#beaucoup écrit sur ces idiots dans l'espace
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cover art pour ma fanfic farra-centric, interpolation
par froferyl sur twitter
#j'ai euh#beaucoup écrit sur ces idiots dans l'espace#j'ai quoi#cinq fics?#plus je crois#xantah#la légende de xantah#farra colt#les plumes de paon ont une explication btw#c'est spécifique à ma série/mes headcanons vraiment
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Locked Down Film Streaming HD VF Regarder Online
Locked Down Regarder Film - https://locked-down-vf.blogspot.com/
La chute surprise du film devient un aliment de base de la pandémie - et vous savez quoi, je suis tout à fait pour. C'est comme un triomphe quand quelqu'un termine quelque chose aujourd'hui. Et la nouvelle que Chiwetel Ejiofor, Anne Hathaway et Doug Liman sont sortis prendre une photo d'un vol à Londres alors que tout le monde apprenait à faire de la pâte fermentée est absolument charmante. Cela ressemble à quelque chose que Steven Soderbergh ferait pour s'amuser, et en fait, beaucoup de Locked Down ont sa sensibilité à courir et à tirer à la main; Les protocoles COVID ont obligé de nombreux cinéastes à réduire leurs productions aux niveaux sur lesquels il travaille depuis des décennies. Liman, qui a débuté en tant qu'indépendant, mais a rapidement déménagé dans de grands studios comme The Bourne Identity, Mr. & Mrs Smith et Edge Of Tomorrow, n'avait rien fait d'aussi intime depuis longtemps. J'imagine qu'il a pris le risque. Locked Down est l'histoire de Paxton (Chiwetel Ejiofor) et Linda (Anne Hathaway), deux Londoniennes coincées ensemble dans leur confortable maison, bien qu'elles ne soient plus partenaires. Ils étaient en couple pendant 10 ans, séparés après un misérable Noël et mettaient fin à leur séparation dès que la ville est entrée dans le blocus. Le film est vague sur le moment où cela se produit, mais je pense que cela doit être en avril dernier: assez de temps pour que la plupart des gens comprennent comment travailler à domicile, mais pas assez pour que tout le monde s'adapte à la nouvelle normalité. La première moitié de Locked Down utilise le même récit de pandémie que nous avons vu à plusieurs reprises au cours des derniers mois, en se concentrant sur des personnes piégées pendant longtemps dans le même espace, en utilisant des appels de zoom pour varier l'action et glisser à travers une certaine exposition, et vérifier dans le monde plus large par le biais de nouvelles et de voyages occasionnels à l'étranger. Nous avons appris, par exemple, que Paxton et Linda étaient autrefois très sauvages, mais ils ont établi une vie plus responsable. Elle est cadre dans une compagnie d'assurance mondiale, alors qu'il a du mal à se bâtir une carrière à cause de certaines choses désagréables de son passé. Il travaille actuellement comme chauffeur pour une petite entreprise de messagerie. Et même s'ils se sont séparés, leur vie semble prête à s'effondrer à nouveau lorsque Linda est chargée de récupérer un diamant très précieux chez Harrod et que le camion est affecté à l'itinéraire de Paxton. Et voler ce diamant leur donnerait sûrement une chance de redevenir sauvage. Les circonstances sont absurdes, mais - comme on nous le rappelle constamment - ce sont des temps sans précédent. And Locked Down est écrit par Steven Knight, qui aime construire des films entiers sur des opportunités improbables et des choix excentriques - comme Dirty Pretty Things (qui était le rôle d'Ejiofor) et Locke, le film dans lequel Tom Hardy traverse une crise existentielle. en conduisant de Birmingham à Londres. (Knight nous a également donné le thriller profondément idiot de Matthew McConaughey, Serenity, qui a joué dans Hathaway; personne n'est parfait.) Knight conçoit Locked Down comme une réalisation vertigineuse du désir pour quiconque est désespéré de briser la routine, laissant ses personnages agir selon vos impulsions. (Linda a commencé à boire tout en travaillant Zooms; Paxton part en moto à travers la ville vide, inventant un nouveau jeu dans lequel il s'arrête au feu vert et traverse le rouge.) Liman donne à ses étoiles l'espace pour rebondir les unes sur les autres - à littéralement - et ils répondent en trouvant d'étranges petits tics qui semblent être la libération logique du stress refoulé: le regain d'habitude de fumer de Linda donne à Hathaway les moyens de jouer une échelle mobile de frustration comique, et Ejiofor permet à la panique croissante de Paxton de s'atténuer. se manifeste comme une sorte de contraction musculaire de tout le corps. Ben Kingsley, Ben Stiller, Stephen Merchant et Mindy Kaling ont fait de brèves apparitions en tant que personnages qui existent presque exclusivement sur les écrans, et même si aucun d'entre eux n'a grand chose à faire, c'est agréable de les voir apparaître - un rappel que chacun vit son propre truc pendant le blocage. En fait, cependant, tout tourne autour de Paxton et Linda - et Ejiofor et Hathaway trouvent une énergie complémentaire qui me fait souhaiter que quelqu'un les jette dans une comédie folle appropriée quand tout sera terminé. Les meilleurs moments de Locked Down ont cet ADN; J'adorerais voir comment cela fonctionne quand il y aura à nouveau un monde plus grand à leur disposition.
