de Tripoli est la fille du comte Raymond III de Tripoli.
Dans la magnifique cité de Jérusalem, le roi Baudouin IV et la reine Alix de Tripoli se préparaient à célébrer une nuit de liesse et de passion. Mariés depuis cinq ans, ils étaient unis par un amour profond et une complicité inébranlable. À l'aube de leurs vingt-trois ans, ils avaient décidé de marquer cet anniversaire en célébrant leur union par une fête grandiose et une nuit merveilleuse.
Baudouin, aux traits nobles et au regard perçant, attendait avec impatience la venue de sa belle épouse. Alix, à la beauté éclatante et à la douceur envoûtante, fit son entrée dans la salle spécialement décorée pour l'occasion. Elle était vêtue d'une somptueuse robe de soie brodée d'or, mettant en valeur sa silhouette élancée et sa grâce naturelle.
Les yeux de Baudouin s'illuminèrent en contemplant sa femme, dont la beauté le fascinait toujours autant. Il lui prit délicatement la main et l'entraîna sur la piste de danse improvisée où ils commencèrent à virevolter au rythme envoûtant de la musique jouée par des musiciens talentueux.
Les invités observaient le couple royal avec admiration et respect, témoins de l'amour qui les unissait. Baudouin et Alix dansaient avec grâce et légèreté, leurs yeux ne se détachant jamais les uns des autres, comme s'ils étaient seuls au monde.
Après la danse, Baudouin prit la main d'Alix et l'entraîna vers leur chambre, où les attendait un festin de fruits exotiques et de douceurs sucrées. Ils se regardèrent intensément, comprenant sans mots que cette nuit serait spéciale.
Dans la chaleur de leur étreinte, Baudouin et Alix s'abandonnèrent l'un à l'autre, dans un tourbillon de passion et de désir. Leurs corps fusionnèrent dans un ballet sensuel et enivrant, scellant leur amour dans un échange de tendresse et de complicité.
Cette nuit-là à Jérusalem, dans la lueur des bougies et le parfum enivrant des fleurs, Baudouin et Alix célébrèrent leur union avec une intensité et une tendresse qui éclairèrent leur amour d'une lumière éternelle.
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coovieilledentelle · 3 months ago
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A table ....
Table d'automne bleue... Ajoutez des touches de bleu à votre décor de table d'automne avec des serviettes, des bougies et des assiettes, et terminez le look avec un chemin de table de ferme vintage, un vase foncé avec des fleurs séchées et quelques citrouilles peintes pour obtenir un aspect vieilli.
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leparfumdesreves · 2 months ago
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🍁 DÉCORATION DE TABLE 🍁
D'AUTOMNE
Je dirai que pour moi, l'Automne est la saison la plus riche en terme d'idées et d'éléments décoratifs.
La Nature, les Forêts nous offrent des trésors pour nos tables de réception.
Pour ce qui est des Palettes de Couleurs, vous n'avez que l'embarras du choix !
Choisissez des teintes chaudes, comme les Oranges foncés, les Bordeaux riches et les Jaunes dorés qui reflètent la beauté de la Saison.
Ces couleurs évoquent une atmosphère chaleureuse et romantique qui complète le paysage naturel.
Vous pouvez également envisager d'incorporer des nuances de Vert Olive ou de Taupe doux pour ajouter de la profondeur.
N'hésitez pas non plus à mélanger les textures.
Des chemins de table en velours d'un Rouge profond peuvent créer un contraste saisissant avec des tables en bois, tandis que des serviettes en lin d'un or discret peuvent rehausser la sophistication générale.
Vous pouvez même jouer avec des accents métalliques comme le Cuivre ou le Laiton pour ajouter une touche d'élégance !
Concernant les Compositions Florales, utilisez des fleurs de saison dans la palette de votre choix.
Tons chauds, les Tournesols, les Dahlias et les Chrysanthèmes peuvent égayer vos tables et harmoniser magnifiquement votre thème.
Des feuillages de saison comme des feuilles d'eucalyptus ou d'érable renforceront cette ambiance Automnale.
Vous pouvez également intégrer des éléments naturels que vous aurez rapportés de vos promenades dans la Forêt, des glands, des chataignes, des branchages.
Pensez à utiliser de petites citrouilles ou des courges comme décorations de base et créer ainsi une composition discrète avec un mélange de fruits, comme des pommes et des poires.
Cette combinaison ajoutera de la texture et de la couleur tout en gardant votre table propice aux conversations.
Optez pour des nappes qui complètent la palette de couleurs que vous avez choisie, Bordeaux, Orange ou Jaune doré.
Une nappe plus claire surmontée d'un chemin de table plus foncé peut ajouter de la profondeur et de l'élégance !
Des serviettes en tissu aux couleurs ou motifs contrastés peuvent créer un impact visuel agréable.
Pour la Table, choisissez une vaisselle élégante qui correspond à votre thème général. Des touches d'or ou de cuivre rehaussent le décor, tandis que la poterie rustique apporte une touche chaleureuse.
Des dessous d'assiettes apporte un look soigné et des Bougies ou des petites Lanternes, plus de chaleur.
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au-jardin-de-mon-coeur · 8 months ago
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PAR UNE NUIT ROMANTIQUE...💞
Romantique est la nuit
Éclairée d'une bougie
Parfumée par les fleurs
Les prémices du bonheur
Mon cœur est en émoi
Quand tu me prends dans tes bras
Pour une étreinte passionnée
Pour un baiser insensé
Quand la danse de l'amour
Commence son premier tour
Rien n'a plus d'importance
Que ce moment de transe
Un moment de magie
Ou tout est féerie
Tout est beau à nos yeux
En cet instant merveilleux
Puis retour au calme
Avec un "je t'aime"
Chuchoté à l'oreille
Au bord du sommeil
L'amour est si beau
C'est un divin cadeau
Quand on le vit à deux
Alors on est heureux
~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Que votre nuit soit magique et peuplée de jolis rêves dans les bras de votre bien-aimé(e) ou de Morphée ! 💫
#au-jardin-de-mon-coeur
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mrsines · 1 month ago
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Destinée Enchantée
Chapitre 9 : Un secret bien gardé
Ce chapitre contient une scène 🔞 elle resta en route pour que veux que ceux qui ne ce sente pas a l’aise puisse ne pas la lire
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
Dans la pénombre du caveau de Regina, l'atmosphère était chargée de mystère et d'anticipation. Les murs en pierre, humides et froids, étaient ornés de vieux grimoires et de potions mystérieuses, créant un décor à la fois intimidant et fascinant. Lucillia, une jeune femme aux yeux pétillants d'enthousiasme, se tenait au centre de la pièce, entourée d'une lueur vacillante émanant de bougies disposées sur une table en bois ancien. 
Regina, avec une aura de puissance et de sagesse, observait Lucillia avec un mélange de fierté et de bienveillance. Elle s'approcha lentement, ses mouvements gracieux et sûrs, comme si chaque geste était empreint d'une intention profonde. La lumière dans la pièce dansait sur son visage, révélant des traits marqués par des années de luttes et de triomphes. 
Alors que Regina commençait à expliquer les bases de la magie, Lucillia l'écoutait avec une attention soutenue, ses yeux brillants d'admiration. La jeune fille se tenait droite, ses mains légèrement tremblantes, trahissant son excitation mêlée à une certaine appréhension. Regina, consciente de l'importance de ce moment, prenait soin de créer un environnement où Lucillia se sentirait à l'aise pour poser des questions et explorer ses capacités. 
Des notes de parfum d'herbes et de fleurs séchées flottaient dans l'air, ajoutant une dimension presque envoûtante à l'ambiance. Regina, avec un léger sourire, commençait à tracer des symboles dans l'air, des éclats de lumière scintillant autour d'eux, tandis que Lucillia, captivée, tentait de reproduire les gestes de sa mentor. Ce moment, empreint de magie et de connexion, marquait le début d'un apprentissage qui changerait à jamais le destin des deux femmes.
Regina s'approcha de la table, un grand vase en céramique dans les bras, décoré de motifs délicats et colorés qui captivaient le regard. Elle le déposa avec soin devant Lucillia, le bruit sourd du vase résonnant dans le silence de la pièce. Regina, avec un sourire encourageant, leva les yeux vers la jeune femme et déclara d'une voix ferme : 
« Vas-y, détruis-le. »
Lucillia, les yeux écarquillés, se figea un instant. La panique se lisait sur son visage alors qu'elle dévisageait le vase, son cœur battant la chamade
. « Je ne peux pas ! » s'exclama-t-elle, sa voix trahissant son anxiété. « Je vais tout faire exploser ! » 
Elle reculait légèrement, comme si l'idée même de briser l'objet lui semblait insurmontable.Regina, voyant l'effroi dans les yeux de Lucillia, s'approcha d'elle avec douceur. Elle posa ses mains sur les épaules de la jeune fille, lui offrant un ancrage dans ce moment de tourmente. 
« Écoute-moi, Lucillia, » dit-elle d'une voix apaisante. « J'ai confiance en toi. Tu peux le faire. Tu as en toi la force nécessaire. » 
Ses mots, empreints de conviction, résonnaient dans l'air, créant une bulle de soutien autour d'elles. Lucillia, inspirant profondément, commença à ressentir un mélange de détermination et d'appréhension. Elle plongea son regard dans celui de Regina, cherchant du réconfort dans la confiance que sa mentor lui témoignait un sourire d'encouragement sur les lèvres.
Lilia savais que  Lucillia  avait un rendez-vous avec Regina pour sa magie. La pensée lui provoqua un frisson d'irritation. Elle détestait ces séances,. Le visage de Regina, avec son sourire confiant et ses yeux pétillants d'excitation, lui revenait en mémoire, et cela ne faisait qu'accroître son agacement.
Décidée à ne pas laissez Lucillia avec Regina , Lilia se dirigea vers la cave de Regina. Les murs de la maison semblaient se resserrer autour d'elle alors qu'elle descendait les marches étroites, chaque pas résonnant dans le silence. L'air devenait plus frais, chargé d'une odeur terreuse et de mystère. Les ombres dans la cave dansaient autour d'elle, créant une atmosphère à la fois inquiétante et fascinante.
Arrivée au bas des marches, elle observa les étagères encombrées d'objets étranges, de fioles scintillantes et de livres anciens, témoins d'un savoir ancien. Lilia se sentait à la fois attirée et repoussée par cet endroit, un sanctuaire de magie qui lui était étranger.
Lilia observait la scène avec un mélange de frustration et d'inquiétude. Elle se tenait à l'écart, cachée derrière une porte entrouverte, les bras croisés et le visage légèrement plissé. Regina était là, derrière Lucillia, leurs corps trop proches à son goût. Les mains de Regina reposaient sur les épaules de Lucillia, une proximité qui lui semblait inappropriée. 
Lucillia, dans un élan de confiance, fit exploser la vase, la céramique se brisant en mille morceaux qui scintillaient dans l'air. Un silence stupéfait suivit l'explosion, avant que Regina ne laisse échapper un éclat de rire.
« Oui ! C'est incroyable ! » s'exclama Regina, en serrant Lucillia dans ses bras. 
Lilia sentit une vague de jalousie l'envahir en voyant la fierté sur le visage de Regina, son regard brillant comme si elle venait de découvrir un trésor.  À cet instant précis, Lilia décida qu'elle ne pouvait plus rester silencieuse. Elle s'avança, le ton de sa voix tranchant à travers l'euphorie ambiante. 
« Je vois que les cours se passent bien. » 
Ses mots résonnèrent dans la pièce, interrompant le moment tendre entre les deux filles. Regina se tourna vers elle, surprise, tandis que Lucillia se dégageait doucement de l'étreinte de sa mentor, son visage affichant une expression de surprise.
Regina, les bras croisés et un sourire provocateur sur le visage, lança à Lilia : « Je ne me souviens pas vous avoir invitée dans mon caveau. » Son ton était à la fois sarcastique et défiant, comme si elle cherchait à provoquer une réaction.
Lilia, imperturbable, répondit d'un air calme : « Vous devriez fermer la porte alors. » Ses mots étaient simples mais pleins de sous-entendus, une manière de rappeler à Regina qu'elle n'était pas la seule à avoir son mot à dire.
