#MISE à niveau
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Enseignements des Maîtres – “Et si vos Bénédictions étaient en route ?”
. . VOUS POUVEZ ENTENDRE CE TEXTE EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI-DESSUS . Et si vos bénédictions étaient en route ? Et si votre Soi Supérieur était prêt à percer ? Pourriez-vous faire un peu plus d’efforts ? Pourriez-vous faire un peu plus attention à Source ? Il y a un mouvement de va-et-vient vers l’avancement. Nous vous rappelons de ne pas ignorer les moments où il semble que rien ne se…
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#Le Nivito#(https://www.nivito.fr/surfaces/%C3%A9vier-cuivre.html) Kitchen Sink est une mise à niveau élégante et pratique pour toute cuisine contempo#Ce modèle est fabriqué en acier inoxydable de haute qualité pour durer longtemps et dispose de commodités de pointe. Beaucoup de vaisselle#mais il reste encore beaucoup de place dans le bassin profond de l'évier pour d'autres tâches de cuisine. Son design élégant le rend simple#garantissant des années d'utilisation.#Grâce à sa technologie sans contact#il est simple de modifier la température et la pression de l'eau d'un simple geste de la main. Rationalisation et simplification des tâches#la pompe est très silencieuse#elle fonctionne donc sans aucune perturbation même en cours d'utilisation.#Cet évier préfabriqué est si simple à utiliser que vous pouvez littéralement le brancher et commencer à l'utiliser. Puisque chaque goutte c#l'évier de cuisine Nivito est également économe en eau.#L'évier de cuisine Nivito est sûr d'être un sujet de conversation dans votre maison. Améliorez votre cuisine avec une sophistication simpli
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How to choose the perfect floor covering for your interior renovation
If you are a homeowner or planning to build your home in the near future, are you aware of how many questions arise during construction projects? Among these, the question of course arises: which floor covering should I choose for my current or future home? Today, we invite you to explore the various floor coverings available on the market. To your hammers!
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100 Days of Productivity [Day: 89] || 100 Jours de Productivité [Jour: 89]
expect the unexpected; sometimes, it's going to be just what you needed.
this weekend I said welcome home to this little ragamuffin; a surprise [& early anniversary gift] from my partner. he's been keeping me on my toes, but life's been a little less lonely these days. my 3 month review at this new company went over well, & also came with a crazy promotion. hard work really does pay off, & it's nice to be working somewhere where my work does not go unnoticed.
the reason why I say this promotion is crazy, is because it's completely unrelated to my degree. I had been given various projects over the last few months – predominantly to do with bookkeeping & finances – that have resulted in me being selected to be the new company accountant. this work is not unfamiliar with me since it's something I do for my own small business, but to be doing this on a corporate level is humbling. it reminds me of a conversation I once had with my department head right before graduation. they were the person who I went to with many of my tearful vents and frustrations, & during this particular conversation they told me "do what you need to, but do more of what you're good at. that's how you bring the right things to your table." I held on to that for years. right now, I wish I could tell them thank you.
academic work:
-catch up on all unit reviews -re-write notes/organize
freelance work:
-catch up on all projects -continue signing up for markets -edit digital work -prepare shop listings
office work:
-answer all emails -complete payroll for tomorrow -review funding changes from last meeting -look at problems after system update
currently listening // Attention by Wyatt
Attendez-vous à l'inattendu ; parfois, c'est exactement ce dont vous aviez besoin.
ce week-end, j'ai souhaité la bienvenue à ce petit ragoût, une surprise [et un cadeau d'anniversaire anticipé] de mon partenaire. il me tient en haleine, mais la vie est un peu moins solitaire ces jours-ci. mon évaluation de trois mois dans cette nouvelle entreprise s'est bien passée et s'est accompagnée d'une promotion folle. le travail acharné paie vraiment, et c'est agréable de travailler dans un endroit où mon travail ne passe pas inaperçu.
La raison pour laquelle je dis que cette promotion est folle, c'est qu'elle n'a aucun rapport avec mon diplôme. Au cours des derniers mois, on m'a confié divers projets - principalement liés à la comptabilité et aux finances - qui m'ont valu d'être choisie pour être la nouvelle comptable de l'entreprise. Ce travail ne m'est pas inconnu, puisque je le fais pour ma propre petite entreprise, mais le faire au niveau de l'entreprise me rend humble. Cela me rappelle une conversation que j'ai eue un jour avec mon chef de service juste avant d'obtenir mon diplôme. c'est à lui que je m'adressais pour lui faire part de mes larmes et de mes frustrations, et au cours de cette conversation, il m'a dit : « Fais ce que tu dois faire, mais fais davantage ce pour quoi tu es douée. c'est ainsi que tu apporteras les bonnes choses à ta table ». J'ai gardé cela pendant des années. En ce moment, j'aimerais pouvoir leur dire merci.
travail académique :
-rattraper tous les examens de l'unité -réécrire les notes/organiser
travail en free-lance :
-rattraper tous les projets -continuer à s'inscrire sur les marchés -éditer le travail numérique -préparer les listes de boutiques
travail de bureau :
-répondre à tous les courriels -compléter la liste des salaires pour demain -Examiner les modifications apportées au financement depuis la dernière réunion -Examiner les problèmes après la mise à jour du système
chanson // Attention par WYATT
#100 days of productivity#day 89#100dop#100 jours de productivité#jour 89#100jdp#studyblr#study blog#studyspo#study motivation#study aesthetic#bookish#gradblr#langblr#language learning
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Ça ne sert à rien de lire ce qui suit, je le note surtout pour me souvenir de mon état qd je relirai tout ça en janvier prochain.
Tout a commencé par une vieille voiture jaune, apparemment rare, que l'homme veut retaper.
La voiture est en ce moment garée dans l'abri de jardin. Pour qu'elle soit garée là, on a enlevé tous les outils, vélos etc. et on les a mis sous l'abri à bois que j'avais construit seule l'année dernière souvenez-vous j'avais fait un billet tellement j'étais fière d'avoir fait ça pour y ranger le bois. Bah c'est rempli d'outils, de vélos, de motos, d'un quad, et de zéro bois.
Donc on a fait une grande dalle de béton devant l'abri de jardin. Ça n'a l'air de rien mais ça demande de:
- Faire un trou: retirer la terre sur 30 cm. Stocker cette terre, le tas est immense.
- commander des tonnes de graviers et de sable, qui seront livrés à l'avant de la maison alors que l'abri de jardin est à l'autre bout du terrain.
- déplacer ces tonnes de graviers et de sable vers l'arrière du jardin. Des brouettes et des brouettes.
- stocker 50 sacs de ciment de 25kg chacun au sec. Donc dans l'entrée de la maison parce qu'il y a rien de sec à l'extérieur et l'abri de jardin est envahi par la voiture. Donc enlever de cette entrée le meuble, le porte-manteaux, les manteaux, les chaussures, les trucs qu'on trouve dans une entrée de maison. Donc avoir tout ça en vrac dans la maison.
- Remplir la moitié du trou d'une sorte de gravier fin qui s'agglutine qd on l'écrase. Écraser tout pour que ce soit bien plat. Mettre un plastique au dessus.
- Aller chercher une bétonnière (elle a 50 ans) avec la remorque. 1h de route. Pire trajet de ma vie, je vais faire de la tachycardie si j'y repense. Et je ne parle même pas de comment on l'a mise dans la remorque. Il va falloir faire le chemin inverse qd on va la rendre, ça me rend déjà malade.
- faire du béton. 10 pelles de graviers+ 8 pelles de sable + un seau de ciment+ 1/2 seau d'eau. Puis transporter cet amas dans le trou. 15 cm d'épaisseur de béton à mettre de niveau et à lisser. Des brouettes et des brouettes.
- laisser sécher.
Dans deux semaines, la dalle durcie pourra accueillir sa voiture. Du coup l'abri de jardin pourra retrouver les vélos, le quad, les motos, les outils,etc.
Du coup mon abri pour le bois pourra accueillir du bois. Qui poireaute sans abri depuis mars dernier.
Alors. Le tas de terre. L'immense tas de terre. Il y a un projet qui est de décaisser un sentier pour l'instant en graviers, se débarrasser de tout ça et y mettre la terre toute propre du fameux tas. L'autre projet est de laisser les graviers et se débarrasser de la terre mais je sais qu'un jour on fera ce sentier en herbe et on devra acheter de la bonne terre. Alors que là, elle est là. Donc ça va me casser les couilles mais ce sentier est le prochain projet d'envergure. Un sentier de 60m de long, pour que la voiture jaune puisse aller et venir de son abri jusqu'à la route - quand elle roulera. A l'emplacement des roues, on va mettre des dalles creuses pour que l'herbe continue de pousser mais que le sol ne s'écrase pas, et éviter les grosses flaques. En gros, il va falloir creuser sur 20 cm de profondeur, mettre 10 cm de stabilisé, puis 5 cm de terre puis les dalles creuses, et remplir ces dalles de 5 autres cm de terre, puis semer de l'herbe. Je veux aussi que ce soit un couloir pour que les animaux du champ en face de la maison puissent rejoindre la prairie de l'autre côté de la maison quand les tracteurs sont dans les champs. Tous les voisins ont des chiens, il n'y a que chez moi que la faune est tranquille (à en croire par la quantité de lapin et de hérissons qui se réfugient).
Autre projet plus sympa et rapide pour cet automne, refaire un gazon, pcq là ça a été le chantier trop longtemps. Et aussi, planter des bulbes de crocus dans l'herbe.
Faire des abris pour les hérissons déjà maintenant avec les feuilles mortes, pour augmenter la quantité de bestioles à ces endroits là.
Élaguer le chêne en janvier.
Délimiter un nouveau sentier de brouette pour la gestion du bois l'année prochaine. Pcq on va recevoir 8 stères à fendre courant février.
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☾ Perfect life Challenge 2.0 ☽
Après avoir réalisé le premier Perfect life en 2021, je me devais de lui donner une seconde vie avec les mises à jour que l’ont à pu avoir sur les sims. J’ai néanmoins choisi de le laisser accessible en “jeu de base”, aucun pack n’est donc nécessaire pour le réaliser. Chaque pack pourra par contre rajouter des possibilités dans votre aventure. C’est un challenge que j’ai adoré créer et faire par la suite. Ils vous à également beaucoup plus, alors je vous en remercie!
Le but du challenge :
Compléter la totalité de la liste de vie principale plus bas et au moins 5 choses de la liste bonus (vous pouvez bien sûr en réaliser plus si vous le souhaitez).
L’ordre des listes n’a aucune importance, vous pouvez les faire dans l’ordre que vous le voulez et à l'âge que vous le voulez.
Le but que je recherche dans le challenge c’est de revisiter notre façon de jouer et la rendre plus réaliste, le jeu des sims à pour but de refléter la vie, il veut s’en rapprocher le plus possible, mais dans la vie on commence toujours par être bébé et grandir alors que pour ma part je débute toujours ma partie jeune adulte, alors pourquoi ne pas débuter bambin et dans une famille déjà construite qui n’est pas forcément stable et qu’on n’aurait peut être pas choisi ? Ça nous permettra de construire notre histoire à notre façon tout en laissant aussi notre personnage se développer, suivre peut être sa propre voie.
Règles du challenge :
*La principale mise à jour du challenge est suite à l'ajout de la tranche d'âge "nourrisson" qui rajoute donc une étape entre les bébés qu'on ne contrôle pas, et les bambins qui eux sont parfaitement autonome.
Vous pouvez totalement faire le challenge à partir de l'âge bambin si la nouvelle tranche d'âge ne vous intéresse pas, mais sachez néanmoins que j'ai testé la possibilité de jouer en tant que nourrisson et c'est parfaitement possible.
Vous pouvez tout demander à vos parents, et même développer sans eux les étapes de vie rajoutés dans le pack "grandir ensemble" (non accessible si vous n'avez pas le pack) Toutes les étapes de vies se développent parfaitement seule sauf celle de "motricité globale" qui nécessitent qu'un parents vous retourne sur le ventre 2/3 fois. A vous de choisir si vous voulez ne pas vous en occupez ou espérer qu'un des tuteurs de votre nourrisson viennent le mettre sur le ventre (le mien l'a fait 1 fois en 1 heure de jeu pour exemple)
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Liste principales :
- Premiers pas
- Un anniversaire vraiment bien réussi.
- Organiser une soirée.
- Premier jour d’école.
- Premier amour.
- Premier baiser.
- Première fois.
- Déménager de chez ses parents.
- Premier jour de travail.
- Se trouver un passe temps, une activité.
- Réalisation d’un souhait à long terme.
- Première sortie entre amis.
- Voyager.
- Premier meilleur.e ami.e
- Avoir un repas de famille.
- Faire un cadeau à quelqu’un.
- Réaliser 20 envies (à activer dans les réglages)
- Avoir une promotion.
- Faire son premier achat avec son salaire.
- Se disputer avec quelqu’un.
Liste Bonus :
- Premier enfant (adopté ou non)
- Mariage.
- Avoir des petits enfants.
- Aller à la fac.
- Une compétence au maximum (niveau 10)
- Avoir sa propre maison.
- Réaliser quelque chose d’excellent (toile ou autre)
- Se battre avec quelqu’un.
- Adopter un animal.
- Avoir 1000 abonnés sur un réseau sims.
- Pleurer la mort d’un proche.
- Vivre un comité d’accueil.
- Avoir une bonne moyenne à l'école (école, lycée ou fac)
- Avoir un correspondant en ligne.
- Terminer une collection (au choix)
- Vivre un divorce (de vous ou vos proches)
- Changer de voie professionnelle.
- Avoir une maladie ou un proche malade.
- Tout plaquer pour recommencer sa vie.
- Ouvrir un commerce.
*Chaque liste a son importance, la liste principale contient les choses que l'ont fait forcément en grandissant et qui sont plus ou moins obligatoire (sauf exception et si une des choses ne vous parait pas obligatoire pour vous, mettez la de coté sans soucis, par exemple si vous n'avez/ou votre sims aucune attirance pour personne, le premier amour zouuu on l'enlève) Quant à la seconde liste elle contient des choses plus "larges", tous le monde ne vit pas de mariage ou de divorce par exemple, c'est pour ca que c'est à vous de choisir ce que vous voulez faire dedans (et même une chose que vous n'avez pas vécu vous dans votre vie, peut arriver à votre sims bien sûr)
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Les petits plus selon vos packs :
Comme précisé plus haut le challenge n'a besoin d'aucun pack de jeu pour être fait, il est parfaitement accessible en jeu de base. Cependant il est vrai que certain pack se prête particulièrement au challenge, comme "grandir ensemble", "a la fac", "années lycée" et j'en passe selon votre façon de jouer ou de vouloir réaliser le challenge (avec créature surnaturel, animaux etc.)
N'hésitez donc pas à adapter votre façon de réaliser le challenge au pack que vous posséder, en intégrant des options que vous aimez.
Par exemple j'aime beaucoup le concept "d'étape de vie" rajouté avec grandir ensemble, je vais donc essayer d'en réaliser le plus possible pour voir l'évolution de mon sims.
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Voilà c'est tout ce que vous devez savoir! Ca reste un challenge très simple pour que vous puissiez le faire comme vous l'entendez.