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Prologue
Dans une maison perdue dans une ville, dans un univers appelé multiverse, dorment trois âmes dans des chambres assez simples. Les deux premières dorment ensemble et il s'agit de deux squelettes physiquement et mentalement opposés, à un détail près, ils ont la même grandeur. Le premier, appelé Error, a des os totalement noirs, comme s'il sortait d'un four a cadavre, sauf pour ses doigts qui sont ronge dont les bouts sont jaunes et ses tibias qui sont rouges. De plus, sur ses joues se trouvent des traces de larmes bleues. Il ne porte qu'un jogging rouge et il sert contre lui son contraire. Ses pupilles normalement jaunes dans des orbites rouges au lieu de noir sont cachées derrière ses paupières magiquement en os et fermées. L'endormie dans les bras du cramé, appelé Ink, a les os d'un blanc pur et pourtant, d'étranges marques sont gravées dans tous ses os, de ses pieds à son cou. Il porte un pyjama une pièce en forme de lapin, ce qui couvrait bien ses étranges tatouages... si les boutons avant n'étaient pas tous ouverts. D'ailleurs, cette ouverture a attiré la main de Error entre les côtes censées être cachées dans le pyjama.
La troisième âme qui dort est une jeune femme, appelée Lanna Painted, à peine sortie de l'adolescence en apparence. Ses longs cheveux rouges sont attachés en tresses pour bien dégager son visage d'un blanc plus squelettique qu'humain. Les pupilles aux étranges couleurs changeantes à chaque clignement restent cachées derrière les paupières fermées. Ses cicatrices couvrant ses bras, ses côtes et ses jambes restent cachées avec ses forment sous les couvertures. Contrairement aux deux autres habitants de la maison qui dorment paisiblement, celle-ci tremble et halète, les larmes aux yeux et les dents serrées.
Sans un cri, sans un mouvement, elle ouvre les yeux et reste figée. Ses pupilles changent entre des couleurs sombres et tristes, alors qu'elle promène son regard dans sa chambre sens dessus dessous. Elle se tourne sur le dos et pose un bras sur ses yeux, prenant de grandes respirations.
Lanna : *marmonne* T'es à la maison, idiote...
La rouge se lève d'un bon, ressentant le froid sur sa peau à peine couverte d'un mini-short et d'un court t-shirt, tous les deux oranges. Comprenant que ce n'est pas ce qui lui permettra de se tenir un peu plus au chaud, la jeune femme de 21 ans va prendre une douche rapide et chaude, puis elle revient se changer, mettant ses habituels jeans et bottines bleu nuit. Comme haut, elle met un t-shirt noir dont le bout des manches et le bas du chandail sont en bleu se fondant dans le noir du reste du tissu. À ses poignets, des bracelets orange doré s'attachent aux majeurs et sur sa cuisse est attachée par des fils verts une petite sacoche de cuir contenant un crayon. Un masque de dieu renard japonais traîne parmi une série de crayons, ciseau, marqueurs et pinceaux. Lanna le prend pour l'attacher à sa hanche, puis elle évite de marcher sur les papiers et les vêtements au sol qui couvrent le plancher de bois de la pièce.
Lanna : Il faudrait vraiment que je range ma chambre... Bha ! Un jour !
La maison est composée de quatre pièces à l'étage et d'un salon connecté à la cuisine et à la salle à manger, alors qu'un atelier d'Artiste est installé dans la dernière pièce se trouvant à gauche des escaliers.
Le rouge glousse et entre dans la cuisine, gardant une oreille vers la chambre de son frère. Elle sourit en prenant une bouteille de peinture magique dans le réfrigérateur, puis elle commence à boire ce liquide qu'elle aime tant en se dirigeant vers son bureau qui est dans l'atelier.
Une fois qu'elle ouvre la porte, Lanna glousse en marchant entre les pots de peinture qui traîne au sol, non sans passer un coup d'œil sur la toile en cour que son frère a commencé. Le sujet est le paysage d'un univers que les trois actuels habitants de la maison aiment beaucoup : Outertale. C'est un univers où au lieu d'un ciel bleu, le ciel est l'espace même et comment les monstres et les humains font pour respirer dans l'espace ? ... Magie !
Lanna : Celui-là, je l'accrocherai dans le salon dès qu'il le termine !
La pièce n'a aucun mur libre de meubles ou d'œuvres d'art. Sur le mur où la porte se trouve sont couvertes des œuvres de Ink et de Lanna, alors que le mur d'en face est à moitié couvert de bibliothèque vers la droite et la moitié de gauche est couverte de toiles. Contre le mur de droite, deux bureaux avec des ordinateurs prouvent la présence de la technologie. En plein centre de la pièce, à la partie adjacente, un chevalet avec la toile prône entre les centaines de pots de peinture vide ou pas qui reste sur le sol. Sur le mur en face de la porte, de l'autre côté de la pièce, des fenêtres décorées de dessins et de peinture sur papier illuminent la pièce... en partie... la magie du ruban adhésif.
