#bouddhique
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busanienne · 1 year ago
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[Korea/Busan] Samgwangsa Temple - Lantern festival
삼광사, Samgwangsa Temple Coucou tout le monde ! 🙂 Hier, c’était l’anniversaire de Bouddha.Chaque année, à cette période, on peut facilement voir des lanternes dans tout le pays ! ─── ୨୧ ─── Yesterday was Buddha’s birthday. In Korea, you can easily see lanterns all over the country during this time of year. 삼광사, Samgwangsa Temple Comme je vous ai dit autre fois (dans ce post), il n’y a pas de…
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codumofr · 20 days ago
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Voici une statue bouddhique représentant Maitreya ou aussi connu suite à son rôle de "Maître" et de "Protecteur" du bouddhisme comme Maitreyanatha. Fait de Bronze Dorée et fabriqué en Chine, cette statue date de l'an 536, durant la période chinoise des Dynastie des Jin orientaux (317 à 420). Nous allons donc parler tant de la culture et de la religion de cette période de la Chine que de la représentation de cette statue.
La personne représentait sur la statue est donc Maitreya qui est un "Mahāsattva" ou "Grand Être" en Sanskrit. Le Mahāsattva est un "Bodhisattva" (un Bouddha avant d'atteindre l'éveil) et pratiquant depuis très longtemps le bouddhisme tout en atteignant un niveau très élevé sur le chemin de l'éveil. Maitreya est censée devenir le Bouddha lorsque l'enseignement du bouddha Shakyamuni (Le Dharma), aura disparu lors de ce qui est décrit comme la Fin du bouddhisme de Shakyamuni (Mappō). Cette personne aurait vu le jour entre 270 et 350, sans aucune certitude néanmoins. Il est généralement représenté comme un Saint Homme ou un Prince. Lors de ses représentations assises, ses deux pieds reposent sur le sol, ayant deux interprétations possibles : il n'est pas encore "assis" comme le bouddha ou au contraire, il se prépare à se lever et à descendre sur Terre pour faire ce qu'il doit faire. Il peut d'ailleurs sur ses représentations avoir la tête légèrement baissée pour signifier qu'il regarde le monde. Un petit stupa peut être dans sa coiffure tandis que sa main droite apparaît généralement avec une roue posée sur un lotus tandis que la gauche sera avec une fiole contenant le nectar du Dharma.
Parlons du Bouddhisme durant la période des Jin Occidentaux maintenant. Durant cette période, le Bouddhisme continuera son implantation dans la Chine. Il apportera une contribution au "Xuanxue", un courant philosophique et culturel apparenté au Néotaoïsme chinois. Dans cette dynastie, un moine d'origine nordique, du nom de Huiyan établira sur le Mont Lu situé dans la Chine du Sud un temple qui deviendra un centre de royannement bouddhiste et qui verra naître le mouvement de la Terre Pure (Le bouddhisme de la Terre pure est essentiellement basé sur la foi, la dévotion et la pratique de la récitation du nom du bouddha Amitābha (nianfo), avec pour objectif d’accéder après cette vie à la terre du bouddha d’Amitabha, où la lumière, la longévité et le bonheur sont tous infinis.). Le Nord lui, sous l'égide des Seize royaumes, verra des travaux importants dans la traduction de nombreuses œuvres sous la direction de Dao'an des Qin Antérieurs et de Kumarajiva des Qin Postérieurs et l'égide des souverains. Le moine Faxian qui quittera le domaine des Qin postérieurs pour entreprendre un très long périple qui dura de 399 à 414 vers les sources du bouddhisme sera relaté dans le Foguoji (Relation des royaumes bouddhiques), dont il rapportera des textes.