En espérant qu'il vous plaise toujours autant qu'avant, je m'en vais préparer ma prochaine aventure dessus. En attendant, voici mes 2 précédant let's play sur le challenge :
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Lost soul au 3(french version)
Wukong était parti se réfugier au plus profond de la forêt. Macaque l’a regardé. Il avait assisté à la petite réunion avec la troupe de singe. Il comprenait les inquiétudes du peuple, et il était d’accord. Le roi ne pouvait pas simplement se laisser aller à cause de la mort d’un de ses sujets. Il avait un royaume à gérer. Et il devait en prendre la responsabilité. Surtout que maintenant ; il n’était plus là pour aider Wukong à le maintenir. Macaque était un peu blessé que son plus jeune protégé soit celui qui propose à Wukong de passer à autre chose. Mais il comprenait, et était complètement d’accord avec cela. Enfin… il aurait été complètement d’accord avec cela s’il n’avait pas été là, aux côtés de Wukong. Que font les Dieux des enfers ? Cela fait des lustres que Macaque était mort, et personne n’était venu le chercher. Son dossier avait été perdu, où quelque chose comme cela ? Macaque aurait pensé que le royaume des morts aurait une meilleure organisation. Bah… cela laissait toujours le temps à Macaque de veiller sur Wukong. Le singe de l’ombre sortit de ses pensées pour se concentrer sur Wukong. Il continuait à courir. Où Diable est ce qu’il… oh ! Macaque compris la destination de Wukong quand il reconnut l’endroit. Un lieu où Wukong passait le plus clair de son temps, lorsqu’il n’errait pas étrangement sur la montagne.
Les arbres se resserrèrent autour d’eux pour créer une clairière enfermée dans un cocon de branche et de feuille. Chaque mur était recouvert de plantes et de feuilles. La lumière passait unique ment par les feuilles, donnant une ambiance verte, calme et reposante. Macaque se détendit. Sa tombe était certainement le plus bel endroit qu’il ait jamais vu. Wukong entra dans le cocon de clairière, jusqu’à la pierre tombale de Macaque. Il se laissa tomber sans mises en forme devant la pierre. Macaque le regarda faire, et décida de rester debout aux côtés de Wukong, regardant sa propre pierre tombale. Une couronne de fleur reposait sur le dessus de la pierre. Un reste de la dernière visite de Wukong. Les fleurs n’avaient pas encore fané. Macaque était persuadé que c’était à cause d’un sort de conservation que Wukong avait placé sur les fleurs de la petite couronne.
-Ils demandent à ce que je te laisse partir…
Macaque lança un coup d’œil surpris à Wukong. Il ne s’attendait pas réellement à ce que le singe de pierre se mette à parler.
-Ils pensent que je devrais passer à autre chose.
-Comme tu devrais. Acquiesce Macaque bien qu’il ne le pense pas complètement.
Son âme criait pour que Wukong vienne le ramener à la vie. Une prière pieuse qu’il savait être impossible à réaliser. Mais un coin de sa tête lui disait que si. Si, c’était possible. Et cela le rendait si mal. Il n’était pas bon de s’accrocher tant à la vie, alors qu’il allait bientôt disparaître de la vie de Wukong. Après tout, si Wukong avait voulu le ramener à la vie ; il l’aurait fait depuis longtemps. Macaque savait que la peur de mourir de Wukong était la raison principale pour laquelle Wukong n’avait même pas pensé à la ramener. La mort était une chose définitive après tout ; et c’était la principale raison pour laquelle Wukong en avait eu si peur tout ce temps. Le simple fait de penser à ramener quelqu’un de la mort était certainement impensable pour Wukong et la plupart des gens.
-Je leur ai dis que je ne voulais pas. Je… Macaque… Je ne veux pas t’oublier…
Le cœur du singe de l’ombre se serra encore plus en voyant les larmes couler sur les joues de Wukong. Il avait toujours été faible face aux pleurnicheries de son roi. Oubliant son état, Macaque s’accroupit au niveau de Wukong et mis ses mains sur ses joues. Il se rappela rapidement qu’il était mort, quand le bout de ses doigts disparut dans la peau de Wukong. Il ignora le geste et posa son front contre celui de Wukong, imaginant aussi fort que possible qu’il pouvait lui fournir tout le réconfort qu’il possédait, au travers d’un contact qu’il était désormais incapable d’offrir à son ami le plus cher.
-Oh, Peaches… espèce d’idiot… Je t’ai déjà dit de trouver un moyen de me ramener en vitesse…
-Mais comment je pourrais te ramener ?
Macaque soupira. Il était parfois surpris de combien le hasard pouvait correspondre ses paroles à celles de Wukong. C’était presque trop cruel.
-Je ne sais pas. Tu pourrais demander aux dieux des morts pour commencer. Ils s’y connaissent en décès après tout.
Il n’y eut aucune réponse de la part du roi singe cette fois. Il semblait réfléchir.
-Si tu es passé par le royaume des morts… Cela doit faire longtemps que tu as dû être réincarné. Je ne pense pas que tu sois puni si sévèrement au Diyu, au point d’y être encore avec le temps. Tu pourrais même passer le premier roi sans problème !
Macaque eu un petit rire. Traverser le royaume des morts en quarante-neuf jours n’était pas à la portée de tout le monde. Chacun devait faire face à sa punition pour ses erreurs passées. Dix rois, huit épreuves. Enfin…c’était si tu n’étais pas considéré assez bon pour le premier des rois. Dans le cas contraire, tu étais de suite réincarnée. Macaque avait fait trop de chose pour penser être immédiatement réincarné. Il s’éloigna un peu de la pierre tombale et renifla.
-Je devrais voir aux enfers en qui tu t’es réincarné. Je suis sûr qu’il y aura une réponse là-bas. Peut-être même que tu seras ami avec moi à nouveau ? Tu penses que tu m’aimerais bien ? Est-ce que tu es toujours un démon ? Ou une fée peut-être ? Tu étais vraiment cool. Alors, peut-être en quelqu’un de cool.
Macaque leva les yeux pour voir Wukong se relever avec une nouvelle détermination dans les yeux.
-C’est décidé ! Je vais te retrouver Macaque ! Prépare-toi !
-Déjà faut-il que tu sois présentable. Se moqua Macaque, en imaginant un Wukong pas lavé depuis des jours, descendre aux enfers pour demander des informations à son propos.
Visiblement ; Wukong eu la même pensée, car il baissa les yeux pour regarder sa fourrure.
-Mais d’abord, il faut que je me prépare. Et que j’avertisse tout le monde de mon départ. Ils étaient vraiment paniqués plus tôt…
Wukong s’arrêta pour réfléchir. Après ce qu’il venait de se passer ; annoncer son départ immédiat à son peuple, n’était pas la meilleure des solutions. Wukong ne savait pas pourquoi, mais il avait cette boule au ventre qui lui disait qu’il devrait laisser un temps à sa troupe avant de leur annoncer son départ. Wukong soupire longuement et se tourne vers la pierre tombale.
-Attends-moi encore un peu Macaque. Je ne pense pas que je puisse y aller maintenant… tu sais… à cause d’eux…
Macaque mis une seconde à comprendre de qui parlait Wukong, avant de hocher la tête. Bien sûr. Il comprenait. Il laissera Wukong le temps qu’il pensait que la troupe aimerait avoir avant le premier départ de leur roi bien aimé.
¤¤¤
-Votre altesse !
Wukong s’arrêta dans sa course et attendit patiemment que Shi Luo arrive à ses côtés. Le singe au marquage bleu arriva avant que Wukong n’atteigne l’entrée du temple, et ralentit avant de s’arrêter complètement aux côtés de Sun Wukong.
-Vous m’avez demandé votre altesse ?
Wukong fixa le singe qui avait piqué son intérêt. Il avait croisé le plus jeune en revenant du lieu de repos de Macaque ; et lui a dit de le rejoindre plus tard. Le jeunot avait été pris au dépourvu, et avait dû dire à ses amis qu’il reviendrait bientôt. L’action a pris plus de temps que prévu, car Shi Luo jouait à cache-cache avec d’autres démons singes ; et Wukong a eu le temps de prendre une avance considérable. Il avait même pensé à un moment, que le plus jeune ne viendrait pas. Wukong hocha la tête en réponse à la question de Luo.
-Puis-je savoir pourquoi vous avez demandé à me voir votre altesse ?
-Ce n’est rien de bien grave. Rétorque Wukong en continuant sa marche.
Shi Luo manqua de trébucher en essayant de suivre Wukong, mais il se rattrapa avec le rouge aux joues, honteux de son manque d’équilibre, avant d’agir comme si rien était arrivé.
-Je voulais juste parler un peu de Macaque.
Essais d’expliquer Wukong, alors que sa voix commençait à baisser de quelques tons. Le plus jeune se raidit. Il se sentit soudainement mal à l’aise ; comme si on venait de le jeter dans un piège. C’était assez normal étant donné qu’il avait demandé plus tôt à Wukong, de dépasser son deuil en trouvant un autre ami. Quelque chose que le roi considérait comme un remplacement pour Macaque. Shi Luo observa attentivement le roi se poser sur le petit mur de pierre qui entourait le temple. Il n’osait parler, de peur que un mot n’énerve le roi. Était-ce une sorte d’épreuve étrange sortit de l’esprit encore fragile de Wukong ? Cela semblait un peu mauvais. Shi Luo attendit patiemment que son roi reprenne la parole ; chose qui ne sembla pas durer longtemps.
-Qu’est-ce que tu appelles protégé exactement ? Tu as dit que tu étais un des protégés de Macaque.
-Oh ! Je suis l’un de ceux que la vielle Lune a sauvé ; et en qui el… il a eu suffisamment confiance pour donner ses enseignements.
-Ses enseignements ?
Le plus jeune hocha la tête avec vigueur, tout malaise ayant disparu. Le roi était juste curieux.
- La vieille lune entendait beaucoup de choses. Des secrets de partout et d’ailleurs. Il y a des choses qu’elle entendait, et qu’elle trouvait utile pour la troupe, alors el… il les confiât à des singes de confiances, qui sont aujourd’hui désignés comme ses protégés.
-Je comprends mieux…
Wukong laissa sa queue fouetter doucement le mur derrière lui, tout en regardant le vide. Il avait l’air un peu mort comme ça, dans ces pensées. Cela inquiéta le plus jeune singe. Il voulut dire quelque chose, mais Wukong le devança.
– Que t’a-t-il appris ?
– Je… suis au regret de vous apprendre que je n’ai rien reçu d’aussi grand que les autres protégés.
– Si Macaque t’a appris, c’est qu’il s’agissait de quelque chose d’utile. Qu’est-ce que c’est ?
Le jeune singe rougis, évita le regard de son roi, et réfléchis à une manière différente de révéler ce qu’on lui avait appris.
– Il m’a enseigné la communication, et la collecte de données.
– Communication et collecte de données hu ?
C’était de biens grands mots pour décrire vol et manipulation. Shi Luo décida que c’était parfait de le dire de cette façon. Macaque lui-même, décrivait les enseignements qu’il donnait à Shi Luo, avec des mots totalement différents de ce qu’ils étaient vraiment. Le fait que Shi Luo le fasse aussi, en face du roi, ne devrait pas être si grave. Peut-être était-ce le fait d’avoir menti que le faisait se sentir ainsi ; mais Shi Luo trouva ses pieds fort intéressants lorsque Wukong l’examina de haut en bas.
– Je vois.
Le jeune démon singe se retint de soupirer de soulagement lorsque l’inspection de roi sembla se dérouler sans accrocs.
– Est-ce que tu pourrais me dire comment était Macaque ?
La question surpris Luo. Il chercha une explication dans les yeux de son roi, avant de se rappeler que Wukong traversait un deuil. Le roi n’avait pas souvent été à la montagne à cause de son voyage. Shi Luo pensa que Wukong voulait savoir si Macaque se portait bien en son absence. Avec un peu de chance, entendre parler de la vieille Lune, calmera son esprit. Shi Luo s’inclina encore avant de s’asseoir à même le sol, et se mettre à l’aise pour raconter tout ce qu’il savait, et ce qu’il pensait. Visiblement, ce qu’il dit était passionnant, car Wukong l’écouta aussi sagement que s’il écoutait Bouddha. Certains singes qui passaient, entendirent que l’on parlait de Macaque, et vinrent rajouter leur propre impression de la vieille Lune. Très vite, ce fut tout un groupe qui s’était fait autour du roi, afin de parler de toutes les parties de Macaque que Wukong avait raté.
Chapitre 1 _ Chapitre 2 _ Chapitre 3
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Mise a jour
La superficie de Paris est de 105,4 km2. Le rayon de destruction du territoire ennemi par un seul missile Sarmat doté de 10 ogives nucléaires indépendantes est d'environ 650'000 km2, ce qui est supérieur à la superficie de la France métropolitaine. ■ Alors les va-t-en-guerre, comprenez-vous le niveau de connerie qu'il faut avoir pour envisager, ne fusse qu'une seconde, de déclencher une guerre contre la Russie ? La Russie peut vitrifier l'Europe entière en moins de 5 minutes !!!
Source : T.K. Veselovsky
Réponse de meme-archivist a réagi à votre billet texte. Yes, that is indeed The Point of deterrence. To ensure that you have a backing for your uncrossable line. That said, I have some doubts about ending humankind. Even the superpowers are much decayed from their peak, and the presence of other, stable, third party states means that unjustified nuclear warshots would absolutely require punitive atomic attack from practically everyone with the capability.
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Notes de mise à jour
🌟 Nouveautés
Nous déployons progressivement la possibilité de répondre aux réactions et ainsi ajouter un niveau de profondeur supplémentaire aux fils de réactions dans les billets. Nous publierons un billet dédié à cette nouveauté lorsque tout le monde pourra en profiter. En attendant, vous pouvez en apprendre davantage sur la fonction Réactions en consultant notre page d'aide.
Le menu ●●● des blogs recommandés a été ajusté dans l'application. L'option "Inintéressant" s'intitule désormais "Ce blog ne m'intéresse pas". De plus, le laps de temps avant que ce blog ne soit proposé à nouveau (si tel est le cas) a été grandement augmenté.
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– Et vous, vous êtes dans quoi au juste ? – Dans le réchauffement. – Ah c’est bien ça, non ? Ça a bien le vent en poupe cette histoire-là, non ? – Vous parlez de vent ? Nous, c’est tornades et typhons ! On n’a pas une minute à nous : fonte des glaciers par ici, stress hydrique par là, El Niño qui tempête dans le Pacifique, les ours polaires qui se noient dans l’Atlantique... La puissance éditoriale tous formats, les images en boucle... vous n’imaginez pas le boulot.
– Ah oui, quand même. Et vous Madame ? – Moi ? Oh moi je gère les épidémies mondiales. – Attendez... le … c’était vous ? – Oui, Monsieur. – Ahhhh, alors là… Chapeau bas, Messieurs ! Nous avons avec nous la personne qui a mis le monde sous cloche pendant deux ans ! – Vous me gênez. Le dossier était fort bien préparé, je dois dire. Un cas exemplaire de collaboration public/privé au niveau transnational. – Vous parlez le Mandarin alors ? – Oui, mais avec un fort accent texan.
