#Sabre' à Garde Tournante
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New sword day Always a pleasure to come home to a parcel containing swords. Top to bottom they are: French infantry officers Sabre' à Garde Tournante circa 1780 -1800. British 1796 pattern infantry officers' sword (co-shipped for a friend). French cavalry officers' Sabre à l'Orientale circa 1810 - 1830.
#french swords#swords#sabres#saber#mameluke#Sabre à l'Orientale#Sabre' à Garde Tournante#British Swords#1796 Pattern infantry officers' sword#napoleonic wars#military antiques#antiques
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One piece scénario: L'enclos des moutons (Version française)
Titre: L'enclos des moutons
Pairing: Ace § Marco (amitié)
Genre: Humour, environ 2 000 mots
AN ENGLISH VERSION IS AVAILABLE ON MY BLOG
L’enclos des moutons.
Un éclair bleu déchira le ciel assombrit par des nuages d’encre noir. Le commandant de la première division se transforma en un flamboyant phoenix en un dixième de seconde, se propulsant dans les airs, fendant l’air à une vitesse phénoménale et s’abattit de plein fouet sur sa cible. Son pied, enduit du haki de l’armement fracassa avec force le géant de glace. Des éclats volèrent au point d’impact, libérant le bras de l’amiral Aokiji. Le marine, malgré une seconde de surprise liée à la force de frappe du second de l’empereur, reprit vite ses esprits. Une salve de boulets de canons inonda au même moment le navire de la seconde flotte de Barbe Blanche. Plusieurs pirates, touchés et blessés par l’attaque, hurlèrent de douleur. Derrière la fumée créée par l’explosion, surgit le vice-amiral Momonga qui fonça tête baissée vers le commandant de la seconde flotte, déjà aux prises avec le vice-amiral Smoker.
Marco aperçut au loin le corps du vice-amiral Momonga s’enduire avec rapidité d’haki de l’armement, y comprit son gigantesque sabre. Le phoenix n’eut pas le temps de prévenir son frère de l’attaque surprise. Cette minute d’inattention lui couta chère, l’amiral Aokiji enduit sa main de haki, agrippa la cheville droite du pheonix qui fut alors propulsé dans les airs. Le blond eu à peine le temps de sentir les os de son phoenix se geler grâce au haki de l’amiral, qu’il s’abattit brutalement contre la falaise. Il se maudit intérieurement de cette seconde d’inattention qui allait lui couter très cher ainsi qu’à ses frères, et perdit connaissance face à l’ampleur de l’impact.
3 heures plus tard.
Vista s’empara de l’escargophone et attendit, le corps trempé de sueur, que son père réponde.
« Père, nous avons dû changer de cap et partir vers le sud. » Commença t’il. La lenteur de sa voix laissait transparaitre la fatigue que ressentait le commandant. Il continua cependant rapidement.
« La première division a rencontré deux navires de guerre de Marineford alors qu’ils étaient à quelques kilomètres seulement de l’île. A leur bord se trouvaient le vice-amiral Smoker, le vice-amiral Momonga, et l’amiral Aokiji… »
Il s’arrêta un instant quand il entendit son père grommeler à l’autre bout de la ligne.
« La seconde division suivait de près la première donc ils ont pu prêter main forte. Les deux divisions ont quand même subi beaucoup de dégâts, on a pas mal de blessés. Heureusement, la troisième, la cinquième et la huitième division sont arrivées au moment critique. On a réussi à les faire rebrousser chemin et à partir. ». Finit-il.
« C’est parfait, je te remercie, fils. Comment vont Ace et Marco, allez leur prêter main forte pour la gestion des navires s’ils sont trop fatigués. » Ordonna-t-il d’une voix grave.
Vista prit quelques secondes pour répondre.
« Ace s’en sort avec quelques hématomes, rien de bien grave, il avait toujours le feu aux fesses après la bataille. » Vista fit une pause pour prendre son courage à deux mains.
« Et Marco ? Comment va Marco Vista ? Pourquoi n’est-ce pas lui qui m’appelle ? »
Vista réussit à percevoir une pointe d’inquiétude dans la voix de son père.
« L’amiral Aokiji a utilisé son haki de l’armement pour le geler pendant qu’il était transformé. Apparemment, il se serait fracassé contre la falaise. La couche de glace est extrêmement fine mais robuste, il est complètement piégé dedans. Ace a légèrement perdu les pédales et a insisté pour l’amener lui-même à l’hôpital de l’île où nous avons accostés. Il ne voulait rien entendre malgré ses propres blessures. Il a emmené Marco avec lui il y a une dizaine de minutes. Les autres commandants et moi avons décidés de le laisser faire et lui faisant promettre de ne pas essayer de faire fondre la glace lui-même mais de simplement l’emmener voir un médecin et de demander un spécialiste. » Expliqua l’épéiste.
