#Rouffach
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Soldiers of the 4th Moroccan Mountain Division pass out candy to American soldiers of the 12th U.S. Armored Division, Rouffach, France. 5 February 1945.
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So...Multigenerational (well, 3 or more executioners with the same surname in a row) post holdings, with average per individual of said family
Bouxwiller
Wees: 1644-1793, or 149 years, with an average of 23.1 year per individual
Brumath:
Rhein: 744-1704, 40 years. Not enough precise dates to determine a good average.
Goersdorf:
Hermann : 1660-1767 or 107 years, with an average of 17.8 years per individual
Gundershoffen :
Reuter: 1728-1793 or 65 years, with an average of 16.2 years per individual
Ingwiller :
Schild: 1644-1793 or 149 years, with an interuption between 1647 and 1670 by Jean Valentin Wees. An average of 25.2 years per individual.
Marckolsheim :
Bengler: 1670-1740 or 70 years. No determinable average.
Saverne:
Rhein: 1710-1793 or 83 years, with an average of 27.7 years per individual
Strasbourg :
Grosholtz : 1670-1785 or 115 years, with an interim by Jean-George Frank that lasted from 1724 to 1756 (32 years). An average of 16.2 years per individual.
Maegert : 1785-1749 or 64 years, with an average of 21.3 years per individual.
Colmar:
Ginter: 1716 to 1736 or 20 years, with an average of 6.7 per individual
Vollmar: 1747-1833 or 86 years, with an average of 21.5 years per individual
Ensisheim :
Mengis: 1671-1736 or 65 years, with an average of 16.2 years per individual.
Ribeauvillé :
Burck: 1697-1793, or 96 years, with an average of 24 years per individual
Rouffach :
Ginter: 1600-1733, or 133 years, with an interim of about 1 year (1653) that was non-exclusive, and another one by Jean Fuend between 1649 and 1652. An average of 17.1 year per individual if my calculations are correct.
Traubach:
Buckward: 1686-1767, or 81 years. An average of 9.3 years per individual.
Bordeaux:
Peyrussan: 1780-1819, or 39 years. With an average of 9.7 years.
Dax:
Peyrussan: 1798-1847 or 49 years years with an average of 16 years per individual.
Cantal:
Foyez : 1761-1795 or 34 years, with an average of 11.3 years per individual.
Le-Puy-en-Velay :
Hermann: 1802-1850 or 48 years, with an average of 16 years per individual.
Caen:
Jouenne: 1621-1840, or 219 years with an interim by Nicolas Ferey between 1727-1738 and another one Nicolas-François Ferey between 1761-1763. The average is of 23.8 years.
Saint-Lô :
Martin: 1730-1770, or 50 years, with an average of 16.7 years per individual.
Alençon :
Bouëtard: 1731-1793 or 62 years. The dates are too imprecise for an average.
Mortagne-au-Perche :
Durand: 1730-1786 or 56 years, with an average of 14 years per individual.
Nevers:
Étienne : 1815-1845 to 40 years, with an average of 13.3 years per individual.
Châlon-sur-Saône :
Champion : 1690-1750 or 60 years, with an average of 15 years per individual.
Quimper :
Le Glaouer : 1712-1804 or 92 years, with an average of 23 years per individual.
Vannes :
Prudhommes : 1753-1813 or 60 years with an interim between 1764 and 1770, with an average of 23 years per individual (due to post sharing)
That is all I have time for today, but I hope it helps you realise how many rivals an XVIIIth century executioner could have. Because I haven't counted the younger sibblings who went to explore more hostile cities in this list, and I also excluded non-dynastic executioners.
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Rouffach en Alsace 🏠
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Elections législatives 2024, 3ème : pas de bulletin de vote Matthieu Bloch dans des enveloppes électorales
Matthieu Bloch, candidat Républicains de droite et Rassemblement National aux Elections législatives 2024 dans la 3ème circonscription du Doubs, communique : "J'ai reçu des centaines de témoignages de citoyens de la 3ème circonscription m'indiquant que le bulletin de vote à mon nom n'a pas été distribué avec la profession de foi dans les enveloppes officielles comme la loi l'impose. Pourtant, 142 221 bulletins ont été livrés par notre imprimeur le 18 juin dernier à la société 3ma à Rouffach, après validation de la commission de propagande. Cette défaillance de distribution entraîne de facto une rupture d'égalité entre les candidats. Il est indispensable que nos électeurs aient connaissance de ce dysfonctionnement et qu'ils utilisent impérativement le bulletin de vote à mon nom disponible dans leurs bureaux de vote respectifs, et ne surtout pas utiliser la profession de foi reçue dans l'enveloppe officielle". Retrouvez l'ensemble des candidats de la 3ème circonscription du Doubs sur "Elections législatives 2024 : les 5 candidats sur la 3ème circonscription du Doubs". Read the full article
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Steenfabriek in Rouffach
Zeker weten doen we het niet , maar ik vermoed dat het een steenfabriek is geweest. Op verschillende plaatsen hebben we bouwblokken en lateien aangetroffen. En in combinatie met een enorme oven”straat” zou dit een wel een match kunnen zijn. Mocht iemand andere ideeën hierover hebben, dan graag in een comment een reactie!
