#bilatéral
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«Nous soutenons l'armée russe et le peuple russe dans leur guerre sainte»: Pyongyang fait la nique à Washington
«Dès le début de l'opération militaire spéciale, le respecté camarade président des Affaires d'Etat Kim Jong-un a donné des instructions», a souligné la cheffe de la diplomatie, venue discuter avec Sergueï Lavrov du soutien à l'armée russe.
Sans toutefois entrer dans le détails de ce soutien, objet de spéculations - autant que de panique - dans les chancelleries et les médias occidentaux
Il y a quelques jours, Vladimir Poutine s'est contenté de rappeler à tout ce beau monde que Moscou et Pyongyang avaient signé un traité bilatéral prévoyant une coopération militaire.
Et qu'il appartenait à la Russie et à la Corée du Nord - et à personne d'autre - de décider si cette coopération devait aller au-delà de simples exercices et entraînements conjoints.
«C'est notre affaire, tout comme on nous dit toujours que c'est l'affaire de l'Ukraine de savoir comment elle assure sa sécurité nationale, avec ou sans l'OTAN…»
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La Russie développe un nouveau système de missiles balistiques intercontinentaux
Un militaire haut gradé de l’armée russe a déclaré que la Russie renforce son arsenal balistique avec de nouveaux systèmes de missiles stratégiques, à portée maximale et pourrait multiplier les essais pour répondre aux menaces extérieures croissantes. En 2023, la Russie était prête à se conformer au traité bilatéral New Start limitant les arsenaux nucléaires russes et américains jusqu’en 2026 si…
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Gouvernance| Violence basée sur le genre| Sécurité| Arrestations| Diplomatie| Immigration
Le président du Conseil présidentiel de Transition, Leslie Voltaire et son ministre des travaux publics ont rendu visite au personnel l’Office National de l’Aviation Civile, le 26 novembre dernier. Le ministre de la défense discute avec l’ambassadeur du Taiwan en vue de trouver un partenariat bilatéral pour renforcer les forces armées d’Haïti et la sécurité nationale. Plusieurs directeurs…
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Macron et Zelensky signent un accord bilatéral de sécurité entre la Fran...
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Pourquoi Paul Watson ne sera probablement pas extradé vers le Japon
https://justifiable.fr/?p=87 https://justifiable.fr/?p=87 #extradé #Japon #pas #Paul #Pourquoi #probablement #sera #vers #Watson Le militant écologiste Paul Watson restera en détention jusqu’au 4 décembre, a annoncé ce mercredi la police du Groenland, dans l’attente de la décision de la justice danoise sur la demande d’extraditon du Japon. Âgé de 73 ans, il est en détention depuis le 21 juillet. Me Jean-Charles Teissedre décortique cette procédure complexe. Paul Watson Les spécificités choquantes de la procédure d’extradition au Danemark Le temps passe et toujours pas de juge de l’extradition à l’horizon. Paul Watson, qui aura 74 ans le 2 décembre prochain, le jour de la prochaine audience, doit commencer à trouver le temps long. Arrêté le 21 juillet dernier, puis incarcéré dans une prison du Groenland, il est donc maintenu sous écrou extraditionnel après une énième audience devant le juge de la détention. Paul Watson doit donc encore attendre que le ministre de la justice danois, Peter Hummelgaard, qui supervise le système judiciaire du pays, daigne prendre position. Ce n’est que dans un second temps que le juge de l’extradition du Groenland sera saisi, en cas d’avis favorable à l’extradition du ministre, et c’est sans doute ce qu’il y a de plus choquant : Paul Watson ne peut toujours pas faire valoir ses arguments. Drôle de procédure que cette procédure danoise, au sein de l’Union Européenne (UE), censée garantir un niveau de protection des droits individuels élevé, jusqu’au Groenland, seul territoire danois d’outre-mer associé à l’UE. Car le système danois souffre de la comparaison avec un certain nombre de pays membres de l’UE. En France, seule une chambre de l’instruction, qui relève de la Cour d’appel, peut émettre un avis, favorable ou défavorable, à l’extradition. Il ne s’agit d’ailleurs pas d’un simple avis mais d’une véritable décision de justice qui s’impose au gouvernement. Ainsi, l’implication du pouvoir politique dans la procédure extraditionnelle danoise, à ce stade de la procédure, a de quoi surprendre, les liens de subordination entre la police, les procureurs et le ministre de la justice étant de surcroît particulièrement marqués dans le système judiciaire du Danemark. Une procédure d’extradition sans traité d’extradition Une autre incongruité procédurale est qu’il n’existe aucun traité d’extradition entre le royaume