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alain75fr · 9 days ago
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02 novembre 2024
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Aujourd’hui, une longue marche nous attend . Comme d’habitude nous prenons le petit déjeuner à base d’omelette et de thé noir pour moi , au lait pour Thierry accompagné de pancakes . Les sacs à dos sont prêts ainsi que nos deux gros sacs portés par Dépendra . Lui aussi est prêt . A peine , nous quittons Ayra que le voilà les quatre fers en l’air , je glisse sur des feuilles mortes. Plus de peur que de mal . Malgré tout en une fraction de seconde je me suis dit c’est fini . Ramji très vite m’a remis sur pieds , il m’a massé la cuisse droite … bref . Nous avons repris notre route . Légère montée pour accéder à un grand plateau, nous sommes à 3750 m d’altitude. Nous prenons quelques photos. Très belle vue sur Dhaulagari et L’Anapurna . Puis nous empruntons une descente en lacets très raides pour ne pas dire plus , bien évidemment avec l’épreuve du matin , j’avais très peur de recommencer mon exploit . Ramji a été à mes côtés durant toute la descente . Pour Thierry pas de difficulté . Nous atteignons une passerelle qui franchit la rivière Dichvang Khola . Ainsi nous atteignons l’autre rive . Peu après nous faisons une pose au Dhye shambala , endroit tenu par une famille composée de trois enfants . Nous sommes restés une petite heure . Après ce moment de repis , nous entamons une longue montée très raide qui durera une heure et demi . Ce fut difficile pour moi , Là aussi Thierry s’en est plutôt bien sorti . Les paysages sont magnifiques et les photos ne restituent pas leur grandiose beauté. Arrivés au col Dhichvang dont l’altitude est d’environ 4000 m nous faisons une courte halte pour nous récupérer. Nous descendons ensuite jusqu’à un plateau aride et très venteux sur lequel nous progressons sur une distance assez longue. Brusquement une nouvelle descente très verticale nous amène au village Tangye .(3340 m ) très beau village typique de la région , entouré de très belles parcelles de terre très bien cultivées . Ramji nous conduit à notre nouveau lodge et nous nous installons. Hotel Shambala .
Pendant que nous prenons notre repas, quelques jeunes, en vacance, ont pris place dans la salle où nous mangeons.
Les jeunes sont très tôt séparés de leurs parents durant plusieurs mois pour aller étudier à Pokhara.
Ils profitent des vacances pour retrouver leur famille et prendre part aux travaux des champs.
Un jeune membre d’une association passe pour récolter des fonds pour la préservation et dynamiser la région. Il explique à Ramji les enjeux et l’historique du village.
Notamment, Ramji nous décrit les rites funéraires pratiqués ici qui diffèrent de ceux de son village également de tradition bouddhique. Ainsi, alors que dans sa région on brûle les morts, qui ne sont jamais enterrés, ici, compte tenu du manque de bois, les défunts sont exposés dans un endroit près de la rivière où les vautours se chargent de les dévorer. C’est une pratique qui peut paraître barbare mais en fait elle reflète le rapport que les gens entretiennent avec la nature. Ici l’écologie n’est pas une idéologie.
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chaosnail · 2 years ago
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Grâce gréco-bouddhique
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aurevoirmonty · 8 months ago
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Avec les mots « ascète errant » nous avons traduit le terme bikkhu, qui désigna les disciples du Bouddha, et qui signifie littéralement « mendiant », celui qui quête. Originairement, les bikkhus étaient plus ou moins semblables aux moines mendiants : les organisations bouddhiques à caractère conventuel n'apparurent que plus tard. Le terme, par nous employé, est peut-être encore celui qui peut le moins donner lieu à des équivoques. Par exemple, à propos de « mendier », il convient de ne pas oublier que le milieu était alors constitué par une société au sein de laquelle — pour un ascète ou un brāhmane — accepter quelque chose d'un homme, vivant dans le monde, n'était pas une humiliation, mais presque lui faire une grâce. On pensait qu'un ascète — ayant des contacts entre le visible et l'invisible — détenait un office suprêmement utile, bien qu'impondérable, même pour ceux qui vivaient la vie commune. L'action de donner — dāna — fut, de la sorte, conçue comme une action, capable d'obtenir des fruits sur la ligne même de la « droite conduite » et du développement contemplatif. C'est pourquoi, comme signe de mépris ou comme punition, durant les réunions bouddhiques, étaient indiquées, par décision solennelle, les familles ou les personnes dont les bikkhus devaient récuser les moindres dons, et ceci en retournant symboliquement l'écuelle ou la terrine qu'ils portaient avec eux.
