#L'Entrepôt
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darfeld · 2 years ago
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camisoledadparis · 1 month ago
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saga: Soumission & Domination 337
Enguerrand et Max-2
Le vendredi, j'ai pris mon après-midi, un peu nerveux quand même. Ok c'est un homo mais c'est aussi un policier. PH rit que ça ne m'inquiète que maintenant.
Max et Enguerrand sont venus directement de leurs lycées. Enguerrand me dit que son histoire s'est rependue dans son lycée. L'état des mecs qui les avaient agressés aussi ce qui fait que son coming-out involontaire a moins été pris en compte que le fait qu'il ait cassé la gueule à 4 cons.
Je les envois se laver avant l'arrivée de notre invité. Ils ont beau être arrivés une bonne heure avant lui, ce n'est que quand il sonne au porche que nous voyons réapparaitre leurs deux têtes !!
Je descends le chercher. Il est surpris de l'aménagement de l'entrepôt. Je le vois mater les voitures et motos qui encombrent le garage alors que je le pousse vers le monte-charge. Il trouve intéressant que nous ayons gardé ce moyen d'élévation. Il mate au travers de la porte moitié bois moitié verre chaque étage. Quand nous arrivons au 4ème, il me dit que j'avais réussi à utiliser tous les niveaux. Je cite : bureau de ma société, salle de sport, espace nuit et espace de vie plus au-dessus la terrasse. Je le débarrasse de son blouson et Enguerrand s'avance pour le saluer. Il salut Ludovic et Max avant que je lui présente PH. Je remarque que là aussi, il note tout d'un seul regard. Sa tête a fait un 360° et s'est figée quelques dixièmes de seconde sur la cuisine. Je suis sûr que c'est plus sur les deux torses nus qui dépassent du plan de travail que pour la piscine qui la surplombe.
Il nous donne des infos sur l'avancée de notre dossier. Puis on passe aux conseils pour lesquels nous l'avons fait venir (entre autre...). Je lui propose de mettre en pratique et nous descendons tous au second.
Il est impressionné par l'installation de muscu qui entoure le tatami central. Les deux petits se mettent en tenue c'est-à-dire avec seulement leurs petits shorts moulants sur les fesses. Notre invité est surpris et son paquet enfle nettement. Les deux trublions se positionnent l'un en face de l'autre et lui font une petite démonstration de leurs connaissances dans l'art de mettre à bas un agresseur. Dans un premier temps c'est Max qui fait le méchant puis c'est le tour d'Enguerrand. Max a plus de mal à se débarrasser d'Enguerrand que l'inverse. Flic s'en rend bien compte et me demande si Enguerrand ne ferait pas de la boxe française. Je confirme son intuition. Il se rapproche des deux protagonistes et leur explique comment dévier les chocs à la tête.
Malins, ils l'obligent à leur démontrer les gestes. Il est vite engoncé par ses jeans et son polo. Je lui propose un short. Il veut bien s'il lui colle moins qu'à ces deux " petites frappes ". C'est dit avec un ton affectueux qui enlève le côté insultant.
Je lui sors ceux que mes deux gamins avaient refusés et les lui tends. Il regarde à droite et à gauche pour se trouver un coin pour se changer mais ne voit que les bancs avec patères qui sont dans l'entrée. Il retire ses vêtements et en slip (Dim sport bien rempli) enfile le premier short. C'était un de ceux que j'avais voulu imposer aux deux gamins et à lui, ça moule bien. Comme il va pour essayer l'autre je lui dis que ce n'est pas la peine, il est de la même taille. Je le sens un peu gêné mais il s'avance pour lutter avec eux. Je profite qu'il commence à se frotter aux petits jeunes pour dire à Ludovic et PH que ce serait dommage de ne pas profiter nous aussi de ses conseils. Il ne nous remarque que quand nous les rejoignons en jocks.
Ça l'arrête et il me demande si c'est un piège. Je fais l'innocent (et ça je le fais très bien) et l'assure que non, c'est juste notre tenue pour faire du sport. Il essaye de me croire et nous passons une bonne heure à intégrer les évitements qui nous laisseront le minimum de marque nécessaire à justifier le cassage de gueule de l'adversaire.
Sa gêne réapparait quand je pousse tout le monde sous les douches. Mais le peu de cas (forcé) que nous faisons de sa mise à poil le rassure et nous nous douchons dans une bonne ambiance. Je note quand même en passant qu'il dispose d'un bel outillage. Il ne semble pas très poilu à moins qu'il ne s'épile le torse lui aussi. Ses couilles sont rasées mais la touffe est broussailleuse. Séchages individuels sauf pour nos deux belligérants qui se sèchent mutuellement.
Sans faire de cas, je lui tends un trunk ADDICTED pour remplacer son slip DIM trempé de sueur. Il accepte tout en me disant qu'il me le rendrait propre. La poche met en avant son paquet d'un plus bel effet. On se rhabille, ses jeans font plus " remplis ". On monte diner.
Il est maintenant complètement détendu avec nous. Il commence, je pense, à bien cerner les liens affectifs qui nous unissent tous. Nous faisons avec lui comme avec un ami homo déclaré. C'est-à-dire que nous n'en parlons pas mais que nous n'écartons aucuns sujets ou gestes qui nous sont propres. L'apéritif le surprend non par les alcools proposés mais par mes hommes de service.
Il prend le parti d'en rire et nous dit que c'est vraiment une drôle de maison que nous formons.
Nous passons une bonne soirée. Nous apprenons qu'il n'a que 28ans. Le vin aidant, sans que nous soyons souls pour autant, il se détend vraiment jusqu'à nous avouer au détour d'une conversation que ce n'est pas toujours évident de rencontrer des mecs vu sa situation. Si ce n'est pas interdit dans la maison poulagas, ça reste encore difficile à dire sans que cela n'amène quand même des réflexions et de la gêne.
Max saute alors sur ses genoux, lui roule un patin qu'il n'a pas le temps d'esquiver et lui dit qu'avec Enguerrand et lui-même, il dispose de deux petits copains discrets, mais très très chauds. Il enfonce le coin en ajoutant qu'il va leur falloir encore quelques cours d'évitements afin de bien les intégrer à leurs techniques de combat.
Il est scié et ne se dégage même pas de Max. Il arrive juste à dire que ce n'est pas possible tout en posant ses mains sur la taille de Max. Enguerrand en rajoute en avançant que même s'ils lui sont redevables de bien plus, il est sûr qu'ils prendront tous du plaisir.
Flic me regarde, cherchant de l'aide de mon côté. Je hausse les épaules dans un geste d'impuissance et appuis en ajoutant que ce n'est plus des enfants que l'on peut dresser mais des jeunes adultes qui maîtrisent leurs vies. Ludovic qui est pris à parti en tant que frère d'un des deux petits tentateurs lui dit la même chose.
Il est évident que la situation le fait bander à mort ! Je le sens prêt à nous quitter de peur de céder à la tentation. Mon petit " beau-frère " me fait signe qu'il veut que nous gardions Flic pour la nuit au moins. Je lui fais comprendre de se débrouiller par eux même. J'aide juste en offrant un Jet 27 sur glaçon après le café.
Il finit par nous dire au revoir et je laisse ses deux " élèves " le reconduire à la porte.
Nous allons nous coucher sans attendre leur retour.
C'est donc très surpris qu'au petit déjeuner, nous voyons apparaitre Flic avec nos deux impertinents pour prendre un café. Il est gêné mais, poussé par Enguerrand et Max, il nous rejoint dans la cuisine.
Je lui souhaite la bienvenue et lui dit que s'il porte plainte pour viol, il aura du mal à convaincre un juge vu ses capacités à maitriser les contrevenants. Ludovic qui voit plutôt l'autre facette, lui garanti que ce n'est pas par nous qu'il sera embêté.
Il arrive quand même à avaler un café. Les deux gamins sont eux tout contents du coup qu'ils lui ont fait. Max ne peut s'empêcher de nous dire que la nuit avait été grandiose.
Comme je sens Flic gêné, je l'affranchis que nous somme rarement pudiques entre nous et qu'un mec arrive à satisfaire ces deux petites " salopes " ne peux être qu'élogieux pour le mec en question. Nous sommes passés avant lui et connaissons l'exigence de ces corps en fin de croissance !
C'est à ce moment-là, je crois, qu'il a décidé de laisser vivre. PH l'a encore une fois assuré que tout ce qui se passait ici n'était jamais arrivé dès qu'on passait la porte sur la rue.
Du coup il accepte des oeufs brouillés, du bacon et des pommes de terre sautées, base de nos petits déjeuners de fin de semaine. Nous échangeons nos cartes de visites avant qu'il ne parte avec la promesse de nous revoir.
Je conduis Max et Enguerrand à la propriété.
Quand je rentre je m'arrête à mon bureau. A cet étage, dès qu'une porte de chambre s'ouvre, les caméras enregistrent tant qu'il y a du mouvement.  Le fichier est lourd, signe qu'ils ne se sont pas endormis tôt ou plutôt si mais très tôt ce matin.
Je passe en vitesse rapide et ralenti de temps à autre. Il assure notre Flic. Sans débander il a réussi à mettre sur les genoux mes deux protégés. Max a eu un peu de mal avec son ecchymose sur les côtes. Plusieurs fois je l'ai vu grimacer. Par contre ils sont très complices tous les deux. Je crois bien que Max a appris d'Enguerrand si je comprends bien ce que la vidéo me montre. Ils se complètent et en duo ils ont l'air bougrement efficace. Si après un tel traitement, flic n'est pas accros à nos deux trublions alors je ne comprends pas. Même un hétéro se serait fait plaisir avec eux.
Je crois bien que c'est la première fois que deux mecs arrivaient à l'avaler entier au cours de la même baise. Il a adoré enculer en alternance les deux culs. Je le vois tester plusieurs positions : Enguerrand dans les bras de Max, Max sur le dos d'Enguerrand ou les deux culs positionnés côte à côte les deux petits mecs en levrette collés de l'épaule au bassin. A chaque fois, Flic plongeait dans un cul puis dans l'autre. Pour finalement retirer sa kpote et arroser de jus les deux dos accolés. Puis je vois les regarder se finir en 69. On voit nettement quand ils se " nourrissent " respectivement. D'après le temps qu'ils mettent à se téter, la production est bonne. Si Enguerrand est comme ses deux frères, il " donne " au-dessus de la moyenne.
Flic nous recontacte le soir même. Je l'invite à passer. Ça sonne aussitôt. Il avait appelé de sa voiture devant notre porte.
Il monte nous rejoindre. Il semble embêté par son aventure de la veille. Il me demande où sont les jeunes et si ils vont bien.
J'éclate de rire. Il s'en fait pour ces deux petites salopes qui ont pris un pied d'enfer à se faire défoncer à tour de rôle. Je le rassure, ils ne sont en aucun cas traumatisés par leur nuit passée avec lui. Ça l'inquiétait car pendant un moment ils avaient réussi à lui faire oublier que ce n'était pas des mecs de son âge comme à son habitude. Du coup il avait été fort dans la baise.
Je fais attention à ne pas me couper avec ce que j'ai vu sur l'enregistrement. Ludovic lui dit que c'était leurs désirs à eux aussi. Vu comme ils étaient content ce matin même et d'après ce qu'ils nous avaient confié, lui (Flic) avait assuré et qu'ils avaient trop aimé cela. Ils espéraient même pouvoir recommencer.
Flic nous dit que c'était une première pour lui. En général il trouvait des partenaires dans ses âges et plutôt sur internet pour ne pas tomber sur des mecs du coin. Cette contrainte plus celles dues à son travail, faisait qu'il ne baisait pas tous les jours. Ça, plus leurs corps très excitants, il n'avait pu se retenir avec eux.
Je lui prends l'épaule et je lui dis que s'il le veut, il dispose maintenant de deux petits mecs affamés de sa bite. J'ajoute que s'il a peur de les ramener chez lui, il y a toujours une chambre de libre au premier pour abriter leurs ébats.
PH lui dit qu'il faudra quand même leur laisser le temps de travailler leurs cours !
Flic s'offusque qu'il n'était pas question qu'ils loupent leur année à cause de lui. On est sur la même longueur d'onde.