– Et vous, Monsieur ? Vous êtes sur quel type de dossier ? – Moi ? Comment dire... c’est un peu dilué au début, mais ça finit généralement en apothéose. – Vous nous cuisinez, là ! Allez ! Dites tout ! – Tout ? Mais vous voulez ma mort ! Bon. Alors il s’agirait plutôt de faire bouger les gens sur des thématiques sociétales au début, et puis on redessine une carte politique à partir de quelques incidents, un peu de corruption, deux ou trois bavures bien mises en scène... bref, de quoi reprofiler les institutions en contrôlant progressivement la liberté de mouvement, d’expression, de transaction. – Je l’ai ! Vous, vous êtes dans les révolutions de couleur ! Un fond de CIA, quelques graines de Sorros, une bonne dose de LGBTQ+ et hop, c’est parti ! – Oui, c’est un peu raccourci mais je reconnais qu’il y a de cela. Et des dossiers pédophiles aussi – je me permets de rajouter cette info car c’est déterminant et ça dépasse mon seul champ de compétence opératif.
– Et vous jeune homme ? Vous ne dites pas grand chose. Quel peut bien être votre pré carré ? – Oh moi ? Je suis une compétence transverse. – “Transverse” ? C’est une nouvelle orientation sexuelle ? – Certes non. Je travaille un peu pour vous tous en fait. – Voyez-vous cela ! – Je m’occupe principalement des médias. De leur contrôle, pour être précis. L’intitulé du poste que j’occupe est “Régulateur des Pressions”. Nous avons à notre disposition divers leviers que nous actionnons plus ou moins, isolément ou de façon groupée. Tout dépend du résultat recherché. – Des leviers dites-vous ? – Oui, c’est cela même. Pour vous donner des exemples, nous avons le levier “viols et attouchements” pour les vieux journalistes un brin trop rigides. Nous avons aussi “fraudes fiscales et revenus dissimulés” pour les patrons de chaîne qui se croient intouchables. Ou alors “bashing racial et harcèlement social” pour les présentatrices indisciplinées. Quand vous les contrôlez, vous avez un œil sur tout. – Je suppose que vous avez également la main sur les financements ? – Oui aussi, mais c’est une collègue qui s’en occupe. Les financements publics, les dettes effacées, les rachats convenus, c’est son truc ! – Eh bien nous vous remercions pour votre soutien zélé ! Franchement, vous nous aidez bien ! – Quand on peut rendre service...
J.-M. M.
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CONCEPT HÉRITAGE DU RALLYE TOYOTA GR86 : Toyota rend hommage aux icônes du rallye des années 90 avec une construction GR86 moderne au salon SEMA 2024
Toyota a dévoilé le concept GR86 Rally Legacy au salon SEMA 2024 à Las Vegas, un clin d'œil à sa célèbre histoire de rallye des années 90 incarnée par la Celica GT-Four.
Voici les faits saillants :
🔹 Le concept GR86 Rally Legacy est basé sur le GR86 2024 avec ensemble performance, démontrant l'engagement de Toyota à combiner nostalgie et performances tournées vers l'avenir.
🔹 Inspiré des emblématiques voitures de rallye ST185 et ST205 Celica GT-Four, le concept utilise la transmission GR-FOUR AWD à 3 cylindres turbocompressé d'une GR Corolla.
🔹 Les modifications comprenaient l'adaptation du châssis GR86 pour s'adapter au moteur monté transversalement de la GR Corolla, un sous-châssis personnalisé, des supports de moteur uniques et des composants de suspension révisés.
🔹 Les mises à niveau du moteur G16 comprennent un refroidisseur intermédiaire performant, un refroidisseur d'huile et un ECU de course, maintenant 300 ch et 273 lb-pi. couple, avec un potentiel de réglage futur des performances.
🔹 L'extérieur présente une finition Halo White accentuée par des couleurs de rallye patrimoniales, de grands garde-boue de rallye, un aileron inspiré de Celica et la marque moderne Gazoo Racing.
🔹 Les détails intérieurs comprennent une cage de course complète peinte en blanc, des sièges de course avec des harnais rouges à 6 points, en harmonie avec l'esthétique du sport automobile de Toyota.
🔹 La construction célèbre l’héritage du sport automobile de Toyota et fait allusion au retour potentiel du Championnat du monde des rallyes aux États-Unis, embrassant à la fois la tradition et la technologie moderne.
L'exposition de Toyota au salon SEMA souligne son engagement en faveur d'une innovation automobile passionnante, alliant héritage et performances de pointe pour les passionnés et les potentiels.
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La croissance du nombre d'inscrits au pèlerinage de Chartres s'explique par une ouverture libérale au monde et se paiera par une dégradation liturgique et par une baisse du nombre des naissances. Les standards de la culture traditionnelle baissent, transformant l'ascèse d'un peuple en lutte pour sa vie en kermesse de la CGT pour Versaillais qui écoutent du rap. "Sept mille inscrits de plus au pèlerinage cette année! C'est le grand retour de la Chrétienté!" exultent ensemble les lecteurs de statistiques sur écran et déplaceurs de pions sur carte d'état-major. Non pas. C'est la prise de pouvoir du modernisme sur une micro-Chrétienté déjà mal en point, très attaquée de l'extérieur par le monde, très affadie de l'intérieur par les clercs. Croissance donc expansion ? Dilution donc affadissement. Un pélérinage traditionnel? Les JMJ.
Il suffit d'examiner ce que l'on voit. Le concret, la forme, le corps, ne mentent jamais. Par exemple la crétinisation de l'école se mesure beaucoup plus sûrement à l'effondrement vestimentaire et physique des professeurs que dans les statistiques de résultats scolaires. Quand on décore du nom de professeur une dame extravertie en surpoids habillée n'importe comment c'est que tout est fichu et que plus rien ne signifie rien. En matière de pèlerinage de Chartres, la Forme, avec le temps, depuis le temps (40 ans!) devrait se diriger vers davantage de Tradition chaque année, davantage de savoir-faire, davantage d'affermissement sur ses bases... mais elle va vers moins de Tradition, moins d'énergie, moins de noblesse. Inutile de farfouiller les points de doctrine. Il suffit de rapporter exactement ce que l'on voit. Qu'est-ce que l'on voit? Eh bien, un concerto de souffleurs de cornemuse pour vacancières en combishort Coachella qui vont au pélé "chez mémé" occuper leur place numérotée, répandre des ordures que les vieux messieurs ramasseront. Des veaux de 18 ans grandis sous cloche et sous mère intrusive, inconscients de l'heure qu'il est. Un peuple inmariable.
La Tradition va régresser dans sa forme vestimentaire, langagière, en somme dans sa Culture, au niveau d'un club de caté charismatique des années 1990. Il lui restera la liturgie mais elle n'ira plus à l'église.
Chers rêveurs vous vivez selon des usages valables en temps de paix alors que nous sommes en temps d'invasion aggravée, de colonisation, de crise, de persécution, d'extermination. Assez d'analyse dépassionnée "avec du recul", et de cette intelligence de resquilleur "plus intelligent que cela", de ce vocabulaire de statisticien de l'OCDE. En matière de tradition, les standards de la vie pratique sont le vrai "sens du sacré", la seule véritable Culture, mesurable, vérifiable: le parler, le vêtement, la posture, le manger, la syntaxe, le débit, la non-mixité, la musique, l'usage, la hiérarchie, sont tous les affleurements d'une Forme aux soubassements plus profonds, invisibles, et sacrés. Abaissez vos standards culturels: vous profanez votre Religion. La Culture est la preuve de la conscience de soi, et celui qui renonce à sa Culture fuit dans l'abstrait comme un déserteur et perd sans le savoir mémoire, tradition, bientôt religion, ses défenses spirituelles qui sont les dernières frontières qui le protègent de l'égalité avec les barbares dans un monde sans frontières.
"Chacun fait ce qu'il veut" signifie chacun pour soi signifie tous contre tous. Que chacun fasse ce qu'il veut est un slogan de gauche produit par l'oligarchie de l'extrême-droite financière anti-Blanc, une paraphrase habile des deux vraies devises jamais proclamées, elles: "Diviser pour régner" et "L'ordre par le chaos".
Qu'est ce qui a perdu les Arabes? Le sucre. Qu'est-ce qui a perdu les Blancs? Le fun.
Ce pèlerinage qui devait être le cœur battant impénétrable d'une micro-Chrétienté s'étendant par cliquet sur le monde athée sans enfant est devenu le réceptacle "très ouvert et détendu" de tous les dégazages de fonds de cuve du monde, nous voici en plein dans la mécanique mise à jour par Abel Bonnard dans Les Modérés.
L'Eglise est une Hiératique c'est à dire un Ordre vertical légiféré de manière transcendante pour ordonner une société respirable, avec des places pour chacun, des rôles, des grades, des habitudes forgées par l'expérience c'est à dire des usages qui remplissent nos vies dans ses aspects cardinaux, naissance, mariage, mort, et jusqu'aux plus reculés recoins, jusque dans le manger, le vêtir, le parler. Pourquoi faire? Pour que chacun connaisse exactement sa place et celle de l'autre sans recourir à des petits chefs pour la lui rappeler.
"La Paix c'est la tranquillité de l'ordre" et qui méprise cette antique maxime se condamne lui-même au bordel, au dérisoire, au "fun", à la graisse, et à toutes les ponctions cocufiantes illustrées en "Nicolas, 30 ans".
L'Eglise est une armée spirituelle qui dit aux soldats des deux sexes ce qu'ils doivent manger, comment ils doivent s'habiller, comment ils doivent prier, comment ils doivent vivre. Cette armée n'enrôle personne de force, elle accueille seulement les volontaires civils qui se présentent à sa porte décumane. Puisque l'Eglise ne nous poursuit pas de ses oukazes, puisque nous sommes entrés de plein gré et qu'elle est patiente et compréhensive pour nous, puisque nous mesurons par comparaison avec nos voisins embringués sous d'autres bannières à quelles rétorsions la religion chrétienne nous a donné d'échapper, alors rendons le bien pour le bien.
Parler peu et bien, porter le voile à l'église, la jupe longue en société, ne pas baffrer, ne pas comérer, ne pas exiger... sont le strict minimum auquel peut souscrire celle qui se dit chrétienne en période d'invasion aggravée et d'apologie de toutes les déviations. La modestie chrétienne du vêtement surtout, est la marque distinctive de la Vraie Foi dans un monde idolâtre du cul, elle est le signe vérifiable d'une "mise hors-monde" de la Chrétienne, sa configuration à Marie vérifiée par les actes, son avertissement aux démarcheurs, le cassage par avance de dents aux vils prédateurs, pour se prémunir soi-même et pour propager l'influence du vêtement modeste sur les autres jeunes filles dans un monde binaire qui les somme de montrer ou leur voile ou leur cul.
La maladie dont nous crevons c'est la stérilité et le métissage, connues sous les termes faibles de dénatalité et d'immigration. Le point nodal de tous les remèdes c'est la génération endogame séparée du monde c'est-à-dire la sainteté, étymologiquement la "séparation", considérée comme moyen de survie dans ce monde et de vie dans l'autre. Cela signifie des sociétés fermées au plan organique, compétentes au plan professionnel, ascétiques au plan du mode de vie. C'est ainsi que vivaient les terroirs français. C'est ainsi que vivaient encore les Ligueurs, les Quakers, les Mormons, les Amish, les Pères Pèlerins, les Boers, les Irlandais envahis, les Italo-américains, et tant d'autres Formes éprouvées de furtivité sociale en territoire hostile. Ces gens avaient compris que l'on protège son peuple non par des sermons mais par une ingénierie sociale c'est-à-dire par une technique de la vie pratique, un parti-pris d'existence grégaire, par une Forme de vie quotidienne gardée par des standards pointilleux et par un Esprit de cette Forme qui sécurise la conservation de la substance raciale dans le temps pour assurer sa continuité cohésive transgénérationnelle (Laurent Ozon). Ainsi vivent aujourd'hui un millier de Blancs d'Orania en Afrique du Sud, rescapés des tortures et des massacres organisés par les pires barbares néolithiques imaginables, auprès desquels nos racailles font figure de plaisantins.
Dans l'enquête qui nous concerne, cette ingénierie, cette technique, cette école, cette ascèse, est la religion catholique bien comprise, relue à la lumière du temps d'invasion-propagande-prédation actuel, temps de persécution. "Il y a beaucoup de maisons dans la maison de mon père". Il y a assez de place dans l'Eglise pour une maison française, européenne, strictement organique (donc sans moi, qui m'arrête à son seuil tel Moïse devant la Terre Promise), selon des principes très bien décrits par Julien Langella dans "Catholique identitaire", et qui s'appuient sur l'exégèse biblique et l'apologétique. Et pour tout avouer bien nettement, non seulement la Religion est le seul moyen de peuplement bio qu'ont les Blancs hors du fascisme, mais la stérilité et le métissage ne sont même pas des punitions, ils sont de stricts résultats, comme dans une équation, de l'irréligion. En cas de doute on pourra relire avec profit les prédictions curieuses du chapitre 28 du Deutéronome, le testament de Louis XVI, ou encore employer pour une fois la statistique à bon escient comme l'a fait Patrick Buisson depuis 10 ans, constatant que partout et toujours la baisse des naissances chez les vrais Francais était précédée d'apostasies, alors que la prodigalité ne s'est observée que dans les temps et les régions d'enthousiasme et d'assiduité populaire pour la pratique religieuse familiale.
Dans un monde binaire "la pute ou la voilée", la Troisième Voie se mérite par une ascèse c'est à dire par un combat spirituel exercé sur les aspects pratiques de notre vie. Veste longue et chaussures cirées miroir pour les hommes, voile et jupe sous le genou pour les dames, voilà le vrai test minimal, le vrai "respect de la Messe", le sens pratique du sacré, le prélude à la vraie dévotion intérieure. Un moine tout à sa Nepsis, tout à sa paix d'hèsychaste, l'imagine t-on en pantalon et tee-shirt ? Ou oisif ? Ou obèse ? La Religion est un hiératisme qui ordonne les aspects matériels de notre être social. Le vêtement. Le travail. Le jeûne. Le rangement. L'entraide. Ce sont là les bases de la Chrétienté, et pas du tout les cathédrales, qui en sont les fleurs.
Il n'y a pas de "catholicisme traditionnel" possible en sweat capuche ni combishort, nulle part, jamais. Car s'il en va ainsi des tratras, qu'en sera-t-il des modernos ? Et des protestants? Et des athées ? Et des LGBT? Voilà comment advient le règne du singe-robot de science-fiction, par la "transition", par la décontraction graduelle des hommes à chaque génération. Loi de Volkoff: "Le vêtement négligé d’une génération devient le vêtement chic de la génération suivante, avant d’être déchu à son tour comme prétentieux et ringard". L'abaissement des standards culturels (vêtement, nourriture, langage, fréquentations, esthétique), ce recul par escarmouches est le prélude aux capitulations sans condition en rase campagne. À la fin on signe la charte parité, la charte climat, la charte LGBT, et pour garder la face on obéit jusqu'au bout à sa scélératesse personnelle en se retournant contre ses derniers frères qui ont tenu bon. "Eux sont trop extrêmes, mais moi j'ai su rester mesuré, voyez".