Regina ouvrit la bouche pour répliquer, mais Lucillia, toujours attentive à l'ambiance, posa doucement sa main sur le bras de Regina. « Attends, Regina, » dit-elle d'une voix douce, « Toi, ça va, Lilia ? » Son regard était sincère, cherchant à apaiser les tensions.
Lilia, touchée par l'inquiétude de Lucillia, répondit : « Oui, je voulais voir comment tu t'en sortais. » Elle se força à sourire, tentant de masquer la tension qui l'habitait.
Regina, ne pouvant s'empêcher de s'immiscer dans la conversation, ajouta avec un ton un peu trop enjoué : « Elle s'en sort très bien. » Son regard était plein de malice, comme si elle voulait faire passer un message à Lilia.
Ignorant délibérément Regina, Lilia se tourna vers Lucillia avec un sourire chaleureux. « Je me disais que, maintenant que tu as fini avec Regina, on pourrait aller faire un tour en ville ? » proposa-t-elle, espérant changer l'atmosphère et offrir à Lucillia une échappatoire loin des tensions présentes. 
Lucillia, les yeux brillants d'excitation à l'idée d'une sortie, acquiesça avec enthousiasme, tandis que Regina, observait la scène, les bras toujours croisés, consciente que son emprise sur Lucillia était en train de s'effriter.
☆○o。  。o○☆
Ivana était assise à une petite table en bois, la chaleur du chocolat chaud réchauffant ses mains, mais son esprit était ailleurs. Les murs du Ganny's, décorés de vieilles photos et de souvenirs, semblaient vibrer autour d'elle, mais elle ne les remarquait même pas. Ses pensées tourbillonnaient comme la crème qui flottait sur sa boisson, et un silence pesant s'était installé entre elle et Emma.
Emma, les yeux pétillants de curiosité, observa son amie avec une inquiétude croissante. Elle ne pouvait pas ignorer le fait qu'Ivana n'avait pas prononcé un mot depuis qu'elles étaient arrivées. 
« Ivana, qu'est-ce qui se passe ? » demanda-t-elle, sa voix douce mais directe, brisant le silence. 
Ivana leva lentement les yeux, surprise par la question. Elle cligna des yeux, comme si elle sortait d'un rêve. « Je... je ne sais pas, » murmura-t-elle, sa voix à peine audible. Elle jouait avec la cuillère dans sa tasse, ses pensées encore embrouillées.
Emma pencha la tête, l'inquiétude se lisant sur son visage. « Tu sembles vraiment préoccupée. Tu fais la même temps que Henry quand il ne veux pas le dire ce qui se passe. » Elle s'approcha un peu plus, cherchant à créer un espace sûr pour que son amie puisse s'ouvrir.
Ivana lâcha un rire franc, le son résonnant joyeusement dans le petit café, attirant quelques regards curieux des autres clients. Elle leva sa tasse de chocolat chaud à ses lèvres, savourant la chaleur qui se répandait dans son corps, avant de poser son regard sur Emma. Leurs yeux se croisèrent, et un moment de silence s'installa, chargé d'anticipation.
« Je suis sûr que tu vas te moquer de moi ou même que ça ne va pas t'intéresser, » dit-elle finalement, sa voix teintée d'une légère nervosité.
Emma, les sourcils froncés dans un mélange de surprise et de détermination, secoua la tête vigoureusement. « Détrompe-toi, ça m'intéresse vraiment, » répondit-elle, sa voix douce mais ferme, comme pour rassurer son amie.
Ivana, un sourire timide se dessinant sur ses lèvres, se pencha un peu plus près de la table, comme si elle allait partager un secret. « Même si ça concerne Agatha ? » demanda-t-elle, l'excitation et l'appréhension se mêlant dans sa voix.
Emma, les sourcils froncés, observa Ivana avec une inquiétude grandissante. Elle pouvait sentir que quelque chose pesait lourd sur le cœur de son amie. 
« Qu'est-ce qui se passe ? » demanda-t-elle, sa voix douce mais empreinte de préoccupation.
Ivana, évitant le regard d'Emma, baissa la tête, ses cheveux tombant en cascade autour de son visage. Elle chuchota, presque inaudible, « Agatha a failli m'embrasser. »
Emma, n'ayant pas bien entendu, pencha légèrement la tête, ses yeux s'agrandissant. « Quoi ? Répète, s'il te plaît. »
Après un moment d'hésitation, Ivana prit une profonde inspiration et, d'une voix plus claire mais tremblante, répondit, « Agatha a failli m'embrasser hier soir, mais ne l'a pas fait. Je ne comprends pas son comportement. »
Les mots d'Ivana flottaient dans l'air, et Emma sentit son cœur se serrer. Elle s'approcha un peu plus, cherchant à saisir toute l'ampleur de la situation. 
« Qu'est-ce que tu veux dire par 'a failli' ? » demanda-t-elle, son ton encourageant, comme pour inciter Ivana à s'ouvrir davantage.
Ivana leva enfin les yeux, une lueur d'incertitude dans son regard. « C'était tellement inattendu... Je ne sais pas si elle ressent quelque chose pour moi ou si c'était juste un moment. »
Emma, touchée par la vulnérabilité de son amie, posa une main réconfortante sur le bras d'Ivana. « Peut-être qu'il faut lui en parler. Ça pourrait t'aider à comprendre ce qu'elle ressent vraiment. »
Ivana soupira, son regard se perdant dans le vide. « Oui, mais j'ai peur de ce qu'elle pourrait dire... et de ce que cela pourrait changer entre nous. C'était la meilleure amie de ma mère et .. fin c'est très compliqué. » 
Le café, avec ses bruits de tasses et de conversations, semblait s'éclipser autour d'elles, laissant place à une bulle de tension et d'espoir, où chaque mot échangé pesait lourd de sens.
Emma, avec un sourire délicat qui illuminait son visage, prit une profonde inspiration avant de s'adresser à Ivana. « Rien n'est jamais facile, mais je sais que si vous continuez à fuir, ça ne va pas s'arranger. »
Ivana, touchée par les mots d'Emma, esquissa un sourire en retour. « Tu peux parler, madame. Je ne fais pas de premiers pas avec Crochet. »
Emma fronça les sourcils, un mélange de surprise et de désaccord dans son regard. « Non, ne nie pas ! » insista-t-elle, sa voix prenant un ton plus sérieux. « Vous vous regardez avec amour et tu ne bouges pas tes fesses ! »
Emma éclata de rire, la tension s'estompant légèrement. « Oh vraiment ? Tu crois que je suis la seule à ne pas agir ? Et toi, qu'est-ce que tu attends ? »
Ivana, amusée, secoua la tête. « Tu es incorrigible. » 
Leurs rires résonnèrent dans l'air, créant une bulle de camaraderie et d'encouragement, alors qu'elles savaient toutes les deux que parfois, il fallait simplement oser pour avancer.
☆○o。  。o○☆
C'était le début de l'après-midi, le soleil brillait haut dans le ciel, projetant des ombres dansantes sur le sol du dojo. Ivana se tenait au centre, son cœur battant d'excitation et de nervosité. Il avait toujours rêvé de maîtriser l'art du combat à l'épée, et aujourd'hui, il avait enfin l'occasion de le faire. David,se tenait à quelques pas d'elle , une épée en main, son regard concentré et encourageant.
« Prête ? » demanda David, un sourire confiant sur le visage. « Souviens-toi, la clé est dans la posture. Tiens-toi droit et garde les yeux sur moi. »
Ivana hocha la tête, essayant de calmer les battements de son cœur. « Oui, je suis prête. Je vais essayer de ne pas te décevoir. »
« Tu ne peux pas me décevoir si tu donnes le meilleur de toi-même, » répondit David, se déplaçant lentement pour montrer le mouvement. « Regarde bien. »
David exécuta une série de mouvements fluides, l'épée dansant dans l'air avec grâce. Ivan observa attentivement, notant chaque détail, chaque geste. Il ressentait l'énergie et la passion que David mettait dans chaque coup. 
« Maintenant, à ton tour ! » lança David, un éclat d'enthousiasme dans les yeux. « Essaie de reproduire ce que je viens de faire. »
Ivana prit une profonde inspiration, leva son épée et tenta de reproduire les mouvements. Au début, il était hésitant, ses gestes manquant de confiance. David l'encouragea avec des mots réconfortants. 
« C'est bien, continue ! N'oublie pas de respirer et de te concentrer. »
Après plusieurs tentatives, Ivan commença à se sentir plus à l'aise. « Regarde, je pense que je commence à comprendre ! » s'exclama-t-il, un sourire éclatant sur son visage.
« Exactement ! » s'enthousiasma David. « Tu progresses rapidement. Je savais que tu avais du potentiel. »
Les deux continuèrent à s'entraîner, leurs rires et leurs encouragements résonnant dans l'air chaud de l'après-midi. David était ravi de partager ce moment avec Ivana, sachant que chaque coup d'épée rapprochait forgeait des souvenirs inoubliables.
Alors qu'Ivana et David continuaient leur entraînement, le soleil commençait à descendre lentement à l'horizon, projetant des teintes dorées sur le dojo. Les bruits des épées s'entrechoquant résonnaient dans l'air, accompagnés de rires et de cris d'encouragement. Ivana, concentrée sur ses mouvements, se tenait près de David, leurs corps se frôlant parfois dans l'excitation du combat. 
Mary-Margarette, adossée à un mur, observait la scène avec une expression de mécontentement croissante. Son regard se posait sur David, admirant son aisance avec l'épée, mais une pointe de jalousie s'insinuait dans son cœur. Elle ne pouvait s'empêcher de se demander ce qui se passait entre lui et Ivana. 
Lilia, perchée sur un banc à proximité, remarqua le changement d'expression sur le visage de Mary-Margarette. Elle s'approcha d'elle, prenant un ton apaisant. 
« Mary-Margarette, pourquoi es-tu si tendue ? » demanda-t-elle doucement.
Mary-Margarette croisa les bras, son regard toujours fixé sur le duo. « Tu ne vois pas comment ils se regardent ? C'est... c'est trop proche, » répondit-elle, la frustration dans sa voix.
Lilia soupira, comprenant la jalousie qui rongeait son amie. « Écoute, peux-tu s'il te plaît arrêter d'être si jalouse pendant une seconde ? » dit-elle, posant une main sur l'épaule de Mary-Margarette. « Il n'y a rien entre eux. Ils s'entraînent juste. »
Mary-Margarette tourna la tête vers Lilia, ses yeux cherchant une assurance. « Mais... » commença-t-elle, mais Lilia l'interrompit.
« Regarde-les, » insista Lilia, désignant Ivana et David qui riaient ensemble après une série de mouvements. « David est là pour aider Ivana rien de plus. Tu dois leur faire confiance. »
Mary-Margarette soupira, son regard se radoucissant alors qu'elle observait à nouveau la scène. « Peut-être que tu as raison, » admit-elle, bien que des doutes subsistent dans son esprit.
« Bien sûr que j'ai raison, » répondit Lilia avec un sourire encourageant.
Avec un léger sourire, Mary-Margarette acquiesça mais n'en n'était pas certaine.
Mary-Margarette se tenait à l'écart, son cœur battant à tout rompre alors qu'elle observait la scène qui se déroulait devant elle. Les rayons du soleil couchant filtraient à travers les arbres, créant des ombres dansantes sur le sol, mais pour elle, tout cela semblait flou et lointain. Son regard était fixé sur David, qui riait avec Ivana, son sourire illuminant son visage. Elle pouvait presque sentir la chaleur de leur complicité, comme une flamme qui la brûlait de l'intérieur.
Chaque éclat de rire de David résonnait comme un coup de poignard dans son cœur, et elle ne pouvait s'empêcher de se demander ce qu'ils partageaient, ce qui lui échappait. Les yeux de David brillaient d'une admiration sincère pour Ivana, et Mary-Margarette se sentait comme une spectatrice d'une pièce de théâtre où elle n'avait pas de rôle. La jalousie s'insinuait en elle, comme une ombre sournoise, la rendant de plus en plus mal à l'aise.
Elle se mordait la lèvre inférieure, réfléchissant à une solution, à quelque chose qui pourrait attirer l'attention de David loin d'Ivana. Ses pensées tourbillonnaient, passant d'une idée à l'autre, mais aucune ne semblait assez bonne. Elle savait qu'elle devait agir, mais comment pouvait-elle rivaliser avec la lumière que semblait dégager Ivana ? 