du Danemark et le Japon[1]. Or, les demandes d’extradition s’appuient généralement sur un traité bilatéral ou multilatéral liant deux ou plusieurs États signataires. Ce n’est pas le cas ici. Il est vrai que l’extradition est avant tout un acte de souveraineté qui, à ce titre, n’est pas subordonné à la prévision d’une convention internationale. Une extradition peut donc, théoriquement, intervenir en application d’une loi de procédure nationale, qui trouve alors à s’appliquer à titre subsidiaire. À titre d’exemple, le Chili, réputé être un pays refuge en matière d’extradition, comme de nombreux pays d’Amérique centrale ou du sud, vient d’accorder l’extradition d’un jurassien de 54 ans poursuivi en France pour des infractions de nature sexuelle sur des mineurs, dont certaines par ascendant. Les faits ont dû apparaître suffisamment odieux aux autorités chiliennes pour qu’elles décident de la remise de l’intéressé aux autorités françaises. L’État requis, ici le Danemark, lorsqu’il met en œuvre une procédure d’extradition sans traité d’extradition, manifeste une intention particulière dans un cas particulier. Une sorte d’exception à la règle tacite de non extradition en l’absence de convention avec le pays requérant. Des spécificités locales qui desservent Watson L’interpellation puis l’incarcération au Groenland de Paul Watson, figure emblématique de la lutte contre la chasse baleinière, ne doit rien au hasard. Elle est surtout le résultat d’une volonté politique ultramarine en territoire danois, prolongeant la notice rouge émise par Interpol à la demande du Japon qui viole le moratoire international interdisant, depuis son entrée en vigueur en 1986, la chasse aux Baleines à des fins commerciales. Contrairement aux idées reçues, arrêter une personne visée par une notice rouge n’a rien de systématique. Il s’agit toujours d’un choix étatique, confirmé, ou non, par la demande d’extradition puis par le juge de l’extradition. On sait que certaines personnes visées par une notice rouge, dont des chefs d’Etat, passent certaines frontières. D’ailleurs, la notice rouge qui visait Paul Watson ne date pas d’hier puisqu’elle a été émise en 2012 pour des faits qui remontent au mois de janvier 2010. Pendant tout ce temps, il a manifestement pu vivre, circuler et naviguer à peu près normalement puisqu’il vit entre une péniche parisienne à quai et un pied-à-terre marseillais, sans que la France n’ait jamais procédé à son arrestation. Ce n’est donc pas un hasard si, d’après les informations disponibles, les autorités groenlandaises ont obtenu des îles Féroé, autre territoire autonome sous tutelle danoise, les détails de l’itinéraire du navire de Paul Watson, le Johan Paul DeJoria, parti de Dublin, en Irlande, soupçonnant une escale à Nuuk, au Groenland. Dans ces territoires, la chasse aux cétacés est une tradition culturelle (le grind). Autant dire que Paul Watson n’y est pas le bienvenu. Son interpellation n’est pas le fait d’un contrôle inopiné. Une infraction politique ? Parmi les moyens invoqués par Paul Watson pour s’opposer à son extradition, figure celui du caractère politique des infractions (de droit commun) dont l’accuse le Japon. À titre de comparaison, en France, c’est l’article 696-4 2° du Code de procédure pénale qui prohibe l’extradition « lorsque le crime ou le délit à un caractère politique ou lorsqu’il résulte des circonstances que l’extradition est demandée dans un but politique ». Selon la jurisprudence française, sont politiques les infractions qui portent atteinte à l’ordre politique, qui sont dirigées contre la constitution du gouvernement et contre la souveraineté, qui troublent l’ordre établi par les lois fondamentales de l’Etat et la distribution des pouvoirs. Depuis un arrêt Koné du Conseil d’Etat du 3 juillet 1996, le refus de l’extradition, lorsqu’elle est demandée dans un but politique, est un principe fondamental reconnu par les lois de la République (PFRLR), qui a donc valeur constitutionnelle. Il n’existe cependant pas de définition universelle de l’infraction politique de sorte qu’il appartient aux juridictions compétentes de chaque Etat d’apprécier l’étendue de cette notion. En pratique, ce sont surtout la trahison, l’espionnage, les atteintes au secret de la défense nationale qui sont considérées comme étant de nature politique. Le nom de Julian Assange vient donc plus spontanément à l’esprit que celui de Paul Watson. Faire entrer le mobile écologique dans la définition de cette notion constituerait une évolution à laquelle la justice danoise risque de se montrer réticente. Les autres moyens de droit Le ministre de la justice danois a déclaré à la presse que « selon la loi d’extradition du Groenland, il est notamment exigé que l’acte soit d’une certaine gravité et qu’il ne s’agisse