#Vaute Couture

[ladyniniane]

Coucou ! :D Pour le jeu des questions : 📦1, 🌤️13 et 🤝18 pour ton Anselma (car elle mérite toute l'attention et l'amour du monde !) si ça t'inspire ?

Merci beaucoup d'avance ! :D

Long character ask game

Oooh merci beaucoup pour ces super questions !

Is there an item your character doesn’t like to leave without?

Parmi les objets dont elle ne se sépare pas, on a :

-Son nécessaire à couture dans on escarcelle, généralement avec un projet en cours. On ne sait jamais s'il y a du temps à tuer ou si quelqu'un a un accroc.

-Un châle. Sa santé est fragile, je la vois bien être sensible aux changements de températures.

-Au moins un gant pour protéger sa main gauche endommagée.

-Une canne si jamais marcher est difficile.

-Un chapeau pour protéger ses brûlures du soleil.

Pour le reste, elle n'a pas vraiment de possessions matérielles auxquelles elle est très attachée. Il ne lui reste de toute façon plus grand chose de son ancienne vie (et elle se dit que c'est peut-être tant mieux) à part la broche qu'elle donne à Ismène.

13. What element best represents your character?

Je l'associe à la terre et à la végétation. Je la vois comme une plante bien enracinée, capable de pousser dans tous les sols et de survivre aux intempéries.

C'est d'ailleurs une idée qu'on retrouve dans la chanson que je lui associe, Daffodil de Florence and the Machine :

I'm not bad, I'm not good I drank every sky that I could Made myself mythical, tried to be real Saw the future in the face of a Daffodil

Sinon, je l'associe aussi à la foudre. Car il ne vaut mieux pas être à côté quand elle s'énerve vraiment. A tel point qu'elle est même capable de remettre à leur place des Agarthais ayant connu le déluge. C'est quelque chose qu'elle a appris pour survivre dans le gynécée.

18.What is your character’s favorite form of affection?

C'est une personne très démonstrative et tactile. Elle aime ses enfants et elle est douée avec les petits de manière générale (même si elle respecte aussi les limites. Ce n'est pas le genre à forcer en mode "fais moi la biiiiiise" si l'enfant n'a pas envie).

Elle et Ismène sont très démonstratives l'une envers l'autre. Au début, Ismène la serrait dans ses bras tous les matins comme si elle pouvait la protéger et lui transmettre sa force. C'est quelque chose qui est resté.

Ensuite, Anselma va agir de manière concrète pour les gens auxquels elle tient. Comme elle veut être utile, elle fabrique des bougies et brode des mouchoirs pour que Stéphanos puisse les vendre. Il les écoule bien parce que leurs broderies uniques en font des accessoires élégants et originaux.

Elle a également fait et brodé quelques vêtements pour Ismène. Son premier cadeau pour elle a été un chat en tissus, rembourré avec de la laine. Anselma commençait à peine à s'habituer à son handicap, mais elle y a mis tout son coeur.

Elle pensait que le chat finirait par se déchirer plus ou moins rapidement. Elle a donc laissé un message à l'intérieur en mode "si tu viens de trouver ce papier, apporte-moi le chat pour que je le soigne". Cependant, le chat a très bien tenu. Et Ismène finit par trouver le papier...après la mort d'Anselma alors qu'elle travaille pour la maison Gautier.

Evidemment c'est très douloureux sur le moment vu qu'Anselma n'est plus dans la pièce d'à côté pour repriser le chat. Heureusement, Sylvain console Ismène et c'est elle qui finit par recoudre en se disant qu'elle peut ainsi préserver le travail de sa mère.

(Parler de tout ça me donne envie de reprendre l'écriture de cette fic...).

Dans l'UA où Edith est en vie, elle se rend tout de suite en Faerghus dès qu'elle apprend que la guerre a été déclarée entre l'Empire et le Royaume. Elle veut rendre la faveur qu'Edith lui a fait en la laissant partir pour l'Alliance et en lui donnant les moyens de commencer une nouvelle vie.

[christophe76460]

Une Semaine d'Expériences avec Dieu(SED N°182024)

Dimanche, 09 juin 2024

"Vous serez détestés de tous à cause de mon nom, mais celui qui persévérera jusqu'à la fin sera sauvé."

Matthieu 10,22(Segond 21)

Prends courage !(Fin)

Suite et fin du témoignage bouleversant d'Edosa, rapporté par l'organisation *Voice of the martyrs:*

《 [...]En parallèle de son emploi, Edosa suit une formation dans la couture. Elle termine le programme avec succès mais son employeur refuse de lui rendre son certificat de naissance, afin de valider sa formation. Edosa la poursuit en justice. En colère, le juge ordonne que l'employeur rende son certificat à Edosa et la menace de l'envoyer en prison pour ne pas lui avoir payé son salaire pendant toutes ces années.

"Je ne veux pas d'argent", a déclaré Edosa au juge, "je veux mon certificat. Ce que j'ai, vaut mieux que l'argent. J'ai Jésus dans mon cœur, et l'argent n'a pas d'importance pour moi".

En sortant du tribunal, l'employeur bat à nouveau Edosa, mais se résout à lui rendre son certificat. À nouveau sans-abri, elle obtient l'autorisation de dormir dans l'un des ateliers de couture.

Grâce à l'épouse du pasteur, elle obtient via une organisation une machine à coudre et des outils, une moto pour l'aider à se rendre à l'église et une location où elle pouvait vivre et travailler.

"Quand j'ai vu que tout m'appartenait, je ne savais pas quoi dire. J'ai commencé à pleurer. J'étais très, très heureuse et je suis reconnaissante à Dieu."

Edosa a désormais une boutique florissante. Elle emploie 5 apprenties. Elle s'adresse aux chrétiens du monde.

"Je demanderai de ne pas être fatigués de prier, de soutenir les orphelins, les veuves et les persécutés… qui souffrent comme j'ai souffert. Ma foi est revenue. Je crois maintenant que le Seigneur peut sauver. Je devais juste être patient." 》(Source: infochretienne.com)

"Ô chrétien voyageur ! ne crains pas la tempête ;

Ne crains pas du midi les pesantes ardeurs :

Ne vois-tu pas Jésus, qui dès longtemps apprête

Le refuge où bientôt vont cesser tes langueurs ?

Non, dans les sombres jours de ta marche pénible,

Jamais, ô racheté ! tu n'es seul ici-bas :

Ton berger, ton Sauveur, se tient, quoique invisible

Sans cesse à tes côtés, et veille sur tes pas...

Quoi ! peut-il ignorer que ton âme est souffrante,

Lui qui de ton fardeau voulut porter le poids ?

Te refuserait-il sa force consolante,

Lui qui pour tes péchés mourut sur une croix ?

Avance donc en paix : poursuis vers ta patrie

Le chemin que ton Dieu t'a lui-même tracé,

Et pense que pour toi, dans le ciel, Jésus prie,

Lorsqu'ici tu te plains, de fatigue oppressé" (Ami Bost, César Malan).

Amen !!!

Merci d'être fidèle !

Kwami Pétro

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[omagazineparis]

Les accessoires de luxe : pourquoi nous font-ils rêver

Ils sont jeunes, beaux, riches et connus... Il faut bien se rendre à l'évidence : le mode de vie des people nous influence. Leur style tapageur et les objets luxueux qu'ils arborent remplissent les pages des magazines et nous donnent envie de les imiter. D'autant que, du nouveau sac Gucci aux baskets Vuitton, du tee-shirt Balenciaga au trench coat Burberry's, les accessoires de luxe se déclinent à l'infini ! De nombreuses marques proposent ainsi une multitude de produits frappés de prestigieux logos. Leur succès ne se dément pas, malgré des prix exorbitants. Alors, pourquoi les accessoires de luxe nous font-ils autant rêver ? Impressionner les autres Arborer un article de luxe, comme un vêtement griffé, permet d'affirmer son statut social. Celle qui a les moyens de s'offrir des biens vendus à prix d'or est naturellement apparentée à une classe sociale élevée. Tout dans son mode de vie, de même que dans les vêtements et accessoires qu'elle porte, semble nous dire qu'elle a de l'argent. À l'opposé, une adolescente de 16 ans issue de cité ne s'affichera pas avec un sac Hermès. Ainsi, nous nous servons de nos vêtements pour envoyer un message à ceux qui nous entourent : nous voulons les persuader que nous sommes riches et que notre vie est un phénoménal succès ! Le luxe un moyen de se faire remarquer Posséder un bel objet attire le regard et permet aux individus de se faire une idée immédiate de leur interlocuteur. De plus, chaque marque a son style et un axe défini de communication. Si l'on porte un sac Chanel, le message n'est pas le même que si on porte un sac Off White. Dans le premier cas, on projette une image classique, chic et intemporelle. Dans le deuxième cas, cette image demeure luxueuse, certes, mais elle est aussi plus jeune : elle colle aux dernières tendances de la rue. Ainsi, lorsqu'on achète un objet de marque, on bénéficie de l’image véhiculée par cette dernière. Porter un accessoire de luxe tendance booste la confiance en soi et change le regard des autres. Puisque les rapports sociaux sont fondés sur les apparences, il convient d'y attacher la première importance ! Des accessoires rares et inaccessibles aux autres Depuis l'avènement du bling, nous en voulons toujours davantage et la courbe de notre appétit suit celle des prix des biens de luxe. Ils sont toujours plus chers ! Dans notre esprit, voilà comment on justifie leur prix astronomique : la qualité et la finition sont incomparables ! De nombreux produits de luxe sont ainsi garantis "à vie". Certaines pièces se rapprochent même d'œuvres d’art. Outre leur finition parfaite, elles sont faites à la main en quantités très limitées, quand elles ne sont pas tout simplement des pièces uniques. Dessinées et conçues par de grands créateurs issus de la haute couture, elles pourraient tout aussi bien figurer dans la collection d'un musée. En réalité, tous les articles ne valent pas le prix inscrit sur leur étiquette. De plus, la notion de luxe peut varier en fonction des moyens dont on dispose. Cela vaut-il la peine, par exemple, de se payer une jolie robe Versace, si l'on doit manger des pâtes pendant le reste du mois ? À chacune la définition de ses priorités ! A lire également : La montre Christian Millers, un accessoire indispensable Ça fait rêver parce que c'est cher et beau Le prix influence-t-il notre jugement sur l'esthétique de l’accessoire de luxe ? S'il était moins cher, le convoiterait-on toujours autant ? Comment ne pas être poussée à le désirer fortement, après avoir été soumise aux campagnes de presse impactant nos goûts, de même qu'aux avis convergents de nos amis, qui à leur tour nous influencent ? Pour échapper à ce cercle vicieux, il est capital de cultiver un style et un goût propres. Bien se sentir dans ses baskets, voilà ce qui compte finalement -- indépendamment du prix qu'elles ont coûté ! Chères lectrices, vous laissez-vous influencer par la publicité ou par votre entourage, au point de parfois commettre des folies en achetant des accessoires de luxe hors de prix ? Comment vous sentez-vous dans ce cas ? Quelle démarche adoptez-vous pour vous préserver de céder à la tentation ? N'hésitez pas à nous confier votre témoignage dans la section des commentaires ci-dessous ! Read the full article