Ludovic le sent quand même encore en retenue. Il appelle son frère et lui dit que Flic est avec nous. La réaction est directe " il est à nous celui-là ". Max ponctue d'un " pas touche les obsédés " quand Enguerrand lui dit avec qui nous sommes.
Comme il a mis le haut-parleur, Adam, notre " Flic " entend tout comme nous les réactions de ses deux compagnons de jeux.
Il est d'accord avec eux mais les met dans le même sac que nous. Surtout quand je lui dis que le jour où la viande fraîche le sature, on est prêt à prendre la relève.
J'ajoute : t'en a pas déjà assez par hasard ?
Il rit et nous dit qu'il peut attendre quelques jours de les revoir. Le téléphone de Ludovic est encore en ligne avec celui de son frère. Nous entendons en sortir un " vous pouvez venir nous chercher demain soir pas trop tard qu'on passe au blockhaus avant de rentrer chez Max ? " suivit de " au fait t'es libre demain soir Adam ? ".
Je gueule que j'espère qu'ils ont fait leur devoir sinon ça va chauffer pour leurs fesses. Réponse impertinente de Max, " on préfère se les faire chauffer par la police". Je capitule et, d'un coup de menton, signifie à Flic de nous donner sa réponse.
Il se tortille un peu sur le canapé mais se laisse tenter. Max nous supplie alors de venir les chercher vers 16h qu'ils aient quand même un peu de temps avant de regagner leur chez lui.
Samir arrive avec l'apéritif. C'est vrai que c'est l'heure. Nous causons un peu. Nous apprenons qu'il vient du 93. Muté il y a presque un an, il avait passé plus de temps à accumuler les permanences que de WE de liberté. Mais ça le changeait agréablement des racailles du 9.3. Par contre ça ne facilitait pas les rencontres.
On parle études supérieures et sport. Il nous demande qui nous a formés en self-défense. PH lui dit qu'il a été le premier à enseigner le karaté puis que nous avions rencontré un pratiquant de Krav Maga. Depuis nous avions mâtiné nos pratiques de techniques militaires US, de boxe Française avec Ludovic et dernièrement nous avions intégré à notre petit club un pro de Capoeira.
Il comprend mieux notre niveau. Ce qui le surprend c'est ma référence aux techniques américaines. Sans dévoiler comment je lui explique que nous avons deux amis qui ont eu l'honneur de faire un stage auprès d'eux l'été dernier. Ils nous avaient enseigné un peu de ce qu'ils avaient appris.
Il me demande si ce serait trop demander que de les rencontrer. J'hésite. C'est quand même un flic et s'il vient à nos séances d'entrainement, il ne mettra pas longtemps à découvrir le pot au rose. Il y aura bien un de mes escorts pour manger le morceau sans le vouloir. D'un autre côté, il s'est un peu compromis avec Enguerrand et Max et s'apprête à le refaire demain soir. Ça plaide pour lui !
Après 5 minutes de réflexion, je lui dis de passer le mardi soir suivant. Mes deux mecs me regardent comme si j'étais fou.
Je préviens Flic que si tout ce qui se passait ici était top-secret à l'extérieur, ce serait pareil pour tout ce qu'il y verrait et entendrait. C'était la seule et unique condition à respecter de sa part et de notre côté nous la respecterons aussi.
A son tour de réfléchir. Il se doute bien qu'il risque de flirter avec l'illégalité mais je crois qu'il est trop intrigué pour refuser. Ça plus les deux culs de nos " petits frères ".
Il reste diner avec nous, personne ne l'attendait dans son appartement vide. Je prends quand même le temps de textoter à DGSE pour demander le dossier complet du type.
Jardinier
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mrsines · 14 days ago
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Miss Rossi
chapitre 1 : Bienvenu
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L'équipe du BAU s'était rassemblée autour de la table de conférence, le silence pesant. Sur l'écran projeté, des images d'un entrepôt abandonné près d'un port stratégique défilaient, le sol maculé de sang, des traces de lutte visibles dans chaque recoin. Une dizaine de corps avaient été retrouvés là, parmi eux, des agents du NCIS, apparemment exécutés en raison de leur infiltration dans un réseau criminel dangereux.
Emily Prentiss, assise en tête de table, avait l'air plus concentrée que jamais. Ses yeux sombres fixaient les images avec intensité, son esprit déjà en train d'élaborer un plan d'action. Elle tourna son regard vers Pénélope Garcia, qui, devant son ordinateur, tapotait furieusement sur le clavier. Un instant plus tard, une liste s'afficha à l'écran.
Pénélope leva les yeux, jetant un regard anxieux vers l'équipe. Elle prit une profonde inspiration avant de commencer à énoncer les noms des victimes.
« Voici ce qu'on a trouvé... » Pénélope s'éclaircit la voix, avant de lire, chaque nom résonnant lourdement dans la pièce. « Agent Carlos Diaz, NCIS, spécialisé dans les infiltrations à haut risque. Agent Sara Williams, elle avait été sous couverture pendant plusieurs mois à Miami. Et enfin... Agent Greg Harper, un expert en opérations secrètes et gestion des témoins protégés. »
Emily fronça les sourcils, son regard se durcissant. « Ce sont des agents infiltrés du NCIS. Pourquoi étaient-ils tous dans le même endroit ? »
Pénélope tourna l'écran pour montrer des photos de plus près des victimes. Les visages des agents, marqués par la violence de leurs morts, étaient désormais à l'affiche. « Les corps ont été retrouvés ensemble. Ce n'est pas un hasard. Ils avaient probablement des informations sur une mission conjointe... Un réseau criminel que le NCIS suivait depuis un moment. »
Elle tapota à nouveau sur son clavier et une carte s'afficha à l'écran, montrant la proximité de l'entrepôt avec le port, un point stratégique pour les activités illicites.
« Le port est l'un des principaux points d'entrée pour des trafics d'armes et de drogue, » ajouta Pénélope. « Si ces agents étaient infiltrés là-bas, ils ont dû avoir accès à des informations sensibles. »
Emily se leva brusquement, son regard scrutant la pièce, et posa la question qui lui brûlait les lèvres. « Quelqu'un au NCIS a-t-il été compromis ? »
Tara, qui était assise en silence depuis le début, intervint. « Un espion parmi eux ? Un agent double, peut-être ? »
Emily hocha la tête. « C'est ce que nous devons découvrir. Nous avons probablement une taupe, et ces morts en sont la preuve. Nous devons contacter le NCIS immédiatement, ils ne peuvent pas continuer à ignorer cela. »
Le poids de la situation était palpable. Luke, qui restait calme, ajouta : « Vous pensez que le NCIS a laissé filer l'information à Némésis ? »
« C'est une possibilité. » Emily fit une pause, puis son regard se posa sur Pénélope. « On doit trouver la liaison entre les victimes et ce réseau. Pénélope, prépare tout pour qu'on puisse les contacter immédiatement. Nous avons besoin d'informations sur leur dernière mission. »
Le regard de Pénélope se durcit, et elle acquiesça d'un signe de tête. « Je m'en occupe. »
Un instant plus tard, Emily tourna à nouveau son regard vers l'équipe. « Nous avons un jeu dangereux devant nous. Mais ces agents sont morts pour une raison. On va faire toute la lumière là-dessus. »
La réunion se termina dans un silence déterminé. L'équipe savait que la route à venir serait semée d'embûches, mais ils étaient prêts à tout pour découvrir la vérité derrière cette tragédie.
La réunion s'était terminée sur un ton sérieux, l'équipe consciente du lourd travail qui les attendait. Emily, toujours déterminée, se leva en dernier, fixant l'équipe d'un regard résolu.
« Nous devons travailler en étroite collaboration avec le NCIS sur cette affaire, » dit-elle d'une voix ferme. « Il est clair que ces agents ont été infiltrés dans un réseau criminel d'une ampleur bien plus grande que ce que l'on pensait. Leurs informations sont cruciales, et nous devons faire toute la lumière sur la taupe qui a permis ce massacre. »
Tout le monde acquiesça, se préparant mentalement à la prochaine phase de l'enquête. Puis, dans un moment qui sembla suspendu dans le temps, David Rossi se leva à son tour, sa silhouette imposante attirant l'attention de tous. Un silence se fit dans la salle, et tous les regards se tournèrent vers lui.
Rossi prit une profonde inspiration avant de parler, son visage habituellement impassible affichant une rare émotion. « Je dois vous confier quelque chose, » dit-il d'une voix calme mais lourde de sens. « Cette affaire... elle me touche de près. »
L'équipe l'observa, intriguée. Emily, bien qu'habituée à ses silences et à son calme, comprit que Rossi s'apprêtait à dire quelque chose de personnel. Elle haussait légèrement un sourcil, mais resta silencieuse, prête à écouter.
David poursuivit, ses yeux cherchant à capter l'attention de chacun. « J'ai... une fille. Elle travaille au NCIS. »
Un choc collectif traversa la salle. Tara se figea, tandis que Luke cligna des yeux, essayant de comprendre les implications de cette révélation. Mais c'était Pénélope qui réagit le plus vivement.
Elle se leva brusquement, les yeux écarquillés, son visage passant d'une expression de surprise à une intense curiosité. « Vous avez une fille ? » s'écria-t-elle, sa voix trahissant une étonnement sincère. « Pourquoi ne nous en avez-vous jamais parlé ? »
Rossi sembla hésiter un instant, comme s'il mesurait ses mots. Emily, d'un air sérieux mais compréhensif, croisa les bras. « David, pourquoi maintenant ? Pourquoi nous le dire ? »
Rossi baissa les yeux un instant avant de répondre. « Parce que cette affaire me touche plus personnellement que vous ne pouvez l'imaginer. Ma fille, Sofia, travaille au NCIS. Mais elle ne porte pas mon nom. C'était un choix... pour la protéger. »
Les autres le fixèrent en silence, digérant l'information. Emily sentait la tension monter dans la pièce, un mélange d'incrédulité et de surprise flottant dans l'air. Elle savait que Rossi, malgré son apparence distante, était un homme profondément lié à sa famille. Mais une telle révélation... cela changeait tout.
Pénélope, qui était restée figée jusque-là, lâcha un souffle d'air, presque comme si elle venait de recevoir un choc électrique. « Vous... vous avez une fille, et vous ne nous l'avez jamais dit ?! » Elle secoua la tête, visiblement perturbée. « Je veux dire, on parle de Rossi, l'homme qui connaît tous les secrets, et vous... vous avez caché ça ?! »
Rossi se pinça les lèvres, visiblement mal à l'aise, mais il garda son calme habituel. « Ce n'était pas parce que je voulais cacher quoi que ce soit. Je... je ne voulais pas que cela mette sa vie en danger. Elle travaille au NCIS sous un nom différent pour la protéger. Elle a choisi ce chemin, tout comme moi. »
Pénélope, toujours sous le choc, se laissa tomber dans son siège, les mains plaquées sur ses tempes comme si elle essayait de digérer l'information. « Wow. Je ne m'attendais pas à ça. Votre fille... elle travaille avec vous, et vous ne nous l'aviez jamais dit... »
Emily posa une main sur son bureau, un léger sourire se dessinant sur son visage. « C'est un secret bien gardé, David. Mais je comprends pourquoi vous avez pris cette décision. Vous vouliez la protéger, et parfois, cela signifie garder certaines choses pour soi. »
Rossi hocha la tête, les épaules légèrement voûtées sous la lourdeur du secret enfin révélé. « Je vous en prie, gardez cela pour vous. Sofia n'a rien à voir avec cette enquête pour l'instant, mais si nous avons affaire à un réseau criminel aussi dangereux que je le pense, il est possible qu'elle soit en danger. »
Emily acquiesça. « Nous ferons tout ce qu'il faut pour la protéger, David. Et merci de nous avoir fait confiance. »
La salle resta silencieuse un instant, chacun digérant la révélation. Cette affaire allait désormais non seulement toucher leur professionnalisme, mais aussi les relations personnelles qui s'étaient formées au fil des années. Sofia Rossi, la fille de David Rossi, devenait un élément central de cette enquête... et cela risquait de compliquer encore les choses.
⊱•••✩•••⊰
Le lendemain matin, l'équipe du BAU se préparait à faire avancer l'enquête. Ils avaient contacté le NCIS et se préparaient à une réunion importante pour coordonner les efforts entre les deux agences. C'est alors que Sofia Rossi entra dans la salle de conférence, sa présence rayonnante et son regard déterminé.