pas d’un délit politique ». Il a aussi rappelé que l’extradition ne serait pas autorisée si elle s’avérait incompatible avec la Convention Européenne des Droits de l’Homme, à laquelle le Danemark adhère. Car si la Convention Européenne des Droits de l’Homme ne protège pas directement les personnes visées par une procédure d’extradition contre les infractions à caractère politique, la Cour Européenne des Droits de l’Homme n’en reste pas moins attentive à une éventuelle violation de l’article 3 qui prohibe la torture et les peines ou traitements inhumains ou dégradants (Burga Ortiz c/Allemagne, 16 octobre 2006). De sorte que les autorités japonaises, si elles maintiennent leur demande d’extradition, vont devoir donner des garanties à la justice danoise. Les autorités japonaises seront inévitablement questionnées dans le cadre des compléments d’information que ne manquera pas d’ordonner le juge de l’extradition lorsque celui-ci sera saisi, ce qui n’est hélas toujours pas le cas. Car c’est finalement une complicité par instruction qui est reprochée à Paul Watson, qui n’était pas présent sur place au moment de l’accrochage du baleinier japonais, en janvier 2010. Accrochage au cours duquel une flasque d’acide butyrique (beurre rance) a été jetée lors d’une prétendue conspiration d’abordage qui aurait blessé un marin japonais à la joue, d’après un témoignage qui semble avoir été recueilli dans des conditions contestables. Bien que le juge de l’extradition n’ait pas en théorie à apprécier le sérieux des charges, il doit donner aux faits une qualification adéquate en fonction de leur réception par le droit du pays requis, dès lors que la procédure d’extradition repose sur le principe de réciprocité des incriminations. C’est dans ce cadre, que la vidéo de la défense de Paul Watson, qui conteste les faits, pourra être visionnée par les juges danois. De cette qualification dépend l’appréciation de la gravité des faits qualifiés en droit, mais aussi la peine encourue. Or, selon la demande d’extradition formulée par le Japon, la peine encourue est de 15 ans d’emprisonnement. Pour la complicité d’une infraction qui pourrait tout aussi bien être qualifiée d’involontaire, à supposer les faits avérés, cela fait peut-être beaucoup… Une privation de liberté pour une durée aussi longue, dans un tel contexte, pour un homme âgé de 74 ans, père de trois enfants dont deux enfants de 8 et 3 ans, pourrait être considérée comme une peine inhumaine. Il en est de même des conditions de détention en cas de remise au Japon, conditions qui seront scrupuleusement examinées par les juges compétents. En effet, la dureté du système carcéral japonais n’est plus un mystère, notamment depuis la rocambolesque évasion de Carlos Ghosn. Et le juge de l’extradition devra encore apprécier la possibilité pour Paul Watson de bénéficier d’un procès équitable en cas de remise, ce qui, là encore, s’agissant du système judiciaire japonais, n’a rien d’évident. En définitive, l’embarras du choix va peser sur les épaules des juges. À moins que le ministre danois de la justice fasse très prochainement le choix raisonnable d’éviter des débats planétaires. [1] Les Surligneurs, extradition du défenseur des baleines Paul Watson : quel est le cadre juridique ?
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En ce qui concerne un module pour les magasins, on est conscient du fait que c’est souhaité. Et une solution est sous considération, on sait pas encore à quel point c’est faisable vu que la situation change énormément selon le pays. Ca rendre moins possible l’option de développer quelque chose de standardisée qui fonctionne pour tout le monde. En attendant, nous pourrions peut-être aider à développer quelque chose de supplémentaire pour un pays à la fois, ça dépendra notre capacité comme équipe, à quel point c’est crucial pour vous, etc. Si c’est les cas, n’hésitez pas à nous contacter et on peut évaluer la demande en bilatéral pour voir comment on peut soutenir.
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Téléphonie mobile : le Free Roaming est désormais effectif entre le Togo et le Ghana
(Togo Officiel) – L’itinérance gratuite (Free Roaming) sur les appels et les données internet est désormais effective entre le Togo et le Ghana. Les deux pays, représentés par leurs autorités de régulation, ont officiellement lancé le 09 octobre dernier à Accra, la mise en œuvre du protocole d’accord bilatéral signé l’an dernier sur la question. LANCEMENT OFFICIEL DE LA MISE EN ŒUVRE DU FREE…
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Le Brésil prévoit un record des échanges commerciaux avec la Chine en 2024
Le commerce bilatéral entre le Brésil et la Chine devrait atteindre des niveaux record en 2024, a prédit le vice-président, Geraldo Alckmin.