Après un court instant de silence de la part des deux pirates, le capitaine remercia son fils et raccrocha.
20 minutes plus tard, à une dizaine de kilomètre du port.
La course du commandant de la seconde flotte était régulière malgré la fatigue que commençait à ressentir son corps. Des flashs de l’accident de Marco envahirent l’esprit du brun qui se posait un millier de questions à la fois. Au bout d’une heure d’une course effrénée à travers la forêt tropicale, Marco glacé sous le bras, Ace aperçut enfin l’entrée de la ville. C’était une île plus développée que la majeure partie des îles du Nouveau Monde. Des bâtiments à plusieurs étages encadraient les rues et laissaient place à de grandes routes bien entretenues où la majorité des habitants se déplaçaient en vélo.
Il reprit sa course et fonça dans la première rue venue, cherchant un panneau ou tout autre moyen de trouver son chemin. Au tournant de la seconde rue il aboutit sur un immense boulevard grouillant de vie. Un marché alimentaire était installé sur la place centrale où courraient des enfants et des animaux de compagnie.
Ace se précipita dans le bâtiment qui faisait l’angle de la rue et finit sa course dans une taverne. Il couru vers le tavernier, Marco toujours sous le bras.
« Mon ami est gravement blessé, est-ce que vous savez où je peux trouver quelqu’un pour le soigner ? On m’a parlé d’un hôpital sur l’île ? » Demanda précipitamment le commandant.
Le tavernier, surprit par la fureur du pirate, resta un instant silencieux, analysant la situation.
Ace le pressa de répondre, tout en se remémorant les cours de bonne conduite de Makino.
« Et bien, c’est plus une grande clinique qu’un hôpital. Mais je pense que vous trouverez quelqu’un de bien là-bas, ils sont assez polyvalents et en connaissent un rayon sur à peu près tout. C’est un bâtiment tout en longueur entouré de prairies à dix minutes au sud du boulevard où nous sommes. En sortant, prenez la première à droite, continuez tout droit pendant 7 minutes. Quand vous verrez les premiers cerisiers, la clinique sera sur la droite. »
Ace le remercia vivement et sortit de la taverne à toute allure.
Il déboula dans le bâtiment avec fracas dix minutes plus tard, effrayant les personnes présentes.
« Mon ami à besoin de soins le plus vite possible, il a été gelé il y plus d’une heure maintenant. » Hurla-t-il dans le hall.
Il vit alors une femme, certainement la secrétaire, se lever de son bureau et courir dans les couloirs. Ace resta stoïque pendant plusieurs minutes, reprenant son souffle et essayant de calmer son esprit. Il remarqua alors les quelques personnes présentes, attendant patiemment leur tour dans la salle d’attente. Mais il remarqua surtout les chiens, chats, et quelques moutons à côté de leurs propriétaires.
« Qu’est ce que… ? » Ace n’eut pas le temps de réfléchir plus longtemps, un homme d’une cinquantaine d’année portant une blouse chirurgicale et des gants fonça vers lui. Il était suivi par un autre homme transportant un brancard. L’homme s’empara du phoenix gelé et le posa précautionneusement sur le brancard. Il invita Ace à le suivre pendant qu’il traversait les couloirs de la clinique.
« Quelle est l’espèce de l’oiseau, quel âge a-t-il et y a-t-il des antécédents médicaux que je devrais connaître ? » Demanda rapidement le vétérinaire.
Ace balbutia un instant, surprit par la tournure de la situation.
« Euh, je… phoenix, du fruit du démon du phoenix, la trentaine environ, et euh… euh… il porte des lunettes. » Les deux soignants stoppèrent net leur course au milieu de couloirs.
« Je vous demande pardon ? »
« Je suis Ace, commandant de la seconde flotte de Barbe Blanche. Et ça c’est Marco, vice-capitaine de Barbe Blanche, il a affronté l’amiral Aokiji qui l’a glacé il y a quelques heures. Il a ensuite heurté une falaise et voilà. »
Les trois hommes se regardèrent interdits. Une question planait : fallait-il un médecin ou un vétérinaire dans ce cas ?
Le vétérinaire regarda la tête d’Ace, complètement perdu, et souffla bruyamment.
« Bon, j’imagine que ça va être pour nous alors. Levi, amène le dans l’aile de rééducation. Tu le laisseras dans le bassin de balnéothérapie des chevaux pendant deux heures, à vingt degrés. Ensuite, tu le mettras dans la couveuse des poules, même température, jusqu’à la fin de la soirée. Tu évalueras ses constantes et son état général toutes les heures. Si besoin, j’ai l’escargophone de garde, tu m’appelles. » Ordonna le vétérinaire à son collègue jeune diplômé.