Elle était vêtue simplement, mais son attitude dégageait une confiance immédiate. Sofia avait hérité de la prestance de son père, mais ses traits et son sourire étaient doux, empreints d'une gentillesse naturelle. Ses yeux scrutèrent rapidement la pièce avant de se poser sur David Rossi, qui se leva d'un coup, un sourire sincère sur le visage.
Sofia s'approcha de lui, un léger sourire aux lèvres. Avant même qu'elle ne puisse dire un mot, David Rossi la prit dans ses bras, un geste protecteur et affectueux, une rareté venant de lui. Sofia se laissa aller contre lui un instant, un souffle de soulagement passant entre eux.
"Tu vas bien, mon amour ?" demanda-t-il, sa voix légèrement brisée par l'émotion.
Sofia sourit en levant la tête pour regarder son père. « Je vais bien, papa. On va le faire, cette enquête. Ensemble. »
Elle se tourna ensuite vers le reste de l'équipe, qui la regardait avec curiosité et bienveillance. C'était Pénélope qui brisa la glace.
Avec un sourire éclatant et une énergie débordante, Pénélope se précipita vers Sofia, l'enlaçant dans une étreinte chaleureuse, presque aussi forte que celle de David. « Oh mon Dieu ! C'est vous ?! Vous êtes la fille de Rossi ! Je suis tellement contente de vous rencontrer ! » Elle la serra encore plus fort, comme si elle voulait s'assurer qu'elle était bien réelle.
Sofia, surprise par l'enthousiasme de Pénélope, rit doucement, touchée par l'accueil. « Eh bien, je ne m'attendais pas à un accueil aussi... énergique. Mais merci, Pénélope. C'est un plaisir de vous rencontrer aussi. »
Emily, qui observait la scène avec un sourire discret, se leva à son tour. « Bienvenue, Sofia. C'est un plaisir de vous avoir parmi nous. » Elle tendit une main, qu'Sofia prit avec un léger sourire, un respect mutuel instantané s'établissant entre elles.
Tara et Luke se levèrent à leur tour. Tara hocha la tête avec un sourire amical. « C'est un honneur de vous rencontrer. Nous avons hâte de travailler avec vous. » Luke, plus réservé mais tout aussi courtois, ajouta : « Bienvenue, Sofia. On va faire de grandes choses ensemble. »
L'équipe était soudée, unie dans un même but. Et bien que la situation soit tendue, l'arrivée de Sofia apportait une lumière nouvelle dans l'équipe du BAU.
Sofia observa chacun d'eux, son regard se posant plus longuement sur Pénélope, qui, toute souriante, n'arrêtait pas de lui lancer des regards pleins de curiosité. « Tu sais... » dit Pénélope, avec une mine sérieuse mais excitée, « Je suis tellement heureuse de te rencontrer ! Si jamais tu veux parler de trucs informatiques ou d'ordinateur, je suis votre personne ! »
Sofia rit de bon cœur, ravie de voir à quel point l'équipe était accueillante. « On verra ça, Pénélope. » Elle tourna ensuite son regard vers son père, qui était toujours près d'elle, un air protecteur et fier sur le visage.
David Rossi, bien qu'en retrait, observait tout cela avec un sentiment de soulagement et de fierté. Il savait que l'équipe du BAU avait maintenant un atout de plus pour résoudre cette affaire complexe, mais aussi que sa fille allait devoir jongler avec des responsabilités bien plus lourdes que ce qu'elle avait imaginé.
Emily, toujours sérieuse, s'approcha une nouvelle fois de Sofia. « Bien, maintenant qu'on a les présentations, il est temps de passer aux choses sérieuses. On a une enquête à résoudre, et je suis contente que vous soyez avec nous. » Elle lança un sourire confiant à Sofia, qui le lui rendit.
Sofia hocha la tête avec conviction. « Prête à travailler avec vous. Ensemble, on va démanteler ce réseau. »
Et avec cela, l'équipe se réunit autour de la table de conférence, prête à commencer une nouvelle phase de l'enquête, plus déterminée que jamais, renforcée par le lien qui venait de se créer entre Sofia et eux.
La réunion venait de reprendre après l'arrivée de Sofia Rossi et les présentations. Tout le monde s'était assis autour de la table, l'atmosphère soudainement plus concentrée, prête à plonger dans le cœur de l'enquête. Emily Prentiss commença à détailler les premiers éléments découverts lors de l'examen des scènes de crime.
L'écran montrait des photos des agents infiltrés retrouvés dans l'entrepôt abandonné près du port stratégique. Les corps, dans un état déplorable, n'étaient qu'une partie de l'énigme. Emily se tourna vers Pénélope qui venait de faire défiler un nouveau dossier.
« D'après les indices récoltés sur place, ce n'était pas un simple règlement de comptes. Ces agents avaient accès à des informations sensibles, et ce massacre n'était qu'un avertissement pour ceux qui s'aventurent à se frotter à Némésis, » expliqua Pénélope, ses yeux fixant l'écran qui affichait un réseau complexe de connexions.
Les documents et photos qu'elle avait analysés pointaient clairement vers un réseau criminel international appelé Némésis. Un réseau hautement organisé, spécialisé dans le trafic d'armes, l'espionnage, et la corruption à grande échelle. Ce groupe était impliqué dans des transactions secrètes avec des gouvernements corrompus, des groupes terroristes et des entreprises malhonnêtes. Leur influence s'étendait bien au-delà des frontières des États-Unis, et leurs activités avaient même atteint les plus hautes sphères des agences de renseignement.
Sofia, les bras croisés et l'expression déterminée, intervint alors. « Némésis est réputé pour sa discrétion. Personne n'a jamais réussi à les identifier, et encore moins à les démanteler. Si mes collègues et moi avons travaillé dessus sans jamais réussir à obtenir des résultats, c'est parce qu'ils sont extrêmement prudents. »
Emily acquiesça. « C'est bien pour ça que nous devons agir vite. Ces agents ont été envoyés là pour collecter des informations, et leur mort n'est qu'un avertissement pour les autres. »
Les indices retrouvés sur les corps pointaient vers des échanges d'armes dans le port stratégique où les agents infiltrés avaient été tués. Un petit appareil électronique retrouvé dans les poches des victimes, apparemment un type de clé USB, avait révélé une série de transactions cryptées liées à Némésis. Mais les informations étaient incomplètes. Cela ne faisait que confirmer la grande portée et l'importance de ce réseau.
Tara, qui avait scruté les documents, ajouta : « Une autre chose intéressante... Ces échanges semblent impliqués dans une opération d'espionnage militaire. Un des agents, Carlos Diaz, avait des liens avec un contact dans l'armée, mais il était sous couverture, donc rien ne correspond officiellement. »
Luke, l'air concentré, reprit : « Si l'armement et les opérations secrètes de Némésis sont impliqués, cela pourrait expliquer pourquoi ces agents ont été tués. Mais pourquoi laisser des indices aussi visibles ? »
Emily réfléchit un instant avant de répondre. « C'est une manière de nous provoquer. Ils savent que nous allons enquêter. Et ils veulent nous dire quelque chose. Peut-être qu'ils veulent qu'on trouve ces informations pour nous emmener plus loin dans leur réseau. »
Rossi, qui n'avait pas encore pris la parole, se leva soudainement, l'air grave. « J'ai déjà croisé des noms liés à Némésis dans mes enquêtes passées. Ce groupe a des liens avec des personnes très puissantes. Leur influence va bien au-delà de ce que vous pouvez imaginer. Ce n'est pas un simple cartel ou une organisation terroriste. C'est une réelle menace pour la sécurité internationale. »
Sofia tourna son regard vers son père. « Si vous avez des informations sur ce réseau, maintenant serait le moment idéal pour les partager. »
Rossi soupira et hocha la tête, une expression de frustration passant brièvement sur son visage. « J'ai travaillé sur cette organisation il y a quelques années, mais j'ai dû arrêter après qu'un collègue ait disparu en enquêtant trop près. Némésis a des yeux partout, et chaque mouvement que vous faites peut vous coûter la vie. »
Emily se tourna vers l'équipe, son regard perçant. « C'est pour ça que nous devons être prudents. Mais on ne peut plus reculer. Ces agents sont morts, et nous devons leur rendre justice. »
Pénélope, toujours en train de jongler avec les données, ajouta : « J'ai trouvé des liens avec plusieurs banques offshore, des sociétés écrans. Némésis ne se contente pas de vendre des armes, ils manipulent aussi des gouvernements et des entreprises pour contrôler le marché mondial. »
Le visage de Sofia se durcit à cette révélation. « Si nous avons une chance de les atteindre, c'est maintenant. Il nous faut frapper vite. »
Emily acquiesça une nouvelle fois. « Nous allons avoir besoin de toutes les informations possibles pour remonter la piste, et il est clair que Némésis va tout faire pour nous ralentir. » Elle se tourna vers Rossi, puis vers Sofia. « Vous êtes tous les deux plus proches de ce réseau que nous, et votre expérience peut faire toute la différence. »
Rossi fixa Emily, puis sa fille. « Nous allons faire tout ce qu'il faut pour stopper ce réseau, mais préparez-vous à une guerre. »
L'équipe se leva lentement, un sentiment de détermination dans l'air. Némésis avait provoqué l'attaque, mais désormais, c'était à eux de mener la chasse. Ils étaient prêts à tout pour arrêter ce groupe criminel.
Les heures s'étaient écoulées depuis la réunion, et l'équipe du BAU était maintenant bien ancrée dans l'enquête. Les indices continuaient de s'accumuler, mais une information cruciale venait tout juste de faire surface : Némésis ne se contentait pas de mener des opérations secrètes à l'international ; ils recrutaient également des taupes au sein des agences fédérales pour saboter leurs opérations de l'intérieur.
Emily Prentiss, concentrée devant son tableau, énumérait les derniers développements de l'enquête. « Après avoir analysé les documents retrouvés sur les victimes et les fichiers électroniques extraits des échanges, nous avons découvert un modèle : Némésis semble cibler des individus dans des postes stratégiques au sein du FBI, du NCIS, et d'autres agences gouvernementales. Ces agents ne sont pas simplement corrompus, ils sont manipulés. »
Pénélope, les yeux rivés sur son écran d'ordinateur, ajouta rapidement : « J'ai trouvé plusieurs transactions qui mènent directement à des comptes offshore associés à des noms dans les agences fédérales. Ces taupes ne se contentent pas de vendre des informations ; elles sabotent carrément des missions de surveillance, compromettent des enquêtes, et laissent délibérément des failles dans des opérations anti-terroristes. »
Le groupe échangea des regards inquiets. L'ampleur de la situation devenait plus sombre à chaque minute qui passait.
Sofia, qui écoutait attentivement, leva la main pour attirer l'attention de l'équipe. « C'est exactement ce que Némésis cherche à faire. Ils veulent infiltrer toutes les agences. En contrôlant des personnes à l'intérieur même des structures, ils peuvent manipuler les événements et effacer toute trace de leur implication. » Son ton était grave, et tout le monde savait qu'elle parlait d'expérience.
Rossi, qui était resté en retrait jusqu'à ce moment-là, intervint en fronçant les sourcils. « Nous avons eu des rumeurs sur des fuites au sein du NCIS il y a quelques années, mais rien de concret. Ce réseau, Némésis, a peut-être un pied dans toutes les agences fédérales. Cela signifie que l'un de nous pourrait être une cible. Ou pire... »
Le silence tomba sur la pièce. La possibilité d'une taupe au sein de leur propre équipe effleurait maintenant les esprits de tous.