Julius Evola, La doctrine de l'éveil
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from-breizh-to-paname · 11 months ago
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Paname
comme au Japon
🇯🇵 la maison de la culture du Japon
⛩️ le musée Guimet
🍱 l’avenue de l’Opéra, la rue du Quatre Septembre et la rue Richelieu
🎋le jardin japonais Albert Kahn
🎋le jardin japonais du Panthéon bouddhique
👘 Takumi Flavours, pour le shopping
📚 les librairies d'occasion pour trouver des mangas
🍜🍢🍣 Un petit brunch a la japonaise?
❤️💍 les adresses préfèrées des mariés
🍽️ 🍤 Shu | Japonais tempura
🍽️ 🍜 Neko Ramen | Japonais Ramen
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nununiverse · 1 year ago
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big-earth-witness-mudra-strong-buddha-hand-shakyamuni L’une des plus célèbres images de l’iconographie bouddhique représente le Bouddha historique remerciant la terre de l’avoir secouru dans sa lutte contre le démon Mâra (Toucher la terre du Bouddha. Marc Ballanfat) https://books.openedition.org/enc/12554
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oviri7 · 2 years ago
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« […] bodhisattva aux yeux perdus dans le rêve sous sa riche tiare d'or et l'arc immense des sourcils. Ils ne voient pas, ces yeux métaphysiques, le monde des apparences qui est notre univers, mais bien au-delà, la vanité universelle et l'universelle douleur qui sont, on le sait, l'ultime réalité bouddhique. »
René Grousset - Bilan de l’Histoire
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carraways-son · 2 years ago
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Mercredi
Matinée culturelle en ce premier jour gris de l’hiver, avec la visite en voisins du Tofuku-ji, vaste ensemble de jardins, de cheminements (parfois couverts), de ponts et d’une vingtaine de bâtiments exceptionnels disséminés autour d’un fameux temple bouddhique, quintessence de l’architecture zen. On peut déambuler pendant des heures dans un univers paysager que la fin de l’automne prive hélas de ses plus éclatantes couleurs. Aux points cardinaux du Hôjô (maison abbatiale) quatre jardins déclinent avec subtilité symboles et légendes. Au terme de la visite, le Kid avait une petite faim et nous a suggéré le Dragon Burger. Bon choix, et tant pis pour cette infidélité à la cuisine japonaise. De toutes façons, une amulette Daruma achetée au temple veille désormais sur nous.
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mikrokosmos · 1 year ago
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For AMA music: can you list 10 works (or more if it's too hard to choose) that "convey a Christian sense of the Divine" (quoting you here) for you? Have you already made a playlist of these works?
What do you think of Hector Berlioz? (there's a big festival dedicated to him in my hometown every summer so I wanted to get your opinion on him, but I can't remember if you mentioned his work because I haven't looked through your tags for a long time , sorry about that)
haven't made a religious playlist, but if I had to it would include:
Messiaen - L'Ascension
Messiaen - Quartet for the End of Time
Messiaen - Et exspecto resurrectionem mortuorum
Tavener - Lamentations and Praises
Gorecki - Beatus vir
Part - Cantante domino
Kilar - Angelus
Dutilleux - Timbres, espace, mouvement
Boulanger - Ville priere bouddhique (an ironic choice maybe lol)
& I used to kind of ignore Berlioz, but over the past two or three years he's become one of my favorites. Amazing imagination and the gargantuan sounds he was able to create must have been even more shocking to the people of the time. Haven't listened in a while, but other than the Symphonie fantastique, I love Harold in Italy, the Te Deum and Requiem, Romeo and Juliet, and the Grande symphonie funèbre et triomphale
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philosophie-21 · 2 years ago
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Prenez 8 minutes, détendez-vous en pratiquant la méditation et la relaxation en musique à l'aide des plus belles paroles bouddhiques #bouddhisme
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busanienne · 2 years ago
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[Korea/Busan] Haedong Yonggung Temple - 해동용궁사
#temple #korea #coréedusud #corée #voyage #sea #mer #buddhistTemple
« Haedong Yonggung Temple – 해동용궁사 » Il n’y a pas de religion d’État en Corée.Mais indépendamment de leur religion, il y a beaucoup de Coréens qui visitent des temples bouddhistes de temps en temps. C’est sans doute parce que la plupart des temples bouddhistes en Corée sont des lieux historiques importants. Et plus important encore, ils sont situés dans de très bons endroits, que l’on appelle «…
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codumofr · 11 days ago
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Un vase à dessin floral aussi vue comme une pièce de céramique de la Vaisselle de Cizhou. Les Vaisselles de Cizhou ou Vaisselle de Tz'u-chou est un terme générique qui désigne des pièces comme celle-ci produite entre la fin de la Dynastie Tang et le début de la Dynastie Ming. La Porcelaine sous la Dynastie Tang connu un "âge d'or" grâce au dynamisme et développant considérablement la "Route de la Soie", permettant un développement des relations entre Asie et Perse. Les céramiques de qualité en Chine sont dues à trois familles culturelles qui seront celles de Yangshao (4500 à 3000 av. J.-C), Cishan-Beifudi (vers 6500-5000) et Peiligang (7000 - 5000 av. J.-C) nous permettant ainsi de remonter le travail de céramique de qualité en Chine jusqu'à au moins l'an -7000 avant Jésus-Christ.