Alors que le plus jeune repartait avec le brancard de Marco, Ace partit à sa suite, demandant à Levi s’il était autorisé à rester avec Marco pendant les soins.
« Les propriétaires des animaux ne sont pas autorisés à rester pendant les soins et sont priés d’attendre dans la salle d’attente » Récita Levi, comme si c’était la vingtième fois de la journée qu’il le répétait.
Les deux hommes se dévisagèrent un instant.
« Ah oui, hum, je pense que vu que ce n’est pas vraiment un oiseau… Et puis tant pis, venez si vous voulez mais ne touchez à rien et laissez-moi faire ».
Ace acquiesça et continua sa route derrière le brancard de Marco.
Le commandant de la première flotte fut installé selon le protocole du vétérinaire. Au bout d’une heure, Ace remarqua que la glace fondait doucement, sans se briser. Il put même commencer à voir le pied droit (ou bien la serre ? La patte ?) de son frère se décongeler entièrement. Il en informa Levi qui s’empara d’un appareil, y lut quelques informations, rassura Ace, et sortit un bracelet d’identification à remplir et mettre sur le membre décongelé de Marco.
« Simple protocole » Finit Levi avant de confier le bracelet à Ace.
Ace le tourna dans tous les sens et tenta de le remplir de la manière la plus adéquate possible. Au vu du résultat final, Ace explosa de rire mais suivit les consignes à la lettre et accrocha le bracelet sur le phoenix.
Le lendemain, vers midi.
La porte de la salle à manger de la première division s’ouvrit avec fracas, laissant passer le vice-capitaine de Barbe Blanche. Il semblait légèrement tendu et énervé.
Il fut accueilli par ses frères par de multiples accolades et propositions de rhum. Cependant, cela ne suffit pas à calmer le commandant. Il s’installa aux côtés de Namur qui était resté avec sa division pour aider la première et la seconde division à se remettre de l’attaque de la veille.
« Je suis rassuré de te voir sur tes jambes Marco, tu nous a fait une sacrée frayeur. » Commença Namur doucement, proposant une assiette pleine à son frère blond.
« Ace a réussit à t’emmener à l’hôpital ? Nous avons essayé de les joindre dans la soirée pour avoir de tes nouvelles mais nous n’avons jamais réussi. Ils devaient être débordés » Demanda l’homme poisson.
« D’ailleurs il n’est pas avec toi, Ace ? »
« Si tu n’as pas eu de mes nouvelles c’est parce que ce cher Ace ne m’a pas emmené à l’hôpital mais dans une clinique. »
Namur, ne sachant que répondre car ne voyant pas le problème des cliniques médicales privées, le laissa continuer. Il remarque que le regard de son frère s’assombrit et que ses poings se contractaient sur la table.
« Ce débile m’a emmené dans une clinique vétérinaire ». Finit Marco.
La salle devient alors silencieuse, laissant à tous le temps d’intégrer l’information. Puis, une pluie de rires gras s’abattit dans la salle. Marco tenta de garder son calme le plus possible.
Il remarqua que Namur se contenait le plus possible de rire et l’en remercia intérieurement.
Il finit son assiette, avala un grand verre de rhum, sortit un papier de la poche de sa chemise et partit, un escargophone dans la main.
« Je vais prévenir père. Si vous voulez récupérer Ace il est enfermé dans l’enclos des moutons dans la clinique vétérinaire au sud de la ville après la forêt ». Finit Marco avant de claquer la porte et de disparaitre de la salle, toujours sous les rires de ses frères qui avaient du mal à s’en remettre.
Namur, profitant de l’absence de Marco, laissa un rire lui échapper en imaginant son frère encerclé par les moutons. Il inspecta le papier qu’avait laissé Marco sur la table avant de partir. Il reconnut alors un bracelet d’identification, mais contrairement à ceux qu’il avait vu auparavant, il comprit que celui-ci était réservé aux animaux.
Il le retourna, lu l’écriture bancale du commandant de la seconde flotte et ne put se retenir d’exploser de rire.
« Nom : Marco le phoenix.
Propriétaire : Portgas D Ace.
Personne à prévenir et numéro : Mr Edward Newgate, numéro escargophone XXCOCCXCCO. »
Fin.