Mary-Margarette se leva, ses jambes tremblantes sous l'effet de l'anxiété. Elle devait trouver un moyen de briser cette connexion, de rétablir l'équilibre dans leur dynamique. Peut-être un petit commentaire, une blague, quelque chose qui pourrait faire rire David et le ramener vers elle. Alors qu'elle avançait, son esprit était en ébullition, mais son cœur savait qu'elle devait faire face à cette situation, coûte que coûte.
Mary-Margarette se tenait près du terrain d'entraînement, le soleil commençant à descendre à l'horizon, projetant une lumière dorée sur tout ce qui l'entourait. Elle regarda David, qui était en train de donner des instructions à Ivana, son visage illuminé par l'enthousiasme. Les rires résonnaient dans l'air, mais une inquiétude sourde grandissait en elle.
« Il se fait tard et nous devons préparer le repas pour Henry, » dit-elle d'une voix qui trahissait une légère nervosité, espérant attirer l'attention de David.
David se tourna vers elle, son sourire s'élargissant. « Oui, c'est vrai, tu as raison, Mary-Margarette. » Il jeta un dernier regard à Ivana, ses yeux pétillants de complicité. « Mais je dois dire qu'Ivana a vraiment bien progressé aujourd'hui. »
Mary-Margarette sentit une petite boule de jalousie se former dans son ventre, mais elle garda son calme. « Oui, elle est très douée, » répondit-elle en essayant de garder un ton neutre.
« Merci, David, » sourit Ivana, visiblement flattée par le compliment. « J'apprécie vraiment ton aide. »
David se tourna à nouveau vers Mary-Margarette, son expression devenant plus sérieuse. « Alors, qu'est-ce qu'on prépare pour Henry ce soir ? »
« Je pensais à quelque chose de simple, peut-être des pâtes avec une sauce tomate, » proposa-t-elle, cherchant à s'ancrer dans la réalité de leur tâche.
« Parfait, j'adore les pâtes, » répondit David en lui adressant un clin d'œil, avant de se tourner vers Ivana. « Et toi, tu devrais venir manger avec nous un soir. »
Mary-Margarette sentit une vague de frustration, mais elle se força à sourire. « Oui, ce serait sympa, » ajouta-t-elle rapidement.
Alors que David et Mary-Margarette s'éloignaient, elle ne pouvait s'empêcher de jeter un dernier coup d'œil à Ivana, qui semblait rayonnante sous les compliments de David. 
« Allez, on y va, » dit-elle, déterminée à ne pas laisser ses émotions prendre le dessus.
☆○o。  。o○☆
Ivana venait de rentrer chez elle, le cœur encore lourd des tensions de la soirée passée avec David et Mary-Margarette. Le dîner avait été un véritable tableau de malaises, où les conversations forcées et les sourires crispés avaient dominé l'atmosphère. Heureusement, Henry avait été là, apportant une lueur de réconfort au milieu de cette ambiance pesante. 
Une fois dans sa chambre, Ivana se laissa tomber sur le seuil, un soupir profond s'échappant de ses lèvres. Elle jeta sa veste sur la chaise près de la porte, le tissu tombant avec un bruit sourd, comme si même la veste ressentait le poids de la soirée. Ses épaules s'affaissèrent sous le fardeau des émotions accumulées, et elle ferma les yeux un instant, espérant que le silence de sa chambre apaiserait son esprit tourmenté. 
Ivana avait une seule envie : se plonger sous les draps, loin des souvenirs de cette soirée désagréable.
Ivana commença à s'approcher de la salle de bains, ses pensées encore embrouillées par les événements de la soirée. Elle était à peine en train de poser sa main sur le poignet de la porte lorsque celle de sa chambre s'ouvrit brusquement. C'était Agatha, son regard perçant la pénombre de la pièce.
« C'est à cette heure-ci que tu rentres ? » demanda Agatha, sa voix teintée d'une pointe de jalousie. Elle se tenait là, les bras croisés, une expression mêlant inquiétude et reproche sur le visage.
Ivana regardait Agatha avec surprise, mais aussi colère. Comment osait-elle ? Ses yeux s'écarquillèrent, et un soupir s'échappa de ses lèvres, trahissant son agacement. 
« Non mais je rêve ! Déjà, tu rentres sans autorisation et ensuite tu me fais des reproches ? » s'exclama-t-elle, la voix tremblante d'indignation.
Agatha, imperturbable, croisa les bras et haussait les épaules avec désinvolture. « Je me demandais juste où tu étais. Tu ne donnais aucune nouvelle, » répondit-elle, comme si cela justifiait son intrusion.
Ivana lâcha un rire nerveux, perplexe face à l'attitude d'Agatha. Elle se demandait ce qui se passait dans sa tête. « La bonne blague ! C'est toi qui m'embrasses presque pour au final repartir sans me donner aucune nouvelle, et là tu veux faire style que tu t'inquiètes ? » sa voix s'élevait, chaque mot chargé d'un mélange de frustration et de sarcasme. 
« Je mangeais chez David et Mary-Margarette, si tu veux tout savoir. J'ai même passé la journée avec eux. Une objection ? » ajouta-t-elle, défiant Agatha du regard, attendant une réaction. 
Le silence s'installa un instant, lourd de tension, alors qu'Agatha semblait chercher ses mots, réalisant peut-être l'absurdité de la situation.
Bien sûr qu'Agatha avait une objection. Elle n'aimait pas que David soit proche d'Ivana. Cette amitié la dérangeait profondément, et chaque fois qu'elle voyait Ivana rire avec lui, une jalousie sourde montait en elle. Agatha plongea son regard dans celui d'Ivana, ses yeux étincelants de détermination et d'une pointe de possessivité. 
« Écoute, » commença-t-elle, sa voix se faisant plus ferme. « Je n'aime pas David. Je ne le sens pas. » Elle marqua une pause, cherchant à peser ses mots. 
Elle s'avança légèrement, son ton devenant plus intense. « Je ne veux pas que quelqu'un s'approche de toi, pas comme ça. »
Ivana, piquée au vif, croisa les bras, défiant Agatha du regard. « Et pourquoi ça t'importe tant ? »
Ivana était blessée par le comportement d'Agatha. Chaque mot, chaque regard de cette femme  lui faisait ressentir un vide immense, comme si elle était une fois de plus abandonnée. Son cœur s'était brisé, et la douleur se mêlait à une colère sourde. Elle s'approcha d'Agatha, son visage marqué par l'intensité de ses émotions.
« Tu n'as pas le droit de jouer avec mon cœur ! » s'écria-t-elle, sa voix tremblante de rage. « Tu n'as pas le droit d'être jalouse de David, qui, au passage, est marié ! » Elle marqua une pause, le souffle court, avant de continuer, « Et je m'en fous de lui ! Tu n'as d'ailleurs pas le droit d'être jalouse tout court ! »
Agatha, surprise par la force des mots d'Ivana, recula légèrement, mais son regard restait défiant. Ivana, ne pouvant plus supporter cette tension, ajouta d'une voix ferme : 
« Sors de ma chambre ! »
Mais Agatha ne bougea pas, ses yeux se fixant sur Ivana avec une intensité qui trahissait son propre tourment. Voyant que sa demande n'avait pas d'effet, Ivana, hors d'elle, cria avec toute la force de son désespoir : 
« Dégage de ma chambre, Harkness ! »
Agatha lâcha un grognement frustré, ses poings serrés à ses côtés. « Bon sens, ce que j'aimerais pouvoir te détester, » lâcha-t-elle, sa voix tremblante d'émotion.
Ivana, les yeux brillants de colère, répliqua avec un défi dans le regard : « Bas va y, fais-le ! Déteste-toi, de toute façon tu ne peux pas m'aimer, tu n'aimes personne sauf toi. »
 Ses mots étaient tranchants, mais au fond, elle savait qu'elle ne pensait pas vraiment ce qu'elle disait. Elle était blessée, et cette douleur la poussait à blesser Agatha en retour.
Agatha, ne se laissant pas abattre, s'écria avec une intensité surprenante :
 « Ba non, désolée, je ne peux pas te détester ! Détrompe-toi, je peux aimer, et toi, tu vois, je ne sais pas pourquoi, mais je t'aime. » 
Ses yeux brillaient d'une passion ardente, et elle s'approcha d'Ivana, réduisant la distance entre elles.
« Je t'aime, et je déteste l'idée qu'une autre personne le fasse, » continua-t-elle, sa voix se brisant presque sous le poids de ses sentiments. « Je déteste quand Alice est près de toi, car elle est intéressée par toi. Je déteste quand David est près de toi, car je vois son regard qu'il pose sur ton magnifique corps. » Chaque mot était chargé d'une jalousie palpable, une vulnérabilité qu'Agatha ne pouvait plus cacher.
« Je déteste que tu puisses aimer une personne. Je déteste l'idée que tu sois loin de moi, et je détestais que tu sois la fille de Wanda ! » Elle marqua une pause, son souffle court, avant de conclure avec une intensité déchirante : « Je déteste tout ça parce que je t'aime. »
Agatha se tenait maintenant si près d'Ivana, leurs regards se croisant, une tension électrique flottant dans l'air. Les émotions tourbillonnaient autour d'elles, un mélange de colère, d'amour et de désir, alors qu'elles se faisaient face, prêtes à affronter la complexité de leurs sentiments.
Ivana se tenait là, paralysée par la surprise, ses pensées tourbillonnant dans son esprit. Les mots d'Agatha résonnaient encore en elle, comme une mélodie douce et troublante. Elle pouvait voir les yeux d'Agatha, brillants d'émotion, et elle savait que cette confession avait changé quelque chose entre elles. L'atmosphère était chargée de tension, chaque seconde s'étirant comme un élastique prêt à se rompre.
Agatha, figée dans l'instant, attendait avec une impatience palpable. Son cœur battait la chamade, chaque pulsation résonnant dans le silence qui les enveloppait. Elle avait mis son âme à nu, et maintenant, elle se tenait là, vulnérable, espérant que les sentiments qu'elle avait révélés seraient réciproques.
Ivana, quant à elle, était dans un tourbillon d'émotions. Elle avait envie de répondre, de dire quelque chose, mais les mots lui échappaient. La peur de briser ce moment parfait, de détruire l'intimité qu'elles partageaient, l'empêchait de parler. Elle se sentait comme si elle flottait entre deux mondes, celui de l'angoisse et celui de l'amour.
Finalement, poussée par une force irrésistible, elle se dirigea vers Agatha. Ses mains trouvèrent la nuque de la femme, une douceur et une tendresse dans son geste. Elle pouvait sentir la chaleur de la peau d'Agatha sous ses doigts, et avec un mélange de détermination et de douceur, elle l'attira vers elle. Leurs lèvres se rencontrèrent dans un baiser chargé de toutes les émotions qu'elles n'avaient pas pu exprimer. C'était un moment suspendu, où le monde extérieur s'évanouit, ne laissant que la connexion profonde entre elles, un lien qui promettait d'être aussi complexe que beau.
Les deux femmes s'embrassèrent avec une intensité palpable, une passion qui semblait transcender le temps et l'espace. Leurs lèvres se rencontrèrent avec une telle force qu'il était évident que rien d'autre n'importait à cet instant. Agatha, emportée par l'ardeur de ses sentiments, passa une main dans les cheveux d'Ivana, les agrippant avec une telle ferveur qu'on aurait cru que sa vie en dépendait. Ce geste était à la fois possessif et tendre, révélant l'urgence de ses émotions.
Dans cette danse de leurs baisers, Agatha plongea plus profondément, mordant doucement la lèvre inférieure d'Ivana, un geste à la fois joueur et désireux. Ce petit acte ne fit qu'intensifier l'étreinte, comme si chacune cherchait à se rapprocher encore plus, à fusionner dans une seule entité. Aucune d'elles ne voulait mettre fin à ce moment, et le baiser devint langoureux, se prolongeant dans une exploration douce et insatiable.
Agatha en profita pour rapprocher le corps d'Ivana au sien, leurs silhouettes se mêlant dans une étreinte chaleureuse. La chaleur de leurs corps se combinait, créant une atmosphère électrique, chargée de désir et de promesses non dites. Les battements de leur cœur résonnaient à l'unisson, et dans ce cocon d'intimité, elles se laissèrent emporter par leurs émotions, oubliant tout le reste. Le monde autour d'elles s'effaçait, ne laissant que l'intensité de leur connexion, une union de passion, d'amour et d'envie.