Emily, les bras croisés, prit la parole pour ramener tout le monde sur le terrain. « Nous devons creuser dans les dossiers des personnes proches des victimes, des agents qui ont échoué dans leurs missions ou dont les opérations ont échoué de manière étrange. Quelqu'un dans l'équipe a dû être manipulé ou directement contrôlé. »
Luke, observant l'écran de Pénélope, ajouta : « Regardez ça... certaines des informations retrouvées sur les agents infiltrés semblent avoir été manipulées de l'intérieur. Ces agents auraient dû être en mesure de localiser les échanges d'armes et de ressources, mais au lieu de ça, ils ont laissé passer des erreurs évidentes. Ça ressemble fort à un sabotage interne. »
Tara prit la parole en se levant. « Et si Némésis avait un contact au sein de nos rangs ? Ça expliquerait pourquoi les informations circulent si vite et pourquoi nos enquêteurs sont toujours un pas derrière eux. »
Sofia, observant l'interaction, se redressa légèrement. « Le pire, c'est que ces taupes ne sont pas forcément celles qu'on attend. Ce ne sont pas toujours les plus visibles ou ceux qui semblent être en contact avec des criminels. Elles sont insidieuses, se fondant dans l'environnement, souvent des personnes de confiance qui sont détournées lentement. »
Emily hocha la tête, reconnaissant la véracité de ses paroles. « Nous devons chercher des anomalies. Des personnes qui ont eu des accès privilégiés aux informations sensibles, mais qui ont agi de manière suspecte ou ont montré des faiblesses. Chaque petit détail pourrait être la clé. »
Pénélope se tourna vers son ordinateur, les doigts tapant rapidement. « J'ai croisé des noms qui étaient en contact avec des agents récemment disparus ou morts dans des circonstances ambiguës. C'est un début, mais il nous faut plus d'informations pour établir une connexion solide. »
David Rossi, les bras croisés, son regard plongé dans les données projetées sur l'écran, lança soudainement : « Il y a une autre possibilité. Némésis pourrait avoir infiltré non seulement des individus, mais aussi des sections entières des agences. Si ce sont des agents de confiance, il serait facile de passer inaperçu pendant des années, en manipulant les missions et les affectations. »
Le groupe se tourna vers lui, une tension palpable dans l'air. Le temps pressait. Ils savaient que, pour stopper Némésis, il leur fallait non seulement démanteler le réseau criminel, mais aussi identifier et éliminer les taupes qui avaient infiltré leurs propres rangs.
Emily fronça les sourcils, déterminée. « Très bien. On repart de zéro. On passe en revue chaque fichier, chaque contact, chaque erreur... et on traque les infiltrés. Pas une taupe ne doit passer sous notre radar. Nous allons les débusquer, un par un. »
L'équipe se leva, prête à poursuivre cette enquête bien plus dangereuse et complexe qu'ils ne l'avaient imaginé. Parce que désormais, non seulement ils traquaient un réseau criminel international, mais ils devaient aussi protéger leurs propres rangs. Némésis avait des yeux partout, et l'ennemi n'était peut-être pas celui qu'ils pensaient.
⊱•••✩•••⊰
Il était déjà l'après-midi, et l'enquête prenait une tournure encore plus délicate. L'équipe se trouvait dans la salle de conférence, les yeux rivés sur les écrans qui affichent une multitude de données. Pénélope, vêtue de sa tenue habituelle de travail, était assise devant son ordinateur, les doigts dansant sur le clavier à une vitesse impressionnante. Pourtant, malgré tous ses efforts, un air de frustration se lisait sur son visage.
« J'ai trouvé quelque chose... mais je n'arrive pas à y accéder. Il y a un verrouillage sur toutes ces données. » Elle lança un regard inquiet vers Emily, qui était penchée sur son propre écran à côté d'elle. « Ces informations pourraient être cruciales. Mais je ne peux pas les déchiffrer. »
Emily fronça les sourcils. « C'est une sécurité ? » demanda-t-elle en fixant les lignes de codes et les fichiers bloqués.
Pénélope hocha la tête. « Oui, mais il y a un protocole de cryptage que je n'ai jamais vu auparavant. C'est plus que de simples pare-feu. Ça a été mis en place par quelqu'un qui connaît vraiment ce qu'il fait. »
À cet instant, Sofia s'approcha d'un pas décidé. Elle avait observé la scène depuis quelques instants et savait exactement quoi faire. Elle savait que ce genre de situation nécessitait des compétences de haut niveau.
Elle se pencha vers l'écran de Pénélope. « Laisse-moi essayer. »
Pénélope, avec une expression de doute, s'écarta pour lui laisser place. Sofia commença à taper des commandes rapidement sur le clavier, son regard concentré. Elle se tourna ensuite vers Pénélope. « Je connais ces protocoles. Ils appartiennent au NCIS. » Elle expliqua calmement, comme si tout ça lui était familier. « Si ces informations ont été verrouillées, c'est qu'elles sont sensibles... mais elles doivent être dans le système. »
Elle entra plusieurs codes d'accès, des identifiants et des clés cryptées, mais rien n'y fit. À chaque tentative, un message d'erreur s'affichait. Les informations restaient inaccessibles.
Sofia se mordit la lèvre, visiblement frustrée. « C'est étrange... je connais ces codes. C'est mon compte NCIS, mais il ne fonctionne pas. »
Pénélope, inquiète, s'assit en face d'elle. « Tu veux dire que quelqu'un t'a bloquée ? »
Sofia hocha la tête. « C'est exactement ça. Quelqu'un a eu accès à mes identifiants et a mis en place ce verrouillage. » Elle se redressa et fixa l'écran avec intensité. « Je vais essayer de contourner ça. »
Elle s'attela à une nouvelle série de commandes, des lignes de code défilant à grande vitesse, mais encore une fois, le système résistait. Rossi, qui était resté silencieux jusque-là, s'approcha du bureau, son regard scrutant les actions de Sofia.
« Ce genre de piratage... » murmura-t-il, « C'est un message. Quelqu'un veut que tu restes à l'écart de ces informations. » Il marqua une pause avant de rajouter, presque dans un souffle : « Et ce quelqu'un semble savoir exactement ce qu'il fait. »
Sofia serra les poings, mais sa concentration ne faiblit pas. Elle savait qu'elle devait aller plus loin. « Je vais réinitialiser mon accès... il faut juste que je prenne un contrôle externe. »
Pénélope se tourna vers Emily. « Est-ce que ça signifie que quelqu'un au NCIS est de mèche avec Némésis ? Si ces données ont été bloquées pour Sofia, cela suggère que cette fuite vient de l'intérieur. »
Emily se tourna vers Rossi, son visage désormais tendu. « Si quelqu'un dans le NCIS nous empêche d'accéder à ces informations, cela complique gravement notre travail. »
Rossi, ses sourcils froncés, ajouta : « Il est probable que Némésis ait un informateur au sein du NCIS. Ils veulent à tout prix garder ces informations cachées. »
Sofia, après un long moment de concentration, se redressa soudainement, les yeux brillants. « J'ai une idée. Je vais passer par un réseau alternatif que j'ai créé à l'époque où j'étais dans les services secrets. Il est bien plus sécurisé. Mais je dois le faire rapidement. »
Elle se tourna vers Emily. « Si je contourne ce verrouillage, je vais pouvoir déverrouiller ces données et récupérer toutes les informations sur Némésis. Mais il est possible que nous soyons repérés. »
Emily hocha la tête fermement. « Fais-le. On n'a pas le choix. »
Sofia entra les dernières commandes, ses doigts dansant sur le clavier avec une vitesse experte. L'équipe attendait, tendue, alors que le système semblait résister une dernière fois avant de céder. Finalement, un message clignota à l'écran, signalant que le système avait été déverrouillé.
Les yeux de Sofia brillaient de satisfaction. « C'est bon. Nous avons accès à tout. »
Les doigts de Sofia frappaient le clavier avec rapidité et précision. Chaque ligne de code défilait à une vitesse impressionnante, et elle savait qu'elle arrivait à un point critique. Après plusieurs tentatives infructueuses, le système avait finalement cédé. Un message s'afficha à l'écran, indiquant que les verrouillages avaient été levés. Les informations sensibles étaient désormais accessibles.
Un soupir de soulagement s'échappa de Sofia alors qu'elle se redressait, prête à partager ses découvertes avec l'équipe. Pénélope se précipita à ses côtés, le regard rivé sur l'écran, mais avant qu'ils ne puissent examiner les données, tout disparut soudainement. L'écran se vida en quelques secondes, comme si les informations avaient été effacées dans un ultime acte de sabotage.
« Non... » murmura Sofia, abasourdie.
Elle tenta de récupérer les données, mais l'ordinateur semblait verrouillé de nouveau. À ce moment, le téléphone de Emily vibra. Elle regarda l'écran de son téléphone, fronça les sourcils et leva les yeux. « C'est le Directeur Leon Vance. »
Emily appuya sur le bouton pour accepter l'appel en visioconférence. Sur l'écran, l'image de Leon Vance, le directeur du NCIS, apparut, l'expression sérieuse et grave.
« Sofia, » dit-il d'une voix autoritaire, « je vous ordonne de ne pas divulguer ces informations. » Il marqua une pause, observant son interlocutrice à travers l'écran. « Ces données sont classifiées et ne doivent en aucun cas sortir du cadre du NCIS. »
L'atmosphère dans la pièce se fit immédiatement tendue. Sofia, son visage durci par la frustration, fixa l'écran de Vance. « Mais, c'est important, Leon ! Ces informations sont liées à Némésis. Ils ont infiltré le NCIS, ils sabotent nos opérations. Si nous ne partageons pas ces données avec le FBI, nous risquons de tout perdre ! »
Leon Vance la coupa net, son ton inflexible. « C'est un ordre direct, Sofia. Vous ne pouvez pas partager ces informations avec le FBI. Il y a des considérations plus larges à prendre en compte. »
Les autres membres de l'équipe se regardèrent, tous choqués par la réponse de Vance. Rossi échangea un regard avec Emily, visiblement aussi perturbé. « Leon, » commença-t-il, essayant de tempérer la situation, « Némésis est bien plus qu'un simple cartel. Si nous ne mettons pas ces données à disposition immédiatement, nous risquons de perdre toute chance de stopper leur réseau. »
Sofia, les poings serrés, ne relâcha pas son regard. « Vous ne comprenez pas, Leon. Ce ne sont pas juste des informations. C'est un danger immédiat pour la sécurité de tout le pays. Ces taupes dans nos rangs... elles vont compromettre tout ce que nous faisons ! »
Vance, se redressant dans son fauteuil, fixa Sofia dans les yeux à travers l'écran. « Je suis parfaitement conscient de la gravité de la situation, mais ces informations sont désormais sous contrôle du NCIS. Vous n'êtes pas en position de décider de ce qui est partagé et avec qui. »
Le ton de Sofia se fit plus incisif. « Je ne vais pas laisser ça se passer. Si vous refusez de me donner la permission de les partager, alors je le ferai de mon propre chef. Ces données doivent être transmises au FBI. »
Vance la fixa durement. « Sofia, je vous ordonne de ne pas le faire. » Il marqua une pause, avant de poursuivre, avec un soupçon de menace dans la voix. « Si vous désobéissez à cet ordre, il y aura des conséquences. »
La tension monta d'un cran, et Sofia ressentit l'étau se resserrer autour d'elle. Elle savait qu'elle était à un carrefour. Son devoir envers la justice et la vérité était en conflit direct avec les ordres qu'elle venait de recevoir. Un regard désespéré croisa celui de Emily, qui semblait tout aussi préoccupée par la situation.
Emily intervint d'une voix ferme mais calme. « Sofia, nous savons que ces informations peuvent faire la différence. Mais si vous désobéissez à l'ordre de Vance, vous mettez en jeu tout ce que vous avez accompli jusqu'ici. Vous pourriez perdre votre position au NCIS... »
Sofia tourna son regard vers Emily. « Je comprends, Emily. Mais parfois, faire ce qui est juste exige de prendre des risques, même à contre-courant des ordres reçus. »
Elle se tourna de nouveau vers l'écran de Vance, son expression déterminée. « Je vais vous donner une chance de comprendre. Si vous refusez d'agir, le FBI et nous finirons par nous retrouver à traquer un ennemi que personne ne voit venir. Ce n'est pas juste un ordre, Leon. C'est un appel à la survie. »
Le silence se fit dans la salle. Leon Vance resta immobile pendant quelques secondes, son regard dur et implacable. Enfin, il se leva légèrement de son fauteuil et inclina la tête.
« Vous avez intérêt à bien réfléchir à ce que vous allez faire. »
Puis, il termina la conversation brusquement, l'écran noirci. Le bruit du clic de la déconnexion résonna dans la pièce silencieuse.