La jeune femme rigole et s'installe à son bureau d'ordinateur pour écrire un rapport qui explique simplement sa dernière sortie dans un autre univers. Comme à chaque fois, la rouge regarde tous les rapports sur les univers alternatifs à celui que tout le monde appelle classique. Chacun des univers est composé des mêmes personnes et seule l'histoire change à chaque fois. Chaque univers a un nom différent, mais Ink, Lanna et Error les connaissent tous, ce qui leur permet de retrouver les univers quand ils cherchent dans la bibliothèque leurs notes personnelles.
Parce que oui, même s'ils font des rapports à l'ordinateur, le frère et la sœur font aussi des notes manuelles dans des cahiers de notes grands comme la main d'un enfant de 10 ans.
Bref ! Lanna finit son rapport, puis elle écrit des notes à la main dans le cahier du dernier univers visité. Son crayon glisse sur le papier jusqu'à ce qu'elle termine sa phrase, puis elle regarde le résultat en souriant.
Lanna : J'ai hâte d'y retourner !
La jeune femme glousse en rangeant le cahier dans la bibliothèque, se mettant à chanter doucement. Sa voix continue en laissant ses doigts glisser sur le dos des livres. Elle se rend bien compte qu'elle n'a probablement dormi que quelques heures, et donc que son frère a besoin de dormir quelques heures de plus, mais elle ne peut s'empêcher de s'impatienter. Elle s'est quand même débrouillée pour que Ink et Error se retrouvent dans le même lit, même s'ils n'ont rien fait. Et quand celui aux os sombres se réveille dès qu'on le touche, ce n'est pas du gâteau !!
Heureusement pour la patience presque inexistante de Lanna, deux cris de surprise se font entendre... Rapidement suivi du nom de la coupable. Cette dernière rigole, crie qu'elle ne regrette rien, puis elle écrit devant elle « portail centre-ville ». Derrière la mine de son crayon, les mots apparaissent dans une lumière aux couleurs changeantes, puis un cercle se fait dessiner autour des lettres. L'intérieur du cercle change soudainement pour montrer un sol en neige avec des magasins tout autour, prouvant que c'est l'hiver. Lanna sourit et entre dans le portail dès qu'elle entend son frère descendre les marches à la course.
Une fois qu'elle traverse le portail ainsi formé, elle le ferme en utilisant l'efface de son crayon. Elle prend le bout du cercle et le colle à l'autre pour le fermer pendant qu'elle le traverse. Une fois sur le sol froid, elle range son crayon, elle met son masque sur son visage, puis elle avance dans la neige en regardant partout, cherchant s'il y a le moindre problème, plus par habitude que par inquiétude pour le coup. Elle doit juste aller acheter de la peinture magique et du lait, mais ses réflexes de protectrices ne peuvent que prendre le dessus dès qu'elle est seule.
Cependant, les problèmes ne sont pas dans les maisons ou les magasins, puisqu'elle fonce dans une veste orange orange. Surprise par le choc, Lanna ne s'empêche pas de tomber au sol, au contraire. Un grognement lui échappe quand son fessier frappe brutalement de la glace sous de la neige.
Lanna : Je détesterais toujours l'hiver, même quand c'est un hiver magique dans une montagne de merde de shitty shit.
?? : Si tu ne cachais pas tes yeux, sorcière, ça aiderait à ce que tu ne tombes pas dans la neige.
Une seule personne dans tous les univers appelle la sœur du créateur des univers ainsi : Underswap papyrus, AKA Swapy. Ce squelette est plus grand que Ink, près d'un mètre 80, et il porte justement cette veste orange sur une chemise blanche avec des shorts en jeans et des espadrilles orange, noir et blanc. Une cigarette entre les dents, Swapy garde les mains dans les poches, regardant simplement Lanna.
Lanna : ne m'aide surtout pas à me relever, bouffe à chien !
Swapy : Tu es capable de te lever toute seule, buveuse de produits toxiques.
La rouge grogne en se relevant, puis elle enlève la neige sur son fessier, avant de regarder le squelette à travers les trous bouchés de son masque. Les deux êtres soupirent et se fixent en chien de faïence avec comme protection que le masque de la protectrice des univers. Elle finit par soupirer en se tournant soudainement pour passer par une autre rue, histoire de retrouver le supermarché. Cependant, elle regarde autour d'elle et ne reconnaît que le squelette habillé semi-chaudement. Un petit sourire moqueur reste sur ses dents, alors qu'il suit l'humaine. Remarquant ce fait, elle grogne et croise les bras, pestant que son masque couvre son air enragé.
Lanna : Va suivre ton propre chemin, ingrédient de bouillons de soupe !
Swapy : Désolé, le faux-monstre, mais je dois passer par là...
Lanna : ha oui ? Pourquoi tu ne te téléportes juste pas ?
Swapy : pour la même raison que tu ne fais pas un autre portail que celui qui t'emmène en ville à chaque fois...
Lanna :... Parce que tu essaies de ne pas être magiquement retracé par ton frère qui a envie de t'arracher la tête pour l'avoir fait dormir avec son crush ?
Swapy :...Quoi? Non! Pour économiser ma magie... ça me coûte cher en bouteille de miel.
Lanna : *soupire* tu devrais peut-être juste bosser pour payer tes bouteilles... tu n'es pas un total abruti après tout...