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Muré « Gewürztraminer Macération 2020 » Natural Orange Wine from Rouffach, Alsace!
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本日20日は「ポイント2倍DAY!!」
毎月20日・30日はポイント2倍デーです🌟
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1650年創業のミューレ家の12代目の現当主、ヴェロニクとトーマス・ミューレが10年の歳月を掛けて完成させた意欲作「ゲヴュルツトラミネール・マセラシオン」が数量限定で入荷しました‼️
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アンバーに淡いピンクが混じる色調🧡
やさしいアンズやスパイス感!
懐かしい純露を思い出す紅茶の香りと蜜のように甘い粘性のある液体♪
タンニンはなく、滑らかで美しい魅惑的な余韻💕
メチャメチャ美味しい、完成度の高い絶品オレンジワインです✨✨
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Muré ミューレ
Gewürztraminer Macération 2020
ゲヴュルツトラミネール・マセラシオン
ゲヴュルツトラミネール100%
樹齢40年、10日間果皮浸漬
シュール・リーにて熟成
残糖12g/L・酸度5.2g/L
SO2無添加
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THE GRAPES WINE SHOP
ザ・グレ��プス ワインショップ
1-6-9 Sendagaya, Shibuya-ku, Tokyo
東京都渋谷区千駄ヶ谷1-6-9川久保ビル1F
火〜日 14:00-19:00
定休日: 月曜日、第1・第3日曜日
CLOSED on Mondays, 1st & 3rd Sundays.
TEL 03-6337-6042
www.thegrapes.tokyo
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Ancienne pépinière partiellement détruite, #rouffach, France. @hdr_addiction @longexpo_addiction @allbeauty_addiction @travelworld_addiction @all_animals_addiction @streetart_addiction @abandoned_addiction @bw_addiction @all_bokeh_addiction @splash_addiction #hdr_addiction #photography #photooftheday #hdr #travel #photographer #travelworld_addiction #streetart_addiction #picoftheday #artistsoninstagram #bestplacestogo #travelanddestinations #theprettycities #travellingthroughtheworld #travel_drops #mybestcityshots #lightbeamz #lights #light #nightshots #nightshoot #nightshooterz #nightshooters #nightlights #best_worldplaces #kings_hdr #nightphotography #cloudy #curvestyle (à Rouffach) https://www.instagram.com/p/B8ldTUxo57t/?igshid=1runktr9jsonv
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Two smiling French soldiers fill the hands of American soldiers with candy, in Rouffach, France, after the closing of the Colmar pocket
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Croissant Nature
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Jacques Cormier
« l’enfant chéri de la victoire »
Jacques CORMIER est né à Cosne sur Loire le 21 mai 1925. Il nous a quittés le 30 mai 2020 en un temps où la Covid bouleversait les cérémonies d’obsèques. Il appartient à une grande famille cosnoise installée dans cette ville depuis plus de deux siècles.
On le dit parfois, une femme ou un homme de caractère sont le plus souvent issus d’une famille de caractère. Cela se vérifie si bien avec Jacques Cormier. Le père de Jacques, Georges CORMIER, eut beaucoup d’influence sur l’éducation et l’orientation de Jacques. Ainsi et par exemple, ce dernier me dit combien, à 6 ans, la visite de l’Exposition coloniale de 1931, le frappa profondément, constitua son premier émerveillement d’enfant et généra ses premiers rêves de découvertes.