Le regard de Sofia resta fixé sur l'écran noir, le poids de l'ultimatum de Vance lourd sur ses épaules. Elle savait qu'elle devait choisir, mais la décision était loin d'être simple.
Emily brisa finalement le silence. « Nous ne pouvons pas laisser tomber, Sofia. Si vous décidez de passer outre cet ordre, vous aurez notre soutien. »
Rossi, toujours silencieux, hocha lentement la tête. « Faites ce qu'il faut. Nous sommes tous dans le même combat. »
Sofia serra les poings, le regard empli de détermination. « Si le NCIS veut me bloquer, alors je trouverai un autre moyen. Némésis ne va pas disparaître si on ferme les yeux. »
L'équipe, consciente de l'enjeu, savait que l'avenir de l'enquête dépendait désormais de la décision de Sofia. Mais une chose était certaine : ils n'étaient pas prêts à abandonner. Pas maintenant.
Le silence qui suivit l'appel de Leon Vance était lourd. Les membres du groupe se tenaient immobiles, leurs regards fixés sur Sofia, qui avait les poings serrés, le visage marqué par la tension. Elle savait qu'elle se trouvait à un point de non-retour. L'ordre de Vance était clair, mais son devoir envers la justice et la vérité la poussait à prendre un autre chemin.
Sofia tourna lentement la tête vers Pénélope, qui, bien qu'habituée aux situations tendues, ne pouvait s'empêcher de fixer l'écran avec une expression inquiète. Elle avait vu l'intensité dans les yeux de Sofia, et elle savait que cette décision n'allait pas être facile.
« Pénélope... » dit Sofia d'une voix basse mais ferme. « Je vais avoir besoin que tu me couvres. »
Pénélope, toujours à l'affût de chaque détail, comprit immédiatement où Sofia voulait en venir. Elle lui lança un regard déterminé, presque rassurant. « Compte sur moi. Je serai là, je t'assure. »
Sofia se redressa et se dirigea vers l'ordinateur. Elle avait une idée, une solution risquée, mais si elle voulait vraiment faire avancer cette enquête, elle devait jouer cette carte. Elle se tourna vers Emily et Rossi. « J'ai un plan, mais je vais avoir besoin de toutes vos ressources. »
David Rossi, jusqu'alors silencieux, observa sa fille avec une lueur de fierté dans les yeux. Il n'avait pas encore eu l'occasion de voir toute l'étendue de ses capacités dans un contexte de travail comme celui-ci. Mais il était évident qu'elle avait hérité d'une partie de ses compétences. « Je suis avec toi. Fais ce qu'il faut. »
Emily hocha la tête, le regard fixé sur Sofia. À cet instant, elle commença à percevoir quelque chose de nouveau en elle : cette femme, bien plus que la simple agent qu'elle avait vue jusqu'à présent, était une alliée déterminée et forte. Sa beauté n'échappait pas à Emily, mais c'était sa tenacité, son esprit acéré, qui la frappaient le plus. L'aura de Sofia était incontestablement différente, et Emily sentit une attirance nouvelle se profiler en elle, quelque chose de plus que professionnel.
Les pensées d'Emily se dissipèrent rapidement alors que Sofia commença à travailler. Avec une précision presque chirurgicale, elle se tourna vers l'ordinateur et commença à entrer une série de codes. Pénélope observa, prête à intervenir si nécessaire. Mais cette fois, il ne s'agissait pas de briser un verrouillage informatique classique. Sofia allait beaucoup plus loin.
« Je vais me connecter au réseau sécurisé du NCIS... » murmura Sofia en tapant les commandes.
Rossi observa attentivement, impressionné par la maîtrise de sa fille. « C'est McGee qui t'a appris ça ? »
Sofia hocha la tête sans détourner les yeux de l'écran. « Oui. On a passé pas mal de temps à réviser les protocoles de sécurité, en cas de situation comme celle-ci. C'est risqué, mais c'est la seule solution. »
Elle appuya sur Entrée, et l'écran clignota brièvement. Un code d'accès sécurisé se déploya. Pénélope se tourna alors vers Sofia, ses mains prêtes à interagir au moindre signal. « C'est fait. Tu peux y aller. »
Le cœur de Sofia battait plus fort, mais elle resta concentrée. Elle savait qu'une fois qu'elle franchirait cette ligne, il n'y avait pas de retour en arrière possible. Elle se connecta au réseau interne du NCIS et commença à fouiller dans les dossiers des agents infiltrés. Elle localisa les fichiers relatifs à Némésis, les taupes internes et les opérations sabotées.
L'écran changea rapidement. Sofia glissa une main sous le bureau pour se rassurer, ses doigts frôlant l'objet solide du bureau alors qu'elle donna enfin accès à la base de données du FBI.
Les yeux de David Rossi s'écarquillèrent en voyant l'accès direct qu'elle venait d'offrir au FBI. Il ne pouvait s'empêcher de laisser échapper un léger « impressionnant » tout en observant la facilité avec laquelle elle naviguait dans le système. Emily, elle aussi, regarda Sofia avec admiration. Mais en elle se mêlait un sentiment nouveau, difficile à définir. Elle se rendait compte qu'il n'y avait pas que l'intellect et la beauté de Sofia qui l'attiraient, mais aussi sa force intérieure, son courage, sa résilience. Il y avait quelque chose de magnétique chez elle.
Alors qu'elle travaillait, Sofia se redressa soudainement. « C'est bon. Les fichiers sont transférés et sécurisés. Le FBI a maintenant accès à toutes les informations sur Némésis et ses infiltrations. » Elle se tourna alors vers Pénélope. « Merci pour la couverture. »
Pénélope lui adressa un sourire confiant. « Tu as fait tout le travail. Je n'ai fait qu'appuyer sur quelques boutons. »
Emily ne pouvait s'empêcher de penser que Sofia n'était pas simplement une femme capable, mais une femme impressionnante. Un éclat de respect et de curiosité s'alluma dans ses yeux, mais elle refoula rapidement ses pensées. Il était encore trop tôt pour se laisser emporter par ce qu'elle ressentait. Il fallait se concentrer sur l'enquête.
Rossi, à côté d'elle, eut un léger sourire, aussi bien fier de sa fille que satisfait de l'évolution de la situation. « Voilà, nous avons les informations. »
Sofia se leva et fit face à l'équipe. « Nous avons tout ce qu'il nous faut pour arrêter Némésis. Mais ce n'est que le début. Nous devons trouver les taupes au sein du NCIS et les éliminer avant qu'elles n'entravent nos actions. »
Emily, bien que toujours prise par ses réflexions, se redressa, plus déterminée que jamais. « Vous avez raison. Et avec ces informations, on peut leur mettre un coup dur. »
L'équipe se prépara à la prochaine étape de l'enquête, mais Emily n'avait pas perdu de vue Sofia. Elle savait que cette collaboration allait être plus complexe que ce qu'elle avait imaginé. Mais il y avait quelque chose d'intrigant, de fascinant chez Sofia, quelque chose qui allait sans doute modifier leur dynamique à bien des égards.
⊱•••✩•••⊰
La pièce était silencieuse, à l'exception du bruit constant des clés d'ordinateur tapotées dans le coin de la pièce. Emily, Pénélope, et le reste de l'équipe observaient à travers le miroir sans tain, tandis que Luke et David Rossi se préparaient à interroger le suspect. Des heures de recherches, de pistes croisées et de traque avaient conduit à cet instant. Enfin, l'enquête était sur le point de se conclure. Ils avaient trouvé le coupable.
Le suspect, un agent du NCIS apparemment respecté, était assis là, les mains attachées à la table, les yeux fuyants, son visage marqué par la pression des derniers événements. Luke prit la parole d'une voix calme mais ferme.
« Vous savez pourquoi vous êtes ici. » Il fixa le suspect avec intensité. « Nous avons des preuves accablantes qui vous relient à Némésis. Vous avez infiltré le NCIS, saboté des missions, mis des vies en danger. »
Le suspect ne répondit pas immédiatement. Ses yeux cherchaient désespérément une issue, mais il savait que le jeu était terminé. David Rossi, son expérience évidente, s'approcha lentement, son regard froid et mesuré.
« Vous avez commis une erreur en pensant que vous pouviez échapper à la vérité. Vous avez trahi le NCIS, vous avez trahi vos collègues. Vous n'êtes plus qu'un pion dans un jeu bien plus grand. »
Le suspect leva les yeux vers lui, hésitant. David appuya davantage. « Mais nous ne sommes pas là pour vous condamner tout de suite. Nous vous offrons une chance, une chance d'être honnête. Dites-nous ce que vous savez, et peut-être que vous aurez une chance de réduire votre peine. » Il marqua une pause, les yeux plantés dans ceux du suspect. « Sinon... »
Le suspect se tendit, l'angoisse se lisant sur son visage. Finalement, après une longue hésitation, il baissa les yeux. Un soupir lourd échappa à ses lèvres. Il savait que c'était fini.
« D'accord... D'accord, je vais tout vous dire. » Sa voix tremblait légèrement, mais il se résigna à avouer. « J'ai été recruté par Némésis il y a plus de six mois. Ils ont des gens partout... dans toutes les agences fédérales. Au début, je n'avais pas le choix. Ils savaient trop de choses sur moi. »
Il leva enfin les yeux vers Luke et David, son regard empli de culpabilité. « Ils m'ont menacé. Mais, je... je pensais pouvoir les arrêter de l'intérieur, je croyais pouvoir les dénoncer quand j'aurais suffisamment d'informations. Mais je suis allé trop loin. »
Luke et David échangèrent un regard, comprenant la situation. David prit une chaise et s'assit face à l'agent, inclinant légèrement la tête.
« Vous pensiez pouvoir les arrêter ? » demanda David, d'un ton plus doux mais toujours aussi ferme. « Vous avez trahi votre propre équipe, vos collègues, et maintenant des vies sont en danger à cause de votre complice. Qu'est-ce que vous avez vraiment fait pour stopper Némésis ? »
Le suspect baissa la tête, honteux. « Rien. » Il chassa une larme furtive. « J'ai aidé à faire passer des informations, des documents, des accès... Je suis allé trop loin. »
Luke lui lança un regard dur, les poings serrés. « Comment avons-nous pu ne rien remarquer ? »
Le suspect se mordilla la lèvre avant de répondre : « Ils... ils sont intelligents. Ils savent manipuler les gens. Ils savent choisir les bons moments pour agir, les bons profils. Des gens comme vous, des agents expérimentés, ils ne se font jamais repérer. »
David se pencha en avant, ses yeux perçant l'âme de l'agent. « Vous avez fait le choix de rejoindre Némésis. Et vous avez décidé de trahir tous ceux qui comptaient sur vous. »
Le suspect hocha la tête. « Oui. »
Après un silence lourd, Luke se tourna vers David, lui lançant un regard entendu. « C'est bien ce qu'on pensait. »
David Rossi se leva lentement. « Il est temps de payer pour ce que vous avez fait. » Il fixa le suspect une dernière fois avant de se tourner vers la porte. « Luke, assurez-vous qu'il coopère et qu'il nous donne tous les détails sur Némésis. Nous avons encore beaucoup de travail à faire. »
Luke acquiesça et se leva. « Ne vous inquiétez pas, David. Je vais m'en occuper. »
David fit un dernier signe de tête avant de quitter la salle d'interrogatoire, suivi par Emily, qui le regarda silencieusement. Elle se tourna vers Sofia, qui se tenait près de la porte.
« Bien joué, Sofia. » Emily la fixa un instant, un sourire de reconnaissance sur les lèvres. « On tient peut-être la fin de Némésis. »
Sofia hocha la tête, le regard pensif. « Ce n'est pas encore terminé. »
Tout le monde savait que l'issue était proche, mais il restait encore des éléments inconnus, des pièces du puzzle à rassembler. La fin de l'enquête était imminente, mais l'équipe savait qu'elle venait de franchir un point de non-retour.
Leur travail n'était pas encore achevé, mais ils avaient désormais une preuve essentielle. Les failles de Némésis étaient exposées, et bientôt, ils seraient prêts à frapper.