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Star Wars est mort. (1/2)
Star Wars est mort. Disney l’a tué. Je pleure aujourd’hui la fin d’une saga mythique, qui a profondément marqué ma vie jusqu'à aujourd’hui. Mais suite au visionnement du huitième épisode de la saga, Les derniers Jedi, je peux vous dire que cette saga n’est plus ce qu’elle était. Je vais donc tenter de mettre mes pensées justifiant cela sur papier. Je veux tout d’abord parler de Luke Skywalker, le héros de la trilogie originale. Lorsque nous avons vu Luke la dernière fois, dans l’épisode VI, il était devenu un maître Jedi puissant, sage, et humain. Je dis ça, parce qu’à travers son second duel contre Vader sur l’étoile noire, il a fait preuve de sa puissance ; par son rejet de l’offre de Palpatine de le rejoindre à ses côtés, il a démontré de la sagesse ; et surtout, en apercevant puis en faisant germer la lueur d’espoir qui ne s’était jamais totalement éteinte chez son père, l’élu, il a montré qu’il était humain, qu’il n’a jamais cessé d’y croire. Le Luke de l’épisode VIII n’avait rien à voir avec ces trois caractéristiques. D’abord, son attitude avec Rey allait complètement dans le sens inverse de sa nature. Il commence par se foutre complètement d’elle, alors qu’elle lui demande tout bonnement de l’aide car la nouvelle république vient de se faire anéantir (on y reviendra plus tard) et que c’est rendu au tour de la résistance de se faire péter. Ça ne semble pas affecter de quelconque façon Luke, qui ne se donne même pas la peine de dire à Rey pourquoi son appel d’aide est vain. Okay, je comprends que Luke n’a pas eu la vie facile entre les évènements de l’épisode VI et VII, mais tout de même, c’est un Jedi. Les Jedi sont résilients, sont optimistes, et n’abandonnent pas comme ça! J’peux comprendre qu’il a été affecté par la destruction de son nouvel ordre Jedi, qu’il a sûrement pris comme un échec personnel, mais le vrai Luke Skywalker se serait relevé, pas isolé comme un ermite sur une île déserte pendant 20 ans alors que la galaxie avait besoin de lui! Je suis désolé, mais un vrai Jedi n’aurait pas fait ça. Je vous le promets. Le vrai Luke Skywalker est mort. Par ailleurs, on dirait dans cet opus que les Jedi sont quasiment devenus quelque chose de mauvais, d’absence de sagesse, de maturité. Luke tente à tout prix de se distancer de l’image des Jedi, qu’il se permet de COMPLÈTEMENT ruiner, soyons franc. Il accuse et blâme les Jedi de s’être trop enflé la tête, ce qui les a aveuglés et qui a permis l’ascension au pouvoir de Darth Sidious. Rien de faux à priori, mais il s’acharne sur cet élément pour prouver son point, celui que les Jedi ne sont PAS les gardiens de la paix, purs et bons comme nous pensions! Vous savez ce que ça fait, ça? Ça fait qu’il (Rian Johnson/Kathleen Kennedy/Disney) est indirectement en train de chier (pardonnez l’expression) sur toute la fondation établie par George Lucas dans les six premiers films (les vrais films) de la saga. Oh, tu dis que les Jedi sont censés être bons, résilients, optimistes? Ben f**k you. Je suis désolé, mais ça ne marche pas comme ça. C’est parfaitement correct d’introduire un nouveau concept (de « Grey Jedi » par exemple), mais ne le faites pas en ruinant tout ce qui a été mis en place auparavant, surtout par celui même qui est le fondateur, le père de la saga. Vous allez me dire que Obi-Wan et Yoda ont abandonné eux aussi, après la montée au pouvoir de Palpatine. Au contraire, je pense qu’ils ont été stratégiques et ont fait tout en leur pouvoir pour aider la galaxie lorsque le temps viendrait. Yoda a attendu patiemment l’arrivée de Luke et l’a entraîné, et Obi-Wan a veillé sur Luke pendant presque vingt ans sur Tatooine, jusqu’au jour où il allait être prêt à « affronter sa destinée » si je peux le dire comme ça. Et parlons un peu d’Obi-Wan au passage. Je sais qu’Anakin est l’élu, que son taux de midi-chloriens dépasse celui de tous les autres Jedi (cringe), et qu’il est un guerrier extrêmement puissant. Mais Obi-Wan est Jedi. C’est LE Jedi ultime, au sens où il en est le parfait exemple. Il n’a jamais abandonné, est resté fidèle aux valeurs de l’ordre Jedi, a toujours opté pour la diplomatie avant la voie de la force, et n’a jamais cédé une seule fois aux tentations du côté obscur. Prenons un exemple : est-ce que voyant Anakin basculer du côté obscur, Obi-Wan aurait sneaké dans sa chambre pour l’assassiner dans son sommeil? Jamais de la vie! Il se montrait déjà extrêmement réticent à la demande de Yoda d’aller éliminer Anakin à la fin de l’épisode III. Et lorsqu’il parvient finalement à prendre le dessus dans le duel sur Mustafar (le meilleur de la saga, soyons honnêtes), il refuse