[deepthinker-society]

Délectation. Il y a les plaisirs furtifs, les plaisirs soudains, les plaisirs quotidiens, les plaisirs intenses. Et il y a les plaisirs que l'on aime savourer. Voici venir l'heure de la délectation. Celle-ci nécessite une règle : qu'on lui accorde du temps. Elle ne sera pas appropriée pour les plaisirs fugaces que l'on apprécie pour leur rareté ou leur puissance passagère. Non, le plaisir en jeu dans la délectation a besoin de lenteur. Il est nécessaire qu'on le laisse trainer dans la durée et c'est ce temps-là qui lui fournira toute sa saveur. De quoi je cause exactement ? La délectation inclut un tas de plaisirs. On peut parler des plaisirs du palais où la nourriture exquise réveille et émerveille tous nos sens. Les mets subliment nos papilles et délectent notre cœur autant que notre estomac. Nous sommes conquis. Ce ne sont pas les seuls plaisirs convenant à la délectation : la lecture, la musique, la couture, toute forme d'art ou d'activité où il est possible de ralentir la cadence pour qu'il nous englobe entièrement et nous fasse ressentir profondément le plaisir recherché. La délectation se fait ainsi par la connexion profonde que l'on crée avec notre source de plaisir. Il faut qu'un lien puisse s'établir pour que, tel un branchement électrique, le courant puisse passer. C'est ensuite un échange qui s'effectue entre cette source et nous pour que le plaisir s'installe dans la durée. Il s'agit de dépasser l'excitation des premiers instants et de profiter du moment. Nous sommes plongés dans un océan de sensations, en communion avec notre plaisir. Celui ne cessera que lorsque l'activité sera achevée. Ça demande de l'attention, beaucoup d'attention, pour vivre ce type de plaisir. La délectation a-t-elle encore sa place dans une société avançant à vive allure ? Acceptons-nous encore d'accorder le temps nécessaire aux choses afin qu'il puisse nous apporter le plaisir qu'ils sont capables de nous procurer ? La délectation est peut-être moins évidente à mettre en place qu'un shot de dopamine sur demande. Il est possible en revanche que son effet soit plus durable. Le jeu en vaut-il la chandelle ? #delectation #profiter #temps #savourer

[blogueericdescarries]

Mitsubishi Outlander PHEV

Le 29 février 2024

Mitsubishi n’est pas souvent mentionnée comme marque à considérer quand les chroniqueurs parlent de VUS compacts. Pourtant, comme vous allez le lire, voilà un type de véhicule qui devrait être vu parmi les plus évolués, surtout lorsqu’il s’agit de l’Outlander dans sa version PHEV enfichable!

Le VUS Mitsubishi Outlander affiche un avant nettement reconnaissable! (Photo Éric Descarries)

L’Outlander PHEV peut sembler un peu petit en photo, il est plus imposant en réalité. Son style peut sembler un peu poussé, surtout de l’avant, mais sa caisse est plus grande que vous pourriez le penser. Au départ, l’Outlander PHEV qui m’a été confié pour la semaine pouvait asseoir sept personnes à son bord, une configuration qui, selon plusieurs observateurs, est devenue la norme chez les acheteurs de VUS, même compacts. Autrement, encore une fois, le design du véhicule est une question de goût personnel. Lors de son lancement l’année dernière, je trouvais que la disposition des phares à l’avant faisait un peu bizarre. Mais avec le temps, j’ai appris à l’apprécier surtout que, même de loin, on peut reconnaître ce Mitsubishi et l’identifier facilement…ce qui n’est pas toujours possible avec plusieurs autres marques.

De l’arrière, l’Outlander nous dévoile des lignes élégantes. (Photo Éric Descarries)

L’intérieur de l’Outlander de dernière génération est certes plus évolué, plus élaboré et surtout plus chic que celui des générations précédentes. Le tableau de bord n’est peut-être pas aussi criant que celui de la concurrence, il reste qu’il est élégant et surtout bien fait! Évidemment, on ne peut cacher l’imposant écran maintenant indispensable dans une voiture moderne. J’ai bien apprécié l’affichage du compteur de vitesse réfléchi dans le pare-brise (pour la lecture à tête haute). Le volant semble massif mais au moins, ses commandes sont moins en évidence. La console, par contre, est plutôt large mais elle a plusieurs petits compartiments utiles. C’est là qu’on y retrouve l’imposant levier de vitesses.

Le tableau de bord se présente sous des lignes discrètes mais élégantes. (Photo Éric Descarries)

Toute la sellerie de l’Outlander PHEV mérite d’être souligné. Elle est certainement plus «riche» que celle des versions précédentes. Sur mon véhicule d’essai, on ne pouvait pas manquer cette finition de coutures en point de diamant sur les sièges et même à certaines parties des bourrures de portières. Les places d’avant sont confortables à souhait alors que les places du centre offrent beaucoup d’espace pour les jambes des occupants même si les sièges sont avancés. Toutefois, ne vous laissez pas leurrer par la troisième banquette escamotable. Elle n’est certes pas accueillante pour les adultes. Peut-être qu’elle acceptera des enfants mais je me demande s’ils ne s’y sentiront pas trop à l’étroit!

La banquette du centre accueille facilement deux passagers dans un luxe et un confort apparents. (Photo Éric Descarries)

Quant au coffre, celui-ci est plus que suffisant si la troisième banquette est rabattue dans le plancher. Mais il est plutôt étroit si celle-ci est relevée mais que cet espace soit plus utile que celui que l’on retrouvait dans la génération précédente.

La banquette tout à l’arrière rabattue, l’espace pour les bagages y est nettement suffisant. (Photo Éric Descarries)

Mais si cette dernière banquette est en place, ce même espace n’est plus aussi pratique quoiqu’il soit plus profond. (Photo Éric Descarries)

Ce qui une déception, c’est le peu que la troisième banquette peut offrir. (Photo Éric Descarries) 

Le côté mécanique…C’est ici que l’Outlander PHEV se distingue des autres véhicules hybrides. Je ne m’attarderai pas à la version Outlander de base. La version PHEV vaut tellement mieux qu’on s’y attarde.

Au départ, on pourrait dire que la plateforme de l’Outlander provient du Nissan Rogue (Mitsubishi fait partie du trio Mitsubishi, Nissan, Renault, ne l’oublions pas) mais là s’arrête toute ressemblance sauf, peut-être pour le moteur thermique, un quatre cylindres de 2,4 litres. Mais celui-ci n’y est pas pour déplacer le véhicule à temps plein. Son rôle est plutôt celui d’une génératrice qui verra à faire l’électricité nécessaire aux deux moteurs électriques du véhicule. Le premier, placé à l’avant fait 114 chevaux, le deuxième, pour l’essieu arrière, développe 134 chevaux. Ensemble, ils produisent une puissance combinée de 248 chevaux et 322 li-pi de couple. Grâce à la batterie de 20,0 kW et un réservoir d’essence plutôt grand, l’Outlander pourrait avoir une autonomie de quelques 700 kilomètres. Malgré le fait que l’Outlander PHEV est considéré comme un véhicule à traction intégrale (comme l’indique son identification S-AWC qui veut dire Super All Wheel Control), c’est le pont arrière qui reçoit la part du lion de la puissance. En d’autres mots, cet Outlander est «biaisé» aux roues arrière motrices.