Swapy : quand j'aurais payé ma dette envers Muffet et Grillby...
La rouge lève les yeux au ciel, non sans faire le même mouvement de la tête pour s'assurer qu'il comprenne ce qu'elle fait, puis elle reprend son chemin, agacé. Elle entend des pas qui la suivent et qui font accélérer son âme... d'inquiétude, mais bon, elle sait se défendre. Cependant, plus elle se perd dans les rues, plus elle se rend compte que, non, Swapy ne tente pas d'atteindre une destination, puisque le duo de haine tourne en rond depuis plus d'une heure. Celle qui dirige finit par s'arrêter en plein milieu de la route en soupirant et en se massant la tempe.
Lanna : ce masque m'étouffe...
Swapy : enlève-le, alors... pour arrêter de faire semblant d'être un monstre...
Lanna :... je ne peux pas, je n'ai pas envie que tu me tues... D'ailleurs, pourquoi es-tu encore là ? Tu ne devais pas aller quelque part ?
Swapy : tu sembles perdue, je voulais pouvoir me t'offrir un coup de main...
En finissant sa phrase, le squelette tend la main, ce qui fait apparaître un sourire amusé sur le visage caché. La jeune femme se retient de parler, alors qu'elle fait demi-tour et commence à avancer, mais elle entend la voix qui l'énerve lui dire qu'elle est déjà passée par là. Elle soupire et s'entête dans son idée, jusqu'à ce que son ego lui rappelle que se perdre ne l'aidera pas à acheter ses bouteilles de peinture magique.
Swapy : où tentes-tu d'aller comme ça ?
Lanna : J'ai des courses à faire...
Swapy : c'est par là...
La jeune adulte regarde la direction pointée, puis elle laisse son ennemi mener la marche. Aucun son ne sort de la gorge des deux êtres, pourtant, la tension électrique habituelle n'est pas présente. Un peu de honte chauffe le visage de celle couverte de cicatrice et de l'intrigue prend la place dans le regard de celui qui fume. Cependant, lorsque la masquée arrive enfin devant le magasin, ils reprennent leurs attitudes habituelles, même si celle qui était perdue remercie dans un chuchotement son accompagnateur temporaire.
Espérant pouvoir enfin se libérer de la présence de son ennemi, Lanna entre dans la réserve de nourriture à vendre. Elle arrive à se promener doucement entre les rayons, vidant les étagères de toutes les peintures magiques et du trois quarts du lait en bouteille. Dans un gloussement, le rouge écrit « 1 000 G en sac » avant qu'une bourse de cuir avec 1 000 pièces d'or n'apparaisse dans sa main. Elle va ensuite vers la caisse, mais un cri se fait entendre de loin et elle fige.
Dans un panier se trouve Swapfell Sans, AKA Viper. C'est un squelette comme aussi grand que ink et qui porte normalement de hautes bottes avec talons noirs, des shorts bleu foncé et un haut d'armure noire avec les rebords d'un bleu nuit comme ses gants d'armure s'arrêtant à ses coudes. Une ceinture du même ton de ciel vient tenir les bas, alors qu'un foulard encore de la même couleur vient orner son cou. Cependant, il n'a sur le dos que son foulard habituel, des bottes noires, un jeans foncé et une veste bleu nuit. Une autre différence face aux autres Sans s'ajouter à la cicatrice qui commence au-dessus de son orbite gauche et descend jusqu'à quelques centimètres en dessous. Celui qui pousse le panier est Underswap Sans, AKA Blueberry, AKA le frère de Swapy. Celui-ci est normally habillé de la même manière que sa version Swapfell, sauf que tout est plus pâle : au lieu du noir, c'est blanc et au lieu du bleu nuit, c'est bleu ciel. De plus, il n'a pas de cicatrice et ses bottes ne sont pas à talon, semblant simplement être des bottes d'armures bleu ciel. Par contre, il porte en ce moment la même tenue que son frère, mais en bleu pâle et avec son foulard.
Viper : LANNA DÉGAGE !!!
Lanna : que... ?
L'interpellée tourne à peine la tête vers les deux squelettes que le panier lui fonce dedans, épargnant les bouteilles. Sous le choc, Lanna perd tout son souffle et même son masque se décroche pour tomber entre les mains de Viper. Il n'ose pas regarder ce qu'il tient soudainement, car le choc lui semble moins effrayant quand il garde les orbites fermées.
Trois secondes après, Lanna qui se tenait au bout du chariot frappe une étagère, puis le choc se distribue dans le panier, pour finir par projeter Blue. La rouge cherche son air, alors que quelques larmes de douleurs perlent sur le coin de ses yeux, tandis que Viper est projeté au-dessus du meuble tombé. Le masque de la semi-humaine tombe sur le crâne de celui qui le tenait précédemment, couvrant le visage du squelette. Pour ce qui est de celui qui conduisait ce véhicule d'épicerie, il est assis sur la mascotte du magasin, un petit chien blanc, qui est accroché au plafond, au centre des allées. Une fois le choc passé, le trio remarque que les autres clients s'approchent avec inquiétude, cherchant à savoir si tout va bien. Cependant, Lanna se relève, grognant, puis elle regarde celui qui a tenté de l'avertir. Ce dernier retire le masque lentement, sentant le regard noir de la rouge sur lui. Il sent un frisson parcourir son dos, alors qu'il fait un sourire mi-désolé, mi-perdu.