Après la période très troublée et dangereuse du conflit mondial, son choix de vie est fait. C’est celui d’un jeune patriote prioritairement attaché à la France : il quitte Cosne en septembre 1944 pour aller préparer le concours de Saint-Cyr au lycée Saint-Louis à Paris, Paris libéré depuis 2 semaines. Quelques mois après, avide d’action et d’engagement en faveur de la Défense de la Nation et sans attendre le résultat du concours de Saint-Cyr, il s’engage pour 8 ans. Nommé au grade de sergent le 16 mars 1946, il est affecté au 99ème Régiment d’Infanterie, le 99ème RIA, à Bourg St Maurice dont il est rapidement détaché à l’École des Cadres de Rouffach où, pour la première fois, il va faire la rencontre du Général de LATTRE de TASSIGNY. L’histoire nous rappelle que ce Régiment, le 99ème RIA, fut créé, sous le nom de « Régiment des Deux Ponts », par LOUIS XV en 1757, qu’il fut très engagé dans la terrible Guerre de Sept Ans avant de constituer une importante partie du Corps expéditionnaire français qui, avec La FAYETTE et sous les ordres du comte de ROCHAMBEAU, lutta pour l’indépendance américaine, connut plusieurs victoires en Virginie associé aux troupes de Résistants de Georges WASHINGTON jusqu’à la très forte part prise dans la victoire décisive de Yorktown en 1781, victoire qui marqua le début de l’indépendance américaine.
Dans cette période, il est très marqué par la rigueur et la chaleur du Général de LATTRE de TASSIGNY. « Le Roi Jean », toujours très près de ses lieutenants et de ses capitaines, tient à éduquer les jeunes officiers dans tous les domaines : le maniement d’armes et la stratégie bien sûr mais aussi l’hygiène, le respect des autres, la capacité d’écoute, l’aptitude à la synthèse, etc. Bien que toujours très modeste, Jacques gardera la fierté d’avoir été promu sous- lieutenant en octobre 1947 par ce chef de guerre hors pair. A la sortie de Saint-Cyr-Coëtquidan, en 1947 il fait le choix de l’Infanterie Coloniale et est affecté au 1er Bataillon Colonial de Commandos Parachutistes comme il le souhaitait. Il est accueilli par le Colonel MASSU qu’il servira plus tard en opérations. Sa connaissance du saut se perfectionne à l’École des Transports Aéroportés de Pau sur Dakota et JU 52. Il y reçoit le Brevet n° 28 646 le 21 janv. 1949 tandis qu’il se spécialise dans les combats d’infanterie à l’École d’application près du Havre. Toutes ces formations montrent combien est réellement vécue la devise napoléonienne de l’École de Saint-Cyr : « LES SAINT-CYRIENS S’INSTRUISENT POUR VAINCRE ».
Jacques est nommé chef de section au 1er Bataillon Colonial de Commandos Parachutistes. Avec ce premier commandement, il continue de préparer méticuleusement son départ vers l’Indochine : à côté des arts du combat, renforts des qualités humaines, de la morale, de l’exemplarité, de la rigueur font fortement partie de cette préparation du lieutenant Jacques CORMIER. Le 15 novembre, il embarque à Marseille sur le Pasteur et débarque le 7 décembre au Cap St-Jean tout au sud de la Cochinchine, près de Saigon. Il est affecté au 1er Bataillon Colonial de Commandos Parachutistes qui devient le 1er Groupement de Commandos Coloniaux Parachutistes puis le 1er Bataillon de Parachutistes Coloniaux. Une dizaine de Saint-Cyrien de la même promotion se retrouve dans les Commandos Parachutistes. Très peu d’années plus tard, il sera le seul survivant valide, ses camarades étant morts au combat, ou très gravement blessés ou prisonniers des Viets, dans les pires conditions sanitaires et psychologiques.
A son arrivée en Cochinchine, son Bataillon prend ses quartiers à 20 km au nord de Saïgon. Logé chez l’habitant, il communique beaucoup avec les familles qui accueillent ses hommes. Puis, en mars 1950, le Bataillon fait mouvement vers la région de Pursat au Cambodge et conduit des opérations très dangereuses au cours desquelles le capitaine ROGER, son chef direct est tué comme de très nombreux membres de son Commando. C’est dans les très difficiles conditions de ces combats meurtriers menés face à des troupes très entrainées, très renseignées et très efficacement armées et ravitaillées par la Russie de STALINE et la Chine de MAO TSE TOUNG qu’il me dit mesurer très vite, dans l’âpreté et la cruauté des combats, que l’enjeu n’était pas, comme on feignait de le croire ou de le faire croire en France, la conservation des plantations d’hévéas de l’entreprise MICHELIN et la protection d’autres richesses économiques de l’Indochine, mais une lutte à mort pour arrêter, dans cette partie du monde, la prolifération du communisme déjà attaché, localement, à tuer tous les opposants du Sud-Est Asiatique !