Idem des théories sur la Civilisation. La seule Civilisation immédiatement identifiable c'est une rue heureuse, familiale, proprette. Expliquer autre chose c'est signer du charabia d'intellectuel payé au nombre de signes. La vérité la plus crue sur la cléricature à été écrite par Rebatet dans son livre Les Décombres, chapitre "La religion chrétienne". À savoir qu'en dehors de la stricte administration des sacrements et des rappels de doctrine les intellectuels clercs ou laïcs sont en matière politique, physique, sociologique, des "imbéciles pyramidaux" et cela se vérifie toutes les fois qu'on laisse à cette engeance la plus petite responsabilité concrète ne serait-ce qu'à l'échelle d'un village, même d'une assemblée de quatre individus. Eux sont les premiers à s'indigner et à raison, des divorces, de l'anarchie dans les familles, des enfants-rois, des pères éteints et des mères hurleuses, très bien. Mais toutes les fois où éprouvés par le hasard ils ont dû arbitrer un conflit c'est à dire à rendre Justice, ils ont systématiquement donné 1 partout balle au centre pour départager la dame fût-elle la plus exorbitante hystéro-concierge et le bonhomme fût-il le plus discret arrangeant ponctuel bosseur. Leur vrai Surmoi c'est le qu'en dira-t-on du Monde.
Le pèlerinage sert à convertir notre mode de vie, à se délivrer, se dépouiller, se décharger des fardeaux de culpabilité indue que le monde fait porter notamment aux jeunes Blancs, à embrasser un nouveau mode de vie, à jeter loin de soi sans un regard tous les surplus, surpoids, faux systèmes tenus pour vrais où la société entend nous embringuer tantôt par la récompense, tantôt par l'intimidation. On ne discute pas avec cette putain.
Le pèlerinage c'est la vraie pratique religieuse beaucoup plus que la Retraite, que la Messe, c'est le vrai test religieux à qui l'on ne peut mentir. D'abord les gloutons, les poltrons, ne tiennent pas 10 kilomètres sur les 100 du parcours ; le pèlerinage fait d'entrée le tri des vicieux selon leurs vices. Exit les bouches inutiles, les dondons, les "dames très gentilles". Les vieux minces eux marchent très bien et sans une plainte. Dans le pèlerinage les âges et les classes sont mêlés, on y côtoie avec un certain soulagement des hommes de 50 ans non-alcooliques qui ressemblent encore à quelque chose, qui donnent aux jeunes l'idée qu'une vie est encore possible après 30 ans, et que la vraie virilité se mesure sur le long-terme.
À ces jeunes je parlerais ainsi. Tu peux marcher? Tu ne veux pas marcher? Ne parle plus religion. (Tu parles politique ? Tu n'as pas lu 3 fois BPM? Ne parle plus politique). Mais je leur dirais aussi de se méfier des chefs catholiques, des "lanceurs", des officiers, des dames patronesses et des sermons abstraits. Ils ne trouveront pas plus féministe, pas plus africain que ces bourgeois libéraux attiédis déguisés en gardiens de la tradition. Entraînés par la propagande maçonnique, ces discoureurs ont trouvé "exagérée" la pudeur islamique féminine alors que c'est le seul domaine où la Mosquée est plus conséquente que l'Eglise, justement exactement le seul. La doctrine non-sue de tous ces anti-libéraux est le chacun-fait-skiveu.
La gentille égalité homme-femme européenne évoluée, la galanterie gauloise, l'amour courtois, toutes ces joues tendues à des chiens qui nous ont fait tant de mal... n'ont plus cours en période d'invasion migratoire aiguillée par la double pompe aspirante de la thune blanche "redistribuée" et de la fesse blanche pornographique. En période d'invasion la "charia blanche" est le plus petit acte de légitime défense d'un peuple colonisé, et le premier article de cette loi est la modestie du vêtement, en somme l'uniforme obligatoire. S'entendre dire comment s'habiller irrite énormément notre mentalité profondément libérale surtout en France pays du quant-à-soi. Mais le quant-à-soi avait une condition: la crainte commune de Dieu, ceci tranquillement, comme l'on craint un père, sans transport mystique. Le mépris de Dieu à donné oppression athée qui a donné invasion qui a donné prédation sur les jeunes filles selon la race et le vêtement. Ceux qui ne comprennent pas cela, ceux qui n'en n'ont pas fait l'amère expérience n'ont aucune légitimité à diriger les Blancs: ils ne les aiment pas assez, ils n'ont pas assez peur pour eux, ne se creusent pas assez là tête pour eux. Ces faux chefs ont 40 années de retard à l'allumage. "Sacrebleu on voudrait nous empêcher en France de laisser nos filles sortir vêtues en miel à mouches? De qui se moque-t-on?". Le lendemain matin Françaises violées, Français tués, Peuple métissé, stérilisé, garçons français privés de leurs alter-égales (c'est la liberté!). Ils ne comprennent pas ces désastreux types la notion de réduction de voilure, qu'ils doivent au contraire ordonner une diète de peau visible pour affamer les sangsues qui ne vivent que dessus, qu'en ces temps d'hypertrophie du désir la satiété, le dodu, le facile, le "super-salope", le loisir, le vantardisme, sont des malencontreux focs oubliés qui font prise au vent dans une tempête, des monnaies qui n'ont plus cours cause de dette que nul ne peut rembourser. Ce sont ces jetons de casino qui ont excité l'appât du gain chez les vils prédateurs qui sont là aujourd'hui, qui ne veulent plus partir, le fameux "on est là, on vous baise" de l'homme du ressentiment qui, privé de capacité productive par ses facultés intellectuelles rudimentaires n'a que sa capacité de nuisance à exercer sur le pays sans défense, lui le sicaire qui s'ignore choyé par la pire bourgeoisie anti-Blanc jamais parue en Civilisation (cf Céline) qui lui a toujours enseigné la haine de la France, la prédation sur les Blancs, le faux roman national ("on est venu reconstruire bla bla bla, tirailleurs chair à canon bla bla bla, occident riche du pillage etc"), roman exactement inverse de la vérité historique des faits. Face à ces 2 fronts quel recours avons-nous ? Nos chefs cathos école De Villiers?
Puisque leurs enfants, jeunes redeudeux, aiment le rap tant que cela peut-être voudront-ils méditer cet extrait du refrain de Pour Ceux, daté de 2003, "Pour nos sœurs qui seront les mères de demain". Cent fois plus de pertinence, de compréhension des enjeux, de sens de l'Etre Collectif gît dans les hurlements de ces aborigènes (notion de sagesse des primitifs qui "rase de plus près la lisière de l'idéal" selon Baudelaire) que dans n'importe quelle conférence de théologien de pastorale catéchétique. "Pour nos sœurs qui seront les mères de demain" est le véritable fourteen words, complet en neuf mots cette fois. Il exprime la juste jalousie qui devrait animer le Blanc envahi envers ses alter-égales, il traduit le vrai sens de l'Etre Collectif, le sens de la Génération, le sens de l'honneur, le sens de la famille, le sens de la clôture et de la séparation d'avec d'éventuels actes de prédation, il recèle enfin une prévention et un avertissement aux "consentantes" putes qui entendent se vendre aux prédateurs, et une prévention et un avertissement aux violeurs.
Vous êtes un vrai Français? Vous ne pouvez pas vous habiller comme des primitifs, vous ne pouvez pas parler comme des primitifs, vous ne pouvez pas descendre vers des primitifs même temporairement d'un seul millimètre, sans quoi c'est la descente entièrement au Primitif ontologique pour n'en plus jamais remonter. En temps d'invasion vous ne pouvez pas "faire la fête", on ne fait pas la fête quand on est assiégé. Vous ne pouvez pas paraître ivres en public comme les hilotes devant les Spartiates, consommer du loisir, prendre du poids, descendre le courant avec les branches mortes. Les époques de vaches maigres sont des temps virils de réforme, de débarras, de concentration. Après le Carême viennent les délices du banquet de Pâques, encore faut-il les mériter par les purgations du jeûne sans quoi on ne fait plus que bouffer pour se récompenser d'avoir bouffé, toute l'année, toute la vie, et le salaire de toutes ces gaudrioles stupides c'est la honte, le déclassement, la mort, l'oubli.
Le suicide des adolescents harcelés à l'école, la persécution à travers le pays des jeunes Blancs sur les terrains de minifoot qui ont défiguré l'équipe de "France" en cette chose honteuse qu'elle est devenue, l'invasion et tous les déshonneurs ordinaires apportés par un désastreux rapport au féminin, sont des plaies qui cautérisent très vite à condition d'une hausse drastique des standards culturels.
Intégrisme absolu en matière de Culture c'est savoir qui nous sommes et ce que nous faisons. Vive le courage d'engueuler les plus lâches que soi, d'engueuler tous ces chefs de palabre, montreuses de cul, prélats grotesques, ces infectieuses Karen dames pachydermes. Aucune pitié pour se mettre tous contre eux: plus ils seront évincés vite plus la jeunesse chrétienne sera saine et sainte, la jeunesse blanche immaculée et surtout immaculable.
Les brebis perdues ce sont en France les jeunes Blancs actuels qui n'ont d'horizon que la déglingue, le rap, la drogue et l'alcool, le porno, le paiement de rançon au colonisateur, le chômage, la philosophie de l'absurde, la Magalax, le "French Dream". Evidemment qu'ils se demandent pourquoi ils sont venus au monde! Messieurs les clercs expédiez votre messe en 1 heure tôt le matin puis consacrez votre temps aux brebis perdues. Vous devez regonfler, convertir tous ces Blancs, c'est cela votre mission, ce sont eux les brebis perdues qui ont priorité sur les autres et certainement pas vos chronophages bigotes et autres quémandeurs plaintifs. Ce sont les mariages futurs et eux seuls qui devraient accaparer toute votre énergie dans une crise où cent mille heures d'explication ramènent toujours au point de départ: dénatalité, dénatalité, dénatalité.
Vous vous perdez en "dîme de la menthe" dans de menus détails logistiques qui ne rapportent rien au renouvellement de l'Etre Collectif. La seule chose profitable qui régénère, la seule chose que vous avez à faire, le seul lieu qui doit concentrer vos tirs de barrage, le seul point où doit s'exercer votre zèle c'est de marier le Français jeune et pauvre avec la Française jeune et pauvre, là, c'est tout. Le reste est absolument accessoire. Par surjons de micro-Chrétienté, faire grandir une survivance du déluge des années 60 qui s'étende en familles nombreuses, très nombreuses, en réseaux d'entraide, par cliquets sur le monde stérilisé de l'athéisme stupide. Et combien d'entre vous se font encore plus stupides que les athées ! Perdant leurs journées comme Maurras jadis avec ses grosses douairières, ils se repassent des histoires d'anciennes prélatures entre mandarins érudits démusclés, ils se roulent dans la basse énergie, dans les médias "par truchement de", leurs organigrammes sont vérolés d'impotentes en surpoids "fée du logis" qui commandent à des adolescents, voilà leurs œuvres prises sur le fait et ils croient faire des hommes de ces enfants qui leur sont confiés? Mais s'ils ne comprennent pas la juste hiérarchie de la Tradition qu'ils prêchent et l'énormité très libérale de leurs gaffes alors pourquoi veulent-ils commander un peuple qui se meurt d'anarchie "libérale"?
Un désastreux sens Esthétique donne d'avance toutes les réponses. Foyers hideux, carrelages lugubres, locaux noirâtres, vêtements mal coupés, nourriture constipante, méconnaissance des plus élémentaire notions d'ergonomie... sont des crimes quand on est responsable public et ces fautes crient vers le ciel contre leurs auteurs, elles repoussent les possibles conversions soudain refroidies de ce que ces apôtres représentent à leur insu: des putains d'épouvantails repoussants. Pour tous ces rabâcheurs d'abstraction les choses concrètes sont vulgaires, l'esthétique est secondaire, mais le baratin casuistique passe en premier lieu. Tout faux! Enfin un idéal féminin désastreux ne l'oublions pas. D'où ces gâchis, ces potentiels sous cloche, ces jeunes filles tournées vieilles filles, ces sempiternelles attitudes apeurées de poules contrariées. D'où cette méconnaissance entretenue d'une féminité réconciliée, une féminité Troisième Voie ni vulgaire ni coincée, école de sous-expression modeste et intelligente, de fraîche et fonctionnelle toilette, savoir-faire qui culmine chez la catholique américaine. Mais je ne puis regarder sans honte les filles de chez moi. Le style "aprêté"? Le frêle, l'engoncé de l'assistance des mariages, où la toilette des jeunes femmes acquiert la distinction d'une londonienne de Croydon du samedi soir. Mais telles mères, telles filles...
Le sens Esthétique, le sens de l'ingénierie sociale, le sens de l'honneur, le sens de la virilité, le tact, la Conscience de Soi, tout cela c'est tout un comme l'unicité de Dieu, or vous n'avez aucun d'entre ces prémices. Désastreux déshonorant gaspilleurs butés qui chauffez une maison les fenêtres ouvertes, au milieu d'une crise qui comme prévu jette enfin dans vos bras la jeunesse athée du pays qui veut vivre que faites vous ? Vous desserrez exactement maintenant la ceinture, au plus crucial moment, vous lâchez toutes les brides de la contention, vous dévissez les sangles précisément lorsque les ouvriers remontent le filet à bout de bras. Vous lâchez tout, vous effondrez en deux secondes la prise qui repart liquide dans le monde. Le pélérinage de Chartres devenu presque un char de techno-parade. Ce que vous êtes cons, ce que vous foutez la rage! Quel gâchis, quel putain de sabordage de sales cons, quand on pense au potentiel de conversion massive à partir d'un seul converti, de repeuplement à partir d'un seul couple bien marié, tôt marié. Cela devrait obséder vos jours et vos nuits: "Comment avec mon réseau contribuer à peupler mon pays puisque j'ai toutes les cartes en main pour aiguiller dix, vingt, peut-être cinquante jeunes personnes et que j'ai tout mon temps pour cela".
Chers camarades vous vivez sous persécution comme il est permis de vivre après une victoire : satiété, fêtes, loisirs, distraction, bas standards... grand bien vous fasse. Ces expansions de l'être donnent prise aux toxiques, elles excitent les prédateurs qui se voient alors vos égaux, allument l'envie pendant que vos instincts détrempés se relâchent. Sous une tempête les marins resserrent la voilure au plus strict nécessaire nous l'avons vu. Quand on est envahi, occupé, menacé, on se resserre: sobriété, gravité, discrétion, redoublement de Charité interne envers ses frères, redoublement de l'euphémistique vertu de Prudence envers les étrangers. D'où le soin à apporter dans le rangement, la netteté, la première impression, le vêtement, dans ces choses nous entourent à tout moment au point que nous les oublions.
Tant de lâches à engueuler, tant de dictature à secouer... Dictature des bourgeois-bordel sur une Eglise armée mexicaine quand il faudrait des ouvriers et techniciens, un prolétariat français blanc chrétien qui maîtrise les métiers d'indépendant productif, sur le modèle école de la Martinerie. Le prolétaire, étymologiquement, c'est l'homme dont la seule richesse sont ses enfants. Qu'est-ce qui a perdu le Liban? La Syrie chrétienne ? C'est la vie bourgeoise, le mesquin principe du "pas trop d'enfants", la radinerie du "pas de premier enfant avant 30 ans". En pleine Syrie 2013, en plein merdier, une petite effrontée de l'ultra minoritaire communauté chrétienne restante, propriétaire d'un restaurant payé par sa famille articulait ceci à un camarade. "Quoi? Tu n'as pas cinq cent mille euros sur ton compte en banque ? Tu te marieras jamais". Le principe de toutes les libanisations par guerre des berceaux tient peut-être en cette phrase. Stérilité par embourgeoisement. Tous les parents de familles françaises nombreuses se sont mariés jeunes et pauvres, ont commencé par souffrir et non par jouir, se sont enrichis, sont allés de mieux en mieux. Chez eux c'est rangé, ils prient, ils chantent, ils lisent, ils s'entraînent, ils s'entraident. Tout le contraire des couples catastrophes qui eux commencent par le plus agréable: la bagatelle, le restaurant, le voyage: en un an ils ont déjà tout ratissé et aux premiers nuages qui s'amoncellent ils ouvrent chacun un parapluie différent au lieu d'en prendre un pour deux et de se serrer ensemble dessous.