Le commerce bilatéral entre le Brésil et la Chine devrait atteindre des niveaux record en 2024, a prédit le 5 août le vice-président brésilien, Geraldo Alckmin. Le programme de “néo-industrialisation“, la transformation de la matrice énergétique et la construction d’infrastructures dans le pays d’Amérique du Sud offriraient de nouvelles opportunités aux investisseurs chinois, a estimé ce…
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Les relations commerciales entre la Chine et l'Afrique continuent de croître, enregistrant une augmentation significative de 5,5 % en glissement annuel durant les sept premiers mois de 2024. Selon les données publiées le 14 août par l'administration générale de la douane chinoise, le volume des échanges entre les deux partenaires a atteint 166,3 milliards de dollars, marquant une nouvelle étape dans le renforcement des liens économiques sino-africains. Une Croissance Portée par les Exportations Chinoises Les exportations chinoises vers les pays africains ont largement contribué à cette progression, s'établissant à 97,6 milliards de dollars. La Chine continue de dominer le marché africain avec ses produits finis, tels que le textile, l'habillement, les machines, et l'électronique. Ces secteurs restent des piliers majeurs du commerce bilatéral, renforçant l'influence de Pékin sur le continent. Les Importations Africaines : Une Dépendance aux Matières Premières De leur côté, les importations chinoises en provenance d'Afrique se sont élevées à 68,7 milliards de dollars. Cependant, ces échanges restent dominés par les matières premières, notamment le pétrole brut, le cuivre, le cobalt et le minerai de fer. Cette structure commerciale maintient un excédent chronique en faveur de la Chine, soulignant la dépendance de l'Afrique aux exportations de ressources naturelles. Le Commerce de Biens Intermédiaires en Pleine Expansion Un fait notable est l'augmentation des échanges de biens intermédiaires, qui représentent désormais 68 % de la valeur totale du commerce entre la Chine et l'Afrique. Cette dynamique témoigne de l'intégration croissante des économies africaines dans les chaînes de production mondiales, bien que ces échanges restent largement inégalitaires. L'Impact Limité des Mesures de Libéralisation Commerciale Depuis 2022, la Chine a progressivement supprimé les droits de douane sur 98 % des produits importés de 21 pays africains. Cependant, cette mesure n'a pas encore permis de rééquilibrer les relations commerciales sino-africaines. L'excédent commercial de la Chine persiste, posant des défis pour les économies africaines qui peinent à diversifier leurs exportations. La hausse de 5,5 % du commerce entre la Chine et l'Afrique durant les sept premiers mois de 2024 reflète la solidité des relations économiques entre les deux régions. Toutefois, la structure déséquilibrée de ces échanges, avec une prédominance des produits finis chinois et des matières premières africaines, continue de susciter des interrogations quant à l'équité de ce partenariat. La libéralisation commerciale initiée par Pékin devra être accompagnée de stratégies de développement plus inclusives pour permettre à l'Afrique de tirer pleinement parti de ses échanges avec le géant asiatique. https://savoirentreprendre.net/?p=15851&feed_id=12163
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Communiqué conjoint du 25 MAI 2024 à l’occasion de la visite d’amitié du Président de la République, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye FAYE à Conakry. À l’invitation de son Frère et Ami, Son Excellence Général de Corps d’Armée Mamadi DOUMBOUYA, Président de la République de Guinée, Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, Président de la République du Sénégal à la tête d’une importante délégation, a effectué une visite de travail et d’amitié à Conakry, du 24 au 25 mai 2024. Communiqué conjoint du 25 MAI 2024 à l’occasion de la visite d’amitié du Président de la République, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye FAYE à Conakry Ousmane Sonko , Premier Ministre (G) - SE Bassirou Diomaye Diakhar Faye (D), Président de la République du Sénégal Cette visite s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations traditionnelles d’amitié et de coopération qui existent entre les deux pays. Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, Président de la République du Sénégal et l’importante délégation qui l’accompagne ont fait l’objet d’un accueil fraternel et chaleureux de la part de Son Frère et Ami Général de Corps d’Armée Mamadi DOUMBOUYA, Président de la République de Guinée, Chef de l’Etat, traduisant l’excellence des relations unissant les deux pays. Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, Président de la République du Sénégal a exprimé sa profonde gratitude au Peuple de Guinée, à son Gouvernement et singulièrement à Son Frère et Ami Son Excellence Général de Corps d’Armée Mamadi DOUMBOUYA, Président de la République de Guinée pour l’accueil chaleureux et fraternel ainsi que pour la grande marque de sympathie dont sa délégation et lui-même ont fait l’objet en terre panafricaine de Guinée. Au cours de son séjour, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE et son Frère et ami, Son Excellence Général de Corps d’Armée Mamadi DOUMBOUYA ont eu des entretiens fraternels fructueux qui se sont déroulés dans une atmosphère empreinte de d’amitié, de cordialité et de compréhension mutuelle. A cette occasion, les deux Chefs d’Etat ont passé en revue les questions d’intérêts communs aux plans bilatéral, sous-régional, régional et international. Renforcer davantage leurs relations de coopération dans les domaines de la défense et de la sécurité Arrivée du Président Bassirou Diomaye Faye A Conakry Pour Une Vissite De Travail Et d’Amitié Au titre de la coopération bilatérale, les deux Chefs d’Etat se sont félicités de l’excellence des relations d’amitié, de fraternité et de coopération qui unissent la République du Sénégal et la République de Guinée. Son Excellence Général de Corps d’Armée Mamadi DOUMBOUYA, Président de la République de Guinée, Chef de l’État, a saisi cette opportunité pour renouveler ses félicitations à Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE pour sa brillante élection à la Magistrature suprême de la République du Sénégal. En outre, les deux Chefs d’Etat ont rappelé la nécessité de renforcer davantage leurs relations de coopération dans les domaines de la défense et de la sécurité, de l’administration du territoire, des mines, de l’énergie, du commerce, de l’industrie, des transports, des infrastructures, des hydrocarbures et de tous autres domaines pertinents. A cet effet, les deux Chefs d’Etat, après avoir déploré la non-tenue depuis 2008 de sessions de la Grande Commission Mixte de Coopération entre les deux pays, ont décidé d’organiser la 6ème session à Conakry courant novembre 2024. Ainsi, ils ont instruit leurs Ministres chargés des Affaires Etrangères et de l’Intégration africaine à prendre toutes les dispositions nécessaires pour l’organisation de ladite session. Arrivée du Président Bassirou Diomaye Faye A Conakry Pour Une Vissite De Travail Et d’Amitié 2 →A lire aussi Pourquoi les Constitutions sont-elles des textes mobiles en Afrique ? Une exploration des dynamiques constitutionnelles africaines Les deux Chefs d’Etat ont
aussi instruit leurs Gouvernements de mettre en place un partenariat stratégique en vue de renforcer les relations économiques et commerciales et d’œuvrer ensemble avec leurs Pairs à la réalisation de projets et programmes au sein de de l’OMVS Ils ont également demandé à leurs Gouvernements respectifs de promouvoir les échanges d’expériences et de bonnes pratiques en matière de recherches et d’exploration du sol et du sous-sol, de gestion du cadastre minier et de la gouvernance minière, des transports, de l’agriculture, de l’industrie, du contenu local et de la formation. Organisation de la 32ème édition de la Foire internationale de Dakar (FIDAK) en novembre 2024 Arrivée du Président Bassirou Diomaye Faye A Conakry Pour Une Vissite De Travail Et d’Amitié 1 Le Gouvernement de la République du Sénégal a informé le Gouvernement de la République de Guinée de l’organisation de la 32ème édition de la Foire internationale de Dakar (FIDAK) en novembre 2024. A cet effet, la République de Guinée a été retenue parmi les pays invités d’honneur. Les deux Présidents ont également invité les secteurs privés de leurs pays à nouer des partenariats pour