#amis j'aimerais pour vous que modestes vers
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abdlrimespotiques · 11 months ago
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fallenrazziel · 4 years ago
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Les Chroniques de Livaï #489 ~ MONDE, JE TE FAIS MES ADIEUX (mai 846) Erwin Smith
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes. 
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J'attrape ma ration sans goût et la cale entre mes dents le temps de lire la liste de fournitures à ma disposition. Berner me regarde avec des yeux ronds sans oser dire quoi que ce soit, et je réalise juste à cet instant l'image que je dois donner. Il m'arrive si souvent d'oublier que je suis entouré d'autres gens... Je lui donne la liste et lui demande de m'en faire la lecture pendant que je me restaure. J'ai été obligé de sauter le repas de midi car j'ignore à quelle heure le convoi de ravitaillement doit arriver, et je veux absolument être là pour le réceptionner.
Je mets ma main en visière, mâchonnant discrètement, et distingue un attroupement inhabituel devant la cour. Berner cesse d'énumérer pour se tourner lui aussi vers la source du remue-ménage et je devine que le convoi s'achemine vers nous. Il doit être très imposant, c'est pour ça que la foule s'agite. Les autres militaires aussi. Ils voient d'un mauvais oeil la cour du QGR se remplir de chariots pleins à ras-bord. Je dois aller régler ça
Je signe quelques documents que Berner doit remettre à Hanji, puis le quitte pour faire en sorte de diriger les chariots vers un coin qui ne gênera personne. J'ai conscience que ce n'est pas à moi de faire ça, mais mon devoir consiste malgré tout à m'assurer que tout est bien arrivé. La vie de ses soldats est entre mes mains et je veux qu'ils soient équipés au mieux. Nifa ! Guide ceux-là par ici ! Ils ne doivent pas gêner le passage. La jeune fille claque des bottes et fait de grands gestes afin d'amener les chariots avec elle. Plus le temps passe, plus il y en a. C'est sans doute la plus grosse commande que le bataillon ait jamais passée. Et ce n'est pas encore fini.
En queue arrivent les montures que les civils sachant chevaucher utiliseront durant l'expédition. Il y'en a un grand nombre, et toutes ne pourront pas être logées à l'intérieur ; les casernes environnantes seront réquisitionnées et changées en écuries durant les quelques jours qui nous séparent de la sortie. Dita Ness se jette presque sur les premiers chevaux afin de les examiner, et je vois à sa mine déconfite qu'ils ne sont pas de première jeunesse. Il fallait s'y attendre... Ils ont été achetés une bouchée de pain par l'Etat pour le compte du bataillon, aux quatre coins du Royaume, et ils semblent déjà épuisés... Je ne devais pas m'attendre à du premier choix. Et j'ignore comment ils se comporteront face aux titans. Mais l'essentiel est que la majorité de ces gens ait une monture ; tous ne le pourront pas, rassembler autant de chevaux en si peu de temps aurait été impossible. En comptant les chariots dans lesquels nous placerons les civils les plus faibles, les ferries... J'espère que cela ira...
Je me dirige vers la charrette de tête, garée à quelques mètres de moi. Il me semble reconnaître celui qui la conduit et qui me salue de la tête. Je crois l'avoir déjà vu à la cité industrielle, dans un atelier de la guilde. Il ne descend pas de son véhicule et me tend un parchemin roulé. Ce n'est pas la liste de retour de la guilde, mais une missive écrite de la main de Rein. Il m'envoie souvent ce genre de petit mot avec les livraisons. Cette fois, je doute qu'il soit aussi enjoué que d'habitude... Je déroule le parchemin et me mets à lire l'écriture un peu brute et arrondie de Rein, que je connais bien maintenant.