Agatha s'approcha lentement d'Ivana, un sourire espiègle sur les lèvres, ses yeux pétillants de désir. Elle glissa ses lèvres sur le cou d'Ivana, frôlant sa peau d'une douceur exquise. Le contact de ses lèvres chaudes sur la peau délicate d'Ivana provoqua un soupir de plaisir qui s'échappa des lèvres de cette dernière.
« Oh, Agatha... » murmura Ivana, sa voix tremblante d'anticipation.
Ivana pencha la tête en arrière, offrant son cou à Agatha, savourant chaque caresse. Le souffle chaud d'Agatha sur sa peau la faisait frémir, et elle ferma les yeux un instant, se laissant emporter par la sensation. 
« Tu aimes ça, n'est-ce pas ? » chuchota Agatha, sa voix douce comme un velours, tandis qu'elle léchait délicatement la peau d'Ivana, accentuant chaque mouvement avec une tendresse ardente.
« Oui... ne t'arrête pas, » répondit Ivana, sa respiration s'accélérant alors qu'elle profitait de ce moment intime.
Soudain, Ivana, emportée par l'élan de la passion, commença à enlever les vêtements d'Agatha, ses doigts effleurant la peau douce et chaude.
Chaque fois qu'Ivana enlevait une épaisseur de vêtement à Agatha, ses doigts effleuraient délicatement la peau de la femme, créant une atmosphère chargée de tension. Les mouvements d'Ivana étaient lents, presque cérémonieux, révélant un corps aux courbes douces, tandis qu'Agatha la regardait avec une intensité admirative. 
Soudain, Agatha, avec un sourire espiègle, poussa Ivana sur le lit, la surprise dans ses yeux. Elle commença alors à enlever les vêtements d'Ivana, ses mains glissant avec soin sur sa peau, chaque contact laissant une traînée de chaleur. 
Agatha déposa des baisers tendres sur la poitrine d'Ivana, ses lèvres douces et chaudes suscitant des frissons. Elle descendit lentement vers son ventre, chaque baiser étant une promesse de passion. Ivana, perdue dans l'instant, se laissa aller à la sensation, son corps réagissant à chaque caresse, créant un lien intime entre elles.
Agatha laissa alors sa langue glisser lentement sur le ventre d'Ivana, savourant la douceur de sa peau. Un frisson parcourut le corps d'Ivana, tandis qu'Agatha remontait, ses lèvres effleurant délicatement le chemin vers son cou.
« Tu es si belle, » murmura Agatha, sa voix chaude et sensuelle, tandis qu'elle embrassait tendrement la clavicule d'Ivana. 
Cette dernière frissonna à ce contact, un sourire complice se dessinant sur ses lèvres. Ivana, envoûtée par cette intimité, passa ses doigts sur le dos d'Agatha, traçant des motifs délicats. 
Soudain, Ivana se retrouva au-dessus d'Agatha, plongeant son regard dans le sien. Elle commença à passer ses mains sur la poitrine d'Agatha, jouant avec douceur, ses doigts explorant chaque courbe.
Agatha laissa échapper un soupir de plaisir, ses yeux se fermant sous l'effet de la sensation. « Oui, continue... » murmura-t-elle, invitant Ivana à approfondir ce moment partagé. 
Les deux femmes étaient enveloppées dans une bulle de chaleur et de désir, chaque geste renforçant le lien qui les unissait, tandis que le monde extérieur s'effaçait lentement, ne laissant place qu'à leur passion.
Ivana, avec une douceur infinie, laissa sa main glisser lentement vers l'intimité d'Agatha. Chaque mouvement était mesuré, empreint d'une tendresse qui faisait palpiter le cœur d'Agatha. Lorsqu'elle commença à caresser délicatement, une vague de sensations parcourut le corps d'Agatha, la faisant se mordre la lèvre inférieure, tentant de réprimer un soupir de plaisir qui menaçait d'échapper à ses lèvres.
Le regard d'Ivana était illuminé d'un grand sourire, un mélange de malice et de tendresse. Elle se pencha alors pour déposer des baisers doux et délicats sur la poitrine d'Agatha, chaque contact de ses lèvres envoyant des frissons le long de son corps. Agatha se laissa aller à ce moment, ses yeux se fermant sous l'effet de la chaleur et du plaisir, savourant chaque caresse et chaque baiser.
« Tu es incroyable, » murmura Ivana entre deux baisers, sa voix douce résonnant comme une mélodie
Agatha, perdue dans cette intimité, ne pouvait que sourire en retour, se laissant emporter par l'instant, par la magie de leur connexion.
Décris cette scène avec des beaucoup de détail et des dialogue : Plus ivana caresser l'intimité de Agatha plus Agatha  gémisse. Ivana commença alors à jouer avec le clitoris de Agatha pour son plus grand plaisir. Agatha ferma les yeux profitant de ce moment  pendant un long moment avant de venir chuchoter à l'oreille de Ivana 
« Tu ne vas pas t'en sortir comme ça » 
Agatha viens alors échanger les places. Elle viens alors mordiller l'oreille de Ivana tout en lui caressant délicatement le ventre. Agatha viens alors reprendre le dessus et monta sur Ivana, elle déposa des baiser sur son bas ventre tout en faisant frissonnais la jeune femme. Agatha viens alors déposer des baiser sur la cuisse de Ivana elle voulais la taquiner la rendre folle et sa fonctionner. 
Les deux femmes se trouvèrent enveloppées dans une atmosphère de sérénité, la lumière tamisée de la chambre créant une ambiance chaleureuse. Leurs rires légers résonnaient dans l'air, comme une douce mélodie, tandis qu'elles se rapprochaient l'une de l'autre. Les draps en satin glissaient sur leur peau, ajoutant une touche de luxe à cette nuit tant attendue.
Le moment  passa  sans qu'elles s'en rendent compte, chaque geste, chaque regard renforçant leur connexion. Les murmures  de leurs envies, enfin libérés, créaient une symphonie de plaisir et de complicité. Cette nuit parfaite, loin des attentes du monde extérieur, leur offrait un refuge où elles pouvaient s'abandonner à leurs sentiments, savourant chaque seconde de ce doux moment d'intimité.
☆○o。  。o○☆
Lucillia se tenait devant la boutique de Monsieur Gold, une petite échoppe nichée au cœur d'une rue pavée, entourée de bâtiments aux façades colorées. La lumière du soleil filtrée par les nuages créait des ombres dansantes sur le sol, et l'air était chargé de l'odeur des vieux livres et du bois poli. Elle observa la vitrine, où des objets anciens brillaient faiblement, attirant son regard curieux.
En poussant la porte, un léger carillon retentit, annonçant son arrivée. À l'intérieur, l'atmosphère était empreinte de mystère. Les murs étaient tapissés d'étagères en bois sombre, remplies de trésors oubliés : des horloges aux mécanismes complexes, des globes terrestres jaunis par le temps, et des cadres ornés de portraits d'antan. Chaque objet semblait raconter une histoire, et Lucillia se laissa emporter par cette ambiance envoûtante.
Elle déambula lentement entre les allées, ses doigts effleurant les surfaces rugueuses des antiquités. Son cœur battait à l'idée de trouver le cadeau parfait pour Lilia, celle qui avait toujours été là pour elle, la guide et la confidente. Au fond de la boutique, un éclat attira son attention. Un bracelet en argent délicatement travaillé, orné de petites pierres colorées, scintillait sous la lumière tamisée. Lucillia s'approcha, fascinée, imaginant déjà Lilia le portant, son sourire illuminant son visage. Ce geste serait une façon de lui montrer à quel point elle comptait pour elle, et elle savait que cet objet, chargé de sens, serait le parfait symbole.
Lucillia se dirigea vers le comptoir, le cœur battant d'excitation. Elle posa le bracelet délicat devant Monsieur Gold, un homme à la stature imposante, aux cheveux argentés et à la barbe bien taillée. 
« Bonjour, Monsieur Gold, je voudrais payer ceci, s'il vous plaît, » dit-elle avec un sourire chaleureux.
Gold leva les yeux de son travail, son regard se posant sur le bijou. À cet instant, il sembla figé, ses yeux s'écarquillant en reconnaissant le collier que Lucillia portait autour de son cou. 
« Ce collier... je le connais, » murmura-t-il, la voix tremblante d'émotion. 
Lucillia, surprise par sa réaction, inclina lég��rement la tête. « Vous le connaissez ? C'est un héritage de ma famille, je l'ai toujours eu. »
Gold, toujours sous le choc, hocha la tête et se mit à encaisser le paiement. Il lui rendit la monnaie, mais son regard restait rivé sur le collier. 
« Tout va bien, Monsieur Gold ? » demanda Lucillia, un brin inquiet.
« Oui, oui, tout va bien, » répondit-il rapidement, mais Belle, qui observait la scène depuis l'arrière-boutique, avait remarqué l'étrange comportement de Gold.
Lorsque Lucillia quitta la boutique, Belle s'approcha de Gold, le regard interrogateur. « Qu'est-ce qui se passe ? Tu sembles... troublé. »
Gold soupira, son regard se perdant dans le vide. « Ce collier, je l'ai fait pour ma défunte fille, » avoua-t-il enfin, une tristesse palpable dans sa voix.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
Merci à tous d'avoir pris le temps de lire ce chapitre.J'espère qu'il vous à plut
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ernestinee · 2 years ago
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- Il va faire beau cette semaine
- Il y a une profusion d'herbes, de fleurs, de feuillages, c'est si joli j'adore ce moment du printemps !
- Je lis mon livre-safeplace en ce moment
- J'ai une patiente qui a fêté ses 17 ans la semaine dernière, c'est ma plus âgée pour l'instant, et pour la première fois de sa vie, après plusieurs années de rééducation, a réussi à souffler seule les bougies de son gâteau. Elle m'a dit que c'était son meilleur cadeau.
- J'ai une autre patiente, qui va avoir un an et demi, ma plus jeune, qui a réussi à signer deux mots à la suite pour signifier quelque chose : aimer + musique. Elle est malentendante et sa première phrase est qu'elle aime la musique. J'étais émue en séance et sa maman aussi, trop beau moment.
- J'ai perdu 2kg en une semaine, mais c'est de la sueur sans doute vu que c'est en faisant 100 km à vélo (bon, dans mon salon)
- Mars, avril et mai 2023 sont infiniment plus agréables que mars, avril et mai 2022. Tout passe, tenez bon.
- Des pies ont fait un nid en haut du chêne du jardin. J'adore entendre les différents tons de leurs cris. J'ai vu une vidéo où un homme depose des objets pour un corbeau et au bout d'un moment, le corbeau lui donne des cadeaux en échange, j'ai envie d'essayer avec des objets brillants.
- Les légumes que j'ai semés poussent et les fraisiers sont superbes, j'ai hâte de récolter et en même temps j'adore savourer le temps que ça pousse et l'attente.
- Les oxalis ne sont pas morts, ils prenaient juste leur temps.
- L'ado se pose enfin des questions sur son avenir scolaire et il se voit bien dans une pédagogie du projet à partir de ses 16 ans (dans un an et demi 😱) Après enquête approfondie, il semblerait que l'argument de départ est qu'il pourra être en survet à l'école. "Oui mais apprendre en projet ET être relax pour le faire ça peut être trop bien" dit-il. Bon, c'est chouette qu'il se projette un peu et qu'il n'ait pas peur du trajet, car l'école est à 2h de train + bus + marche d'ici et je ne serai pas dispo pour aller le chercher.
Hum il doit y avoir des trucs négatifs, par soucis d'objectivité. J'ai mal au ventre, mes abrutis de chats se sont relayés pour m'empêcher de dormir jusqu'à 2h du mat et à partir de 5h, j'ai une flemme monumentale, j'ai zéro vie sociale en dehors du boulot, je pensais aller faire des courses ce matin pour organiser la semaine mais on vient de me prévenir qu'on venait livrer 4 stères de bois.
Oh tu sais quoi fuck l'objectivité.
- On reçoit la moitié du bois aujourd'hui, c'est ça en moins à penser plus tard et en plus ça va faire des abdos et des bras pour le rangement
- Les chats sont chiants mais adorables. Mais chiants. Mais adorables. Je ne serais pas aussi heureuse sans eux, je serais juste moins fatiguée mais c'est pas si sûr en fait, si je n'étais pas fatiguée à cause d'eux, je le serais probablement à cause d'autre chose.