Le seul moteur disponible dans cet Outlander, c’est un quatre cylindres de 2,4 litres…qu’on ne peut malheureusement pas voir sous ce gênant couvercle de plastique. (Photo Éric Descarries)

Pour les citadins, il est intéressant de savoir que ce Mitsubishi peut avoir une autonomie d’environ 60 kilomètres en mode électrique seulement (le moteur pourrait partir spontanément à quelques occasions si l’habitacle a besoin d’être réchauffé en hiver et cela, malgré la pompe à chaleur). Pour obtenir le maximum de la puissance électrique, vaut mieux brancher le véhicule dont la batterie se «remplie» en une nuit pour donner cette autonomie d’une soixantaine de kilomètres. En passant, j’ai trouvé le cordon  moins lourd et plus long que celui des autos entièrement électriques. En général, le moteur à essence est plutôt discret sauf qu’il devient nettement plus bruyant lorsque sollicité, même légèrement. Incidemment, alors qu’il ne semble destiné qu’à produire de l’électricité, il peut entrer en action mécanique en cas de demande de puissance plus poussée. C’est la seule fois que le moteur transmet sa puissance directement aux roues mais c’est temporaire.

Mon Outlander d’essai était chaussé de nouveaux pneus d’hiver Yokohama Geolandar CV4S 061. (Photo Éric Descarries)

Question performance, atteindre le cap des 100 km/h requiert moins de huit secondes alors que les reprises sont nettement suffisantes. La direction est un peu tendre alors qu’elle ne transmet pas toutes les sensations et informations auxquelles on se serait attendu. Le freinage est convaincant, dans la bonne moyenne. La suspension peut-être, cependant, un peu ferme ce qui rend l’habitacle légèrement moins confortable. Toutefois, une des grandes qualité de ce VUS, c’est l’excellente visibilité  qu’il procure tout le tour.

La conduite urbaine y est quand même aisée vu les dimensions raisonnables du véhicule. Il n’est certes pas petit mais son encombrement est facile à maîtriser sauf que j’aurais aimé un rayon de braquage un peu plus serré. Les pneus d’hiver qui équipaient mon véhicule étaient de tout nouveaux Yokohama Geolandar CV4S G061 mieux adaptés à la conduite régulière en toutes saisons que pour les excursions hors-route. Malheureusement, les conditions atmosphériques ne m’ont pas permis de les «tester» vraiment dans la neige ou sur la glace.   

Malgré que ce soit un VUS, je ne considère pas l’Outlander comme un tout-terrain dans le sens le plus strict du mot. Il n’y a pas eu de précipitations de neige durant mon essai   alors il me fut difficile d’en vérifier l’efficacité de la traction intégrale. Toutefois, mes expériences passées avec des versions précédentes du même véhicule m’ont convaincu que la nouvelle version devrait être aussi agile et rassurante dans des conditions plus difficiles possibles.

En ce qui a trait à la consommation, j’ai obtenu une moyenne de 5,64 l./100 km alors que l’ordinateur de bord indiquait 4,9 ! Au chapitre des prix, un Outlander de base commence à 34 198 $. Dans sa version PHEV, le prix remonte à 48 196 $. Mais si l’on y ajoute toutes les options comme c’en fut le cas pour mon véhicule d’essai, il faudra y débourser 58 198 $ plus les taxes et autres petits frais reliés. Au chapitre du remorquage, ce VUS dans cette configuration est capable de tirer des remorques jusqu’à 2000 livres. Si la version régulière de l’Outlander a plusieurs concurrents, la PHEV en a aussi beaucoup dont le Toyota RAV4 Prime, le Kia Sportage, le Hyundai Tucson, et Ford Escape et quelques autres.

Que dire de ce véhicule qui m’a paru bien adapté à notre climat pas toujours des plus cléments? Si sa fiabilité en a été mise en doute dans le passé, la dernière couvée se présente très bien si l’on se fie à divers organismes qui traitent de ce sujet. En ce qui me concerne, j’ai bien apprécié ma semaine au volant de ce VUS. Il a certes quelques petits défauts (quel véhicule n’en a pas?) mais ils m’ont paru négligeables. Je ne considérerais certes pas alors un tel achat comme un risque…

[de-gueules-au-lion-d-or]

La France ne s’ennuie plus …            

Jeudi 8 Octobre 1914

Le sergent Pierre de Gréaulme est mort à 26 ans… Maurice de Roincé, le mari d’Anne, a disparu, avec deux autres officiers du 1er Colonial depuis le 15 septembre, dans un combat du côté de l’Argonne, combat où le bruit court qu’on nous aurait fait beaucoup de prisonniers. Comme les femmes de prisonniers ne touchent pas de solde, elle va chez sa mère. ( Ce règlement fut changé. On continue maintenant à leur verser la moitié de la solde)

Les temps sont durs et pour mener sa barque sans grave encombre, force est de réduire sa dépense et d’augmenter sa somme de travail. Le jardin, le ménage, la cuisine, le lavage, le repassage, la couture, l’instruction des enfants, il faut faire face à tout avec seulement, comme aide, 10 heures de femme de ménage par semaine. Ce n’est point une vie reposante ni bien folâtre. Des besognes où l’esprit aurait mieux son compte feraient bien mon affaire et quelques promenades à travers Cherbourg en ces mois historiques présenteraient de l’intérêt.

Mais aurait-on bien le courage de se plaindre quand du plus petit au plus grand, le refrain spontané recueilli sur toutes les bouches est celui-ci : « Il y en a tant de plus malheureux que nous ! » cette redite, jaillie de tant de cœurs, est même touchante. « Vous devez vous trouver bien lasse à la fin de la journée, » dit-on à une brave employée de la Fraternelle dont les jambes sont bien mauvaises.  – « Oui, évidemment ; mais qu’est-ce que cela à côté de tout ce qu’on souffre là-bas. » - « Votre commerce de légumes doit se ressentir de l’absence de transports et de paquebots ? » fait-on observer sur la place du Château à une brave fruitière : « Ah ! Qu’importe ! c’est pas bien gênant pourvu que cela finisse vite et bien. » - « Voilà la troisième fois qu’on réquisitionne les chevaux. Pauvres bêtes ! Combien en a-t-on tué ! Il ne va plus en rester. Comment fera-t-on pour tous les transports ? » - « Ma foi ! Je n’en sais rien, répond le charretier sans aigreur, et même d’un air de belle humeur ; et combien cela va-t-il durer ? Ah ! C’est sûr que ce n’est pas commode, mais que voulez-vous ? Pourvu qu’on fasse de la bonne besogne là-bas ! ! »

Cette absence de retour égoïste sur soi-même est réconfortante à constater. On sent si bien que toute la France, non seulement comprend que sa vie est en jeu, mais encore a soif de reconquérir son honneur, tout son honneur ! ! Entre nous, constatons-le, les soucis sont graves et les deuils cruels, mais sans diminuer l’horreur de la guerre, observons avec quel étonnant ressort on la supporte, cette horreur. Rappelant un mot célèbre, « c’est que la France ne s’ennuie plus. »

Tout est là et le plus merveilleux bien-être matériel ne vaut pas, avec l’ennui qu’il traîne après soi, les belles et fortes émotions de l’âme que toute cette horreur fait éclore et les meilleures vertus qu’elle révèle. Oh ! Petits esprits qui vous croyez si grands, cessez de médire les grandes époques qui vous semblent affreuses parce que, embourgeoisés dans vos pantoufles et vos douillettes robes de chambre, vous ne les comprenez pas, âmes rétrécies que vous êtes !

[vaevictis2]

Les réseaux sociaux sont aujourd’hui un royaume où le fake est roi. Des influenceuses sont suivies par des millions de jeunes filles, passant leur vie à faire du sport, tester du make up, se balader en fringues de luxe dans les plus belles villes du monde. À moins d’être héritière, femme de, fille de, qui paie ? Laquelle de ces filles, à 25 ans, peut s’offrir des hôtels 5 étoiles, des villas en bord de mer, deux restos par jour et de la haute couture tout en occupant ses journées à se limer les ongles ? Ne sois pas jaloux de ce qu’ont les autres car tu ignores ce qu’ils ont dû faire pour l’obtenir, dit le proverbe. Dubaï, ville des influenceuses et des stars de téléréalité. Ses palmiers, ses hôtels, son fric qui coule à flots. Devant la caméra, les femmes s’expliquent : j’ai créé mon business à Dubaï, j’y suis pour des raisons fiscales. Girlboss. Lol.