En août 1950, il est affecté à la 1ère Compagnie Indochinoise Parachutiste composée de vietnamiens et de cambodgiens. Dans cette Compagnie, Jacques prend le commandement du 3ème Commando Cambodgien qui fut en combat permanent. Son efficace commandement et plusieurs victoires contre les Viets lui vaudront, dès novembre, la première de ses six citations et l’attribution de la Croix de Guerre des Théâtres d’Opérations Extérieures avec Étoile d’argent. Il a 25 ans. Jacques me dit combien la coûteuse défaite de la Route Coloniale 4, la « RC4 », faisant dans notre armé 5 000 tués ou gravement blessés et 3 000 prisonniers dont plus de 2 000 ne reviendront pas de leur captivité, jointe au très mauvais climat entretenu par trop de médias et de responsables politiques indignes en métropole, fut un tournant dans la guerre.
Alors que le moral de l’armée et de la population déclinait, heureusement, l’arrivée du Général de LATTRE de TASSIGNY fut un électrochoc très positif. Les effets furent immédiats dans les batailles de Vinh Yên et de Mao Khê. Malheureusement ce puissant électrochoc dû à la forte personnalité du Général de LATTRE de TASSIGNY allait être interrompu par son décès.
C’est au cours des combats de septembre à décembre 1951 que ses hommes ont surnommé Jacques CORMIER « l’enfant chéri de la victoire » (ECV). Très présent dans ces combats, sautant le plus souvent en tête de sa compagnie, Jacques CORMIER s’est particulièrement distingué à Nghia Lo, à Hoa-Binh et dans les furieuses batailles de la Rivière Noire. Il se vit décerner, le 19 novembre 1951, la Croix de Guerre avec palme par le Général de LATTRE de TASSIGNY, très épuisé par son cancer avancé mais au visage et aux propos toujours aussi lumineux, me dit Jacques. Quelques jours avant, le 16 novembre, il avait été convoqué, seul, par le général SALAN, futur commandant en chef, afin que Jacques lui présente les actions victorieuses récentes de son unité, actions dont le Général SALAN avait entendu parler dès son arrivée à l’État-major. En décembre 1951, le bataillon de Jacques sera très engagé, avec de très grosses pertes dans de cruelles batailles dont, très marqué par le souvenir du grand nombre de camarades tombés autour de lui, il ne me parla jamais.
Aujourd’hui, sept décennies plus tard, respectons sa volonté de silence et inclinons nous devant le souvenir de tous ses Compagnons morts pour la France dans cette période. A la suite de sa citation à l’ordre de l’armée, le 25 janvier 1952, Jean LETOURNEAU, ministre de la France d’Outre- Mer dans le gouvernement de Georges BIDAULT et le Général SALAN, nouveau commandant en chef, lui remettent la Croix de Guerre des Théâtres d’Opérations Extérieures avec une nouvelle palme et le font Chevalier dans l’Ordre de la Légion d’Honneur... Jacques a 26 ans... je devrais dire n’a que 26 ans ! En février 1952, il est affecté à Paris et part le cœur plein d’émotion tant il dit mesurer sa grande chance : la plupart de ses compagnons embarqués avec lui sur le Pasteur en 1949 sont morts ou prisonniers ou gravement invalides. Le voyage aérien est long, pannes au décollage et changement d’avion, puis escales à Calcutta, à Karachi, à Beyrouth pour toucher Orly huit jours plus tard. Huit jours de profondes réflexions sur cette guerre, sur ses chefs les plus charismatiques, sur son attachement à la religion mais aussi sur la position de trop de Français si peu respectueux de tous ces morts pour notre pays, Français que le jeune parachutiste allait devoir croiser en métropole.
Il a trois mois de permission pour retrouver sa chère famille qui l’a toujours fortement soutenu. Cette permission lui permettra aussi de retrouver Monique d’ESPARBES rencontrée à Cosne avant son départ en Indochine. Durant cette permission, il tint aussi à visiter des familles de compagnons d’armes disparus ou gravement blessés. Puis le lieutenant CORMIER rejoint son unité, le 1er Bataillon de Parachutistes Coloniaux, défile à leur tête aux Champs-Élysées pour le 14 juillet 1952 avant d’être désigné pour une formation au Centre d’��tudes Asiatiques et Africaines. Il y perfectionnera ainsi sa connaissance du vietnamien.