- Je m'en fous de ma vie sociale, en vrai. Mes patients sont choux, leurs parents sont cools, j'ai quelques chouettes potes que je ne vois jamais, et je ne vois jamais non plus la best des best mais par contre ça papote et ça papote et ça va quand même très bien comme ça.
- La flemme a été entendue et deux patients sont absents hahahahaha l'univers est avec moi
- j'ai mal au ventre de fouuuu mais je suis une warrior voilà. (Je vais prendre un truc et ça ira mieux mais j'ai la flemme d'aller jusqu'à la cuisine vois-tu)
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tournesolaire · 11 months ago
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J'ai l'impression d'avoir vraiment rien fait de la journée, mais c'est pas grave
J'ai quand même lu quelques pages de The Dead, j'ai regardé 20 minutes de l'adaptation en film et c'est déjà bien vu comment c'est long ;-;
J'ai aussi cherché plein de recettes pour mercredi, comme il travaille et que dans tous les cas financièrement ce mois-ci c'est vraiment vraiment compliqué je sais qu'on fera rien "à l'extérieur" alors j'ai au moins envie de préparer un petit repas mignon, et puis j'allumerai quelques bougies, de l'encens et j'essaierai de me faire jolie
J'ai lavé mes cheveux et je me suis dit que ça serait chouette de changer un petit peu. Les beaux jours vont revenir alors je vais retrouver ma légèreté, je vais redevenir une enfant dans mon coeur, et je me suis dit que ça commençait toujours par tresser mes cheveux, alors j'ai fait deux nattes
J'ai aussi préparé mes vêtements pour demain, parce que j'ai envie d'être jolie. J'ai envie de me reprendre en main et plus de me laisser sombrer, noyée dans des vêtements toujours trop grands et sombres, alors demain je vais mettre ma belle robe bleue avec les petites fleurs blanches et mon gilet jaune
Toute pleine de couleurs
J'ai hâte de le voir demain
J'ai hâte de le serrer contre moi et de sentir son cœur battre tout contre le mien
J'ai hâte de tenir ses mains dans les miennes, comme un trésor
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abdou-lorenzo · 2 years ago
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J’aime la simplicité
les effusions tendres
l’absence de prétention
l’œil qui s’allume
au contact des terres basses
la sagesse du paysan
le courage de l’ouvrier
l’émotion d’un enfant
à la vue d’une fleur
la liberté de l’oiseau
la malice d’un rouge-gorge
la ferveur des amoureux
J’aime aimer
à la lueur d’une bougie
sans me la raconter
avec l’âme pleine
et l’esprit tranquille....💞✨🥀
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33-noctambule-33 · 2 years ago
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☆ Nouvelle Lune en Poisson ☆
Une nouvelle lune apporte l'énergie nécessaire à amorcer un nouveau départ, à débuter un nouveau projet, à tourner une page, à s'affranchir d'anciennes habitudes ou croyances et à adopter de nouveaux paradigmes.
cette nouvelle lune sous le signe du Poisson est une lune profitable pour nous plonger dans une introspection, pour prendre note de ce qui nous anime, de qui nous sommes réellement.
C'est un temps où nous pouvons avoir besoin de nous retrouver seul, de réfléchir, de faire le tri, de rêver à nos diverses aspirations, d'écouter notre intuition profonde.
Pour ma part, je profite des énergies de cette lune nouvelle pour prendre le temps pour moi ( pas toujours évident quand on est maman de trois enfants) et cela passe par de petites choses faciles à faire mais toujours réalisé en pleine conscience.
Prendre soin de mon corps avec un petit gommage au gros sel, une tisane à la lavande et à la fleur d'oranger, porter des vêtements dans lesquels je me sens bien, allumé une bougie avec une intention, un petit tirage de nouvelle lune, le petit rituel du verre d'eau d'Arlette Alias @lespetitschaudrons , une lecture qui me fait du bien...
il n'y a pas de bonne ou de mauvaise façon de faire, l'important c'est de faire ce qui resonne en nous.
⭐️
#nouvellelune
#newmoon #intention #moonmagick #lunemagique #witchesofinstagram #witchvibes #sorcieresdinstagram #sorciere #zodiacsigns #zodiaque #oracle #cartes #lunologie #lunologiecartesoracles #alliancemagique #spiritualité #esoteric #esoterisme #lapislazuli #lithotherapie #magie #manifest #lifestyle
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lilias42 · 1 year ago
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Deux reines opposées : Héléna Alexane Charon et Anselma Von Arundel dit Patricia Arnim
Deux nouvelles têtes qui ont un visage ! Héléna et Patricia sont là ! A la base, je voulais les faire sur les modèles des dames comme sur une carte à jouer avec Patricia qui est la dame de coeur et Héléna la dame de pique mais, j'avais que des feuilles A4 alors, ça aurait été compliqué de faire tous les détails et ça ne rendait pas bien dans ma tête alors, je suis partie sur un dos à dos.
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(je les ai dessiné sur deux pages différentes alors, c'est pour ça que la qualité de lumière est différente, surtout que bon, vu la chaleur qui fait, les fenêtres sont bien verrouillées pour ne pas la laisser entrer... et on voit aussi Patricia par transparence sous Héléna, le papier est fin...)
Pour plus de détail et mieux les voir toutes les deux :
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Dans mon histoire, elles se ressemblent beaucoup toutes les deux de traits, et avec mon trait qui fait tous les visages identiques, c'est le cas ici aussi avec leurs yeux dans le même bleu et de même forme, et aussi avec leurs cheveux dans tous les sens et épais mais pour le reste, j'ai vraiment essayé de les faire les plus opposées possibles, et vu que je me suis bien amusé avec la symbolique, petite explication !
Héléna est toute en bleu pour marquer qu'elle est faerghienne, bien sûr, mais aussi la reine et qu'elle se dévoue à son pays. Même si ses manches sont légèrement bouffantes, elles restent assez près du corps et pratique, épousant plus la forme de ses avant-bras qui laisse voir sa musculature. La dame est une Charon, elle sait se battre. Elle n'a d'ailleurs en bijou qu'un collier qui a la forme de l'emblème de Blaiddyd autour de son cou et une simple couronne assez légère pour marquer son statut de reine régnante.
Elle tient une épée dans la main où il est écrit sa devise "Por regnum per Lex", "Pour le Royaume par la Loi" (normalement, si j'ai pas fait de faute de latin) et avec l'emblème de sa famille car, c'est le glaive de la justice, sa famille étant de la très haute noblesse, mais surtout une famille de juristes et d'homme de loi, elle-même connaissant parfaitement la loi et pouvant rendre la justice comme juge ou défendre les innocents comme avocate. La main qui tient son épée est protégée par un gantelet pour rappeler qu'elle se bat à main nue et elle a des ongles assez courts car, elle les use à l'entrainement et que c'est plus pratique pour tenir une plume. Elle a également ses longs cheveux attachés en tresse pour éviter qu'elle ne la gêne, même s'ils s'échappent un peu (Dimitri et elle ont tous les deux des cheveux assez rebelles qui partent dans tous les sens). De base, elle devait avoir la peau blanche mais, étant donné qu'elle est une Charon et qu'elle s'entraine à l'extérieur, je l'ai colorié pour lui donner une peau bronzée.
Elle est également enceinte de Dimitri ici, qu'elle protège en posant sa main sur son ventre, et elle regarde droit devant elle sans se détourner et imperturbable. J'ai essayer de faire en sorte qu'elle ait l'air de regarder vers l'avenir sans faiblir, autant pour son Royaume que pour son enfant à naitre.
Enfin, il y a une fougère avec une bougie au premier plan. La fougère, c'est parce que dans le langage des fleurs, cela signifie "confiance et sincérité", ce qui lui correspond très bien, surtout dans sa relation avec les autres et dans ce qu'elle renvoie (Dimitri est vraiment le fils de sa mère). Au début, il devait aussi avoir une fleur de digitale devant elle car, ça signifie "ardeur, travail" et que là aussi, ça colle bien à son histoire, surtout que c'est comme la digitale qui est surtout une fleur toxique malgré ses vertus médicinales, c'est son travail et son épuisement de toujours balayer derrière Lambert qui finit par la tuer. Elle n'apparait pas au final car, ça aurait déséquilibrer tout en rajoutant une pauvre fleur mal dessinée sur le côté. La bougie, c'est également une référence à Lambert qui la compare à une bougie qui éclaire son chemin.
Côté Patricia, c'est totalement l'inverse ! Même si ça rend assez marron, c'est normal du rouge Bordeaux plus ou moins clair et sombre qu'elle porte pour rappeler son lien avec l'Empire. Ses manches sont tellement bouffantes qu'elles sont assez gênantes pour travailler / se mouvoir et contrairement à Héléna, elle porte beaucoup de bijoux, que ce soit ses colliers avec des rubis, ses bracelets ses bagues (même si elle n'en a aucune sur l'annulaire), sa ceinture de plaque en métal dorée ou sa pomme de senteur à sa taille. D'ailleurs, j'ai essayé de faire ressembler sa pomme de senteur à un emblème de Seiros stylisé pour rappeler qu'à la base, elle est mariée à Ionius et qu'elle est la mère d'Edelgard mais bon, c'est pas flagrant... au moins, ça ressemble à une fleur comme pour CF...
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Elle, elle tient des fleurs de tubéreuses qui signifient "volupté, liaisons dangereuses" à cause de son histoire avec Lambert qui va mettre tout le Royaume en danger car, le roi est tombé amoureux d'elle et qu'il va faire passer les sentiments et la sécurité de Patricia avant tout son Royaume et ses habitants (notamment en l'épousant et en l'écoutant aux pires moments).
Patricia est à moitié tourné vers l'arrière pour faire comme si elle regardait Héléna en rongeant son frein de jalousie avec son visage à moitié dans l'ombre. Elle ne supporte pas cette femme à qui elle ressemble en apparence mais pas du tout en caractère, même si elle ne l'a jamais connu, et que tout le monde chante ses louanges après sa mort pour être une reine formidable, ce qui provoque des crises de jalousie de sa part.
Elle a une peau très pale et des ongles plus longs qu'Héléna (au point qu'elle ne peut pas fermer le poing sans se piquer, d'où le fait qu'elle ne serre pas son poing gauche) pour souligner qu'elle travaille moins qu'elle, ne s'entraine pas et pour rappeler que techniquement, elle vit en recluse donc, elle ne doit pas souvent sortir dehors en plein soleil pour ne pas se faire trop voir.
Enfin, au premier plan, c'est des fleurs de cigüe, soit une des plantes les plus toxiques de l'hémisphère nord (c'est comme la digitale en pire, n'en touchez jamais). Dans le langage des fleurs, elle est tout aussi sympathique car, elle signifie "perfidie, poison, trahison", ce qui colle bien à son histoire vu qu'elle est très active dans la Tragédie de Duscur de mon côté. Pour les flammes, c'est aussi à cause des comparaison de Lambert : il compare plus sa relation avec Patricia à un feu de forêt, très passionnelle mais, qui est aussi imprévisible et très destructrice alors, j'ai essayé de le représenter avec des flammes qui brûle la page où elle est dessinée, vu que son côté destructeur va aussi finir par la tuer à Duscur quand elle deviendra inutile aux agarthans et en découvrant que son frère s'est fait remplacé par Thalès.
Voilà ! Désolé pour les pavés mais, j'avais mis pas mal d'idée de symbole dedans alors, j'avais envie de tout expliquer ! J'espère en tout cas qu'elles vous plaisent toutes les deux !
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ladyniniane · 2 years ago
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Camp NaNo 6
(Alors oui, j’aimerais pouvoir dire que j’invente des paroles en latin, mais la chanson dans cet extrait est d’Hildegard von Bingen)
La messe commencerait bientôt. Svanhild incita Rowan à s’assoir près d’elle. La diaconesse avait l’impression que le sol s’effondrait sous chacun de ses pas. Le garçon n’avait cependant pas à payer pour ses tergiversations.
- Nerveux ? Devina-t-elle.
Il était tendu sur sa chaise, les mains crispées, comme sur le point d’en oublier de respirer.