La Dynastie Tang s’étend de l’an 618 à l’an 907 après Jésus-Christ. Cette dynastie voit l’essor d’une façon fulgurante et très étendue de l’art tant pour la Calligraphie, la Peinture, la Céramique, l’Art du Métal et les Arts Bouddhiste. Nous pouvons ainsi retrouver de nombreux traités sur l’art chinois tels que le Traité sur la Calligraphie ( Shupu ) rédigé en 687 par Sun Guoting qui est un ouvrage majeur et théorique employant le style de calligraphie chinois Wang Xizhi. La mise en place et la finalisation des grands styles calligraphique chinois sont aussi de cette période, notamment avec la mise en forme de ses calligraphies. Nous pouvons retrouver une trace de Traité sur la Calligraphie au Musée National du Palais de Taipei tandis que des copies des œuvres de cette époque peuvent être trouvées au Musée du Palais de Pékin telle que laPréface au Pavillon des Orchidées de Wang Xizhi. La Peinture de la période Tang est l'œuvre d’artisans non considérés comme des lettrés par la société et par le pouvoir en place. Toutefois, une première évolution de la peinture est faite grâce à l’apparition d'ouvrages théoriques sur la peinture telle que le Xie He et c’est ce qui permet de l'élever au rang d’art majeur. À cette époque, l’archétype du peintre-lettrés commence à se développer et l’image même de cet archétype est Wang Wei est un peintre du Jinzhong. Cette période fut un des âges d’or de la céramique chinoise et dont le dynamisme ouvrit largement la Chine sur le monde ouvert grâce à la Route de la Soie. La Porcelaine Xing est une des quasi-porcelaines fines et translucides de cette période dont la surface qui se trouvait être lisse évoque la Jade et émettait un son musical au choc. Une description poétique de cette porcelaine était : l'éclat de l'argent et la blancheur de la neige. L’Art du Métal se développe durant cette période et c’est une des rares périodes où est développé un art en or et en argent de grande qualité. Les œuvres en métal ont été produites dans les Ateliers Impériaux de l’Empire. À l’origine située dans le nord pour la production, lors de la deuxième période Tang, elle se déplaça sur le Sud. Ainsi, nous pouvons voir des plats gravés en or dans le ArtScience Museum de Singapour ou même des œuvres en argent retrouver dans l’Épave de Belitung. Pour finir, l’Art Bouddhique qui rassemble l’architecture, la sculpture et tout autre art en lien avec le bouddhisme se développe, mais il ne reste pas grand-chose aujourd’hui de ce passage. Toutefois, deux temples de cette époque ont été préservés et se trouvent sur le Mont Wutai. Préservé et restauré pour garder une trace de cet art raffiné. Nous pouvons retrouver des temples sur le Mont Maiji tandis que des sculptures peuvent être retrouvées dans différents musées et muséum comme celui de Tokyo, celui de Baltimore, celui des arts Asiatique de San Francisco ou dans des grottes.