Un autre problème : la catastrophique éducation scolaire chrétienne, y compris la soi-disant école privée hors-contrat (comme si cela garantissait quoi que ce soit) tenue par importantes dondons hurleuses et petits précieux efféminés, entièrement débilitante, républicaine, africaine, gaffeuse, inoffensive. Autoritaire mais par procédé, sans le tact que confère un vécu sensible (chose que les enfants même jeunes perçoivent très bien chez les adultes qui leur parlent). Bienveillante, mais maternante et castratrice et toujours nimbée de la lâche crainte du jugement des mères, seules véritables directrices (par proxy) des écoles tratras, les désastreuses mères quadras démusclées à tennis violettes en plastique étouffant des soupirs de porteur d'eau même pour monter dans la voiture. L'éducation chrétienne actuelle même très-très-tratra est une manière de se raconter des histoires entre administrateurs "membres du haut conseil" chevaliers de la dînette complètement cocufiés et féminisés. Ils ont trop lu, trop ressassé le moyen-âge, trop visité de monastères détruits en s'extasiant sur le plan alors que la guide devant eux a des faux-cils, des faux ongles, des faux seins. Ils ne voient jamais ces faux-culs le concret des choses.
Voulez-vous éduquer les adolescents ? "L'éducation des jeunes européens en milieu multiculturel violent" de Laurent Ozon, tout est dedans, en quatre pages. À l'opposé, les désolantes dondons éducatives avec leur furie de vengeance inassouvie, avec leur stupéfiante muflerie de poissonnière hurleuse n'ont pas leur pareil pour démolir à vie les jeunes filles et les jeunes garçons de bonne race qui leur sont confiés. Quelques années scolaires de leur régime et vous obtenez ces petits adolescents procéduriers trouillards qui ne savent ni qui ils sont ni ce qu'ils doivent faire dans leur propre pays où ils sont ultra-minoritaires, ces maussades jeunes filles gâtées qui apostasieront à la première contrariété. Ils et elles n'auront connu de l'éducation religieuse qu'une mise en conformité toute scolaire avec une série d'exigences sous la pression de "maîtresses" catastrophiques. L'éducation religieuse, la vraie, dure toute la vie, elle stipule entre autres choses que les dames ne sont pas qualifiées pour l'enseigner et que nul ne doit se faire appeler "maître", l'Evangile le rappelle en toutes lettres, c'est dire combien sont légitimes les configurations actuelles.
Quel être physique reste-t-il dans un enfant après formation religieuse par animatrice pastorale ? Quelle force, quel rapport au monde, quel nécessaire fanatisme, quelle énergie, quelle estime de soi, quelle certitude métaphysique peut-il rester à un garçon après s'être fait inculqué la déférence envers une dame dont la place sociale est en elle-même une usurpation? La réponse arrive 10 ans plus tard lors des premières confrontations physiques avec la racaille et avec la gent féminine amatrice de racaille. Ce jour-là il n'y a plus l'animatrice pastorale "dame respectée" pour rendre des comptes sur les résultats de sa formation. Mais "elle était très gentille madame Lebrouneux hein?"
Nous avons grandi sous propagande contre les pères, désignés comme alcooliques, abusifs, frappeurs à coup de ceinture. Nous n'avons jamais rien vu de tel dans les faits nulle part en 18 ans de salle d'attente de l'âge adulte. Nous n'avons vu partout et toujours dans les familles françaises que la mère abusive, la mère mauvaise, la mère indigne, la mère déshonorante, la mère hurleuse, la mère dégueulasse de manœuvres, la mère cinglée profiteuse destructrice effroyable et qui se fout absolument des conséquences de ses actes, entièrement protégée par les tribunaux et célébrée par les médias.
Mais les choses les plus sérieuses en matière d'éducation commencent exactement lorsque l'éducation scolaire vient de finir et que l'enfant doit faire sa place dans un monde qui lui est soit indifférent soit hostile. Toutes ces écoles à la con soi-disant tratra forment des intellectuels sur le modèle franc-maçon vieux de 150 ans le plus inepte imaginable, quand la seule voie porteuse, tracée par Thomas Arnold, consiste à forger le caractère dans une stricte séparation garçons/filles, loin des désastreuses mères surtout, dans une ascèse de Grec ancien, dans une apologie absolue de la Providence, de la génération de famille nombreuse, de la xénélasie et de l'excellence, dans le chant, le sport, le discernement professionnel dès 13 ans, dans la mise à l'épreuve par "devoirs" comme dans la scène du Starbucks dans Fight Club. Forger le caractère consiste à faire coïncider le tempérament personnel de l'enfant avec la Tradition: la Nature lui a donné de naître et de vivre, la Tradition lui donnera de bien vivre. En l'état actuel des choses qu'iront faire ces pauvres gamins une fois leur éducation finie, une fois au pied du mur pour "choisir des études" après des années de crétinisation sous maîtresses et chapons? À votre avis quelle est l'espérance de vie de l'âme d'un garçon de 18 ans logé en résidence étudiante d'une ville lointaine pour y "faire une école de commerce"? Et d'une fille?
L'école privée tratra c'est comme le pèlerinage de Chartres : ça s'aligne sur les exigences des nouveaux entrants qui veulent profiter d'une Tradition toute prête pour eux. Ainsi en est-il des paysans envahis par les néo-ruraux, de la France par les squatteurs, des Civilisés par les barbares. Le pèlerinage de Chartres est une mini-société sauvée des années 60 noyées sous le Déluge et qui est en train de recommencer les catastrophes des années 60.
Nous sommes tellement pétris par Mammon que nous en avons oublié comme la Providence prend soin de nous. N'est-ce pas une chose très angoissante que de voir des jeunes de bonne race mais sans gravité, sans religion, chercher la voie la plus propice à leur faire vite "engranger du fric" ? Les aventures du cadre Berthier dans le film Une Époque Formidable disait déjà tout. L'immense triche de "faire carrière", de "viser les hauts salaires" lorsqu'elle est répétée par toute une classe d'âge va forcément démultiplier l'immigration de bas salaires. La muflerie ESC de prétendre au titre de "cadre" pour encadrer, pour superviser ceux qui travaillent et jamais faire soi-même le travail porte en germe la colonisation par importation massive de profiteurs qui vont bâcler le travail, écœurer les travailleurs du sol par bas salaire et bas travail. Un peuple? Un troupeau de cadres. Universités remplies "d'étudiants étrangers" aspirants cadres. Tous d'accord pour cette attitude quasi métaphysique : faire faire le travail par d'autres et s'enorgueillir de cela.
Le travailleur à son compte, autonome, ostréiculteur, plombier, carreleur, sont les vrais créateurs de richesse, les apporteurs utiles de valeur ajoutée. Et quelle misère leur font la police, les normes, le stationnement, le fisc...
Le juste châtiment pour avoir prétendu par des études encadrer les autres c'est de devenir soi-même un précaire du tertiaire surdiplomé incapable, n'encadrant personne, et doublé dans la méchante compétition sociale par des ouvriers qualifiés bien payés dès leurs 25 ans.
Après le pèlerinage la marche s'arrête, on rentre chez soi et le culte devient statique. Bien. À peine aurez-vous fait un mouvement dans le sens de l'idéal chrétien que vous prendrez dans la gueule non pas les prédateurs extérieurs connus et déclarés de la Religion (eux se contentent de regarder et de ricaner) mais le phénomène interne très incongru des grosses dames tartuffes de paroisse, les aide-curé qui ont le doigt en l'air, les mères furieuses en surpoids et leurs maris chapons empressés, les cantinières à deux quintaux très fière du rata de midi, les empotées de la rue d'Ulm qui disent "maman" pour parler de leur mère alors que leur mère n'est pas dans la pièce. C'est l'énorme aberrant problème ecclésial de féminisation et la pire de toutes, une féminisation graisseuse, palabreuse, bordéleuse, impotente mais cramponnée à tous les aspects-clés : mise en relation, mondanités religieuses, éducation religieuse, carnets d'adresses, recommandation, validation, placement de table. Dans chacun de ces domaines c'est toujours quelque échappée de cure thermale qui commande, cela dans une jouissance des commérages, des rapports et des "mises au point" d'une bassesse, d'une mesquinerie inimaginables.
Le relâchement des standards produit la mère intrusive, la mère intrusive produit des efféminés passifs et des virils retirés du jeu. Défaillance fatale dans un monde tout tourné vers "celui qui sait s'affirmer", arrêt de mort de la génération. Ce que l'on a pu nous tourmenter par le concept d'homme du ressentiment ! Comme quoi nous serions "dans la haine", que le sous-homme s'agiterait peut-être en nous. Fabuleux cadenas de fermeture de gueule pour esclave à basse estime de soi inhibé par philosophie du soupçon.
Si ces esclaves veulent respirer à nouveau je leur dirais d'être impitoyables envers la dame du ressentiment. Ces corps débilisés assurés de leur place dans un bureau pour leur débilité même et tyrans absolus, ces impotentes en surpoids mais qui rebouffent encore, ces enfoncées dans le mur qui refusent de se réformer, ces difformités exemptées de sport par "dispense très exceptionnelle"... n'ont pas à souiller même une seule seconde la vie de la jeunesse chrétienne.
Nulle religion, nulle tradition n'est possible, n'est imaginable qui ne commence par châtier sans pitié tous ces quinquagénaires gynecées crasseux graisseux grotesques, qui ne commence par chasser loin très loin ces dangereux Majin-Bou à ventouse chercheuse, à bien rosser, à bien fouetter les prétentions de ces limaces métaphysiques rampant sur nos mansuétudes en période de chômage aggravé, à bien rabattre le sale caquet preneur de confiance de ces très coûteuses hurleuses bouches inutiles dévoreuses de fric, rumineuses de seume recraché en discordes inextinguibles sur braves gens qui ne remontent jamais la chronologie des événements. Pour retrouver la vie religieuse joviale et simple quel strigile sera assez précis pour racler les suints huileux exsudés des pores de ces oisives batraciennes sudoripares épuisées d'agiter leur éventail? Quel grattoir, quel papier de verre, quelle paille de fer sera assez rêche pour poncer jusqu'à l'arasement les dépôts moussus de ces personnifications de marécage putréfié en crue? Quelle juste proportion de vinaigre et de soude produira la réaction chimique assez effervescente pour détartrer cet ignoble enduit, pour lisser ce crépi de studio marseillais hérissé sur des fresques de Giotto ? Pour quelle granulométrie de quelle pierre ponce râpeuse, pour quel degré de rugosité abrasive faudra-t-il opter lors du grand décapage qui nettoiera une fois pour toutes l'épandage solidifié des lisiers de porcherie projetés par ces truies hurleuses bonnes qu'à saccager, qu'à baffrer, qu'à digérer des passe-droits exceptionnels, vautrées dans leurs purin de certitudes? Quel rinçage final, quelle purgation, quelle cure de lavement par eau de Vichy multipliée par Sainte-Yorre chasseresse d'impuretés saura déboucher l'occlusion, détacher ces mollusques fossilisés sur parois hospitalières, histoire que l'on chie ces corps étrangers pêle-mêle aux ordures pour de bon, que l'on tire enfin la chasse, que l'on se relève finalement soulagés d'une tonne, leur tonne, et que l'on passe à autre chose?
Quand il cherchent les coupables, les dignitaires de la très compétente hiérarchie catholique remonte toujours à Adam jamais à Eve, ils voient Borgia jamais Syna. Puis quand ils comprennent tout de même que c'est de ce côté là que le mal est entré dans le monde ils se rétractent apeurés: "Tout compte fait ne cherchons point de coupable! Le mal est fait? Tant pis! Désormais il nous faut aller de l'avant!", entendez en avant vers l'Afrique, le gynécée et le wesh Versaillais.
"C'est la fièvre de la jeunesse qui maintient le reste du monde à la température normale. Quand la jeunesse se refroidit, le reste du monde claque des dents." (Bernanos)
Le monde claque des dents? S'il y a beaucoup plus de trans***** dans le monde c'est à cause du mélange des garçons et des filles dans les églises chrétiennes. Et des reprotoxiques ! Mais la mixité est un reprotoxique social, un perturbateur, un inhibiteur, un empoisonneur autant redoutable que le plastique alimentaire. Le monde claque des dents? Le monde est irrespirable à proportion des baissages de froc de tous ces sels de la terre affadis.
Quelques remarques supplémentaires...
Il y a un péché de connerie et d'accumulation de menues conneries, un péché d'acceptation non sue d'états de fait vendus pour indépassables et achetés comme tels. Comme on meurt d'asphyxie indolore au monoxide de carbone on peut périr de brol, de graisse, de bavardage, de bibelots, de saccade, de heurts, de concession.
Et toujours se rappeler de se méfier énormément des "importantes". Plus elles vous voient mince et rapide plus vous détestent. Vous êtes sans vous en douter outrecuidant pour ces sacs à ressentiment. Elles ne peuvent avaler le reproche que vous leur faîtes à votre insu, ni le digérer, ni rien digérer d'ailleurs d'où leurs rumination de coups bas, leurs commérages gastro-oeusophagiens par renvois acides, et leurs excédents inévacués qui les contraignent à se porter elle-même deux fois en soufflant comme des vaches méthanières.
Aller à la messe nous est souvent pénible, nous n'aimons pas cela, nous y allons par devoir, pour "rendre nos respects" au Maître de nos vies chaque semaine. Ces statues sont désespérantes, ce carrelage noirâtre est désespérant, ce marron mobilier 19e siècle est désespérant, ce sont là des choses acquises, très bien. Complaisance dans la médiocrité, dictature des gougnafiers sur les esthètes, chants démusclés dans les aiguës, accompagnements bâclés, neurasthénie flottante, tout cela est connu, très bien. Pourtant il faut accepter cet agenda, cet ordo, et il portera des fruits.
Mais en des temps de dénatalité publique la seule grande épreuve en matière religieuse, et tous les débats "République contre islam" l'ont assez montré depuis les années Dantec chez Ardisson, c'est la place de la femme, la tenue de la femme, les droits de la femme. Tous nos divorcés, ruinés, cocufiés, porteurs de matrones, réceptacles à hurlements, encaisseurs d'affronts, épongeurs de dettes... ne savent se cabrer vraiment que sur un point (eux si doués pour transiger), ne savent récriminer contre Ismaël que sur un point, et c'est? C'est la place de la femme, ah ah! Le Tradi est accroché à l'ominipotence de sa cantinière "chrétienne" de 500 kilos en legging pérorant ses exigences, il y tient comme à la Messe, beaucoup plus qu'à la Messe, pour lui la société chrétienne ne peut être qu'un gynecée de bavasseuses dans un décor d'anges en bibelots et de fleurs en plastique, grignotant des biscuits sucrés avec le chauffage à fond et la buée sur les vitres parce que Madame Lebrouneux a froid vous comprenez, il ne conçoit pas de manifestation plus aboutie de la Chrétienté triomphante.