de lui porter le coup de grâce, parce qu’Anakin est son frère, parce que c’est un Jedi et les Jedi ne sont pas des meurtriers. Et là vous me sortez Luke Skywalker, le fils de l’élu, le dernier maître Jedi, qui se faufile chez Ben pour se laisser adonner à une pulsion meurtrière quelques secondes après l’avoir sondé avec la force? What the fuck? Vous pensez que je vais accepter ça? Ce n’est pas seulement le personnage de Luke et la mythologie des Jedi qu’ils ont massacrés dans ce film. C’est aussi toute l’importance de la trilogie originale. Je ne sais pas si vous réalisez, mais après l’épisode VIII, on est exactement dans la même situation (mais en pire) que la fin de l’épisode IV. La galaxie est sous le règne d’un Empire tyrannique (Premier Ordre), une petite bande de rebelles (résistance) tente de s’y opposer, et il y a émergence d’un nouvel espoir (Rey). Vous savez ce que ça fait, ça? Ça ANNULE complètement les évènements qui ont eu lieu dans l’épisode VI. Ou plutôt, ça les réduit à des choses absolument futiles. La rébellion a gagné avec la bataille d’Endor? Ben non, voyez par vous-mêmes : 30 ans plus tard, la galaxie est toujours dominée par un pseudo-empire. L’empereur Palpatine est mort? Haha, bonne blague, voici un pseudo-empereur, y’a même le fauteil tournant, les gardes rouges et tout, sauf que cette fois-ci, le gars a ZÉRO background. Non seulement Les derniers Jedi porte atteinte à la trilogie originale et à la prélogie, elle se permet de les copier sans aucune gêne. C’est tellement évident que ce n’est plus rendu un hommage, mais vraisemblablement un copier-coller sans rien changer. La scène avec Rey, Snoke et Kylo sur le vaisseau « boomerang » : Snoke assis sur son fauteil, avec un sabre laser sur le côté, qui tente de persuader son apprenti de basculer totalement vers le côté obscur, ça ne vous dit rien? Y’ont même mis un foutu miroir pour que Rey puisse voir la flotte de la résistance se faire démolir, parce que y’avait pas de fenêtre dans la salle! Oh, et j’oubliais Rey qui vient se rendre à l’ennemi, Kylo qui lui mets de menottes et le duo qui prend un ascenseur pour aller rejoindre l’empereur. Oups, je voulais dire Snoke, mais pardonnez-moi, y’a pas de différence entre cette scène et celle de l’épisode VI mis à part les noms. Et évidemment, l’apprenti finit par tuer le maître (qui meurt comme un con de la façon la plus ridicule possible). Avoir su, je serais resté chez nous pour écouter Le Retour du Jedi ; ça m’aurait permis d’économiser 13,50$ et le méchant serait plus crédible que la face de cratère qu’on a eu ici. Et c’est loin d’être fini : tout le dernier acte du film, qui se déroule sur Crait, n’est qu’un ripoff de l’attaque de Hoth dans l’épisode V. Une base rebelle avec des tranchées d’un côté, des walkers à quatre pattes de l’autre, le tout avec des speeders qui traversent l’étendue séparant les deux camps afin d’engager le combat, vous n’allez pas me dire que c’est original. Ah, okay, c’est pas du neige mais du sel ; y’a même fallu un plan avec un dude qui goûte pour qu’on puisse savoir. Le premier ordre gagne la bataille, Kylo Ren (Darth Vader) pénètre dans la base rebelle avec ses stormtroopers juste à temps pour voir le faucon décoller… vous voulez que je continue? C’est sans parler du ridicule scénario en trois parties du film. Moi qui pensais déjà que c’était ridicule de ramener une superarme dans le 7 (Starkiller base), là, ils en mettent TROIS dans le même film! Et ils se font TOUS péter! D’abord, y’a l’immense cuirassé du Premier Ordre, qui sous le commandement du roux idiot (Hux) se fait détruire par un bombardier. Ensuite, t’as le colossal vaisseau « boomerang » de Snoke qui se fait mettre littéralement par le croiseur de la résistance. Finalement, pendant l’assaut de Crait, quand Finn a vu le gros canon de siège et a dit « c’est comme une mini étoile noire », j’ai failli me lever et sortir de la salle de cinéma sur-le-champ. Après ça, vous me dites que Lucas avait trop exagéré avec Jar Jar Binks? J’aurais préféré voir dix Jar Jar danser en bikini dans La Menace Fantôme que cette merde! J’avais presque oublié Leia qui se prend pour Superman en volant dans le vide de l’espace. Depuis quand elle sait faire ça? Si elle est aussi douée avec la force, pourquoi est-ce qu’elle ne l’utilise pas pour sauver la résistance? C’était tellement malaisant, cette scène dans le film. Surtout que c’était une opportunité de faire une belle sortie de scène pour le personnage, ce qui aurait contribué encore plus au conflit intérieur de Kylo. Mais non, on nous fiche à la place un plan d’elle absolument ridicule. Et plus tard, plutôt que de prendre Leia pour rester dans le croiseur et sauver la