La salle de conférence du FBI était silencieuse, tout le monde observant l'écran qui affichait des détails précis sur l'opération de Némésis. L'enquête était enfin terminée, les responsables du réseau criminel arrêtés, les taupes au sein des agences fédérales démasquées. L'ombre de Némésis était en grande partie dissipée. Le travail de l'équipe avait payé.
Emily se tourna vers Sofia, qui, bien que fatiguée, ne laissait rien paraître. Elle avait été l'une des forces motrices de cette enquête, ses compétences en cybersécurité et son sang-froid avaient permis de dévoiler les secrets de Némésis. L'équipe était soulagée, mais il y avait encore un poids sur les épaules de Sofia. Quelque chose d'inachevé, un dernier pas à franchir.
C'est alors que Leon Vance entra dans la pièce, son visage grave, mais aussi un peu fatigué après toutes ces heures de travail. Il jeta un coup d'œil à l'écran, puis fixa Sofia.
« Vous avez bien fait votre travail. » Vance se tourna vers elle. « Grâce à vous, nous avons arrêté Némésis. Ce ne fut pas facile, mais vous avez prouvé votre valeur. »
Sofia leva les yeux, silencieuse. Elle savait où tout cela allait mener. Vance lui adressa un sourire fatigué mais sincère, avant de s'approcher d'elle.
« J'aurais voulu vous parler de votre avenir au NCIS. » Il sortit une enveloppe de son dossier et la posa sur la table. « Mais je suppose que vous avez déjà pris votre décision. »
Elle ouvrit lentement l'enveloppe, en sortit une lettre de démission, et la posa devant lui. Les regards des autres membres de l'équipe se posèrent sur elle, perplexes. Personne ne s'attendait à cela. Pas après tout ce qu'elle avait accompli.
Vance la regarda, son regard presque désabusé. « Vous êtes sérieuse ? »
Sofia acquiesça, sans hésiter. « Oui. C'est le mieux. J'ai pris ma décision. »
Leon Vance fronça les sourcils, visiblement contrarié par cette tournure des événements. « Vous avez été une agent exceptionnelle, Sofia. Vous êtes une grande perte pour le NCIS. »
Il marqua une pause, cherchant ses mots. « Mais si vous souhaitez partir, je ne peux rien y faire. »
Sofia ne répondit pas immédiatement. Elle savait que Vance n'approuverait pas sa décision, mais elle ne pouvait pas revenir en arrière. Elle avait fait son choix. Le travail qu'elle faisait au NCIS l'avait trop éloignée de ce qui comptait vraiment pour elle. Elle avait besoin d'un changement.
Vance resta un moment à la regarder, avant de se redresser. Il n'ajouta rien, mais son regard trahissait une certaine déception. Il prit une dernière inspiration avant de tourner les talons. « Très bien. Vous avez fait votre choix. »
Il partit sans un mot de plus, laissant l'équipe dans une ambiance un peu lourde. Sofia se leva et rangea la lettre dans son sac, sans un regard pour ceux qui l'observaient.
Emily se leva à son tour, s'approchant de Sofia d'un pas décidé. Elle attendit un instant avant de parler.
« Sofia... » Emily la regarda avec une expression indéchiffrable. « J'aimerais te voir dans mon bureau. »
Sofia hocha la tête, mais ne répondit pas. Elle suivit Emily dans le couloir, la tête pleine de pensées contradictoires. Elle savait ce que cela signifiait. Emily avait toujours été une femme de principes, une leader forte. Et Sofia le savait aussi : cette conversation risquait d'être cruciale.
Le bureau d'Emily Prentiss était silencieux, l'air pesant après l'intensité de l'enquête. Sofia Rossi, récemment arrivée au FBI après sa démission du NCIS, se tenait face à Emily et à son père, David Rossi, qui observait la scène avec un mélange d'attention et de fierté. C'était une situation délicate : Sofia venait de quitter le NCIS, un acte audacieux, mais aussi symbolique d'une volonté de se réinventer. L'enquête sur Némésis était terminée, mais un nouveau chapitre était sur le point de commencer.
Emily se tenait devant son bureau, croisant les bras, mais ses yeux, toujours aussi perçants, ne lâchaient pas Sofia. Elle savait que c'était le moment d'offrir à Sofia une occasion unique, une chance qu'elle ne pourrait pas laisser passer.
« Sofia, » commença Emily, d'une voix calme mais pleine de conviction. « Je comprends que tu aies pris cette décision de quitter le NCIS. C'est un grand pas, et je le respecte. Mais je crois qu'il est encore trop tôt pour que tu prennes une décision définitive. »
Sofia, toujours un peu sur la défensive, fixa Emily en silence, son regard perçant. Elle savait qu'Emily ne lui proposerait pas un poste sans y avoir réfléchi à deux fois. Mais sa démission marquait un tournant. Elle avait besoin de temps pour elle, pour respirer, pour échapper à la pression du NCIS. Mais les mots d'Emily la touchaient. Elle sentait qu'il y avait une porte ouverte ici, une nouvelle chance de se redécouvrir.
David Rossi, à ses côtés, intervint alors, d'un ton grave, mais empreint de bienveillance. « Tu as toujours été une agent exceptionnelle, Sofia. Je sais que le NCIS ne te l'a pas facilité. Mais tu es plus que cela. » Il tourna un regard vers Emily. « Si tu acceptes l'offre, je sais que tu trouveras ta place ici. »
Sofia soupira, les yeux rivés sur son père. David Rossi, son père, avait toujours cru en elle. Il était son modèle, l'homme qui l'avait guidée. Mais maintenant, il la regardait avec des yeux différents. Un père, oui, mais aussi un collègue, un mentor dans ce monde impitoyable.
Emily prit la parole à nouveau, plus directe. « Sofia, je te propose un poste au BAU, un rôle d'analyste criminelle avec des missions plus ciblées, où tu pourras utiliser ta connaissance des réseaux criminels et ta cybersécurité. Je sais que tu es capable d'apporter une perspective nouvelle, comme tu l'as fait avec l'affaire Némésis. »
Elle laissa une pause, se penchant un peu plus en avant, pour faire comprendre l'importance de ses mots. « Je crois sincèrement que le BAU peut être le bon endroit pour toi, où tu pourras t'épanouir et retrouver un sens à ce que tu fais. Et tu n'es pas seule dans cette équipe, Sofia. Nous sommes là pour te soutenir. »
Les mots d'Emily firent écho dans l'esprit de Sofia, qui se leva lentement, son regard maintenant fixé sur Emily. Elle pensa à la difficulté de tout quitter, de laisser derrière elle une carrière au NCIS qu'elle avait presque perdue, mais aussi à l'opportunité de recommencer ici, avec le BAU. Le regard d'Emily, plein de confiance, l'incita à réfléchir à sa décision.
Puis, Sofia se tourna vers son père, David Rossi. « Qu'est-ce que tu en penses, papa ? » demanda-t-elle, ses yeux cherchant des réponses dans ceux de son père. Il était toujours là, avec elle, mais il comprenait aussi que c'était à elle de choisir son avenir.
David Rossi sourit, un sourire fier. « Je sais que tu peux le faire. Et si tu acceptes cette offre, tu seras dans une équipe qui te respecte, et qui a besoin de ton intelligence et de ton expertise. Le BAU pourrait être ta maison. »
Sofia resta un instant en silence, sentant tout le poids de la décision qui reposait sur ses épaules. Mais elle savait qu'il n'y avait pas de retour en arrière. Elle avait besoin de se réinventer, de se prouver qu'elle pouvait être plus que ce qu'on attendait d'elle.
Enfin, après un moment d'hésitation, Sofia regarda Emily dans les yeux, déterminée. « D'accord. Je l'accepte. »
Le soulagement dans les yeux d'Emily était palpable. Elle sourit, tendant la main à Sofia. « Bienvenue dans l'équipe, Sofia. Nous sommes heureux de t'avoir avec nous. »
David Rossi posa une main sur l'épaule de sa fille, un geste protecteur, mais aussi empli de fierté. « Tu as pris la bonne décision. Je suis fier de toi. »
Sofia sourit à son père, un sourire sincère. C'était le début d'une nouvelle aventure. Elle allait devoir trouver sa place ici, au BAU, mais elle n'était plus seule. Elle avait une nouvelle équipe et, surtout, un nouveau défi devant elle.
Alors que Sofia se levait pour quitter le bureau, Emily la suivit du regard. Il y avait quelque chose de différent dans cette rencontre, quelque chose qui faisait naître en Emily un sentiment plus complexe que de la simple admiration professionnelle. Elle se surprit à se demander ce que l'avenir réservait à cette nouvelle équipe, et surtout à la relation qui se tissait doucement entre elles. Mais pour l'heure, Emily n'en laissa rien paraître, savourant simplement la victoire d'avoir convaincu Sofia de rester.
Après avoir accepté l'offre d'Emily, Sofia se leva lentement de sa chaise, une lueur déterminée dans les yeux. Elle échangea un dernier regard avec Emily et David Rossi, puis se tourna pour quitter le bureau. Les portes se fermèrent doucement derrière elle, et Emily resta un instant silencieuse, observant la silhouette de Sofia disparaître dans le couloir.
Le silence de la pièce sembla s'alourdir, presque palpable, alors qu'Emily fixait le vide où Sofia venait de se tenir. C'était comme si une étrange tension flottait dans l'air. Sofia avait accepté. Emily l'avait convaincue, mais maintenant, dans la solitude de son bureau, elle réalisait pleinement l'ampleur de ce qui venait de se passer.
Elle se leva, s'approcha de la fenêtre, et regarda dehors, le regard perdu dans le brouillard de ses pensées. Sofia avait quelque chose de magnétique, une aura qui la rendait difficile à ignorer. Cette femme forte, déterminée, mais aussi vulnérable dans ses moments de doute, n'avait cessé d'impressionner Emily.
Alors qu'elle repensait à leur rencontre, Emily se surprit à observer la manière dont Sofia marchait, sa posture, son allure. Elle était belle. Magnifique même, dans sa manière naturelle de se tenir, d'être elle-même. Emily n'avait pas pu s'empêcher de remarquer la façon dont la lumière du matin avait joué dans les cheveux de Sofia, et comment son regard intense, légèrement mystérieux, captivait l'attention. C'était plus qu'une simple admiration professionnelle, et elle le savait.
Elle se retourna, s'appuyant contre la fenêtre, son esprit divaguant un instant. Elle s'était toujours tenue à distance, évitant de se laisser submerger par des émotions qui risquaient de brouiller son jugement. Mais quelque chose chez Sofia avait éveillé en elle des sentiments qu'Emily n'avait pas anticipés.
Elle se remit en mouvement, prenant une grande inspiration pour chasser cette pensée qui la perturbait. Sofia venait de rejoindre l'équipe, et Emily se concentra sur l'important : l'avenir de l'équipe, l'avenir de Sofia au BAU. Mais, au fond d'elle, elle ne pouvait s'empêcher de se demander si cette relation professionnelle allait évoluer de manière inattendue.
Emily se détourna de la fenêtre, ses pensées tourbillonnant autour de l'idée de cette nouvelle dynamique au sein du BAU. Elle avait vu la force de Sofia dans l'enquête, mais elle se rendait aussi compte que quelque chose d'autre se formait silencieusement, en dehors du cadre de leur collaboration. Emily n'avait jamais eu l'intention de ressentir cela, mais elle savait qu'il était peut-être trop tard pour ignorer ce qu'elle ressentait.
Elle prit une dernière inspiration, se redressant pour retrouver son calme, puis se dirigea vers son bureau. Elle avait une équipe à gérer. Mais un petit sourire apparut sur ses lèvres, comme si elle se disait qu'il y avait plus à découvrir. Et cela, elle l'avait compris en observant Sofia, alors qu'elle quittait son bureau.
▂▃▅▇█▓▒░FIN░▒▓█▇▅▃▂
@sergio-meow
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juleusse · 1 month ago
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Dans le bus vers la Nouvelle-Orléans je vois ce coup se tordre de droite à gauche à mesure que le bus avance, je me dis wow c'est fou comment un cou peut être flexible. Ça me rappelle les propos d'un homme avec qui j'ai dû travailler. C'était dans un entrepôt où l'on entretenait organisait et préparait les pièces pour monter des salles de concert, un truc dans le genre c'est pas si important tfaçon c'était un entrepôt. À la pause de midi alors qu'il finissait son verre de vin il discutait avec quelqu'un et admirait la résistance du crâne humain. Il relatait une histoire où il me semble qu'il avait fracassé le crâne d'un homme sur un capot de voiture ou alors il avait coincé la tête entre et avait tapé avec le capot sur la tête. La tête avait bien résisté c'était impressionnant.