"Mon cher ami, J'espère que ce convoi, exceptionnel par sa taille, vous est parvenu sans encombre. Il est sans doute le plus chargé de ma carrière, et peut-être aussi le plus important, quand je sais ce que vous vous apprêtez à faire. Je n'ai pas de conseil à vous donner, vous connaissez votre boulot, et comme d'habitude, j'espère vous aider à le faire. Mais il est nécessaire que vous connaissiez certains détails que je me sentirais coupable de vous cacher - même si je pense bien que vous vous en rendrez compte assez tôt. Je vous recommande vivement de faire disparaître le présent document quand vous l'aurez lu. Je l'ai confié à un gars de confiance pour vous le remettre en main propre. Mais il contient des informations que j'aimerais garder pour vos seuls yeux. Je ne sais pas si cela vous étonnera, mais j'ai reçu des menaces de certaines personnes haut placées. Je n'ai pas de noms à vous fournir, mais il m'a été très explicitement indiqué que si je ne vous fournissais pas le matériel en temps voulu, j'aurais de gros problèmes avec mes riches clients, que je risquais de perdre des contrats. Je comptais sur le fait que vous réussiriez à obtenir au moins un mois de plus, mais j'ai appris la nouvelle de cet échec. Je crois que ni vous ni moi ne sommes appréciés en haut lieu. Je ne vais pas tourner autour du pot plus longtemps. Le matériel que je vous envoie est loin de la qualité que je vous fournis d'habitude. J'y ai été obligé afin de tenir les délais. Il était impossible de fournir autant de bons dispositifs à trois cents soldats en si peu de temps, avec le matériel et les pièces de rechange qui vont avec. Pourtant mes gars y ont travaillé jour et nuit, croyez-le. J'ai du faire au mieux avec ce que j'avais, sans compter que mes fournisseurs habituels en matière première ont aussi eu des problèmes... Ils ne sont pas bons pour le rebus pour autant, mais si vous voulez garder vos meilleurs éléments en vie, cela m'attriste de devoir vous l'avouer, ne leur donnez pas ce matériel ; qu'ils gardent plutôt leurs anciens dispositifs, quitte à les réparer, ils seront mieux servis. Vous n'imaginez pas à quel point il m'en coûte de vous livrer de telles pièces. Mais comprenez moi  bien : je dois aussi penser à mon commerce, à l'avenir de ma guilde. Croyez bien que mes voeux de succès vous accompagnent. J'ignore comment vous vous sentez, si vous êtes confiant, si vous pensez réellement pouvoir y arriver. Si c'est possible, alors vous êtes l'homme de la situation. J'espère plus que tout vous revoir en vie et vous accueillir de nouveau dans mon modeste logis. Votre ami, Rein"
Je plie la missive, avec l'intention de la détruire plus tard. Je la place bien soigneusement dans la poche intérieure de ma veste, et regarde en silence les ouvriers de Maja décharger les caisses. Elles sont portées dans l'entrepôt réservé au bataillon - il sera à peine assez grand, car déjà encombré de tout le ravitaillement de bouche nécessaire à la traversée - et je me penche sur la première. Je m'empare d'un pied de biche et fais sauter le couvercle. A l'intérieur, reposant au milieu d'un rembourrage de paille, les dispositifs de manoeuvre flambants neufs rutilent sous la lueur des torches.
Un oeil non initié n'y verrait aucun défaut, aucun vice. Mais le mien ne s'y trompe pas. Rein avait raison. Je saisis un dispositif et constate assez vite que la bobine est assez instable. J'attrape une gâchette et actionne le mécanisme ; il est anormalement souple sous le doigt, alors qu'en temps normal, le matériel de qualité oppose toujours une petite résistance avant d'être rôdé. Je devine avec désespoir que tous les autres doivent être du même genre... J'observe une lame et constate également que le fil est loin d'être aussi acéré que d'ordinaire.
J'enfonce mes ongles dans ma paume, et la douleur qui en résulte me permet de garder mon calme. Je ne peux en vouloir à Rein. Il a risqué sa tête sur ce coup. Il a fait de son mieux. Il était vain d'imaginer qu'il puisse tenir à la fois les délais et son niveau d'exigence. Même si j'ai passé commande le jour même de l'annonce royale, cela était trop court... Je m'en veux tellement de ne pas avoir réussi à plaider ma cause à Mitras... J'en prends la responsabilité...
Je repose le tout dans la caisse et ordonne à des explorateurs de se charger de la livraison. Je jetterai un oeil sur la liste plus tard. Rein n'a jamais omis une seule pièce dans ses livraisons, mais la situation est si exceptionnelle et critique que je ferai des vérifications plusieurs fois. Je retourne son conseil dans ma tête... Dois-je donner ce matériel à mes hommes ou aux explorateurs civils ?
Les vétérans seront en première ligne, ce sont eux qui devront se battre en priorité, pas les civils en uniformes. Si la formation tient le coup, ils ne sont pas censés tirer l'épée. Il va de soi que les vétérans doivent disposer des meilleurs dispositifs, je ne peux pas lutter contre cette évidence. Ils doivent avoir le meilleur équipement... Rein, tu as raison. Je donnerais ce matériel en priorité aux explorateurs de surplus. Les vétérans devront faire vérifier et réparer leur matériel actuel. Ils se poseront des questions, ils se demanderont pourquoi je ne leur fournis pas du neuf, mais je trouverais bien un prétexte sans être obligé de tout leur dire.