résistance, le réalisateur décide de foutre madame Tumblr (Holdo) aux commandes du vaisseau pour se sacrifier. Une autre belle opportunité de ratée. Et que dire du scénario du film qui repose sur une logique inexistante? Une grosse partie du film se passe dans l’espace, avec le premier ordre à la poursuite du croiseur de la résistance. Ils n’auraient pas pu envoyer un missile ou de quoi de même? Ou passer en hyperespace pour se retrouver juste devant le croiseur? Ah oui, et pendant cette poursuite, y’a Finn et Rose qui s’en vont prendre des vacances au casino. Aucune pression. Pourquoi le premier ordre a laissé un vaisseau partir en hyperespace sans rien faire? Assez de rant aujourd’hui, je reviendrai avec plus de détails dans la seconde partie sur le scénario et ses bourdes. Mais pour conclure cette première partie, je dois dire que j’ai été extrêmement déçu. Après 35 ans d’attente (depuis l’épisode VI), le retour de Luke n’était pas celui que nous avions anticipé. Notre héros n’est plus, tout comme le potentiel de sauver cette nouvelle trilogie. Vous savez ce que ce huitième épisode m’a apporté de positif? Il m’a permis d’apprécier encore plus les épisodes de la prélogie (sacrilège) et de la trilogie originale. Des films avec une ligne directrice claire, des personnages héroïques et attachants, des scènes émotionnelles qui ont un vrai impact et des scènes métaphoriques dignes des grandes tragédies grecques. Des chefs-d’œuvre cinématographiques avec une trame sonore innovante apportant des nouveaux thèmes à chaque film, et des mondes époustouflants. Merci, Lucas.
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[Forum] [Société - Japon] Onna-bugeisha Onna-bugeisha Je vous propose un mix d'articles de wikipedia, de nautiljon # Description Dans le Japon médiéval, une onna-bugeisha est une femme combattante issue de la haute société. De nombreuses épouses, veuves, filles, et rebelles répondaient à l'appel du devoir en s'engageant dans la bataille, généralement aux côtés de samouraïs. Elles étaient membres de la classe bushi et étaient formées aux armes dans le but de protéger leur maison, leur famille, et leur honneur en temps de guerre. Elles contrastaient avec le rôle traditionnel d'« épouses au foyer » des femmes japonaises. Elles sont parfois considérées comme des samouraïs-femmes bien que ce terme ne soit en fait pas exact. Les onna-bugeisha étaient des personnes très importantes de la société. Des personnages mythiques comme l'impératrice Jingū, Tomoe Gozen, Nakano Takeko, ou Hōjō Masako étaient des onna-bugeisha qui eurent un impact significatif dans l'histoire japonaise. # Histoire Avec la fin de l'ère Heian (794-1185) s'estompe une période de remarquable stabilité, marquée par la prospérité financière et culturelle. L'époque féodale qui lui succède est marquée par de nombreux affrontements, face aux envahisseurs étrangers tout d'abord (les Mongols de Kubilaï Khan au XIIIe siècle), mais principalement entre clans de daimyô rivaux. Ces guerres civiles, qui déchirent le Japon jusqu'à sa réunification au XVIIe siècle, trouvent notamment leur origine dans la convoitise de terres couplée à un système d'héritage qui n'est pas soumis au principe de primogéniture : à la mort d'un seigneur, son domaine ne revient pas à son aîné, mais est divisé entre tous ses descendants. En outre, jusqu'aux réformes menées par Hideyoshi Toyotomi à la fin du XVIe siècle, n'importe quelle personne en mesure de se procurer un sabre et un cheval pouvait prétendre au titre de samouraï, décuplant les effectifs de cette caste guerrière. Les seigneurs daimyô et leurs vassaux se lancent dans des campagnes afin d'asseoir leur pouvoir sur des domaines de plus en plus morcelés. Cet état de guerre est entretenu par le tout nouveau type de régime militaire qui émerge au début de l'époque féodale : le bakufu de Kamakura (1185-1333). Quid des femmes dans ce contexte éminemment guerrier ? Avec l'émergence des samouraïs, le statut des femmes face à l'état de guerre est certes diminué. Pourtant, cela n'a pas toujours été le cas. Durant les périodes précédentes, si le pouvoir administratif était détenu par les hommes, les femmes s'affirmaient dans le domaine spirituel et clérical ; et notamment, sur le champs de bataille, en tant que shamanes : leur rôle était alors de prédire l'issue d'une bataille, d'apporter différentes formes de soins, ou de lancer des malédictions sur les ennemis. En outre, des recherches effectuées sur des tombeaux du IVe siècle ont permis de mettre à jour des corps de femmes en armure, entérinant l'existence d'une caste de guerrières. Ces découvertes ont pu être mises en rapport avec les récits de vie de l'impératrice