Lanna : Viper... Qui conduisait le panier ?
Viper : Heu... Blue...
Lanna :... Et pourquoi tu étais dans le panier ?
Viper : il m'a attrapé à peu près de la même manière... Au début de sa course.
Lanna : *soupire* et où est Blue ?
Le squelette regarde autour, le cherchant du regard, pendant que Lanna attrape son masque et cherche avec un regard noir le responsable. Lorsque les pupilles changeant entre des couleurs brûlantes tombent sur la cible, la luminosité émise par les iris augmente d'un coup. Blue voit le regard de Lanna et déglutit, une goutte de découragement et de peur lui coulant presque sur le crâne. La jeune femme se relève correctement et regarde Blue en prenant son crayon. Ni une ni deux, elle écrit « Portail Blue » et entoure ses mots, puis elle se met à sauter dans le cercle à peine formé. Blue se rentre la tête dans les épaules, ne disant pas un mot, alors que la rouge le tire par le foulard pour qu'il descende.
Lanna : Est-ce que je te lance ou je te pose doucement ?
Blue : et... Et si je m'excuse, tu me déposes doucement ?
Lanna :... Peut-être... Probable
Blue : je suis vraiment désolé, je ne te visais pas du tout...
Lanna :... Tu visais Viper ?
Blue : plus ou... *perd son air* Lanna, les gens commencent à te viser avec des pistolets...
Celle qui tient la vie de Blueberry entre ses mains fronce des sourcils, regarde la troupe en dessous et soupire en voyant les gardiens de sécurité la viser. Elle pose le squelette sur l'étagère derrière elle, puis elle remet son masque, ce qui semble calmer les monstres et les humains autour, puisqu'ils rangent leurs armes. Avec l'aide de son crayon, Lanna ramène le responsable de la pagaille au sol, puis elle se met à tout replacer, sans rien dire. Les autres clients marmonnent de soulagement, certains disant même qu'elle tente au moins de réparer le dégât qu'elle a fait. Bien entendu, l'habitant de Underswap et celui de Swapfell tentent d'expliquer ce qui s'est réellement passé... En vain, les autres autour sont remplis d'une haine trop profonde.
Client : arrêtez de tenter de la couvrir, elle est responsable, elle doit assumer !
Blue : mais... Mais non ! C'est moi qui conduisais le chariot !
Employés : elle vous a lavé le cerveau pour que vous preniez sa défense ? Laissez-la assumer ses conneries tranquilles !
Viper : mais vous êtes...
Lanna : laissez tomber, les gars, c'est normal qu'ils mettent toute la faute sur moi.
Viper : depuis quand est-ce normal de jeter la faute sur une victime quand le responsable n'a rien ?
Lanna : c'est à cause de mes yeux... Alors... Laissez tomber, on ne peut rien y changer.
Ils regardent la masquée quelques secondes, puis ils se mettent à l'aider, les témoins de la scène s'éloignant d'un coup. Un petit sourire se glisse sur les lèvres non visibles, alors que les 6 mains remettent en place les objets. Lanna laisse bien les squelettes replacer l'étagère, la douleur dans son dos et son ventre l'en empêchant.
Lanna : merci les gars... Et la prochaine fois... Laissez-les lancer leurs haines sur moi, je suis habitué.
Elle sourit pour accompagner sa voix nonchalante, puis elle retourne à son panier, alors que le duo d'amis se regarde en haussant une arcade.
Viper : mais elle est conne ou quoi ? Si elle les laisse faire, ils vont juste recommencer !
Blue : Viper, ce n'est pas aussi simple...
Viper : en quoi ? Elle a qu'à les intimider and ils vont arrêter...
Blue : ils ne veulent ni la haïr ni lui faire du mal, c'est comme avec mon frère...
Viper : c'est quoi alors ? Une malédiction ?!
Le squelette habillé d'un ton plus pâle hoche de la tête et soupire en retournant à son panier. Pour ce qui est de la rouge, elle soupire d'agacement, puis elle prend son panier pour aller payer ses articles, évitant les regards d'incompréhension qu'ont toutes les victimes de la haine portée envers Lanna.
Sommaire: https://plumeofacat.tumblr.com/post/644284810168336384/sommaire
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4 février 3000
Armel,
Cela fait quelques semaines que je ne t'ai plus écrit, ni même vu. C'est logique, tu me diras, depuis que j'ai commencé à travailler, j'ai beaucoup moins de temps pour moi. J'ai l'impression que plus le temps passe, plus nos vies respectives se décalent. Nous nous sommes éloignés alors que nous habitons toujours côte à côte. Je dis cela comme si c'était triste, mais c'est moi qui ai voulu ça. Tu as tenu parole. Je pensais que tu trouverais bien un moyen de revenir sur ta promesse, après ce qu'il s'était passé à la soirée du nouvel an... Mais tu t'es bien débrouillé pour m'éviter jusqu'ici, afin que je prenne seule la décision de te revoir ou non.