Je monte jusqu'à mes quartiers à pas discrets, comme si j'essayais de ne pas être vu. Aucun de mes subordonnés n'est dans les parages, je leur ai donné tant de travail... Une fois dans la pièce, je tourne la clef à double tour, puis me dirige vers mon bureau. J'attrape un bougeoir où reste un vestige de chandelle et l'allume avec précipitation. Puis je sors le parchemin de Rein de ma poche et le présente devant la flamme. Le papier délicat ne tarde pas à noircir, puis à se racornir de plus en plus. Lorsque mes doigts ne peuvent plus le tenir, je laisse tomber le petit bout qui reste et il disparaît dans une petite étincelle finale.
Je me demande alors si cette lettre sera bien la dernière que je lirais de lui...
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egliseherault · 5 years ago
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Jubilé de la rencontre (programme)
Jubilé de la rencontre de Saint François d'Assise avec le Sultan Malik-al-Kamil ��glise Saint Paul ET Mosquée Averroès
Dimanche 29 septembre à Montpellier De 14h30 – 17h00
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10 heures
Célébration à l'Eglise Saint-Paul, présidée par Monseigneur CARRE Archevêque de Montpellier, avec le Frère Dominique PACREAU et Jean-Louis CATHALA, prêtre responsable de la Paroisse Saint-Paul
12h-12h30 : Repas à la Mosquée.
14h30 :
OUVERTURE : LECTURE du CORAN ( Imame RIDOUANE) LECTURE de la BIBLE (Frère Dominique PACREAU)
Remerciements et présentation de notre rencontre, pourquoi sommes-nous là ? Suzanne. • Présentation des Intervenants et déroulement de l'après-midi : Alaoui/Marie-Françoise.
PRIÈRES : Prière Musulmane : la Fatiha, psalmodiée en Arabe ET en français ( Tariq/ ABDESSALAM) Prière de St François : Louange de Dieu, Lue par l'Assemblée : voir Livret Évocation de Saint François par sœur Marie, 5 mn Évocation de la rencontre de Saint François avec le Sultan par Frère Dominique, 15 mn. La charte de Médine : DR YOUCEF NOUIOUAR
Fin de la première partie
15 h :
Lecture des paroles de Christian de Chergé par Sœur DORIS de la Rue Lakanal.
A partir du livre « Le Prophète » de Khalil Gibran, le Don, l'Amitié, La Prière.
Le Don Texte tiré du livre « Le prophète » de Khalil Gibran et lu par sœur Régine.
…. « Almoustafa se dirigea, suivi du peuple, vers la grande place devant le temple :
- Peuple d'Orphalese, de qui puis-je parler sinon de ce qui remue en cet instant au sein de vos âmes ?!
Alors un riche intervint : « Parlez-nous du Don ! »
Et il dit :
« C'est peu donner que de donner ce qu'on a.
Le véritable don, c'est donner de soi.
Car que sont tes possessions, sinon des choses que tu gardes et protèges de peur d'en avoir besoin demain ?
Il y a ceux qui donnent peu de tout ce qu'ils ont et cela pour être reconnus : ce désir caché aigrit leur don.
Il y a ceux qui ont peu et le donnent tout entier.
Il y a ceux qui donnent avec joie, cette joie est leur récompense.
D'autres donnent en souffrant et cette souffrance est leur baptême.
Il y a ceux, enfin, qui donnent sans connaître la souffrance, qui ne cherchent pas la joie, ni ne songent à la vertu ; ils donnent comme le myrte exh Texte tiré du livre « Le prophète » de Khalil Gibran et lu par sœur Régine.ale sa fragrance dans l'espace au loin dans la vallée.
C'est par leurs mains que Dieu parle, derrière leurs yeux qu'Il sourit à la terre.
Tu dis souvent : « j'aimerais donner, mais seulement à qui le mérite »
Ce n'est pas le langage que tiennent les arbres de ton verger, ni les troupeaux de tes prés. Ils donnent pour vivre, car retenir c'est périr ».
◦ Témoins :
Premiers témoignages : Frère Dominique Pacreau, Mme Maryline Renard
Deuxième témoignage : MR MOHAMMED EL MAHDI KRABCH
Lecture de la première règle des frères mineurs par Claire :
(Règ. 1,4-4) Que tous les frères se conduisent entre eux comme dit le Seigneur : Ce que vous voulez qu'on vous fasse, faites-le aux autres et : Ce que tu ne veux pas qu'on te fasse, ne le fais pas à autrui. Les ministres et serviteurs se rappelleront que le Seigneur dit « je ne suis pas venu pour être servi mais pour servir ; ils se rappelleront que l'âme de leurs frères leur a été confiée ; si l'un d'eux se perd par leur faute et par leur mauvais exemple, ils auront à en rendre compte au jour du jugement devant le Seigneur Jésus-Christ ».
Amitié Texte tiré du livre « Le prophète » de Khalil Gibran et lu par un lecteur musulman.
Un jeune homme intervient : « parlez-nous de l'Amitié ! »
Il répondit en ces termes :
« Ton ami est la réponse à tes besoins.
