#Période Gupta
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Empire Gupta
L'empire Gupta s'étendait sur le nord, le centre et certaines parties du sud de l'Inde entre 320 et 550 de notre ère. Cette période est réputée pour ses réalisations dans les domaines des arts, de l'architecture, des sciences, de la religion et de la philosophie. Chandragupta Ier (r. d'environ 320 à 335 de notre ère) commença une expansion rapide de l'empire Gupta et s'imposa très vite en tant que premier souverain de l'empire. Il marqua la fin de 500 ans de domination des puissances provinciales et de l'inquiétude qui en avait résulté, domination commencée avec la chute des Mauryas. Plus important encore, il inaugura une période de prospérité et de croissance générale qui se poursuivit pendant les deux siècles et demi suivants et qui est connue comme un "âge d'or" dans l'histoire de l'Inde. Mais la graine de l'empire avait été semée au moins deux générations plus tôt, lorsque Sri Gupta, qui n'était alors qu'un monarque régional, avait donné le coup d'envoi des jours de gloire de cette puissante dynastie vers 240 de notre ère.
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SUNIL GUPTA – CHRISTOPHER STREET, 1976
Artiste photographe acclamé dans le monde entier, Sunil Gupta est issu de cette génération prolifique de la diaspora indienne qui est apparue sur la scène artistique du Royaume-Uni dans les années 80. Par son travail, il défie les stéréotypes et questionne les convictions. Il explore les problèmes de race, genre et sexualité ainsi que les questions qui en découlent : culture, frontière et identité. Pendant ses études à la New School de New York, sous l’égide de la légendaire Lisette Model, Sunil Gupta passait ses week-ends à se balader sur Christopher Street, son appareil photo à la main. C’était une période enivrante, après les émeutes Stonewall et avant l’apparition du SIDA, dans laquelle le jeune Gupta et ses amis créèrent un espace public homosexuel jamais vu auparavant. “Je me suis lancé dans la photographie au début des années 1970, explique le photographe. Ce qui n’était au départ qu’un simple hobby a rapidement trouvé sa raison d’être dans le mouvement naissant de libération homosexuelle, en documentant les marches pour les droits des homosexuels ainsi que la scène gay en plein essor. En rétrospective, ces images sont devenues à la fois nostalgiques et emblématiques d’un moment très important de mon histoire personnelle.” Publié par les éditions britanniques Stanley / Barker, Christopher Street, 1976 présente une sélection de ces clichés monochromes, véritable capsule temporelle d’une époque révolue, et témoignage unique de l’identité gay américaine. Le livre de 100 pages, édité à 1000 exemplaires avec sa reliure spirale métallique, est maintenant disponible sur la boutique en ligne des éditions Stanley / Barker.
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Découvrez les merveilles de l’Inde
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Auteur : Em / Fotolia.com
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Circuit « Du Rajasthan au Kerala »
Partez à l’aventure au pays des mille couleurs, imprégnez-vous de l’atmosphère de Delhi et admirez le somptueux Taj Mahal à Agra. Puis, partez en direction du Rajasthan et visitez les somptueuses villes de Jaisalmer et Jodhpur. Vivifiez-vous au contact de l’air pur du Kerala en vous baladant dans les plantations de thé, et éblouissez-vous à la vue des merveilleuses chutes d’Athirapally. Pour finir en beauté, naviguez sur les Backwaters, célèbres lagunes aux eaux saumâtres.
Circuit « Le pays aux mille couleurs »
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VIH : le "patient de Londres", deuxième cas de rémission durable après une greffe de moelle osseuse
Un nouveau cas de rémission durable d'une infection par le VIH a été observé chez un homme séropositif traité pour un lymphome de Hodgkin par une greffe allogénique de cellules souches hématopoïétiques issues d'un donneur homozygote pour la mutation delta32 sur le gène du corécepteur CCR5, a-t-on appris mardi.