 #DubaiPortaPotty, c’est le hashtag qui circule sur Twitter depuis quelques mois. Porta Potty ? Ce sont les W.-C. mobiles qu’on trouve parfois en ville, sur les chantiers ou dans les festivals. Les Dubaï Porta Potty, c’est le nom donné à celles qui sont devenues les femmes-toilettes du Moyen-Orient. Loin des caméras, des ventres plats, manucures, voitures de luxe et bouches refaites, les témoignages sont gratinés : pour 15 000 €, elles dépucellent un enfant de 12 ans afin d’en faire un « vrai homme ». Pour 18 000, elles couchent avec un chameau ou un chien qu’elles doivent elle-même stimuler. Pour 7 000, elles se font uriner et déféquer dans la bouche, mâchent et avalent, pour 5 000 elles se font battre, pour 12 000, elles s’enfoncent des saumons vivants dans l’anus. Bilan : avant 25 ans, ces femmes sont millionnaires. Qu’est-ce que vous imaginiez ? Que ces femmes-là vivaient grâce aux placements de produits sur leurs réseaux sociaux ? Si vous voulez 5 000 € en une soirée, il faudra faire quelque chose qui vaut 5 000 €. L’image vous choque et le détail de la presta vous scandalise mais vous ne vous sentez pas concerné. Pourtant c’est votre cadette de 11 ans, là, innocemment plantée devant son épisode des « Anges de la téléréalité », admirant une femme qui a pu se faire refaire les seins en avalant les excréments d’un homme de 75 ans avant de lui nettoyer l’anus avec sa langue. Ça n’est pas si loin, c’est au milieu de votre salon. C’est bien votre aînée de 15 ans qui regarde chacune de ses stories sur Instagram, non ? Et n’est-ce pas votre nièce de 17, lassée du lycée, qui vient de lui envoyer un message pour savoir comment elle a fait ?

© Louise Brévins - Pute n’est pas un projet d’avenir - Grasset - 2023

[pearlsmith25]

Vegan Fashion Market Insights with Business Growth, Reliable Industry Research Data 2030

Vegan fashion refers to clothing, accessories, and footwear that are made without the use of animal products. This includes materials such as leather, fur, silk, wool, and down. Instead, vegan fashion brands use materials like plant-based fibers, synthetic materials, recycled fabrics, and innovative new materials like pineapple leather and mushroom leather.

Vegan fashion has gained popularity in recent years as more people are adopting a vegan lifestyle for ethical, environmental, or health reasons. Many consumers are becoming more conscious about the impact of their choices on the environment and animals, and are seeking out alternative options.

In addition to being cruelty-free, vegan fashion also has the potential to be more sustainable than traditional fashion. This is because animal agriculture is a major contributor to greenhouse gas emissions and other environmental issues, and using animal products in fashion can contribute to these problems.

There are now many vegan fashion brands that offer a range of products, from casual clothing to high-end luxury items. Some popular vegan fashion brands include Stella McCartney, Matt & Nat, and Vaute Couture.

One of the factors driving the growth of the vegan fashion market is the increasing awareness of animal cruelty and environmental issues associated with traditional fashion. Consumers are becoming more conscious of the materials and production processes used in their clothing and are seeking out more sustainable and ethical options.

In addition, the rise of social media and e-commerce has made it easier for consumers to discover and purchase vegan fashion products. Many vegan fashion brands have a strong online presence and use social media platforms to promote their products to a wider audience.

The vegan fashion market includes a wide range of products, from clothing and accessories to footwear and cosmetics. Some of the most popular vegan fashion items include faux leather jackets, vegan sneakers, and cruelty-free cosmetics.

Major players operating in the global vegan fashion market include SUSI Studio, Insecta Shoes Canada Inc. ROMBAUT, In The Soulshine, Della La LLC, Reformation, Alabama Chanin, Wawwa, Doshi FCSA, Hiareth Collective, Komodo Fashion, Brave Gentle Man, ECOALF, Rapanui, and Tact & Stone.

The demand for vegan fashion is increasing as more consumers become aware of the ethical and environmental issues associated with traditional fashion. Many consumers are looking for more sustainable and ethical alternatives to traditional fashion products, and vegan fashion meets those needs.

One of the main drivers of demand for vegan fashion is the increasing concern over animal welfare. Consumers are becoming more aware of the cruelty involved in the production of animal-derived materials such as leather, fur, and wool. By choosing vegan fashion, consumers can make a statement about their values and show their support for animal rights.

Another factor driving demand for vegan fashion is the growing awareness of the environmental impact of traditional fashion. Animal agriculture is a major contributor to greenhouse gas emissions and other environmental issues, and using animal products in fashion can contribute to these problems. By choosing vegan fashion, consumers can reduce their environmental impact and promote sustainability.

In addition to ethical and environmental concerns, the demand for vegan fashion is also being driven by changing fashion trends. As more celebrities and fashion influencers promote vegan fashion, it has become more popular and mainstream.

One of the key drivers of growth in the vegan fashion market is the increasing demand from younger consumers. Millennials and Gen Z consumers are more likely to prioritize sustainability and ethical production practices when making purchasing decisions. They are also more likely to be influenced by social media, which has played a significant role in promoting vegan fashion brands.

In addition, the growth of e-commerce has made it easier for consumers to discover and purchase vegan fashion products. Many vegan fashion brands have a strong online presence and use social media platforms to promote their products to a wider audience.

Finally, the increasing availability and innovation of vegan materials and production processes are also contributing to the growth of the vegan fashion market. New materials such as pineapple leather and mushroom leather are gaining popularity, and more traditional materials like cotton and recycled fabrics are being used in innovative ways.

The vegan fashion market is diverse and includes a wide range of applications. Some of the key areas of application for vegan fashion include:

★ Clothing: Vegan clothing includes items made from plant-based fibers, recycled fabrics, and innovative materials like pineapple leather and mushroom leather. Vegan clothing can include everything from casual wear to high-end fashion.

★ Footwear: Vegan footwear is made without the use of animal products, using materials like synthetic materials, recycled fabrics, and innovative materials like plant-based leather alternatives. Vegan footwear can include everything from sneakers and sandals to high-end boots and dress shoes.

★ Accessories: Vegan accessories include items like bags, wallets, and belts that are made without the use of animal products. These items are often made from synthetic materials, recycled fabrics, and innovative materials like apple leather.

★ Cosmetics: Vegan cosmetics are made without the use of animal products and are often free from harmful chemicals. These products include everything from makeup and skincare to haircare and fragrance.

Overall, the vegan fashion market offers a wide range of applications for consumers who are seeking out ethical and sustainable fashion options. As more consumers become aware of the benefits of vegan fashion, the market is expected to continue to grow and diversify.

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Série Emily in Paris

Emily in Paris est une série télévisée américaine de 2020 de type comédie dramatique en streaming créée par Darren Star, qui est également producteur exécutif et auteur de la série. La série met en vedette Lily Collins dans le rôle d'Emily Cooper, une jeune cadre en marketing de Chicago qui est envoyée à Paris pour apporter une perspective américaine à une entreprise de marketing française. La série a reçu un accueil positif de la part des critiques, avec des éloges particuliers pour la performance de Collins.  

Emily in Paris : Un jour dans la vie

Si vous êtes un peu comme nous, vous êtes actuellement obsédé par Emily in Paris. La série est drôle, romantique, et tout simplement addictive. On ne s'en lasse pas ! Si vous vous demandez à quoi ressemble une journée dans la vie d'Emily à Paris, ne vous posez plus de questions. Nous avons tous les détails, directement du créateur de la série, Darren Star. Emily in Paris suit Emily, une jeune responsable marketing de Chicago, qui s'installe à Paris pour son travail. Emily est chargée de réorganiser la stratégie de médias sociaux d'une société française de marketing de luxe. Au début, elle a le mal du pays et n'est pas dans son élément, mais elle finit par tomber amoureuse de la ville - et d'un beau Français nommé Gabriel. Voici un aperçu d'une journée typique de la vie d'Emily à Paris : 8h00 - Emily se réveille dans son charmant appartement parisien. Elle savoure une tasse de café et un croissant tout en se préparant pour la journée. 9 h 00 - Emily arrive au travail et est accueillie par ses collègues français, dont elle apprend rapidement qu'ils sont très différents de ses collègues américains. 10 h 00 - Emily assiste à une réunion où elle présente sa nouvelle stratégie en matière de médias sociaux. Son patron est impressionné, et Emily est ravie d'avoir fait une bonne première impression. 11 h 00 - Emily va déjeuner avec sa nouvelle amie Mindy. Elles profitent d'un repas tranquille et observent les gens. 12 h 00 - Emily retourne au bureau, où elle passe l'après-midi à travailler sur sa campagne de médias sociaux. 17 h - Emily termine sa journée de travail et va rejoindre Gabriel pour prendre un verre. 19 h - Emily et Gabriel ont un dîner romantique dans un joli bistrot parisien. Ils partagent une bouteille de vin et quelques rires. 21 h - Emily raccompagne Gabriel chez lui et ils échangent un baiser passionné pour lui souhaiter bonne nuit. 22 h - Emily rentre chez elle et se détend pour la nuit avec un verre de vin et un bon livre. Si cette journée dans la vie d'Emily à Paris vous fait rêver de votre propre voyage dans la Ville Lumière, nous ne vous en voulons pas !  

Emily à Paris : La ville de l'amour

Emily in Paris est une nouvelle série Netflix qui fait parler d'elle. La série se déroule dans la magnifique ville de Paris, et suit l'histoire d'Emily, une Américaine qui déménage dans la ville pour son travail. Emily est immédiatement charmée par Paris, et tombe amoureuse de la ville et de ses habitants. Elle apprend rapidement que la ville ne se résume pas aux images et aux sons, mais qu'il y a toute une histoire et une culture à explorer. Emily part à la découverte de tout ce que Paris a à offrir, et en cours de route, elle apprend beaucoup sur elle-même. La série a été saluée pour sa description de Paris et pour son approche légère et amusante de la ville et de ses habitants. Si vous êtes à la recherche d'une émission feel-good à regarder, Emily in Paris vaut vraiment la peine d'être regardée !  