Mais que veulent au juste tous ces pachydermes à prier Marie? Qu'y a-t-il entre elles et elle? Puisqu'elle était mince, et pudique, et taiseuse, pourquoi invoquent-elles Dieu par son intercession ? Si elle est leur modèle que ne modèlent-elles pas leur silhouette, vêtement, langage, sur l'exemple sont elles se réclament?
Pour rappel voici comment le Christ notre modèle à imiter s'adresse aux dames lorsque celles-ci prétendent s'impatroner dans sa vie: "Qu'y a-t-il entre toi et moi?", "Va-t-en et ne pêche plus", "Ne me touche pas".
Vous transigez sur la primauté des hommes en Religion, vous transigerez sur tout par répercussion, par dominos psychologiques. Toutes les réalités visibles sont appuyées les unes sur les autres dans un monde invisible. Tout le monde comprend très bien les avertissements des légendes: Hélène de Sparte, les Sabines. Mais très peu assument d'agir en conséquence d'où certains ennuis hélas connus.
Il est très normal que la question cruciale soit "la femme" en des temps d'apostasie et de stérilité massive puisque la religion est une ingénierie sociale de perpétuation d'un peuple et la femme la garante de la prodigalité du peuple, de l'honneur du peuple, de la stabilité du peuple. Est-ce vraiment trop espérer pour nos jeunes: la jeune fille européenne à marier, chrétienne, bien élevée, bien habillée, et c'est tout.
Dès lors qu'une religion admet que la femme religieuse puisse jacasser tête découverte en public, c'est que tout est fini. Quels que soient les prétendus "chiffres encourageants", ce sera une croissance par la honte. Une telle faute à un tel endroit en une telle époque, après tous les vivants avertissements reçus depuis mille ans, après tous les traités de sagesse connus qui ont tant insisté sur ce point... est une transgression qui engage l'intégrité même des souches raciales du peuple emmené dans le ravin par mauvais bergers.
La femme religieuse de 25 ans qui s'interroge sur sa foi avec des mots de vidéo tiktok pour exprimer sa "connection", comment "se rebooster sa foi"... n'a rien compris, n'a rien à faire dans un pèlerinage religieux traditionnel et ceux qui l'y tolèrent vendent à crédit ce pèlerinage au Monde avant de se faire racheter à bas prix et fiche dehors à leur tour.
Qu'est-ce donc que vos Tradies, si l'on enlève l'écriteau sous le tableau d'art abstrait, que reste-t-il comme résidu à sec après évaporation des mots d'explication? Probablement le pèlerinage 2023. Comment alors "répondre de l'espérance qui est en nous" face aux Mormons, aux Amish, aux témoins de Jéhovah, et même aux religions non-chrétiennes qui en matière de vêtement se tiennent cent fois mieux que nous? Tout ce chemin tradi pour se conformer finalement au degré d'élégance d'une présentatrice quinquagénaire de KTOtv, avec pour doctrine deux paragraphes de féminisme La Croix. Les dondons de paroisse, ces excellents épouvantails placés devant les baptistères pour en interdire l'accès aux convertis sérieux, si elles sont laissées en paix, égareront par leur seule présence les derniers désirs de conversion.
Le combat spirituel consiste à se réformer soi-même chaque jour toute la vie.
Jamais ni l'orthodoxie, ni la synagogue ni la mosquée n'auraient toléré une minute d'un tel relâchement. La honte... la honte. J'ai honte. Quel spectacle à vous faire rentrer sous terre de honte que la sans-gêne dame graisseuse et sa version jeune la "tradi en short" donnée en pâture au monde. Si telle est la tradie que sera la moyenne? C'est déshonnorer la Vraie Foi, c'est se déshonnorer soi-même, c'est déshonnorer les hommes religieux à qui elles imposent leur présence. Zéro conscience de soi, zéro sens du groupe et ça prétend au titre de chrétienne. Cette honte absolue : lorsque les moines tonsurés du Barroux, ces saints hommes, sont forcés de côtoyer 3 jours durant cette pouillerie de gynecée en sueur beuglant des chansons de colo, et personne pour oser formuler une objection.
Personne ne vous oblige à venir dans un pèlerinage religieux traditionnel. Ceux qui vous y admettent sont les vrais salopards de l'affaire il est vrai. S'ils avaient un tout petit peu de courage face au monde ils se restreindraient sur un pèlerinage de 5000 personnes propres plutôt que de faire le trottoir pour un bordéleux cortège de 15000, et d'y trouver un motif de vantardise. C'est toujours le nombre et "l'ouverture" aux bas standards qui perd les causes nobles. Voulez-vous retrouver le fameux sens du sacré ? C'est simple. Parlez comme à l'entrée d'une église orthodoxe. "Pas de voile? Pas de jupe? Tu n'entres pas ici, c'est tout". Elles peuvent aller repeupler les Communauté Saint-Martin, Emmanuel, les diocèses qui en ont grand besoin autant qu'elles le veulent. Leur seule tenue démontre qu'elles n'ont rien à faire dans la Tradition.
Ces "chefs" tout remplis de textes sont les vrais salopards de l'affaire car ils laissent se propager la merde qu'ils promettent combattre alors qu'ils savent très bien comment la merde s'est propagée dans les années 60. Et eux les rescapés du déluge recommencent les années 60 par le menu! Tous admettent la notion théorique de "modestie du vêtement". Très peu sont capables de spécifier les critères concrets du vêtement modeste. Résultat, aucun n'est capable de faire respecter le port de cet habit même pour 60 minutes dans l'enceinte sacrée d'une église lors de l'office le plus saint de la semaine. Et ces gens-là seraient les dirigeants légitimes de milliers de jeunes chrétiens ?
Notre idéal esthétique ? Des corps minces, des visages graves, très au courant du tragique de la vie et de la condition de l'homme français en France, des personnes frugales sur lesquelles une hyène ne trouvera rien à manger, des vies sobres toutes de rusticité avec l'extérieur, toute de douceur avec l'intérieur.
Tout ce trop connu foutoir de bourgeois-bordel "pas fixé sur le matériel" stérile et désastreux doit être démantelé intégralement avec ses pourvoyeurs.
Le voile, au moins à l'église, vous l'avez abandonné à "libre appréciation individuelle". Même séparer les hommes des femmes à l'église, ce tout petit signe vérifiable de respect du sacré qui permet à un adolescent de voir l'autel devant lui quand il prie et non le cul d'une dinde, cela aussi vous l’avez laissé gâcher dans le pêle-mêle foutoir "évolué" de vos goûts invertis.
Invertis et divertis où sont vos convertis ? "Allez d'abord aux brebis perdues de la maison" vous a-t-on dit, mais y êtes-vous allés? Celles-ci sont les Français de souche, athées, retournés, dégoûtés. Ce sont vers eux d'abord que doivent aller nos prières, nos mains tendues, nos efforts, et parmi eux-mêmes priorité aux gens de bonne volonté, aux hommes sains, aux femmes saines : beauté physique, vitalité, horreur de la vulgarité, compétence, ce sont ces fruits du bon sens qui nous peuvent rendre le Bien Commun par mariages, familles, enfants.
Le laisser-aller de la Forme traditionnelle prépare le laisser-entrer de l'informe. Voyez la mousse expansive comme elle opère : c'est cela l'image du laisser-aller, c'est une dilatation, un relâchement de la Forme dans l'espace et le temps. Maintenant imaginez qu'un champignon vienne véroler cette matière levée propice aux infections, qu'il l'investisse dedans, dehors, la rende spongieuse, liquéfiée, la fermente et s'en nourrisse jusqu'à la consommer entièrement. Vous avez le processus complet relâchement-invasion. La nature nous avertit assez en la personne des jeunes filles: ravissantes à dix-huit ans, combien sont méconnaissables dès leurs vingt-cinq ans passés ?
Tout ce qui est frugalité diététique, soin et restriction du langage, voile, modestie du vêtement, ascèse de l'emploi du temps sont des standards d'intelligence de la vie quotidienne, des techniques de contention de la Forme pour la maintenir, la muscler, la former à subsister beaucoup avec peu d'apport. La rusticité révulse nos tendances naturelles au plaisir. Moyens de supporter la rusticité? D'abord l'état d'esprit: zèle religieux, conscience de l'invasion, fanatisme pour un idéal de Beauté. Puis investir ou dépenser l'argent mais ne pas le thésauriser, le chant, la danse, la création, l'action concrète sur les choses, le sport, la baignade, le massage, le parfum, l'ameublement, le travail, les victoires. Petites récréations...
Si vous transigez sur la Forme peut-être garderez vous dans certains cas la Foi en vous-mêmes mais au-dehors de vous, l'exemple vivant que vous rendez portera témoignage contre votre Foi, abaissée à proportion de l'abaissement de vos standards. "Fi du regard des gens!" direz vous... Pardon ce n'est pas vous qui serez souillé mais l'honneur de la Foi que vous croyez représenter correctement. L'exemple catastrophique des matrones de paroisse et autres déjetés a six décennies d'éloquence derrière lui: ce ne sont pas eux-même qu'ils minent mais l'Etre Collectif et le rayonnement extérieur de l'Etre Collectif. Ils n'ont qu'à paraître pour repousser les indécis, fatiguer les candidats, inhiber les convertis, écœurer les braves gens, confirmer les infidèles, rassurer les athées, et comble de la catastrophe retourner les jeunes qui pourraient faire de belles familles chrétiennes pour les pousser dans la stérilité eux aussi, dans l'inversion, dans l'apologétique adverse etc.
La Forme sans ascèse se dégrade ; qui ne se réforme pas en permanence se déforme.
Dès lors l'Eglise se dépeuple, la démographie française baisse, l'invasion se répand. L'ascèse et la rusticité, le voile et le clanisme bref l'esprit de clôture sont les seuls rapports au monde fructueux en temps d'invasion. Ceux qui ne comprennent pas cela se condamnent à dispersion, à dilatation de mousse expansive : après l'illusion de l'ivresse vient la dépression du réveil et de la casse à rembourser, des embrouilles à régler.
Sous le joug d'un pouvoir qui a confisqué exprès vos frontières c'est à vous de protéger votre clôture sociale: charité absolue en interne, prudence absolue en externe. Plus de frontières ? Clôture. En période de frontière sûre point besoin de clôture. Or les 20 millions de vrais Français qui restent dans le pays vivent dans leur majorité encore comme s'ils étaient protégés par une frontière, d'où leurs ennuis hélas : filles menacées ou "consentantes" (pire), pères déshonorés, garçons isolés, personnes âgées recluses, enfants maternés etc.
En matière de gestion de ses filles du sol avant mariage un pays envahi dispose de deux options: le couvent ou le bar à putes. La majorité des envahis trouve la seconde option plus conforme à leur sens de l'honneur, nous pas.
Il est tout à fait normal entre Blancs civilisés en France que les garçons et les filles du pays, enfants de la même race, physiquement frères et sœurs, se côtoient en temps de paix habillés selon la décence commune, et en toute sécurité se courtisent, se marient. Il en va tout autrement dès l'intrusion ne serait-ce que de dix éléments étrangers mus par la convoitise qui constatent avec étonnement leur impunité chez 20 millions de Français inoffensifs. C'est ici très précisément que la fameuse "pompe aspirante" entame ses premiers hoquets de succion. Elle va bientôt tourner à plein régime jusqu'à donner la tristement célèbre "invasion massive". Qui dit intrusion une fois dit intrusion mille fois par rameutage des frères, par répercussion en d'autres intrusions jusqu'à l'invasion massive avec prédation sur l'habitant. C'est pourquoi dès l'invasion commencée la technique de l'uniforme obligatoire est le minimal sursaut vitaliste.
Voilà le moment où les formes traditionnelles du mode de vie européen ont l'occasion de se muer en Intelligence Politique. La Forme de la vie quotidienne est un diaphragme qui peut s'ouvrir ou se rétracter. Quand la frontière tombe c'est la peau qui devient la frontière. D'où les meurtres, le métissage et les viols qui sont des formes d'invasion outrepassant la frontière de la peau. Or en cas d'invasion un patriote, un gardien de ses frères, l'esprit grégaire d'entraide, la Charité elle-même, commandent une rétractation, une prudence de la peau comme un factionnaire monte la garde d'une denrée chassée. Le voile n'est pas la tradition européenne (encore que!) mais refiler ses filles en pâture à des fils de pute n'est pas la tradition européenne non plus. Les européens libres devraient réévaluer où se place le sens de l'honneur en période d'invasion, pensée dialectique dont la plupart de nos identitaires n'ont pas la moindre idée or la France est de tous les pays civilisés celui qui subit chaque jour la plus vorace, la plus ravageuse, massive invasion. On ne vit pas envahi comme on vit souverain, cela tient de la plus élémentaire prudence. On ne s'habille pas pareil, on ne se déplace pas pareil.
1660 l'Europe catholique sombre dans le bibelot, l'angelot, le mobilier contre-réforme pendant que l'Amérique, sobre et vêtue de noir commence son essor. Que nous reste-t-il dans l'Eglise? La tonsure des moines du Barroux. Les Beaux chants dans les graves (Credo III, Gloria IX, Lauda Sion, Veni Sancte), la liturgie, l'étiquette, un restant d'ordre. Et pour l'avenir ? Le vêtement hiératique dont le scoutisme de notre jeunesse à fourni les standards intemporels nous aide à concevoir un vêtement laïc régi par les critères d'un uniforme.
Que notre vie soit un foutoir est un fait qui peut se réformer si nous nous appuyons sur une tradition stable, un ordonnancement harmonieux, la Crainte, la pureté génétique d'un peuple saint. Toutes choses dures et divines.
L'ismaëlisme est l'impression en creux des vices blancs: fanatisme contre neurasthénie, honneur par les femmes contre soumission par les femmes, cocufieur contre cocufié, prolifération contre stérilité, tranquillité contre anxiété, famille contre individu etc. L'ismaëlisme est un signe que personne ne veut lire. La réaction d'orgueil athée à l'ismaëlisme accentue les vices des Blancs : Eux pas d'alcool? Eh bah nous, alcoolisme, ah ah! Eux pas de porc? Eh bah nous, charcuterie industrielle nitritée, ah ah! Eux pas d'érotisme? Eh bah nous, filles ouvertes et pornographie, ah ah! Eux familles nombreuses? Eh bah nous stérilité, etc...