Il est vrai que je n'aime pas être forcée, quelle que soit la raison. J'ai passé ma vie à ne me reposer sur personne. Ce n'est pas que je vivais seule chez les Affranchis, mais... Nous avions pris l'habitude de nous laisser de l'espace. C'est ça de vivre en communauté, nous vivions en permanence ensemble, mais sans aucune obligation. Nous pouvions partir quelques jours et revenir plus tard. C'était loin d'être une vie idéale, mais elle me manque parfois. Je sais pourquoi j'ai quitté ce monde pour le tien, mais je ne m'attendais pas à ce qu'il y ait autant d'obligations dans votre société. Vous portez un tel poids, vous vous forcez à vous voir sans avoir conscience des autres. Je déteste parler comme ça, avec des « vous » et des « nous. J'ai l'impression de te prendre de haut, de te dédaigner. Ce n'est pas de cette façon que nous pourrons nous rapprocher à nouveau. Ce n'est pas en crachant sur ta vie en permanence que tu vas me respecter, je le reconnais enfin. Je pense qu'il faut clairement que tu ouvres les yeux, mais de mon côté, il faut que je cesse d'être aveugle.
J'écris, j'écris, mais je ne t'ai même pas demandé des nouvelles. Dans mes lettres, je laisse mes pensées vagabonder, je me demande parfois si je suis lisible. Comment vas-tu depuis le nouvel an ? Est-ce que tu as finalement réussi à envoyer tes compositions à une société de bonnes actions ? J'aimerais vraiment que ça marche pour toi. Ça t'irait peut-être mieux de faire de la musique. Je sais que tu aimes être négociateur, mais la situation sur Zarla ne fait qu'empirer. Je n'ai aucun conseil à te donner, mais j'aimerais que tu ne sois pas là-bas quand ça dégénérera. Même si je me suis éloignée, je tiens beaucoup à toi.
Je ne sais pas si je t'ai vraiment pardonné pour la soirée qui nous a séparés. Mais je suis prête à commencer quelque chose avec toi, à aller de l'avant. Si tu en as envie bien sûr... Moi, je le voudrais. Ces semaines étaient douces, mais tu m'as beaucoup manqué. Je n'arrivais pas à effacer de mon esprit notre nuit de réconciliation. Nos rires, nos danses maladroites, nos regards complices. C'est là que je me suis rendue compte qu'il était déjà trop tard. Je t'aime depuis plusieurs mois déjà, mais j'ai nié l'évidence. Alors que les invités commençaient le décompte, j'avais le cœur au bord des lèvres. Je voulais te prendre dans mes bras, t'embrasser même, mais je n'ai rien fait. Je ne te dis pas ça pour que tu regrettes. C'était un beau moment. On s'est juste regardé et avoué à demi-mot que nous étions attirés l'un envers l'autre. Ça me suffisait. C'était de ça que j'avais besoin. Tu peux être un idiot parfois, tu n'as pas idée, mais tu m'as surpris ce soir-là.
Mais assez parlé du Nouvel An. Ce que j'essaye d'écrire depuis le début, sans grand succès, c'est que j'aimerais bien que l'on se voit. Mais pas dans nos containers. Autre part, où cela te plaira. On pourrait se téléporter ailleurs. Loin de tout, pour se vider la tête. Juste nous et rien d'autre, ça te dit ?
Lydia
#lettres-armely#Armely#romanSF#Roman#lettres#french#unmoisaprès#Armel#Lydia#Armel n'est pas un vautour#la vie a repris#pourquoi Lydia s'est barré des Affranchis ?#déclaration#en couple#nouvel an#ils sont mignons#c'est que le début#des poutous sur vous
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A Bayonne 2 blessés, toute la communauté est en émoi. On n'a pas fini d'en entendre parler. En revanche, si on a parlé longuement de l'attentat en Nouvelle-Zélande, les médias ne parlent jamais des attentats perpétrés partout dans les églises du monde entier et des nombreuses victimes ! Les assassins de mécréant sont tous déséquilibrés, le débat est clos même s'il a crié Allah Ouakbar avant de tuer. Quand un mécréant fomente une action contre l'islam les médias se croient obligés d'indiquer son choix politique, c'est ridicule. Il est extrêmement rare qu'un politique prenne notre peur en compte, ils nous enjoignent même à "nous habituer". En revanche 2 blessés et la communauté musulmane reçoit de part et d'autre des soutiens, comme si cet acte très rare mettait en péril des millions de musulmans. Quel théâtre !Il y a une majorité de citoyens qui tout en condamnant l'idéologie de l'islam-Coran-charia ne croit quand même pas que dans le Coran il est vraiment écrit noir sur blanc des versets comme entre autres le 47.4 qui prône ceci : "Partout où vous croisez des mécréants pourchassez les derrière chaque buisson et massacrez les." Et oui le Coran ose l'écrire : même Mein Kampf n'avait pas osé l'écrire... franchement ! Et ensuite la classe de s'étonne ? HYPOCRITES corrompus pour la plupart. - C'est on ne peut plus clair et FRATERNEL non.?Le bureau des pleurs est ouvert. Les m¤sulm¤ns dans leur incroyable culot monstre ont commencé à pleurnicher car ils se sentent stigmatisés (retour de bâton de leurs arrogance et provocations) et attention : ils se sentiraient en danger sur notre territoire