Emily in Paris : La capitale de la mode

Emily in Paris est une nouvelle série sur Netflix qui raconte l'histoire d'une jeune femme de Chicago qui déménage à Paris pour son travail. La série se déroule dans le secteur de la mode, et il est clair que la ville de Paris est un personnage à part entière. La capitale de la mode est connue pour son style chic et sa haute couture, et Emily est rapidement immergée dans ce monde. L'émission nous donne un aperçu du monde de la haute couture, et les vêtements qu'Emily porte sont absolument superbes. Les créateurs et les marques présentés dans la série sont tous des acteurs majeurs de l'industrie de la mode, et il est clair que beaucoup de soin a été apporté au choix des looks des personnages. La série est une lettre d'amour à la ville de Paris, et il est clair que les créateurs ont voulu la mettre en valeur dans toute sa splendeur. La mode n'est qu'un aspect de la ville qui est mis en avant dans la série, et il est clair qu'Emily va se régaler en explorant tout ce que Paris a à offrir.

Emily à Paris : Un avant-goût de la ville

Si vous cherchez un avant-goût de la ville, alors Emily in Paris est l'émission parfaite pour vous. De la mode à la nourriture, cette série vous donne un aperçu de ce que c'est que de vivre dans l'une des villes les plus populaires du monde. Emily in Paris suit l'histoire d'Emily, une jeune femme originaire des États-Unis qui s'installe à Paris pour son travail. Si, au début, elle est choquée par la culture de la ville, elle finit par en tomber amoureuse - et de tout ce qu'elle a à offrir. Si vous recherchez une émission qui vous donnera un avant-goût de la ville, alors Emily in Paris est la série parfaite pour vous.  

Emily à Paris : Les curiosités et les sons

de la Ville Lumière Si vous recherchez une comédie romantique qui vous fera rire, pleurer et vous donnera envie de réserver un voyage à Paris immédiatement, alors Emily in Paris est la série qu'il vous faut. La série suit Emily, une jeune cadre en marketing de Chicago, qui se retrouve à Paris de façon inattendue pour son travail. Emily est déterminée à tirer le meilleur parti de sa nouvelle vie dans la ville, malgré les difficultés qu'elle rencontre avec la barrière de la langue, le choc culturel et ses nouveaux collègues. Emily in Paris est la série parfaite pour tous ceux qui aiment voyager, ou qui cherchent un peu d'évasion en ces temps incertains. La série regorge de magnifiques clichés de Paris, ainsi que de personnages charmants et de beaucoup d'humour. Alors, si vous êtes prêt à tomber amoureux de la Ville Lumière, voici quelques-unes des images et des sons que vous pouvez vous attendre à voir dans Emily in Paris. La Tour Eiffel L'une des premières choses qu'Emily remarque en arrivant à Paris est la Tour Eiffel. Cette structure emblématique est présente tout au long de la série, et il est facile de comprendre pourquoi. La Tour Eiffel est l'un des monuments les plus reconnaissables au monde, et il est impossible de visiter Paris sans l'apercevoir. Le Louvre Un autre monument parisien que vous verrez dans Emily in Paris est le Louvre. Ce musée mondialement connu abrite certaines des œuvres d'art les plus emblématiques de l'histoire, et c'est une visite incontournable pour tout voyageur dans la ville. Dans la série, Emily a l'occasion de visiter le Louvre lors d'un voyage d'affaires, et elle est absolument fascinée par cette expérience. Les rues de Paris Bien sûr, aucune visite à Paris ne serait complète sans une promenade dans les charmantes rues de la ville. Emily in Paris réussit parfaitement à capturer le sentiment d'être dans la Ville Lumière, des cafés animés aux boutiques pittoresques. Se promener dans les rues de Paris est le meilleur moyen de se faire une idée de la ville, et c'est une expérience que vous ne voudrez pas manquer. La langue française L'un des plus grands défis qu'Emily doit relever lorsqu'elle s'installe à Paris est la barrière de la langue. Elle se rend vite compte que le français qu'elle a appris au lycée ne suffira pas pour se débrouiller dans la ville. Emily est obligée d'apprendre quelques phrases de base en français, et elle découvre rapidement que cette langue peut être à la fois belle et frustrante. La mode Paris est connue pour sa mode, et Emily in Paris ne déçoit pas. La série est remplie de magnifiques clichés d'Emily se promenant dans les rues de Paris dans ses tenues élégantes. Des sacs à main de créateurs aux robes chics, la mode dans Emily in Paris est sûre d'inspirer un sérieux shopping   Emily in Paris est une émission qui ne manquera pas de divertir les téléspectateurs de tous âges. La série suit Emily, une jeune femme de Chicago, alors qu'elle déménage à Paris pour une nouvelle opportunité de travail. Emily est rapidement projetée dans le monde de la haute couture et doit apprendre à naviguer dans sa nouvelle vie avec l'aide de ses nouveaux amis et collègues. La série est drôle, réconfortante et constitue un excellent moyen de s'évader pour les téléspectateurs qui recherchent une émission légère à regarder. Read the full article

[animalsoffarmsanctuary]

A Visit from Vaute Couture — Living Compassionately is Always in Style!

Fashion trends may come and go, but living compassionately never goes out of style — and when we dress ourselves with love, we may celebrate how beautiful we truly are…inside and out.

At Farm Sanctuary, we value farm animals as friends, not food. These ambassadors for their species come from horrific circumstances, yet many learn to love again after receiving the care and kindness they deserve. Here, they may value themselves as the magnificent individuals they truly are — and where others once prized them for the commodities they could produce, we honor each individual we meet as someone, not something.

Susie shares some love with Jennifer and Roger goats. The siblings once suffered terribly cruelty and neglect, but now enjoy the peace and love that they deserve each day.

But what many people don’t take into account is the relationship between the food and clothing industries — and how the choices we make can impact animals in ways we wouldn’t necessarily expect. Contrary to common belief, products like wool, down, and leather are more than just byproducts of animals who are already being raised and slaughtered for food. Instead, the demand for animal-based clothing fuels an industry of its own, and even helps keep the meat industry in business.

The only individuals who truly need these products, however, are the animals themselves. There are alternative, innovative ways for people to look and feel good, without compromising their values or causing harm to animals. And humanimals like Leanne Mai-ly Hilgart of New York City-based Vaute Couture are doing just that.

Vaute Couture describes itself as "the world’s first vegan fashion brand, founded with a mission of taking animals out of the fashion equation, by creating something better.” The company, founded and directed by Leanne, offers practical, fashionable, and sustainable alternatives to animal-derived products — demonstrating how easy it is to look good and feel good, all at the same time.

Last week, we had the privilege of working with Leanne and her team at our New York Shelter. With the animals as their muses, they conducted a compassionate photo shoot for their upcoming Winter LookBook — an opportunity to bring compassionate fashion to the mainstream. Together, we celebrated the incredible ambassadors for their species who inspire all of our work each day, and all we may accomplish when we put compassion first.

Choosing Compassionate Alternatives to Wool

While the majority of sheep we rescue are primarily raised for meat, there are some who are raised for wool production or for dual purposes.

Sadly, wool production is not as innocuous as many people would like to believe. While it’s easy to compare shearing a sheep to a human receiving a haircut, the unfortunate reality is that sheep are indeed harmed in the process.

Sheep shearers are paid per sheep, not per hour, which incentivizes them to rush through the job. This means that sheep are often nicked and cut during the process, and their wounds are often left untreated. And of course, in any situation where large numbers of animals are being raised for a product, it is impossible to treat each one as an individual apart from that product. They often go without the individualized care they need and deserve, and are slaughtered (or, in some cases, even abandoned) when their wool production has declined to the point where they are no longer considered useful. 

Photographer Anthony and model Anastasia pause to admire Louise sheep in all her glory. 

Most of the world’s wool comes from Australia, where Merino sheep are the most prevalent breed. Merinos are bred to develop wrinkly skin; the more wrinkles on the sheep, the more wool they can produce. However, these wrinkles also make it easier for flies to lay their eggs, and the maggots can eat the sheep alive — a condition known as “flystrike.” In an effort to mitigate this, ranchers carry out a cruel practice called “mulesing” — which involves removing large slabs of flesh from lambs’ backsides, without anesthetic, to create a scarred area with no wrinkles or wool, this preventing moisture from accumulating and attracting flies. Sadly, these sheep endure a lifetime of suffering, all to give up a product that does not rightfully belong to anyone but them. And after all of this, these terrified animals are shipped overseas to be slaughtered in foreign markets, again when they are no longer deemed useful. 

Model Dennis spent a lot of time with his new buddy, Bob Barker! Born in safety at Farm Sanctuary, Bob Barker has only known the love and kindness he deserves. 

Bob Barker’s twin brother, Jack, feels the same about his new friend!

Cynthia goat joins in with her signature move: a loving nuzzle behind the head!

Jordan goat and Adriano sheep are quite enamored of their friend Leanne and her beautiful, compassionate attire.

Jordan’s also excited to spend time with his new friends Anthony…

…and Anastasia! Meanwhile, Brian sheep has clearly found a compassionate friend in Dennis.

At Farm Sanctuary, however, we value sheep — and all farm animals — not for what they can give us, but for the unique individuals we know them to be.