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alain75fr · 5 days ago
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Le 05 Novembre 2024
Aujourd’hui nous avons quitté Muktinath et cet hôtel vraiment supérieur. Belle décoration de la salle à manger ainsi que les chambres avec de grands lits , on avait des serviettes, un luxe . Juste une parenthèse . Il faut savoir aussi qu’il n’y a pas de chauffage , heureusement nos duvets font l’affaire avec une couverture supplémentaire …mais avant de reprendre notre chemin qui nous conduira à Lupra , nous sommes allés sur le lieu de pèlerinage des hindous , un lieu sacré où ils viennent se purifier le corps et l’esprit , ils sont très nombreux; pour y accéder , il faut gravir quatre cent marche . Certains d’entre eux se font porter par des chaises à porteur . Une fois arrivés , ils se déshabillent et rentrent dans une eau assez fraîche . Pour cela il y a deux bassins .Bien sûr ils gardent leur intimité ,ça crée beaucoup de mouvements , de cris de joie…. Hommes , femmes, jeunes adultes participent de concert à cette purification. Juste à quelques pas le monastère bouddhique que nous visitons contraste par le silence du lieu , peu de monde . Nous pouvons prendre des photos. Un bouddha par sa taille imposante domine à l’extérieur, face a la chaîne des Annapurnas . Après cette visite nous prenons un sentier qui nous fera passer par un col à 3900 mètres , un dénivelé de deux cents mètres , on a connu plus dure. Une fois passés, nous descendons sur Lupra , trois heures pour y arriver .En cours de trajet nous rencontrons un petit garçon derrière un grillage. C’est un orphelin de père qui travaille avec sa mère dans une exploitation de pommes. Nous lui donnons un peu d’argent et un snicker. Que faire d’autre?On découvre un petit village avec ses maisons encore une fois typiques et son monastère . Nous déjeunons sur place . De hautes falaises impressionnantes enserrent le lieu. C’est la fin de notre treck , une jeep nous attend pour rejoindre Jomsom . Cela nous évite de marcher sur la piste . De plus aucun intérêt. De toute façon , nous sommes légèrement épuisés pour ne pas dire plus . En un quart d’heure nous arrivons à notre hôtel et là, après la douche on essaye de récupérer en se mettant sous la couette. Pendant ce temps Ramji , s’occupe de réserver nos places d’avion pour Kathmandou. Nous prenons deux vols intérieurs , Pokora puis Katmandou . Vers 19 h nous dînons , ce sera le dernier repas avec Dépendra , il nous quitte demain . Nous lui remettrons une enveloppe pour le remercier d’avoir été un garçon adorable , toujours attentionné .On est un peu sur les rotules après ce trek, pas sûr qu’on aurait pu continuer plus longtemps mais ça valait le coup.
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aurevoirmonty · 8 months ago
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Il y a celui qui, à certains moments, est doué de la possibilité de se séparer de soi, de descendre outre le seuil, toujours plus bas dans les obscures profondeurs de la force qui tient debout son corps, là donc où cette force perd dénomination et individualisation. C’est alors que l’on a la sensation d’une telle force qui s’étend, jusqu’à reprendre le « Moi » et le « non-Moi » ; à pénétrer toute la nature ; à sustenter le temps ; à transporter des myriades d’êtres, comme s’ils étaient ivres ou hallucinés ; se réaffirmant sous mille formes ; irrésistible, sauvage, jamais épuisée ; privée de pause ; privée de limite ; brûlée par une insuffisance et une privation éternelle. Qui parviennent à cette perception effrayante, semblable à celle d’un précipice qui s’ouvrirait à l’improviste, saisit le mystère du samsāra, et comprend, vit pleinement le sens de la doctrine bouddhique de l’anattā, rapportée à l’homme, c’est-à-dire de la doctrine niant l’existence du « Moi ». Le passage, de la conscience purement individuelle à la conscience samsārique, qui reprend d’indéfinies possibilités d’existence, « inférieures » autant que célestes — ceci, au fond, est le pivot de toute la « doctrine de l’éveil ». Il ne s’agit plus, ici, d’une « philosophie », mais d’une expérience, laquelle, pour correspondre à la réalité, n’est point de la seule pertinence du bouddhisme. D’elle, traces et échos se trouvent également en d’autres traditions, en Orient comme en Occident : en Occident, essentiellement selon les termes d’un savoir secret et d’une expérience initiatique. La théorie de la douleur universelle, de la vie en tant que souffrance, ne représente, à cet égard, que quelque chose de purement extérieur et, comme il a été dit, de profane et d’exotérique. Elle ne peut concerner que les formes d’une exposition populaire.