Revenons à nos chefs tratras. Ont-ils obtenu sur le plan de la diplomatie cléricale interne une seule victoire en 40 ans sur les modernos? Où sont les miracles promis? Où en est la "lame de fond", la reprise en main promise par les nouveaux contingents de "prêtres pour l'Eglise" des paroisses dépeuplées? Les pires saccageurs archéo-maçons ont tout détruit devant vous jour après jour et vous n'avez rien fait. Pas une seule fois vous n'avez organisé de rendez-vous surprise avec un "évêque" attendu en bas de son local ou seulement sa confrontation physique avec les fidèles écœurés, pour qu'il assume en pleine lumière. Toujours c'étaient ces "textes", ces "documents produits en réponse à", le détroussage par le prestige du baratin et des "procédures prévues" quand la conduite des brebis est une chose physique très concrète dans laquelle les points de droit canon ne servent qu'à occuper l'adversaire courbé sur des paperasses pendant qu'il se fait rafler tout le terrain, là devant lui, autour de lui. Le tratra docteur en droit canon était je m'en souviens tout enorgueilli d'être invité par l'histoire à se prononcer sur la validité de tel sous-synode, sur la teneur, sur la valeur hors-cathèdre de tel clin d'œil... Il était gras, et lent, il allait de plus en plus vers le gras et le lent, champion des bonnes manières à table, aux solennels dîners de très sérieux manieurs de dînette, il étonnait les convives grosses dames par sa vertu de patience, d'obéissance, il devait l'emporter c'était certain, au nom de l'avenir de l'intelligence, lui le très savant, très lent, très tratra prélat.
Ce tratra directeur d'école par exemple "ne voyait pas le problème" d'affubler son établissement d'une équipe pastorale entièrement africaine. En apparence Monsieur le Directeur restaurait hardiment l'enseignement chrétien exigeant, viril. En réalité la jeunesse européenne sous sa responsabilité apprenait donc en toute confiance à s'agenouiller devant des Noirs et à ouvrir la bouche, et monsieur le directeur n'y voyait nulle faute, ceci malgré 50 ans d'invasion, agression, colonisation, après 40 de métissage industriel sous propagande de guerre, après 30 ans de pornographie ciblée, après 30 ans de hagra sur les babtous, ceci en pleine affaire BLM, mais non aucun outrage ne pouvait éveiller de sursaut vitaliste chez ce membre sec de la confrérie des bûches.
Les jeunes filles se précipitent sur le voile à cause du néant catastrophique du "vêtement chretien". N'avez-vous pas compris, ne frequentez-vous donc jamais de filles pour déceler comme leur être est en demande inverse de ce que prescrit la propagande, en demande d'appartenance exclusive, de signes d'appartenance, d'un très simple code du vêtement, code de conduite du "savoir où aller" et que le libéral "fais comme tu veux" les précipite dans d'autres signes, d'autres appartenances? Négligences catastrophiques en période d'invasion, d'une massive invasion elle absolument conservatrice, fanatique, hiératique.
Ces bataillons qui ont gobé par consommation d'écran toutes les couleuvres vont venir affadir ce qui restait de pureté dans ce petit pèlerinage et brailler "chantent les sardines" sur des zones d'étalement urbain, entre les turbines à vent et les antennes. Il y a seulement 15 ans ces lieux étaient encore les "océans de blé qu'a d��crit Charles Péguy, une Beauce pour laquelle ces ouvriers de la 25e heure n'ont aucune sensibilité. Ils ne savent pas, ils peuvent pas.
Le respect du culte mais le mépris du sacré. Habillés "venez comme vous êtes".
Le sens du combat c'est la continuité du peuple Français de souche. Il suppose l'honneur du peuple par la vertu des jeunes filles ; la catastrophe a commencé lorsque les FDS ont rejeté ces protections de leur identité par esprit de répulsion envers une pudeur traditionnelle soudain vendue comme expression d'arriération orientale.
La putification tranquille n'est pas européenne mais anti-européenne et mise en place comme telle, c'est du miel attracteur de mouches, excitateur d'agressions, pour le pillage d'un peuple qui ne comprend rien parce qu'il persiste à vivre envahi aussi libéralement que lorsqu'il vivait libre.
Nous aimons regarder les filles mais entre hommes civilisés, de la même race que les filles regardées, et sur un territoire libre.
Il y a davantage que l'honneur de la jeune fille dans sa pudeur vestimentaire c'est l'honneur de son nom de famille, et au-dessus encore se trouve l'honneur du Peuple c'est-à-dire la continuité incorrompue des générations du Peuple dans le temps.
"La paix c'est la tranquillité de l'ordre". La première condition de la minceur c'est la diète. La première condition de la paix c'est la juste hiérarchie. Dans la vraie tradition seuls quelques hommes ont la personnalité juridique, en général par mandat impératif sanctionné d'exil en cas de défaillance.
"La guerre spirituelle"! Propice trouvaille de nos comtesses de l'impossible qui ne tiennent pas la faim deux journées de suite. Et ce serait devant d'aussi grossiers mensonges vivants qu'il faudrait s'écraser ? Mais n'importe quelle Didia Clara, fille de patricien, vestale "païenne" vivait avec cent fois plus de vertu, de pudeur, de sens de l'honneur communautaire, de conscience de sa race que toutes les solennelles dondons de paroisse de France et d'Europe réunies.
Les jeunes Français chrétiens idéalistes, privés de leur alter-égale, se jettent dans le séminaire alors qu'il est beaucoup plus noble et sacrificiel par les temps qui courent de devenir père de famille de 12 enfants.
Et nous n'aimons pas la manière cléricale actuelle. Ce n'est pas la religiosité pépère du mythique abbé de Torcy, le réconfortant "ça va aller" du curé de campagne aguerri et taiseux très au courant de la condition humaine et notamment de la masculine. C'est l''estomac inquiet d'Ambricourt qui ne conçoit de pureté que par souffrance "rédemptrice" pendant que l'invasion décontractée se goberge sur ses scrupules, c'est le pathos efféminé, émotionnel des talas cocufiés, contractés, heurtés, remplis de bibelots. Insensibles aux notions de circulation fluide des ondes ils sont des aliénés de la Beauté, des étrangers aux choses de l'intuition. Ils font des sermons quand il faut faire des enfants.
Leurs prises de parole inopportunes tombent mal à propos, gaffes non sues de l'incongru faiblard "chef" qui ne sait pas gérer, qui veut gérer, qui veut être "respecté", l'homme efféminé. Amenuisé il a joué de sa faiblesse comme d'une dispense "à titre très exceptionnel" pour monter dans les grades puis une fois parvenu se conduit en tyran. Cela très analogue avec le modus operandi de certains envahisseurs, qui ne sont aujourd'hui forts que de notre pitié d'hier et se croient arrivés par eux-même. Ainsi du Trocadéro. Ainsi des terrains de foot.
Dernières choses. "Les Américains ceci, les Américains cela" disent-ils... l'Amérique ils n'y sont jamais allé. D'abord une seule paroisse américaine recèle dix fois plus de saints inconnus que tous nos crasseux palabreurs ceinture noire de casuistique. Et puis d'une manière éclatante, irréfutable, les catholiques américains sont les plus conséquents, les mieux éduqués, les mieux habillés, ils engendrent les familles les plus jolies, les plus proprettes, les plus capables de l'Eglise universelle. Cherchez-vous un modèle de société, une théologie du vêtement, une ingénierie sociale catholique qui ait connu quelques succès, une éducation du caractère qui sache former des Chrétiens forts et des Chrétiennes gracieuses ? Cherchez en Amérique, lieu des erreurs à éviter certes, mais aussi des exemples régénérants.
La religion est le véhicule d'un peuple à travers le temps. Un peuple a donc un intérêt à garder sa religion. Les vertus sont invisibles, les formes sont visibles, ensemble elles garantissent la solidité du véhicule à travers le temps. La religion relie la créature à son créateur et propose d'atteindre un idéal céleste par un idéal terrestre.
Les hommes peuvent bien se faire autant qu'ils le veulent des prédicateurs érudits, des exégètes, des docteurs, des "hommes de science", des savants, des frères prêcheurs... Les hommes peuvent s'agiter autant qu'ils le veulent, s'ils sont célibataires le véhicule n'avance pas. Seule l'union avec une femme permet au véhicule de traverser le temps, par la naissance des enfants. C'est cela qui a aiguillé certains théologiens vers une comparaison de la rencontre de l'homme et de Dieu avec la rencontre de la femme et de l'homme: en somme l'Alliance c'est le mariage monogame et monothéiste, la femme lorsqu'elle est la bonne c'est Dieu puisqu'elle vous choisit, vous sauve, qu'elle connaît vos secrets, que vous travaillez pour elle, qu'elle vous juge, et que par la maternité elle vous ressuscite.
Mais trêve d'hypothèses romantiques. En société multiculturelle, la "guerre des berceaux" est le vrai nom de la société, guerre dont l'issue repose sur l'ingénierie sociale que développe telle ou telle religion et l'on sait depuis les années 60 libanaises que la religion chrétienne entretient dans ce domaine une légèreté catastrophique : chasteté des hommes et liberté des femmes, indifférence dévorée par l'athéisme et le sunnisme, manipulée par le talmudisme, massacrée par la loge, la fécondité chrétienne parvenait bientôt à peine au renouvellement des générations. L'accès à la bourgeoisie qui suppose une prééminence de la carrière sur la famille achevait de tout détruire.
Les enfants appartiennent aux seuls pères. Ils sont portés par les mères, confiés aux mères, parfois élevés en partie par elles mais n'appartiennent ni à l'Etat ni à la mère, ni aux tribunaux, ni aux franc-maçons, ils appartiennent aux pères seuls jusqu'à leur majorité.
Nous aimons au suprême la beauté physique, l'excellence de la créature comme indice de l'excellence du créateur, nous savons la reconnaître certes, certes. Mais cette beauté physique est pour nous c'est à dire que monsieur Durand épouse mademoiselle Dupuis, qu'il n'y a pas de "marché ouvert" au tout-venant, pas de rencontre laissée au hasard de prédations externes et de libéral haussement d'épaules alors que c'est le point le plus capital d'une vie dans la chaîne des vies dans le temps. Et pour que monsieur Durand épouse à 18 ans mademoiselle Dupuis et lui fasse 20 enfants nous ne reculons devant aucun moyen mais les prenons tous, surtout ceux qui font sursauter nos "cathos" tranquilles : zéro écran, vêture de mormon pour les filles et régime de spartiate pour les garçons, habitat modèle Orania et enseignement modèle Martinerie multiplié par internat de Sarlat 1920. Garde absolue du langage, cours de dialectique, de langues étrangères, de lutte et de boxe, d'athlétisme, de bricolage et d'esthétique fonctionnelle. Les enfants aiment énormément l'éducation exigeante mais pour cela il faut les débarrasser de leurs catastrophiques mères. Nos plus beaux souvenirs de vacances enfant? Le scoutisme loin de tout sur les routes et par les champs, en France.
PS: Autre immense lacune de la cléricature en temps d'invasion: qu'est-ce que la race? Qu'est-ce que la race blanche surtout, et d'où vient-elle ? Le caractère récessif des gènes clairs est-il une théophanie des dogmes du péché originel et de l'immaculée conception? Quels sont les droits particuliers des Blancs notamment français au sein d'une Église qu'ils ont plus que largement contribué à bâtir ?
#Charles Péguy#Chartres#Pélérinage#Pilgrimage#Pilgrims#Laurent Ozon#Julien Langella#Patrick Buisson#Alain Soral#Zentropa#Infanteriesauvage#scout#scouts#Academia Christiana#France
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Scène 6 "Aunt Catherine"
Catherine avait un air amusé en faisant glisser sa culotte sur ses fesses et ses cuisses. La lenteur de ses gestes provoquait en moi des frissons de plaisir, je sentais ma queue de plus en plus serrée dans mon boxer, réagissant par soubresauts. Mon pantalon se déformait nettement laissant apparaitre une bosse qui ne laissait plus aucun doute sur l'effet que me provoquait ma tatie en train de se dévoiler sous mes yeux. Elle ouvrait ses grands yeux en voyant l'effet qu'elle me procurait en lâchant par moments des "hum !!!" quand elle baissait son regard sur ma bosse. Elle devenait de plus en plus sensuelle, plus coquine et ses réactions rendait la situation encore plus excitante. Je savais maintenant que j'allais la découvrir nue pour la 1ère fois après avoir tant rêvé d'elle durant mes années d'adolescence.
On restait silencieux, pas un bruit dans l'appartement, je pouvais entendre le frottement de sa culotte sur le nylon de ses bas et par intermittence le déclic de mon appareil photo. Catherine rompait le silence
"C'est un vrai roman photo que tu nous fait dis-donc ?!"
"Oh oui tatie ! je serai heureux de te le donner, on sera les seuls à pouvoir le regarder" ajoutais-je en réalisant qu'elle aussi pourrait se caresser en se remémorant ce moment.
"Ah oui j'espère bien, je suis curieuse de voir ce que tu as pris"
"D'accord avec plaisir mais alors promets moi que personne d'autre ne les regardera" reprenais-je pour la taquiner
Elle se mit à rire en laissant sa culotte au niveau des cuisses. Je pouvais admirer le galbe de ses fesses. Elle prenait une posture presque provocante en cambrant sa croupe comme si elle voulait m'exciter encore plus.
"Oui c'est promis, tout ça restera entre nous, rien que nous"
Elle posa ses mains sur les rebords de l'évier, sa culotte recouvrait sa cheville. Elle avait repris une expression sérieuse, la connivence était à son comble. Je restais intimidé devant cette femme mure excitée, offrant sa nudité. Les jambes gainées dans ses bas, chaussée sur ses talons, son ventre rond et grassouillet enveloppé par la ceinture de son porte-jaretelle, ses seins nus, tombants sur son ventre, ses tétons dressés par le désir. Son corps dénudé, orné de bijoux et cette mèche terriblement excitante qui tombait jusqu'au coin de ses lèvres.
Je m'étais imaginé son sexe depuis que j'avais 13 ans, dans mes scénario elle était poilu, un large triangle brun comme pouvaient être les femmes de sa génération. Mon regard ne quittait pas son intimité, en j'en oubliais d'immortaliser ce moment. Jamais elle n'aurait imaginé combien de fois je l'ai fantasmé, combien de fois j'ai rêvé de caresser sa chatte, l'embrasser, la lécher en l'imaginant jouir et combien de fois je l'ai pénétré. Son mont de vénus était charnu et rasé, légèrement plus foncé que la blancheur de sa peau, laissant deviner une pilosité naissante. Je devais un air ahuri en restant bloqué sur son intimité.
"Tu ne prends pas de photo ?" avait-elle dit d'un air amusé comme pour me sortir de ma torpeur
"Oh que si tatie ! peux-tu garder cette pose s'il te plait ?"
Je prenais mon temps pour le cadrage en m'approchant, faisant la mise au point. Elle ne bougeait pas, elle me regardait son sourire avait laissé place à une expression sérieuse, peine d'émotions. Son excitation était palpable quand j'appuyais sur le déclencheur.
A suivre ... (Scène 7 le 9 avril à 6h00)
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3H est un otome game ???? Alors là c'est la meilleure
La classe des Lions de Saphir c'est un peu ça lol
Plus sérieusement, avec l'introduction de l'avatar qui est censé représenter le jouer et la mise en avant des relations parasociales ("coucou moi c'est Linfan et je suis votre fils/fille!" osef) on a de plus en plus d'éléments qui poussent les jeux FE vers le fameux "dating sim", l'avatar va se marier avec qui? Le type ténébreux et mystérieux, le mec toujours optimiste, l'archétype de la princesse de glace qui ne se dégèle qu'aux cotés de son love interest, la tsundere, la hikikomori...
Bref, les personnages sont presque tous réduits à être de potentiels love interest et donc à entrer dans une case pour "plaire" au joueur...