En avril 1953, il embarque à Marseille sur le Kerguelen pour Saigon où il est mis à disposition du Chef de la Mission Militaire Française près le Gouverneur Royal Laotien avec, pour première mission, en position « hors cadres », celle de rebâtir le 1er Bataillon de Parachutistes Laotiens dont les soldats Laotiens ont, pour la plupart, été tués ou se sont enfuis lors d’une grande offensive vietminh.Le commandant et les officiers français de cette Unité quasi-anéantie ont tous été tués ou portés disparus à l’exception d’un seul sous-officier gravement blessé et miraculeusement rescapé. Jacques dont le charisme est connu retrouve quelques officiers français volontaires pour l’accompagner et accueille un grand nombre de volontaires laotiens au camp de Chinaïmo (la « colline du grillon géant »). Le 1er Bataillon de Parachutistes Laotiens, remis en ordre de marche par Jacques, conduit des opérations dans le Nord Laos sur des terrains très accidentés entre les sommets des montagnes et la rivière Nam Hoie qui coule vers le Mékong depuis la région de Diên Biên Phu, à la frontière du Laos et du Tonkin. Son remarquable comportement lui vaudra une nouvelle citation avec attribution sur sa Croix de Guerre d’une étoile de Bronze Jacques CORMIER m’a expliqué que le Royaume du Laos et la France avaient un accord qui contraignait la France à défendre le territoire laotien en cas d’invasion. Le choix du camp de Diên Biên Phu, situé dans une position si difficile à défendre, doit beaucoup à cet accord car cette position commande l’accès au Nord Laos.
Alors qu’à Paris et Genève commençaient les discussions sur l’avenir de l’Indochine, GIAP, le commandant des forces vietminh, comprend l’importance militaire et surtout politique de ce combat. Il va y engager, avec l’aide considérablement accrue de la Chine de MAO TSE TOUNG, toutes ses forces militaires mais aussi toutes ses capacités d’intendance et celles de ses alliés chinois...Malgré l’importante aide américaine à l’armée française en avions et armes, aide initialement négociée par le Général de LATTRE de TASSIGNY deux ans plus tôt, l’Histoire nous a dit ce qui résulta de cette bataille de Diên Biên Phu. Pour en rester aux seuls parachutistes engagés dans l’Opération « Castor », les forces commandées par le Général GILLES comprenaient le 6ème BPC de Marcel BIGEARD, le 1er BPC de SOUQUET et le 2ème Régiment de Chasseurs Parachutistes de BRÉCHIGNAC. En appui, le 1er Bataillon de Parachutistes Laotiens commandé par Jacques CORMIER et trois autres Bataillons, avaient en charge de contribuer à soulager les assiégés de Diên Biên Phu en conduisant des opérations de dégagement et de harcèlement. Il en fut par exemple ainsi, dans la vallée de Nam Ou, de l’Opération « Condor » qui avait pour but de progresser, à partir de Muong Khoua vers Diên Bien Phu pour s’efforcer d’attirer vers eux une partie des forces ennemies qui étranglaient la garnison française de plus en plus affaiblie. Mais, me dit Jacques, bien qu’arrivées au contact des forces françaises encerclées à Diên Biên Phu, les forces de ces quatre Bataillons, très affaiblies en nombre par leurs actions de harcèlement, n’étaient pas à l’échelle. La chute de Diên Biên Phu, quelques semaines plus tard, le 8 mai 1954, allait marquer la fin de la guerre d’Indochine.
En fait, Diên Bien Phu a été, historiquement et depuis des siècles, la porte habituelle des invasions venues de Chine. Aussi, empêcher les Viets de marcher vers la capitale est un des objectifs du Plan NAVARRE, Plan dont la réussite supposait des renforts humains importants. Le Général NAVARRE est allé à Paris les demander. Ces renforts lui ont été fermement promis par le gouvernement mais ils n’arriveront jamais...
Pour Jacques, profondément patriote, la grandeur et le rayonnement de la France étaient essentiels. Aussi sa déception était cruelle et sa tristesse très profonde. Cette tristesse s’ajoutait à une autre tout aussi profonde, celle que causa l’annonce du décès de son père, grand patriote, annonce portée par un courrier au campement de son Bataillon en avril 1954, en pleine bataille de Diên Biên Phu. Pour services exceptionnels rendus au Royaume du Laos, le Roi SISAVANG VONG introduira le jeune lieutenant Jacques CORMIER dans « l’Ordre Royal du Million d’Éléphants ». L’objectif de cet Ordre créé au début du XXème siècle était, je cite, « d’honorer les hautes personnalités ayant rendu des services exceptionnels au Royaume du Laos ». Je cite le texte accompagnant cette nomination car il est chargé de plusieurs symboles forts pour les Laotiens, « la cérémonie de décoration sera faite le douzième jour de la lune croissante du douzième mois de l’année du cheval» c'est-à-dire, pour nous, le 22 novembre 1954.