- Oui, c’est ma première messe et puis…tous ces gens, marmonna-t-il.
- Les gens tu les emmerdes, rétorqua-t-elle avec aplomb.
L’expression surprise du jeune diacre lui tira un sourire complice. Ce dernier  laissa aussitôt filer un rire franc. Son aînée si fière et droite l’avait intimidé au début. Il n’y avait qu’à voir sa manière de se tenir pour comprendre que les gens devaient filer droit quand elle se mettait en colère.
- Plus sérieusement. C’est eux qui sont là pour t’écouter et pas l’inverse. Personne n’interrompra la liturgie pour te dire que tu as fait une erreur. Si l’assistance te dérange, ne la regarde pas. Fixe un point vers le fond. Enfin, ça dépend. Tu peux t’amuser à les regarder parfois. Certains somnolent, d’autres rêvassent ou discutent en pensant qu’on ne les entend pas…c’est très distrayant. Et puis tu viens d’arriver donc on ne te demandera rien aujourd’hui. Contente-toi d’observer ce que je fais, termina-t-elle.
(...)
Svanhild avait l’impression d’être une comédienne sur le point de faire son entrée. Voir qu’un masque de théâtre avait remplacé sa vocation la rendait malade. Elle se sentit hypocrite.
La messe commença. L’assistance était nombreuse ce jour-là, une mer de visages lui faisait face. Svanhild aurait pu réciter la liturgie en dormant. Pourtant, les contours de l’univers changeaient en permanence. Les murs se craquelaient, les bougies fondaient et les fleurs pourissaient. Les motifs sur le dallage lui paraissaient étrangers. La diaconesse prêta une attention nouvelle à la manière dont les ombres projetées par les cierges dévoraient le coin des murs.
Svanhild supposa que c’était cela avoir le mal de mer. Née au large, elle avait fait ses premiers pas sur le pont d’un navire et supportait sans broncher les oscillations qui faisaient rendre leurs tripes aux autres passagers.
Le salut vint pourtant au milieu de tous ces visages lisses, en quête de quelque chose qu’elle ne pouvait leur offrir. Mèches châtain clair ondulées, yeux sombres espiègles, teint bruni par le grand air…Oleg ! Son ami s’était installé au premier rang et lui adressa un grand sourire malicieux. Svanhild n’aurait jamais cru le voir ici. 
Vint alors son tour de chanter, elle s’avança alors et entonna d’une voix pure :
O Ecclesia
oculi tui similes saphiro sunt
et nasus tuus est
sicut mons mirre et thuris
et os tuum quasi sonus
aquarum multarum
(Ô Eglise
Tes yeux sont semblables au saphir
ton nez est comme une montagne
de myrrhe et d’encens
et ta bouche comme le son
d’eau multiples)
“Ô Eglise, je croyais retrouver dans tes bras la sérénité dorée de mon enfance, la foi confiante et absolue. J’ai désiré ta beauté et tes mystères. Je croyais voler, je suis tombée à terre. Tout le mal vient de moi. Adieu.”
(...)
- Toi ici ! Les vaches vont-elles se mettre à voler ? Ironisa-t-elle
- Je me suis dit que j’allais entrer dans une église au moins une fois dans ma vie. J’étais curieux de voir comment tu te débrouilles. Tu chantes bien, la complimenta Oleg.
- Mais toi tu n’as pas ouvert une fois la bouche, dommage j’aurais bien aimé t’écouter aussi, rétorqua Svanhild, complice.
- Il n’y a qu’une seule langue dans laquelle je chante bien. Plus sérieusement, ton père m’a envoyé porter un message en ville alors je suis passé voir comment tu allais.
Reconnaissante, Svanhild lui sourit, mais son expression était nimbée de tristesse. Elle paraissait se forcer à être gaie. Le fleuve gris de l’anxiété l’entraînait dès qu’elle ne faisait plus attention.
- On va boire quelque chose ? Je connais un endroit où il n’y a pas trop d’adrestiens, proposa-t-elle.
- Tu vas y aller habillée comme ça ? C’est audacieux ! Rit Oleg.
- ça ira les habitués me connaissent de toute façon. Et je pourrais au moins dire que j’aurais été dans une taverne en habit écclésiastique une fois dans ma vie.
(...)
- Quand repars-tu ? Questionna-elle lorsqu’ils se furent attablés un peu l’écart et qu’elle fut sure que les autres ne les écoutaient pas.
-  Dans deux jours, l’informa son ami.
- Très bien, je rentre avec toi, annonça brusquement Svanhild.
- Est-ce qu’il t’es arrivé quelque chose ? Chuchota-t-il se penchant légèrement.
- Non, il ne s’est rien passé de grave, j’ai simplement compris que cette vie n’était pas pour moi, grinça-t-elle. Je vais revenir participer aux affaires de la maison.
Elle se sentait  idiotede s’être déjà vue évêque, d’avoir tant espéré. Tout se terminait sur un échec, un paquets de rêves calcinés. Il faudrait rentrer et affronter les questions, les regards de ceux qui ne comprendraient pas.
Le plus terrible restait le sentiment de déception, comme un goût de cendre en bouche. Svanhild avait été persuadée d’avoir trouvé sa voie, sa place en ce monde. La lumière, la paix et le salut lui avaient été refusés. Tous ces efforts pour mettre cette tristesse à distance, se dire que cela passerait, que c’était juste la frustration de s’être trompée, n’empêchaient pas l’eau de revenir.
-Je comprends. Tu cherchais un absolu, tu étais persuadée de l’avoir trouvé, mais cela t’a échappé. Ou alors ce n’était pas comme tu l’imaginais. Mais ne t’en fais pas, ça ne veut pas dire que parce que tu ne l’as pas trouvé maintenant que tu ne l’auras jamais, consola Oleg.
Il avait dû lui aussi renoncer à cette vaste steppe qui hantait ces rêves. Tous ceux qui approchaient les dieux n’étaient pas sauvés, Oleg en avait vu un et avait été perdu. Aucune langue ne possédait de mots pour définir la terreur ressentie ce jour-là. Ses lèvres resteraient scellées jusqu’à sa mort.
-Merci Oleg, tu es un vrai ami, complimenta-t-elle avec une main sur le coeur.
-Je suis ton ami et je serai toujours là si ça ne va pas. Et quand on sera à la maison, je ferai des crêpes Sreng, promit-il.
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lesperlescachees · 2 years ago
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Écriture et dépression
Donna Tartt écrivait dans le Chardonneret : "Si la souffrance rend noble, alors lui c'est un prince"
La souffrance est une esthétique bien connue et popularisée dans le monde artistique et notamment la sphère littéraire. Les chansons d'amour triste, les tragédies antique dépeignant la tristesse et la difficulté de l'existence, les courants philosophiques...
Bref, souffrir c'est stylé.
Écrire sur cette souffrance, ça l'est encore plus. J'ai en tête de file Baudelaire et ses Fleurs du mal qui dépeint la beauté dans l'horreur.
Depuis la nuit des temps, les écrivains utilisent leur vécu et puisent en eux pour produire des textes géniaux ou juste horribles (dans le bon sens du terme). Qui n'a jamais rêvé de l'écrivain torturé qui écrit à la lueur de sa bougie sur son bureau tout en se lamentant sur son existence ?
Qui n'a jamais rêvé que son mal être serve son génie ?
Car il faut bien l'admettre, si l'écriture est un exutoire pour certains, la course à la productivité et la qualité devient presque une raison d'être pour d'autre. Le défouloir vient justifier une obsession, il devient un prétexte.
C'est pour ça qu'aujourd'hui je viens discuter de dépression et d'écriture en abordant l'angle de la romantisation de la souffrance.
Un jour, quelqu'un m'a dit "Si tu fais de l'art, alors tu es un artiste". Quand j'y repense, cette phrase parait si simple mais a réussi à désamorcer en moi les nombreuses heures et journées passées à douter de moi-même et de ma légitimité à être une autrice, une écrivaine, une artiste.
Parce que finalement, peut-être qu'il ne suffit que de produire et de faire pour être, n'est-ce pas ?
Ou peut-être que non.
Peut-être que pour être un artiste, se considérer comme tel, il faut pratiquer un art et le pratiquer bien. Et finalement, savoir si on écrit "bien" ou "mal" dépend de beaucoup de critères extérieurs aux notres.
Le piège, quand on fait de l'art et que l'on ne va pas bien, c'est que l'on essaye de maintenir cet état pour continuer à produire quelque chose que l'on considère comme "bon".
J'aime imaginer la dépression comme un monstre qui se nourrit toujours plus de nos idées noires, de nos insécurités, de notre mal-être. Plus cette bête grandit, plus elle est capable de partager avec nous ce qu'elle consomme pour grandir, nous obligeant à la nourrir toujours plus.
On va mal alors on ne sort pas, mais il faudrait sortir pour aller mieux mais on n'a pas la force de le faire alors... Le cycle continue.
Tout ce que je dis relève de la métaphore, je sais bien évidemment que la dépression est une maladie capable de revêtir bien des aspects selon les périodes et les personnes.
Quand on est plus bas que terre, que rien n'est capable de nous rendre heureux, que plus rien n'a de goût, l'écriture peut représenter un phare dans une mer de ténèbres. La seule lumière, le seul plaisir que cette maladie est capable de nous accorder.
Mais peut-être que écrire n'aide pas autant que ça.
Peut-être que oui, ça aide à se changer les idées, à faire quelque chose quand la seule action que tu peux effectuer dans tes pires jours c sortir de ton lit pour aller aux toilettes et effectivement mettre ses pensées sur papier permet de s'en décharger un peu mais écrire c'est aussi une discipline que l'on peut s'imposer pour produire quelque chose.
On parle souvent de l'impact et l'effet que certaines lectures peuvent avoir sur le lecteur mais pas assez de ce que les écrits peuvent faire à son auteur.
Quand les seules choses que l'on arrive à écrire est à l'image de notre état mental, on finit par se dire que c'est finalement la seule manière possible de pondre quelque chose de potable.
Quand on se dit que la beauté de nos mots ne réside que dans le mal-être que l'on décrit alors on se force à rester dedans pour écrire toujours plus de "belles choses", de bons textes.
J'imagine que le terme "se forcer" semble un petit peu fort mais pour moi, c'est l'un des seuls capable de décrire le plus fidèlement ce processus.
Je sais bien qu'il est plus facile de se replonger dans son mal être qui, en étant quotidien, ressemble presque à une couverture chaude dans laquelle on se blottit en hiver. Et ici, je ne parle pas de complaisance mais plus, une recherche de bien être dans le malheur.
Écrire fait du bien, on se sent enfin utile, on arrive enfin à faire quelque chose alors même si pour ça il faut maintenir un état psychologique difficile, c'est un petit prix à payer en comparaison à tout le reste que cela apporte.
Si on reprend la citation du Chardonneret, les écrivains sont des membres éminents d'une noblesse tourmentée.
Sans que l'on s'en rende compte, la dépression et ses idées sombres viennent teinter chaque parcelle de notre créativité, s'imprègne dans les détails de nos écrits. Et c'est beau, certains auteurs basent tout leur ouvrage dessus.
Mais est-ce réellement nécessaire ? Est-ce réellement sain ? Les écrivains sont-ils réellement des êtres voués à exposer leur souffrance d'une manière géniale ?
Doit-on produire ou être un génie pour être auteur ?
"Si tu fais de l'art, alors tu es un artiste"
Il ne s'agit que de ça. À bas la "qualité", à bas le mot, le pertinent, l'inédit. À bas la sécurité de produire quelque chose qui ne sort pas des sentiers battus par peur, à bas l'envie de produire quelque chose de triste parce que sinon, on n'écrit juste pas.
Mes adelphes écrivains, mes scribouillards préférés, mes artistes incompris. Soyez indulgent avec vous-même et autorisez vous l'échec, le moche, le rien. Car tout ceci fait partie de vous et vous êtes des artistes.
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le-monde-creative · 2 years ago
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10 idées de projets créatifs a réalisé chez soi
Vous cherchez des idées pour occuper vos journées à la maison ? Pourquoi ne pas vous lancer dans un projet créatif ? Non seulement cela vous permettra de développer votre créativité, mais cela peut également être une activité très relaxante et méditative. Voici 10 idées de projets créatifs à réaliser chez soi, qui conviennent à tous les niveaux de compétence.