contribuer à impulser une coopération fructueuse notamment dans le développement industriel. Au sujet de la gestion des frontières,les deux Chefs d’Etat ont apprécié les avancées enregistrées dans le processus de délimitation et de démarcation de la ligne frontalière entre les deux pays. A cet effet, ils ont encouragé les commissions nationales chargées de la gestion des frontières à poursuivre le processus en vue de la matérialisation consensuelle et définitive de la frontière commune, dans l’intérêt des populations riveraines des deux pays. Les deux Chefs d’États ont mis l’accent sur le renforcement de la lutte contre l’émigration irrégulière et le trafic des migrants dans les deux pays et ont instruit leurs Gouvernements de renforcer leur synergie d’action pour le partage d’informations et la mutualisation des stratégies et moyens de lutte contre ce fléau. Au plan sous-régional, les deux Chefs d’Etat ont échangé longuement sur la situation sécuritaire et les défis actuels et ont souligné la nécessité d’une meilleure coordination face à la menace des Groupes terroristes et au fléau de la circulation illicite des armes légères et de petits calibres ainsi que des trafics divers et de la criminalité transnationale organisée. Dans ce sens, ils ont décidé de mutualiser leurs efforts dans le domaine sécuritaire par le renforcement des patrouilles mixtes tout au long de leurs frontières communes. Au plan régional, Son Excellence Général de Corps d’Armée Mamadi DOUMBOUYA et Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, partageant la même vision, ont mis un accent particulier sur la promotion du panafricanisme et de l’intégration sous-régionale. Ils ont encouragé la mise en œuvre de la Vision 2050 de la CEDEAO et de l’Agenda 2063 de l’Union Africaine par la réalisation des projets intégrateurs et la promotion des échanges commerciaux entre les pays africains à travers la Zone de Libre Echange Continentale Africaine (ZLECAf). Communiqué conjoint du 25 mai 2024 à l’occasion de la visite d’amitié du Président de la République, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye FAYE à Conakry →A lire aussi Coopération Sénégal-Allemagne : La longévité du partenariat entre les deux pays magnifiée Au plan international, les deux Chefs d’Etat ont exprimé leurs vives préoccupations face à la persistance de foyers de tensions à travers le monde et ont plaidé pour leurs règlements pacifiques. Les deux Chefs d’Etat se sont félicités de leur convergence de vues sur les questions abordées et ont promis de se concerter et de se soutenir régulièrement au sein des instances de prise de décisions au sein des organisations régionales et internationales. Au terme de sa visite d’amitié et de travail en République de Guinée, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, Président de la République
du Sénégal a réitéré ses sincères remerciements et sa profonde gratitude au Peuple et au Gouvernement guinéens et singulièrement à Son Excellence Général de Corps d’Armée Mamadi DOUMBOUYA, Président de la République de Guinée, Chef de l’Etat, pour l’accueil fraternel et très chaleureux dont sa délégation et lui-même ont fait l’objet durant leur séjour en République de Guinée. Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, Président de la République du Sénégal a invité Son Excellence Général de Corps d’Armée Mamadi DOUMBOUYA, Président de la République, Chef de l’Etat à effectuer une visite officielle et d’amitié en République du Sénégal. Son Excellence Général de Corps d’Armée Mamadi DOUMBOUYA, Président de la République de Guinée, Chef de l’Etat a accueilli favorablement cette invitation. La date de cette visite sera fixée par voie diplomatique. Fait à Conakry, le 25 mai 2024 Pour la Partie Sénégalaise Mme Yassine Fall Ministre de l’Intégration Africaine Et des Affaires Étrangères. Pour la Partie Guinéenne Dr Morissanda Kouyaté Ministre des Affaires Étrangères de l’Intégration Africaine et des Guinéens Établis l’Étranger
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Macron et Zelensky en passe de signer un accord bilatéral de sécurité à l’Elysée.
La France n'est même pas capable de garantir la sécurité de ses citoyens et de gendarmer quelques racailles dans un hall d'immeuble.