Après trois mois de pause oh combien méritée, il est affecté à Bayonne mais détaché à Paris au Centre d’Études Asiatiques et Africaines où il suit, de mars à juin, la formation de la section Afrique du Nord et perfectionne sa connaissance de la langue arabe. Puis il est affecté au 2ème Bataillon de Parachutistes Coloniaux à Marrakech.Tandis que ce Bataillon devient le 6ème Régiment de Parachutistes Coloniaux, il gagne ses galons de capitaine dans les durs combats du Rif marocain en novembre 1955.Son régiment fait ensuite route vers l’Algérie, il débarque à Alger le 11 aout 1957. Après un mois au siège de l’Infanterie de Marine, il devient, à partir d’octobre, l’adjoint du Commandant de la Région de Blida. C’est dans cette fonction qu’il reçoit, le 6 septembre 1958, sa sixième citation du Général commandant le Corps d’armée d’Alger.
Permettez-moi de vous en écrire un extrait montrant bien, à la fois, toutes les qualités de combattant stratège et toutes les qualités humaines et morales de Jacques CORMIER :
« Officier de très grande valeur qui a fait preuve de belles qualités opérationnelles, d’une intelligence vive, d’un sens profond de l’humain et d’une activité inlassable. Il s’est particulièrement distingué en juillet, août et septembre 1957 lors des Opérations NC 15 dans les djebels d’Aïn-Sefra et de Djelfa et encore, plus particulièrement les 13 et 14 septembre à Bou-Hanndes ».
Le Général commandant le Corps d’armée d’Alger poursuit sa citation en disant
« Depuis octobre, dans la Région de Blida, grâce à son sens aigu de l’organisation, il a remarquablement conduit de pair la lutte anti-terroriste et l’action psychologique. Ainsi, il a doublement réussi la destruction de l’infrastructure rebelle de Blida et, dans le même temps, obtenu des résultats humains régionalement fortement appréciés car se traduisant pratiquement par la cessation des attentats et par l’amélioration des relations entre les français de souche et les français d’origine musulmane comme le montre, à titre d’exemple parmi d’autres, la création par lui d’un foyer sportif très largement ouvert aux jeunes musulmans et actuellement en plein essor. »Cette sixième citation comporte l’attribution, le 6 septembre 1958, de la Croix de la Valeur Militaire avec Étoile d’argent. 6 A la suite du Concours 1959 il est, début 1960, admis dans la 21ème promotion de l’École d’État-Major (Journal Officiel du 28 décembre 1959). Diplômé d’État-Major, il arrive, en mission spéciale, à Madagascar, jeune République indépendante, pour être mis à disposition de l’armée malgache en tant que Conseiller technique du Commandant du 1er Régiment d’Infanterie de l’Armée Nationale Malgache, régiment en cours de constitution. Particulièrement apprécié pour son efficacité et son grand sens humain, il est ensuite et très vite affecté, comme Conseiller pour les affaires militaires, à l’État-major particulier du premier Président de la République Malgache, Philibert TSIRANANA.
Jacques CORMIER est promu au grade de Chef de Bataillon, c'est-à-dire Commandant, par décret du 29 juin 1963. Il vient d’avoir 38 ans. Il rentre en France et est admissible à l’ÉCOLE SUPERIEURE DE LA GUERRE à la suite des épreuves écrites du Concours d’Admission de 1965 (Journal Officiel n°37 du 13 février 1965, page 1253). Le 21 septembre 1966, dans la cour des Invalides, Jacques CORMIER, 41 ans, est élevé au Grade d’Officier dans l’Ordre de la Légion d’Honneur par le Général de Corps d’Armée Georges CANONNE. Il est ensuite affecté à l’État- Major de la 1ère Région Militaire le 31 décembre 1966 avant d’être admis, à sa demande, à la retraite le 31 décembre 1968 à 43 ans.