Oui, c'est eux qui se sentent en danger ! La victimisation est en marche !Combien de victimes de l'islam depuis les années 60's en France ou en OPEX du côté français ? Lu sur le net "Macron s'engage à protéger les gens (de confession musulmane). C'est vraiment pas de chance pour : -Laura & Mauranne, égorgées à Marseille : Ahmed HANACHI -Arnaud BELTRAMME, égorgé en 2018 : Radouane LAKDIM -5 tués au marché de Noël de Strasbourg : Cherif CHEKKAT -TIMOTHY, égorgé à Villeurbanne : Sultan NIAZI..." une pensée pour nos morts, pour les blessésAux yeux de la macroniesphère et de la gauchosphère, les victimes ci-dessus valent moins qu'une porte pas tout à fait incendiée et deux blessés légers.Aucun journaliste honnête pour nous seriner que l'Islam a assassiné 262 Français sur son sol, et fait des milliers de blessés aussi, l'islam donc des musulmans intégristes certes mais des musulmans jamais reniés par leurs frères en religion.L'intégration: c'est se fondre dans la population, l'enrichir si possible de nos différences, mais en aucun cas vouloir imposer quoi que ce soit. Cela est tout à fait possible avec des religions compatibles qui ont les mêmes valeurs de travail, d'Amour, de Partage..., mais pas avec des religions qui veulent s'imposer à tous par la force, s'appuyant sur des textes non critiquables et non modifiables, datant du 7é siècle.Leurs méthodes sont toujours les mêmes depuis des siècles : pressions, intimidations, menaces... Ils estiment avoir tous droits même ceux qui outrepassent les devoirs et obligations de nos codes et contitutions établies depuis Napoléon et auxquelles se conformaient les français. Ils grignotent pas à pas ces lois afin de nous faire céder. La gauche plie dans la dimmhitude. Leurs comportements excessifs portent certains à réflexion, voir remises en question, c'est là qu'intervient la pression : ces propos sont jugés "haineux" voir "islamophobes", afin de retourner la situation. Si une personne va trop loin en remetant en question la pratique de l'islam en dehors des mosquées, c'est à dire dans l'espace public, il reçoit de nombreuses menaces, voir des menaces de mort, mais notre justice ne s'en préoccupe pas... Il devient presqu'établit qu'une personne puisse être menacée de mort dans notre pays. Là encore ils gagnent du terrain, c'est comme ça qu'ils avancent. Une personne critiquant le christianisme recoit-elle des menaces de mort ? A force de ployer nous allons finir par rompre et céder à tout car nous sommes faibles. La victimisation est une arme dont ils excellent à se servir. Ils sont beaucoup plus rusés et malins que nous, voir vicelards... Malgré cela les émissions des chaînes publiques dégoulinent d'empathie pour ceux qui sont désormais considérés comme nos victimes alors que dans les faits nous sommes, nous, en danger dans l'espace public ! La gauche est irréductible dans son ethnomasochisme, ils préfèrent céder à l'islam plutôt qu'à la droite. Dans plusieurs années les débats sur l'islam continueront sans que nous nous rendions compte à quel moment nous avons cédé sur telle ou telle chose. Si nous n'elisons pas une personne assez ferme pour calmer les musulmans nous serons leurs dimmhi. Et encore, c'est peut-être là où nous auront à essuyer le plus de conflits. C'est une situation dramatique. D'un autre côté je me rejouirais de voir un jour les idiots utiles de l'islam être obligés de remiser leurs convictions au placard !Tous les jours une nouvelle polémique...Cet épisode aura au moins eu le mérite d'ouvrir les yeux à quelques Français et les aider à ne plus avoir honte de leur rejet des envahisseurs. J'en ai eu la preuve aujourd'hui. Politiques et médias font systématiquement de cette communauté des VICTIMES Et le terroriste qui a tué Thimoty à Villeurbanne c'est passé aux oubliettes !!!!!!!!!!claude Sinke Il n'a pas fallu longtemps pour que son pédigré soit dévoilé... alors que l'on recherche toujours les auteurs de certains attentats et on ne connait toujours pas leurs identité, étrange, non? Ecoeurant ! et le mot est faible..Après l'attentat, les journalistes ont sélectionné les déclarations des témoins en ne prenant que les témoignages faisant l'éloge du vivre-ensemble. Ce sont ces témoignages qui ont eu l'honneur des médias. Les autres ont été censurés. Par contre, Patrick Jardin qui a perdu sa fille et qui n'a pas voulu jouer ce jeu hypocrite est aujourd'hui fiché S Ras l'bolQue nous disait le roi du maroc Hassan ll commandeur des croyants ! Il prédisait cela en disant que " les musulmans Marocains ne seraient jamais de bons Français " En cause la religion ? ...D'ou cette islamophobie galopante !comme je le dis la France n'est pas une terre d'Islam ! DEHORS !!!c'est aux arabes musulmans à s'assimiler chez nous en France et pas aux français qui sont chez eux mais a cause de la corruption des élus pour cause de mercantilisme électorale, on ferme les yeux ceux qui ne veulent pas s'adapter dans notre pays - retour chez eux , et en vitesse , Regardez bien la vidéo ou le roi s'exprimait à ce sujet !