Malgré tout, on ne va pas se mentir, FE n'est pas pensé/réalisé pour être un jeu qui vise un public féminin - si on peut tout autant faire son choix entre "waifus" et "husbandos", la cinématique d'introduction de Camilla est bien là pour rappeler que même si on joue Corrine, le public majoritairement visé reste... le public masculin qui est capable de jeter de l'argent non virtuel pour acheter des unités Gullveig sur FE Heroes.
"Oui mais random, les jeux peuvent aussi viser le public féminin qui trouve les femmes attrayantes!"
Certes, mais il ne faut pas se voiler la face - c'est quelle version de Billy que Dedel dessine dans le jeu?
Si certains (ou certaines?) on pu voir de l'inclusivité dans ce jeu, ben tant mieux pour eux, mais on ne m'enlèvera pas l'idée que les relations F/F dans ce jeu (et dans Nopes!) c'est juste pour titiller la nouille de joueur - surtout quand on les compare aux nombreuses (mais sous-entendues comme dans le reste de la franchise!) relations M/M.
Monica qui compte le nombre de fois où Dedel sourit ou parle ou mentionne le nom de Barney/Hubert/le chat gris du monastère c'est... absolument pas du même niveau que Rodrigue qui jure à Lambert de s'occuper de son fils et qui ne jure que par Lambert même des années après sa mort (et ce alors que Nopes nous révèle que Matthias aussi était censé faire partie de la bande, mais qui c'est qui nous parle sans arrêt de Lambert, Rodrigue ou Matthias? Est-ce qu'ils étaient juste "potes"?), ou Dimitri et Felix/Dedue...
Il y a Doro, qui a plus d'affinité avec certains personnages féminins, mais d'un point de vue "Doyliste" comme on dit, qui est le personnage féminin qui est attiré par les autres femmes? Bernie, Leonie ou Doro ?
Qui peut se marier avec Billie, Mercedes ou Annette?
J'entends que Billy ne peut pas non plus se marier avec Dimitri et Claude, donc niveau inclusivité M/M on est pas là non plus, mais justement.
FE Fodlan, pour la représentativité sur le volet "dating sim" est au ras des pâquerettes, en faisant du cru, l'avatar Billie aime les pastèques (sauf Dedel!) parce que Cuboon l'a bien dit en expliquant que deux femmes en maillot de bain c'est un "milk truck" - Billy lui finit avec des tokens pour faire progressiste mais rien de bien méchant qui permet de mettre en avant une relation M/M entre l'avatar du joueur et un personnage - Alois et Gilbert sont tellement ignorés par la fanbase et les devs qu'ils ont été retirés de Nopes, Yuri a vu le jour avec un DLC et Jeritza... n'est jouable que dans une route de FE16.
En gros, un jeu où les personnages féminins attirés par les femmes ont toutes de grosses poitrines, ça me fait d'avantage penser au mindset "milk truck" de Cuboon (avec les sous-entendus dégeulasses qui vont avec!) qu'à un effort d'IS de faire de l'inclusivité.
FE a toujours traité les relations homoerotiques avec assez de classe chez les hommes, alors voir la façon dont les couples entre femmes sont explorés... parfois ça passe (même si ça souffre toujours de la comparaison avec leur "alter ego" entre hommes!) et parfois, ça finit en alts de FEH où deux femmes sont "attirées" l'unes par l'autre par une sorte de magnétisme mammaire qui les forcent à presser leurs seins l'une contre l'autre.
Loin d'être un otome game, FE16 pour moi se rapproche d'un dating sim à destination d'un public spécifique, qui n'est absolument pas le public des otome games.
Heureusement que ça reste tout de même un jeu FE donc malgré tout appréciable, mais quand on se rend compte que le choix entre Fleur Vermeille et Neiges Argentées se résume à "et tu veux finir avec quelle waifu? Rhea - que tu dois avoir harcelé pour faire un soutien A pour obtenir toutes les réponses et sa conclusions pendant le début du jeu - ou Dedel?" je pense que je ne fais pas partie du public visé par FE16.
Et ça reste quand même une bonne chose que FE Fodlan ait réussi à toucher plus de joueurs que ceux qui étaient visés par les développeurs de Fodlan - si tout le monde a pu en tirer quelque chose de positif ou au moins passer un bon moment c'est tant mieux, même si je pense qu'il ne faut pas prêter trop d'intentions aux développeurs qui ont toujours eu l'arrière-pensée de faire une carte "Dedel en nuisette".
C'est un peu comme un anniversaire, tu prépares un gâteau pour l'enfant qui fête son anniversaire parce que c'est son préféré, mais ses copains le mangent aussi et le trouvent super bon : tant mieux pour tout le monde non?
Mais il ne faut tout de même pas oublier que le gâteau, au début, n'avait pas été fait pour leur faire plaisir à eux.
#anon#replies#french post#ce n'est pas que dans FE en fait#je crois qu'il y avait un article récemment#qui se demandait pourquoi on vois plus de couples entre femmes à la télé qu'entre hommes#parce que le male gaze existe#'deux femmes c'est joli'#'deux zigounettes c'est berk'#avec un mindset comme ça impossible d'en faire des otome games#et on en revient au postulat de départ#FE Fodlan a toujours été pensé pour un public masculin qui aime les femmes
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J’ai été appelé par les conditions difficiles qu’a rencontré le développement de cette pratique en France, à y prendre une position qui est une position d’enseignement.
Cette position part des faits, et pour cela il a fallu qu’elle y retourne.
Des faits, ceci veut dire des faits examinés pour voir en quoi ils consistent : c’est dire encore des faits scientifiquement établis.
Même sans le savoir, tout le monde tient maintenant pour des faits, ce qui ne fut longtemps que rebuts purs et simples : – ce qu’on appelait les actes manqués – ; de même pour ce qui s’était réduit à la portée d’objets curieux qu’un amateur faisait valoir d’un coup de revers de manche : les rêves.
Remarquons que tout le monde sait le nom de Freud grâce à qui notre idée des choses s’est ainsi complétée.
On soupçonne encore que pour le mot d’esprit, Freud a apporté quelque chose qui ne permet plus d’en considérer l’effet de rire comme futile, et qu’il est devenu par là un fait digne d’une considération autre que purement philosophique.
Sur quoi ce changement repose t-il ?
Qu’on aille y voir dans les textes originaux, dans les textes de Freud lui-même, non pas dans ceux des ombres heureuses qui se sont mises à prophétiser de sa bonne nouvelle, ni des exploitants qui leur ont succédés : on verra que ces faits dans Freud sont établis comme des faits de langage.
Les rêves s’y traduisent comme une version au collège, grâce à un dictionnaire que chacun a dans sa tête et qui s’appelle l’association libre : association libre de quoi ? de ce qu’il lui vient à raconter.
Mais ce ne sont pas les choses ici qui à Freud donnent le sens, mais les points de concours qui se dégagent d’un texte et d’une sorte de décalque dont il rapplique le mot sur le mot, la phrase sur la phrase, le verbal sur le verbal, ceci jusqu’au calembour.
Les obtus disent maintenant qu’il s’agit là du préconscient.
C’est justement dans la fonction de ce qui le tourmente, ce préconscient, de ce qui fait sa sensation à lui, Freud le formule en ces termes, que le préconscient rencontre des mots dont il n’a pas le contrôle.
D’où lui viennent-ils ? Précisément de l’inconscient où il gîte comme refoulé, Freud ne le dit pas autrement.
Que ces mots ne soient pas à la dérive, c’est-à-dire que leur dérive ne relève que d’une loi des mots – d’une logique radicale que je tente d’établir, voilà qui va à une révision totale de tout ce qui a pu se penser jusqu’ici de la pensée.
Disons que la pensée ne peut plus être le sujet, au sens légué par la philosophie.
À savoir la fonction de la conscience, telle qu’elle devient dans l’idéologie évolutionniste aussi bien que dans l’idéalisme existentialiste, en deux sens d’ailleurs impossibles à conjoindre, la raison d’être du monde.
Il n’y a rien à faire contre l’évolutionnisme : l’homme continuera à se croire la fleur de la création, c’est la croyance fondamentale de ce qui le constitue comme être religieux.
De même qu’il fallait que la fièvre existentialiste couvrît un moment, celui de l’après dernière guerre, où la conscience de tous et de chacun n’avait pas très bonne mine. Toute une jeunesse a supporté son loisir forcé de se sentir fortement en situation, c’est une forme de la prière.
La cabale des dévots n’est pas là où la dénoncent ceux qui parlent d’humeur, c’est à dire à tort et à travers.
Tout ceci n’a aucune raison d’arrêter le mouvement de la science qui consiste toujours à inaugurer un calcul d’où soit éliminé tout préjugé au départ.
Après cela, le savant n’a plus qu’à suivre.
Son inconscient ne laissera pas le calcul s’arrêter, justement du fait que les présupposés du calcul auront laissé en blanc la place où il pourra jouer.
On peut s’étonner ici que je semble méconnaître la part de l’expérience, au sens physique dont ce mot résonne, mais c’est justement que je ne la méconnais pas : l’expérience de l’inconscient prise au niveau où je l’installe, ne se distingue pas de l’expérience physique. Elle est aussi extérieure au sujet, celui-ci étant pris au sens traditionnel.
Je le désigne au lieu de l’Autre : l’inconscient est le discours de l’Autre, est ma formule.
Il est structuré comme un langage : – ce qui est pléonasme nécessité pour me faire entendre, puisque langage est la structure.
L’inconscient n’est pas pulsation obscure du prétendu instinct, ni cœur de l’être mais seulement son habitat.
Non seulement le langage est un milieu aussi réel que le monde dit extérieur.
Mais il faut être aussi crétinisé qu’on l’est par les imaginations où se sont constituées jusqu’ici la théorie de la connaissance et les prétendues méthodes concrètes de l’éducation, pour éluder ce fait massif (mais justement il ne devient un fait qu’une fois supporté d’une condition scientifique) que l’homme croît – fait sa croissance – autant immergé dans un bain de langage que dans un milieu dit naturel.
Ce bain de langage le détermine avant même qu’il soit né.
Ceci par l’intermédiaire du désir où ses parents l’accueillent comme un objet, qu’ils le veuillent ou pas, privilégié.
Ce que le moindre éveil clinique permet d’apercevoir dans ses conséquences incalculables jusqu’ici, mais sensibles dans tous les êtres, et ce qu’ignorent les patouillages du religieux comme du médecin concernant la régulation des naissances.
Or le désir n’est pas la «passion inutile», où se formule l’impuissance à le penser, des théoriciens de l’intention existentielle.
Le désir est proprement la passion du signifiant, c’est-à-dire l’effet du signifiant sur l’animal qu’il marque et dont la pratique du langage fait surgir un sujet – un sujet non pas simplement décentré, mais voué à ne se soutenir que d’un signifiant qui se répète, c’est à dire comme divisé.
D’où cette autre formule : le désir de l’homme (si l’on peut dire) c’est le désir de l’Autre.
En l’Autre est la cause du désir, d’où l’homme choit comme reste.
Tout ceci s’énonce en une suite scientifique à partir du moment où il y a une science du langage aussi fondée et aussi sûre que la physique, ce qui est le cas au point où en est la linguistique – c’est le nom de cette science – d’être considérée partout maintenant pour ce qui est du champ humain comme une science pilote.
On a entendu qu’à «humain» et à «homme», nous mettons des guillemets pour autant que dans ce que représentent ces termes est déjà présent l’effet du langage, et qu’ils doivent donc rester en suspens.
Les choses apparaissent sous un tout autre aspect chez moi où l’on dit qu’il s’agit de révéler la structure du désir, et ceci en tant que justement le sexualise l’impuissance du langage à rendre raison du sexe.
Les choses sont aussi plus honnêtement posées quand on ne promet pas du même élan la levée de telle interdiction inconsciente entravant la pratique sexuelle, et la solution du monde de problèmes que soulève le rapport de l’homme et de la femme dans le moindre conjungo.
Ce que je dis là, tout le monde le sait, mais chacun ne s’en berce que plus aisément d’un raccommodage des superstitions les plus éculées.
On n’y peut rien et le mauvais usage de toute vérité est son écueil le plus ordinaire.
Mon livre n’en fait état qu’incidemment.
Mes Écrits rassemblent les bases de la structure dans une science qui est à construire – et structure veut dire langage – pour autant que le langage comme réalité fournit ici les fondements.
Le structuralisme durera ce que durent les roses, les symbolismes et les Parnasses : une saison littéraire, ce qui ne veut pas dire que celle-ci ne sera pas plus féconde.
La structure, elle, n’est pas près de passer parce qu’elle s’inscrit dans le réel, ou plutôt qu’elle nous donne une chance de donner un sens à ce mot de réel, au delà du réalisme qui, socialiste ou non, n’est toujours qu’un effet de discours.
Si je maintiens le terme de sujet pour ce que construit cette structure, c’est pour que ne reste aucune ambiguïté sur ce qu’il s’agit d’abolir, et qu’il s’abolisse, au point que son nom soit réaffecté à ce qui le remplace.
Et je n’aurai pas encore publié ce recueil de mes Écrits, si ce qui s’y émet, et spécialement depuis 15 ans, d’être reçu par moi du lieu de l’Autre où s’inscrit le discours de ceux que j’écoute et dans les termes où chaque psychanalyste reconnaît ceux-là même que chaque semaine lui fournit mon séminaire, n’avait fini par courir tout seul hors du champ où on peut le contrôler.
Malgré moi, je dois le dire, mais non sans quelque raison puisqu’en cet enseignement se joue le sort qu’à tous réserve l’avenir de la science, – laquelle court aussi, et bien en avant de la conscience que nous avons de ses progrès.
Il me fallait par ces Écrits mettre une barrière aux convoitises maintenant en route des faussaires toujours de service sous la bannière de l’Esprit.
Jacques Lacan
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bon je suis passé sur l’ina et bien évidemment j’ai cherché le nom de génovèse
j’ai trouvé plusieurs spots d’infos sur le phèdre d’anne delbée, avec martine chevallier et françois beaulieu, et les costumes MAGNIFIQUES faits par christian lacroix
je vous ai sélectionnés les moments qui m’intéressent (vous comprendrez pourquoi je le suppose)
avant sur ce compte je vous avais dit que génovèse de ses 30 à 40 ans c’était sa bad bitch era, À RAISON parce que lui en perruque longue maquillage de scène à la limite du drag et une cigarette à la main c’est un niveau de cuntiness trop élevé pour être envisagé par des instruments de mesure. only britney spears could compete
GRMRMGLL MARTINE CHEVALLIER.
GMRMRLRMM BEAULIEU.
mon chéri qu’est-ce que c’est que ces cheveux. since when
je respecte grandement delbée d’un point de vue mise en scène. mais alors la diction. ça me fout des violentes plaques d’urticaire PARLEZ NORMALEMENT POUR L’AMOUR DE TOUT CE QUI EST SAINT EN CE MONDE
l’esthétique de ce shot me plaît
conceptuellement cette image me fait rire. like go off king give us. the floor
on peut dire ce qu’on veut, c’était quand même un des plus beaux twink de paris
#éric pourquoi….pourquoi les moulinets de bras les pas de danse et les syllabes hachées#pourquoi. c’est moche.#mais bon en vrai rien que pour le trio là je serais prêt à regarder#phèdre#comédie française
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