Jingû, et de la reine Himiko qui vécurent au tournant du IIe et IIIe siècles. La première prit la relève de son défunt mari, l'empereur Chûai, et partit conquérir la Corée alors qu'elle était enceinte. La seconde était dite prêtresse et sorcière, et interprétait la volonté des kamis afin de diriger le pays. Avec l'époque de Kamakura et de l'installation d'un climat de guerre perpétuelle, la place des femmes au combat changea, tout en demeurant nécessaire : on distingua alors la femme « samouraï » (l'onna-bugeisha), et la femme de samouraï. Quoi que différentes, les deux combattirent pour un même but, celui de faire triompher leur clan. On retrouve chez ces femmes des valeurs fortes, retranscrites plus tard dans ce que nous connaissons aujourd'hui comme le Bushidô. L'une et l'autre étaient préparées aux arts de la guerre, que cela soit par inclination personnelle ou par nécessité d'avoir à se défendre en cas de siège. L'arme traditionnellement réservée aux femmes était le naginata, une lance terminée par une lame recourbée. À la base, cette arme était détenue par les guerriers de seconde catégorie, face à l'arc et au sabre, plus nobles. Toutefois, sa maniabilité et sa polyvalence en faisait une arme de choix entre des mains expertes, et très vite son enseignement se généralisa parmi les femmes de la caste des samouraïs. Si le pouvoir des femmes guerrières resta de mise jusqu'à la fin de l'époque de Muromachi (1333-1573), il s'amenuisa progressivement à la faveur de la montée du confucianisme qui redessina les rôles féminins et masculins au sein de la société japonaise. Notamment, en plaçant la femme dans une position inférieure à celle de son mari. Jusqu'ici, et quoique cela soit difficile à considérer, la femme japonaise médiévale jouissait d'une grande autonomie, notamment en matière de travail, mariage, sexualité et divorce. La Française de la même époque aurait difficilement pu en dire autant... Le XIXe siècle, et à plus fortes raisons la Seconde Guerre mondiale, portèrent un coup fatal à ces femmes guerrières en imprimant des standards occidentaux sur la société japonaise. La famille n'était désormais plus un clan élargi où les femmes pouvaient s'épanouir, mais un noyau restreint composé d'un père au travail, d'une mère au foyer, et d'enfants attendant de se marier ou de devenir docteur. Eh oui, le modèle de la femme soumise japonaise a moins d'un siècle et demi, et vient de chez nous. # Onna-bugeisha / épouse de samurai Les différents récits de cette époque qui nous ont été transmis marquent bien le contraste entre la femme comme victime tragique et sans défense de la guerre, et la femme guerrière qui se lance avec détermination dans la bataille : les rouleaux illustrés du Dit de Heiji montrent la mise à sac du Palais Sanjo en 1161, où l'on peut voir des dames de compagnie abattues par des samouraïs. Parallèlement, le Dit des Heike, datant de la même période, retranscrit les exploits de Tomoe Gozen, épouse et compagnon d'armes de Minamoto no Yoshinaka. Connue pour sa beauté et sa fougue, elle suivit son mari sur les champs de bataille, et notamment à la célèbre bataille d'Awazu en 1184 dont elle sortie victorieuse, à la différence de Yoshinaka qui y périt. La légende de Tomoe naquit à cette époque, où l'on raconte qu'elle brillait au combat en décapitant sans relâche ses ennemis. À la mort de son époux, elle se maria une seconde fois et eut un fils, avant de se retirer dans la province d'Echû où elle prit le voile. Être épouse de samouraï demandait parfois de mener le combat sur d'autres plans que sur le champ de bataille lui-même. En l'absence de leur mari, c'était à elles d'assurer l'intendance des forteresses, soumises à des sièges. Il s'agissait de gérer aussi bien le ravitaillement que de superviser les services d'infirmerie et de défense. Dans le Taikoki, on peut lire un hommage à femme d'Okamura Sukie, qui fit preuve de courage et de détermination dans la défense de Suemori en 1584 :« l'épouse d'Okamura était habituellement douce et réservée, c'était une femme dotée de toute la grâce qu'on aurait pu prêter à un jeune saule. Toutefois, cette valeureuse dame de cour - qui surpassait même l'estimée mère du seigneur Nobunaga – s'arma d'un naginata, et, accompagnée de deux ou trois autres personnes, patrouilla de jour comme de nuit dans le château en réprimandant sévèrement les gardes épuisés par les combats, et qui s'étaient assoupis. » # Statut Ce n'est pas seulement au combat que les femmes se sont distinguées durant la guerre. La plupart agissait comme stratèges politiques par le biais de leurs mariages. Outils de diplomatie, ces épouses de samouraïs se retrouvaient bien souvent déchirées entre leur famille, et