Julius Evola, La doctrine de l'éveil
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ondessiderales · 4 months ago
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Svastika
« Le svastika ou swastika, 卍, mot sanskrit dérivé de su (« bien ») et de asti (« il est ») (ka étant un suffixe adjectival), avec la variante orthographique sauvastika parfois attribuée à son symétrique 卍, est un symbole que l'on retrouve en Europe, en Afrique, en Océanie, aux Amériques (Amérique précolombienne chez les Mayas et amérindiens Navajos et Kunas) et en Asie jusqu'en Extrême-Orient, mais utilisé de façon populaire et systématique en Inde, du fait de la haute sacralité que représente ce signe dans l'hindouisme, mais aussi et surtout dans le jaïnisme (où il est particulièrement vénéré).
Il apparaît à l'époque néolithique pour la première fois dans la préécriture de la culture de Vinča. Cette ubiquité temporelle et spatiale lui a parfois valu le nom de « symbole universel ». On peut le décrire comme une croix composée de quatre potences prenant chacune la forme d'un gamma grec en capitale (Γ), d'où le nom de croix gammée qui lui est souvent donné.
Ce symbole est toujours largement utilisé en Asie et particulièrement en Inde. Dans l'hindouisme, il possède de nombreuses significations sacrées et il représente notamment le Dharma. Il est toujours un symbole omniprésent chez les bouddhistes. Il est le symbole premier du jaïnisme, considéré par ses adeptes comme le plus favorable de tous les symboles. En Chine, il symbolise l'éternité. Il est aussi fréquemment visible dans les temples statuaires, décorations, motifs vestimentaires de l'ensemble des pays bouddhistes, d'Extrême-Orient, d'Asie du Sud-Est et d'Asie centrale. »
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Le svastika, ce qui signifie « auto-formé » en sanskrit, est un symbole que l'on trouve sous divers styles et significations dans de nombreuses cultures ; exemples ici, dans le sens des aiguilles d'une montre, en partant d'en haut à droite : svastika hindou ; svastika aztèque ; svastika symbole solaire préhistorique ; svastika en dix-sept carreaux (que l'on trouve parfois sur le sol d'une église ou d'une cathédrale).
« C'est l'un des plus anciens symboles de l'humanité que l'on retrouve sous plusieurs formes dans la majorité des civilisations du monde, bien qu'il n’ait pas toujours la même signification. Les différentes graphies inspirées de la forme du svastika ont pu naître indépendamment les unes des autres, bien que certaines soient liées historiquement (svastikas indien et bouddhique, svastika indien et svastika du XXe siècle européen).
Les premiers svastikas connus se trouvent en Ukraine à Mezine vers - 10000 av. J.-C. et dans la même région dans la culture de Cucuteni-Trypillia.
Le svastika apparaît également dans de nombreuses cultures d'Asie, d'Afrique et d'Amérique. On le trouve dans deux idéogrammes chinois 卐 ou plus couramment 卍, signifiant « dix mille » (c'est-à-dire l'éternité) ou « le cœur de Bouddha ». »
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Poterie minoenne, musée archéologique Héraklion.