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La France et le Maroc ont signé en 2020 un accord pour le retour des mineurs non accompagnés mais il n’est pas appliqué car l’administration française estime que “les structures d’accueil au Maroc ne sont pas adéquates”
Ma France Francois pour Fdesouche 27/09/2024 A l’époque de son premier viol, Taha O n’a pas été reconduit au Maroc. La législation française stipule que les services de l’État ne peuvent pas expulser un enfant de moins de 18 ans sauf accord bilatéral spécifique. Continue reading La France et le Maroc ont signé en 2020 un accord pour le retour des mineurs non accompagnés mais il n’est pas…
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Dakar et Banjul conviennent de maintenir leur Conseil présidentiel bilatéral. Le Sénégal et la Gambie ont convenu samedi, à Banjul, de maintenir le Conseil présidentiel établi entre les dirigeants de deux pays afin de donner une portée davantage stratégique à leur coopération bilatérale. ,Dakar et Banjul conviennent ,maintenir ,Conseil présidentiel bilatéral,DÉPÊCHES INTERNATIONAL,SENEGAL,GAMBIE,COOPERATION ,Dakar ,Banjul , maintenir ,Conseil présidentiel bilatéral,Dakar,Conseil, présidentiel, bilatéral, Dakar et Banjul conviennent de maintenir leur Conseil présidentiel bilatéral [caption id="attachment_364386" align="alignnone" width="1280"] arrivée de SEM le président Bassirou Diomaye Diakhar Faye en Mauritanie OK[/caption] Cette décision figurent parmi les engagements annoncés à l’issue d’un tête-à-tête entre le président gambien Adama Barrow et son homologue sénégalais Bassirou Diomaye Faye en visite de travail dans la capitale gambienne. [caption id="attachment_364384" align="alignnone" width="1280"] arrivée de SEM le président Bassirou Diomaye Diakhar Faye en Mauritanie 1[/caption] →A lire aussi Le Président Bassirou Diomaye Faye En Visite Officielle À Touba Cette visite souligne l’importance des liens profonds qui unissent les deux peuples, a indiqué la ministre sénégalaise de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères, Yassine Fall, en lisant le communiqué. Symbole du désir profond et partagé des deux chefs d’Etat [caption id="attachment_364382" align="alignnone" width="1280"] Dakar et Nouakchott renforcent les liens privilégiés qui unissent les deux pays. 1[/caption] Elle a rappelé que le déplacement du président Faye à Banjul symbolise le désir profond et partagé des deux chefs d’Etat de promouvoir l’esprit de camaraderie pour une collaboration mutuellement bénéfique pour les deux peuples. [caption id="attachment_364375" align="alignnone" width="1280"] Dakar et Banjul conviennent de maintenir leur Conseil présidentiel bilatéral[/caption] →A lire aussi Ouverture à Diamniadio du Forum sur la coopération Chine-Afrique Les deux chefs d’Etat se sont entretenus de l’état des relations bilatérales entre les deux pays, unis par la géographie, la culture, entre autres, a fait observer Yassine Fall.
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Dakar et Banjul conviennent de maintenir leur Conseil présidentiel bilatéral. Le Sénégal et la Gambie ont convenu samedi, à Banjul, de maintenir le Conseil présidentiel établi entre les dirigeants de deux pays afin de donner une portée davantage stratégique à leur coopération bilatérale. ,Dakar et Banjul conviennent ,maintenir ,Conseil présidentiel bilatéral,DÉPÊCHES INTERNATIONAL,SENEGAL,GAMBIE,COOPERATION ,Dakar ,Banjul , maintenir ,Conseil présidentiel bilatéral,Dakar,Conseil, présidentiel, bilatéral, Dakar et Banjul conviennent de maintenir leur Conseil présidentiel bilatéral [caption id="attachment_364386" align="alignnone" width="1280"] arrivée de SEM le président Bassirou Diomaye Diakhar Faye en Mauritanie OK[/caption] Cette décision figurent parmi les engagements annoncés à l’issue d’un tête-à-tête entre le président gambien Adama Barrow et son homologue sénégalais Bassirou Diomaye Faye en visite de travail dans la capitale gambienne. [caption id="attachment_364384" align="alignnone" width="1280"] arrivée de SEM le président Bassirou Diomaye Diakhar Faye en Mauritanie 1[/caption] →A lire aussi Le Président Bassirou Diomaye Faye En Visite Officielle À Touba Cette visite souligne l’importance des liens profonds qui unissent les deux peuples, a indiqué la ministre sénégalaise de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères, Yassine Fall, en lisant le communiqué. Symbole du désir profond et partagé des deux chefs d’Etat [caption id="attachment_364382" align="alignnone" width="1280"] Dakar et Nouakchott renforcent les liens privilégiés qui unissent les deux pays. 1[/caption] Elle a rappelé que le déplacement du président Faye à Banjul symbolise le désir profond et partagé des deux chefs d’Etat de promouvoir l’esprit de camaraderie pour une collaboration mutuellement bénéfique pour les deux peuples. [caption id="attachment_364375" align="alignnone" width="1280"] Dakar et Banjul conviennent de maintenir leur Conseil présidentiel bilatéral[/caption] →A lire aussi Ouverture à Diamniadio du Forum sur la coopération Chine-Afrique Les deux chefs d’Etat se sont entretenus de l’état des relations bilatérales entre les deux pays, unis par la géographie, la culture, entre autres, a fait observer Yassine Fall.