À voir la différence de traitement de l'actualité s'agissant d'attaques visant : églises, mosquées, synagogues...Et NOUS après les attentats du bataclan.. Nos édifices RELIGIEUX brûlés, saccagés. La tuerie récente à la préfecture... ET NOUS ALORS ??!! On les compte les fois où NOUS, NOUS avons été touché et la aucun média ni hommes politique ne s'est manifesté pour défendre notre cause, , car ils avaient trop peur des représailles ?? a voir la réaction frileuse des ces couards J'ai la Nausée lorsque les muzsmans s'en prennent a nos lieues de cultes ,il ne faut rien dire faire profil bas, pour ne pas stigmatiser ces gens là mais lorsqu'un retraité excédé ,par les agissements des salafistes, les violences, et autres dérives agressives, communautaristes, ,que nous subissons tous les jour, au quotidien, fou de rage rétorque en s'en prenant a une mosquée alors là c'est le tollé et les journalistes en font tout un patakes! Et le cinglé qui a gueulé Allah Akbar en pleine messe, et celui qui a gueulé la même chose dans un cinéma à Paris !!!! On en a parlé ??? Non bien sûr !!! Et pourtant... Dans le ciné c'était pendant la diffusion du film "Joker". Panique dans la salle. Les gens se sont rués vers la porte de secours, et des salopards en ont profité pour piquer des sacs et des portefeuilles !!! Il y a deux blessés de confessions musz et tout le monde s’émeut, mais Pour les 263 victimes du terrorisme musulman RIEN pourquoi tant de difficultés de nos jours avec cette histoire de voile etccccccc ? à mon époque ? il y a donc 30 ou 40 ans " les musulmanes étaient là parfaitement intégrées assimilées " il n'y avait aucun problème ? Et maintenant ? des attentats des régimes spéciaux aux musulmans écoles coraniques " cantine spéciales etcccc des mosquées salafistes avec des propos révoltants voire haineux c'est quoi " votre problème cette troisième quatrième voire cinquièmes génération ? qui n'avait jamais connu le bled etccccccccc ? c'est quoi ? Puisque vous êtes Français totalement Français ? c'est quoi votre problème ?11:10Lorsqu'il y a le même jour un islamiste qui crie "Allez au bar" armé d'un couteau devant la gare de Grenoble, arrêtait avant qu'il ne massacre des gens pour qui la presse se garde bien de donner son identité, sa photo, son passé lorsqu'un Attentat est commis contre une mosquée tout de suite on dit que c est un "ex FN" ! Quand c est un musulman qui commet un attentat c est un " déséquilibré " !!!Un homme sème la panique au cinéma durant le film «Joker» en hurlant « Allah Akbar » Des voleurs ont profité de cette scène d'affolement pour dérober des sacs et des effets personnels au Grand Rex à Paris !Un octogénaire à attaqué la mosquée de Bayonne, il s'agit d'un déséquilibré, pas d'amalgames, rien à voir avec les français Lassés par la lâcheté et le clientèlisme de la classe politique qui vend la France à l'envahisseur et à l'obscurantisme pour des minables petites carrières et de l'enrichissement personnel. Dormez braves gensÉtonnant les médias ne parlent pas de déséquilibrés cette fois. C'est un extrême droite du FN. Voilà...voilà !Une seule mosquée attaqué et les bfm et les autres merdias s indignent mais pourquoi ,ils ne disent rien quand une église brûle, saccagée ou que des victimes innocentes sont assassinées , égorgées , Violentées etcc Zemmour sur la fusillade de Bayonne ! Excellent et pragmatique Zemmour, les grands esprits se rencontrent... Sur CNews dans "Face à l'info", Éric Zemmour a réagi. "Je voudrais dire que ce qui est curieux dans cette histoire, c'est que là, je remarque qu'on ne dit pas qu'il est déséquilibré. On ne dit pas qu'il est fou. On dit tout de suite qu'il a été un candidat - je ne sais plus quand - du Front national", a-t-il commencé. "Deuxièmement, certains me mettent en cause, disent que c'est de ma faute, qu'il m'a écouté, etc. Je trouve ça pour le moins curieux là aussi (...) Quand on tue au nom d'Allah, alors là, ça n'a rien à voir avec l'Islam et le Coran et quand on blesse deux personnes - deux musulmans - alors là, on cherche les coupables", a-t-il conclu."Dans une démocratie mûre comme la nôtre, dans une République sûre de ses principes, nous "pourrions" tous ensemble considérer qu’il n’y a qu’une seule communauté, la communauté nationale", a déclaré le Chef du gouvernement. Des explications seraient les bienvenues sur le conditionnel utilisé par Monsieur Edouard Philippe (nous "pourrions")..les Français ont pu le constater, contrairement à ce qui est le cas pour les terroristes islamistes, le prénom puis le nom, de cet homme ont été immédiatement diffusés sur tous les médias ainsi que sa photo. Ceux qui n'aurait pas encore vu le visage de cet être ignoble (et nauséabond) dans les journaux télévisés, peuvent le retrouver, en g
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