Our rescued residents teach us that there is plenty of love to go around when we open our hearts. Joel sheep, rescued from terrible neglect last year, snuggles up with Leanne (above) and makeup artist Melissa (below). These days, Joel has nothing but love for his humanimal friends — and his incredible transformation demonstrates the power we all have to make a difference in the lives of those around us.

While we do need to shear most of our sheep residents each year — they are bred to produce more wool than their bodies can handle, so we shear them every spring to prevent them from overheating — we go to great lengths to make sure that the process is as calm and easy on them as possible. Sheep shearing at Farm Sanctuary is generally a three-day process, where we spend a lot of time with each individual sheep and keep him or her as comfortable as possible from start to finish. 

Anastasia and Dennis demonstrate that compassion is always the fashion.

And what do we do with all that wool? We provide it to area wildlife to use as they see fit. One year, we even donated it to help clean up an oil spill. Because, in reality, wool — and the products made by any animal — is not ours to use or profit from. And thanks to innovative companies like Vaute Couture, there are plenty of ways to stay warm and fashionable while supporting compassionate, sustainable alternatives!

 Choosing Compassionate Alternatives to Down

Next, we visited the duck and goose area for a lovely stroll with our feathered friends!

Anastasia and Dennis, surrounded by some of the beautiful ambassadors they work on behalf of each day.

Birds such as ducks and geese are unfortunately among the most misunderstood of all farm animals, since it can be difficult for people to relate to them on an individual level. But when we take the time to get to know them, the relationships we can build with these bird friends may warm our hearts just as much as cruelty-free alternatives to down can warm our bodies.

Leanne says hello to Tig, our resident greeter of the duck and goose barn! Tig is very young and still learning that she is, indeed, a duck — in the meantime, she loves to “preen” her humanimal friends.

Sadly, ducks and geese are often denied the love and care they deserve. 

In the down industry, some birds are “live plucked,” meaning that their feathers are ripped from their bodies while they are alive and conscious. As you can imagine, this process is extremely painful — and with so many cruelty-free options available, it’s easy to stay warm without denying these animals the natural warmth their own bodies provide.

Tig and her many admirers — this lovable girl teaches us that ducks just like her have unique personalities, and deserve to be valued as the individuals they are.

In other cases, down is taken from slaughtered ducks and geese. These birds, like all “poultry” animals, are exempt from the Humane Slaughter Act; in other words, the law does not require them to be rendered unconscious before they are killed. After slaughter, the birds are placed into tanks of boiling water to remove the feathers — which, in many cases, are later used for down. But sometimes, the birds are still alive once they reach the tanks, and they are painfully scalded to death.

Anastasia demonstrates how easy — and glamorous — it can be to choose cruelty-free alternatives to products like down. Her feathered friends agree!

Whether commodities are taken from animals who are living or deceased, the reality is that these products are not ours to take — and that we can survive and thrive while supporting more compassionate alternatives instead. Through their work each day, Leanne and the Vaute team strive to represent farm animals as “living beings, not textile machines.”

Choosing Compassionate Alternatives to Leather

Many people mistakenly believe that leather is a byproduct of the meat industry. In reality, however, these businesses support each other.

Conrad and Dennis share a heartfelt moment.

Leather goods are not just derived from the bodies of animals already raised and slaughtered for meat — instead, the demand actually sends more animals into production. Once again, leather — like all commodities derived from animals — is not a harmless product. But by selecting cruelty-free alternatives that look and feel just like the “real” thing, we can create a new reality for farm animals and the people who love them.

Anastasia and Dennis were quite “moooooved” by their new friend, Conrad! This gentle giant was once considered a useless “byproduct” of the dairy industry (since, as a male, he would never grow up to produce milk), and would have been raised for cheap beef instead. Sadly, his “owner” did not deem it worthwhile to give Conrad the care he needed, and planned to kill this sweet boy before he had a proper chance at life. But thankfully, this was not to be. Today, Conrad demonstrates that farm animals are not objects or byproducts to use at our disposal — for dairy, meat, leather, or otherwise —  but are each someone, not something.

Blitzen helps supervise the photo shoot!

Anastasia models some of the beautiful, cruelty-free clothes and accessories you can find at Vaute Couture — compassionate choices that honor farm animals like Diane as the beautiful individuals they truly are.

Your support helps farm animals like Sonny enjoy the beautiful lives that they deserve — and together, we can celebrate all beings as the magnificent individuals we all are.

We are so thankful to Leanne and the Vaute team for spending some quality time with our rescued residents, and for making it both easy and fashionable to make compassionate clothing choices for animals just like them. Together, we can support a world where all beings are valued as the individuals they truly are — and nothing fits better than living our best lives possible!

To learn more about Vaute Couture and how you can make compassionate choices on behalf of all farm animals, visit VauteCouture.com!

[maisouvontlespoussieres]

2021 - Welcome boy

Entre la table à repasser héritée, les dizaines de bobines de fils éparpillées et les bouts de tissu disséminés à travers la pièce, le salon ressemble à un atelier de couture clandestin. Mieux vaut ne pas marcher pieds nus au milieu des épingles mais ma Dame ne voit pas pourquoi elle changerait une virgule à ses habitudes. Il pleut tel un bovin incontinent, le froid nous gagne. Le 14 juillet étant une date pourrie, l’aînée a décidé de réaliser un acte politique majeur pour envoyer un signal fort au gouvernement. Elle va tirer la gueule toute la journée dans sa chambre. Froissé, j’émerge de la veille compliquée, passée sous la botte de Petit Patron. La sono répète en boucle des ritournelles de foire pour midinettes, le ciel est de plomb, la lumière est basse, l’ambiance bat son plein. C’est donc aujourd’hui que le copain de notre cadette nous rend sa première visite.

[omagazineparis]

Les accessoires de luxe : pourquoi nous font-ils rêver

Ils sont jeunes, beaux, riches et connus... Il faut bien se rendre à l'évidence : le mode de vie des people nous influence. Leur style tapageur et les objets luxueux qu'ils arborent remplissent les pages des magazines et nous donnent envie de les imiter. D'autant que, du nouveau sac Gucci aux baskets Vuitton, du tee-shirt Balenciaga au trench coat Burberry's, les accessoires de luxe se déclinent à l'infini ! De nombreuses marques proposent ainsi une multitude de produits frappés de prestigieux logos. Leur succès ne se dément pas, malgré des prix exorbitants. Alors, pourquoi les accessoires de luxe nous font-ils autant rêver ? Impressionner les autres Arborer un article de luxe, comme un vêtement griffé, permet d'affirmer son statut social. Celle qui a les moyens de s'offrir des biens vendus à prix d'or est naturellement apparentée à une classe sociale élevée. Tout dans son mode de vie, de même que dans les vêtements et accessoires qu'elle porte, semble nous dire qu'elle a de l'argent. À l'opposé, une adolescente de 16 ans issue de cité ne s'affichera pas avec un sac Hermès. Ainsi, nous nous servons de nos vêtements pour envoyer un message à ceux qui nous entourent : nous voulons les persuader que nous sommes riches et que notre vie est un phénoménal succès ! Le luxe un moyen de se faire remarquer Posséder un bel objet attire le regard et permet aux individus de se faire une idée immédiate de leur interlocuteur. De plus, chaque marque a son style et un axe défini de communication. Si l'on porte un sac Chanel, le message n'est pas le même que si on porte un sac Off White. Dans le premier cas, on projette une image classique, chic et intemporelle. Dans le deuxième cas, cette image demeure luxueuse, certes, mais elle est aussi plus jeune : elle colle aux dernières tendances de la rue. Ainsi, lorsqu'on achète un objet de marque, on bénéficie de l’image véhiculée par cette dernière. Porter un accessoire de luxe tendance booste la confiance en soi et change le regard des autres. Puisque les rapports sociaux sont fondés sur les apparences, il convient d'y attacher la première importance ! Des accessoires rares et inaccessibles aux autres Depuis l'avènement du bling, nous en voulons toujours davantage et la courbe de notre appétit suit celle des prix des biens de luxe. Ils sont toujours plus chers ! Dans notre esprit, voilà comment on justifie leur prix astronomique : la qualité et la finition sont incomparables ! De nombreux produits de luxe sont ainsi garantis "à vie". Certaines pièces se rapprochent même d'œuvres d’art. Outre leur finition parfaite, elles sont faites à la main en quantités très limitées, quand elles ne sont pas tout simplement des pièces uniques. Dessinées et conçues par de grands créateurs issus de la haute couture, elles pourraient tout aussi bien figurer dans la collection d'un musée. En réalité, tous les articles ne valent pas le prix inscrit sur leur étiquette. De plus, la notion de luxe peut varier en fonction des moyens dont on dispose. Cela vaut-il la peine, par exemple, de se payer une jolie robe Versace, si l'on doit manger des pâtes pendant le reste du mois ? À chacune la définition de ses priorités ! A lire également : La montre Christian Millers, un accessoire indispensable Ça fait rêver parce que c'est cher et beau Le prix influence-t-il notre jugement sur l'esthétique de l’accessoire de luxe ? S'il était moins cher, le convoiterait-on toujours autant ? Comment ne pas être poussée à le désirer fortement, après avoir été soumise aux campagnes de presse impactant nos goûts, de même qu'aux avis convergents de nos amis, qui à leur tour nous influencent ? Pour échapper à ce cercle vicieux, il est capital de cultiver un style et un goût propres. Bien se sentir dans ses baskets, voilà ce qui compte finalement -- indépendamment du prix qu'elles ont coûté ! Chères lectrices, vous laissez-vous influencer par la publicité ou par votre entourage, au point de parfois commettre des folies en achetant des accessoires de luxe hors de prix ? Comment vous sentez-vous dans ce cas ? Quelle démarche adoptez-vous pour vous préserver de céder à la tentation ? N'hésitez pas à nous confier votre témoignage dans la section des commentaires ci-dessous ! Read the full article

[ladyniniane]

Thumbprint Challenge

Rules: Look back on your work, both past and present, finished and unfinished. what are five to ten narrative elements or tropes that continuously pop up in your work? tag as many people as the number of tropes you listed.