« Différentes hypothèses ont été avancées pour expliquer l'ubiquité du svastika. Une explication triviale est qu'il s'agit d'un motif décoratif facile à exécuter. Une autre, qui fait appel aux fonctions symboliques communes à tous les humains, suggère qu'il s'agirait à l'origine d'une représentation d'un mouvement rotatif : rotation apparente du soleil dans sa course diurne, comme celle de la lune et des planètes, de gauche à droite dans l'hémisphère Nord (soit dans le sens des aiguilles d'une montre) ; rotation du ciel nocturne autour de l'étoile polaire (rotation inverse, due au changement de point de vue de l'observateur, tourné vers le Nord et non plus vers le Sud). D'autres corps célestes ont été proposés, une comète par exemple, selon l'astronome Carl Sagan, au vu de celle représentée dans un manuscrit chinois de Mawangdui. Chez les Navajos, il s'agit de la rotation d'une bûche. »
« Pour René Guénon, le mouvement circulaire exprimé par ce symbole est utilisé pour mettre en évidence l'axe de la figure, seule partie immobile et symbole de l'immuabilité d'un principe transcendant. Affirmant que cette croix doit être considérée comme une figure horizontale il y voit un « signe du Pôle », qui serait un des symboles les plus anciens de la « tradition primordiale », d'origine polaire et mère de toutes les autres traditions. Ce symbole aurait ainsi été conservé, en oubliant plus ou moins son sens, par les religions actuelles. Pour lui, le sens de rotation n'a pas d'importance dans ce symbolisme et peut être considéré comme la vision d'un même objet par une face ou par l'autre. Quant au terme de « sauvastika » il n'y voit qu'un adjectif dérivé de « svastika » qui désigne simplement, en sanscrit, ce qui a un rapport avec ce symbole.
Pour Jean Chevalier et Alain Gheerbrant, le svastika est symbole d'action, de manifestation et de régénération perpétuelle puisqu'il indique par son graphisme le mouvement. »
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« Au début du XXe siècle, le svastika était connu en Occident comme symbole indien auspicieux, particulièrement chez les Britanniques ayant servi dans l’armée des Indes.
Il était également considéré comme un symbole indo-européen, ou plus spécifiquement aryen. Émile Burnouf, orientaliste, voyait dans les Aryens une race supérieure à tendance panthéiste, supérieure aux Sémites monothéistes. Consulté par Schliemann à la suite de sa découverte de svastikas sur le site supposé de Troie, il prétendit y reconnaître un brasier rituel et déclara le symbole typiquement aryen. Cette idée fut répandue par de nombreux auteurs, en particulier Guido von List, poète nationaliste allemand. »
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« Le svastika lévogyre était donc employé en Europe comme simple porte-bonheur d’origine indienne (en particulier en Angleterre), ou comme emblème combinant valeur propitiatoire et identité ethnique indo-européenne (sans être obligatoirement lié à une idéologie raciste). En Allemagne cependant, d'autres mouvements nationalistes populistes dits völkisch l’utilisaient sous sa représentation lévogyre ou dextrogyre, indifféremment. La version nazie, sous l'influence d'Alfred Rosenberg, auteur principal de la théorie raciale du Troisième Reich, voyait dans les Aryens un peuple de « maîtres » ancêtres des Germains ayant envahi l'Europe du Nord, et faisait du svastika, selon les propres mots de Hitler, le « symbole du combat pour la victoire de l'Aryen ». Selon José Manuel Erbez, spécialiste des drapeaux, « l’ordre des Nouveaux Templiers » fondé par Lanz von Liebenfels en Autriche avait également pour emblème un svastika de « supériorité aryenne » entouré de quatre fleurs de lys. »
« Dans Mein Kampf, Adolf Hitler présente le débat qui a entouré l’élaboration de l’insigne nazi, pour laquelle un véritable concours d’idées fut lancé. Hitler accordait non seulement de l’importance au symbole, mais surtout au choix des couleurs (rouge, blanc, noir : couleurs de l’Empire allemand, supposément « trahi par les “criminels de novembre” »). Il justifie son choix, notamment par le souci qu’il avait de renforcer l’impact visuel de l’emblème nazi et explique aussi le rôle qu’il a joué dans sa conception :
« Moi-même, cependant, après de nombreuses tentatives, je m’arrêtai à une forme définitive : un rond blanc sur fond rouge, et une croix gammée noire au milieu. Après de longs essais, je trouvai aussi une relation définie entre la dimension du drapeau, la grandeur du rond blanc, la forme et l’épaisseur de la croix gammée. Et c’est resté ainsi. »
La croix gammée devient progressivement un des emblèmes de propagande nazie. »
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