J'étais un peu fébrile quand j'ai entendu cette histoire je me sentais pas très bien de manière générale et je me sentais pas très bien dans cet environnement où je travaillais pour une partie de l'été et à ce moment-là je me sentais pas très bien dans les autres environnements non plus d'ailleurs bref tout est lié tu sais. Ça prend peut-être un jeune homme plus sûr de lui pour s'adapter à ce genre d'individus fracasseurs de têtes. Finalement ça c'était bien passé il avait pas voulu fracasser mon crâne il était pas à l'entrepôt pour longtemps de toute façon il allait partir ailleurs pour monter des scènes, par contre j'ai cru comprendre qu'il a bien gueulé avec un autre collègue temporaire qui nous demanda un jour tout en furie où est-ce qu'il pouvait reporter ce genre de comportement. "La victime" avait une santé mentale différente, il vivait dans un camping pas loin de l'entrepôt et avait déjà énervé d'inconfort un autre collègue en s'essayant à draguer une caissière au supermarché où on allait pour acheter la nourriture du midi, bon en même temps il fallait qu'il s'intègre il venait d'arriver, wow je pourrais écrire une nouvelle sur lui il était tellement fascinant.
J'avais aussi été un peu mal à l'aise avec Big, qui partageait mon dortoir à l'auberge de jeunesse à la Nouvelle-Orléans. Je l'avais choisie parce qu'elle faisait partie de la franchise où y avait l'auberge où je travaillais à Montréal, puis elle était pas chère mais les commentaires étaient mauvais et les photos un peu suspicieuses elles faisaient un peu fake, ça m'avait fait douter mais comme pour beaucoup d'autres choses finalement je m'étais dit fuck j'ai envie d'être tranquille et de passer à autre chose j'ai la flemme de passer des heures sur ce sujet donc je la prends quand-même.
Au milieu de la première nuit, alors qu'il faisait bien noir dans cette chambre sans fenêtres ni rideaux autour des lits mais possédant quand-même plus d'une demi-douzaine de lits superposés, un vieil homme parlait tout seul. Il était dans un des lits du bas et m'avait fait déjà une curieuse impression à mon arrivée, il dormait alors que les lumières étaient allumées dans la chambre en mode plein phare c'était méga lumineux et d'une pâleur qui ferait rougir les hôpitaux, mais l'homme dormait à poings fermés et avait une ribambelle de chez ribambelle d'affaires et de sacs et de valises éparpillés autour de lui. Et cette nuit là c'était sûr c'était lui qui parlait à voix haute malgré l'heure le noir de la chambre et le silence des autres occupants. Big s'écria finalement Who the Fuck are you talking to ? et ça marcha plutôt bien, on n'entenda plus l'homme de toute la nuit et l'on put tous se remettre à dormir tranquillement et paisiblement tu sais.
Un autre jour aux alentours de midi il me semble Big mon voisin du dessous et moi-même dormions encore dans ce noir complet total, je faisais pas tellement d'efforts pour me réveiller tôt je vivais au rythme de mon corps j'étais là pour être tranquille après tout et découvrir, Big c'était plus incertain pourquoi il était là mais je crois qu'il était à l'ordi longtemps le soir, d'ailleurs il ne se gênait pas tellement pour ne pas couper le son alors qu'il était passé 22h et que d'autres gentils strasbourgeois qui ont fait des études comme moi voulait être tranquille, puis je crois qu'il regardait la télé aussi tard dans le salon de l'auberge, bref il me battait à plat de couture en termes de réveil tard puisque je crois qu'il se réveillait tous les jours dans l'après-midi, mais bon c'était facile aussi s'il se couchait si tard bref c'est une autre histoire c'est pas une compétition chacun son rythme. Mon voisin du dessous dormait aussi beaucoup, à vrai dire c'est la majorité des choses qu'il faisait, à chaque fois que je le voyais il était effectivement allongé dans son lit. J'appris plus tard qu'il sortait d'une cure de désintoxication et qu'il s'était fait virer ensuite d'une autre auberge pour une histoire de billard je crois, bref j'imagine que ça sonne un être vivant ce genre de choses.
Donc ce jour-là nous dormions tous les trois paisiblement. Soudain quelqu'un frappa à la porte de manière plus qu'assourdissante mais genre vraiment assourdissante c'était méga brutal j'étais presque choqué, et la personne continua puis s'écria HOUSEKEEPING, wow ça faisait mal une telle violence. Big hurla WHAT THE FUCK, j'aurais pas osé mais j'aurais pas dit mieux. Et le personnel de rentrer d'allumer les plein phares d'hôpitaux de la chambre et de commencer à passer l'aspi, wow quelle violence je comprends l'embarras de Big même si c'est un peu étrange de s'écrier WHAT THE FUCK au personnel de ménage de l'auberge dans laquelle tu loges, qui malgré peut-être un excès de zèle ce matin-là bah c'est quand-même le personnel puis ils entretiennent l'espace dans lequel tu vis, j'ai été élevé dans la courtoisie moi mes parents ont pu payer des études à ma sœur et moi.
Big n'était évidemment pas son vrai nom enfin j'ose penser. Il n'avait pas répondu quand je lui avais demandé son nom le jour où je l'avais rencontré puis il m'avait dit qu'il venait d'Africa quand je lui avais demandé d'où il venait, bref on avait pas parlé longtemps et c'était quelqu'un d'autre qui m'avait dit qu'il se faisait appeler Big. Big avait en outre une manière de parler anglais différente du Where is Brian Brian is in the kitchen que l'on pouvait entendre dans les exercices de compréhension orale en cours d'anglais au collège, bref je le comprenais pas tout le temps mais je trouvais ça cool.
Un jour dehors en bas de l'auberge alors que j'essayais de réconforter vaguement quelqu'un qui venait de se faire virer de l'auberge alors qu'elle était censée y travailler et y loger prochainement (elle aurait remué ses fesses de manière trop insistante et longue sur un de ses ex futurs collègues colocataires qui était en train de manger et qui n'avait pas apprécié et qui l'avait accusée ensuite d'harcèlement sexuel, c'était la version de l'exclue mais je la crois l'autre gars était pas sympa ou en tout cas un peu bizarre j'ai raison ouais j'ai raison crois-moi), bref elle pleurait presque ou pleurait vraiment j'avoue j'étais pas trop impliqué non plus, et Big se pointa. Il était peut-être venu la réconforter vaguement aussi après tout ils s'aimaient bien je crois en tout cas de manière amicale, mais j'étais surpris Big portait des lunettes de soleil avec toujours l'étiquette dessus et avait à la main un vidéoprojecteur dans un emballage qui paraissait intacte, je me demandais ce qu'il allait faire mais bon après tout il allait peut-être faire une soirée pizza avec quelques copains qui sait. Il était au téléphone avec quelqu'un et je veux pas sortir les choses de leur contexte mais je vais le faire quand-même, j'entendis le mot Voleur. Une voiture noire et grosse et clinquante genre quatre quatre arriva ensuite et se gara devant nous, wow Big a des potes sympas me suis je dit mais c'est étrange pourquoi Big rentre par la porte arrière si ce sont ses copains puis que font-ils on y voit rien les vitres sont teintées. Je me remis à réconforter vaguement l'autre personne j'essayais d'être inspirant c'était ma nouvelle personnalité je change souvent de personnalité en fonction de l'environnement où je suis, que puis-je dire je suis comme ça la constance n'est pas vraiment mon fort, et bref pendant que j'étais inspirant j'oubliais Big et la voiture, sauf que du temps passa puis un moment donné je me dis fuck, ça fait longtemps que Big est rentré dans le quatre quatre noir et clinquant et le quatre quatre noir imposant et clinquant est toujours là, n'est toujours pas parti c'est bizarre n'est-ce pas. Je demandai à la fille Is Big a gangster ? c'est vrai ça dans ma tête y a que les gangsters qui font ça je m'y connais pas vraiment dans ces choses là voire pas du tout j'avoue voilà vous m'avez démasqué mais avouez vous vous y connaissez pas plus si vous êtes capables de lire une prose aussi fantaisiste. La fille sourit et répondit simplement That's just what he do. Elle ne dit pas plus bon je comprends c'est normal elle avait un projet à repenser elle venait de se faire exclure pour harcèlement sexuel et n'avait pas de logement à long terme a priori, je comprends elle avait pas la tête aux romans policiers puis après tout moi pas tellement non plus, je m'en foutais un peu c'était fatiguant ces mystères tiens je ferais bien une sieste.
Plus tard dans la journée dans la chambre Big m'interpella Eh frenchie do you have a bag, j'avais pas tellement envie de lui filer un de mes sacs j'avais pas tellement confiance et fort heureusement il n'aimait pas mes top bags c'était pas trop son genre je crois. Mon voisin du dessous lui trouva quelque chose et Big était tout content, il sorta un bas et un haut de maillot de bain féminin couleurs léopards il me semble, en tout cas une allure séductrice qui éveille un désir je pense chez plus d'un être humain, et l'étiquette était toujours là évidemment. Big tenda devant lui le bas de maillot de bain couleurs terreuses affriolantes et essaya devant nous de comprendre comment ça marchait, j'avoue c'était rigolo et le voisin du dessous rigolait aussi, je m'essayai à une blague en lançant Is it for you et Big et le voisin du dessous rigolèrent, j'ai honte j'étais fière d'avoir fait rigoler ces jeunes hommes là, moi qui ai fait des études gentiment licence et master en écoutant bien ce qu'on me disait et qui avais même pu faire un échange à l'étranger en troisième année de licence.
Big rangea finalement le maillot de bain dans le sac et quelques jours plus tard se fit virer de l'auberge je sais pas trop pourquoi.
En parlant de résistance du corps j'en ai fait moi-même l'expérience récemment j'avais invité une fille à se voir dans un bistrot à Montréal, je la connaissais pas et lui avais à peine parlé mais grâce à mon travail et Internet j'avais pu la contacter et lui proposer de se voir, eh ouais je suis comme ça fallait que je lui demande par tous les moyens même si c'est peu ordinaire comme méthodologie voire très ordinaire finalement de nos jours. Elle était jolie c'est fou c'est la classe je suis dans un mood où j'essaie que de séduire et de relationner physiquement avec des êtres que je trouve très jolis, c'est comme ça ce n'est peut-être qu'une phase mais j'aime bien je dirais presque que c'est challengeant en tout cas ça fait du bien à l'image de soi quand ça marche j'ai peut-être besoin de ça finalement j'ai encore besoin de prouver des choses j'ai peut-être pas si confiance en moi finalement. Bref elle avait accepté de se voir et l'on s'asseya sur la terrasse il faisait beau c'était la fin d'après-midi, j'avais pas commandé de bière je continuais de mettre sur pause l'alcool et au-delà du fait que c'est bon pour la santé ça fait mystérieux genre passé trouble et moi j'avoue je trouve ça cool je me crois dans un film en permanence, j'avais donc pris un jus mais c'était bizarre il m'avait donné une toute petite bouteille à peine plus grande qu'une tétine c'était étonnant peut-être un peu gênant mais rigolo finalement, c'était une toute petite bouteille en verre contenant un jus de pamplemousse il me semble, j'aime bien le pamplemousse et je trouve ça cool évidemment d'aimer le pamplemousse je me crois dans un film je t'ai dit bon faut dire que j'en ai vus tellement. On était au début de la rencontre au début du moment à deux de rencontre donc on était peut-être chacun un peu agité intérieurement on cherchait notre rythme à deux et notre place et personnage dans l'échange puis je pense que l'on se demandait encore quelle image séduisante montrer à l'autre, mais finalement j'avoue j'étais assez chill j'étais dans une position de force après tout elle était arrivée bien en retard puis je la trouvais vraiment jolie ça calme un être lorsqu'il interagit avec quelqu'un de très jolie qui semble s'intéresser à lui. Je m'essayai à rire et à la faire rire fallait bien tenter puis révéler ça de moi après tout c'est beaucoup à quoi je passe mon temps quand je suis avec quelqu'un. Je dis quelque-chose à propos de la religion et j'avoue je trouvais ça bien drôle bien sorti bravo Jules en plus je crois que ça l'a fait rire d'étonnement donc c'était tout bon c'est cool ça peut être fun si on peut rigoler comme ça, sauf que le mouvement intérieur que ça produisit en moi était peut-être un peu trop fort résultat ça me fit balancer la tête en avant rapidement et bim voilà que je me cogne la tête le front pour être précis sur le gland de la petite bouteille en verre riquiqui à peine plus grande qu'une tétine et contenant du jus de pamplemousse, fuck ça fait mal c'est délicat comme moment.