Il poursuit ensuite une carrière industrielle à Paris au sein d’une grande entreprise française durant 20 ans. Ceux qui ont bien connu Jacques savent combien étaient grandes ses qualités humaines, ses capacités d’écoute, sa bonté, son attachement aux valeurs essentielles ou encore sa générosité. Parmi ses qualités humaines, on doit aussi citer son goût et sa capacité à communiquer, sa connaissance de l’anglais, de l’allemand, de l’annamite et de l’arabe contribuant fortement à l’efficacité de son action dans ses différents postes. Aucun n’oubliera non plus sa très grande modestie, son humour et, plus largement, sa très grande intelligence.
Eyquem d'Esparbès
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La cigogne perchée sur l'Ancienne Halle aux Blés . La croyance populaire lui attribue le don de porter bonheur à la maison où il fait son nid, et de la protéger contre la foudre. (à Rouffach) https://www.instagram.com/p/CQypKFqgRY0/?utm_medium=tumblr
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La colectividad europea de Alsacia
Alsacia es una región histórica en el noreste de Francia que limita con Alemania y Suiza . Desde el 1 de enero de 2016, forma parte de la región administrativa de Grand Est. La ciudad más grande de Alsacia es Estrasburgo, la segunda más grande es Mulhouse. en la prefectura suprema del Alto Rin, la tercera es Colmar, es esa misma prefectura. Alsacia es también una región histórica de Francia, que una vez incluyó el territorio de Belfort.
En Estrasburgo y Colmar, nos encontramos con dos ciudades de "cuento de hadas": una "pequeña Francia" en una y una "pequeña Venecia " en la otra. Ambas ciudades son consideradas una de las más bellas de Europa.
Además, el número de ser de los pueblos “franceses” más bellos, en términos de densidad de belleza aquí se sale de la escala en comparación con muchas otras regiones. Donde quiera que vaya, le están esperando estas antiguas calles estrechas, pintorescas casas de entramado de madera multicolores, deliciosos vinos y flores locales, flores, flores y más flores.
10 motivos para vivir Alsacia
Alsacia es un lugar para visitar, pero por si no está convencido, aquí tiene una lista de 10 motivos para poner rumbo a Alsacia en sus próximas vacaciones:
● Un cambio de escenario. Debido a su ubicación en el centro de Europa y los eventos históricos únicos, Alsacia puede llamarse una región multicultural, conservando su originalidad ... ¡Aquí los huéspedes disfrutarán de un cambio de escenario!
● Disfrute del aire fresco en el corazón del área protegida. La región limita con el Rin y tiene 2 reservas regionales (PNR des Ballons des Vosges y PNR des Vosges du Nord, reconocida por la UNESCO como la primera reserva internacional europea), 21 áreas protegidas y numerosas bases para el ecoturismo.
● Una visita a 3 ciudades alsacianas únicas con un rico patrimonio arquitectónico: Estrasburgo, la encarnación del espíritu europeo, Colmar, la ciudad del romance, Mulhouse, la capital europea de los museos técnicos.
● Degustación de cocina gourmet de terruño. En Alsacia encontrará el grupo más grande de restaurantes marcados por estrellas: esta región cuenta con una cocina inigualable: foie gras, pasteles, quesos y tarta flambeada que harán las delicias de los gourmets más exigentes.
● Pruebe los vinos de élite Grand Cru mientras camina por la famosa Ruta del Vino Alsaciano, una ruta de 180 km que atraviesa viñedos y pueblos pintorescos donde puede probar 7 variedades de uvas alsacianas.
● Conozca su larga historia. Alsacia, una región de arte y cultura, puede sorprenderlo con numerosos museos y atracciones: iglesias, fortalezas medievales, incluido el Alto Koenigsburg, así como la ciudad de Nef Briesach, clasificada por la UNESCO como Patrimonio de la Humanidad por la UNESCO junto con el Monte Saint-Odile.
● Dé un paseo por las ciudades florecientes y los pueblos pintorescos con sus características casas de entramado de madera, calles estrechas y balcones cubiertos de geranios, y descubra las numerosas comunas alsacianas galardonadas como los pueblos más bonitos de Francia ("Los pueblos más bellos de Francia"), como Ethische, Unavir Desempaquetar, Riquewear, etc.
● Reviva momentos históricos en la actualidad, mire con sus propios ojos los mejores monumentos históricos, como el Mémorial d’Alsace Moselle y el Centro Europeo para Prisioneros en el Exilio (Centre Européen du Résistant Déporté), que reflejan el rico pasado histórico de la región.