le clan ennemi auquel elles avaient été liées par souci de trêve. Elles acquéraient plutôt alors le statut d'otage privilégiée, et étaient généralement bien mal perçues par la cour qui considérait ces éléments extérieurs comme des espionnes et des traîtres. Devenir épouse de samouraï par le biais de ces mariages arrangés plaçait ainsi la femme face au choix difficile d'être loyale envers sa famille ou son époux. Ce fut le cas pour Oichi, la plus jeune soeur du célèbre Oda Nobunaga. Celui-ci la donna en mariage à son rival, Nagamasa Asai. Quelques années plus tard, Nagamasa rompit toutefois son alliance avec Nobunaga : sans retenue, ce dernier dévasta le domaine des Asai et demanda à ce que sa soeur lui soit retournée. Nagamasa accepta, avant de mettre fin à ses jours. On raconte qu'Oichi aurait prévenu son frère des plans militaires de Nagamasa en lui faisant parvenir un sachet portebonheur crypté. outefois, toutes n'eurent pas la chance d'être épargnées par les combats. A la chute d'un château, le viol, la mise en esclavage et le meurtre étaient pratiqués sans retenue. Dans ces conditions, le suicide était l'unique possibilité restante. Chacune d'entre elles était dotée d'un tanto, une dague qui ne les quittait jamais. Si l'emploi de cette lame pouvait se faire à des fins offensifs, l'un de ses plus funestes usages était de permettre à la dame de se suicider si jamais elle se retrouvait déshonorée, et sans espoir de salut. À la différence du seppuku pratiqué par les samouraïs, le suicide des femmes s'effectuait par tanto, en s'enfonçant la lame dans la gorge. Les rudiments d'anatomie enseignés aux dames de cour leur apprenaient en quel point exact elles devaient plonger le poignard pour s'ôter correctement la vie. En attendant d'être mis à jour, l'objet était conservé sous les habits, contre la poitrine. Ainsi lorsque Hideyoshi Toyotomi enjoignit Bessho Nagaharu de se soumettre pacifiquement à Nobunaga, Nagaharu refusa et son château fut assiégé. En signe de soutient à son mari, et pour ne pas tomber entre des mains ennemis, sa femme et toutes ses dames de compagnie se donnèrent la mort. # Arme La naginata est une longue lance dotée d'une lame courbée à son sommet. Du fait de sa polyvalence et des conventions, beaucoup de femmes s'initièrent à cette arme. Sa longueur offre de grandes possibilités d'attaques à distance. Cette arme était aussi très efficace contre les maraudeurs qui attaquaient souvent à cheval. L'arc et les flèches étaient également utilisés du fait de la possibilité d'attaquer à distance. De plus, la naginata se montrait très efficace dans le combat proche. Même en considérant que les hommes étaient naturellement plus forts que les femmes, une forte femme armée d'une naginata pouvait garder à distance la plupart de ses adversaires. Durant ces situations, la force, le poids, ou l'épée ne comptaient plus. Parce qu'elle est utilisée par de nombreuses femmes légendaires, la naginata est devenue un symbole de la femme guerrière. Durant l'époque d'Edo, de nombreuses écoles de naginata furent créées à destination des femmes Tags : #societé #japon #femme #samurai Lien vers la fiche : http://ift.tt/2iLfhHT http://ift.tt/2zgosr3
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French infantry officers 'Sabre à Garde Tournante'
This is my second 'Sabre à Garde Tournante' which translates to sabre with a rotating guard, referring to the unique side bar that folds in front of the knuckle-bow when not in use.
This style of guard became popular in France around 1784 and remained fashionable until about 1800. For a short period the English also followed this trend and they can occassionally be found on 1788 Pattern light cavalry officer swords or 1786 regulation infantry officers swords. But the style faded out with the introduction of the 1796 Patterns. Interestingly Austria actually adopted the rotating guard into their regulation patterns and there it remained in use until the middle of the 19th Century.
This example has a single side guard that folds out to the outside of the grip that has been scalloped along the edge with a decorative feature that is frequently seen on these swords.
The short blade length and the single frog stud on the scabbard chape mark this as having belonged to an infantry officer of a lower rank who still marched with his men.
Stats: Overall Length - 765 mm Blade Length - 740 mm Curve - 14 mm Point of Balance - 110 mm Grip Length - 125 mm Inside Grip Length - 105 mm Weight - 610 grams
#sword#sabre#rotating guard#French military#antiques#military antiques#18th Century#napoleonic wars#French swords#Sabre a Garde Tournante
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