Mais je me crois dans un film j'essaie toujours d'avoir l'air cool d'avoir une belle image de moi que je livre aux autres et j'ai l'impression que je dois faire ça pour qu'on m'accepte sinon c'est pas possible personne va m'accepter puis fuck faut avouer que ça fait du bien intérieurement de plaire aux gens, j'ai pas toujours ressenti ça j'ai même longtemps ressenti l'inverse tout est lié, bref à force d'entraînement je suis devenu un as. Bref I believe que dans ces moments-là qui peuvent te faire perdre la face, bah finalement pour la garder faut être sincère et mesuré. Faut pas faire comme si rien n'était arrivé et comme si t'avais pas mal et passer directement à autre chose ni vu ni connu, non c'est impossible puis même bizarre de vouloir faire croire à une fille que tu désires qui t'intéresse et que tu trouves extrêmement jolie que tu ne viens pas de te percuter le front contre une petite bouteille en verre riquiqui à peine plus grande qu'une tétine et contenant du jus de pamplemousse, et ce alors que tu rigolais un peu trop expressément peut-être à la blague que tu venais de faire à propos de la religion pour apporter un peu de fun à l'instant tout en boostant ton égo pour montrer que t'es drôle. Faut pas non plus trop en faire. Te mets pas à pleurer à te prendre trop la tête dans les mains pire à crier à chaudes larmes voire carrément à te jeter par terre de douleur genre joueur de foot, tout ça pour que la jeune femme te réconforte ou te prenne en pitié, même si je pense que dans le fond ce serait encore moins pire que de faire comme si de rien n'était, ça ça serait trop détonnant ça serait trop jouer à l'acteur mais d'un autre côté ça serait presque drôle wow je respecterais l'être qui ferait ça. Bref je l'ai joué sincère et mesuré et c'est bien passé je crois, en tout cas je me sentais bien et toujours cool, mon dieu j'abuse. La vérité c'est que j'avais pas tellement mal, la douleur physique était masquée par le chaud mouvement intérieur qui me poussait à tout faire pour ne pas perdre la face et rester cool, mais tranquille tsais. Comme la jeune femme l'a dit j'ai eu de la chance j'aurais pu me percuter l'oeil bref tout ça pour dire je m'en rends compte maintenant que certes le corps est flexible et résistant mais y a peut-être d'autres forces en jeu que la chaire qui font que c'est ainsi, voilà je m'arrête là regarde comme c'est beau y a même une fin une petite conclusion une petite morale à la fin c'est beau c'est cool je me sens cool je suis dans un film.
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detournementsmineurs · 4 months ago
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Repas "d'affaires" avec suprême de poulet, polenta et sa sauce safranée suivi d'une crème anglaise, granola, amandes grillées et copeaux de chocolat au restaurant du cinéma "L'Entrepôt" dans le 14e arrondissement de Paris, août 2024.
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jojobegood1 · 1 year ago
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Regardez "Il a été laissé derrière l'entrepôt avec des marques de morsures sur tout le corps mais" sur YouTube
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⚠️��🐕💔💐 ÉNIÈME SAUVETAGE
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whencyclopedfr · 2 years ago
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Hedeby
Hedeby (vieux norrois : Heiðabýr; allemand : Haithabu) était une importante place forte du Danemark de l'ère viking du 8e au 11e siècle. Avec Birka, dans l'actuelle Suède, c'était le plus important centre de commerce viking d'Europe. Pendant cette période, elle prospéra sous le contrôle des Vikings danois. Aujourd'hui, Hedeby est située près de la ville de Schleswig, en Allemagne, sur la péninsule du Jutland, mais elle était l'entrepôt le plus méridional de Scandinavie au début du Moyen Âge. Grâce à sa position favorable au carrefour de l'Empire franc et du royaume danois, ainsi qu'à la rivière Schlei qui rejoint la mer Baltique, la ville de Hedeby accumula une grande richesse en tant que colonie marchande ayant des liens commerciaux étendus avec l'Europe occidentale, la Scandinavie, l'Orient slave et byzantin, ainsi que le monde arabe. L'UNESCO a reconnu l'importance de Hedeby dans l'histoire de l'Europe médiévale, déclarant son site archéologique ainsi que le système défensif Danevirke dont les fortifications de Hedeby ont progressivement fait partie site du patrimoine mondial en 2018.
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anoukphotographyuniverse · 16 days ago
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Gaming Infinity Nikki - Les trophées PS5
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Bonjour tout le monde ! Comment allez-vous ? Plutôt bien ? Aujourd'hui, un petit guide rapide pour ceux jouant sur PS5. Malheureusement, les trophées ne sont pas présents sur les autres plateformes et j'avoue que j'aurais bien aimé les avoir sur PC. M'enfin, c'est ainsi... Sur ce, je vous laisse avec la liste complète.
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La quête du style est éternelle Trophée Platine - Obtenez tous les autres trophées.
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L'aurosa aurosée Trophée Or - Obtenir toutes les esquisses de la tenue Aurosa des souhaits.
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Y'a pas photos Trophée Or - Prendre 100 photos.
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Kadence effrénée Trophée Or - Atteindre le niveau 24 de Kiro, la kadence.
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Battement de l'infini Trophée Or - Collecter 250 Étoiles de Chic.
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Filer comme une flèche Trophée Or - Activer 50 flèches de distorsion.
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Un cœur plein de merveilles Trophée Or - Collecter 100 Eurêkas.
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Je jure que c'est la dernière fois Trophée Or - Tenter votre chance 1000 fois au tirage Surprise-O-Matic.
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Filer à tire-d'aile Trophée Argent - Terminer le défi de l'entrepôt de rêves (Difficile) dans le royaume d'Eurêka en 120 secondes.
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Rapide comme l'éclair Trophée Argent - Terminer le défi du Puits de la Fortune (Difficile) dans le royaume d'Eurêka en 80 secondes.
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Vaporeux volatilisés Trophée Argent - Purifier 500 Vaporeux.
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Croqueuse de diamants Trophée Argent - Ouvrir 100 coffres.
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Simple esquisse Trophée Argent - Collecter 100 esquisses.
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Mes vêtements sont incroyables Trophée Argent - Collecter 10 tenues de capacité.
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Objectif brillance ! Trophée Bronze - Combattre Bouldy dans la quête principale.
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Règne végétal Trophée Bronze - Collecter 100 plantes.
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Petit poisson deviendra grand Trophée Bronze - Pêcher 100 poissons.
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Entomologiste en herbe Trophée Bronze - Capturer 100 insectes.
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Dorlotés, cajolés, bichonnés Trophée Bronze - Toiletter 100 animaux.
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Un vent de fraîcheur Trophée Bronze - Récupérer 50 vêtements "Fraîcheur".
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On se la coule douce Trophée Bronze - Récupérer 50 vêtements "Douceur".
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Totale décontraction Trophée Bronze - Récupérer 50 vêtements "Décontraction".
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L'arbitre des élégances Trophée Bronze - Récupérer 50 vêtements "Élégance".
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Se porter comme un charme Trophée Bronze - Récupérer 50 vêtements "Charme". En espérant que cela vous donnera une idée dans le cas où vous jouez sur console ! Amusez-vous bien. Read the full article
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memitodu29 · 29 days ago
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"Une attaque fulgurante : l'entrepôt ukrainien réduit en cendres par un KUB
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toutmontbeliard-com · 1 month ago
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Nous avons le plaisir de vous annoncer l'ouverture de notre magasin "L'Entrepôt du Meuble" à Voujeaucourt, Zone de la Cray, situé face à Grand Frais, le lundi 18 novembre 2024 ! Venez découvrir notre vaste sélection de mobilier tendance pour « votre intérieur à des prix bas toute l'année ». Que vous soyez à la recherche d'un nouveau salon, d'une salle à manger élégante ou d'une chambre et/ou literie, vous trouverez tout ce qu'il vous faut à des prix fous ! Tables à partir de 400 €, chaises à partir de 50 € et même des canapés à moins 1 000 € ont été sélectionnés par nos équipes. Ne manquez pas cette occasion de transformer votre intérieur à prix bas toute l’année. Rendez-vous le 18 novembre, à très vite ! Suivez nous sur les réseaux sociaux pour découvrir les actualités. infos > Instagram "L’entrepôt du Meuble Voujeaucourt" ToutMontbeliard.com publicité Read the full article
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escalesacarthage · 2 months ago
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Hémon de Syracuse
Κάρθος, ἡ ἕκτη ἡμέρα μετὰ τὸν 10ον Ἡκατόμβαιον.
Καλή διάπλους, πλοῖον ἀραγμένον ἐνώπιον τοῦ ἀποθήκης τοῦ κυρίου Ἱμιλκῶνος. Οἱ Νουμίδες δοῦλοι ἐπὶ τοῦ λιμένος εἰσίν. Καταβαίνω εἰς τὴν γῆν ἵνα διαπραγματευθῶ τὸ κόστος τῆς ἀποφορτίσεως. Ἐλπίζω ὅτι ἀποδεξόμενοι ἔσονται τὰ τετραδράχμα τῆς Σικελίας.
Bon, pour ceux qui ne liraient pas le Grec ancien (je sais qu’il y en a parmi vous), je donne ci-dessous une traduction approximative de ce passage du journal de bord du seigneur Hémon capitaine à bord du Kiréna en provenance de Syracuse.
Carthage, 6e jour après le 10e de Hecatombaion.
Bonne traversée, navire amarré devant l'entrepôt du seigneur Himilcon. Les esclaves numides sont sur le quai. Je vais à terre pour négocier le coût du déchargement. J'espère qu'ils vont accepter les tétradrachmes de Sicile.
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dmpix · 2 months ago
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Paris Xe Arrondissement
Paris Xe. Arrondissement de l'Entrepôt.
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zehub · 3 months ago
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Incendie Bolloré Logistics : des déchets dangereux étaient stockés sans l'autorisation requise
Les marchandises à l'origine de l'incendie Bolloré Logistics survenu le 16 janvier 2023 à Grand-Couronne (Seine-Maritime) n'étaient pas franchement celles prévues par l'arrêté d'autorisation de l'entrepôt où elles étaient stockées. La société louai
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vdg-binkx · 6 months ago
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DIVINE VDG.BINKS & MASTA N'GUILA
https://youtu.be/U_FCt6D0ULA New vibe Roots reggae de VDGBINKS feat MASTA N'GUILA à l'entrepôt de Montpellier pour la 1ERE partie de ROGA ROGA EXTRA MUSICA filmé prises scènes par Jah Foul Record, montage amateur VDG ,que du love
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detournementsmineurs · 4 months ago
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Restaurant du cinéma "L'Entrepôt" sous verrière dans le 14e arrondissement de Paris, août 2024.
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christophe76460 · 7 months ago
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Bonne journee les ami(e)s
Sache une chose que les projets de Dieu n'ont pas de date d'expiration.
Garde ta foi et reste focalisé sur les promesses de Dieu, il t'a promis quelque chose, mais Dieu a un temps fixé pour chaque promesse qu'il t'a faite. Tu vois que les autres autour de toi sont bénies, mais que cela ne te décourage pas car les autres c'étaient leurs temps de visitation divine et dans l'entrepôt de Dieu les bénédictions sont inépuisable, pas de rupture de stock ce qui veut dire que ton tour arrive bientôt.
#si tu es d’accord avec moi écrit : 👉👉👉👉“ les projets de Dieu n’ont pas une date d’expiration”
Reste calme car celui qui as fait la promesse est fidèle car il s'appelle le DIEU FIDÈLE.
Frère ; Ismael Hervé
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