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Dakar et Banjul conviennent de maintenir leur Conseil présidentiel bilatéral. Le Sénégal et la Gambie ont convenu samedi, à Banjul, de maintenir le Conseil présidentiel établi entre les dirigeants de deux pays afin de donner une portée davantage stratégique à leur coopération bilatérale. ,Dakar et Banjul conviennent ,maintenir ,Conseil présidentiel bilatéral,DÉPÊCHES INTERNATIONAL,SENEGAL,GAMBIE,COOPERATION ,Dakar ,Banjul , maintenir ,Conseil présidentiel bilatéral,Dakar,Conseil, présidentiel, bilatéral, Dakar et Banjul conviennent de maintenir leur Conseil présidentiel bilatéral [caption id="attachment_364386" align="alignnone" width="1280"] arrivée de SEM le président Bassirou Diomaye Diakhar Faye en Mauritanie OK[/caption] Cette décision figurent parmi les engagements annoncés à l’issue d’un tête-à-tête entre le président gambien Adama Barrow et son homologue sénégalais Bassirou Diomaye Faye en visite de travail dans la capitale gambienne. [caption id="attachment_364384" align="alignnone" width="1280"] arrivée de SEM le président Bassirou Diomaye Diakhar Faye en Mauritanie 1[/caption] →A lire aussi Le Président Bassirou Diomaye Faye En Visite Officielle À Touba Cette visite souligne l’importance des liens profonds qui unissent les deux peuples, a indiqué la ministre sénégalaise de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères, Yassine Fall, en lisant le communiqué. Symbole du désir profond et partagé des deux chefs d’Etat [caption id="attachment_364382" align="alignnone" width="1280"] Dakar et Nouakchott renforcent les liens privilégiés qui unissent les deux pays. 1[/caption] Elle a rappelé que le déplacement du président Faye à Banjul symbolise le désir profond et partagé des deux chefs d’Etat de promouvoir l’esprit de camaraderie pour une collaboration mutuellement bénéfique pour les deux peuples. [caption id="attachment_364375" align="alignnone" width="1280"] Dakar et Banjul conviennent de maintenir leur Conseil présidentiel bilatéral[/caption] →A lire aussi Ouverture à Diamniadio du Forum sur la coopération Chine-Afrique Les deux chefs d’Etat se sont entretenus de l’état des relations bilatérales entre les deux pays, unis par la géographie, la culture, entre autres, a fait observer Yassine Fall.
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Dakar et Banjul conviennent de maintenir leur Conseil présidentiel bilatéral. Le Sénégal et la Gambie ont convenu samedi, à Banjul, de maintenir le Conseil présidentiel établi entre les dirigeants de deux pays afin de donner une portée davantage stratégique à leur coopération bilatérale. ,Dakar et Banjul conviennent ,maintenir ,Conseil présidentiel bilatéral,DÉPÊCHES INTERNATIONAL,SENEGAL,GAMBIE,COOPERATION ,Dakar ,Banjul , maintenir ,Conseil présidentiel bilatéral,Dakar,Conseil, présidentiel, bilatéral, Dakar et Banjul conviennent de maintenir leur Conseil présidentiel bilatéral [caption id="attachment_364386" align="alignnone" width="1280"] arrivée de SEM le président Bassirou Diomaye Diakhar Faye en Mauritanie OK[/caption] Cette décision figurent parmi les engagements annoncés à l’issue d’un tête-à-tête entre le président gambien Adama Barrow et son homologue sénégalais Bassirou Diomaye Faye en visite de travail dans la capitale gambienne. [caption id="attachment_364384" align="alignnone" width="1280"] arrivée de SEM le président Bassirou Diomaye Diakhar Faye en Mauritanie 1[/caption] →A lire aussi Le Président Bassirou Diomaye Faye En Visite Officielle À Touba Cette visite souligne l’importance des liens profonds qui unissent les deux peuples, a indiqué la ministre sénégalaise de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères, Yassine Fall, en lisant le communiqué. Symbole du désir profond et partagé des deux chefs d’Etat [caption id="attachment_364382" align="alignnone" width="1280"] Dakar et Nouakchott renforcent les liens privilégiés qui unissent les deux pays. 1[/caption] Elle a rappelé que le déplacement du président Faye à Banjul symbolise le désir profond et partagé des deux chefs d’Etat de promouvoir l’esprit de camaraderie pour une collaboration mutuellement bénéfique pour les deux peuples. [caption id="attachment_364375" align="alignnone" width="1280"] Dakar et Banjul conviennent de maintenir leur Conseil présidentiel bilatéral[/caption] →A lire aussi Ouverture à Diamniadio du Forum sur la coopération Chine-Afrique Les deux chefs d’Etat se sont entretenus de l’état des relations bilatérales entre les deux pays, unis par la géographie, la culture, entre autres, a fait observer Yassine Fall.
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