Il est le champ que tu sèmes d'amour et récoltes en rendant grâces.
Il est la table chargée de mets et ton âtre.
Car tu viens à lui affamé et le recherches pour la paix.
Quand tu te sépares de ton ami, tu ne t'affliges pas ; car ce que tu aimes le plus en lui pourra s'éclaircir en son absence, comme la montagne pour le grimpeur est plus nette depuis la plaine.
Cherches-le toujours pour le vivre. Et qu'il y ait rire dans la douce amitié et partage de plaisirs.
Car dans la rosée ds détails, le cœur trouve son matin et sa fraîcheur ».
◦ Témoins :
Premier témoignage : Mme Danièle Lafont, Représentante de l'Association Islamo-Chrétienne « Le Gaic »
Deuxième témoignage : Mme Dalila Boualleg (Juriste à Montpellier)
Lecture de la première règle des frères mineurs par Claire :
(Règ. 1 11, 1) : « Tous les frères auront soin de ne calomnier personne, d'éviter les paroles de dispute. Qu'ils essaient plutôt de garder le silence autant que Dieu leur en donnera la grâce. Ils ne se disputeront point entre eux ni avec d'autres, mais ils s'efforceront de répondre humblement : nous ne sommes que de serviteurs inutiles.
Ils ne s'irriteront point : car celui qui se met en colère contre son frère sera passible du jugement.
Ils s'aimeront les uns les autres, conformément à la parole du Seigneur : Mon commandement est que vous vous aimiez les uns les autres comme je vous ai aimés ; (...)
Ils n'outrageront personne ; ils ne diffameront, ils ne dénigreront personne ; car il est écrit : Le Seigneur hait les rapporteurs et les médisants.
Ils seront modestes, animés de la plus grande douceur envers tous les hommes. »
La Prière Texte tiré du livre « Le prophète » de Khalil Gibran et lu par sœur Régine.
Une prêtresse s'enquit : « parlez-nous de la Prière !
Il répondit :
« Vous priez dans votre détresse et vos frustrations ;
j'aimerais que vous puissiez aussi prier dans la plénitude de votre joie et aux jours d'abondance.
Prier, c'est s'élever pour rencontrer dans les airs tous ceux qui prient en cet instant et que vous risqueriez de ne pas rencontrer, sinon dans la prière.
Que votre visite en cet invisible temple n'aspire donc qu'à l'extase et à une tendre communion. Je ne puis vous enseigner comment prier par des paroles.
Dieu n'écoute pas vos propos sauf lorsqu'Il les exprime Lui-même par vos lèvres.
Et je ne saurais vous enseigner la prière de mers, des forêts et des montagnes.
Mais vous qui êtes des montagnes, des forêts et des mers, vous pourrez trouver leurs pri��res dans vos cœurs ;
et à condition d'écouter dans le calme nocturne, vous les entendrez dire en silence :
« Notre Dieu, qui est notre moi ailé,
C'est Ta volonté qui veut en nous.
C'est Ton désir en nous qui désire.
C'est Ton ardeur en nous qui voudrait transformer nos nuits, qui T'appartiennent, en jours qui T'appartiennent aussi.
Nous ne saurions rien Te demander , car Tu connais nos désirs avant qu'ils ne naissent en nous ;
Tu est ce qui nous manque ; en nous donnant de Toi davantage Tu nous donnes tout.
◦ Témoins :
Premier témoignage : Témoin de DR KELA ▪
Deuxième témoignage :Père Jean Rouquette
• Lecture de la première règle des frères mineurs par Claire :
(Règ. 1 23,11) « …Partout, en tout lieu, à toute heure, et en tout temps, chaque jour et sans discontinuer, tous croyons d'une foi humble et vrai, gardons dans notre cœur, sachons aimer, honorer, adorer, servir, louer et bénir, glorifier et célébrer, magnifier et remercier le très haut Souverain, Dieu Eternel, Créateur de toutes choses, Sauveur de tous ceux qui mettent en lui leur foi, leur espérance et leur amour.
Lui qui est sans commence ni fin, immuable, invisible, inénarrable, ineffable, incompréhensible, impénétrable, béni, louable, glorieux et célébré, sublime, élevé, doux, aimable, délectable, et tout désirable plus que tout autre bien dans les siècles Amen »
Fin de la deuxième partie
16h
Prière à Marie de Saint François, lue par l'Assemblée (Confer le livret)
Chants (tous ensemble) « Seigneur fais de nous des ouvriers de paix » (confer le livret), animé par Claire •
Paroles de Christian DE CHERGE à Tibhirine lu par une Sœur de la Villa Savine
(confer le livret)
Psalmodie musulmane sur la création (MR HILALI MOULAY) •
BENEDICTIONS
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