Fabriquez des bougies parfumées : Achetez de la cire à bougie, des mèches, des huiles essentielles et des récipients en verre pour créer des bougies uniques et parfumées.
Créez des bijoux en perles : Achetez des perles colorées et des fournitures pour bijoux pour créer des bracelets, des colliers ou des boucles d'oreilles uniques.
Customisez vos vêtements : Utilisez des peintures pour tissus, des pochoirs et des patchs pour donner une seconde vie à vos vieux vêtements.
Réalisez un scrapbook : Rassemblez des photos, des tickets, des cartes postales et d'autres souvenirs pour créer un album de scrapbooking qui raconte votre histoire.
Peignez une toile : Achetez une toile, des pinceaux et de la peinture acrylique pour créer votre propre œuvre d'art.
Fabriquez des pots de fleurs : Utilisez de l'argile, de la peinture et des paillettes pour créer des pots de fleurs uniques pour votre maison.
Créez des cartes de vœux : Utilisez du papier cartonné, des tampons et des encres pour créer des cartes de vœux personnalisées pour vos amis et votre famille.
Fabriquez des décorations murales : Utilisez des branches, des feuilles séchées et des éléments naturels pour créer des décorations murales inspirantes.
Créez des sculptures en argile : Utilisez de l'argile pour créer des sculptures uniques, comme des pots, des bols ou des figurines.
Fabriquez des guirlandes lumineuses : Utilisez des guirlandes lumineuses et des objets décoratifs, comme des photos ou des fleurs en papier, pour créer des décorations lumineuses pour votre maison.
Conclusion : Avec ces idées de projets créatifs à réaliser chez soi, vous êtes sûr de passer des heures amusantes à développer votre créativité. Laissez votre imagination vous guider et amusez-vous bien !
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creativemorningsmontreal · 2 years ago
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(English Below)
Le printemps est arrivé, et il est temps de s'amuser avec notre carton de bingo sur le thème du printemps ! Préparez-vous à cocher les cases avec des fleurs en fleurs, des oiseaux qui gazouillent et des ciels ensoleillés. Toute la preuve que vous avez besoin pour se prouver a nous-memes que l’hiver est fini ! 🌸🐦☀️
Si un marche avec la carte Bingo ne vous conviens pas, tenter une de ces activites creatives pour ajouter de l’ete dans vos journees pluvieuses:
1. Apportez des couleurs vives : Ajoutez des couleurs estivales à votre décoration intérieure, comme des coussins jaune vif ou orange, un tapis coloré ou une peinture joyeuse.
2. Bougies parfumées : Remplissez votre maison du parfum de l'été en utilisant des bougies parfumées ou des huiles essentielles comme les agrumes, la noix de coco ou les fruits tropicaux.
3. Plantes d'intérieur : Apportez un peu de verdure à votre maison avec des plantes d'intérieur qui vous rappellent l'été, comme les palmiers ou les fougères.
4. Jouez de la musique estivale : Créez une playlist de vos chansons estivales préférées et jouez-les dans toute votre maison.
5. Cuisine estivale : Préparez des plats estivaux comme des fruits de mer, du barbecue ou des fruits tropicaux.
6. Habillez-vous en vêtements d'été : Portez des vêtements d'été comme des vêtements de couleur vive ou des imprimés floraux.
7. Utilisez des produits de soins corporels parfumés à l'été : Utilisez des produits de soins corporels tels que de la crème solaire, de l'huile de coco ou du gel douche parfumé à la plage pour vous rappeler l'été.
8. Planifiez des vacances d'été : Commencez à planifier vos vacances d'été en recherchant des destinations tropicales ou des escapades à la plage.
9. Regardez des films estivaux : Regardez des films qui se déroulent en été, comme des films de plage, de surf ou des documentaires de voyage.
10. Apportez la plage chez vous : Créez un espace sur le thème de la plage dans votre maison avec des coquillages, des serviettes de plage, des chaises de plage ou un parasol.
En incorporant ces astuces, vous pouvez apporter la sensation de l'été dans votre vie même pendant les mois d'hiver et journees printannieres.
(English version:)
Spring has sprung, and it's time to get in on the fun with our spring-themed bingo card! Get ready to mark off squares with blooming flowers, chirping birds, and sunny skies. This is the perfect opportunity to prove to ourselves that winter is finished!   🌸🐦☀️
If you’re not so into a walk with a bingo card, Here are some tricks to make it feel like summer even during the cold and rainy days:
1. Bring in bright colors: Add some summer colors to your home decor, such as bright yellow or orange pillows, a colorful rug or a cheerful painting.
2. Scented candles: Fill your home with the scent of summer using scented candles or essential oils such as citrus, coconut, or tropical fruits.
3. Indoor plants: Bring in some greenery to your home with indoor plants that remind you of summer such as palm trees or ferns.
4. Play summer music: Create a playlist of your favorite summer songs and play them throughout your home.
5. Cook summer dishes: Cook up some summer dishes such as seafood, BBQ, or tropical fruits.
6. Dress in summer clothes: Wear summer clothes such as bright colored clothing or floral prints.
7. Use summer scented body products: Use body products such as sunscreen, coconut oil or beach-scented body wash to remind you of summer.
8. Plan a summer vacation: Start planning your summer vacation, researching tropical destinations or beach getaways.
9. Watch summer movies: Watch movies that take place during the summer, such as beach movies, surfing movies or travel documentaries.
10. Bring the beach to you: Create a beach-themed area in your home with seashells, beach towels, beach chairs or a beach umbrella.
By incorporating these tricks, you can bring the feel of summer into your life even during the winter months... now spring months!
Avez-vous d’autres idees?? Any other ideas??
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th3lost4uthor · 2 years ago
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Au Lotus Pourpre - Acte 9
 « Allez, vas-y… » L’aiguille vint se planter sur la toile à broder. « Dis-le. »
             Contre le mur, celles de la pendule continuaient de battre la mesure. Le verre qui les emprisonnait se laissait à peine deviner ; la pièce était sombre, obscure même.
 « Et que souhaiterais-tu que je te dise, hein ? »
           Un juron éclata plus bas, suivit de rires et de pas pressés : sans aucun doute des fleurs blanches ayant décidé de jouer un mauvais tour à l’une de leurs aînées.
 « Tu sais très bien. Que je ne devrais pas le prendre si sérieusement, que c’était prévisible, que c’est lui qui est en tors et pas moi, que j’aurais également pu lui cracher au visage quelques vérités bien placées, qu’il ne me mérite pas… » Soupir. « Que ce n’est qu’un imbécile et que je devrais passer à autre chose.
- C’est vrai, je pourrai dire tout ça et bien plus encore ; tu connais le fond de ma pensée, chérie. » Mia posa son écheveau, celui-ci ne laissant voir qu’une frise de nuages à peine ébauchée. « Mais le problème, c’est que ce n’est pas ce que tu souhaites entendre en ce moment… ni ce dont tu as besoin. »
             Sur la commode, juste à côté d’une bougie à la cire encore tiède, se tenait un carré blanc. Du parchemin. Les contours avaient été écornés, usés.
 « Et puis… je crois que les autres t’en ont déjà dit assez comme ça. ‘Gi… ?
- Hum… ?
- Tu ne m’as toujours pas raconté en détails la nuit où… Enfin, tu sais, cette nuit-là, lorsqu’il… lorsque vous…
 Ses mains étaient prises dans les siennes, sa peau, rugueuse, calleuse même par endroit,
contre la sienne, aussi douce que fragile. Des bleus, des veines apparentes ou
encore des tâches laissées par le soleil : une myriade de constellations sous la membrane
quasi-transparente dont ses doigts traçaient les contours avec autant de tendresse
que ses paroles en inventaient l’histoire.
Ces marques-ci ressemblent étrangement à l’Étoile du Zéphir, ne trouvez-vous pas ?
D’ailleurs, saviez-vous que c’est Vald III, archiduc de Maneriou, qui…
Sa poitrine se soulevait. Inspiration.
Son dos suivait le rythme. Expiration.
Haha, mais où allez-vous donc chercher toutes ces histoires ?
Elle avait fermé les yeux, lui aussi peut-être.
Je n’ai rien besoin d’inventer, il me suffit d’observer,
Ma D-
 « Je préfère ne pas en parler. Pas tout de suite en tous cas. 
- Je… Je comprends. » La dame de compagnie enveloppée dans une tunique de gaze et de tulle bleue pencha la tête vers son amie. « Mais sache que si un jour tu as besoin… »
             Cela allait bientôt faire quatre jours depuis l’incident. Bien entendu, l’entièreté des occupants du Lotus Pourpre avait eu vent de l’affaire en moins de temps qu’il n’en avait fallu au Seigneur Yuei pour regagner sa demeure perchée dans les Cimes. Celui-ci avait traversé le Salon des invités à grands pas lors de sa sortie, sans même jeter un regard à Dame Rey qui l’avait pourtant apostrophé pour s’enquérir de sa visite. La vieille matrone avait beau ne plus fréquenter les hommes comme à l’époque de ses débuts, elle n’en demeurait pas moins une experte en ce domaine. Quelque chose n’allait pas. Comprenant que l’habituel et routinier client était parti bien trop tôt, et ce plus contrit qu’il n’était arrivé, elle s’était alors rendue jusqu’aux appartements de sa protégée. C’est là qu’elle avait compris.
           Ligi avait passé la journée suivante dans le noir le plus complet. Ce n’était pas la première fois après tout. La seule différence résidait dans le fait que, pour une fois, ce n’était pas ses cheveux ou ses yeux qui portaient ces brûlures…
 « Merci, Mia. Je n’hésiterai pas, promis. »
 ______o.).O.(.o______
 « Bonne nuit ! Et surtout… » Glissant une dernière caresse dans le creux de sa main. « … Essaye de te reposer un peu… hum… ?
- Je ne suis plus une enfant. » Elle dévisagea une bande de jeunes jaunes qui passaient dans le couloir. Elles s’éclipsèrent rapidement. « Je ferai de mon mieux, Mia. Bonne nuit à toi aussi. »
             Elle n’aimait pas l’air attristé qu’elle pouvait lire sur son visage pourtant si joyeux d’habitude, et elle haïssait d’autant plus l’idée qu’elle en soit la responsable.
 Ce n’est pas de ta faute !
Après tout, c’est à cause de lui si tu-
Assez !
             Très sincèrement, elle voulait donner raison à cette voix qui la hantait. Elle voulait reprocher au Seigneur Yuei ses mots, ses actes. Elle savait qu’il avait été injuste, voire même cruel, surtout après tout ce qu’ils pouvaient savoir l’un de l’autre. Le problème… est qu’elle sentait que le blâmer entièrement serait tout aussi injuste.
           Après tout… Elle… En cherchant à le faire assumer sa différence, n’avait-elle pas provoqué cette discorde… ? Cette rupture. Au final, elle avait souhaité l’aider à rester fidèle à lui-même… à défaut pour elle, de rester fidèle à la promesse qu’elle lui avait faite. De le faire aimer de cette s… de son épouse.
 N’est-ce pas moi qui l’ai trahi en premier ?
             Et si… si c’était vrai, après tout ? Tous ces livres et ces poèmes qu’elle jugeait amusants bien que risibles, dépeignaient-ils donc une réalité en fin de compte ?
             Elle avait voulu le garder comme elle l’avait connu au premier jour, préserver ce sourire, cette naïveté. N’était-ce pas elle-même qu’elle avait tenté de préserver en faisant cela ? Mais il n’aurait pas été heureux si… ! L’aurait-il été ? Depuis quand une pute, même de luxe, se permettait-elle de juger ce qui était bon ou mal dans la vie des autres ? De quel droit d’abord ?
 Je… Je voulais autre chose.
Et lui… Il était autre chose.
             Toutes ces questions. Aucune réponse.
             Comme depuis maintenant sept nuits, Ligi s’endormirait, la tête enfoncée contre un oreiller aux accents prunes, ses tourments moraux et ses larmes la plongeant dans les affres du sommeil aux première lueurs de l’aube.