Surnommé "patient de Londres" en référence au "patient de Berlin", dont le cas avait été rapporté en 2008 (cf dépêche du 13/11/2008 à 10:47 et dépêche du 16/12/2010 à 14:30), cet homme était toujours en rémission de son infection par le VIH après 18 mois sans traitement antirétroviral, rapportent Ravindra Gupta de l'University College London et ses collègues dans la revue Nature. Leurs résultats doivent faire l'objet d'une présentation orale mardi à la Conference on Retroviruses and Opportunistic Infections (CROI) à Seattle.
Il s'agit du 2e cas rapporté à ce jour de rémission durable après ce type de greffe. Pour le patient de Berlin comme pour celui de Londres, les cellules souches utilisées pour la greffe présentaient la mutation delta32 sur le gène du CCR5. Les porteurs homozygotes de cette mutation sont résistants aux infections par les souches de VIH qui utilisent le corécepteur CCR5 pour entrer dans les cellules immunitaires.
Le cas décrit par les chercheurs britanniques avait été mis sous traitement antirétroviral en 2012. Il présentait alors une charge virale de 180.000 copies/mL et un taux de CD4 de 290/mm3 au nadir, selon le résumé de la présentation. Lors des périodes d'interruption du traitement, un rebond virologique et la sélection de résistances aux inhibiteurs nucléosidiques ou nucléotidiques de la transcriptase inverse (INTI) ont été observés.
Constatant l'échec de la chimiothérapie de première ligne ainsi que des multiples thérapies de secours pour traiter le lymphome de Hodgkin du patient, les chercheurs ont identifié, en vue d'une greffe allogénique de cellules souches hématopoïétiques, un donneur de moelle osseuse porteur homozygote de la mutation delta32 sur le gène du CCR5.
Le patient a bénéficié d'un traitement moins agressif que celui administré à l'époque au "patient de Berlin", qui avait reçu deux greffes de moelle osseuse consécutives avec irradiation corporelle totale. La déplétion des lymphocytes T a été réalisée par anti-CD52 et le traitement prophylactique de la réaction du greffon contre l'hôte a compris de la cyclosporine et du méthotrexate. Le traitement antirétroviral a été poursuivi tout au long de la procédure de greffe.
Le patient a développé une légère réaction du greffon contre l'hôte. Un chimérisme complet avec le donneur a été maintenu dans le sang. Les chercheurs rapportent avoir constaté la rémission complète du patient, 6 mois après la greffe.
Le traitement antirétroviral a été interrompu 17 mois après la greffe. A 33 mois post-greffe, la charge virale plasmatique restait indétectable, inférieure à 1,4 copie par mL. D'autres analyses moléculaires ont montré l'absence de virus latent au sein des lymphocytes T CD4+ dormants.
En outre, une analyse par spectrométrie de masse a montré l'absence de taux quantifiables de traitement antirétroviral dans le plasma du patient.
Le séquençage des cellules mononucléées du sang périphérique (PBMC) pré-transplantation a permis d'identifier plusieurs clones viraux; tous étaient des virus à tropisme R5 (tropisme pour le corécepteur CCR5). Une analyse post-greffe des lymphocytes T CD4+ du patient a montré l'absence d'expression du CCR5. In vitro, ces cellules étaient résistantes à l'infection par les souches de VIH présentant un tropisme R5.
"Il s'agit, à notre connaissance, de la plus longue rémission d'une infection par le VIH jamais observée chez un adulte depuis le 'patient de Berlin'", concluent les chercheurs, insistant sur le fait que leur approche n'avait pas impliqué d'irradiation et que le patient n'avait développé qu'une légère réaction à la greffe.
"Bien qu'il ne s'agisse pas d'une stratégie thérapeutique viable à grande échelle, nous nous trouvons néanmoins à un moment crucial de la recherche pour un traitement contre le VIH", a souligné le président de l'International AIDS Society (IAS), Anton Pozniak, dans un communiqué diffusé mardi. "Ces nouveaux résultats confirment notre conviction qu'il est possible de guérir du VIH."
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