● ¡Obtenga un impulso de vigor! En Alsacia, encontrará muchas actividades al aire libre: 14,000 km de senderos señalizados a través del macizo de los Vosgos, 11 estaciones de esquí, 1,350 km de rutas en bicicleta, al menos 12 clubes de golf, numerosos parques de atracciones y parques de atracciones, etc.
● Organice unas vacaciones. Independientemente de la temporada que sea, en Alsacia encontrará un programa a gran escala de fiestas y eventos: ferias del vino, ferias de artesanías, conciertos, exposiciones y, por supuesto, la Navidad tradicional en Alsacia ... ¡para todas las edades y para todos los gustos!
Pero si hay algo que no puede perderse de todo esto que le hemos descrito es lo siguiente, y por ese motivo, se lo detallamos con más precisión
Ruta del Vino de Alsacia (La Route des Vins d'Alsace)
El principal atractivo de Alsacia son sus hermosos viñedos. Es aquí donde se hacen algunos de los mejores vinos blancos: Gewurztraminer picante y Muscat delicadamente dulce, refrescante Riesling y Pinot Blanc, cada vino a su manera combina perfectamente con tradicionales platos abundantes y deliciosos. Aquí también se habla de Cremant d'Alsace: magníficos vinos espumosos, sólo superados por el champán en popularidad. Las colinas con viñedos se vuelven especialmente hermosas en el otoño, cuando el follaje es dorado y las uvas se vierten con jugo dulce. Puede probar el producto terminado en numerosas bodegas, muchas dispersas a lo largo de Wine Road .
Alsacia es la más pequeña de todas las regiones de Francia (con la excepción de las islas ), pero al mismo tiempo es la tercera en densidad de población, la cuarta en riqueza y la tasa de desempleo más baja.
¿Cuándo es el mejor momento para
visitar Alsacia
?
Alsacia es una región peculiar de Francia, y es que es hermosa en casi cualquier temporada. Desde finales de noviembre hasta el año nuevo, le esperan mercados navideños y pequeñas ciudades y pueblos decorados con luces. En febrero, los carnavales se llevan a cabo en muchos lugares aquí. Desde abril, el clima es bastante cálido y soleado, interrumpido por alguna refrescante lluvia primaveral, por lo que es agradable viajar por los pueblos. Desde mayo, los viñedos ya se han vuelto verdes, por lo que la naturaleza se vuelve hermosa, encaminándose hacia el verano. El verano no es excesivamente caluroso en Alsacia, así que sentarse en la mesa al aire libre del restaurante mientras disfruta de un frío Cremant d'Alsace o un refrescante riesling es un placer. En octubre, las colinas con viñedos comienzan a desbordarse de oro, agregando un cierto encanto a las bellezas locales.
La ruta
Alsacia es famosa en todo el mundo por sus excelentes vinos, en su mayoría blancos. Numerosos viñedos y bodegas se extienden a lo largo del camino de norte a sur. Los castillos medievales y las casas con entramado de madera del Renacimiento, decoradas con flores, en los pintorescos pueblos ganaron gran fama por esta ruta. En 1953, la ruta del vino de Alsacia fue declarada oficialmente ruta turística.
El "camino del vino" de Alsacia (Alsace Route des Vins) se extiende por unos 170 km, desde el pueblo de Marlenheim hasta Thann. Unos 1000 enólogos lo esperan en el camino, donde podrá degustar excelentes vinos alsacianos. El camino también incluye una sección separada alrededor de Wissembourg, en el norte de Alsacia.
Pueblos y ciudades a lo largo de la ruta del vino de Alsacia
En orden de norte a sur de Alsacia
Obernai
Chatenois
Bergheim
Ribeauvillé
Hunawihr
Riiquewihr
Colmar (ruta del vino de Colmar)
Turckheim (Grand Cru)
Kaysersberg
Ammerschwihr (Grand Cru)
Eguisheim
Rouffach
Guebwiller (3 Grand Cru)
Soultz (4 Grand Cru, Castillo de Dantes)
Cernay
Thann
Muchos de los pueblos a lo largo de la ruta del vino de Alsacia están incluidos en la asociación de los pueblos más bellos de Francia . En general, están incluidos en los 10 lugares más bellos de Alsacia. Por lo tanto, no sólo puede disfrutar de los magníficos vinos y crepes alsacianos, sino también admirar las fabulosas casas, habiendo comido suficientes platos tradicionales alsacianos. Y ahora que ya conoce un poco más de esta encantadora región, brindemos por unas prontas vacaciones.
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