J’ai été taguée par @conteur-cleon-writeblr et @queenfredegund merci beaucoup :D surtout que j’adore ce tag.

1) Women! Women everywhere: Je n’ai jamais caché ma préférence pour les personnages féminins et ce sont elles qui dominent mes histoires. J’adore mettre des femmes très différentes dans des rôles tout aussi diversifiés et où on ne les attend pas forcément (évêque, forgeronne, gouverneure etc.). Mes récits sont toujours centrés autour d’une héroïne principale. Il y a des personnages masculins importants, bien sûr, mais les scènes où deux personnages masculins se parlent sont extrêmement rares.

2) Toi aussi tu es une guerrière ? Suite directe du numéro 1. Je suis passionnée depuis très longtemps par les femmes guerrières dans l’Histoire et forcément cela se ressent dans mes récits. Toutes mes protagonistes savent au moins se défendre (il y aussi deux ou trois magiciennes). Bien sûr, cela ne veut pas dire qu’elle passent leur temps à se battre. Il y en a même pour qui c’est très secondaire. Mais elles sont tout à fait capables de participer aux scènes d’action si besoin. Par ailleurs, j’ai fait attention à ce que leurs armes reflètent leur histoire/statut/personnalité. Et bien sûr, je ne veux pas qu’elles soient des freaks/exceptions donc on retrouver pléthore de combattantes parmi les personnages secondaires. Bon, je sais qu’il y a un débat sur Tumblr et ailleurs sur ce qu’est une “strong female character”, que ça ne doit pas forcément passer par le fait de se battre, le fameux Sansa VS Arya. J’en suis tout à fait consciente, c’est pour ça qu’il y a des femmes dans mes histoires qui exercent du pouvoir sans se battre. Je tiens à montrer différents types de force. Par ailleurs, aucune de mes guerrières ne crache sur des tâches comme la cuisine ou la couture, bien au contraire. Je tiens à traiter mes héroïnes comme des êtres humains, des individus à multiples facettes.

3) Le patriarcat ? C’est quoi ? Suite des deux premiers ;) Aucun de mes univers de fantasy ne comporte de société patriarcale. Tout simplement parce que je n’aime pas écrire sur ce genre d’univers. J’écris pour l’escapism, le sexisme est déjà bien trop lourd à porter IRL, je veux des univers où mes héroïnes peuvent déployer leur plein potentiel. A la base, une des sociétés de mon projet devait être un patriarcat, mais je n’arrivais du coup pas à m’y plonger, puisqu’écrire sur ce genre de choses me pèse. Du coup, ce peuple n’était qu’un ramassis de clichés de medieval fantasy traditionnelle. Supprimer cet élément m’a permis de lui donner une véritable identité.

4) Vous reprendrez bien un peu de guimauve ? Je suis une âme simple qui ne dit pas non à une douce romance. Mes personnages affrontent des épreuves et la romance est une bulle de douceur, de lumière et d’apaisement au milieu de tout ça. J’adore écrire les moments de tendresse, les petits riens entre mes protagonistes. Bien sûr, je ne suis pas le genre de personne qui pense qu’il faille être en couple pour être heureux, bien au contraire ! Mais je savoure volontiers une petite douceur dans la fiction. 

5) C’est manifiak ma chérie : J’adore décrire ce que mes personnages portent. Je me sers des vêtements pour montrer leur état d’esprit et leur évolution. J’ai d’ailleurs plusieurs dossiers/tableaux Pinterest qui regroupent mes inspirations vestimentaires pour mes différents projets.

6) Pères invisibles : C’est devenu une blague avec mes amis, mais les pères dans mes histoires sont très souvent absents/morts. Beaucoup n’ont pas de visage. Je suis consciente que c’est dû à ma propre histoire alors j’essaie d’y remédier.

7) Deuil : La perte d’un être cher est un thème qui revient souvent dans mes histoires, au point que je crains que ce ne soit parfois un peu répétitif. J’essaie de m’interroger sur la manière dont mes personnages continuent à vivre, de comment ils gèrent leur douleur, tristesse, culpabilité...tout en continuant vers l’avant. Car c’est ça le message que je veux donner à travers mes histoires : espérance et résilience.

8) Je crois que c’est hanté : J’adore les ambiances gothiques et les histoires de fantômes donc mes protagonistes se retrouvent souvent dans des lieux mystérieux. Les fantômes peuvent-être réels ou suggérés. Parfois, ce sont aussi des prétextes pour confronter mes héros aux fantômes du passé.

9) Fins heureuses, toujours : Jamais je n’écrirais de fin triste. Vous êtes prévenus. Je me suis longtemps battue, et je me bas encore, avec la dépression, donc lire ce genre de choses me faisais/me fait beaucoup de mal. Pour moi, une fin est la dernière image que les gens emportent de mon histoire. Je refuse de laisser à mes lecteurs de la tristesse et de la déprime. Au contraire, je veux leur apporter quelque chose de positif. Je ne préfère rien de plus que de voir des personnages qui affrontent des difficultés et réussissent à s’en sortir.  Rien ne vaut ce soulagement. Parce que ça me montre que je pourrais m’en sortir moi aussi. Team Eucatastrophe et Hopepunk forever. 

10) Inspirations historiques : J’aime m’inspirer de différentes périodes/peuples et personnages ayant réellement existé et j’y fais parfois référence de manière indirecte par ailleurs. J’ai écrit à ce sujet ici.

Voilà c’est tout pour moi ! Je tag @haweke, @characterfromthebook et @thetormentita :D

[enyrite]

La théorie de l’échec

Lorsque j’écris des billets, je me demande toujours : est-ce que cela va intéresser ? Est-ce que cela vaut vraiment le coup de prendre le temps d’écrire ces articles ? Pour le moment, les retours me font dire que oui. Je sais que ça demande un effort, mais n”hésitez pas à faire un petit commentaire. Ou même me demander des sujets en particuliers :).

Bref, venons au sujet du jour.

Lors d’un de mes précédents billets, une personne (et je la remercie !!) m’a fait la réflexion qu’“Un personnage qui perd est un personnage qui meurt”. Cela m’a énormément fait réfléchir. 

Dans les jeux-vidéos, un personnage qui meurt c’est souvent synonyme de Game Over. Il faut alors recommencer la partie. Pour ce qui est du JDR sur la table, on doit aussi être dans la même logique.

Mais l’échec est-il si néfaste ? La défaite signifie-t-elle toujours la mort ?

Il peut avoir quelque chose d’insupportable dans la défaite de son personnage, mais dans un système de forum rpg, c’est presque inévitable. Sur les forums rpg, il n’y a pas un héro et les autres, mais une certaine égalité de traitement. Il y a le plus souvent des conflits, que cela soit au niveau individuel (ex : rivalité) ou de groupe (faction différente). Et comme il y a des gagnants, il y aura forcément des perdants à un moment donné.

Perdre, échouer, fait -douloureusement- partie de la vie. Tout le monde a raté un contrôle ou a eut une déception amoureuse. Et si cela fait partie de la vie IRL, cela fait partie aussi de la vie fictive de nos personnages.

Mais quel est l’intérêt de l’échec ?

L’enjeu n’est pas de faire dans la misérabilisme, ni de glorifier la défaite. Mais d’utiliser cette mésaventure narrative pour développer quelque chose. 

Lorsque l’on gagner, réussi, on n’apprend pas grand chose. Après tout, les raisons de notre réussite sont évidentes : c’est le travail, le talent. Mais l’échec oblige à se remettre à question, à comprendre, à apprendre. Cela peut aussi pousser à avoir des ressentiments. Autrement dit, c’est particulièrement intéressant niveau évolution de personnage.

L’échec oblige le personnage à évoluer.

Naruto serait-il aussi attachant s’il avait toujours tout réussi du premier coup ?

Au niveau de l’esprit Shonen (manga type aventure Naruto / One Piece / etc), le héro commence généralement par perdre. Le lecteur est alors amené à voir l’évolution du personnage, de comment il est obligé d’évoluer et de grandir, pour se dépasser, aller jusqu’au bout de lui-même, et au final gagner. Le chemin d’évolution n’est as forcément linéaire, mais il peut aussi avoir de nouveaux échecs. Cela me parait important pour le lecteur puisse être surpris.

Autre exemple :

George et Wil sont deux frères qui décident de faire un concours de chasse. George bat son frère à pleine couture.

Les conséquences possibles :

George est content de lui.