 ______o.).O.(.o______
             Combien de temps avait passé ? Douze, non, treize jours ? Moins ? Elle ne savait plus vraiment. Elle n’aspirait qu’à la paix à présent, le silence ; elle voulait récupérer pour aller de l’avant, oublier pour mieux forger de nouveau souvenirs. Mais cela n’était pas chose aisée, particulièrement quand votre chambre vous rappelait tant de nuits passées au clair d’une bougie, agenouillé sur ce même tapis de jonc, assis sur ce coussin, réfléchissant à votre prochain coup sur ce plateau. Elle avait alors demandé à échanger ses appartements avec l’une de ses sœurs pourpre : une affaire qui parue incongrue à certaines, mais que Dame Rey approuva sans plus de discussions.
           C’était la raison pour laquelle, de manière exceptionnelle, Ligi se tenait là, sur la galerie supérieure, protégée par un auvent de bois et un ample châle. Elle attendait que deux novices ne finissent d’emporter les derniers cartons vers l’aile Sud, où elle prendrait ses quartiers à la place de Rut, une femme à l’âge mûr qui avait accepté sa proposition avec enthousiasme : la proximité avec le couloir central et un accès direct à la grande salle avait particulièrement plu à cette-dernière. Et puis, l’autre avantage de ce déménagement était la nouvelle chambre en elle-même. En effet, celle-ci était plus basse de plafond, ne comportait qu’une minuscule alcôve et fenêtre, la rendant encore plus sombre et fraîche que celle où résidait Ligi. Si cela n’avait été pour laisser le temps à Rut de se remettre d’un avortement, Ligi aurait d’ailleurs dû emménager à sa place pour se protéger au maximum de la lumière assassine.
 Finalement,
tout ce qui doit arriver, finit par se réaliser.
 Sur son banc, la dame aux cheveux blancs savourait silencieusement l’air de ce début d’après-midi. Soudain, elle sentie une main secouer la sienne. Se tournant vers la source de cette interruption, elle tomba sur le visage soucieux de Mia. Sa robe était bleue.
 « D-dis, tu es sûre que tu ne veux pas les mettre, hum ? Si tu comptes rester ici, je t’en empêcherai pas, mais… Mais si tu pouvais faire un peu attention à toi, ça m’arrangerait aussi. »
Sur ses genoux, était posée une boite de chêne blanc, frappée de clous cuivrés, et recouverte de soie noire. Elle avait préféré ne pas laisser les précieuses Luminimes entre des mains maladroites, voire intéressées. Cependant, elle ne se sentait pas de pouvoir...
 Je me demande quelle est la couleur du ciel aujourd’hui.
 ______o.).O.(.o______
             Très honnêtement, cette journée avait plutôt bien commencé. Oserait-elle-même dire qu’il s’agissait du premier matin où elle s’était extirpée de ses draps sans ressentir ce poids contre son abdomen ? Elle avait tout prévu : un petit-déjeuner complet en compagnie de Mia, puis un temps dédié à coudre et broder les tenues qui lui manquaient, peut-être un peu de lecture avant de se retrouver autour de la grande table, où elle prendrait grand intérêt à écouter les derniers ragots en ville de la part de ses sœurs et de leurs conquêtes. Jusque-là, le plan s’était déroulé à merveilles. Les baies et les céréales pilées accompagnées d’un verre de jus de fruits fraîchement pressés tout comme les bouchées vapeur au poulet avaient été un réel délice. L’ouverture d’un nouveau canal portuaire, et par extension la perspective d’imports exotiques, avait enflammé les débats à midi. Oui, tout avait été parfait.
 Pitié ! Tout… !
Tout mais pas ça !
             Alors pourquoi avait-il fallu que tout déraille, hum ? Ligi allait rejoindre la cour intérieure par l’un des passages couverts, ayant prévu de s’y détendre quelque peu en attendant la tombée de la nuit. Son carnet de visites pour ce soir affichait complet. Sa meilleure amie l’accompagnait, ses discrètes attentions laissant encore transparaître une légère inquiétude, mais visiblement heureuse de voir l’autre reprendre du poil de la bête.
           Sur leur chemin, les deux dames de compagnie avaient croisé celui de fleurs aux teintes citron, trois ou quatre tout au plus, mais de quoi créer un attroupement dans ces couloirs exigus. Nous étions Yunis, et c’était « le jour des bandeaux », dédié à la distribution de fines bandelettes de soie accompagnées d’une invitation, que les femmes vêtues de jaunes allaient distribuer dans les quartiers supérieurs pour dénicher de nouveaux clients. Des novices les avaient encerclées et piaillaient à l’unisson. Une scène relativement banale pour un bordel. En effet, il n’était pas rare de trouver les plus jeunes agrippées aux jupes de leurs aînées pour s’inspirer de leur expérience, apprendre les dernières modes des Cimes, ou tout simplement se délecter de leurs récits de vadrouille. D’habitude, Ligi s’incrustait elle-même à ce genre d’attroupement, toujours intéressée par les nouvelles du monde autrefois extérieur, mais à présent, elle préférait ne pas s’y attarder. Elle et Mia avait déjà prévu de sortir la semaine suivante pour aller à la rencontre du marché dont elle avait entendu tant de merveilles. Maintenant qu’elle en avait l’opportunité, elle ne voulait plus se priver de partir explorer ces vastes terres de racines et de roche. Si vous lui donniez la journée, elle arpenterait même chaque recoin de l’Arbre-Cité, traçant les moindres contours de la Cour impériale à ceux du plus misérable des taudis des Steppes ! Après tout, qui pourrait l’empêcher de- ?
             Cinq mots. C’est tout ce qu’il fallut.
 Homme…
Cheveux noirs…
Noble…
 « Hey, Douwin ! 
- Q-que ? Ah, c’est toi, Ligi ! Cela faisait longtemps que- !
- Où ?
- P-pardon ?
- Où es-tu partie avec les autres ? »
 Pendu…
             Un regard tourné vers Mia, et elle vit que son amie avait compris.
 « Je vais chercher ta cape. » Avait annoncé la petite dame ronde, emplie d’une détermination inconnue. « Toi, files prendre tes Lumi-machin : on se retrouve sous le grand portail ! »
             Et c’est ainsi que les deux femmes s’étaient retrouvées à cavaler à travers les rues, tantôt de terre battue, tantôt de pierres inégales, s’excusant brièvement à chaque passant qu’elles bousculaient dans leur course effrénée, mais sans jamais s’arrêter.
 Non, il n’aurait jamais… ?!
Il n’a pas intérêt à… ! Pas comme ça !
             Les places et les maisons défilaient. Mia était en tête, guidant Ligi à travers un dédale de couleurs et de formes qu’elle n’avait approché qu’à travers ses livres. Pourtant, ses yeux, obscurcis par les Luminimes, étaient rivés au-devant d’elle. Fermement accrochée au bras de son amie, elle se laissait entraînée toujours plus à l’Est, vers les collines verdoyantes et les cascades sonores qui constituaient le quart des Plateaux encerclant l’Arbre millénaire.
             Après ce qui lui parut une éternité, elles parvinrent enfin aux portes du quartier dans lequel leurs sœurs s’étaient promenées ce matin-même. Les hauts murs blancs, parés de dessins et arabesques flamboyants, les menèrent rapidement à une place centrale, où seules quelques aïeux, entourés d’enfants, étaient réunis autour d’une large fontaine. Ceux-ci cherchaient désespérément à occuper les jeunes âmes, la bouche pleine de questions pour certains… pour d’autres, les yeux emplis de larmes. Leurs regards, fatigués, se tournaient régulièrement vers une ruelle isolée, qui semblait conduire à des champs situés en contre-bas.
             Sans avoir besoin de les interroger davantage, les tuniques mauve et azur s’enfoncèrent plus profondément dans les entrailles de craie et de lianes. Malgré leurs vêtements légers, les deux dames de compagnie étaient essoufflées, en particulier Mia, qui se traînait désormais à l’arrière ; il faut dire que les deux n’étaient pas vraiment taillées pour l’endurance physique, du moins pas de ce type… En arrivant à l’orée d’un pâturage, une foule commença à se former ; les deux amies devant jouer des coudes pour se rapprocher du cœur de l’attention des citoyens, fermiers, pauvres ères et autres badauds. L’air était chargé de murmures, de cris étouffés, et d’une odeur nauséabonde… Cependant, alors qu’elles ne s’étaient pas quittées d’une semelle durant leur périple, les deux femmes se retrouvèrent brutalement séparées à quelques mètres de leur destination, Ligi, dans sa percée désespérée à travers tous ses corps, se voyant projetée sans prévenir au premier rang du macabre spectacle.
           Les brins d’herbe folle s’agitaient sous ses paumes. Le vent était frais et le soleil, à peine voilé par quelques nuages passagers, vous réchauffait. Comme si le choc l’avait ramené à la réalité, Ligi pris conscience de… tout. Les incidents qui l’avaient menée jusqu’ici : leur rencontre, toutes ces nuits passées ensemble, la rupture, l’attente, la douleur, la nouvelle, la course effrénée… Elle pouvait ressentir le monde, comme ralenti, qui l’entourait : les couleurs, les bruits, les odeurs… Mais plus encore, elle éprouvait une peur féroce de ce qui l’attendait. Après tout ça. Quand elle allait devoir relever la tête pour constater… Pour le voir, Lui…
 M-…
             Un cri, perçant, celui d’une femme, déchira le ciel. Elle leva les yeux.
               Fin de l’Acte 9
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almanach-international · 20 days ago
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6 décembre :  la mémoire du siège de Dubrovnik
Cette journée est connue sous le nom de Journée des défenseurs de Dubrovnik (Dan branitelja Dubrovnika) et sa célébration est liée au long siège de Dubrovnik lors de l'éclatement de la Yougoslavie.
Le siège de Dubrovnik avait débuté le 1er octobre 1991 lorsque les unités de l'Armée populaire yougoslave lancèrent une attaque contre la ville. Le siège dura jusqu'au 31 mai 1992. Le conflit rappelle celui que vit l’Ukraine aujourd’hui. Belgrade n’avait pas accepté que la Croatie fasse sécession et a lancé contre elle, l’Armée yougoslave, une armée essentiellement composée de Serbes puisque Slovènes, Croates et Bosniaques l’avaient quitté. Ces forces commanditées par l’ultra nationaliste serbe Slobodan Milosevic ont bombardé les principales villes croates pour tenter d’empêcher l’éclatement de la Yougoslavie communiste, avec la même fureur que Poutine a tenté de prendre Kiev ou Karkiv en 2022, en souvenir de la défunte URSS.
Une centaine de civils sont morts pendant le siège de Dubrovnik, 70 % des bâtiments de la vieille ville (classée au patrimoine mondial de l'UNESCO) furent endommagés. La journée du 6 décembre 1991 fut particulièrement meurtrière, c’est pour cela qu’elle fut choisie pour honorer la mémoire des anciens combattants et des victimes de l’agression de Belgrade.
Chaque année, du 3 au 7 décembre, la ville organise tout un programme de commémorations dont la partie centrale a lieu le 6 décembre. La journée commence à 8h au cimetière de Boninovo, avec un hommage aux anciens combattants tombés au combat, en particulier les pompiers, les policiers… À 11h15, c’est un récital d'enfants du primaire à l'amphithéâtre Srđ et, à 12h, un dépôt de fleurs avec allumage de bougies au pied de la croix de Srđ (la montagne qui domine la ville). À 13h, dans le port de la vieille ville, on rend hommage aux marins et vétérans tués en mer. À 15h30, les officiels se rendent au Mémorial des martyrs de Sustjepan, dans le cimetière de ce village côtier situé au nord de Dubrovnik. À 15h45, une messe est dite dans l’église de St. Nikola de Sustjepan. À 17h, retour à Dubrovnik pour le défilé de la fanfare de la ville sur le vieux port, le Stradun et devant l'église Saint-Pierre. À 18h, dans la cathédrale de Dubrovnik, c’est la traditionnelle messe solennelle à la mémoire de tous les anciens combattants tombés au combat. La soirée se termine par des concerts : à 20h, sur le Stradun, la célèbre rue centrale de la vieille ville, Đani Stipanićev & Klapa More & Klapa Ragusavecchia et, à 21h, Marko Perković, dit Thompson, le célèbre chanteur de la mouvance nationaliste croate. Le maire de Dubrovnik, Mato Franković (HDZ, droite) a toutefois interdit d’arborer les symboles du mouvement oustachi (fasciste) lors de cette journée du 6 décembre.
Un article de l'Almanach international des éditions BiblioMonde, 5 décembre 2024
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