Wil peut se remettre en question et progresser. Il peut aussi développer des sentiments de rancunes par rapport à ses parents. Il peut aussi développer un lien négatif avec son frère.

Wil va avoir des possibilités d’évolution plus fortes que son frère.

La victoire peut aussi amener le personnage à évoluer, en étant amené à être beaucoup trop confiant en ses capacité, gonflant à l’égo à un point où cela peut être insupportable ou que cela lui puisse être négatif. Pourtant je n’ai jamais vu un personnage traité de la sorte (à part les antagonistes). Est-ce aussi votre cas ?

Pour moi la défaite est intéressante, dès lors qu’elle n’est pas gratuite.

[jezatalks]

Aujourd'hui j'ai dépensé 80€ en matos de couture :)))

Après c'est pour une salopette en velours, 2 sweats, 2 culottes dentelle et un porte jarretelles (même si je n'ai pas trouvé les pinces snif) donc ça vaut le coup/coût.

[zoliakv]

Femme modèle: Victorine Meurent

« On ne naît pas artiste mais on le devient. Du plus loin qu’on s’en souvienne, l’histoire de l’art a été pensée, écrite, publiée, transmise par des hommes. Et quand on est née femme, être artiste, le prouver, y avoir accès, produire, montrer, continuer à le demeurer est un combat permanent, dangereux, épuisant physiquement, intellectuellement et psychiquement. Le temps semble aujourd’hui propice pour revisiter et regarder autrement les créations de celles qui ont eu le courage de défier les règles pour assouvir leur vocation. »

Laure Adler 

S’il fallait en choisir qu’une, pour commencer cette série sur les femmes dans l’histoire des arts, j’aimerai rendre hommage à celle qui occupe le chapitre « images licencieuses » d’Amour et érotismes de Stefano Zuffi, celle dont la représentation est retenue comme la plus scandaleuse de l’histoire de la modernité. Victorine Meurent connue comme la muse de Manet ou d’Alfred Stevens, mais qui ne se résume pas qu’à ses passages dans la vie d’hommes. 

À la fois artiste et modèle, Victorine Meurent permet d’interroger la place des femmes dans les arts aussi bien du côté création que représentation. Comme Laure Adler le dit très justement, l’histoire des arts a été une discipline fortement occupée par les hommes. Le fait que Meurent ait été retenue bien plus comme muse que comme artiste n’est pas anodin. D’ailleurs, l’on peut s’interroger sur le statut de la muse.

Originellement, les muses, les neuf filles de Mnemosyne et Zeus, president aux arts libéraux. Les artistes dépendent d’elles, elles sont l’inspiration nécessaire à la création. Mais au fil du temps, le terme de muse prend un sens différent. La muse n’est « que » la femme représentée et plus l’origine même de la production artistique. La muse semble avoir perdu sa supériorité, c’est l’artiste qui lui donne le droit d’exister et non plus l’inverse. La femme est devenue passive tandis que l’homme créé, peint, inspire.

Ainsi, nous pouvons nous arrêter sur la façon de représenter une dite muse, est-elle représentée comme-t-elle ou uniquement utilisée pour sa beauté, dépossédé de son identité? 

Qu’en est-il de Victorine Meurent? 

(1844-1927)

Victorine Meurent entre dans l’histoire des arts à seize ans, lorsqu’elle s’inscrit comme modele dans l’atelier de Thomas Couture, peintre d’histoire français qui compte parmi ses élèves Edouard Manet ou encore Pierre Puvis de Chavannes.

Victorine, de par son physique atypique pour l’époque (petite et assez fine, ce qui lui vaut le surnom de « crevette ») est assez vite repérée par Alfred Stevens. 

Victorine Meurent peinte par Stevens, 1872

Par (probablement) l’intermédiaire d’Alfred Stevens, elle rencontre Edouard Manet qui l’a fait alors poser en 1862. 

Mademoiselle V en costume d’espada

C’est le début d’une longue série. Manet représentera énormément Meurent au cours de sa carrière et il se pourrait qu’ils aient entretenus une relation. Mais les gossips passent après l’importance de Madame Meurent dans l’histoire de la femme modèle. 

Là où le destin de Victorine Meurent diffère de celui de n’importe quelle modèle de l’époque c’est lorsqu’elle devient l’élément licencieux de deux tableaux de Manet: Le déjeuner sur l’herbe, 1863 et l’Olympia qui créé scandale lors de son exposition au salon de 63.

Le déjeuner sur l’herbe a une importance cruciale dans l’histoire de la peinture moderne mais vous l’avez surement déjà étudié au lycée donc je m’épargne l’analyse de celui-ci. Parlons plutôt de l’Olympia.

Manet n’avait pas pour ambition de produire une peinture licencieuse mais de representer le vrai, “j’ai fait ce que j’ai vu”. C’est ce réalisme qui en fait une oeuvre de rupture, une oeuvre scandaleuse. Le tableau s’inscrit dans les codes de la peinture classique. Victorine est représentée comme une venus.

Venus d’Urbino, Titien, 1538

La présence de la femme à droite, le chien remplacé par un chat, tous les éléments montrent que Manet s’est nettement inspiré d’une peinture classique. Cependant, les changements effectués, le fait de passer d’une figure mythologique à Olympia, pseudonyme de demi-mondaine. Le chat noir, symbole de la sexualité, de la lubricité, remplace le chien. Les pieds abimés de la femme attire l’oeil du public qui l’associe immédiatement à une prostituée travaillant dans la rue. Et la femme lui apporte surement une offrande d’un de ces clients.

À cette époque le nu n’était acceptable que s’il avait attrait à un environnement mythologique ou exotique, quel scandale alors de représenter une femme du peuple! 

En plus d’être une femme du peuple, Victorine Meurent est surtout une femme dans son individualité, une femme représentée en tant qu’elle même et non un pis-aller pour figurer une déesse, dont la nudité est acceptable. 

La grande odalisque, Ingres, 1814

Cette peinture, par exemple, légitime le nu par l’utilisation des fantasmes orientalistes. Ce qui est aussi intéressant par rapport à la représentation du corps de la femme, c’est qu’anatomiquement, son corps est incorrect. En effet, l’odalisque à une vertèbre en plus. 

Alors, lorsque Victorine est peinte telle quelle, avec ses jambes courtes et son regard fixe, comme defiant le regardeur, on ne peut qu’imaginer l’ampleur du scandale. On reprocha d’ailleurs à Manet d’avoir peint une figure pas assez jolie.

“Il y a des bourgeois qui, visitant le salon, ont voulu percer la toile avec leur parapluie, ils trouvaient cela indécent”

Eric Darragon 

Après cela, Victorine pose encore pour différents tableaux de Manet. 

À la fin des années 60, elle part aux États Unis. Elle apprend alors à peindre. À son retour en France elle suit des cours à l’académie Julian, prestigieuse école qui a formé, entre autres, Emil Nolde, Mucha, André Derain, Fernand Léger, et même Marcel Duchamp.

Elle connaît alors un certain succès, elle est accepté à plusieurs reprises aux salons tandis que Manet essuie des refus. 

Malheureusement (et sans grande surprise) seuls deux de ses tableaux sont identifiés aujourd’hui. 

Le jour des rameaux, Victorine Meurent, v. 1880

Pourtant importante dans l’histoire des arts, on a aujourd’hui très peu de sources à son propos. Elle apparaît parfois dans des fictions à la fin du XXe mais est bien trop associée à Manet ou à sa relation avec une femme à la fin du XIXe. 

Il est indéniable qu’elle a néanmoins bâti les premiers jalons d’une nouvelle façon d’aborder le modèle féminin. En faisant l’objet de diverses representations elle a souvent été représentée en tant qu’individu, au delà du carcan des moeurs qui cantonnait les femmes à n’être que des reflets d’images tolérés. Elle a entrainé une fascination qui, en dépit de son physique hors normes, en a fait une figure majeure de la transition XIXe/XXe. 

En 1904, elle est d’ailleurs sur un tableau d’André Devambe

qui ne la représente pas de façon esthétique. Ce tableau intitulé les incompris présente des artistes attablés à un cafe. Un des hommes est probablement Verlaine. Victorine, le journal L’art à la main et le coude sur une boîte de peinture est là bien représentée en tant qu’artiste de son temps et non comme “le modele de Manet”. 

Elle a réussi, dans une époque où l’art était un domaine difficile d’accès aux femmes, à exister individuellement et non comme relation d’un homme. 

Et lorsque le peintre contemporain John Behm peint Susie Maguire en 1993, il intitule le tableau Considering Victorine Meurent. 

Il choisit ce titre après s’être intéressé à la vie de Victorine et la considère comme 

"absolute archetype for the way in which [non-conformist] individuals within our society…can be misunderstood and misrepresented."

(l’archetype absolu de la manière dont les individus (non conformistes) peuvent être mal compris et mal représentés dans notre société. 

Sur cette peinture, la nouvelliste Susie Maguire “réfléchit sur sa vie et sa lutte” et apparait alors derrière elle l’ombre de Victorine, symbole alors de la femme artiste, déterminée, voulant exister pour sa propre oeuvre et non soumises aux désirs des hommes de son époque. 

Ainsi, le terme de modèle devient sylleptique pour Victorine Meurent. Elle fut à la fois un modèle posant pour les plus grands peintres de son époque et un modèle source d’inspiration jusqu’aujourd’hui.